CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
CONSTAT
Ah, ces petits arrangements de fin de saison...
Marseille Publié le Samedi 12/04/2014 à 05H54
À l'approche du sprint final, certaines rencontres sont jouées d'avance
À partir de maintenant, c'est celui qui aura le meilleur carnet d'adresses qui s'en sortira !" Cette phrase, entendue à l'issue d'une rencontre de football amateur le week-end dernier, illustre parfaitement l'un des principaux fléaux du monde du ballon rond : les matches arrangés. Ou truqués, c'est selon. Mais "arrangés" apparaît comme le terme le plus approprié tant le mode de fonctionnement ressemble à des petits arrangements entre amis. Ainsi, il n'est pas rare, au fur et à mesure que la fin de saison approche, de voir deux clubs se mettre d'accord sur le vainqueur de telle ou telle rencontre dans telle catégorie, et inversement dans un match opposant les deux mêmes clubs, mais dans une catégorie différente.
"On se rend service mutuellement, reconnaît un président de club. C'est vrai que ce n'est pas génial au niveau de la morale ou de l'éthique, mais ça fait partie du jeu... Puis, si on ne le fait pas, les autres le feront et on sera marron (sic)". Comprendre, on sera le dindon de la farce. Celui qui n'accédera pas à l'étage supérieur ou celui qui sera rétrogradé à l'échelon inférieur.
"C'est une honte !"
Alors, quels sont les procédés utilisés ? Et, y a-t-il une manière d'y remédier efficacement ? "C'est très difficile de lutter contre ce mal qui gangrène le football à tous les niveaux, répond Michel Gau, le président du District de Provence. Parfois, les clubs se mettent même d'accord lors des matches aller !"
De quelle façon ? Le mode opératoire diffère selon les catégories. Chez les jeunes, il s'agit le plus souvent d'un "arrangement" entre les présidents, souvent amis de longues dates, qui préviennent ensuite leurs éducateurs - si tant est que l'on puisse les appeler ainsi à partir du moment où ils acceptent ce genre de pratique. À eux ensuite de faire en sorte que le résultat du match soit le "bon".
Et là, tout est permis : un attaquant qui joue gardien de but, certains joueurs de l'équipe "2" ou "3" qui se retrouvent subitement en équipe "1", ou inversement évidemment quand il s'agit de renforcer une équipe inférieure afin, par exemple, de la faire monter. "C'est juste scandaleux, regrette un parent. Demander à des minots de perdre volontairement ou faire en sorte qu'ils perdent en diminuant l'équipe... C'est une honte ! Quel exemple donné aux enfants !"
Que dire alors des pratiques utilisées chez les seniors."Une fois, raconte un joueur, le président de l'équipe adverse est venu nous promettre les primes réservées à ses joueurs si on les laissait gagner... Forcément, on a levé le pied, puisqu'elles étaient plus importantes que nos primes normales."
Sauf que certains joueurs, pas toujours au courant ou tout simplement contre ce système, refusent de "lâcher" une rencontre, ce qui occasionne des scènes plutôt cocasses en plein milieu d'un match, avec des blessés imaginaires, des gardiens héroïques qui se font "pourrir" par toute l'équipe ou encore des défenseurs qui s'arrêtent en pleine course avec des phrases du genre "allez, c'est bon, je ne vais pas courir pour rien..." C'est vrai. Tout comme ça ne sert à rien de "se donner à 100 %", selon la formule consacrée, durant toute la saison, si c'est pour finalement ne pas le faire jusqu'au bout.
Nul doute que l'exercice 2013/2014 n'échappera pas à la règle. Sorte de chronique d'une fin de saison annoncée...
Ah, ces petits arrangements de fin de saison...
Marseille Publié le Samedi 12/04/2014 à 05H54
À l'approche du sprint final, certaines rencontres sont jouées d'avance
À partir de maintenant, c'est celui qui aura le meilleur carnet d'adresses qui s'en sortira !" Cette phrase, entendue à l'issue d'une rencontre de football amateur le week-end dernier, illustre parfaitement l'un des principaux fléaux du monde du ballon rond : les matches arrangés. Ou truqués, c'est selon. Mais "arrangés" apparaît comme le terme le plus approprié tant le mode de fonctionnement ressemble à des petits arrangements entre amis. Ainsi, il n'est pas rare, au fur et à mesure que la fin de saison approche, de voir deux clubs se mettre d'accord sur le vainqueur de telle ou telle rencontre dans telle catégorie, et inversement dans un match opposant les deux mêmes clubs, mais dans une catégorie différente.
"On se rend service mutuellement, reconnaît un président de club. C'est vrai que ce n'est pas génial au niveau de la morale ou de l'éthique, mais ça fait partie du jeu... Puis, si on ne le fait pas, les autres le feront et on sera marron (sic)". Comprendre, on sera le dindon de la farce. Celui qui n'accédera pas à l'étage supérieur ou celui qui sera rétrogradé à l'échelon inférieur.
"C'est une honte !"
Alors, quels sont les procédés utilisés ? Et, y a-t-il une manière d'y remédier efficacement ? "C'est très difficile de lutter contre ce mal qui gangrène le football à tous les niveaux, répond Michel Gau, le président du District de Provence. Parfois, les clubs se mettent même d'accord lors des matches aller !"
De quelle façon ? Le mode opératoire diffère selon les catégories. Chez les jeunes, il s'agit le plus souvent d'un "arrangement" entre les présidents, souvent amis de longues dates, qui préviennent ensuite leurs éducateurs - si tant est que l'on puisse les appeler ainsi à partir du moment où ils acceptent ce genre de pratique. À eux ensuite de faire en sorte que le résultat du match soit le "bon".
Et là, tout est permis : un attaquant qui joue gardien de but, certains joueurs de l'équipe "2" ou "3" qui se retrouvent subitement en équipe "1", ou inversement évidemment quand il s'agit de renforcer une équipe inférieure afin, par exemple, de la faire monter. "C'est juste scandaleux, regrette un parent. Demander à des minots de perdre volontairement ou faire en sorte qu'ils perdent en diminuant l'équipe... C'est une honte ! Quel exemple donné aux enfants !"
Que dire alors des pratiques utilisées chez les seniors."Une fois, raconte un joueur, le président de l'équipe adverse est venu nous promettre les primes réservées à ses joueurs si on les laissait gagner... Forcément, on a levé le pied, puisqu'elles étaient plus importantes que nos primes normales."
Sauf que certains joueurs, pas toujours au courant ou tout simplement contre ce système, refusent de "lâcher" une rencontre, ce qui occasionne des scènes plutôt cocasses en plein milieu d'un match, avec des blessés imaginaires, des gardiens héroïques qui se font "pourrir" par toute l'équipe ou encore des défenseurs qui s'arrêtent en pleine course avec des phrases du genre "allez, c'est bon, je ne vais pas courir pour rien..." C'est vrai. Tout comme ça ne sert à rien de "se donner à 100 %", selon la formule consacrée, durant toute la saison, si c'est pour finalement ne pas le faire jusqu'au bout.
Nul doute que l'exercice 2013/2014 n'échappera pas à la règle. Sorte de chronique d'une fin de saison annoncée...
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Enfants de la Creuse» : ces Réunionnais marqués à vie par l'exil
14/04/2014 à 08:31
«Enfants de la Creuse» : ces Réunionnais marqués à vie par l'exil
Entre 1963 et 1982, 1 600 enfants réunionnais de la DDASS ont été déplacés vers la métropole dont 200 dans le Tarn pour réduire la pression démographique dans l'île. Mais le déracinement a laissé de lourdes séquelles. Témoignages d'anciens pensionnaires tarnais.
50 ans après l'exil, Annick se souvient encore des «grands murs» de l'orphelinat Saint-Jean d'Albi. Placée dans un foyer réunionnais après une enfance maltraitée, elle fait partie d'un des premiers convois d'enfants de la DDASS déplacés vers le Tarn en 1964. Elle a alors 14 ans. Pour elle, partir vers la métropole était «une chance» : «Je venais de la partie la plus sauvage de l'île. Alors, quand on nous a demandé qui voulait venir en France tout le monde a dit oui», se rappelle-t-elle. Mais en évoquant cette période où elle avait l'impression que «tout était noir», Annick ne peut contenir son émotion. Car ce déracinement précipité a entraîné de nombreuses tragédies. Elle a fait partie des 1 600 enfants réunionnais exilés en métropole entre 1963 et 1982. Le député de la Réunion de l'époque, Michel Debré, voulait lutter contre la croissance démographique galopante sur l'île en envoyant des pensionnaires de la DDASS vers une soixantaine de départements en proie à l'exode rural. On les appellera plus tard «les Enfants de la Creuse» mais c'est bien dans le Tarn, qu'ils ont été les plus nombreux avec 200 enfants déplacés. Les Réunionnais arrivent d'abord à l'orphelinat Saint-Jean avant d'être dispatchés à l'école communale de Blan, l'école Myriam de Carmaux, la maison d'accueil Emile-de -Villeneuve de Castres, le foyer de Massals et l'institut du Sacré-Cœur de Valence d'Albi ou encore chez des artisans et des agriculteurs.
Déracinement, esclavage moderne, tentatives de suicides
L'exil a laissé de lourdes séquelles comme en témoigne Ivan Jablonka. Historien à l'université Paris XIII, il a eu accès aux dossiers des enfants via les archives départementales du Tarn pour son livre (voir encadré) : «La migration a entraîné des tragédies humaines. Si 20 % des enfants l'ont plutôt bien vécu, à l'extrême pour 20 % des pupilles ça a été la catastrophe totale avec de l'esclavage moderne, de la maltraitance et ensuite des dépressions, des séjours à l'hôpital psychiatrique, des suicides et une clochardisation dès l'âge de 18 ans. Pour la majorité restante, on peut parler d'enfance dure sans famille et confrontée au racisme».
Une main-d'œuvre facile pour les artisans
Annick qui a connu le foyer puis l'école communale de Blan confirme : «Les sœurs étaient très gentilles, on a été très bien accueillis. Mais on ne sortait jamais du foyer sauf le dimanche pendant deux heures de promenade. C'est comme si on nous avait mis en prison alors qu'on n'avait rien fait ! Aujourd'hui encore, je ne peux pas faire les magasins car je ne supporte pas d'être enfermée plus de 5 minutes. Certaines essayaient de fuguer, on leur apportait de la nourriture en cachette. Il y a même eu des personnes qui se sont suicidées». Le mal-être se transforme souvent en agressivité. Un jour, une fille en classe gifle la prof de maths, le groupe d'Annick doit quitter l'école où «on ne veut pas de sauvages comme elles». L'adolescente va ensuite intégrer pendant quelques semaines un atelier de maroquinerie au sud d'Albi. Pour celle qui a connu sept orphelinats c'est une sorte de «paradis», même si elle reconnaît «on était de la main-d'œuvre facile». Claudine a elle aussi connu les mêmes établissements. Arrivée dans le Tarn à l'âge de 14 ans en 1965, cette orpheline reste surtout marquée par l'exil brutal : «Au départ, je ne voulais pas partir mais ma sœur a pris un avion donc je l'ai suivie. Le déracinement m'a perturbée, ça crée un manque, un vide et on se demande d'où on vient». L'historien Ivan Jablonka évoque lui aussi «la déculturation». Du jour au lendemain, ces Réunionnais ont été coupés de leur monde, il leur a fallu aussi abandonner le créole au profit du français.
Le 18 février dernier, l'Assemblée nationale a reconnu la responsabilité morale de l'État, dans cette tragédie. Pour Annick aujourd'hui âgée de 63 ans, «c'est bien mais ça arrive un peu tard».
«Enfants en exil» morceaux choisis des archives départementales
Dans son ouvrage, «Enfants en exil» (éditions du Seuil), Ivan Jablonka retrace certaines tragédies à partir des archives départementales du Tarn. Morceaux choisis.
Exploité à la boulangerie. En mars 1971, un pupille est envoyé par l'orphelinat saint-jean d'Albi en apprentissage chez un boulanger, un an plus tard, il écrit aux religieux : «Depuis ces jours derniers, je travaille comme un Noir. Et d'ailleurs le patron je trouve qu'il abuse un peu trop car depuis plusieurs mois déjà je me lève à 11 heures et demie du soir pour finir à onze heures du matin… Normalement moi je devais me lever à cinq heures du matin mais je crois que le contrat a failli».
Tentatives de suicide. «La tentative de suicide est la matérialisation de cette souffrance… Envoyée dans le Tarn en 1966, une pupille suit sans succès plusieurs formations à la suite desquelles elle est placée comme bonne. Après chacune de ses tentatives de suicide, entre 18 et 20 ans, elle est hospitalisée en clinique psychiatrique…
Parfois, c'est toute une fratrie qui va mal. En 1967, deux ans après son arrivée dans le Tarn, un garçon d'une quinzaine d'années tente de s'empoisonner en absorbant du vitriol. Il est à remarquer que ses deux sœurs, Clotilde et Ginette ont eu les mêmes s idées de suicide. Clotilde a été soignée à l'hôpital psychiatrique d'Albi et de Lavaur.»
14/04/2014 à 08:31
«Enfants de la Creuse» : ces Réunionnais marqués à vie par l'exil
Entre 1963 et 1982, 1 600 enfants réunionnais de la DDASS ont été déplacés vers la métropole dont 200 dans le Tarn pour réduire la pression démographique dans l'île. Mais le déracinement a laissé de lourdes séquelles. Témoignages d'anciens pensionnaires tarnais.
50 ans après l'exil, Annick se souvient encore des «grands murs» de l'orphelinat Saint-Jean d'Albi. Placée dans un foyer réunionnais après une enfance maltraitée, elle fait partie d'un des premiers convois d'enfants de la DDASS déplacés vers le Tarn en 1964. Elle a alors 14 ans. Pour elle, partir vers la métropole était «une chance» : «Je venais de la partie la plus sauvage de l'île. Alors, quand on nous a demandé qui voulait venir en France tout le monde a dit oui», se rappelle-t-elle. Mais en évoquant cette période où elle avait l'impression que «tout était noir», Annick ne peut contenir son émotion. Car ce déracinement précipité a entraîné de nombreuses tragédies. Elle a fait partie des 1 600 enfants réunionnais exilés en métropole entre 1963 et 1982. Le député de la Réunion de l'époque, Michel Debré, voulait lutter contre la croissance démographique galopante sur l'île en envoyant des pensionnaires de la DDASS vers une soixantaine de départements en proie à l'exode rural. On les appellera plus tard «les Enfants de la Creuse» mais c'est bien dans le Tarn, qu'ils ont été les plus nombreux avec 200 enfants déplacés. Les Réunionnais arrivent d'abord à l'orphelinat Saint-Jean avant d'être dispatchés à l'école communale de Blan, l'école Myriam de Carmaux, la maison d'accueil Emile-de -Villeneuve de Castres, le foyer de Massals et l'institut du Sacré-Cœur de Valence d'Albi ou encore chez des artisans et des agriculteurs.
Déracinement, esclavage moderne, tentatives de suicides
L'exil a laissé de lourdes séquelles comme en témoigne Ivan Jablonka. Historien à l'université Paris XIII, il a eu accès aux dossiers des enfants via les archives départementales du Tarn pour son livre (voir encadré) : «La migration a entraîné des tragédies humaines. Si 20 % des enfants l'ont plutôt bien vécu, à l'extrême pour 20 % des pupilles ça a été la catastrophe totale avec de l'esclavage moderne, de la maltraitance et ensuite des dépressions, des séjours à l'hôpital psychiatrique, des suicides et une clochardisation dès l'âge de 18 ans. Pour la majorité restante, on peut parler d'enfance dure sans famille et confrontée au racisme».
Une main-d'œuvre facile pour les artisans
Annick qui a connu le foyer puis l'école communale de Blan confirme : «Les sœurs étaient très gentilles, on a été très bien accueillis. Mais on ne sortait jamais du foyer sauf le dimanche pendant deux heures de promenade. C'est comme si on nous avait mis en prison alors qu'on n'avait rien fait ! Aujourd'hui encore, je ne peux pas faire les magasins car je ne supporte pas d'être enfermée plus de 5 minutes. Certaines essayaient de fuguer, on leur apportait de la nourriture en cachette. Il y a même eu des personnes qui se sont suicidées». Le mal-être se transforme souvent en agressivité. Un jour, une fille en classe gifle la prof de maths, le groupe d'Annick doit quitter l'école où «on ne veut pas de sauvages comme elles». L'adolescente va ensuite intégrer pendant quelques semaines un atelier de maroquinerie au sud d'Albi. Pour celle qui a connu sept orphelinats c'est une sorte de «paradis», même si elle reconnaît «on était de la main-d'œuvre facile». Claudine a elle aussi connu les mêmes établissements. Arrivée dans le Tarn à l'âge de 14 ans en 1965, cette orpheline reste surtout marquée par l'exil brutal : «Au départ, je ne voulais pas partir mais ma sœur a pris un avion donc je l'ai suivie. Le déracinement m'a perturbée, ça crée un manque, un vide et on se demande d'où on vient». L'historien Ivan Jablonka évoque lui aussi «la déculturation». Du jour au lendemain, ces Réunionnais ont été coupés de leur monde, il leur a fallu aussi abandonner le créole au profit du français.
Le 18 février dernier, l'Assemblée nationale a reconnu la responsabilité morale de l'État, dans cette tragédie. Pour Annick aujourd'hui âgée de 63 ans, «c'est bien mais ça arrive un peu tard».
«Enfants en exil» morceaux choisis des archives départementales
Dans son ouvrage, «Enfants en exil» (éditions du Seuil), Ivan Jablonka retrace certaines tragédies à partir des archives départementales du Tarn. Morceaux choisis.
Exploité à la boulangerie. En mars 1971, un pupille est envoyé par l'orphelinat saint-jean d'Albi en apprentissage chez un boulanger, un an plus tard, il écrit aux religieux : «Depuis ces jours derniers, je travaille comme un Noir. Et d'ailleurs le patron je trouve qu'il abuse un peu trop car depuis plusieurs mois déjà je me lève à 11 heures et demie du soir pour finir à onze heures du matin… Normalement moi je devais me lever à cinq heures du matin mais je crois que le contrat a failli».
Tentatives de suicide. «La tentative de suicide est la matérialisation de cette souffrance… Envoyée dans le Tarn en 1966, une pupille suit sans succès plusieurs formations à la suite desquelles elle est placée comme bonne. Après chacune de ses tentatives de suicide, entre 18 et 20 ans, elle est hospitalisée en clinique psychiatrique…
Parfois, c'est toute une fratrie qui va mal. En 1967, deux ans après son arrivée dans le Tarn, un garçon d'une quinzaine d'années tente de s'empoisonner en absorbant du vitriol. Il est à remarquer que ses deux sœurs, Clotilde et Ginette ont eu les mêmes s idées de suicide. Clotilde a été soignée à l'hôpital psychiatrique d'Albi et de Lavaur.»
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Le foot amateur chasse ses démons
14/04/2014 à 07:57
dopage
Le Dr Yves Abitteboul a recueilli les témoignages éloquents du monde amateur./Photo DDM, N.P.
Réunir des dirigeants de clubs de football lotois sur une thématique liée au dopage a été une première, samedi, à la chambre départementale des métiers. Des ateliers reprenant notamment des pistes médicales ont permis de soulever le voile extra-sportif du monde amateur.
Du plus petit club de football (le FC de Payrac Loupiac, le FC Gréalou) au plus étoffé (le PSVD'Olt et le Cahors FC), le monde amateur lotois s'était donné rendez-vous samedi à la chambre départementale des métiers pour un colloque sur le dopage. Sur les soixante-dix structures que compte le Lot, une cinquantaine de présidents et adjoints ont livré leurs tranches de vie, leurs inquiétudes et leur impuissance, parfois, face aux conduites dites à risque choisies par les jeunes joueurs. À savoir l'alcool et le cannabis, omniprésents lors des différents tours de table1. «À la mi-temps, lorsque le jeu est accroché, le joueur fume du cannabis», témoigne un président de club. Son homologue constate que «c'est une façon de se détendre en cas de lutte pour le maintien.» Des propos confirmés par le Dr Yves Abitteboul, président de la commission médicale du district du Lot : «Le cannabis est consommé avant, pendant et après les matches2.». Concernant l'alcoolisation, un des dirigeants relate : «Elle crée une répétition des blessures. Ce sont des cas avérés. Et puis, quand on les (NDLR les jeunes) voit arriver le dimanche midi et qu'ils se mettent à parler de leurs exploits…» Même tonalité chez un autre acteur : «C'est la société qui a changé aussi. Même si l'on faisait la fête le samedi, on était là sur le terrain le dimanche. On a l'impression que la licence n'existe que pour s'amuser.» Des pratiques qui font que le club lui-même doit s'adapter. «C'est aux coachs parfois d'aller les chercher», souligne un responsable. Un autre, dans la droite ligne. «On fait tout pour jouer le samedi soir.» Et Gilles Verdier, président du district du Lot, d'insister sur le volet juridique : «Nul n'est censé ignorer la loi.»
Au football amateur de trouver la bonne recette, entre prévention et répression, pour ne retenir que le beau jeu.
1. Trois ateliers, juridique, médical et de la fédération française de football ont rythmé la matinée
2. Le tabac suit cette tendance, tandis que l'alcool est bu avant ou après la rencontre sportive, et la boisson énergisante ingérée avant l'effort.
Vers un contrôle «à moindre coût» ?
Gilles Verdier l'assure : «Le dopage n'est pas une problématique dans le foot lotois. Ce sont plus les conduites à risque.» Cet observateur averti constate que «la pratique sportive est un alibi (NDLR pour ces dérives), ce qui est assez paradoxal.»
Quelles solutions apporter ? Gilles Verdier réfléchit à un contrôle antidopage «à moindre coût» (rares sont les tests en dessous de la division honneur). «Et puis on peut demander aux joueurs pros du TFC de venir apporter un autre témoignage.»
14/04/2014 à 07:57
dopage
Le Dr Yves Abitteboul a recueilli les témoignages éloquents du monde amateur./Photo DDM, N.P.
Réunir des dirigeants de clubs de football lotois sur une thématique liée au dopage a été une première, samedi, à la chambre départementale des métiers. Des ateliers reprenant notamment des pistes médicales ont permis de soulever le voile extra-sportif du monde amateur.
Du plus petit club de football (le FC de Payrac Loupiac, le FC Gréalou) au plus étoffé (le PSVD'Olt et le Cahors FC), le monde amateur lotois s'était donné rendez-vous samedi à la chambre départementale des métiers pour un colloque sur le dopage. Sur les soixante-dix structures que compte le Lot, une cinquantaine de présidents et adjoints ont livré leurs tranches de vie, leurs inquiétudes et leur impuissance, parfois, face aux conduites dites à risque choisies par les jeunes joueurs. À savoir l'alcool et le cannabis, omniprésents lors des différents tours de table1. «À la mi-temps, lorsque le jeu est accroché, le joueur fume du cannabis», témoigne un président de club. Son homologue constate que «c'est une façon de se détendre en cas de lutte pour le maintien.» Des propos confirmés par le Dr Yves Abitteboul, président de la commission médicale du district du Lot : «Le cannabis est consommé avant, pendant et après les matches2.». Concernant l'alcoolisation, un des dirigeants relate : «Elle crée une répétition des blessures. Ce sont des cas avérés. Et puis, quand on les (NDLR les jeunes) voit arriver le dimanche midi et qu'ils se mettent à parler de leurs exploits…» Même tonalité chez un autre acteur : «C'est la société qui a changé aussi. Même si l'on faisait la fête le samedi, on était là sur le terrain le dimanche. On a l'impression que la licence n'existe que pour s'amuser.» Des pratiques qui font que le club lui-même doit s'adapter. «C'est aux coachs parfois d'aller les chercher», souligne un responsable. Un autre, dans la droite ligne. «On fait tout pour jouer le samedi soir.» Et Gilles Verdier, président du district du Lot, d'insister sur le volet juridique : «Nul n'est censé ignorer la loi.»
Au football amateur de trouver la bonne recette, entre prévention et répression, pour ne retenir que le beau jeu.
1. Trois ateliers, juridique, médical et de la fédération française de football ont rythmé la matinée
2. Le tabac suit cette tendance, tandis que l'alcool est bu avant ou après la rencontre sportive, et la boisson énergisante ingérée avant l'effort.
Vers un contrôle «à moindre coût» ?
Gilles Verdier l'assure : «Le dopage n'est pas une problématique dans le foot lotois. Ce sont plus les conduites à risque.» Cet observateur averti constate que «la pratique sportive est un alibi (NDLR pour ces dérives), ce qui est assez paradoxal.»
Quelles solutions apporter ? Gilles Verdier réfléchit à un contrôle antidopage «à moindre coût» (rares sont les tests en dessous de la division honneur). «Et puis on peut demander aux joueurs pros du TFC de venir apporter un autre témoignage.»
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LE TÉMOIGNAGE de WilliamSANTOS, responsable du personnel des musées
"Lemanquedeprécisionfacilitait le vol" "J’ai honte de ce que j’ai fait. Je me suis rendu
responsable de détournement d’argent public.
J’ai manquéàmon devoir de fonctionnaire".
William Santos l’admet sans tergiverser.
Il a fauté. Et à plusieurs reprises. Trois jours
sur quatre, il prenait la liberté d’arrondir son
salaire de cadre A (2200 euros), de 500 euros
en billets de 50. Pas besoin de truquer les
comptes, de falsifier les récépissés des caissières,
"le foutoir ambiant" suffisait à masquer
les détournements. "J’ai succombé à la facilité
de voir cet argent sur la table. Et le manque de
précision facilitait le vol", avoue-t-il au nez et
à la barbe d’un tribunal estomaqué par tant
de légèreté prise avec l’argent public. Le problème,
avec William Santos, c’est qu’il avait
été précisément placé à ce poste pour remettre
un peu d’ordre dans les musées… "C’était
l’anarchie, convient-il. Tout le monde faisait
ce qu’il voulait avec les horaires". Alors, ce
fonctionnaire, rentré dans la fonction publique
en 1981, passé de cadre C à cadre A grâce
à de bons états de service, nommé régisseur
suppléant pour l’exposition Van Gogh, va "tenter
de recadrer le personnel". Pas longtemps.
Quelques mois lui suffiront pour baisser les
bras face à l’immensité de la tâche. Des tickets
pas scannés ? Problème de connexion Wi-
Fi à la Vieille Charité ! Le coffre-fort ouvert
aux quatre vents ? La clé avait disparu ! Perte
de l’historique des caisses informatisées ? De
régulières coupures d’électricité… Problème
de planning et obligation d’ouvrir un jour férié
? Le syndicat FO mettait la pression ! Bref,
les musées marseillais prenaient l’eau et
l’argent, des contribuables, sortait par les fenêtres.
"Ces détournements étaient noyés
dans un ensemble, tente-t-il de minimiser. Les
caisses n’étaient jamais justes". "Non mais attendez,
s’impatiente la présidente. On ne va
pas tourner autour du pot ! Vous êtes chef du
personnel. Les caissières, c’est vous qui les
avez choisies. On peut se demander pourquoi
vous avez été nommé régisseur suppléant. En
terme de contrôle, c’est le grand n’importe
quoi ! " William Santos tient bon. Il nie farouchement
avoir mis en place ce système organisé
de fraude généralisée. Il réfute catégoriquement
les menaces dont on l’accuse. "Ce n’est
pas dansmon tempérament d’élever le ton, assure-
t-il. Vous savez, dans les musées, des
complots il y en a tous les jours". Après avoir
tenté d’alerter sa hiérarchie, il a renoncé. Et a
fini par faire "comme les autres". Pour
35000¤, jure-t-il. Pour se payer des vacances
en Amérique du Sud et en Polynésie
"Lemanquedeprécisionfacilitait le vol" "J’ai honte de ce que j’ai fait. Je me suis rendu
responsable de détournement d’argent public.
J’ai manquéàmon devoir de fonctionnaire".
William Santos l’admet sans tergiverser.
Il a fauté. Et à plusieurs reprises. Trois jours
sur quatre, il prenait la liberté d’arrondir son
salaire de cadre A (2200 euros), de 500 euros
en billets de 50. Pas besoin de truquer les
comptes, de falsifier les récépissés des caissières,
"le foutoir ambiant" suffisait à masquer
les détournements. "J’ai succombé à la facilité
de voir cet argent sur la table. Et le manque de
précision facilitait le vol", avoue-t-il au nez et
à la barbe d’un tribunal estomaqué par tant
de légèreté prise avec l’argent public. Le problème,
avec William Santos, c’est qu’il avait
été précisément placé à ce poste pour remettre
un peu d’ordre dans les musées… "C’était
l’anarchie, convient-il. Tout le monde faisait
ce qu’il voulait avec les horaires". Alors, ce
fonctionnaire, rentré dans la fonction publique
en 1981, passé de cadre C à cadre A grâce
à de bons états de service, nommé régisseur
suppléant pour l’exposition Van Gogh, va "tenter
de recadrer le personnel". Pas longtemps.
Quelques mois lui suffiront pour baisser les
bras face à l’immensité de la tâche. Des tickets
pas scannés ? Problème de connexion Wi-
Fi à la Vieille Charité ! Le coffre-fort ouvert
aux quatre vents ? La clé avait disparu ! Perte
de l’historique des caisses informatisées ? De
régulières coupures d’électricité… Problème
de planning et obligation d’ouvrir un jour férié
? Le syndicat FO mettait la pression ! Bref,
les musées marseillais prenaient l’eau et
l’argent, des contribuables, sortait par les fenêtres.
"Ces détournements étaient noyés
dans un ensemble, tente-t-il de minimiser. Les
caisses n’étaient jamais justes". "Non mais attendez,
s’impatiente la présidente. On ne va
pas tourner autour du pot ! Vous êtes chef du
personnel. Les caissières, c’est vous qui les
avez choisies. On peut se demander pourquoi
vous avez été nommé régisseur suppléant. En
terme de contrôle, c’est le grand n’importe
quoi ! " William Santos tient bon. Il nie farouchement
avoir mis en place ce système organisé
de fraude généralisée. Il réfute catégoriquement
les menaces dont on l’accuse. "Ce n’est
pas dansmon tempérament d’élever le ton, assure-
t-il. Vous savez, dans les musées, des
complots il y en a tous les jours". Après avoir
tenté d’alerter sa hiérarchie, il a renoncé. Et a
fini par faire "comme les autres". Pour
35000¤, jure-t-il. Pour se payer des vacances
en Amérique du Sud et en Polynésie
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
http://sport24.lefigaro.fr/football/ligue-1/fil-info/roux-critique-l-argent-du-qatar-video-690273
[/url]
[url]http://sport24.lefigaro.fr/football/ligue-1/fil-info/roux-critique-l-argent-du-qatar-video-690273
Roux critique l'argent du Qatar (vidéo)
17/04 18h40 - Football
Venu présenter ses mémoires « Il n’y pas que le foot dans la vie… » sur RMC, Guy Roux s'est livré sur le rôle du Qatar au sein du football français. Sans langue de bois.
[/url]
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LES 3 QUESTIONS À Chantal-Marie LAURENT
"C’est l’incivisme qui est
la cause initiale C.-M. Laurent est
déléguée régionale
de la Ligue contre la
violence routière Comment réagissez-vous à ces drames
qui touchent les piétons à Marseille
mais également dans le Var (*) ?
Les piétons paient un très lourd tribut et
que tout ça n’a rien à voir avec la fatalité.
Le plus désolant pour les victimes est
le fait qu’elles se retrouvent au mauvais
moment au mauvais endroit, mais ces accidents
sont trop souvent le résultat
d’actes imbéciles comme ce motard qui
cabre sa moto sur la route. C’est un acte
inconscient, et j’assume mes paroles.
Tout cela est insupportable car la vie des
autres est aussi précieuse que sa propre
vie. Un véhicule est comme une arme par
destination. Si ces drames sont commis
avec un pistolet, on parle de meurtre.
❚ Les piétons sont-ils davantage en dangeràMarseille ?
C’est l’incivisme qui est la cause initiale. Regardez le nombre de voitures
stationnées sur les trottoirs et les pauvres piétons qui doivent
emprunter la chaussée pour continuer leur chemin. C’est une malveillance
par omission des pouvoirs publics. Il y a une mentalité marseillaise
intolérable qui est entièrement à refaire.
❚ Les associations continuent pourtant leur travail pédagogique...
Si vous me permettez l’expression, on ne peut pas forcer à boire un âne
qui n’a pas soif. On ne cesse de rappeler les règles avec les autres associations
mais il y a des contre-vérités qui sont apportées par des associations
militantes qui tripatouillent les chiffres de la Sécurité routière.
On n’en finit jamais mais ce sont les victimes qui paient de leur
vie. Recueilli par Franck MEYNIAL
(*) Samedi dernier un piéton de 28 ans a été laissé pour mort à hauteur de la commune
d’Ollioules (D11), après avoir été percuté par un automobiliste qui a pris la fuite.
"C’est l’incivisme qui est
la cause initiale C.-M. Laurent est
déléguée régionale
de la Ligue contre la
violence routière Comment réagissez-vous à ces drames
qui touchent les piétons à Marseille
mais également dans le Var (*) ?
Les piétons paient un très lourd tribut et
que tout ça n’a rien à voir avec la fatalité.
Le plus désolant pour les victimes est
le fait qu’elles se retrouvent au mauvais
moment au mauvais endroit, mais ces accidents
sont trop souvent le résultat
d’actes imbéciles comme ce motard qui
cabre sa moto sur la route. C’est un acte
inconscient, et j’assume mes paroles.
Tout cela est insupportable car la vie des
autres est aussi précieuse que sa propre
vie. Un véhicule est comme une arme par
destination. Si ces drames sont commis
avec un pistolet, on parle de meurtre.
❚ Les piétons sont-ils davantage en dangeràMarseille ?
C’est l’incivisme qui est la cause initiale. Regardez le nombre de voitures
stationnées sur les trottoirs et les pauvres piétons qui doivent
emprunter la chaussée pour continuer leur chemin. C’est une malveillance
par omission des pouvoirs publics. Il y a une mentalité marseillaise
intolérable qui est entièrement à refaire.
❚ Les associations continuent pourtant leur travail pédagogique...
Si vous me permettez l’expression, on ne peut pas forcer à boire un âne
qui n’a pas soif. On ne cesse de rappeler les règles avec les autres associations
mais il y a des contre-vérités qui sont apportées par des associations
militantes qui tripatouillent les chiffres de la Sécurité routière.
On n’en finit jamais mais ce sont les victimes qui paient de leur
vie. Recueilli par Franck MEYNIAL
(*) Samedi dernier un piéton de 28 ans a été laissé pour mort à hauteur de la commune
d’Ollioules (D11), après avoir été percuté par un automobiliste qui a pris la fuite.
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Blatter prône la fin d'année
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Joseph Blatter a réitéré dimanche qu'il était favorable à un Mondial 2022 au Qatar programmé plutôt en fin d'année. «La meilleure date serait la fin d'année. Il faut quand même rester un peu réaliste. Pour moi, si on change et on va changer, parce qu'on ne peut pas jouer en été, bien que le Qatar insiste, on doit jouer en hiver à la fin de l'année», a affirmé Le président de la Fédération internationale de football.
Depuis que le Qatar a été désigné comme pays organisateur, une polémique est née sur la date de la compétition. Les températures semblent trop élevées en été et la période hivernale pose des problèmes de calendrier.
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Joseph Blatter a réitéré dimanche qu'il était favorable à un Mondial 2022 au Qatar programmé plutôt en fin d'année. «La meilleure date serait la fin d'année. Il faut quand même rester un peu réaliste. Pour moi, si on change et on va changer, parce qu'on ne peut pas jouer en été, bien que le Qatar insiste, on doit jouer en hiver à la fin de l'année», a affirmé Le président de la Fédération internationale de football.
Depuis que le Qatar a été désigné comme pays organisateur, une polémique est née sur la date de la compétition. Les températures semblent trop élevées en été et la période hivernale pose des problèmes de calendrier.
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Albi. Épidémie de vitres brisées sur le parking de l'esplanade des Partisans
22/04/2014 à 07:41
Une des voitures retrouvées avec une vitre brisée. /Photo DDM, Alain-Marc Delbouys
En ce lundi de Pâques, des débris de verre intriguaient les usagers du petit parking si pratique de l'esplanade des Partisans, sur la droite avant le Pont-Neuf quand on descend les lices Georges-Pompidou à Albi. En y regardant de plus près, quatre voitures avaient une vitre brisée, côté passager ou côté conducteur. Mais les véhicules vandalisés doivent être beaucoup plus nombreux, une dizaine peut-être, si l'on se réfère aux tas de verre répandus un peu partout dans ce parking qui surplombe le Robinson.
Hier soir, un des automobilistes victimes était venu récupérer sa voiture, une Renault Express dont la vitre gauche a volé en éclats. «Je ne viens pas tous les jours. Je ne sais pas à quand ça remonte, j'ai entendu parler de jeudi où la police serait venue constater.» Lui se fait une raison et garde le sourire: «J'ai besoin d'une fourgonnette, car je suis bricoleur. J'en ai une autre vieille d'un modèle identique, sur laquelle je peux récupérer des pièces.» Pas sûr que tous aient cette chance et soient aussi philosophes. Il se demande si cet acte de vandalisme «est l'œuvre d'andouilles ou de gens qui n'aiment pas qu'on se gare trop longtemps sur ce parking gratuit, ce qui je l'avoue est parfois mon cas.» Auquel cas, c'est réussi: les autres utilisateurs hier n'étaient pas tranquilles à l'idée d'y laisser leur voiture. Mais l'argument si rare de la gratuité devrait avoir raison de ces scrupules.
22/04/2014 à 07:41
Une des voitures retrouvées avec une vitre brisée. /Photo DDM, Alain-Marc Delbouys
En ce lundi de Pâques, des débris de verre intriguaient les usagers du petit parking si pratique de l'esplanade des Partisans, sur la droite avant le Pont-Neuf quand on descend les lices Georges-Pompidou à Albi. En y regardant de plus près, quatre voitures avaient une vitre brisée, côté passager ou côté conducteur. Mais les véhicules vandalisés doivent être beaucoup plus nombreux, une dizaine peut-être, si l'on se réfère aux tas de verre répandus un peu partout dans ce parking qui surplombe le Robinson.
Hier soir, un des automobilistes victimes était venu récupérer sa voiture, une Renault Express dont la vitre gauche a volé en éclats. «Je ne viens pas tous les jours. Je ne sais pas à quand ça remonte, j'ai entendu parler de jeudi où la police serait venue constater.» Lui se fait une raison et garde le sourire: «J'ai besoin d'une fourgonnette, car je suis bricoleur. J'en ai une autre vieille d'un modèle identique, sur laquelle je peux récupérer des pièces.» Pas sûr que tous aient cette chance et soient aussi philosophes. Il se demande si cet acte de vandalisme «est l'œuvre d'andouilles ou de gens qui n'aiment pas qu'on se gare trop longtemps sur ce parking gratuit, ce qui je l'avoue est parfois mon cas.» Auquel cas, c'est réussi: les autres utilisateurs hier n'étaient pas tranquilles à l'idée d'y laisser leur voiture. Mais l'argument si rare de la gratuité devrait avoir raison de ces scrupules.
internet34- Messages : 5458
Date d'inscription : 30/07/2009
Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
POLÉMIQUE
Les salaires des directeurs de caves
en Vaucluse font rêver... et réagir Le samedi 29 mars dernier,
l’annonce dans nos colonnes
du salaire des directeurs des caves
coopératives viticole du Vaucluse
a été comme un pavé lancé
dans la cuve. "Il n’est plus possible
aujourd’hui, que les directeurs
de caves coopératives touchent
des salaires compris entre
6500 et 12 000 ¤ nets par mois
sur quatorze mois, avec parfois
des notes de frais qui peuvent dépasser
2 000 ¤", avait déclaré
Jean-Marc Chave, président
sans langue de bois de la cave
de Cairanne, qui va devoir se priver
de vingt salariés sur trente-
sept pour tenter de sauver sa
structure en redressement judiciaire.
En cette période où les répercutions
de la chute de la demande
et du prix du vin du début
des années 2000, puis du
manque de volume depuis quelques
années, commencent à
cruellement se faire sentir.
Non loin de Cairanne, à Visan,
où l’on ne parle pourtant
pas de redressement judiciaire,
le conseil d’administration a
pris la décision de se défaire de
son directeur depuis l’automne
dernier. C’est désormais Gilles
Ferlanda, président de la cave,
qui semble assurer l’intérim.
D’autres structures vont-elles
prochainement se priver de leur
directeur? Les deux caves de
Sainte-Cécile-les-Vignes fusionneront-
elles ? Les mois, les années
à venir nous le diront. Si
les rémunérations annoncées
ne sont pas remises en question,
le directeur de la section régionale
du Dirca (Mouvement
des cadres dirigeants de la coop
é r a t i o n a g r i c o l e e t de
l’agroalimentaire) a tenu à
s’exprimer au nom de sa corporation
mise en cause. "C’est le
conseil d’administration qui
nomme le directeur et arrête sa
rémunération. Le directeur et
son équipe suivent et dirigent
quotidiennement la marche de
l’entreprise, sont en relations permanentes
avec l’extérieur et sont
l’un des principaux conseils des
administrateurs", explique
donc Philippe Sauzade, au nom
de la Dirca mais également en
tant que directeur de la cave de
Mazan, Canteperdrix. Très affecté
par les difficultés cairannaises
qui mettent en opposition
les mondes des coopérateurs et
des employés, Philippe Sauzade
ajoute : "Nous vivons après coup
la crise des années 2000. Des vignes
ont été abandonnées ou négligées
et nous avons eu une forte
baisse des rendements. De
nombreuses caves sont donc en
dessous de leur seuil de rentabilité.
Mais au lieu de nous battre entre
nous et se voler les coopérateurs
et le raisin, il faudrait réaliser
des fusions portées par de véritables
projets."
Les salaires des directeurs de caves
en Vaucluse font rêver... et réagir Le samedi 29 mars dernier,
l’annonce dans nos colonnes
du salaire des directeurs des caves
coopératives viticole du Vaucluse
a été comme un pavé lancé
dans la cuve. "Il n’est plus possible
aujourd’hui, que les directeurs
de caves coopératives touchent
des salaires compris entre
6500 et 12 000 ¤ nets par mois
sur quatorze mois, avec parfois
des notes de frais qui peuvent dépasser
2 000 ¤", avait déclaré
Jean-Marc Chave, président
sans langue de bois de la cave
de Cairanne, qui va devoir se priver
de vingt salariés sur trente-
sept pour tenter de sauver sa
structure en redressement judiciaire.
En cette période où les répercutions
de la chute de la demande
et du prix du vin du début
des années 2000, puis du
manque de volume depuis quelques
années, commencent à
cruellement se faire sentir.
Non loin de Cairanne, à Visan,
où l’on ne parle pourtant
pas de redressement judiciaire,
le conseil d’administration a
pris la décision de se défaire de
son directeur depuis l’automne
dernier. C’est désormais Gilles
Ferlanda, président de la cave,
qui semble assurer l’intérim.
D’autres structures vont-elles
prochainement se priver de leur
directeur? Les deux caves de
Sainte-Cécile-les-Vignes fusionneront-
elles ? Les mois, les années
à venir nous le diront. Si
les rémunérations annoncées
ne sont pas remises en question,
le directeur de la section régionale
du Dirca (Mouvement
des cadres dirigeants de la coop
é r a t i o n a g r i c o l e e t de
l’agroalimentaire) a tenu à
s’exprimer au nom de sa corporation
mise en cause. "C’est le
conseil d’administration qui
nomme le directeur et arrête sa
rémunération. Le directeur et
son équipe suivent et dirigent
quotidiennement la marche de
l’entreprise, sont en relations permanentes
avec l’extérieur et sont
l’un des principaux conseils des
administrateurs", explique
donc Philippe Sauzade, au nom
de la Dirca mais également en
tant que directeur de la cave de
Mazan, Canteperdrix. Très affecté
par les difficultés cairannaises
qui mettent en opposition
les mondes des coopérateurs et
des employés, Philippe Sauzade
ajoute : "Nous vivons après coup
la crise des années 2000. Des vignes
ont été abandonnées ou négligées
et nous avons eu une forte
baisse des rendements. De
nombreuses caves sont donc en
dessous de leur seuil de rentabilité.
Mais au lieu de nous battre entre
nous et se voler les coopérateurs
et le raisin, il faudrait réaliser
des fusions portées par de véritables
projets."
internet34- Messages : 5458
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Porte-clés gratuits : attention aux arnaques !!!
MISE EN GARDE A FAIRE CIRCULER DE TOUTE URGENCE
[size=32]A FAIRE CIRCULER DE TOUTE URGENCE " MERCI " BONNE JOURNÉE A VOUS TOUS.[/size]
> > > Attention, en ce moment il y a des portes-clés pour accrocher au rétro qui sont distribués à des pompes à essence et sur des parkings. Ils sont gratuits. Ils sont également distribués dans certains restaurants.
> > > Ne les acceptez pas ou détruisez les. Il y a une puce à l' intérieur. Les criminels vous suivent de la pompe jusque chez vous à la maison et savent ainsi quand vous n' êtes pas à la maison et ils vous cambriolent.
> > > Selon la police c' est le travail des Roumains. Vous avez été averti...
> > > S.V.P : faites pareil je fais circuler...
> > > M. Frédéric DAVID
> > > Responsable Fonctionnel et Administratif
> > > Police Municipale
> > > 13 Ter Quai St Lazare
> > > 84000 Avignon
> > >
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Une TV basée à Dubaï diffuse une vidéo de l'otage français Serge Lazarevic
Publié le Mardi 03/06/2014 à 15H31
L'otage français, Serge Lazarevic, enlevé en novembre 2011 au Mali, est apparu dans une vidéo diffusée ce mardi par une chaîne basée à Dubaï, dans laquelle il appelle le président François Hollande à agir pour sa libération.
Flanqué de deux hommes en armes, l'otage, barbe fournie et portant un turban noir, a indiqué s'exprimer le 13 mai 2014 dans la vidéo diffusée par la chaîne de télévision Alaan.
Publié le Mardi 03/06/2014 à 15H31
L'otage français, Serge Lazarevic, enlevé en novembre 2011 au Mali, est apparu dans une vidéo diffusée ce mardi par une chaîne basée à Dubaï, dans laquelle il appelle le président François Hollande à agir pour sa libération.
Flanqué de deux hommes en armes, l'otage, barbe fournie et portant un turban noir, a indiqué s'exprimer le 13 mai 2014 dans la vidéo diffusée par la chaîne de télévision Alaan.
http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2905586/une-tv-basee-a-dubai-diffuse-une-video-de-lotage-francais-serge-lazarevic.html
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
LES CHAUFFARDS S"ORGANISENT ...................
Tous ces gens qui veulent ne pas respecter les autres
les limitations de vitesse mettre en danger les autres conducteurs lancent des appels et deviennent complices d'actes terroristes
et la plateforme de ce reséau social americain ne les controle plus
Facebook, nouvelle parade contre les policiers
Dimanche 08/06/2014 à 19H36
Partout en France, des groupes Facebook signalant la présence de radars se multiplient. Dans le département, le groupe "Solidarité Flash 13" rassemble plus de 12 500 membres.
Radars, contrôles routiers et depuis peu bouchons et accidents, la communauté prend soin de signaler chaque incident sur la route. Photos et détails à l'appui. L'incontournable réseau social semble prendre le relais sur des outils d'aide à la conduite tels que Waze, Wikango ou encore le boîtier Coyote.
ATTENTION EN Y PARTICIPANT VOUS DEVENEZ HORS LA LOI
Plusieurs questions se posent, légal ou pas légal ? Que risquez-vous en consultant ou même en participant sur ce genre de groupes?
Tous ces gens qui veulent ne pas respecter les autres
les limitations de vitesse mettre en danger les autres conducteurs lancent des appels et deviennent complices d'actes terroristes
et la plateforme de ce reséau social americain ne les controle plus
Facebook, nouvelle parade contre les policiers
Dimanche 08/06/2014 à 19H36
Partout en France, des groupes Facebook signalant la présence de radars se multiplient. Dans le département, le groupe "Solidarité Flash 13" rassemble plus de 12 500 membres.
Radars, contrôles routiers et depuis peu bouchons et accidents, la communauté prend soin de signaler chaque incident sur la route. Photos et détails à l'appui. L'incontournable réseau social semble prendre le relais sur des outils d'aide à la conduite tels que Waze, Wikango ou encore le boîtier Coyote.
ATTENTION EN Y PARTICIPANT VOUS DEVENEZ HORS LA LOI
Plusieurs questions se posent, légal ou pas légal ? Que risquez-vous en consultant ou même en participant sur ce genre de groupes?
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
UNE BELLE ARNAQUE JE NE SUIS PAS CLIENT ORANGE BEURKKKKKKKKKKKKKKKKKKKK
aladin- Messages : 115038
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aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Nuit de galère pour 2 300 passagers de la SNCF entre Paris et Nice
Publié le Dimanche 15/06/2014 à 14H34
Quelque 2 300 passagers ont connu des heures de galère dans deux TGV assurant la liaison entre Paris et Nice à la suite d'une rupture d'alimentation électrique dans le Var, dont l'origine reste à déterminer. Samedi soir vers 19h, une panne électrique sur un tronçon de 7 km entre Toulon et Carnoules (Var) a entraîné l'arrêt dans ces deux gares de deux TGV, un Paris-Nice et l'autre Nice-Paris.
Les 2 300 passagers entamant dès lors une longue nuit faite d'attente et de transbordement pour rejoindre leurs destinations. Des caténairistes et des gendarmes ont en effet d'abord dû constater les dégâts avant que la SNCF ne dépêche des motrices diesel pour remorquer les trains vers Nice.
Les voyageurs du Paris-Nice ont ainsi terminé leur périple vers 3h du matin et des taxis ont été mis à leur disposition, selon la SNCF. Ceux du Nice-Paris encore volontaires pour rejoindre la capitale ont été transbordés dans une nouvelle rame. Ce nouveau train a néanmoins dû traverser à l'aide de motrices diesel la partie non-électrifiée avant de reprendre la voie TGV classique.
Résultat, ces voyageurs sont finalement arrivés à la Gare de Lyon vers 10h45 ce dimanche, près de 17 heures après leur départ de Nice. Ces clients, les plus touchés, bénéficieront d'un remboursement à 100% et d'un billet gratuit, tandis que ceux du Paris-Nice seront remboursés intégralement, a précisé la SNCF.
La SNCF qui va porter plainte. D'après l'entreprise, des tirs de carabine sur des isolateurs de caténaires sont à l'origine de la panne d'alimentation, selon les premières constatations. "On ne peut pas écarter, ni valider quelque hypothèse que ce soit", a tempéré la gendarmerie d'Hyères. "Plusieurs poteaux (soutenant les catenaires) ont été touchés" et "un témoin a entendu un claquement et vu un arc électrique", a précisé un gendarme.
Ce claquement a été dans un premier temps "assimilé à un coup de feu", mais "avec le recul" et l'"audition du témoin", il pourrait simplement s'agir du bruit provoqué par le dysfonctionnement électrique. De nouvelles constatations, de jour, devraient être menées ce dimanche.
Publié le Dimanche 15/06/2014 à 14H34
Quelque 2 300 passagers ont connu des heures de galère dans deux TGV assurant la liaison entre Paris et Nice à la suite d'une rupture d'alimentation électrique dans le Var, dont l'origine reste à déterminer. Samedi soir vers 19h, une panne électrique sur un tronçon de 7 km entre Toulon et Carnoules (Var) a entraîné l'arrêt dans ces deux gares de deux TGV, un Paris-Nice et l'autre Nice-Paris.
Les 2 300 passagers entamant dès lors une longue nuit faite d'attente et de transbordement pour rejoindre leurs destinations. Des caténairistes et des gendarmes ont en effet d'abord dû constater les dégâts avant que la SNCF ne dépêche des motrices diesel pour remorquer les trains vers Nice.
Les voyageurs du Paris-Nice ont ainsi terminé leur périple vers 3h du matin et des taxis ont été mis à leur disposition, selon la SNCF. Ceux du Nice-Paris encore volontaires pour rejoindre la capitale ont été transbordés dans une nouvelle rame. Ce nouveau train a néanmoins dû traverser à l'aide de motrices diesel la partie non-électrifiée avant de reprendre la voie TGV classique.
Résultat, ces voyageurs sont finalement arrivés à la Gare de Lyon vers 10h45 ce dimanche, près de 17 heures après leur départ de Nice. Ces clients, les plus touchés, bénéficieront d'un remboursement à 100% et d'un billet gratuit, tandis que ceux du Paris-Nice seront remboursés intégralement, a précisé la SNCF.
La SNCF qui va porter plainte. D'après l'entreprise, des tirs de carabine sur des isolateurs de caténaires sont à l'origine de la panne d'alimentation, selon les premières constatations. "On ne peut pas écarter, ni valider quelque hypothèse que ce soit", a tempéré la gendarmerie d'Hyères. "Plusieurs poteaux (soutenant les catenaires) ont été touchés" et "un témoin a entendu un claquement et vu un arc électrique", a précisé un gendarme.
Ce claquement a été dans un premier temps "assimilé à un coup de feu", mais "avec le recul" et l'"audition du témoin", il pourrait simplement s'agir du bruit provoqué par le dysfonctionnement électrique. De nouvelles constatations, de jour, devraient être menées ce dimanche.
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
je ne suis pas client ORANGE
Clients Orange : Probléme de paiement |
voir l'en-tête complet |
................................aqzsedrftg............................. ............aqzsedrftg............................... |
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Colis suspect en gare Saint-Charles : 1800 personnes évacuées
Marseille / Publié le Dimanche 06/07/2014 à 20H57
Un colis suspect a été découvert il y a quelques minutes sur le quai B-C. Dans l'attente des démineurs, tous les voyageurs ont été évacués de la gare et le trafic des trains totalement suspendu.
Marseille / Publié le Dimanche 06/07/2014 à 20H57
Un colis suspect a été découvert il y a quelques minutes sur le quai B-C. Dans l'attente des démineurs, tous les voyageurs ont été évacués de la gare et le trafic des trains totalement suspendu.
aladin- Messages : 115038
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
[size=36]L’émouvante libération d’un éléphant torturé pendant 50 ans[/size]
Publié le 07/07/2014 à 14:35, Mis à jour le 07/07/2014 à 14:44
Raju, l'éléphant torturé pendant 50 ans © Press People
Cet éléphant nommé Raju a eu une vie bien difficile. Battu, enchaîné, mal nourri, l’animal a vécu cinquantaine années de calvaire et de sévices jusqu’à sa libération, la semaine dernière, par l’association « Wildlife SOS ». Un sauvetage très émouvant puisque le pachyderme a versé des larmes, rapporte The Daily Mail.
Raju a sûrement été braconné par son propriétaire indien lorsqu’il était bébé. Peut-être même a-t-il vu sa mère se faire abattre. Toute sa vie, il a subi les tortures de son maître : plastique et papier pour unique nourriture, enchaîné 24h/24h, obligé de transporter les passants en échange de quelques pièces de monnaie…
"Il ressentait de l'espoir pour la première fois"
Le sauvetage de Raju a été compliqué. L’association basée à Londres était aidée de 20 officiers du département de sylviculture et de 6 policiers indiens. Cette mission périlleuse s’est passée en pleine nuit pour éviter les fortes chaleurs mais aussi les regards des curieux. Le propriétaire de Raju a tout fait pour garder son éléphant : il l’a menacé pour le terrifier. L’animal aurait ainsi pu mordre ou charger ceux qui étaient venus le libérer. Mais Raju a compris que sa vie allait changer. En effet, selon l’association, le pachyderme a versé des larmes. « Nous avons vu les larmes sur le visage de Raju. Nous aussi avons pleuré. Certaines étaient sans doute liées à la douleur infligée par les chaînes, mais il a aussi semblé comprendre que sa situation allait changer. C’était comme si, il ressentait de l’espoir pour la première fois depuis des années » raconte le fondateur de l’association, Kartick Satyanarayan.
« Les éléphants sont non seulement majestueux, mais aussi très intelligents. Il a été prouvé qu’ils pouvaient ressentir des sentiments de chagrin, alors imaginez ce que ce demi-siècle de torture a signifié pour lui. Il n’avait jamais su ce que ça faisait de marcher sans des chaînes. C’est vraiment pitoyable. Mais aujourd’hui, il sait enfin ce qu’est la liberté et il apprendra aussi ce à quoi ressemble la bonté et la vie sans souffrance » commente encore Pooja Binepal, la porte-parole de l’association.
Transporté dans un centre de soin
Sauvé, Raju a été transporté dans un centre de soin pour éléphants de Mathura. « Ce sera un long processus de réadaptation, mais nous lui enseignerons que les humains ne sont pas synonymes de douleur et de brutalité. Ca va prendre du temps. Quand il sera prêt, il rejoindra deux autres éléphants appelés Rajesh et Bhola, qui ont également souffert d’une cruauté inimaginable. Il va apprendre à vivre de nouveau en suivant leur exemple, puis il rejoindra le reste des éléphants et notamment cinq femelles plutôt coquettes » confie la porte-parole.
Si vous souhaitez venir en aide à Raju, vous pouvez participer à une levée de fonds lancée par l’association Wildlife SOS sur son site internet.
Publié le 07/07/2014 à 14:35, Mis à jour le 07/07/2014 à 14:44
Raju, l'éléphant torturé pendant 50 ans © Press People
Cet éléphant nommé Raju a eu une vie bien difficile. Battu, enchaîné, mal nourri, l’animal a vécu cinquantaine années de calvaire et de sévices jusqu’à sa libération, la semaine dernière, par l’association « Wildlife SOS ». Un sauvetage très émouvant puisque le pachyderme a versé des larmes, rapporte The Daily Mail.
Raju a sûrement été braconné par son propriétaire indien lorsqu’il était bébé. Peut-être même a-t-il vu sa mère se faire abattre. Toute sa vie, il a subi les tortures de son maître : plastique et papier pour unique nourriture, enchaîné 24h/24h, obligé de transporter les passants en échange de quelques pièces de monnaie…
"Il ressentait de l'espoir pour la première fois"
Le sauvetage de Raju a été compliqué. L’association basée à Londres était aidée de 20 officiers du département de sylviculture et de 6 policiers indiens. Cette mission périlleuse s’est passée en pleine nuit pour éviter les fortes chaleurs mais aussi les regards des curieux. Le propriétaire de Raju a tout fait pour garder son éléphant : il l’a menacé pour le terrifier. L’animal aurait ainsi pu mordre ou charger ceux qui étaient venus le libérer. Mais Raju a compris que sa vie allait changer. En effet, selon l’association, le pachyderme a versé des larmes. « Nous avons vu les larmes sur le visage de Raju. Nous aussi avons pleuré. Certaines étaient sans doute liées à la douleur infligée par les chaînes, mais il a aussi semblé comprendre que sa situation allait changer. C’était comme si, il ressentait de l’espoir pour la première fois depuis des années » raconte le fondateur de l’association, Kartick Satyanarayan.
« Les éléphants sont non seulement majestueux, mais aussi très intelligents. Il a été prouvé qu’ils pouvaient ressentir des sentiments de chagrin, alors imaginez ce que ce demi-siècle de torture a signifié pour lui. Il n’avait jamais su ce que ça faisait de marcher sans des chaînes. C’est vraiment pitoyable. Mais aujourd’hui, il sait enfin ce qu’est la liberté et il apprendra aussi ce à quoi ressemble la bonté et la vie sans souffrance » commente encore Pooja Binepal, la porte-parole de l’association.
Transporté dans un centre de soin
Sauvé, Raju a été transporté dans un centre de soin pour éléphants de Mathura. « Ce sera un long processus de réadaptation, mais nous lui enseignerons que les humains ne sont pas synonymes de douleur et de brutalité. Ca va prendre du temps. Quand il sera prêt, il rejoindra deux autres éléphants appelés Rajesh et Bhola, qui ont également souffert d’une cruauté inimaginable. Il va apprendre à vivre de nouveau en suivant leur exemple, puis il rejoindra le reste des éléphants et notamment cinq femelles plutôt coquettes » confie la porte-parole.
Si vous souhaitez venir en aide à Raju, vous pouvez participer à une levée de fonds lancée par l’association Wildlife SOS sur son site internet.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
u matériel de sono volé, les auteurs interpellés
BOLLÈNE / PUBLIÉ LE MERCREDI 16/07/2014 À 08H35
Ce mardi, vers 4h30 du matin, du matériel de sono a été dérobé. Des témoins ont eu le temps de repérer une voiture suspecte et en ont donné une description aux gendarmes qui ont pu interpeller les auteurs. Trois jeunes majeurs et un mineur de 16 ans ont été placés en garde à vue et sont convoqués devant la justice.
BOLLÈNE / PUBLIÉ LE MERCREDI 16/07/2014 À 08H35
Ce mardi, vers 4h30 du matin, du matériel de sono a été dérobé. Des témoins ont eu le temps de repérer une voiture suspecte et en ont donné une description aux gendarmes qui ont pu interpeller les auteurs. Trois jeunes majeurs et un mineur de 16 ans ont été placés en garde à vue et sont convoqués devant la justice.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
Un couple arnaqué de 5 600 € avec une simple carte SIM
à jour le 12/08/2014 à 07:46
Bram (11) - Le fait du jour
Christian Marnezy et Pascale Amory ont été délestés de 5 600 euros après avoir été victimes du piratage de la carte SIM de leur téléphone portable./ Photo DDM, Roger Garcia.
Comment, à partir d'une simple carte SIM insérée dans un téléphone portable, un pirate informatique est-il est capable de vous délester de 5 600 € ? C'est la question que se posent depuis le début du mois de juin, Pascale Amory et Christian Marnezy. Pour l'heure, ils n'ont eu aucune réponse et les auteurs de l'arnaque restent des inconnus.
Le 2 juin, en milieu d'après-midi, Pascale Amory est à Toulouse. Elle téléphone à son compagnon, resté à Carcassonne. Mais le réseau de l'opérateur SFR semble inopérant. «C'est comme s'il n'y avait plus de réseau», se souvient la jeune femme. Qu'à cela ne tienne. De retour à Bram où le couple vit, Pascale tente à nouveau de joindre Christian. Mais là encore le téléphone reste muet. «Vers 19 heures, explique Christian Marnezy, j'ai appelé le service client de SFR et à ma grande surprise, on m'a expliqué qu'ayant changé de carte SIM, il était normal que mon téléphone ne soit pas activé». Soit.
SFR et AXA Banque ne veulent rien savoir
Pour le couple c'est le début des ennuis. Consultant son compte bancaire depuis leur son ordinateur, Christian Marnezy constate que son salaire lui a versé. Mais le relevé d'AXA, sa banque en ligne, fait état d'un mystérieux débit d'une valeur de 5 600 €. «Nous avons alors téléphoné à un conseiller, souligne le couple, pour lui expliquer que nous n'avions jamais fait de virement». C'est à cet instant que Pascale et Christian apprennent que le mouvement financier a été autorisé depuis la carte SIM d'un de leur téléphone portable.
L'argent semble en revanche ne pas avoir été perdu pour tout le monde. À sa demande, le couple a pu obtenir de la banque le nom du «bénéficiaire» des 5 600 €. «Il s'agit, explique Pascale Amory, document à l'appui, d'un certain Maxence Dubot qui serait titulaire d'un compte bancaire en Belgique».
Un couple de Bramais a été victime d'une arnaque bancaire. La puce de leur téléphone portable a été piratée. Leur compte a été débité de 5 600 euros au profit d'un établissement bancaire installé en Belgique.
Une plainte déposée
Dès le 3 juin, Pascale Amory et Christian, Marnezy ont déposé plainte auprès des services de la gendarmerie de Bram.
Ils ont également demandé des comptes à SFR et à AXA Banque. Mais les deux sociétés se renvoient la responsabilité. «On ne sait plus quoi faire, se lamente Pascale Amory. SFR impute la faute à notre banque et la banque dit que c'est à SFR de nous rembourser».
Lassé, le couple a de nouveau alerté le procureur de la République de Carcassonne en lui adressant un deuxième courrier. Mais pour l'heure, l'enquête est au point mort.
à jour le 12/08/2014 à 07:46
Bram (11) - Le fait du jour
Christian Marnezy et Pascale Amory ont été délestés de 5 600 euros après avoir été victimes du piratage de la carte SIM de leur téléphone portable./ Photo DDM, Roger Garcia.
Comment, à partir d'une simple carte SIM insérée dans un téléphone portable, un pirate informatique est-il est capable de vous délester de 5 600 € ? C'est la question que se posent depuis le début du mois de juin, Pascale Amory et Christian Marnezy. Pour l'heure, ils n'ont eu aucune réponse et les auteurs de l'arnaque restent des inconnus.
Le 2 juin, en milieu d'après-midi, Pascale Amory est à Toulouse. Elle téléphone à son compagnon, resté à Carcassonne. Mais le réseau de l'opérateur SFR semble inopérant. «C'est comme s'il n'y avait plus de réseau», se souvient la jeune femme. Qu'à cela ne tienne. De retour à Bram où le couple vit, Pascale tente à nouveau de joindre Christian. Mais là encore le téléphone reste muet. «Vers 19 heures, explique Christian Marnezy, j'ai appelé le service client de SFR et à ma grande surprise, on m'a expliqué qu'ayant changé de carte SIM, il était normal que mon téléphone ne soit pas activé». Soit.
SFR et AXA Banque ne veulent rien savoir
Pour le couple c'est le début des ennuis. Consultant son compte bancaire depuis leur son ordinateur, Christian Marnezy constate que son salaire lui a versé. Mais le relevé d'AXA, sa banque en ligne, fait état d'un mystérieux débit d'une valeur de 5 600 €. «Nous avons alors téléphoné à un conseiller, souligne le couple, pour lui expliquer que nous n'avions jamais fait de virement». C'est à cet instant que Pascale et Christian apprennent que le mouvement financier a été autorisé depuis la carte SIM d'un de leur téléphone portable.
L'argent semble en revanche ne pas avoir été perdu pour tout le monde. À sa demande, le couple a pu obtenir de la banque le nom du «bénéficiaire» des 5 600 €. «Il s'agit, explique Pascale Amory, document à l'appui, d'un certain Maxence Dubot qui serait titulaire d'un compte bancaire en Belgique».
Un couple de Bramais a été victime d'une arnaque bancaire. La puce de leur téléphone portable a été piratée. Leur compte a été débité de 5 600 euros au profit d'un établissement bancaire installé en Belgique.
Une plainte déposée
Dès le 3 juin, Pascale Amory et Christian, Marnezy ont déposé plainte auprès des services de la gendarmerie de Bram.
Ils ont également demandé des comptes à SFR et à AXA Banque. Mais les deux sociétés se renvoient la responsabilité. «On ne sait plus quoi faire, se lamente Pascale Amory. SFR impute la faute à notre banque et la banque dit que c'est à SFR de nous rembourser».
Lassé, le couple a de nouveau alerté le procureur de la République de Carcassonne en lui adressant un deuxième courrier. Mais pour l'heure, l'enquête est au point mort.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
[size=33]Vols au PSG. Prison avec sursis pour un agent de sécurité[/size]
Paris - 03 Décembre
écouter
Le parquet avait requis 12 mois de prison, dont huit avec sursis, contre le premier, 10 mois avec sursis contre le second.
Le responsable de la sécurité du PSG avait porté plainte le 20 octobre, après de nombreux vols. Un stratagème avait donc été mis sur pied pour commander sur internet des objets volés et interpeller le vendeur.
Le voleur, agent de sécurité au Camp des loges, le site d'entraînement du club, situé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), a reconnu avoir sévi dans un vestiaire annexe où étaient entreposés des équipements ou dans celui des joueurs. Il avait également dérobé une montre d'une valeur de 13.500 euros, appartenant au joueur Javier Pastore, qui a pu récupérer son bien.
Le revendeur, qui passait les annonces sous son vrai nom, a assuré qu'il ignorait l'origine frauduleuse des objets, neufs ou usagés, qu'il proposait à la vente. Sans convaincre les juges.
Le tribunal a en outre condamné les prévenus à verser solidairement un euro de dommages et intérêts au PSG, Javier Pastore s'est quant à lui vu allouer 100 euros de dommages et intérêts.
Le tribunal a en revanche rejeté les autres prétentions du club, qui demandait plus de 18.000 euros pour son préjudice matériel, sans produire le moindre justificatif.
Les avocats de la défense ont fait valoir que les objets volés n'étaient pas payés par le club. « Il y a des contrats avec les équipementiers », a souligné l'avocat du revendeur, Me Alexandre-M. Braun, qui a plaidé la relaxe « pure et simple ».
L'avocate du voleur, Me Marie Bozec, a quant à elle souligné que son client, qui a renouvelé ses excuses à la barre envers le club et les joueurs, « n'a jamais cherché à minimiser sa responsabilité », et « n'a peut-être pas su résister à la tentation
Paris - 03 Décembre
écouter
- Prison avec sursis pour un agent de sécurité du PSG. | Photo : AFP
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Un ancien agent de sécurité du PSG a été condamné à huit mois de prison avec sursis pour avoir volé des chaussures de joueurs du club de L1, des maillots et des survêtements.
Le revendeur des objets, qui les écoulait sur internet, a quant à lui été condamné pour recel à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris.Le parquet avait requis 12 mois de prison, dont huit avec sursis, contre le premier, 10 mois avec sursis contre le second.
Le responsable de la sécurité du PSG avait porté plainte le 20 octobre, après de nombreux vols. Un stratagème avait donc été mis sur pied pour commander sur internet des objets volés et interpeller le vendeur.
Le voleur, agent de sécurité au Camp des loges, le site d'entraînement du club, situé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), a reconnu avoir sévi dans un vestiaire annexe où étaient entreposés des équipements ou dans celui des joueurs. Il avait également dérobé une montre d'une valeur de 13.500 euros, appartenant au joueur Javier Pastore, qui a pu récupérer son bien.
Une centaine d'articles volés
L'agent de sécurité, qui a été licencié, a affirmé avoir vendu pour un millier d'euros divers objets auprès de son entourage, avant de proposer à son co-prévenu de les vendre sur internet, en échange de quelques maillots. Une paire de chaussures se vendait par exemple 250 euros.Le revendeur, qui passait les annonces sous son vrai nom, a assuré qu'il ignorait l'origine frauduleuse des objets, neufs ou usagés, qu'il proposait à la vente. Sans convaincre les juges.
Le tribunal a en outre condamné les prévenus à verser solidairement un euro de dommages et intérêts au PSG, Javier Pastore s'est quant à lui vu allouer 100 euros de dommages et intérêts.
Le tribunal a en revanche rejeté les autres prétentions du club, qui demandait plus de 18.000 euros pour son préjudice matériel, sans produire le moindre justificatif.
Les avocats de la défense ont fait valoir que les objets volés n'étaient pas payés par le club. « Il y a des contrats avec les équipementiers », a souligné l'avocat du revendeur, Me Alexandre-M. Braun, qui a plaidé la relaxe « pure et simple ».
L'avocate du voleur, Me Marie Bozec, a quant à elle souligné que son client, qui a renouvelé ses excuses à la barre envers le club et les joueurs, « n'a jamais cherché à minimiser sa responsabilité », et « n'a peut-être pas su résister à la tentation
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
[size=36]Argentine : un footballeur battu à mort par des supporters adverses[/size]
Publié le 04/12/2014 à 10:09, Mis à jour le 04/12/2014 à 10:40
Un ballon de football Philipp Guelland DDP/AFP/archives
Un match de football a tourné au drame à Aimogasta (Argentine), a annoncé la police. Un des joueurs a été victime d'un lynchage si violent de la part des supporters de l'équipe adverse qu'il en est mort. C'est la quinzième fois depuis le début de l'année qu'un homme meurt dans le milieu du football en Argentine.
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Publié le 04/12/2014 à 10:09, Mis à jour le 04/12/2014 à 10:40
Faits divers
Un ballon de football Philipp Guelland DDP/AFP/archives
Un match de football a tourné au drame à Aimogasta (Argentine), a annoncé la police. Un des joueurs a été victime d'un lynchage si violent de la part des supporters de l'équipe adverse qu'il en est mort. C'est la quinzième fois depuis le début de l'année qu'un homme meurt dans le milieu du football en Argentine.
[size=20]Il reçoit un coup sur la tête
Le match voyait s'affronter les équipes locales Tiro Federal et Chacarita. 10 minutes avant la fin du match, une bagarre a éclaté entre deux joueurs. Franco Nieto, le capitaine de Tiro Federal, a alors été assailli par une vague de supporters du clan adverse. "Des gens sont venus l'insulter. Ils l'ont frappé à coups de pied, à coups de poing. Il a essayé de se défendre, mais il a reçu un coup violent sur la tête", a déploré le neveu de la victime. Le footballeur est décédé mercredi, le lendemain de son admission à l'hôpital.[/size]
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
FFF/Ligue - Matchs truqués, quels sont les intérêts ?
Jeudi 4 Décembre 2014
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Jeudi 4 Décembre 2014
380 ! C’est le nombre de matchs de haut niveau truqués avérés entre 2008 et 2011. Ce chiffre est énorme, il a été présenté par Europol, office de police intergouvernemental dépendant de l’Union Européenne. Oui, vous vous faites tous la même réflexion, plus ou moins étonnés selon les cas, notre oreille footballistique commence à être habituée à ce genre d’évènements relativement graves. (par Thierry Henry)
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Dernièrement c’est notre ligue 2 qui a été touchée par ces scandales (événement discuté dans « bonus foot n°13 » sur TLT le 27/11/2014. C’est pourquoi, footpy.fr va décrypter pour vous cette sphère néfaste dans laquelle le football contemporain se trouve.
Les raisons du phénomène :
Quelque soit le mobile du trucage, l’intérêt est, dans tous les cas, financier. Il existe plusieurs formes d’arrangements ;
- une première purement économique pour que certaines personnes s’enrichissent grâce aux paris. Un réseau « mafieux » se construit, et propose des sommes intéressantes aux joueurs ou arbitres pour s’assurer du résultat, et ainsi remporter à tous les coups leurs mises. Il y a nécessairement beaucoup d’argent à gagner ; le monde des paris a atteint aujourd’hui le montant de 500 milliards d’euros de mises par an, pour le football selon plusieurs estimations. Sur internet c’est ahurissant; essayez de taper « matchs truqués » sur un moteur de recherche et énormément de résultats (dont la première proposition) vous proposent de parier sur des matchs truqués. Ils parlent tous de « fixed », celui-ci est, selon une définition issue du monde de la finance « un investissement permettant d’obtenir des revenus fixes ». Le problème, là aussi, c’est que beaucoup de monde espère gagner. Des personnes plus ou moins bien intentionnées demandent une certaine somme variable (entre 10 et 100€) pour donner un résultat étant « présumé » juste. Si tel est le cas, tout le monde est gagnant, hormis les valeurs originelles du sport, et le spectacle sportif. Que ces personnes aient tort ou raison, le monde du football est parallèlement empli d’arnaques et de corruption… encore pour des raisons d’argent. Nous sommes bien loin du dévouement de nos valeureux bénévoles régionaux qui donnent tant de leur personne pour développer leur club, leur ville, village, département, créer du lien social, aider et apporter de la joie à nous tous, footballeurs amateurs.
Les raisons du phénomène :
Quelque soit le mobile du trucage, l’intérêt est, dans tous les cas, financier. Il existe plusieurs formes d’arrangements ;
- une première purement économique pour que certaines personnes s’enrichissent grâce aux paris. Un réseau « mafieux » se construit, et propose des sommes intéressantes aux joueurs ou arbitres pour s’assurer du résultat, et ainsi remporter à tous les coups leurs mises. Il y a nécessairement beaucoup d’argent à gagner ; le monde des paris a atteint aujourd’hui le montant de 500 milliards d’euros de mises par an, pour le football selon plusieurs estimations. Sur internet c’est ahurissant; essayez de taper « matchs truqués » sur un moteur de recherche et énormément de résultats (dont la première proposition) vous proposent de parier sur des matchs truqués. Ils parlent tous de « fixed », celui-ci est, selon une définition issue du monde de la finance « un investissement permettant d’obtenir des revenus fixes ». Le problème, là aussi, c’est que beaucoup de monde espère gagner. Des personnes plus ou moins bien intentionnées demandent une certaine somme variable (entre 10 et 100€) pour donner un résultat étant « présumé » juste. Si tel est le cas, tout le monde est gagnant, hormis les valeurs originelles du sport, et le spectacle sportif. Que ces personnes aient tort ou raison, le monde du football est parallèlement empli d’arnaques et de corruption… encore pour des raisons d’argent. Nous sommes bien loin du dévouement de nos valeureux bénévoles régionaux qui donnent tant de leur personne pour développer leur club, leur ville, village, département, créer du lien social, aider et apporter de la joie à nous tous, footballeurs amateurs.
Les championnats régionaux, connaître le premier cas évoqué serait illusoire, mais dans notre histoire, chacun d’entre nous a entendu des rumeurs de « petits arrangements » entre voisins.
[url=javascript:void(0)][/url]- L’autre forme d’arrangement réside dans un intérêt davantage « sportif » ; elle apparaît lorsqu’une équipe a besoin de points pour se maintenir, ou pour accéder au niveau supérieur. L’exemple récent de Nîmes/Caen est illustratif.
Heureusement, en France et en Europe les autorités veillent de plus en plus sur ce type de problèmes récurrents. Le souci vient notamment d’Asie ou les sites ne sont pas surveillés. De cette façon, des réseaux se créent et développent un commerce sportif illégal. Espérons que cela cesse dans les années à venir. A notre niveau, n’ayant pas, ou peu la possibilité de parier sur les championnats régionaux, connaître le premier cas évoqué serait illusoire, mais dans notre histoire, chacun d’entre nous a entendu des rumeurs de « petits arrangements » entre voisins. Pour le spectacle sportif, et les amoureux du ballon rond, l’intérêt est évidemment que notre football devienne sain. L’image que nous avons auprès du grand public se dégrade à la suite de chaque scandale qui explose, et nous, football amateur, en subissons les frais. Alors s’il vous plaît, mesdames, messieurs les acteurs décideurs du football, respectez des principes moraux qui amélioreront l’image de ce beau sport, et vous ne gagnerez plus seuls une petite fortune, mais on gagnera tous humainement et sportivement.
Par TH
Heureusement, en France et en Europe les autorités veillent de plus en plus sur ce type de problèmes récurrents. Le souci vient notamment d’Asie ou les sites ne sont pas surveillés. De cette façon, des réseaux se créent et développent un commerce sportif illégal. Espérons que cela cesse dans les années à venir. A notre niveau, n’ayant pas, ou peu la possibilité de parier sur les championnats régionaux, connaître le premier cas évoqué serait illusoire, mais dans notre histoire, chacun d’entre nous a entendu des rumeurs de « petits arrangements » entre voisins. Pour le spectacle sportif, et les amoureux du ballon rond, l’intérêt est évidemment que notre football devienne sain. L’image que nous avons auprès du grand public se dégrade à la suite de chaque scandale qui explose, et nous, football amateur, en subissons les frais. Alors s’il vous plaît, mesdames, messieurs les acteurs décideurs du football, respectez des principes moraux qui amélioreront l’image de ce beau sport, et vous ne gagnerez plus seuls une petite fortune, mais on gagnera tous humainement et sportivement.
Par TH
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
[size=36]CM 2022: Une Qatarienne avoue des propositions à "un million de dollars"[/size]
Les soupçons de corruption pesant sur la désignation du pays organisateur du Mondial 2022 passent un nouveau cap. Phaedra Almajid, membre du comité de candidature du Qatar, a ainsi révélé les termes d'une conversation pour le moins compromettante à France Football. C'était avant le vote final, et ça révèle comment ses compatriotes ont essayé d'acheter les votes de quelques Africains ainsi que celui des Espagnols. Sans être précise sur l'identité de l'interlocuteur, Almajid décrit: "Ce monsieur répond, sans même jeter un regard sur le Qatarien: 'Ah, un million de dollars... Pourquoi pas un million et demi ?' Je n'ai jamais vu une offre aussi directe. J'étais sous le choc." Elle explique qu'elle a décidé de parler à cause de Hans-Joachim Eckert, président de la chambre de jugement de la commission d'éthique de la Fifa: "Il ne m'a pas laissé d'autre choix. Il m'a jeté aux lions." L'intégralité de l'entretien, avec d'autres précisions, est publiée mardi.
Les soupçons de corruption pesant sur la désignation du pays organisateur du Mondial 2022 passent un nouveau cap. Phaedra Almajid, membre du comité de candidature du Qatar, a ainsi révélé les termes d'une conversation pour le moins compromettante à France Football. C'était avant le vote final, et ça révèle comment ses compatriotes ont essayé d'acheter les votes de quelques Africains ainsi que celui des Espagnols. Sans être précise sur l'identité de l'interlocuteur, Almajid décrit: "Ce monsieur répond, sans même jeter un regard sur le Qatarien: 'Ah, un million de dollars... Pourquoi pas un million et demi ?' Je n'ai jamais vu une offre aussi directe. J'étais sous le choc." Elle explique qu'elle a décidé de parler à cause de Hans-Joachim Eckert, président de la chambre de jugement de la commission d'éthique de la Fifa: "Il ne m'a pas laissé d'autre choix. Il m'a jeté aux lions." L'intégralité de l'entretien, avec d'autres précisions, est publiée mardi.
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Re: CORRUPTION ..CORRUPTIONS DES ELUS , CUMULS DES MANDATS .DELITS D" INITIES ..ETC
[size=36]Mondiaux 2018 et 2022 : Platini dément à nouveau avoir été corrompu[/size]
Publié le 09/12/2014 à 09:44, Mis à jour le 09/12/2014 à 09:44
Le président de l'UEFA Michel Platini lors d'une conférence de presse à Genève Fabrice Coffrini / AFP/Archives
Michel Platini a de nouveau démenti ce mardi avoir été acheté par la Russie et le Qatar pour voter pour leur pays lors de l'attribution des Coupes du monde 2018 et 2022.
« Je suis plus que "blanc", je n'ai reçu ni Picasso, ni lingot, ni pétrole, ni gaz », a déclaré le président de l’UEFA sur Europe 1. « Mais j'ai été la proie d'investigateurs privés chargés de faire courir des rumeurs, peut-être que ça date de l'époque où je voulais me diriger vers la Fifa », a-t-il ajouté, visant implicitement le président de l’instance dirigeante du football mondial, le Suisse Sepp Blatter.
L’ancien numéro 10 des Bleus avait expliqué le 30 novembre que « les allégations du Sunday Times » étaient « totalement fictives », dénonçant la « rumeur ridicule », non étayée par le journal, selon laquelle il aurait reçu un Picasso pour voter pour la Russie pour le Mondial-2018.
Le président de l’UEFA a également souligné une nouvelle fois que la Fifa a besoin « d’air frais » alors qu’elle est dirigée depuis 1998 par Joseph Blatter. Ce dernier a fait part de son intention de se présenter à un cinquième mandat en mai prochain. « J'ai de l'estime, de l'amitié pour "Sepp", mais il y a toujours eu des petits conflits entre le président de l'UEFA et celui de la Fifa, nous ne pensons pas la même chose. Et l'image de la Fifa est très mauvaise », a détaillé l’ancien Ballon d’Or. « A l'UEFA, ça sent un peu plus l'herbe coupée et le football qu'à la Fifa », a ironisé Michel Platini, qui a confirmé qu’il ne soutiendrait aucun des deux candidats déclarés à la présidence de la Fifa : Sepp Blatter et Jérôme Champagne, ancien vice-secrétaire général de l’instance. L’ancien capitaine de l’équipe de France, qui a renoncé à se présenter, « espère qu’il y aura un autre candidat », admettant qu’il serait « difficile pour un Européen aujourd’hui » d’entrer en lice.
Phaedra Almajid, citée par l’hebdomadaire footballistique, évoque une réunion qui s’est tenue à Luanda, la capitale de l’Angola, entre le dirigeant d’une fédération africaine et un responsable qatari. Elle explique que le représentant de l’Emirat souhaitait offrir un million de dollar à la fédération africaine. Les enchères sont montées jusqu'à 1,5 million de dollars en échange du vote du responsable africain en faveur de la candidature qatarie à la Coupe du monde-2022.
Publié le 09/12/2014 à 09:44, Mis à jour le 09/12/2014 à 09:44
Football
Le président de l'UEFA Michel Platini lors d'une conférence de presse à Genève Fabrice Coffrini / AFP/Archives
Michel Platini a de nouveau démenti ce mardi avoir été acheté par la Russie et le Qatar pour voter pour leur pays lors de l'attribution des Coupes du monde 2018 et 2022.
« Je suis plus que "blanc", je n'ai reçu ni Picasso, ni lingot, ni pétrole, ni gaz », a déclaré le président de l’UEFA sur Europe 1. « Mais j'ai été la proie d'investigateurs privés chargés de faire courir des rumeurs, peut-être que ça date de l'époque où je voulais me diriger vers la Fifa », a-t-il ajouté, visant implicitement le président de l’instance dirigeante du football mondial, le Suisse Sepp Blatter.
L’ancien numéro 10 des Bleus avait expliqué le 30 novembre que « les allégations du Sunday Times » étaient « totalement fictives », dénonçant la « rumeur ridicule », non étayée par le journal, selon laquelle il aurait reçu un Picasso pour voter pour la Russie pour le Mondial-2018.
La Fifa a besoin « d’air frais »
A la question : « Est-ce que ces rumeurs pourraient venir de l'entourage de Joseph Blatter ? », Michel Platini a répondu : « Je ne sais pas, il y avait d'autres intérêts (en jeu), beaucoup de gens voulaient aller aux Etats-Unis (pour une Coupe du monde, plutôt qu'en Russie et au Qatar, NDLR), moi, je le redis, j'ai toujours voté par conviction, si j'ai voté pour Qatar et Russie, c'est que je voulais que le football aille dans de nouveaux territoires. » « Platoche » a répété que « s’il y avait des preuves de corruption, il faudrait revoter ».Le président de l’UEFA a également souligné une nouvelle fois que la Fifa a besoin « d’air frais » alors qu’elle est dirigée depuis 1998 par Joseph Blatter. Ce dernier a fait part de son intention de se présenter à un cinquième mandat en mai prochain. « J'ai de l'estime, de l'amitié pour "Sepp", mais il y a toujours eu des petits conflits entre le président de l'UEFA et celui de la Fifa, nous ne pensons pas la même chose. Et l'image de la Fifa est très mauvaise », a détaillé l’ancien Ballon d’Or. « A l'UEFA, ça sent un peu plus l'herbe coupée et le football qu'à la Fifa », a ironisé Michel Platini, qui a confirmé qu’il ne soutiendrait aucun des deux candidats déclarés à la présidence de la Fifa : Sepp Blatter et Jérôme Champagne, ancien vice-secrétaire général de l’instance. L’ancien capitaine de l’équipe de France, qui a renoncé à se présenter, « espère qu’il y aura un autre candidat », admettant qu’il serait « difficile pour un Européen aujourd’hui » d’entrer en lice.
Un témoignage accablant
Ces déclarations de l’ancienne gloire française du ballon rond interviennent alors que France Football publie ce mardi le témoignage accablant d’une ancienne responsable du comité de candidature du Qatar pour 2022. Phaedra Almajid, ancienne responsable de la communication de ce comité affirme « avoir vu des responsables qataris proposer en janvier 2010 de l’argent à des dirigeants du football africain ».Phaedra Almajid, citée par l’hebdomadaire footballistique, évoque une réunion qui s’est tenue à Luanda, la capitale de l’Angola, entre le dirigeant d’une fédération africaine et un responsable qatari. Elle explique que le représentant de l’Emirat souhaitait offrir un million de dollar à la fédération africaine. Les enchères sont montées jusqu'à 1,5 million de dollars en échange du vote du responsable africain en faveur de la candidature qatarie à la Coupe du monde-2022.
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