QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

Al-Khelaïfi: «Raï? Excellent nom»
Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG, dit se réjouir de l'émergence de Monaco. Pour le «sel de la rivalité». Et parce que, pour vibrer, il a besoin d'une «compétition relevée». Il fait aussi le point sur le poste vacant de directeur sportif...

Jean-Claude Blanc et Nasser al-Khelaïfi, les deux hommes forts du PSG. (L'Equipe)





Dimanche, le choc entre le PSG et Monaco va être l'un des premiers temps forts du Championnat. L'émergence de la puissance asémiste a tout pour plaire à Nasser Al-Khelaïfi. «Sa présence contribue à rendre la L1 plus attractive. Sans le sel de la rivalité, les joueurs s'ennuieraient, confie le président du PSG dans nos colonnes. Certains d'entre eux ne voudraient même pas venir en France.»

Interrogé quant au futur remplaçant de Leonardo au poste de directeur sportif, il ne s'est pas montré pressé même s'il trouve que Raï est un «excellent nom» : «Il n'y a aucune urgence. On vient de bien gérer une partie du marché d'été avec Jean-Claude Blanc et Olivier Létang. Pourquoi ne pas continuer avec ce même fonctionnement lors du mercato d'hiver ?»

Par ailleurs, il confirme que Matuidi et Ménez, sous contrat jusqu'en 2014, devraient prolonger à la manière d'Ibrahimovic, «l'âme du club».

Garde: «Une belle cohésion»
Rémi Garde et Bafétimbi Gomis étaient satisfaits du match nul accroché par Lyon sur la pelouse du Betis Séville jeudi soir (0-0). «On a fait preuve de caractère en gardant notre cage inviolée», a souligné l'attaquant de l'OL.

Gomis est satisfait de l'état d'esprit affiché par les Lyonnais à Séville. (L'Equipe)











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Rémi Garde, entraîneur de l’OL, au micro de beIN Sport: «Le résultat me satisfait. On vient toujours pour gagner mais vu la physionomie du match, c’est un bon match nul. Je suis également satisfait du contenu. On est à l'extérieur, contre une équipe poussée par son public, qui n’a rien lâché jusqu’au bout et nous a mis la pression. Mon équipe a montré une belle cohésion, ce qui est bien dans ce contexte. On a montré beaucoup de force, de solidarité, de cohésion, surtout en première période. Il y a plus d'espaces en deuxième période, mais on a montré dans le jeu qu'on pouvait poser quelques banderilles. Il y avait du rythme, c'était un bon match je pense. C'est un bon point de pris.»

Gomis: «On a fait preuve de caractère»
Bafétimbi Gomis, attaquant de l’OL, au micro de beIN Sport: «Ça a été un très bon match de notre part, on a livré une rude bataille. On savait que cette équipe allait jouer avec la ferme intention de s’imposer. Ils savaient qu'on traversait une période difficile. Mais on a fait preuve de caractère en gardant notre cage inviolée. C'est bien de ramener un point quand on voyage en Coupe d’Europe. Ce sont des matches qui font franchir un palier. Les jeunes peuvent apprendre, ils ont été gâtés aujourd'hui, face à une équipe du Betis qui en voulait. Beaucoup d'équipes viendront perdre ici. (Sur son retour) Tout se passe bien mais je ne suis pas encore à 100%. Je monte en puissance. Il me faut encore un peu de temps de jeu pour être à mon meilleur.»

Je suis atterr� par certains commentaires et heureux de la prestation de mes joueurs contre une bonne �quipe espagnole Royal B�tis:allez OL— Jean-Michel AULAS (@JM_Aulas) September 19, 2013

http://medias.lequipe.fr/img-stade:football-jpg/stade//0-665-0-80/

Bordeaux-Carrasso: "C'est anormal"
Cédric Carrasso était plutôt remonté, jeudi, après la défaite de Bordeaux à Francfort, lors de la première journée de Ligue Europa (3-0). "A un moment donné, de se faire bousculer et de se laisser faire comme ça, ça m’insupporte parce qu’il n’y a aucune réaction. Je voyais les têtes baissés et plus de communication. C’est anormal, a lancé le portier des Girondins, sur RMC. Si on jouait contre une grande équipe ok. Mais là il y avait peut-être 50 000 personnes et ils ont fait un début de match intéressant mais pour moi ça reste une équipe qui était en D2 il y a deux ans. Ce qui est le plus frustrant c’est de se faire brancher par une équipe qui te réduit à dix, qui t’en met trois et que toi, tu n’as rien le droit de dire parce que tu n’as rien fait pour. A un moment donné il faut avoir de l’orgueil et je pense que c’est le bon moment de l’avoir

Plus de finalistes de Coupes en Europe
Le finaliste perdant des coupes nationales ne devrait plus accéder à la Ligue Europa à partir de la saison 2015-2016, dans le cas où le vainqueur est qualifié pour la Ligue des champions. La place reviendrait donc au club le mieux classé au Championnat, derrière les qualifiés pour l'Europe. Cette requête des fédérations membres de l'UEFA n'est pas encore entérinée, la Commission des compétitions interclubs de l'institution doit encore «effecteur les changements réglementaires nécessaires».

À 17h, au Parc des Princes. Arbitre : Saïd Ennjimi.
PSG : Sirigu - Van der Wiel (ou Jallet), Z. Camara, Marquinhos, Maxwell (ou Digne) -
Verratti, Matuidi, Pastore (ou Motta) - Cavani, Ibrahimovic, Lavezzi.
Entraîneur : Laurent Blanc.
Toulouse : Ahamada - Aurier, Spajic, Abdennour - Ninkov, Chantôme, Didot, Trejo,
Sylla - Braithwaite, Ben Yedder.
Entraîneur : Alain Casanova

Paris n’a pas le droitàl’erreurLe PSG a l’occasion de mettre
la pression sur Monaco ce soir,
avec la réception de Toulouse,
alors que le leader monégasque
se déplacera à Reims demain.
Mais avant ça, le PSG doit se méfier
de la venue du Téfécé (11e).
S’il ne hausse pas son niveau de
jeu, le champion de France en titre,
guère brillantàValenciennes
(victoire 1-0), sera forcément exposé
contre des Toulousains en
net regain de forme sur les trois
derniers matches (1 nul, 2 succès).
Avant d’entamer une semaine
de tous les dangers (réception
de Benfica en Ligue des champions,
mercredi, déplacement à
Marseille, le 6 octobre), Paris,
toujours privé de son capitaine
Thiago Silva en défense (cuisse),
ne peut pas s’autoriser d’accroc.
Lyon, vaincu sans gloireàAjaccio
(2-1) et pas encore guéri malgré
la sortie du placard de Gomis
et Briand, devra éviter de dégringoler
encore face à Lille (4e).
Enfin, Bordeaux, relégable,
aura la tâche plus facile à
ÉvianTG (15e), mais ses récentes
prestations ( 1 succès en 7 journées)
n’incitent pas vraiment à
l’optimisme.

Football8LIGUE DES CHAMPIONS
20h45 Fc Bâle--Schalke 04-
-Steaua Bucarest--Chelsea-
-Borussia Dortmund--Marseille-
-Arsenal--Naples--
18h00Zénith St-petersbourg--Austria Vienne-
-20h45Fc Porto--Atletico Madrid--
Celtic Glasgow--Fc Barcelone--
Ajax Amsterdam--Ac Milan--

2e journée
Aujourd’hui
Dortmund -OM.....................20h45, BeInsport1
Arsenal - Naples............20h45, BeInSportMax5
PTS J G N P BP BC G
1. Arsenal 3 1 1 0 0 2 1 1
2. Naples 3 1 1 0 0 2 1 1
3. Dortmund 0 1 0 0 1 1 2 -1
4. OM 0 1 0 0 1 1 2 -1
Déjà joués
1re journée
OM- Arsenal............................................1-2
Naples - Dortmund ..................................2-1
Reste à jouer
3e journée
mardi 22 octobre
OM- Naples .................................................
Arsenal - Dortmund........................................
4e journée
Mercredi6novembre
Naples -OM ...................................................
Dortmund - Arsenal........................................
5e journée
Mardi 26 novembre
Dortmund - Naples ........................................
Arsenal -OM..................................................
6e journée
Mercredi 11 décembre
OM- Dortmund ............................................
Naples - Arsenal .............................................

LIGUE DES CHAMPIONS
Paris, sur un air de Clasico

Publié le mercredi 02 octobre 2013 à 06H15

Cinq jours avant d'affronter l'OM, le PSG reçoit Benfica ce soir




Bien lancé par sa victoire contre l'Olympiakos (4-1), le PSG peut déjà prendre les devants dans son groupe C de Ligue des champions avec la réception (20h45) de son principal, voire seul rival, le Benfica Lisbonne, ce soir (20h45). Le large succès ramené du Pirée avait donné une bonne idée de la marge dont dispose a priori le club parisien face aux outsiders attendus du groupe, l'Olympiakos et Anderlecht. Mais le rendez-vous de ce soir devrait être un peu plus relevé face au vice-champion du Portugal, vainqueur d'Anderlecht 2-0 lors de la première journée.
Benfica avait d'ailleurs éliminé le club parisien lors de leurs deux confrontations européennes, en 8e de finale de la C3 en 2007 puis en 2011, quelques mois avant que le PSG ne change de dimension et de propriétaires, avec l'arrivée des actionnaires qataris.
Battu la saison dernière à Porto (1-0) lors de la phase de poules, Paris a appris à se méfier de ces équipes sans beaucoup de noms ronflants, mais habituées à disputer chaque année la Ligue des champions. La menace lisboète est du même ordre même si Benfica, finaliste de l'Europa League la saison dernière après avoir été reversé de C1, vit un début de saison très moyen. Trois victoires seulement lors des six premiers matches et une 5e place du championnat du Portugal : le bilan est presque indigne pour le géant aux 32 titres de champion et ne semble pas de nature à beaucoup inquiéter les joueurs de Laurent Blanc. Ces difficultés s'expliquent notamment par les blessures des ailiers Argentins Salvio et Gaitan, même si ce dernier a fait son retour et devrait être aligné au Parc. Une enceinte parisienne où Benfica ne jouera d'ailleurs pas réellement à l'extérieur avec près de 20 000 supporteurs venus de la région parisienne attendus.
Outre Gaitan, les Portugais comptent sur le duo serbe Matic-Fejsa au milieu et sur l'association Cardozo-Djuricic pour bousculer une charnière centrale parisienne toujours un peu artisanale en l'absence de Thiago Silva et, peut-être, Alex.
De son côté, en plus d'un début de domination sur ce groupe C, Paris voudra également éviter tout faux pas avant le Clasico de dimanche face à l'OM.
Avec quatre victoires et un nul, Ibrahimovic et ses partenaires ont très bien négocié une deuxième quinzaine de septembre hyper chargée, même si les succès contre Valenciennes (1-0) et Toulouse (2-0) n'ont pas été des sommets en terme de jeu. En s'appuyant sur la sûreté de leur milieu à trois, sur l'efficacité de Cavani et sur les fulgurances d'Ibrahimovic, les Parisiens voudront donc poursuivre sur cette lancée avant une trêve internationale qui permettra à certains de souffler un peu.
Le PSG reste, en effet, sur une impressionnante série de 25 matches sans défaite (hors tirs au but) toutes compétitions confondues et le dernier revers parisien remonte au 2 mars à Reims (1-0). Ce soir-là, Leonardo, alors directeur sportif du club, avait expliqué que l'équipe parisienne était plutôt "bâtie pour l'Europe". Le match de ce soir est une nouvelle occasion de le montrer.

Accueil / Sports / Foot

DANS LE GROUPE DE L'OM
Arsenal ne fait qu'une bouchée des Napolitains

Publié le mercredi 02 octobre 2013 à 06H15





Le suspense n'aura duré qu'un petit quart d'heure à l'Emirates Stadium, hier soir. Encore moins qu'à Dortmund, finalement... C'est dire si Arsenal a croqué une formation napolitaine rapidement dépassée par les événements.
Mesut Özil puis Olivier Giroud ont inscrit les deux des Gunners, au terme de deux actions collectives parfaitement huilées. Avec six points au compteur, et une double confrontation à venir face à Dortmund, Arsène Wenger et ses troupes sont en position idéale en vue d'une qualification pour les huitièmes de finale.
Hier, les Gunners, emmenés par un trio Özil-Ramsey-Rosicky rayonnant, ont donc facilement confirmé leur victoire obtenue il y a quinze jours face à l'OM.
Pour Naples, en revanche, cette défaite marque un coup d'arrêt puisque c'est la première de l'ère Benitez, après six victoires et un nul toutes compétitions confondues. Inutile de dire que les Napolitains seront d'autant plus revanchards, dans trois semaines, lorsqu'ils débarqueront sur la pelouse du Vélodrome pour affronter les Olympiens...

Le Paris SG vole vers Marseille

Publié le jeudi 03 octobre 2013 à 05H57

En ne faisant qu'une bouchée de Benfica, le PSG a sereinement préparé le clasico de dimanche


Auteur d'un doublé et décisif sur le deuxième but, Zlatan Ibrahimovic a fêté avec quelques heures d'avance son 32e anniversaire.
Photo afp



Et si la solution pour contrer le PSG était de ne pas concéder de corner ?
Lors de la première journée de la Ligue des champions, Olympiakos a explosé sur trois corners parisiens en seconde période. Hier, Benfica a volé en éclat sur trois nouveaux coups de pied de coin, sur lesquels le PSG a fait parler son collectif, sa puissance et son efficacité.
En une petite demi-heure, à peine, la moindre once de suspense avait quitté le Parc des Princes. Olympiakos n'est pas Arsenal, Benfica n'est pas Dortmund. Mais l'aisance avec laquelle Paris a mis K.-O. debout son adversaire portugais, qui a si souvent joué des mauvais tours à l'OM dans un passé récent, a de quoi impressionner.
Le PSG a été taillé pour jouer dans la cour des grands. Il y est largement à sa place. Un constat loin d'être rassurant à seulement trois jours de l'affiche tant attendu à Marseille pour ce qu'il est convenu, désormais, d'appeler le "clasico".
Si l'équipe de Laurent Blanc a fait preuve d'efficacité sur des coups de pied arrêtés - c'est d'ailleurs à la suite d'un coup franc de Thiago Motta que Marquinhos avait fait sauter le verrou toulousain, samedi dernier - la sérénité et la force que dégage le collectif parisien laissent perplexe. Paris n'est plus seulement un assemblage de noms ronflants achetés à prix d'or. À voir Zlatan Ibrahimovic se démener sur le front de l'attaque et déclencher le deuxième but d'une talonnade inspirée pour Marco Verratti, l'équipe enchaîner une séquence de jeu court pour aboutir à l'offrande de Van der Wiel pour le capitaine parisien lors de l'ouverture du score, ou l'écrasante domination dans la possession du ballon (66 %) face à un adversaire réputé pour sa maîtrise technique, il est évident que le PSG a changé de dimension. Et plus seulement sur le plan économique.
Les 24 heures de récupération supplémentaire dont peut profiter l'OM avant le choc de dimanche semblent même désuètes, tant Paris a tranquillement géré son affaire pendant une heure face à des Portugais groggy. Et Blanc en a profité pour préserver Verratti, Lavezzi et Alex, dont la cuisse endolorie l'avait privé des deux dernières journées de Ligue 1.
Élie Baup, en spectateur avisé, a dû tirer des enseignements. Mais il a sans doute aussi dû retenir les propos de Gabriel Heinze, qui a témoigné lors de la pause sur le clasico à venir depuis son club de Newell's Old Boys : "Le club le plus riche est souvent est le club qui a le plus de chance de remporter le championnat. Mais le clasico, c'est tout autre chose, ça se joue avec le coeur et avec la tête."
L'Argentin en sait quelque chose. Aux Olympiens de faire basculer ce match dans l'irrationnel.

Football - Ligue des champions : le Paris SG domine le Benfica (3-0)

02/10/2013, 22 h 45 | Mis à jour le 02/10/2013, 22 h 48




Le PSG conforte ses chances pour la qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions.

Le PSG conforte ses chances pour la qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions. (AFP MIGUEL MEDINA)

Le Paris SG a dominé le Benfica 3-0 (mi-temps 3-0) prenant la tête du groupe C, mercredi lors de la 2e journée et confortant ses chances pour la qualification pour les 8e de finale de la Ligue des champions.

Buts :



Paris SG : Ibrahimovic (5, 30), Marquinhos (25)

Ligue des champions. Quand monsieur Zlatan régale

Publié le 03/10/2013 à 03:52, Mis à jour le 03/10/2013 à 07:30

2e journée de la phase de groupes.

Et de deux pour Zlatan, qui font trois pour le PSG au bout d'une demi-heure. Le Benfica ne s'en remettra pas./ Photo AFP



Provocateur samedi après-midi en Ligue 1 face aux Toulousains, Abdennour et Aguilar notamment, Zlatan Ibrahimovic a choisi hier soir l’efficacité et la justesse pour sublimer son équipe du PSG dans une première période de rêve, la meilleure des champions de France depuis le début de la saison, la meilleure aussi du Suédois, capitaine par intérim, depuis son arrivée en France.
Au repos, le Benfica rentre avec trois buts dans les filets, un ballon qu’il n’a pratiquement pas vu (plus de 400 passes pour le PSG!), des tirs qu’il n’a pas cadrés (1 sur 5), quand son adversaire s’est littéralement promené.
«Le méchant» Zlatan est le roi de la pelouse. Un premier but d’entrée, facile, à la conclusion d’un superbe une-deux Matuidi-Verratti et un centre de Van der Wiel (5). Une talonnade de génie, à la récupération d’un corner qu’il a obtenu, pour Verratti qui sollicite encore Matuidi, et c’est Marquinhos qui inscrit de près son deuxième but en deux matches de Ligue des champions, son deuxième aussi en quatre jours (25). Un corner, qu’«Ibra»a encore obtenu, de Thiago Motta et une tête qui rebondit sur l’épaule de Garay avant de flinguer Artur (30).
Le show est lancé. Le Suédois récite un jeu de rêve, à la préparation ou à la conclusion, trouvant des appuis de choix avec Verratti et Matuidi. Dans ce cas-là, nul ne peut rivaliser, les Parisiens survolent, dominent, écrasent, et le Benfica plie donc les gaules dès la demi-heure de jeu.
Le PSG se contente de gérer la deuxième période, malgré l’entrée en jeu des pépites serbes du Benfica (Markovic, Sulejmani), et c’est encore le champion de France en titre qui se crée la meilleure occasion, un sauvetage du gardien Artur sur une tentative d’un Cavani pas bien inspiré hier (74).
à quatre jours du sommet qui l’attend dimanche soir au Vélodrome contre l’OM en Ligue 1, l’équipe de Laurent Blanc n’a plus à s’impliquer autant dans la construction de son succès: il était acquis au bout d’une demi-heure, et avec lui, la première place du groupe. On s’en doutait depuis le tirage au sort, mais c’est bien de répondre présent. Surtout de la sorte.
Paris SG 3 - Benfica Lisbonne 0
MT 3-0. Parc des Princes. 44732 spectateurs. Arbitre: Nicola Rizzoli (Italie). Temps additionnel: 4‘ (1+3).
Pour le PSG: Ibrahimovic (5 et 30), Marquinhos (25).
PARIS SG: Sirigu - Van der Wiel, Alex puis Z. Camara (78), Marquinhos, Maxwell - Verratti puis Rabiot (70), Thiago Motta, Matuidi - Cavani, Ibrahimovic (cap), Lavezzi puis Lucas (70). Entr.: Laurent Blanc.
Avertissements: Van der Wiel (36, tacle irrégulier sur Gaitan), Alex (46, tacle en retard sur Gaitan).
BENFICA: Artur - Andre Almeida, Luisao (cap), Garay, Siquiera - Fejsa puis Andre Gomes (29), Matic - Enzo Perez, Djuricic puis Markovic au repos, Gaitanpuis Sulejmani (66) - Cardozo. Entr.: Jorge Jesus.
Avertissement: Gaitan (32, contestation

Foot/Ligue Europa : Lyon tenu en échec, Bordeaux battu
Midilibre.fr
03/10/2013, 19 h 04 | Mis à jour le 03/10/2013, 23 h 03



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Deuxième match de nul de suite en Europa league pour Ferri (g.) et les Lyonnais. (PHOTO AFP)
A Gerland, les Lyonnais ont concédé le nul face aux Portugais du Vitoria Guimaraes (1-1) alors que les Girondins se sont inclinés chez eux face aux Israéliens du Maccabi Tel Aviv (1-2).
Après avoir obtenu un match nul, lors de la première journée de la phase de groupe (0-0 sur le terrain des Espagnols du Betis Séville), Lyon a concédé un nouveau nul, sur son terrain cette fois face à Vitoria Guimaraes (1-1). Les Portugais avaient ouvert la marque par Maazou à la 39e. Les Rhodaniens ont égalisé par Gonalons à la 53e minute. 
De son côté, Bordeaux a subi sa deuxième défaite consécutive. Sur leur terrain, les Bordelais, qui avaient pourtant ouvert le score par Jussiê, ont été battus par les Israéliens du Maccabi Tel Aviv (1-2).

Gillot : «Un manque de solidité»
Après la défaite de Bordeaux sur sa pelouse face au Maccabi Tel Aviv en Ligue Europa (1-2), Francis Gillot, l'entraîneur des Girondins, admettait les lacunes actuelles de son équipe.

Francis Gillot regrette le scénario du match. (L'Equipe)











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Francis Gillot (entraîneur de Bordeaux): «On a plutôt fait une bonne entame, on a eu la chance de marquer en 2e mi-temps, on n'a pas beaucoup d'occasions et derrière on prend deux buts logiquement. On a manqué de maturité et d'expérience sur les deux coups. Après on essaye de revenir mais il est trop tard. Il y a eu un peu trop de ballons perdus, un manque de solidité défensive surtout quand on mène au score, ce qui nous est arrivé à Lorient. Les duels en un contre un, on ne les gagne pas et au haut-niveau ça ne pardonne pas. J'ai trouvé le Maccabi bien, beaucoup de maturité, d'expérience, de technique, ils étaient menés au score alors qu'ils ne le méritaient pas, ils ont fait une meilleure 1re mi-temps. Ils ne s'affolent pas, ils gardent bien le ballon, ils ont des bons joueurs, offensivement ils ont pas mal de mouvement, ils méritent leur victoire ce soir.»

Paulo Sousa (entraîneur du Maccabi Tel Aviv): «Je suis très content, heureux pour mes joueurs qui ont exprimé beaucoup de courage et d'ambitions dans le jeu, ils se sont créés de bonnes opportunités. Ce n'était pas facile de revenir du 0-1 en début de 2e mi-temps, mais ils ont réussi avec de l'envie et un jeu positif. Quand j'ai pris l'équipe, mon souhait était de développer et d'enrichir le jeu et quand il y a une entente et une compréhension tactique des joueurs par rapport au système de jeu, on arrive à des succès. La dynamique des résultats est importante mais ce sont la qualité du jeu, l'unité et la solidarité de l'équipe qui ont fait la différence. On a dominé l'ensemble de la rencontre et il y avait davantage d'occasions pour nous pour marquer des buts. La victoire est méritée.»
Avec AFP

Lyon au ralenti
Deux semaines après un nul à Séville face au Betis (0-0), Lyon a été accroché par le Vitoria Guimaraes jeudi à Gerland (1-1). En égalisant, Gonalons a évité le pire pour les Rhodaniens.

Gonalons a inscrit le seul but lyonnais de la soirée. (Reuters)











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La première victoire de Lyon en Ligue Europa cette saison attendra. Après avoir ramené un point de son déplacement sur la pelouse du Betis Séville (0-0), l’OL n’a pu faire mieux qu’un match nul face au Vitoria Guimaraes ce jeudi pour sa deuxième sortie de la saison dans la compétition (1-1).  Même si le onze de départ aligné par Rémi Garde était remanié, ce résultat ne vas pas le rassurer, surtout s’il se fie à la première période indigente de ses joueurs, avec un seul tir dans les 45 premières minutes.

Fofana a tout manqué
Les Rhodaniens ont affiché un autre visage au retour des vestiaires, et cela s'est rapidement concrétisé avec l’égalisation de Maxime Gonalons. Le capitaine de l’OL a parfaitement coupé au premier poteau un coup-franc de Mvuemba (1-1, 54e) et remis ses coéquipiers dans le sens de la marche. L’entrée de Grenier à l’heure de jeu a un peu dynamisé l’attaque lyonnaise, mais les Portugais ont pu tenir le score, bien aidés par la maladresse de Fofana. Seul au deuxième poteau sur un coup-franc de son meneur de jeu, le défenseur a réussi à ne pas cadrer son coup de tête (63e).

Un penalty accordé... puis retiré aux Lyonnais Aligné dans l’axe de la défense, Fofana s’est ''illustré'' un peu plus tôt dans la partie, en se trouant sur un simple dégagement au pied de Douglas, le gardien des visiteurs. Moussa Maazou, passé par Bordeaux et Monaco, en a profité pour tromper Lopes (0-1, 39e) et transformer en but la seule occasion nette des visiteurs dans ce match, également consécutive à la blessure d’Umtiti (35e). La domination des Lyonnais dans la dernière demi-heure ne leur a pas permis d’inverser totalement la tendance. Douglas s’est interposé devant Gomis (83e) et Grenier (90e+4).  Entretemps, l’arbitre de la rencontre a accordé un penalty à l’OL, mais il a changé d’avis après avoir consulté ses assistants (88e). Un scénario rageant qui laisse le septuple champion de France avec deux points dans le groupe I, à deux unités de Guimaraes. Dans l’autre rencontre de la soirée, le Betis Séville a également été accroché (1-1) par Rijeka, le futur adversaire des Rhodaniens. Une occasion en or pour enfin décrocher un premier succès sur la scène continentale.

FOOTBALL
Ligue deschampions féminine:çarepart
Lyon, finaliste de la dernière édition, et l’ambitieux Paris SG au
recrutement galactique, entrent en lice et se déplacent en Ligue
des champions féminine au stade des seizièmes de finale,
aujourd’hui. Si l’OL, champion de France lors des 7 dernières saisons,
a été épargné avec les Néerlandaises de Twente, le PSG des
Qataris ahérité du pire tirage avec les Suédoises de Tyresö, emmenées
par la Brésilienne Marta, sacrée cinq fois meilleure joueuse
du monde. Les matches retour se dérouleront les 16 et 17 octobre.

Nike casse sa tirelire pour le PSG


Nike devrait rester l'équipementier du PSG. (Nike Inc.)

Par Sylvain Labbe
Publié le 9 octobre 2013 à 13h05
Mis à jour le 9 octobre 2013 à 13h07

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Le PSG, actuel co-leader de la Ligue 1 avec l’AS Monaco, sait se montrer tout aussi inflexible avec ses partenaires et sponsors. A l’image de son équipementier historique Nike qui, menacé d’être évincé, aurait accepté de revoir à la hausse son engagement auprès du club de la capitale. Pour un véritable jackpot annoncé.
On peut s’appeler Nike et devoir céder face aux exigences d’un Paris Saint-Germain toujours plus souverain, sur le terrain comme en dehors. L’équipementier du club de la capitale depuis maintenant vingt-quatre ans n’aurait eu d’autre choix que de se soumettre aux exigences des dirigeants parisiens, toujours plus gourmands à mesure que leur équipe s’installe dans le gotha du football européen et mondial.
Pour la marque à la virgule, la menace était bien réelle de voir à terme le PSG rejoindre l’un de ses concurrents que les décideurs qataris n’auraient pas manqué de démarcher ces derniers mois afin, sinon de trouver un partenaire plus généreux, du moins de mettre la pression sur la firme américaine. Et selon Le Parisien, c’est un véritable jackpot que le PSG aurait négocié pour permettre à Nike de continuer à s’afficher sur le torse de Zlatan Ibrahimovic et de ses coéquipiers.

De 6,5 à 30 millions d'euros par an
D’après les informations relayées par le quotidien, les deux parties donneraient la main à un contrat d’une durée comprise entre huit et dix ans, qui rapporterait pas moins de… 20 millions d’euros par saison au club champion de France. Une somme record en France à laquelle s’ajouterait "un minimum garanti sur les royalties des ventes de produits Nike à l’effigie du club", qui pourrait porter les revenus du PSG grâce à ce nouveau contrat à 30 millions d’euros par an !
Jusqu’à présent, ce contrat ne rapportait que 6,5 millions d’euros par an au club présidé par Nasser Al-Khelaïfi. Des revenus multipliés par cinq qui en disent long sur le nouveau pouvoir d’attraction d’un club qui, il y a quelques semaines, s’était déjà permis de renouveler son partenariat avec la compagnie aérienne Fly Emirates dans des proportions identiques. Nike n’a pu échapper à cette logique inflationniste.

Ligue deschampions féminine:
Lyonsans souci,PSGbattu
L’Olympique Lyonnais et le Paris SG jouaient, hier, les seizièmes
de finale aller de la Ligue des champions féminine. Pour les partenaires
de Louisa Necib, cela s’est bien passé avec un succès (4-0)
chez les Néerlandaises de Twente. Necib, Kumagai, Tonazzi et
Schelin ont marqué pour Lyon. En revanche, les Parisiennes se
sont inclinées chez les Suédoises de Tyresö (2-1)Retour prévu mercredi
16 et jeudi 17 octobre

Bordeaux: Triaud ne néglige pas la Ligue Europa

Invité ce dimanche à s'exprimer sur le plateau du Canal Football Club sur Canal +, Jean-Louis Triaud, le président des Girondins de Bordeaux, est revenu sur les propos de son entraîneur Francis Gillot au lendemain du revers concédé à domicile par son équipe devant le Maccabi Tel-Aviv (1-2) en Ligue Europa. Et le dirigeant a plutôt défendu son technicien même s'il a aussi avoué s'intéresser à cette C3. "Après un match on est toujours un peu frustrés, déçus. Je suis d’accord avec Francis sur ses choix. Il y avait 8 titulaires potentiels dans l’équipe. Il pose la question: qui s’intéresse à la Coupe d’Europe ? Je dis simplement : moi. Et je dis que les onze gars sur le terrain - quels qu’ils soient - doivent se ‘désosser’ pour gagner le match", a-t-il d'abord expliqué. "Francis est quelqu’un d’entier. Après le match, il était contrarié, il a balancé ça", a tenté de dédramatiser "JLT" alors que Nicolas de Tavernost, administrateur du club, est accessoirement aussi le Président du directoire de M6, principal diffuseur de cette épreuve européenne

PSG: Lucas prêté au Brésil ?

Titularisé à quatre reprises en Ligue 1 et contre l’Olympiakos en Ligue des champions depuis le début de la saison, Lucas Moura souhaiterait quitter le PSG durant le mercato hivernal. Selon Esportes R7, l’ailier brésilien serait "déprimé" et envisagerait de retourner au Brésil afin de rester en sélection et jouer la Coupe du monde 2014. Les gros clubs du Brasileiro auraient été contactés par l’agent Wagner Ribeiro afin de proposer un prêt de six mois au club de la capitale. Le dribbleur de 21 ans était arrivé en janvier dans le cadre d’un transfert estimé à 40 millions d'euros. L'information est cependant à prendre avec des pincettes, même si la forte concurrence dans son secteur handicape forcément l'ancien joueur de Sao Paulo. A tel point qu'Edinson Cavani joue à droite depuis le début de la saison, renvoyant notamment Jérémy Ménez ou Javier Pastore à leurs chères études. Et derrière, un autre jeune frappe à la porte en la personne de Hervin Ongenda. Capable de fulgurances, Lucas est rarement décisif et marque peu.

Vercoutre: «On a ce qu'on mérite»
Bientôt de retour à la compétition, Rémy Vercoutre a tancé le comportement de ses équipiers de l'OL dans un entretien au Progrès.

Vercoutre est de retour à l'entraînement et il va tout faire pour récupérer sa place de titulaire. (L'Equipe)










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De retour à l'entraînement après sa grave blessure à un genou, Rémy Vercoutre a donné un entretien décapant au Progrès. Actuellement titulaire au poste de gardien de but, l'international portugais Anthony Lopes est prévenu : il va devoir se battre pour garder sa place car son concurrent veut retrouver le poste de n°1. «Quand on est lancé dans le grand bain sans y être trop prévenu en amont, on a cette fraîcheur, ce côté où l’on ne doit pas réfléchir, où l’on se jette en avant pour dire de réussir. (...) Après pour un gardien, c’est la régularité qui compte, ce n’est pas de faire un ou deux matches par ci, par là», prévient Vercoutre.

Observateur de son équipe en délicatesse depuis des semaines, le gardien n'a pas mâché ses mots quant à l'attitude de certains. «Il n’y a plus autant de respect de l’institution Olympique Lyonnais. C’est difficile à accepter. Avant les visiteurs venaient à Gerland pour limiter la casse, maintenant ils viennent pour prendre des points, regrette-t-il. Si on en est là, c’est parce qu’on l’a mérité quelque part. A 100 % de nos possibilités, on ne serait pas là. Donc, on ne se respecte pas nous-mêmes. (...) Il faut un surplus d’unité, surtout dans les spirales négatives, et on ne l’a pas. Aujourd’hui, ce qui me dérange, c’est que l’on est trop à se cacher pour que l’on ne se fasse pas tirer dessus en cas de mauvaise performance. Quand on est mauvais, il faut l’assumer.» En manque de leader, l'OL peut au moins compter sur Vercoutre pour dire les choses...