DISTRICT DE COTE D'AZUR

D / ECMV
Jeudi 10 Octobre 2013
LAURENS PREND LES RÊNES
Partir pour mieux revenir. C'est un peu ce qui s'est produit pour le coach de l'ECM Victorine en ce début de saison. En effet, Nicolas Laurens, en charge des U19 du Cavigal la saison passée, avait quitté La Victorine il y a deux ans, et revenait cette saison avec pour projet d'être entraîneur général. Le départ imprévu cet été de Paulo Barbosa du poste d'entraîneur, pour raisons personnelles, chamboulait quelque peu les plans de Nicolas et le poussait à reprendre sa casquette de coach. Ayant fait la préparation avec l'équipe, il en prenait naturellement les rênes.
A la tête d'un groupe jeune et élargi, bénéficiant de quelques arrivées, l'équipe fanion de l'ECMV entame son championnat sur deux résultats encourageants malgré deux déplacements (4-4 contre l'OSC Cannes et une victoire 0-2 sur le terrain de l'AS Cagnes le Cros)
Au sujet de ce dernier match, Nicolas Laurens a apprécié la première mi-temps qu'il a trouvé plaisante mais sans grande intensité
tandis que la seconde était plus heurtée, avec des locaux désireux de faire leur retard, et seul un contre bien mené transformé en but permettait à ses hommes de valider les 4 points de la victoire

CDF / 5E TOUR
Vendredi 11 Octobre 2013
CARROS EN CAR !
A l'occasion du match du 5ème tour de la Coupe de France opposant Les Milles (13) à Carros, le FCC met un car de 49 places à la disposition des supporters carrossois. Actuellement 30 personnes sont déjà du déplacement.

FCM
Vendredi 11 Octobre 2013
IN EXTREMIS
Franz Muller le coach du FC Mougins peut se satisfaire d'avoir ramené 4 points de son déplacement chez les niçois de Saint Sylvestre. Une victoire acquise au bout du temps additionnel !
Alors que son équipe était menée 1-0 sur un but du niçois Darnau, c'est à la 90ème minute que les mouginois parvenaient à égaliser avant de l'emporter par le biais d'un csc à la 93ème ! 
Pour Franz, un nul aurait été équitable, une victoire de l'adversaire pas scandaleuse non plus, mais il est satisfait d'avoir vu ses protégés chercher à toujours jouer, jusqu'au bout, et le jeu a fini par payer.
nous n'étions pas bien rentrés dans le match et Saint Sylvestre, par son jeu long et physique nous a contraint à nous réorganiser au bout de vingt minutes. Nos adversaires nous ont sécoué dans les duels, nous avons répondu par le jeu. Cette coupure va nous faire du bien car j'ai pas mal d'absents et je compte retrouver plusieurs d'entre eux pour le prochain match.

PHB / ESBF
Vendredi 11 Octobre 2013
TRAVAILLER, STABILISER, PROMOUVOIR
Fin d'après-midi ensoleillée propice à la détente en ce vendredi, où la rencontre que nous avons souhaité avec Rosette Germano s'est déroulée de manière sympathique et respectueuse, non parcequ'il s'agit d'une femme, mais parcequ'il devrait toujours en être ainsi !
Quand ça caquette à l'Assemblée lorsqu'une femme député de la Nation prend la parole, comment s'étonner des injures faites par le passé à la seule femme de notre département entraîneur de football dans les catégories séniors ? Mais Rosette ne souhaite pas polémiquer, pudique et discrète elle désire laisser ça derrière elle et que l'on parle de son nouveau club, l'Entente Sportive des Baous Football !
Après deux victoire en deux rencontres, l'ESBF démarre sereinement ce nouvel exercice en PHB. Avec un groupe comptant huit nouvelles têtes, Rosette Germano ne s'enflamme pas sur cette entame. Loin de là ! nous restons très prudents. Seul le terrain compte et il reste 24 matchs à disputer !
Après une saison où les Baous se sont sauvés de justesse, c'est un discours que l'on peut aisément comprendre.
Quand on évoque d'éventuels objectifs pour son équipe, Rosette se montre déterminée à parler "club" : il est essentiel de ne pas oublier d'où l'on vient ! Nous souhaitons concrètement stabiliser l'équipe, et nos objectifs demeurent dans l'intégration des jeunes du club. Nous avons trois groupes qui fonctionnent ensemble. Rien n'est figé ! Nous évaluons la forme et la performance du moment, et à chaque entraînement nous faisons monter trois U19 méritants. Nous suivons leurs progressions de près. Le groupe est évolutif.
Même ligne directrice en ce qui concerne le côté tactique : je n'ai pas qu'un schéma fixe, là aussi c'est évolutif, tout dépend des joueurs que j'ai à ma disposition, de leur forme du moment. Il vaut mieux avoir plusieurs plans sous le coude pour s'adapter à chaque situation. Les joueurs doivent être polyvalents. Je pose un cadre, à eux de ne pas le dépasser.
Enfin, s'il est un axe avec lequel elle compte mener ses troupes, c'est bien celui de l'état d'esprit : J'attends de mes joueurs qu'ils aient la culture de la gagne, l'esprit de compétition, la rage de vaincre !

/ Foot

L'ES Milloise a laissé passer sa chance

Les Milles / Publié le lundi 14 octobre 2013 à 06H13





Face à une équipe de leur niveau (PHA de la Côte d'Azur), qui n'a pas démontré une supériorité flagrante, les joueurs de Frédéric Dossetto ont manqué, hier, une belle occasion de franchir le 5e tour, qui aurait été un événement historique pour leur club.
Outre cette élimination, qui laisse beaucoup de regrets, les Millois déplore la blessure de leur gardien de but Axel Morcillo, remplacé par Leydet à la 75e minute et leur meilleur attaquant Rémi Lebaigue, expulsé peu avant la fin.
Il a aussi été démontré que la hargne, l'envie de gagner ne sont pas toujours les qualités décisives pour s'imposer, s'il n'y a pas de technique collective, de lucidité, de véritables occasions de but, car hormis une frappe de la tête de Lebaigue sur la transversale azuréenne, les Millois n'ont jamais véritablement créé le danger, malgré une forte domination en fin de rencontre.
Ils ont donc concédé le but à la 58e minute. Inattentifs, ils ont en effet laissé jouer rapidement le coup franc par Soum. Lequel a servi Douet, qui d'une frappe tendue au deuxième poteau, a mis fin au rêve millois.

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Stade Marius-Réquier. Mi-temps : 0-0.
Arbitre : M. Krid, assisté de MM. Buttegeg et Saadi. Délégué : M. Seteban Munoz.
But : Douet (58).
Avertissements - ES Milloise : Dhifellaoui (63).
FC Carros : Douet (60), Baudoin (89).
Expulsion - ES Milloise : Lebaigue (88"').
ES Milloise : Morcillo - Leydet (Dovallefonseca, 75), Dhifellaoui (Berrezin 65),
Sciortino, D'Amore (cap.) - Benadidou, Derbal (Bahar, 80), Ochi, Lebaigue - Lazaar, Jover. Entraîneur : Frédéric Dossetto
FC Carros : Baudoin - Nescp, Fischella, Jacques, Vescovi - Soum, Amarouch (Isfouli, 46), Bisseck, Tchala - Arnaud (cap., Tine 75), Douet (Tari, 80).
Entraîneur : Cyril Aloisio.


Louis Costantino

CDF / 5E TOUR
Dimanche 13 Octobre 2013
CARROS DANS LE 1000 !
" Adieu Les Milles je t'aimais bien, c'est dur de mourir en automne tu sais ... " 
Les esprits moqueurs auraient pu parodier ainsi la chanson de Jacques Brel " Le Moribond "
Mais ceux qui rient, ceux qui dansent, ceux qui s'amusent comme des fous ce soir, ce sont bien les carrossois. Ils l'ont mis dans le mille ! Ce but marqué par Anthony Douet à la 65ème minute de ce match de Coupe de France, ce but qui les propulse au 6ème Tour par une victoire acquise de haute lutte dans un match très engagé. Les hommes de Cyril Aloisio ont su faire le dos rond pour décrocher une très belle qualification dans les Bouches du Rhône.

NESCI SALUE LES LÊVE-TÔT CARROSSOIS


Si le FC Carros s'est imposé aux Milles, hier, pour le 5ème tour de Coupe de France (0-1), c'est en partie grâce aux nombreux soutiens qui ont fait le déplacement. « On avait l'impression d'être chez nous, c'était une grosse ambiance », confie Tim Nesci, l'un des héros du jour. D'ailleurs, le robuste joueur en profite pour les remercier : « supporters, copines et toutes les autres personnes qui se sont déplacées. Surtout celles qui se sont levées à 7h pour tout préparer le matin, le repas... C'est aussi grâce et pour eux cette qualification ».

coupe cote d azur
CCA

Lundi 14 Octobre 2013

RÉSULTATS DU 1ER TOUR


Contes - Euro African 6-3

Levens - Le Suquet 2-3

Plan-de-Grasse - ECM Victorine 3-0

Macoa - ESRVN 1-2

St André - Tourrettes/Loup 4-2

Villefranche - USONAC 2-1

SPCOC - ASPTT Nice 4-2

/ 5e tour
Mardi 15 Octobre 2013
ALOISIO : "L'ESPRIT DE LA COUPE DEMEURE"
Deux jours après la très belle qualification du FC Carros pour le 6ème tour de la Coupe de France, c'est un coach qui ne boude pas son plaisir qui a répondu à nos questions.
Cyril, comment vous sentez-vous après cette victoire aux Milles ?
Très bien. Après un déplacement comme celui-là, ça fait plaisir ! C'est toujours un petit exploit. Les joueurs ont fait ce qu'il fallait, même si en première période nous avons été fébriles et que nous avons joué un peu contre nature en abusant de longs ballons. 
Quels enseignements tirez-vous de ce match ?
 
"J'ai une équipe qui aime jouer au ballon"
Ce que je retiens c'est que nous avons bien géré l'aspect "physique" en répondant bien aux impacts de nos adversaires. C'est intéressant pour la suite car j'ai une équipe qui aime jouer au ballon, mais qui a prouver aussi qu'elle savait s'adapter au combat physique qui lui a été opposé.
Carros a répondu présent
La faute à l'adversaire ?
"On a été costauds"
Oui, nous avons su offrir une belle opposition face à une équipe bien en place, possédant deux excellents attaquants. Il a fallu rester concentré sur leur jeu long à destination de ces deux joueurs. Il a fallu résister. On a été costauds. 
Le but ?
Mes joueurs ont été malins. Nous marquons sur une inattention de
notre adversaire, suite à un coup-franc à 30 mètres que nous avons rapidement joué.
L'un de vos joueurs parlait d'une belle ambiance dans votre groupe.
C'est vrai, c'est un groupe sain, une équipe qui sait agir et réagir.
Une nouvelle histoire d'amour
Entre le FC Carros et la Coupe de France ça commence à sonner comme une évidence...
(Amusé) Oui, apparemment il y a un cycle de 7-8 ans entre les bonnes performances du club et la Coupe. On aimerait évidemment faire au moins aussi bien que lors de la dernière belle aventure où le FC Carros est allé au 8ème tour (NDLR battu 4 à 3 aux tab après un 0-0 héroïque face à l'AS Cannes alors en National soit 5 divisions de plus). L'esprit Coupe de France demeure !
Vous deviez être ravis de la présence de vos supporters ?
" C'était très festif "
Tout le club s'est mobilisé. Au prochain tour on aimerait bien sûr recevoir, pour nos supporters, pour le club, pour ceux qui sont venus hier. C'était vraiment sympa et super de les voir, on avait l'impression d'être une grosse équipe ! C'était très festif. 
Le prochain tour ?
Jusque-là nous avons pris tous les matchs avec sérieux. On aimerait jouer à la maison, nous sommes le dernier club amateur du département. Et quite à tomber, autant que ce soit contre un très gros ! Mais pour le moment, on prépare la venue de la réserve de Saint Jean Beaulieu, histoire de se remettre les idées en place pour affronter ce solide adversaire.

Bleues
Mardi 15 Octobre 2013
DEUX AZURÉENNES SÉLECTIONNÉES
Deux azuréennes ont été sélectionnées, Sarah Bouhaddi et Eugénie Le Sommer, originaire de Cannes et de Grasse, par Philippe Bergerro pour les deux rencontres à venir face à la Pologne (amical) et l'Autriche (Qualifications Coupe du Monde), le 25 et 31 octobre

CDF / TV
Mardi 15 Octobre 2013
LA JOIE DES CARROSSOIS !
Quand le vestiaire du FC Carros explose ! La joie après la qualification pour le 6ème tour de Coupe de France.

Expat\'
Mardi 15 Octobre 2013
GRÉGORY BÉRANGER, IBÈRE ORIGINAL (1/2)
L'histoire n'est pas banale. Celle d'un ancien facteur, qui, après avoir écumé les terrains azuréens (OGC Nice, La Trinité, Cagnes-sur-mer, AS Cannes) a tenté l'aventure du côté de l'Espagne, au Racing Ferrol d'abord. De l'autre côté des Pyrénées, Grégory Béranger va connaître six clubs, deux montées en Liga, plus d'une centaine de matches de D2 espagnole, avec, pour point d'orgue une saison à l'Espanyol Barcelone où il partage l'affiche avec les Nêné, Tamudo et autre De La Pena. Avec du recul, Grégory Béranger, aujourd'hui proche de la fin de carrière, a accepté de revenir avec nous sur celle-ci.
Première partie
On t'a quitté il y a 8 ans, quand tu décides de quitter Cannes pour l'Espagne et le Racing Ferrol. Que deviens-tu depuis ?
En presque 9 saisons, j'ai fait un peu le tour du pays
En effet, je signe en 2005 au Racing Ferrol. J'ai joué ensuite à Numancia où on finit au bout de deux ans champion de D2. Derrière, je signe à l'Espanyol, où j'évolue en Liga avant d'être prêté aux Canaris, à Las Palmas. A mon retour à l'Espanyol, je comprends qu'ils ne veulent plus de moi, je finis par résilier mon contrat et signer à Tenerife. Un peu plus tard, je pars à Elche et on termine la deuxième année champion de D2. C'est vrai qu'en presque 9 saisons, j'ai fait un peu le tour du pays!
A quel moment tu prends cette décision de partir en Espagne ?
C'est un vrai concours de circonstances. Je fais une bonne saison du côté de l'AS Cannes, avec René Marsiglia qui m'avait fait venir de Cagnes-sur-mer. On manque de peu la montée, on avait un super groupe. Derrière, je m'attends à signer dans un club de L2 voire  de L1 mais je promets à René que si je n'ai pas de belles offres, je reste à Cannes. Finalement je n'ai aucune offre vraiment supérieure à celle de Cannes et je décide de rester. Sauf que le président Salerno renvoie quelques journées plus tard René Marsiglia alors que j'étais presque resté pour lui. Derrière, la saison est moyenne et le club souhaite me faire prolonger. De là, je reçois un appel d'un ami, Laurent De Palmas, qui joue en D2, au Racing Ferrol. Il me dit que son club cherche un latéral gauche, qu'il a montré des vidéos de moi et qu'ils sont intéressés. Derrière, essai de 10 jours et je signe au club.
"Les entraîneurs se disaient : "mais c'est quoi cet animal ?!"
Pour passer près de 8 ans en Espagne... Tu t'y attendais ?
A l'heure d’aujourd’hui, je ne me vois pas rentrer en France
Non pas du tout ! La première année, c'est super dur. J'arrive avec ma famille, on ne parlait pas la langue, les débuts sont catastrophiques. J'arrive de National, qui est un championnat super physique, pour un jeu beaucoup plus technique. Pour faire court : onze jaunes sur les quatorze premiers matches ! Les entraîneurs se disaient : « Mais c'est quoi cet animal qu'on a recruté ? » (rires) Je n'arrivais pas à m'habituer... Après je me suis acclimaté au championnat espagnol. Tu t'habitues à la vie là bas aussi, puis au bout de quatre à cinq ans, tu vis à l'heure espagnole. A l'heure d’aujourd’hui, je ne me vois pas rentrer en France.
Tu as connu de nombreux clubs, et pourtant, tu as peu joué en Liga, ce n'est pas quelque chose que tu regrettes ?
La seule période que je regrette c'est l'Espanyol. Je signe là bas, tout se passe super bien, je suis titulaire en Liga, les sept premiers mois sont tops. Après, Pochettino arrive et pour moi c'est un désastre. Je ne joue plus aucun match et il me fait comprendre que je n'ai plus ma place. L'été qui suit ma première saison, je fais une erreur. J'avais 27-28 ans, je voulais absolument jouer et je suis parti à Las Palmas en prêt chercher du temps de jeu. J'aurais dû gérer d'une manière différente... Malaga, en Liga, me voulait. En Espagne généralement les joueurs de D1 restent en D1, les joueurs de D2 restent en D2... J'ai fait beaucoup d'efforts pour jouer en première division, et j'aurais dû jamais remettre le pied en D2, surtout aussi rapidement après seulement un an au plus haut niveau…
Aujourd'hui, Elche, à qui tu appartiens toujours, évolue en Liga. Malheureusement tu es blessé depuis un an... Où en es-tu ?
Pas au top... Toujours blessé au genou, c'est très difficile. J'enchaîne les spécialistes, je continue la rééducation mais le cartilage est touché et c'est très fragile. Dès que je fais des petits efforts, j'ai des oedèmes, ça me fait mal. J'hésite à me faire ré-opérer, car, comme me disent les spécialistes, en touchant ça risque d'empirer... A vrai dire, personne ne m'assure que je puisse un jour rejouer au foot à un haut niveau.
L'avenir, du coup, comment le vois-tu ?
Je cherche à avoir des diplômes pour entraîner, j'adore aider les jeunes. Le club d'Elche est super présent avec moi, ils me soutiennent vraiment, ils montrent une réel volonté à m'aider à me ré-intégrer au sein du club que ce soit dans le travail avec les jeunes, ou dans un autre domaine. Ils m’appuient vraiment.
Deuxième partie : "Nice, c'est ma frustration professionnelle"

U15 PRE HONNEUR
Mardi 15 Octobre 2013
REFONTE DES CALENDRIERS
Le district de la Côte d'Azur communique sur la refonte des champinnats U15 Pré-Honneur.
Retrouvez ici http://cotedazur.fff.fr/cg/6202//www/2073590.shtmltoutes les informations à ce sujet.

PHA / ASV-ASM
Mardi 15 Octobre 2013
UNE PAIRE D'A.S.
C'est sans doute une belle partie de poker qui aura lieu dimanche 20 octobre à 15h à Vence, stade Charles de Gaulle, entre l'A.S. Vence et l'A.S. Monaco, respectivement 3ème et 4ème au classement. Egalité après deux journées, une victoire, un nul.
Deux formations ayant raté d'un rien la montée la saison passée. On devrait donc assister, sur le tapis vert des Bleus et Jaunes à quelques coups fumants, entre bluff et stratégie pour ne pas risquer le bad beat !

PHA / USP-SCMS
Mardi 15 Octobre 2013
PROMUS ET FAVORIS
Attention sommet! Dimanche à 15h, le stade Gaston Marchive de Pégomas accueille le derby le plus attendu de l'ouest azuréen entre les Eléphants de Laurent Leroy et le SC Mouans-Sartoux coaché par Miloud Rahmouni.
En effet, bien que promues, les deux formations font figure de grandissimes favoris pour l'accession en DHR. Si leur début de parcours diffère en termes de résultats (une victoire et un nul pour Pégomas contre deux victoires pour le SCMS), les attaques n'ont pas chômé avec 8 réalisations chacune.
Des individualités, des collectifs rôdés, des ambitions partagées, les bords de la Mourachonne s'apprêtent à vibrer.

PHA / USP-SCMS
Mardi 15 Octobre 2013
CE N'EST PAS AU VIEUX SINGE...
Allez-y ! Essayez ! 
Essayez donc de faire parler Rachid Bourhan, de lui faire dire que dimanche, à Pégomas, il y a un risque de le voir ENCORE briller de toute sa classe... Allez, courage !
Comme on dit, ce n'est pas au vieux singe ... heu, non Rachid, OK, mauvais exemple (par les temps qui courent, autant rester prudents !).
D'autant que Bourhan n'est ni vieux, ni singe ! Mais des deux il a pris tout ce qu'il y a à prendre. Agilité, maîtrise, ruse, espièglerie ! (un peu d'astuce, d'espièglerie, c'est la vie de... Rachid !)
Alors certes, on n'est pas au pays de Candy où l'on s'amuse on pleure on rit, mais bel et bien au pays du football, de ce monde amateur qui n'en finit pas de nous offrir des oppositions qui régalent, qui font que le foot nous passionne, nous chavire et nous offre des personnages qui méritent le détour. 
Rachid, un mot sur le match de dimanche à Pégomas ?
non ! Enfin rien de spécial, on n'a pas joué beaucoup d'équipes, donc difficile de se situer ...
Ben voyons !
Que diriez-vous de votre début de saison ?
ça se passe bien, on fait du mieux qu'on peut, on joue comme ça vient !
On vous annonce favoris pour ce championnat ...
ok, c'est plaisant mais bon...

Expat\'
Mercredi 16 Octobre 2013
GRÉGORY BÉRANGER, IBÈRE ORIGINAL (2/2)
Deuxième partie : "Nice, c'est ma frustration professionnelle"
L'histoire n'est pas banale. Celle d'un ancien facteur, qui, après avoir écumé les terrains azuréens (OGC Nice, La Trinité, Cagnes-sur-mer, AS Cannes) a tenté l'aventure du côté de l'Espagne, au Racing Ferrol d'abord. De l'autre côté des Pyrénées, Grégory Béranger va connaître six clubs, deux montées en Liga, plus d'une centaine de matches de D2 espagnole, avec, pour point d'orgue une saison à l'Espanyol Barcelone où il partage l'affiche avec les Nêné, Tamudo et autre De La Pena. Avec du recul, Grégory Béranger, aujourd'hui proche de la fin de carrière, a accepté de revenir avec nous sur celle-ci.
Revenons sur ta carrière azuréenne. Tu es formé à Nice mais pas conservé.
Je suis resté de 15 à 19 ans et demi à Nice. Je jouais en CFA, malheureusement, durant cette période, les pros descendaient tous les week-end, empêchant un peu aux jeunes de progresser. Je finis ma dernière saison avec cinq ou six matches complets de CFA... Forcément les dirigeants ne me conservent pas.
Derrière tu rebondis à Cagnes-sur-mer alors en CFA 2. Comment ça se passe ?
Je remercie encore ce club, c'est grâce à eux que je suis revenu à ce niveau-là
J'avais décidé de mettre le football de côté. La priorité c'était la famille, ma femme était enceinte et je voulais trouver un emploi stable, travailler comme tout le monde. De là, on me propose Cagnes-sur-mer en CFA 2 avec la possibilité de travailler à la Poste. Je n'ai pas hésité. Franchement, le CFA 2 c'est un niveau compétitif et nous étions une bonne équipe. C'est vraiment une chance je remercie encore ce club, c'est grâce à eux que je suis revenu à ce niveau-là. Ils m'ont beaucoup aidé, alors que j'étais tout jeune papa. Je reste là-bas trois ans, je joue en CFA 2 en étant facteur. Mais je ne pensais vraiment plus à devenir professionnel.
Malgré tout tu signes à l'AS Cannes, alors en National...
Là encore, c'est un concours de circonstances. A la base, on joue avec Cagnes-sur-mer contre la réserve de Nîmes. Un club pro du Portugal vient observer un de leur joueurs. Ils repartent avec mon nom sur leurs tablettes. Derrière ils me proposent un contrat, je suis proche de signer et puis Marsiglia me propose de venir faire un essai à l'AS Cannes. Dix jours plus tard je signe mon contrat.
ll y a quelques années, après ton départ, tu fais un essai à Nice. Et ça bloque c'est ça ?
Au bout de 10 jours, il m'annonce que Veigneau signe à Nice, ce qui m'oblige donc à repartir
(Il soupire) Nice, c'est ma frustration professionnelle. De nombreux étés, mon nom revenait du côté du Gym. Et j'ai failli signer deux fois. Après ma première année en Espagne, Nice cherche un latéral gauche. Roger Ricort, alors directeur sportif, m'appelle, me pose des questions sur ma situation, mon contrat, si je comptais rester en Espagne, etc... Derrière, il me propose de venir m'entraîner pour la pré-saison. Mais Roger Ricort me prévient que le club est en négociations avec l'AS Monaco pour le prêt d'Olivier Veigneau. Cétait lui la priorité. Pour moi ça se passe plutôt bien mais au bout de 10 jours, il m'annonce que Veigneau signe à Nice, ce qui m'oblige donc à repartir.
"J'espère que Nice va devenir l'un des grands clubs français"
Et la deuxième fois ?
C'est après ma première saison à l'Espanyol. Pochettino me fait comprendre qu'il ne compte pas forcément sur moi. Je décide de prendre contact avec Nice, car Didier Ollé-Nicolle vient de s'engager et il me connaissait un peu pour avoir tenté de me recruter lorsqu'il entraînait Nîmes. Eric Roy vient en Espagne rencontrer mon agent pour négocier un prêt. Mais c'était compliqué car ils sont sur un latéral gauche et il y a déjà Cyril Rool à ce poste. Finalement; Rool part à l'OM. Ils m'annoncent que ça va se faire, que ce n'est qu'une question de jours. J'ai attendu trois, quatre jours mais rien n'est venu. Je n'ai jamais eu de nouvelles. Cet été-là, ils recrutent Paisley et Alain Cantareil en latéral gauche. Alors pourquoi ça ne s'est pas fait, je ne sais pas... Peut être que ça vient de l'agent, du club, aucune idée. Je reste avec ce petit regret de pas avoir connu la L1, mon propre championnat mais je ne vais pas me plaindre.
Tu suis toujours le club ?
Dans l'avenir, j'espère que Nice va devenir l'un des grands clubs français.
Bien sûr ! Avec l'arrivée de Claude Puel qui fait du bon travail, l'équipe qui se bat pour autre chose que le maintien, le nouveau stade, de nombreux abonnés... Dans l'avenir, j'espère que Nice va devenir l'un des grands clubs français.
Tu en gardes quels souvenirs toi ?
De très bon souvenirs ! Tu sais, ce qui est marrant, c'est que depuis tout jeune j'étais en contact avec Monaco, j'avais signé un pré-contrat avec eux, je devais même rejoindre le club à l'âge de 15 ans. Finalement je reste à La Trinité, un autre club qui compte beaucoup pour moi. Pour au final me retrouver au centre de formation de l'OGC Nice. Nice c'est le club où j'ai été formé, tout mes amis sont supporters, mon frère va toujours au stade, c'est quelque chose de spécial ce club pour moi... Et j'aurais toujours cette boule au ventre de ne pas avoir pu jouer pour Nice. 
Et tes autres clubs ? 
Je me retrouve aujourd'hui à finir ma carrière à des kilomètres de chez moi, mais toujours avec Noé
Je les suis aussi, comme tous les autres clubs du département grâce à Actufoot06 notamment. L'AS Cannes, l'AS Cagnes- le Cros, j'essaie de suivre pour voir ce que font les anciens coéquipiers. D'ailleurs en parlant d'anciens coéquipiers, j'ai lu votre Interview de pamarot  c'est drôle, j'étais avec lui pendant ma formation et je me retrouve aujourd'hui à finir ma carrière à des kilomètres de chez moi, mais toujours avec Noé. Il joue à Hercules Alicante (à 20 km de Elche) et on se voit de temps en temps... le monde du football est vraiment tout petit (rires).
Qu'est ce qu'on peut te souhaiter pour la suite ?
Que je puisse récupérer, si possible, mais ça va être difficile. Alors que je puisse trouver du plaisir dans mes futurs projets.

6 EME TOUR COUPE DE FRANCEPOULE N MEDITERRANEE
Dimanche 27 octobre 2013 - 14H30
Carros (PHA) GSConsolat (CFA)

6EME TOUR
Jeudi 17 Octobre 2013
VESCOVI : 'PALPITANT !"
Une première réaction en la personne de Fred Vescovi, le défenseur du FC Carros après l'annonce du tirage du 6ème tour de la Coupe de France qui verra les pensionnaires du CFA, Marseille Consolat, actuel dauphin de l'AS Monaco, venir les défier le 26 octobre à l'Espace Pierre Jaboulet : 
des matchs comme celui-là sont palpitants à jouer et je sais que nous serons motivés

Coachs d\'Or

Mercredi 16 Octobre 2013

ESPOSITO : 'LE SEUL INVESTISSEMENT, C'EST UN CLIC'


Les mots fusent, l'œil pétille. Aussi disert qu'enthousiaste, Claude Esposito respire le football. Le Conseiller Technique Départemental du District est un homme occupé, happé par plusieurs missions d’importance. La diffusion de la politique sportive de la DTN, l’encadrement des éducateurs azuréens, l’équipe de France de futsal… L’ancien gardien de but a son franc-parler, surtout si l’on déroge avec le respect des valeurs fondamentales. Le fair-play est l’une d’elles. Et c’est d’ailleurs à lui que revient la paternité des Coachs d'Or. S’il se réjouit de la pérennité du dispositif comme de ses évolutions récentes, Claude Esposito n’admet pas que certains éducateurs ne se prêtent pas au jeu. Pour des raisons qui lui échappent et qui le mettent en rogne.

Claude, expliquez-nous la relation entre les Coachs d'Or et le District.

Il y a dix ans nous avons décidé avec l'Amicale des Educateurs de Football de mettre en avant le bon travail effectué par les éducateurs au bord du terrain. Désormais, c'est un combat mené par le District, ce qui change la donne car nous avons un contrat d'objectifs et les actions deviennent obligatoires. On entendait trop souvent parler d'incidents ou de choses négatives, c'est pour cela que nous avons décidé de récompenser les entraîneurs les plus fair-play.

Comment cela se passe-t-il d'un point de vue pratique ?

A la fin des rencontres, chaque éducateur est invité à se rendre sur son compte My Coach Foot pour noter l'attitude et le fair-play de son homologue. A la fin de la saison, une cérémonie est organisée et de nombreux lots sont à gagner pour les entraîneurs ayant eu la meilleure attitude dans la durée.

Le grand gagnant avec Hugo Lloris à Tottenham

Quelle est la nature de ces lots ?

Cette année, lors de la cérémonie organisée le 16 décembre prochain, le parrain de l'opération Hugo Lloris sera présent. Les sept coachs récompensés obtiendront des maillots du capitaine de l'équipe de France, des places de match à l’Allianz Riviera et un tirage au sort sera effectué parmi eux. Le grand gagnant aura le privilège de passer un week-end à Londres avec la personne de son choix, et d'assister à une rencontre de Tottenham.

Que faut-il à un entraîneur pour s'inscrire, doit-il payer quelque chose ?

Le District a signé un partenariat avec My Coach Foot et prend à sa charge tous les frais. Nous consentons un gros effort.

Absolument pas, il s'agit d'un dispositif entièrement gratuit, et ce grâce à la générosité du comité directeur du District de la Côte d’Azur. Le compte My Coach Foot est offert aux 150 éducateurs concernés par l’opération pendant toute la saison 2013/2014. Et ils bénéficient de toutes les nouveautés My Coach : les centaines de vidéos d'entraînement sur My Coach TV, la prochaine application mobile, et surtout la V2 du logiciel qui sort ce mois-ci. Par-delà la chance de disposer d’un tel outil, le seul investissement demandé, c'est un clic. Mais nous voulons vraiment que le dispositif fonctionne à plein, pour mieux mettre en lumière les bons comportements. C'est pour cela que je ne comprends pas que certains entraîneurs ne se montrent pas plus réceptifs.

C'est-à-dire ?

Cette année, neuf récompenses devaient être remises initialement. Mais dans certaines catégories, trop d'éducateurs n'ont pas joué le jeu et le classement du fair-play s'en est trouvé faussé. C'est quelque chose que je ne tolère pas. Et cela pénalise la majorité qui joue le jeu. Le moindre des respects est de penser à eux et de ne pas agir égoïstement.

Avez-vous un message à faire passer aux éducateurs azuréens ?

Que certains arrêtent de se plaindre ! On met une opération de valeur en place pour mieux accompagner les éducateurs dans leur fonction et il s’en trouve quelques-uns, trop à mon goût, qui n'arrivent pas à la saisir. Certains campent sur leurs certitudes et oublient les valeurs qui permettent d'être bon. Un éducateur est un chercheur qui tente toujours de se dépasser, qui sait rester humble, honnête et ouvert. On leur offre cette possibilité, on sème pour pouvoir récolter les bons fruits plus tard.

ASV-ASM

Mercredi 16 Octobre 2013

DE SOUSA INCERTAIN


Victime d'une fracture à un orteil, Stéphane de Sousa le vençois ne sait pas encore s'il sera de la partie dimanche pour la réception de l'AS Monaco. Décision ce soir.

ASV-ASM

Jeudi 17 Octobre 2013

DE SOUSA : "ILS SONT FAVORIS"


Stéphane de Sousa revient sur le début de championnat de l'AS Vence :

« nous avons obtenu un bon résultat chez nous contre Grasse qui nous était supérieur (0-0), en revanche, notre victoire à La Trinité (1-4) est le fruit d'un bon match mais on se doit d'être plus réguliers dans une rencntre »

Au sujet du match à venir face à Monaco :

« ils sont favoris ! »

USP-SCMS

Jeudi 17 Octobre 2013

MARIC : "RIEN À LEUR ENVIER"


Avant le choc de dimanche contre Mouans-Sartoux, qui va opposer deux prétendants à la montée, Goran Maric est tout sauf stressé ! C'est avec un aplomb et une confiance non dissimulés qu'il se livre pour vous :

« on se prépare bien pour cette rencontre. La saison passée l'USP les a dominé. Mais c'est vrai, dimanche ce sera un premier tournant dans ce championnat. Il faut gagner, point barre ! »

Et lorsque nous évoquons une éventuelle crainte de l'adversaire, la réponse fuse :

« ils ne sont pas au-dessus, on n'a rien à leur envier ! »

Médias

Jeudi 17 Octobre 2013

CYRIL ALOISIO SUR FRÉQUENCE FOOT


Cyril Aloisio sera l'invité de l'émission Fréquence Foot animée par Ridha Boukercha, ce soir de 20h à 21h.

Le coach du FC Carros reviendra notamment sur son début de saison et la Coupe de France (dont le tirage du 6ème tour aura lieu aujourd'hui à 13h)

USP-SCMS

Jeudi 17 Octobre 2013

GORAN MARIC : " AU TOP ! "


Goran Maric savoure ses débuts sous les couleurs de l'US Pégomas. Arrivé à l'intersaison en provenance du RC Grasse, il parle d'une ambiance « au top ! »

Et satisfait de ses débuts il s'empresse de préciser : « pourvu que ça dure ... »