ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
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bienvenou- Admin
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
prété pendant un siecle c'est assez fou
alors fred mitterrand ou avais tu la tete
Le musée d'Orsay récupère la statue de la Liberté du jardin du LuxembourgAFP - 02/07/2012 10:21
Désormais la statue de la Liberté éclaire aussi le musée d'Orsay: le Sénat a accepté de lui restituer la sculpture fondue en 1889 par le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi et qui était en dépôt depuis plus d'un siècle dans les jardins du Luxembourg à Paris.
Le musée a installé dans sa grande nef "La liberté éclairant le monde", bronze de 2,85 mètres qui a été restauré pour l'occasion, avec le soutien financier de l'association des American Friends Musée d'Orsay (AFMO).
Une cérémonie célébrant la mise en place à Orsay de la statue, symbole de l'amitié franco-américaine, est organisée lundi soir au musée par le président de l'établissement public, Guy Cogeval, en présence du président du Sénat, Jean-Pierre Bel, et de l'ambassadeur des Etats-Unis en France, Charles Rivkin.
Après l'installation de sa colossale statue de la Liberté à New York en 1886, le sculpteur Bartholdi (1834-1904), de retour à Paris, avait sélectionné un prototype en plâtre de son atelier pour fondre un bronze en l'honneur du centenaire de la Révolution française.
alors fred mitterrand ou avais tu la tete
Le musée d'Orsay récupère la statue de la Liberté du jardin du LuxembourgAFP - 02/07/2012 10:21
Désormais la statue de la Liberté éclaire aussi le musée d'Orsay: le Sénat a accepté de lui restituer la sculpture fondue en 1889 par le sculpteur Frédéric-Auguste Bartholdi et qui était en dépôt depuis plus d'un siècle dans les jardins du Luxembourg à Paris.
Le musée a installé dans sa grande nef "La liberté éclairant le monde", bronze de 2,85 mètres qui a été restauré pour l'occasion, avec le soutien financier de l'association des American Friends Musée d'Orsay (AFMO).
Une cérémonie célébrant la mise en place à Orsay de la statue, symbole de l'amitié franco-américaine, est organisée lundi soir au musée par le président de l'établissement public, Guy Cogeval, en présence du président du Sénat, Jean-Pierre Bel, et de l'ambassadeur des Etats-Unis en France, Charles Rivkin.
Après l'installation de sa colossale statue de la Liberté à New York en 1886, le sculpteur Bartholdi (1834-1904), de retour à Paris, avait sélectionné un prototype en plâtre de son atelier pour fondre un bronze en l'honneur du centenaire de la Révolution française.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Cissokho n'a plus d'agent le 02/07/2012 20:49:00
Sous contrat jusqu'en 2014 avec Lyon, Aly Cissokho (24 ans) a décidé de changer son mode de fonctionnement en matière de transferts. Convoité notamment par Naples, le latéral gauche a choisi de ne plus faire appel à des agents traditionnels mais à des avocats mandataires sportifs (cabinet 3A), ce qui est une grande première dans le milieu du football professionnel. «Pour être en phase avec les objectifs ambitieux de carrière que je me suis fixés, j'ai décidé de confier la gestion de mes intérêts à des avocats spécialisés et rompus aux négociations contractuelles dans le milieu du football, a expliqué l'international français (1 sélection) dans un communiqué. C'est pour moi la garantie d'un travail de représentation professionnel et d'une plus grande rigueur».
Les nouveaux représentants de Cissokho, dont la maîtrise des aspects juridiques et fiscaux est le quotidien, ont déjà rencontré les dirigeants lyonnais pour évoquer l'avenir de leur client. Dans un contexte financier difficile et compte tenu de la non-qualificationd du club pour la Ligue des champions, l'OL ne serait pas forcément opposé à un départ de l'ancien défenseur du FC Porto.
Sous contrat jusqu'en 2014 avec Lyon, Aly Cissokho (24 ans) a décidé de changer son mode de fonctionnement en matière de transferts. Convoité notamment par Naples, le latéral gauche a choisi de ne plus faire appel à des agents traditionnels mais à des avocats mandataires sportifs (cabinet 3A), ce qui est une grande première dans le milieu du football professionnel. «Pour être en phase avec les objectifs ambitieux de carrière que je me suis fixés, j'ai décidé de confier la gestion de mes intérêts à des avocats spécialisés et rompus aux négociations contractuelles dans le milieu du football, a expliqué l'international français (1 sélection) dans un communiqué. C'est pour moi la garantie d'un travail de représentation professionnel et d'une plus grande rigueur».
Les nouveaux représentants de Cissokho, dont la maîtrise des aspects juridiques et fiscaux est le quotidien, ont déjà rencontré les dirigeants lyonnais pour évoquer l'avenir de leur client. Dans un contexte financier difficile et compte tenu de la non-qualificationd du club pour la Ligue des champions, l'OL ne serait pas forcément opposé à un départ de l'ancien défenseur du FC Porto.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Logements privés: l'encadrement des loyers va concerner 41 agglomérations
Le décret d'encadrement des loyers des logements privés, lors d'une relocation ou du renouvellement du bail, promesse de campagne de François Hollande, va concerner 41 agglomérations de l'Hexagone et de l'outre-Mer, selon le projet gouvernemental obtenu par l'AFP.
Sans surprise, ce projet de décret concerne les grandes métropoles, comme Paris, Lyon, Marseille ou Nice, mais aussi des plus petites comme Armentières (Nord), Forbach (Moselle), Menton (Alpes-Maritimes) ou Annemasse (Haute-Savoie), où les loyers sont jugés très élevés.
Le gouvernement s'est basé sur l'article 18 de la loi de 1989 sur les "rapports locatifs" qui permet de fixer par décret le montant maximum des loyers des logements dans les zones où l'évolution est anormale.
Au projet initial, qui concernait seulement les relocations, le gouvernement a finalement ajouté les renouvellements de baux.
Ce projet d'encadrement, qui va être examiné par le Conseil d'Etat après notamment un avis consultatif de la commission de concertation réunissant les associations de locataires et de propriétaires, devrait être publié fin juillet comme s'y est engagée la ministre du Logement Cécile Duflot.
Cette mesure d'urgence, souhaitée depuis longtemps par les associations de locataires, est prise par le gouvernement dans l'attente d'une loi-cadre sur le logement, comportant des dispositions relatives aux loyers, que Mme Duflot doit présenter au début de 2013.
Deux critères ont présidé au choix des agglomérations retenues pour voir s'appliquer cet encadrement: l'augmentation de l'indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour la révision des loyers d'habitation, doit être le double de la moyenne nationale pour la période 2002-2012, soit 3,2% par an, et le loyer doit être supérieur à 11,10 euros/m2, soit 1.110 euros pour un 100 m2.
Le nouveau dispositif prévoit que, dans les 41 agglomérations, le propriétaire ne peut pratiquer une hausse supérieure à celle de l'IRL.
Des dérogations sont prévues en cas de travaux ou si le loyer acquitté par l'ancien locataire avait été manifestement sous-évalué par rapport aux loyers pratiqués dans le voisinage.
Les Français globalement satisfaits
Ces dispositions provoquent la colère des propriétaires et des agents immobiliers.
"L'encadrement des loyers n'est pas une solution. Il faut construire plus de logements moins chers et obtenir que les logements vacants puissent être loués", déclare à l'AFP Jean Perrin, président de l'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière), qui revendique 250.000 adhérents.
Pour Jean-François Buet, secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), "il y a beaucoup trop d'agglomérations concernées par le décret. Il y a forcément des villes où certains propriétaires ne vont plus vouloir louer leurs logements".
Mais près de 70% des Français se disent prêts à accepter l'encadrement des loyers en zones tendues selon deux sondages publiés fin juin.
Un sondage Ipsos pour le réseau d'agences immobilières Orpi montre que cette empathie vis-à-vis des zones tendues se reflète dans toutes les catégories socio-professionnelles.
Un sondage Harris commandé par le réseau Century 21 confirme cette tendance avec 74% des personnes interrogées qui se déclarent favorables au projet d'encadrement.
Le décret d'encadrement des loyers des logements privés, lors d'une relocation ou du renouvellement du bail, promesse de campagne de François Hollande, va concerner 41 agglomérations de l'Hexagone et de l'outre-Mer, selon le projet gouvernemental obtenu par l'AFP.
Sans surprise, ce projet de décret concerne les grandes métropoles, comme Paris, Lyon, Marseille ou Nice, mais aussi des plus petites comme Armentières (Nord), Forbach (Moselle), Menton (Alpes-Maritimes) ou Annemasse (Haute-Savoie), où les loyers sont jugés très élevés.
Le gouvernement s'est basé sur l'article 18 de la loi de 1989 sur les "rapports locatifs" qui permet de fixer par décret le montant maximum des loyers des logements dans les zones où l'évolution est anormale.
Au projet initial, qui concernait seulement les relocations, le gouvernement a finalement ajouté les renouvellements de baux.
Ce projet d'encadrement, qui va être examiné par le Conseil d'Etat après notamment un avis consultatif de la commission de concertation réunissant les associations de locataires et de propriétaires, devrait être publié fin juillet comme s'y est engagée la ministre du Logement Cécile Duflot.
Cette mesure d'urgence, souhaitée depuis longtemps par les associations de locataires, est prise par le gouvernement dans l'attente d'une loi-cadre sur le logement, comportant des dispositions relatives aux loyers, que Mme Duflot doit présenter au début de 2013.
Deux critères ont présidé au choix des agglomérations retenues pour voir s'appliquer cet encadrement: l'augmentation de l'indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour la révision des loyers d'habitation, doit être le double de la moyenne nationale pour la période 2002-2012, soit 3,2% par an, et le loyer doit être supérieur à 11,10 euros/m2, soit 1.110 euros pour un 100 m2.
Le nouveau dispositif prévoit que, dans les 41 agglomérations, le propriétaire ne peut pratiquer une hausse supérieure à celle de l'IRL.
Des dérogations sont prévues en cas de travaux ou si le loyer acquitté par l'ancien locataire avait été manifestement sous-évalué par rapport aux loyers pratiqués dans le voisinage.
Les Français globalement satisfaits
Ces dispositions provoquent la colère des propriétaires et des agents immobiliers.
"L'encadrement des loyers n'est pas une solution. Il faut construire plus de logements moins chers et obtenir que les logements vacants puissent être loués", déclare à l'AFP Jean Perrin, président de l'UNPI (Union nationale de la propriété immobilière), qui revendique 250.000 adhérents.
Pour Jean-François Buet, secrétaire général de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), "il y a beaucoup trop d'agglomérations concernées par le décret. Il y a forcément des villes où certains propriétaires ne vont plus vouloir louer leurs logements".
Mais près de 70% des Français se disent prêts à accepter l'encadrement des loyers en zones tendues selon deux sondages publiés fin juin.
Un sondage Ipsos pour le réseau d'agences immobilières Orpi montre que cette empathie vis-à-vis des zones tendues se reflète dans toutes les catégories socio-professionnelles.
Un sondage Harris commandé par le réseau Century 21 confirme cette tendance avec 74% des personnes interrogées qui se déclarent favorables au projet d'encadrement.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Le chiffre de la
semaine :
300.000. En 2011, près de
300.000 ménages ont pu,
pleinement, profiter du
prêt à taux zéro. En 2012,
en raison du rabotage des
avantages de cette mesure,
nombre de bénéficiaires
vont disparaître et les
projets de réalisation
d'acquisition, diminuer
semaine :
300.000. En 2011, près de
300.000 ménages ont pu,
pleinement, profiter du
prêt à taux zéro. En 2012,
en raison du rabotage des
avantages de cette mesure,
nombre de bénéficiaires
vont disparaître et les
projets de réalisation
d'acquisition, diminuer
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Je suis commerçant et en cette
qualité, possède un fonds de
commerce avec un bail...
commercial. Récemment, je me
suis aperçu que je réglais,
depuis des années, 60%
environ, de la taxe foncière
générale. La surface totale de
l’immeuble est de 460 m² et
j’occupe moi-même, en tant
q u ' e x p l o i t a n t de mon
commerce, moins de 100 m².
J'aimerais donc savoir s'il est
normal que je paie 60%de taxe
alors que j’occupe moins que le
quart de la surface complète du
bâtiment ?
En qualité de preneur à bail
commercial, il est d'usage que
le bailleur, dans le contrat de
location, mette à votre charge
le montant de la taxe foncière
de ce local. Néanmoins, la prise
en charge de 60%de cet impôt,
eu égard à la superficie exploitée
(environ un quart), me
semble quelque peu exagérée.
J'ignore quels sont les justificatifs
apportés par le propriétaire
bailleur à ce sujet, mais si
les explications ne vous convenaient
pas, il vous est loisible
de rencontrer un agent du Trésor
Public (Service des impôts
fonciers : 38, boulevard Baptiste
Bonnet - 13008 Marseille)
qui vous fournira un relevé de
matrice cadastrale sur lequel
figurera la quotepart de taxe
foncière que vous devez
contractuellement supporter.
A partir d'un document officiel,
il vous sera plus facile
d'obtenir gainde cause.
qualité, possède un fonds de
commerce avec un bail...
commercial. Récemment, je me
suis aperçu que je réglais,
depuis des années, 60%
environ, de la taxe foncière
générale. La surface totale de
l’immeuble est de 460 m² et
j’occupe moi-même, en tant
q u ' e x p l o i t a n t de mon
commerce, moins de 100 m².
J'aimerais donc savoir s'il est
normal que je paie 60%de taxe
alors que j’occupe moins que le
quart de la surface complète du
bâtiment ?
En qualité de preneur à bail
commercial, il est d'usage que
le bailleur, dans le contrat de
location, mette à votre charge
le montant de la taxe foncière
de ce local. Néanmoins, la prise
en charge de 60%de cet impôt,
eu égard à la superficie exploitée
(environ un quart), me
semble quelque peu exagérée.
J'ignore quels sont les justificatifs
apportés par le propriétaire
bailleur à ce sujet, mais si
les explications ne vous convenaient
pas, il vous est loisible
de rencontrer un agent du Trésor
Public (Service des impôts
fonciers : 38, boulevard Baptiste
Bonnet - 13008 Marseille)
qui vous fournira un relevé de
matrice cadastrale sur lequel
figurera la quotepart de taxe
foncière que vous devez
contractuellement supporter.
A partir d'un document officiel,
il vous sera plus facile
d'obtenir gainde cause.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Eco N IMPORTE QUOI CA RESSEMBLE A RIEN
FAIRE UNE COUPE DU MONDE A 55 DEGRES
MESSIEURS REVENEZ SUR TERRE
Le Qatar fait sauter la banque
Le 05/07/2012 | Mis à jour le 05/07/2012 07:55:34
Le Doha Port Stadium, l'un des stades futuristes en projet pour la Coupe du monde qatarie.
L'organisateur du Mondial 2022 s'inquiète de la crise de la dette en zone Euro qui risque de détourner les banques européennes de ses énormes besoins en financement
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
L'emploi aidé,
c'est l'avenir ?
D'après le ministre du Travail, Michel Sapin,
il semblerait que les «contrats aidés»
soient maintenus, pour 2013. Dans le même
temps, il est prévu, la création de
100.000 «contrats d'avenir». Rappelons,
pour information, que ces derniers concernent,
principalement, les jeunes qui quittent
le système scolaire sans diplôme ni
qualification. Quant aux premiers, il s'agit
de contrats de travail pour lesquels l'employeur
bénéficie d'aides (subventions, exonérations
de cotisations, etc.).
c'est l'avenir ?
D'après le ministre du Travail, Michel Sapin,
il semblerait que les «contrats aidés»
soient maintenus, pour 2013. Dans le même
temps, il est prévu, la création de
100.000 «contrats d'avenir». Rappelons,
pour information, que ces derniers concernent,
principalement, les jeunes qui quittent
le système scolaire sans diplôme ni
qualification. Quant aux premiers, il s'agit
de contrats de travail pour lesquels l'employeur
bénéficie d'aides (subventions, exonérations
de cotisations, etc.).
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
samedi 7 juillet 2012 22:49 | Par AFP67% des Français prêts à faire des efforts pour redresser les comptes
Une majorité de Français se dit prête à participer au redressement des comptes publics, mais choisit comme première piste pour y parvenir une augmentation de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), selon un sondage Ifop à paraître dans le Journal du Dimanche.
67% des personnes interrogées se déclarent "prêtes à faire des efforts" pour redresser les comptes du pays.
Mais si l'on devait augmenter les prélèvements obligatoires, cela devrait passer d'abord, selon elles, par
l'augmentation de l'ISF (pour 53% des sondés) et de l'impôt sur les bénéfices des sociétés (pour 44%).
EN CLAIR JE VEUX BIEN DE LA SOLIDARITE
MAIS QUE CE SOIT LES RICHES QUI COMMENCENT A NOUS DONNER A NOUS LES POVRES
Les Français ne sont en revanche que 26% à préconiser une "généralisation de l'impôt sur le revenu à tous les foyers", proportion qui tombe à 15% pour l'augmentation de la TVA et à 10% pour l'augmentation de l'impôt sur le revenu".
43% des sondés se disent "favorables" à une augmentation d'un point du taux de la CSG qui porterait sur "tous les revenus" et 36% à un relèvement d'un point du taux de la TVA qui porterait "sur tous les produits et services".
Enfin, à la question de savoir si les "classes moyennes et populaires" seront épargnées par les hausses d'impôts et des prélèvements, comme s'y est engagé le gouvernement, 84% des personnes interrogées répondent par la négative.
Ce sondage a été réalisé du 5 au 6 juillet par téléphone auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgé de 18 ans et plus.
.
Une majorité de Français se dit prête à participer au redressement des comptes publics, mais choisit comme première piste pour y parvenir une augmentation de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), selon un sondage Ifop à paraître dans le Journal du Dimanche.
67% des personnes interrogées se déclarent "prêtes à faire des efforts" pour redresser les comptes du pays.
Mais si l'on devait augmenter les prélèvements obligatoires, cela devrait passer d'abord, selon elles, par
l'augmentation de l'ISF (pour 53% des sondés) et de l'impôt sur les bénéfices des sociétés (pour 44%).
EN CLAIR JE VEUX BIEN DE LA SOLIDARITE
MAIS QUE CE SOIT LES RICHES QUI COMMENCENT A NOUS DONNER A NOUS LES POVRES
Les Français ne sont en revanche que 26% à préconiser une "généralisation de l'impôt sur le revenu à tous les foyers", proportion qui tombe à 15% pour l'augmentation de la TVA et à 10% pour l'augmentation de l'impôt sur le revenu".
43% des sondés se disent "favorables" à une augmentation d'un point du taux de la CSG qui porterait sur "tous les revenus" et 36% à un relèvement d'un point du taux de la TVA qui porterait "sur tous les produits et services".
Enfin, à la question de savoir si les "classes moyennes et populaires" seront épargnées par les hausses d'impôts et des prélèvements, comme s'y est engagé le gouvernement, 84% des personnes interrogées répondent par la négative.
Ce sondage a été réalisé du 5 au 6 juillet par téléphone auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatif de la population française âgé de 18 ans et plus.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
dimanche 8 juillet 2012 19:55 | Par AFPLes cadres pour un plafonnement du salaire des dirigeants
Près de 40% des cadres prévoient de quitter leur entreprise cette année et à une très large majorité ils sont pour un "plafonnement" du salaire des dirigeants, selon un baromètre Ifop pour le Journal du Dimanche.
80% des cadres interrogés adhèrent à l'idée d'une limitation du salaire des dirigeants, 39% y sont même "tout à fait favorables".
En moyenne, ils estiment à 407.816 euros le montant maximal de la rémunération brute devant être fixée à un dirigeant.
Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a décidé de plafonner à 450.000 euros annuels les rémunérations des dirigeants d'entreprises publiques.
Par ailleurs, une minorité de cadres, 42%, a été augmentée cette année (+3 points par rapport à 2011), de 3,1% en moyenne.
La tranche de salaire la plus élevée a été mieux servie (51% des personnes gagnant plus de 60.000 euros ont été augmentés) tandis que 65% des cadres n'ayant pas bénéficié de hausse de salaires gagnent moins de 35.000 euros sur l'année.
Par ailleurs, plus d'un cadre sur deux (52%) se dit ouvert aux opportunités ou en recherche d'un nouvel emploi, malgré une ancienneté de 11,4 années dans la même entreprise en moyenne. Parmi eux, plus d'un tiers (32%) a réalisé une démarche concrète au cours des six derniers mois, avec en moyenne onze candidatures posées et trois entretiens passés.
Enfin, 38% des cadres interrogés envisagent un changement d'entreprise, 32% un changement de métier et 31% un changement de secteur d'activité.
Sondage réalisé en ligne du 12 au 19 juin, selon la méthode des quotas, auprès d'un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population cadre sous contrat de droit privé
Près de 40% des cadres prévoient de quitter leur entreprise cette année et à une très large majorité ils sont pour un "plafonnement" du salaire des dirigeants, selon un baromètre Ifop pour le Journal du Dimanche.
80% des cadres interrogés adhèrent à l'idée d'une limitation du salaire des dirigeants, 39% y sont même "tout à fait favorables".
En moyenne, ils estiment à 407.816 euros le montant maximal de la rémunération brute devant être fixée à un dirigeant.
Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault a décidé de plafonner à 450.000 euros annuels les rémunérations des dirigeants d'entreprises publiques.
Par ailleurs, une minorité de cadres, 42%, a été augmentée cette année (+3 points par rapport à 2011), de 3,1% en moyenne.
La tranche de salaire la plus élevée a été mieux servie (51% des personnes gagnant plus de 60.000 euros ont été augmentés) tandis que 65% des cadres n'ayant pas bénéficié de hausse de salaires gagnent moins de 35.000 euros sur l'année.
Par ailleurs, plus d'un cadre sur deux (52%) se dit ouvert aux opportunités ou en recherche d'un nouvel emploi, malgré une ancienneté de 11,4 années dans la même entreprise en moyenne. Parmi eux, plus d'un tiers (32%) a réalisé une démarche concrète au cours des six derniers mois, avec en moyenne onze candidatures posées et trois entretiens passés.
Enfin, 38% des cadres interrogés envisagent un changement d'entreprise, 32% un changement de métier et 31% un changement de secteur d'activité.
Sondage réalisé en ligne du 12 au 19 juin, selon la méthode des quotas, auprès d'un échantillon de 1002 personnes, représentatif de la population cadre sous contrat de droit privé
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
ENTREPRISE
Eurocopters’aggrandit
et s’envole
À l’occasion d’une cérémonie
qui s’est tenue récemment, Eurocopter
a officialisé le projet
d’extension Eurosud. Ce nouvel
ensemble d’une surface de
11.000 m² accueillera des
sous-traitants du site de Marignane,
ainsi que les personnels
des services partagés d’EADS. Ce
projet vise à soutenir la croissance
du carnet de commandes du
groupe.
D’une capacité d’accueil de
750 personnes, ces nouveaux locaux
situés en face du site de Marignane
seront livrés au printemps
2013. "Ce programme
était essentiel pour accompagner
la montée en puissance de notre
production et honorer notre carnet
de commandes. Nous devions
repenser et, dans certains cas, optimiser
l’ensemble de notre organisation
industrielle, en y intégrant
nos partenaires sous-traitants.
Ainsi nous pourrons renforc
e r n o t r e c h a î n e d e
sous-traitance" s’est félicité, Joseph
Saporito, l’un des hauts responsables
du groupe.
Vingt-deux millions d’euros
sont investis par EADS dans ce
grand programme réalisé par lepromoteur
Lazard Group, propriétaire
du terrain. Ces investissements
permettront de réaliser
un complexe conçu par le cabinet
d’architectes Cardete&Huet
composé de trois bâtiments basse
consommation (norme RT
2005) ainsi que 800 places de parkings
dont un silo de 500 places
Eurocopters’aggrandit
et s’envole
À l’occasion d’une cérémonie
qui s’est tenue récemment, Eurocopter
a officialisé le projet
d’extension Eurosud. Ce nouvel
ensemble d’une surface de
11.000 m² accueillera des
sous-traitants du site de Marignane,
ainsi que les personnels
des services partagés d’EADS. Ce
projet vise à soutenir la croissance
du carnet de commandes du
groupe.
D’une capacité d’accueil de
750 personnes, ces nouveaux locaux
situés en face du site de Marignane
seront livrés au printemps
2013. "Ce programme
était essentiel pour accompagner
la montée en puissance de notre
production et honorer notre carnet
de commandes. Nous devions
repenser et, dans certains cas, optimiser
l’ensemble de notre organisation
industrielle, en y intégrant
nos partenaires sous-traitants.
Ainsi nous pourrons renforc
e r n o t r e c h a î n e d e
sous-traitance" s’est félicité, Joseph
Saporito, l’un des hauts responsables
du groupe.
Vingt-deux millions d’euros
sont investis par EADS dans ce
grand programme réalisé par lepromoteur
Lazard Group, propriétaire
du terrain. Ces investissements
permettront de réaliser
un complexe conçu par le cabinet
d’architectes Cardete&Huet
composé de trois bâtiments basse
consommation (norme RT
2005) ainsi que 800 places de parkings
dont un silo de 500 places
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
2% c'est deja mieux que 4% prevus
Mise à jour : lundi 9 juillet 2012 22:25 | Une hausse de 2% maximum cet été pour le train, le gaz et l'électricité
Le gouvernement a proposé lundi de limiter à 2% la hausse des tarifs réglementés du train (hors TGV), du gaz et de l'électricité, soit environ l'inflation, "une mesure de protection du pouvoir d'achat" que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait déjà en partie dévoilée.
Si deux organes (le Conseil Supérieur de l'Energie et la Commission de Régulation de l'Energie) doivent être consultés à propos du projet d'arrêté, cette "proposition" a dans les faits valeur de décision, leur avis étant consultatifs.
La SNCF, EDF et GDF Suez vont donc voir leur tarifs limités cet été: la hausse plafonnée des prix des trains Intercités et des TER est prévue pour le 1er août, celles du gaz et de l'électricité étant attendues le lendemain de la parution de l'arrêté ministériel. Soit normalement le 20 juillet, indique un responsable du ministère de l'Ecologie.
La décision ne vaut que pour les mouvements tarifaires prévus cet été, a-t-il précisé, alors qu'un grand chamboule-tout des prix du gaz et de l'électricité se profile dans les mois à venir.
Lors de son passage au journal de 20 heures de TF1, Jean-Marc Ayrault avait déjà largement dévoilé ce dispositif, en indiquant qu'il refuserait une hausse des prix de l'énergie supérieure à l'inflation.
Il n'avait néanmoins pas indiqué que la SNCF, dont la dernière hausse remonte à début janvier (+3,2%), serait également concernée.
La compagnie a expliqué que cette hausse signifierait une augmentation de 10 à 90 centimes d'euro.
"Alors que près de 8 millions de Français sont confrontés à la précarité énergétique, le gouvernement souhaite tout mettre en oeuvre pour protéger le budget des ménages, et en particulier des catégories populaires et moyennes", soulignent les ministères concernés lundi.
Enthousiasme limité
La principale fédération d'usagers de transports, la Fnaut, a fait preuve d'un enthousiasme limité. "L'augmentation est calée sur l'inflation, donc on ne peut donc pas faire plus neutre en termes de hausse de tarifs", a dit son vice-président Jean Lenoir à l'AFP.
Les tensions potentiellement les plus fortes sont à aller chercher du côté de GDF Suez, engagé depuis des mois dans une bataille avec l'Etat au sujet des prix du gaz, le gouvernement contournant à plusieurs reprises l'application de la formule légale.
Le groupe, qui sert un peu moins de 10 millions de foyers abonnés au gaz, demandait une hausse proche de 4 à 5% à compter du mois de juillet sur la base de la formule légale, selon deux sources proches du dossier.
Mais selon une autre source proche des négociations, l'opérateur gazier historique réclamait en réalité une hausse totale de 8,1%. "C'était inconcevable", a résumé cette source.
GDF Suez est engagé depuis des mois dans une bataille avec l'Etat au sujet des prix du gaz, le gouvernement de François Fillon ayant gelé les tarifs en 2011 à l'approche des échéances électorales. Un gel qui a déjà coûté plusieurs centaines de millions d'euros à GDF Suez.
Le gouvernement ne cache pas dans son communiqué qu'"il s'agit d'une mesure de protection du pouvoir d'achat alors qu'entre 2008 et 2012, les prix du gaz ont augmenté de 31,2%, ce qui a représenté en moyenne une hausse de 232 euros par an pour un foyer se chauffant au gaz".
Mais l'Etat s'expose néanmoins potentiellement à de nouveaux recours du groupe énergétique dirigé par Gérard Mestrallet, qui avait obtenu gain de cause devant le Conseil d'Etat en novembre dernier.
Interrogé par l'AFP, GDF Suez s'est refusé à tout commentaire.
Mise à jour : lundi 9 juillet 2012 22:25 | Une hausse de 2% maximum cet été pour le train, le gaz et l'électricité
Le gouvernement a proposé lundi de limiter à 2% la hausse des tarifs réglementés du train (hors TGV), du gaz et de l'électricité, soit environ l'inflation, "une mesure de protection du pouvoir d'achat" que le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait déjà en partie dévoilée.
Si deux organes (le Conseil Supérieur de l'Energie et la Commission de Régulation de l'Energie) doivent être consultés à propos du projet d'arrêté, cette "proposition" a dans les faits valeur de décision, leur avis étant consultatifs.
La SNCF, EDF et GDF Suez vont donc voir leur tarifs limités cet été: la hausse plafonnée des prix des trains Intercités et des TER est prévue pour le 1er août, celles du gaz et de l'électricité étant attendues le lendemain de la parution de l'arrêté ministériel. Soit normalement le 20 juillet, indique un responsable du ministère de l'Ecologie.
La décision ne vaut que pour les mouvements tarifaires prévus cet été, a-t-il précisé, alors qu'un grand chamboule-tout des prix du gaz et de l'électricité se profile dans les mois à venir.
Lors de son passage au journal de 20 heures de TF1, Jean-Marc Ayrault avait déjà largement dévoilé ce dispositif, en indiquant qu'il refuserait une hausse des prix de l'énergie supérieure à l'inflation.
Il n'avait néanmoins pas indiqué que la SNCF, dont la dernière hausse remonte à début janvier (+3,2%), serait également concernée.
La compagnie a expliqué que cette hausse signifierait une augmentation de 10 à 90 centimes d'euro.
"Alors que près de 8 millions de Français sont confrontés à la précarité énergétique, le gouvernement souhaite tout mettre en oeuvre pour protéger le budget des ménages, et en particulier des catégories populaires et moyennes", soulignent les ministères concernés lundi.
Enthousiasme limité
La principale fédération d'usagers de transports, la Fnaut, a fait preuve d'un enthousiasme limité. "L'augmentation est calée sur l'inflation, donc on ne peut donc pas faire plus neutre en termes de hausse de tarifs", a dit son vice-président Jean Lenoir à l'AFP.
Les tensions potentiellement les plus fortes sont à aller chercher du côté de GDF Suez, engagé depuis des mois dans une bataille avec l'Etat au sujet des prix du gaz, le gouvernement contournant à plusieurs reprises l'application de la formule légale.
Le groupe, qui sert un peu moins de 10 millions de foyers abonnés au gaz, demandait une hausse proche de 4 à 5% à compter du mois de juillet sur la base de la formule légale, selon deux sources proches du dossier.
Mais selon une autre source proche des négociations, l'opérateur gazier historique réclamait en réalité une hausse totale de 8,1%. "C'était inconcevable", a résumé cette source.
GDF Suez est engagé depuis des mois dans une bataille avec l'Etat au sujet des prix du gaz, le gouvernement de François Fillon ayant gelé les tarifs en 2011 à l'approche des échéances électorales. Un gel qui a déjà coûté plusieurs centaines de millions d'euros à GDF Suez.
Le gouvernement ne cache pas dans son communiqué qu'"il s'agit d'une mesure de protection du pouvoir d'achat alors qu'entre 2008 et 2012, les prix du gaz ont augmenté de 31,2%, ce qui a représenté en moyenne une hausse de 232 euros par an pour un foyer se chauffant au gaz".
Mais l'Etat s'expose néanmoins potentiellement à de nouveaux recours du groupe énergétique dirigé par Gérard Mestrallet, qui avait obtenu gain de cause devant le Conseil d'Etat en novembre dernier.
Interrogé par l'AFP, GDF Suez s'est refusé à tout commentaire.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Cet été, la fabrication secrète
de la poutargue se dévoile
ÀPort-de-Bouc, la conserverie Lou Mujou
ouvre ses portes au public
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
mardi 10 juillet 2012 20:34 | Par AFPAirbus décroche un contrat de 4,2 milliards de dollars avec Cathay Pacific
Airbus a créé la surprise mardi en décrochant une importante commande de 4,2 milliards de dollars pour son futur long-courrier A350 qui viendra concurrencer les Boeing 787 et 777, au deuxième jour du salon de Farnborough.
La compagnie aérienne de Hong Kong, Cathay Pacific, va acheter dix A350-1000, les plus gros avions de cette famille, pour un prix catalogue de 3,2 milliards de dollars.
Elle convertit en outre une commande de 16 A350-900 en achat d'A350-1000, s'est réjoui John Leahy, le directeur commercial de l'avionneur européen, portant la valeur totale de cette transaction à 4,2 milliards de dollars.
Cette commande est d'autant plus notable que l'A350-1000 rencontrait moins de succès que les deux autres modèles de la même famille.
L'A350, un avion largement construit en matériaux composites, se décline en trois versions: l'A350-900 (300 sièges), attendu en 2014, l'A350-800 (250 sièges en configuration trois classes) qui ne sera disponible qu'en 2016, et l'A350-1000 (350 sièges) qui n'est pas attendu avant 2017.
A fin juin, Airbus enregistrait 548 commandes pour son A350 dont seulement 62 pour l'A350-1000.
"C'est une commande significative qui valide les choix technologiques d'Airbus décidés l'an passé", a commenté Christophe Menard, analyste chez Kepler capital markets, rappelant que l'avionneur avait procédé à des modifications notamment sur les moteurs, à la demande de ses clients.
Cette annonce permet en outre à Airbus de revenir dans la course à Farnborough, l'un des plus grands rendez-vous aéronautiques de la planète, face à son grand rival américain, Boeing, qui a remporté lundi un contrat estimé à 7,2 milliards de dollars auprès de la société américaine de location-vente d'avions Air Lease Corporation.
Boeing a par ailleurs signé mardi deux lettres d'intentions pour vendre des 737 à d'autres sociétés de leasing: 100 modèles du moyen-courrier 737 à GE Capital Aviation Services (GECAS) et 20 à Alafco, basée au Koweït.
La première transaction peut rapporter potentiellement 9,2 milliards de dollars au prix catalogue, la seconde 1,9 milliard.
Bien que Boeing doive encore annoncer de nouvelles transactions à Farnborough, il est encore loin de rattraper Airbus sur le marché des moyen-courriers remotorisés.
L'avionneur européen a engrangé plus de 1.400 commandes fermes pour son A320 neo quand l'américain fait état de plus d'un millier de commandes et intentions d'achat pour le 737 MAX.
Si Airbus doit encore faire deux annonces mercredi, il reconnaît lui-même qu'il ne décrochera pas toutes les commandes qu'il escomptait à Farnborough.
Le constructeur canadien de jets régionaux Bombardier a de son côté recueilli des marques d'intérêt pour ses futurs monocouloirs CSeries. Avec ces appareils de 110 et 130 places, dont la première livraison est prévue fin 2013, il vise le marché des plus petits monocouloirs du duopole Boeing-Airbus.
Il a signé une lettre d'intention pour vendre à la compagnie lettone AirBaltic jusqu'à 20 appareils, pour 1,57 milliard de dollars.
A ce jour, les CSeries ont totalisé 138 commandes fermes.
Un autre concurrent, SuperJet international, coentreprise du russe Soukhoï et de l'italien Alenia (Finmeccanica), a, lui, annoncé que la compagnie aérienne mexicaine Interjet avait converti cinq options d'achat du Superjet 100 en commande ferme.
Enfin, comme toujours, les carnets commandes des constructeurs alimentent substantiellement ceux des motoristes.
CFM international, société commune de Snecma (groupe français Safran) et de l'américain General Electric, a déjà engrangé des contrats pour près de 5 milliards de dollars depuis le début du salon, même si certains doivent encore être confirmés
Airbus a créé la surprise mardi en décrochant une importante commande de 4,2 milliards de dollars pour son futur long-courrier A350 qui viendra concurrencer les Boeing 787 et 777, au deuxième jour du salon de Farnborough.
La compagnie aérienne de Hong Kong, Cathay Pacific, va acheter dix A350-1000, les plus gros avions de cette famille, pour un prix catalogue de 3,2 milliards de dollars.
Elle convertit en outre une commande de 16 A350-900 en achat d'A350-1000, s'est réjoui John Leahy, le directeur commercial de l'avionneur européen, portant la valeur totale de cette transaction à 4,2 milliards de dollars.
Cette commande est d'autant plus notable que l'A350-1000 rencontrait moins de succès que les deux autres modèles de la même famille.
L'A350, un avion largement construit en matériaux composites, se décline en trois versions: l'A350-900 (300 sièges), attendu en 2014, l'A350-800 (250 sièges en configuration trois classes) qui ne sera disponible qu'en 2016, et l'A350-1000 (350 sièges) qui n'est pas attendu avant 2017.
A fin juin, Airbus enregistrait 548 commandes pour son A350 dont seulement 62 pour l'A350-1000.
"C'est une commande significative qui valide les choix technologiques d'Airbus décidés l'an passé", a commenté Christophe Menard, analyste chez Kepler capital markets, rappelant que l'avionneur avait procédé à des modifications notamment sur les moteurs, à la demande de ses clients.
Cette annonce permet en outre à Airbus de revenir dans la course à Farnborough, l'un des plus grands rendez-vous aéronautiques de la planète, face à son grand rival américain, Boeing, qui a remporté lundi un contrat estimé à 7,2 milliards de dollars auprès de la société américaine de location-vente d'avions Air Lease Corporation.
Boeing a par ailleurs signé mardi deux lettres d'intentions pour vendre des 737 à d'autres sociétés de leasing: 100 modèles du moyen-courrier 737 à GE Capital Aviation Services (GECAS) et 20 à Alafco, basée au Koweït.
La première transaction peut rapporter potentiellement 9,2 milliards de dollars au prix catalogue, la seconde 1,9 milliard.
Bien que Boeing doive encore annoncer de nouvelles transactions à Farnborough, il est encore loin de rattraper Airbus sur le marché des moyen-courriers remotorisés.
L'avionneur européen a engrangé plus de 1.400 commandes fermes pour son A320 neo quand l'américain fait état de plus d'un millier de commandes et intentions d'achat pour le 737 MAX.
Si Airbus doit encore faire deux annonces mercredi, il reconnaît lui-même qu'il ne décrochera pas toutes les commandes qu'il escomptait à Farnborough.
Le constructeur canadien de jets régionaux Bombardier a de son côté recueilli des marques d'intérêt pour ses futurs monocouloirs CSeries. Avec ces appareils de 110 et 130 places, dont la première livraison est prévue fin 2013, il vise le marché des plus petits monocouloirs du duopole Boeing-Airbus.
Il a signé une lettre d'intention pour vendre à la compagnie lettone AirBaltic jusqu'à 20 appareils, pour 1,57 milliard de dollars.
A ce jour, les CSeries ont totalisé 138 commandes fermes.
Un autre concurrent, SuperJet international, coentreprise du russe Soukhoï et de l'italien Alenia (Finmeccanica), a, lui, annoncé que la compagnie aérienne mexicaine Interjet avait converti cinq options d'achat du Superjet 100 en commande ferme.
Enfin, comme toujours, les carnets commandes des constructeurs alimentent substantiellement ceux des motoristes.
CFM international, société commune de Snecma (groupe français Safran) et de l'américain General Electric, a déjà engrangé des contrats pour près de 5 milliards de dollars depuis le début du salon, même si certains doivent encore être confirmés
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Eco Agenda : les rendez-vous du jour Publié le mardi 10 juillet 2012 à 07H34
MARDI 10 JUILLET
9H-11H, Marseille. Marseille Innovation forme à la sécurité économique de l'entreprise à travers une session intitulée "la protection de l'information stratégique de l'entreprise". En présence de Laurence Lecerf de la direction zonale du Renseignement intérieur et de Michel Fiocchi, le directeur du développement et de l'innovation et délégué aux relations industrielles de l'Ecole des Mines de Gardanne. Lieu : Pépinière du Technopôle de Château-Gombert - Hôtel Technologique
9H30-17H, Marseille. Rencontres régionales de l'Open Data organisées par le Conseil régional Paca et la Fing. Depuis 2009 dans le monde, des territoires, des villes importantes comme des plus modestes, rendent accessibles gratuitement les données numériques des acteurs publics. A partir de ces données ouvertes, ou "Open Data", vous pouvez concevoir et réaliser des applications innovantes sur le web ou sur mobile.
11H, sur LaProvence.com.
Talk Business La Provence en partenariat avec Provence Business Angels et Marseille Innovation. Invitée : Sarah Lacroix,la jeune patronne-fondatrice du site spécialisé dans l'oenotourisme mon-vigneron.com. A suivre à partir de 11H dans la chaîne Eco de notre site.
MARDI 10 JUILLET
9H-11H, Marseille. Marseille Innovation forme à la sécurité économique de l'entreprise à travers une session intitulée "la protection de l'information stratégique de l'entreprise". En présence de Laurence Lecerf de la direction zonale du Renseignement intérieur et de Michel Fiocchi, le directeur du développement et de l'innovation et délégué aux relations industrielles de l'Ecole des Mines de Gardanne. Lieu : Pépinière du Technopôle de Château-Gombert - Hôtel Technologique
9H30-17H, Marseille. Rencontres régionales de l'Open Data organisées par le Conseil régional Paca et la Fing. Depuis 2009 dans le monde, des territoires, des villes importantes comme des plus modestes, rendent accessibles gratuitement les données numériques des acteurs publics. A partir de ces données ouvertes, ou "Open Data", vous pouvez concevoir et réaliser des applications innovantes sur le web ou sur mobile.
11H, sur LaProvence.com.
Talk Business La Provence en partenariat avec Provence Business Angels et Marseille Innovation. Invitée : Sarah Lacroix,la jeune patronne-fondatrice du site spécialisé dans l'oenotourisme mon-vigneron.com. A suivre à partir de 11H dans la chaîne Eco de notre site.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Arrêt de la production à PSA Aulnay? Une histoire écrite à l'avance
L'arrêt de la production à l'usine PSA d'Aulnay à l'horizon 2014, qui pourrait être annoncé jeudi, était inscrit dans un scénario révélé à grand fracas par la CGT en juin 2011 et finalement appliqué à la lettre par le constructeur, malgré la mobilisation des syndicats depuis un an.
----Annonçant une conférence de presse pour le 9 juin 2011, la CGT de PSA promet "des révélations". Ce sera une vraie détonation: est rendu public un document confidentiel prévoyant la fermeture de l'usine d'Aulnay (Seine-Saint-Denis) courant 2014 et la montée en charge de Poissy (Yvelines). Les sites de SevelNord (co-entreprise avec Fiat) et de Madrid sont aussi menacés.
La perspective d'une fermeture du site historique d'Aulnay (3.600 salariés à l'époque) provoque de très vives réactions.
Le constructeur répond: "la fermeture d'Aulnay n'est pas d'actualité", une formule dont il ne démordra jamais et qui permet de calmer le jeu tout en laissant la porte ouverte à une telle perspective.
PSA affirme alors que la note révélée par la CGT est un document de travail de 2010 et non un relevé de décisions.
Le document est clair: "annonce d'un pôle unique en région parisienne fin 2012" (Poissy), "plan social et décroissance: 2013 et arrêt courant 2014". Précision: "cession du terrain d'Aulnay estimé à 300 millions d'euros". Est également mentionné une "fenêtre d'annonce possible, dans le calendrier électoral français, au 2e semestre 2012".
La CGT, rapidement rejointe par les autres syndicats du site, n'aura alors de cesse de demander la garantie de la production à Aulnay jusqu'en 2016 et la réattribution d'un nouveau modèle.
En vain.
"Jamais de promesses irresponsables"
Interpellé par la presse en 2011, Denis Martin, directeur industriel du groupe, répond: "Nous ne faisons jamais de promesses irresponsables"... Le dirigeant indique par contre avoir évoqué avec les syndicats la compétitivité pour les petits modèles (comme la C3 d'Aulnay). Rien de rassurant.
D'autant que le site d'Aulnay est en perte de vitesse depuis plusieurs années. Le site employait 5.400 personnes en 2004, année qui a vu 418.000 véhicules sortir de l'usine.
A partir de là, un ralentissement s'amorce. En 2008, l'une des deux chaînes de production est supprimée. En octobre 2010, c'est l'équipe de nuit qui disparaît. Aujourd'hui, il reste 3.000 CDI et environ 300 intérimaires, sans compter les sous-traitants. Seulement 135.000 véhicules y ont été produits l'an dernier.
En septembre 2011, l'inquiétude s'étend au groupe, Philippe Varin, le patron de PSA, multipliant les déclarations sur des sureffectifs.
De CCE en CCE, PSA abat petit à petit ses cartes et annonce finalement en octobre et en décembre vouloir supprimer 6.000 postes en Europe en 2012. En France, 1.900 postes sont visés et 2.400 chez des prestataires. Tous les sites sont touchés.
Economiser un milliard
L'objectif: économiser 1 milliard par an.
L'année 2012 débute sans fanfare: les résultats 2011 sont négatifs pour la branche automobile (- 92 M), nouveau repli prévu du marché européen (60% des ventes de PSA), cessions d'actifs.
Pendant la campagne présidentielle, les salariés d'Aulnay ressortent un peu de l'oubli: Nicolas Sarkozy voit Philippe Varin à l'Elysée, des salariés manifestent devant France Télévisions le soir du débat Sarkozy-Hollande. Puis, Arnaud Montebourg, devenu ministre du Redressement productif, reçoit les syndicats, et encore M. Varin.
L'inquiétude demeure intacte. Aucun engagement ne sera jamais donné par le groupe "au delà de 2014".
Fin juin, relayant les syndicats et des élus de Seine-Saint-Denis, le gouvernement demande à PSA de "préciser rapidement ses intentions".
Le quotidien Les Echos titre en Une: "Peugeot-Citroën sacrifie son site historique d'Aulnay".
Deux CCE extraordinaires sont convoqués les 12 et 25 juillet.
.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Pouvez-vous m’indiquer la taxe que
j’aurai à payer, après application de
la nouvelle loi sur la plus-value
applicable à compter 1 février 2012
sur ma résidence secondaire,
sachant qu'elle a été achetée en
1987 : 39.636 €, soit : 44.713 €avec
les frais de notaire. Son prix de
vente : 140.000 € frais d'agence
inclus (133.000€hors frais) ?
La taxe à payer sera calculée ainsi :
prix d’achat : 39.636 ¤ dont 5077 ¤ de
frais. En l’absence de justificatif, un
chiffre forfaire de 7,50 % sera appliqué.
Dépenses travaux : forfait de
15% possible car vous êtes propriétaire
depuis plus de 5 ans : 5 945 ¤.
Total : 50.658 ¤.
Pour un prix de vente net de 133.000
¤, vous avez le droit de déduire la
commission d’agence et les factures
pour les diagnostics. La plus-value
est de 82.342 ¤. Concernant l'abattement
pour durée de détention, il faudrait
connaître la date exacte de
l’achat, je suppose avril 1987 et une
signature en mars 2012, soit le calcul
suivant : 2011-1987 = 24 ans.
L’abattement est de 52 %, - 42.817 ¤.
Reste taxable : 39 525 ¤. Quant à l'imposition,
elle est de 32,50 %, soit :
12.846 ¤. Comme vous pouvez le
constater la date de signature de
l’acte de vente a une influence sur
l’abattement, il faut donc avoir demandé
conseil à son notaire avant
de signer un compromis afin de ne
pas «subir» une date imposée par un
acquéreur. Le notaire vérifiera aussi
si vous ne bénéficiez pas d’une exonération
: par exemple, si la vente intervient
dans un délai inférieur à 2
ans de l’entrée en maison de retraite
médicalisée ou si vous êtes titulaire
d’une pension de retraite et si votre
revenu fiscal n’excède pas un certain
seuil.
j’aurai à payer, après application de
la nouvelle loi sur la plus-value
applicable à compter 1 février 2012
sur ma résidence secondaire,
sachant qu'elle a été achetée en
1987 : 39.636 €, soit : 44.713 €avec
les frais de notaire. Son prix de
vente : 140.000 € frais d'agence
inclus (133.000€hors frais) ?
La taxe à payer sera calculée ainsi :
prix d’achat : 39.636 ¤ dont 5077 ¤ de
frais. En l’absence de justificatif, un
chiffre forfaire de 7,50 % sera appliqué.
Dépenses travaux : forfait de
15% possible car vous êtes propriétaire
depuis plus de 5 ans : 5 945 ¤.
Total : 50.658 ¤.
Pour un prix de vente net de 133.000
¤, vous avez le droit de déduire la
commission d’agence et les factures
pour les diagnostics. La plus-value
est de 82.342 ¤. Concernant l'abattement
pour durée de détention, il faudrait
connaître la date exacte de
l’achat, je suppose avril 1987 et une
signature en mars 2012, soit le calcul
suivant : 2011-1987 = 24 ans.
L’abattement est de 52 %, - 42.817 ¤.
Reste taxable : 39 525 ¤. Quant à l'imposition,
elle est de 32,50 %, soit :
12.846 ¤. Comme vous pouvez le
constater la date de signature de
l’acte de vente a une influence sur
l’abattement, il faut donc avoir demandé
conseil à son notaire avant
de signer un compromis afin de ne
pas «subir» une date imposée par un
acquéreur. Le notaire vérifiera aussi
si vous ne bénéficiez pas d’une exonération
: par exemple, si la vente intervient
dans un délai inférieur à 2
ans de l’entrée en maison de retraite
médicalisée ou si vous êtes titulaire
d’une pension de retraite et si votre
revenu fiscal n’excède pas un certain
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
: jeudi 12 juillet 2012 18:58 | Par AFPLes Travaux Publics vont supprimer 6.000 emplois permanents en 2012
Le secteur des travaux publics, qui a annoncé jeudi la suppression de 6.000 emplois permanents en 2012 après la révision à la baisse de son activité, réclame la création d'une banque publique dévolue au secteur pour ne pas connaître à nouveau la crise comme au début des années 90.
"Il existe un risque réel que le nombre de suppressions d'emplois permanents monte à 15.000 d'ici mi-2013", a déclaré Patrick Bernasconi, président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), lors d'une conférence de presse.
Au cours des cinq dernières années, le secteur (40 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2011 avec 280.000 salariés employés) aura perdu 20.000 emplois, dont 6.000 sur la seule année 2012, selon la FNTP.
"Tous les indicateurs ont basculé dans le rouge depuis le début de l'année", a souligné M. Bernasconi pour expliquer ces suppressions d'emplois.
La FNTP a annoncé qu'elle revoyait à la baisse sa prévision d'activité pour l'ensemble de l'année 2012, tablant sur une baisse de 3% (contre -1% précédemment) par rapport à 2011, en raison de la dégradation de l'économie française et des difficultés financières des collectivités locales.
Comparé au record de l'année 2007, le volume d'activité sera en baisse de 20% en 2012 et reviendra au niveau d'il y a 10 ans.
Pour le seul premier semestre, les heures travaillées par les ouvriers permanents et intérimaires sont en baisse de 7,5% par rapport aux six premiers mois de 2011 et l'activité a reculé de 2,7% en volume.
Les marchés conclus sont quant à eux en baisse de 16% depuis le début 2012.
- Des grands projets menacés -
Mais la FNTP est surtout inquiète pour l'avenir. Notamment après les propos mercredi du ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac pour qui "le gouvernement n'aura pas d'autre choix que d'abandonner certains projets" d'infrastructures de transport.
Le Schéma national des infrastructures de transports (Snit), prévu par la loi Grenelle 1, établi sous le précédent gouvernement, fixait à 245 milliards d'euros sur 25 ans l'enveloppe nécessaire pour moderniser et entretenir les infrastructures existantes tout en développant de nouvelles installations.
Mais le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, a annoncé, après des critiques de la Cour des Comptes qui pointait l'absence de financement du Snit, qu'une commission va hiérarchiser les projets et juger de leur faisabilité financière.
"Il est nécessaire de choisir, hiérarchiser et programmer rapidement en septembre", affirme M. Bernasconi.
Aussi, après l'annulation de la concession pour la rocade autoroutière "Grand Contournement ouest" (GCO) de Strasbourg, attribué à Vinci, la FNTP affirme que "des interrogations majeures se posent sur le canal Seine-Nord, la ligne à grande vitesse (LGV) Lyon-Turin ou l'aéroport Notre-Dame-des-Landes", près de Nantes, la ville du Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Mais, a cause "de l'assèchement préoccupant du crédit au collectivités locales et des difficultés à mettre en place la nouvelle banque devant remplacer Dexia", la principale priorité pour la FNTP concerne "la mise en place d'une banque publique d'investissessement local" dont l'actionnaire de référence serait la Caisse des Dépôts (CDC) avec des "équipes de terrain" de Dexia.
La banque franco-belge Dexia en faillite a engagé un processus de reprise des activités de financement des collectivités locales françaises par une banque des collectivités, fruit d'une coopération entre la Banque Postale et la CDC.
"Mais cette idée d'une banque à 2 têtes ne peut pas fonctionner. D'ailleurs la CDC et la Banque Postale ne veulent pas travailler ensemble", assure sans détour M. Bernasconi.
.
Le secteur des travaux publics, qui a annoncé jeudi la suppression de 6.000 emplois permanents en 2012 après la révision à la baisse de son activité, réclame la création d'une banque publique dévolue au secteur pour ne pas connaître à nouveau la crise comme au début des années 90.
"Il existe un risque réel que le nombre de suppressions d'emplois permanents monte à 15.000 d'ici mi-2013", a déclaré Patrick Bernasconi, président de la Fédération nationale des travaux publics (FNTP), lors d'une conférence de presse.
Au cours des cinq dernières années, le secteur (40 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2011 avec 280.000 salariés employés) aura perdu 20.000 emplois, dont 6.000 sur la seule année 2012, selon la FNTP.
"Tous les indicateurs ont basculé dans le rouge depuis le début de l'année", a souligné M. Bernasconi pour expliquer ces suppressions d'emplois.
La FNTP a annoncé qu'elle revoyait à la baisse sa prévision d'activité pour l'ensemble de l'année 2012, tablant sur une baisse de 3% (contre -1% précédemment) par rapport à 2011, en raison de la dégradation de l'économie française et des difficultés financières des collectivités locales.
Comparé au record de l'année 2007, le volume d'activité sera en baisse de 20% en 2012 et reviendra au niveau d'il y a 10 ans.
Pour le seul premier semestre, les heures travaillées par les ouvriers permanents et intérimaires sont en baisse de 7,5% par rapport aux six premiers mois de 2011 et l'activité a reculé de 2,7% en volume.
Les marchés conclus sont quant à eux en baisse de 16% depuis le début 2012.
- Des grands projets menacés -
Mais la FNTP est surtout inquiète pour l'avenir. Notamment après les propos mercredi du ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac pour qui "le gouvernement n'aura pas d'autre choix que d'abandonner certains projets" d'infrastructures de transport.
Le Schéma national des infrastructures de transports (Snit), prévu par la loi Grenelle 1, établi sous le précédent gouvernement, fixait à 245 milliards d'euros sur 25 ans l'enveloppe nécessaire pour moderniser et entretenir les infrastructures existantes tout en développant de nouvelles installations.
Mais le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, a annoncé, après des critiques de la Cour des Comptes qui pointait l'absence de financement du Snit, qu'une commission va hiérarchiser les projets et juger de leur faisabilité financière.
"Il est nécessaire de choisir, hiérarchiser et programmer rapidement en septembre", affirme M. Bernasconi.
Aussi, après l'annulation de la concession pour la rocade autoroutière "Grand Contournement ouest" (GCO) de Strasbourg, attribué à Vinci, la FNTP affirme que "des interrogations majeures se posent sur le canal Seine-Nord, la ligne à grande vitesse (LGV) Lyon-Turin ou l'aéroport Notre-Dame-des-Landes", près de Nantes, la ville du Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
Mais, a cause "de l'assèchement préoccupant du crédit au collectivités locales et des difficultés à mettre en place la nouvelle banque devant remplacer Dexia", la principale priorité pour la FNTP concerne "la mise en place d'une banque publique d'investissessement local" dont l'actionnaire de référence serait la Caisse des Dépôts (CDC) avec des "équipes de terrain" de Dexia.
La banque franco-belge Dexia en faillite a engagé un processus de reprise des activités de financement des collectivités locales françaises par une banque des collectivités, fruit d'une coopération entre la Banque Postale et la CDC.
"Mais cette idée d'une banque à 2 têtes ne peut pas fonctionner. D'ailleurs la CDC et la Banque Postale ne veulent pas travailler ensemble", assure sans détour M. Bernasconi.
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aladin- Messages : 115038
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
POLITIQUE ● Copé et
Hortefeux reçusàdéjeuner par
Sarkozy. Le secrétaire général
de l’UMP Jean-François Copé
et Brice Hortefeux ont été
conviés hier à déjeuner par
l’ancien président Nicolas
Sarkozy, dans les bureaux parisiens
de celui-ci.
Sur le plateau
de BFM-TV, M. Copé, qui devrait
être candidat face à François
Fillon à la présidence de
l’UMP en novembre, y a vu le
signe d’"une amitié, peut-être
même une affection" de la part
de l’ancien chef de l’État
à la fin du repas carla a entonné la chansonnette comme au bon vieux temps ou elle vendait des disques
Hortefeux reçusàdéjeuner par
Sarkozy. Le secrétaire général
de l’UMP Jean-François Copé
et Brice Hortefeux ont été
conviés hier à déjeuner par
l’ancien président Nicolas
Sarkozy, dans les bureaux parisiens
de celui-ci.
Sur le plateau
de BFM-TV, M. Copé, qui devrait
être candidat face à François
Fillon à la présidence de
l’UMP en novembre, y a vu le
signe d’"une amitié, peut-être
même une affection" de la part
de l’ancien chef de l’État
à la fin du repas carla a entonné la chansonnette comme au bon vieux temps ou elle vendait des disques
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
-PSG
Raiola compare "Ibra" à La Joconde
Le 13/07/2012 | Mis à jour le 13/07/2012 12:28:22
«Paris pourrait réaliser un rêve en achetant Zlatan», déclare l'agent de linternational suédois.
Mino Raiola, l'agent de Zlatan Ibrahimovic, est arrivé ce midi au Parc des Princes pour poursuivre les discussions avec Leonardo au sujet du contrat de l'international suédois. Il compare l'attaquant de l'AC Milan à une oeuvre d'art.
Alors qu'il a repris ce vendredi midi ses discussions avec Leonardo au sujet du contrat de Zlatan Ibrahimovic, Mino Raiola, l'agent de l'attaquant suédois, vient de se confier au journal suédois SPORT-Expressen.
«Dire que Zlatan ne court qu'après l'argent, ce sont des conneries, assure l'homme qui défend aussi les intérêts de Maxwell. Ça ne marche pas comme ça. C'est juste qu'il y a un marché, avec des prix.» Et Raiola de livrer une comparaison qui rapproche déjà «Ibra» de Paris et de son musée du Louvre : «Regardez les tableaux les plus chers du monde s'ils étaient vendus un jour, comme Mona Lisa (La Joconde peinte par Leonard de Vinci). Il y a des gens qui ne peuvent contempler ces oeuvres qu'à distance, sans piper mot. Et il y a ceux, comme le PSG et Manchester City, qui peuvent se permettre de rêver d'acquérir un jour ces oeuvres d'art. Paris pourrait réaliser un rêve en achetant Zlatan.»
En conclusion, l'agent d'Ibrahimovic livre une remarque qui explique, en bonne partie, pourquoi l'AC Milan a ouvert la porte à un départ du Suédois, couplé à celui de Thiago Silva, également très proche du PSG : «Beaucoup de clubs rencontrent aujourd'hui des problèmes financiers, comme Barcelone, Milan et d'autres encore. C'est la réalité de ce marché...»
Raiola compare "Ibra" à La Joconde
Le 13/07/2012 | Mis à jour le 13/07/2012 12:28:22
«Paris pourrait réaliser un rêve en achetant Zlatan», déclare l'agent de linternational suédois.
Mino Raiola, l'agent de Zlatan Ibrahimovic, est arrivé ce midi au Parc des Princes pour poursuivre les discussions avec Leonardo au sujet du contrat de l'international suédois. Il compare l'attaquant de l'AC Milan à une oeuvre d'art.
Alors qu'il a repris ce vendredi midi ses discussions avec Leonardo au sujet du contrat de Zlatan Ibrahimovic, Mino Raiola, l'agent de l'attaquant suédois, vient de se confier au journal suédois SPORT-Expressen.
«Dire que Zlatan ne court qu'après l'argent, ce sont des conneries, assure l'homme qui défend aussi les intérêts de Maxwell. Ça ne marche pas comme ça. C'est juste qu'il y a un marché, avec des prix.» Et Raiola de livrer une comparaison qui rapproche déjà «Ibra» de Paris et de son musée du Louvre : «Regardez les tableaux les plus chers du monde s'ils étaient vendus un jour, comme Mona Lisa (La Joconde peinte par Leonard de Vinci). Il y a des gens qui ne peuvent contempler ces oeuvres qu'à distance, sans piper mot. Et il y a ceux, comme le PSG et Manchester City, qui peuvent se permettre de rêver d'acquérir un jour ces oeuvres d'art. Paris pourrait réaliser un rêve en achetant Zlatan.»
En conclusion, l'agent d'Ibrahimovic livre une remarque qui explique, en bonne partie, pourquoi l'AC Milan a ouvert la porte à un départ du Suédois, couplé à celui de Thiago Silva, également très proche du PSG : «Beaucoup de clubs rencontrent aujourd'hui des problèmes financiers, comme Barcelone, Milan et d'autres encore. C'est la réalité de ce marché...»
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
samedi 14 juillet 2012 13:13 | Par AFPDoux propose aux éleveurs d'entrer au capital face à des offres "dérisoires"
Le groupe français Doux, mis en vente après sa mise en redressement judiciaire début juin, propose un plan avec entrée au capital des éleveurs, étrillant les offres au "prix dérisoire" d'un consortium qui entraînera une "baisse très importante de la production".
Dans une lettre en date du 13 juillet dont l'AFP a obtenu une copie, le PDG du groupe Charles Doux et son fils, directeur général, Jean-Charles Doux, proposent aux éleveurs "d'entrer au capital du groupe sous la seule condition d'adoption du plan de continuation que nous présenterons".
"Pour des raisons techniques, le plan ne pourra être présenté qu'à partir du 15 octobre 2012 et nous ferons une proposition concertée pour l'apurement du solde de votre créance", expliquent les deux signataires.
"Nous vous proposons de désigner un ou plusieurs représentants qui auront accès à toutes les informations financières et qui participeront avec nous à l'élaboration du plan", promettent les dirigeants réputés pour leur discrétion dans leur gestion.
Evoquant l'épineux problème des arriérés, ils proposent, "pour pérenniser nos activités communes", le "paiement de 50% des créances arriérées des éleveurs au plus tard au 30 septembre 2012", à condition que le tribunal de commerce de Quimper poursuive la période d'observation du 30 juillet au 31 décembre 2012.
Le tribunal doit se prononcer sur la question à l'issue de l'audience du 27 juillet prochain.
"Pendant la période d'observation, nous paierons vos prestations au comptant", promet la famille dans son courrier.
S'agissant de "l'avenir", le groupe assure pour l'exportation "une poursuite d'activité au moins équivalente au volume d'activité antérieure". Il évoque une "restructuration" du pôle frais (abattage et découpe de volailles fraîches) tout en souhaitant trouver avec les éleveurs concernés "une solution qui maintienne leur outil de production".
Avant la présentation de ce plan "permettant d'assurer la pérennité du groupe et de l'ensemble de l'activité amont", Charles et Jean-Charles Doux étrillent "le prix dérisoire" des offres du consortium, qui entraîneront en outre "une baisse très importante de la production", conduisant à la "fermeture de 400.000 m2, soit plus de 200 élevages, et un allongement significatif des vides sanitaires".
Basé à Châteaulin (Finistère), le groupe Doux qui est en contrat avec 800 aviculteurs, a été placé en redressement judiciaire le 1er juin. Une douzaine d'offres de reprise ont déjà été présentées dont celle du groupe Sofiprotéol, qui rassemble sous forme d'un consortium différents acteurs français du secteur volailler: Glon Sanders (filiale de Sofiprotéol), Duc, LDC, Terrena, Tilly-Sabco et Triskalia, dont certains ont également fait des offres individuelles.
Le groupe Doux (3.400 salariés), connu notamment pour sa marque Père Dodu, ploie sous une dette estimée à 430 millions d'euros. Couvrant un champ qui va des produits frais et congelés jusqu'aux produits élaborés, le groupe est détenu à 80% par la famille Doux et à 20% par la banque BNP Paribas
.
Le groupe français Doux, mis en vente après sa mise en redressement judiciaire début juin, propose un plan avec entrée au capital des éleveurs, étrillant les offres au "prix dérisoire" d'un consortium qui entraînera une "baisse très importante de la production".
Dans une lettre en date du 13 juillet dont l'AFP a obtenu une copie, le PDG du groupe Charles Doux et son fils, directeur général, Jean-Charles Doux, proposent aux éleveurs "d'entrer au capital du groupe sous la seule condition d'adoption du plan de continuation que nous présenterons".
"Pour des raisons techniques, le plan ne pourra être présenté qu'à partir du 15 octobre 2012 et nous ferons une proposition concertée pour l'apurement du solde de votre créance", expliquent les deux signataires.
"Nous vous proposons de désigner un ou plusieurs représentants qui auront accès à toutes les informations financières et qui participeront avec nous à l'élaboration du plan", promettent les dirigeants réputés pour leur discrétion dans leur gestion.
Evoquant l'épineux problème des arriérés, ils proposent, "pour pérenniser nos activités communes", le "paiement de 50% des créances arriérées des éleveurs au plus tard au 30 septembre 2012", à condition que le tribunal de commerce de Quimper poursuive la période d'observation du 30 juillet au 31 décembre 2012.
Le tribunal doit se prononcer sur la question à l'issue de l'audience du 27 juillet prochain.
"Pendant la période d'observation, nous paierons vos prestations au comptant", promet la famille dans son courrier.
S'agissant de "l'avenir", le groupe assure pour l'exportation "une poursuite d'activité au moins équivalente au volume d'activité antérieure". Il évoque une "restructuration" du pôle frais (abattage et découpe de volailles fraîches) tout en souhaitant trouver avec les éleveurs concernés "une solution qui maintienne leur outil de production".
Avant la présentation de ce plan "permettant d'assurer la pérennité du groupe et de l'ensemble de l'activité amont", Charles et Jean-Charles Doux étrillent "le prix dérisoire" des offres du consortium, qui entraîneront en outre "une baisse très importante de la production", conduisant à la "fermeture de 400.000 m2, soit plus de 200 élevages, et un allongement significatif des vides sanitaires".
Basé à Châteaulin (Finistère), le groupe Doux qui est en contrat avec 800 aviculteurs, a été placé en redressement judiciaire le 1er juin. Une douzaine d'offres de reprise ont déjà été présentées dont celle du groupe Sofiprotéol, qui rassemble sous forme d'un consortium différents acteurs français du secteur volailler: Glon Sanders (filiale de Sofiprotéol), Duc, LDC, Terrena, Tilly-Sabco et Triskalia, dont certains ont également fait des offres individuelles.
Le groupe Doux (3.400 salariés), connu notamment pour sa marque Père Dodu, ploie sous une dette estimée à 430 millions d'euros. Couvrant un champ qui va des produits frais et congelés jusqu'aux produits élaborés, le groupe est détenu à 80% par la famille Doux et à 20% par la banque BNP Paribas
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Francofolies : une "riche" édition affectée par la météo et la crise
Les Francofolies, affectées par la crise et par la météo qui a entraîné l'annulation d'une soirée, s'achèvent dimanche sur une fréquentation en baisse, malgré une "riche édition" pour un "festival différent des autres", selon leur patron Gérard Pont.
Vendredi, des rafales de vent de plus de 70 km/heure ont contraint les organisateurs à annuler à la dernière minute la soirée réunissant entre autres Thomas Dutronc, Charlie Winston et Caravan Palace sur la plus grande scène en plein air du festival.
Quelque 12.000 spectateurs avaient fait le déplacement pour cette soirée qui affichait complet.
"C'est la troisième fois qu'il y a eu une annulation dans l'histoire du festival, la première pour moi", a rappelé M. Pont lors d'une conférence de presse bilan.
"Ca a été une décision extrêmement pénible à prendre, mais il fallait d'abord assurer la sécurité de tous", a-t-il expliqué, assurant que les spectateurs seraient remboursés et les artistes "réinvités".
Même sans prendre en compte cette annulation, le festival affiche une fréquentation en baisse cette année, avec 85.000 spectateurs espérés d'ici à la clôture dans la nuit de dimanche à lundi.
L'an dernier, les Francofolies avaient battu leur record de fréquentation avec 89.000 spectateurs.
"En 2011, nous avions bénéficié de l'effet David Guetta (qui avait assuré le concert de clôture, ndlr). Cette année, la mauvaise météo et la crise ont joué", a estimé M. Pont, rappelant qu'il s'agissait d'une année difficile pour la plupart des festivals de musiques actuelles.
Le patron des Francofolies a indiqué ne pas être en mesure de tirer un bilan financier, en raison de la difficulté à évaluer la perte entraînée par l'annulation de la soirée de vendredi.
"On s'est assuré sur la billetterie, même si on a vendu plus de billets qu'on en avait assurés. Mais on n'a pas du tout assuré les revenus annexes, les revenus des partenaires, les revenus du bar, du restaurant. C'est vrai que ça va être une perte importante, pas prise en compte sur l'assurance, même si les partenaires ont plutôt envie de nous aider", a-t-il dit.
Malgré ces difficultés, M. Pont a dressé un bilan positif du festival.
"Si on fait 85.000 spectateurs, c'est génial mais ce n'est pas un concours. On veut juste ne pas être en difficulté financière et surtout emmener les gens au spectacle", a-t-il expliqué, citant les créations et les nombreux concerts, expositions et projections gratuites organisées dans le cadre du festival.
"On n'a jamais eu une édition aussi riche. Je trouve qu'on a fait des choses uniques, originales, c'est une édition extrêmement différente des autres et de ce que proposent les autres festivals", a-t-il estimé.
Le patron des Francos s'est félicité notamment du succès des "Folies matinales", des concerts intimes et insolites organisés à 11H00 au Muséum d'histoire naturelle.
Il s'est aussi réjoui que de nombreux artistes, comme Yannick Noah ou Gérard Manset, soient venus aux Francofolies pour le seul plaisir d'assister aux concerts.
Le patron des Francos a aussi dévoilé un projet d'exporter le festival à New York en septembre 2013.
"Le principe, ce serait d'organiser trois soirées dans une salle new-yorkaise : une soirée hommage à Edith Piaf, une sur la world francophone et la dernière sur l'électro française", a-t-il détaillé.
"L'idée, c'est de toucher les Américains et de les sensibiliser aux Francofolies, je trouve que c'est bien de montrer que les anglo-saxons peuvent aimer ce qu'on fait", a-t-il dit.
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Les Francofolies, affectées par la crise et par la météo qui a entraîné l'annulation d'une soirée, s'achèvent dimanche sur une fréquentation en baisse, malgré une "riche édition" pour un "festival différent des autres", selon leur patron Gérard Pont.
Vendredi, des rafales de vent de plus de 70 km/heure ont contraint les organisateurs à annuler à la dernière minute la soirée réunissant entre autres Thomas Dutronc, Charlie Winston et Caravan Palace sur la plus grande scène en plein air du festival.
Quelque 12.000 spectateurs avaient fait le déplacement pour cette soirée qui affichait complet.
"C'est la troisième fois qu'il y a eu une annulation dans l'histoire du festival, la première pour moi", a rappelé M. Pont lors d'une conférence de presse bilan.
"Ca a été une décision extrêmement pénible à prendre, mais il fallait d'abord assurer la sécurité de tous", a-t-il expliqué, assurant que les spectateurs seraient remboursés et les artistes "réinvités".
Même sans prendre en compte cette annulation, le festival affiche une fréquentation en baisse cette année, avec 85.000 spectateurs espérés d'ici à la clôture dans la nuit de dimanche à lundi.
L'an dernier, les Francofolies avaient battu leur record de fréquentation avec 89.000 spectateurs.
"En 2011, nous avions bénéficié de l'effet David Guetta (qui avait assuré le concert de clôture, ndlr). Cette année, la mauvaise météo et la crise ont joué", a estimé M. Pont, rappelant qu'il s'agissait d'une année difficile pour la plupart des festivals de musiques actuelles.
Le patron des Francofolies a indiqué ne pas être en mesure de tirer un bilan financier, en raison de la difficulté à évaluer la perte entraînée par l'annulation de la soirée de vendredi.
"On s'est assuré sur la billetterie, même si on a vendu plus de billets qu'on en avait assurés. Mais on n'a pas du tout assuré les revenus annexes, les revenus des partenaires, les revenus du bar, du restaurant. C'est vrai que ça va être une perte importante, pas prise en compte sur l'assurance, même si les partenaires ont plutôt envie de nous aider", a-t-il dit.
Malgré ces difficultés, M. Pont a dressé un bilan positif du festival.
"Si on fait 85.000 spectateurs, c'est génial mais ce n'est pas un concours. On veut juste ne pas être en difficulté financière et surtout emmener les gens au spectacle", a-t-il expliqué, citant les créations et les nombreux concerts, expositions et projections gratuites organisées dans le cadre du festival.
"On n'a jamais eu une édition aussi riche. Je trouve qu'on a fait des choses uniques, originales, c'est une édition extrêmement différente des autres et de ce que proposent les autres festivals", a-t-il estimé.
Le patron des Francos s'est félicité notamment du succès des "Folies matinales", des concerts intimes et insolites organisés à 11H00 au Muséum d'histoire naturelle.
Il s'est aussi réjoui que de nombreux artistes, comme Yannick Noah ou Gérard Manset, soient venus aux Francofolies pour le seul plaisir d'assister aux concerts.
Le patron des Francos a aussi dévoilé un projet d'exporter le festival à New York en septembre 2013.
"Le principe, ce serait d'organiser trois soirées dans une salle new-yorkaise : une soirée hommage à Edith Piaf, une sur la world francophone et la dernière sur l'électro française", a-t-il détaillé.
"L'idée, c'est de toucher les Américains et de les sensibiliser aux Francofolies, je trouve que c'est bien de montrer que les anglo-saxons peuvent aimer ce qu'on fait", a-t-il dit.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
communiqué
Cadarache : deux Ecoles
internationales pragmatiques
Connaissez-vous l’ecole des
Combustibles ? ou encore l’ecole
du Sodium et des Métaux liquides ?
Rattachées au CEA, le Commissariat
à l’énergie atomique et aux énergies
alternatives, et situées à Cadarache,
elles sont pourtant reconnues
internationalement.
Par le biais de formations initiales,
continues ou professionnelles,
ces enseignements s’adressent
particulièrement aux ingénieurs
et techniciens du nucléaire,
français ou étrangers : CEA, EDF,
AREVA, IRSN, entreprises soustraitantes,
Un seul mot d’ordre
pour ces deux écoles :
transmettre le savoir et le savoir-faire
dans le domaine du nucléaire
L’EsmL
Ecole du sodium et des métaux Liquides
L’Ecole internationale du Sodium et des
Métaux Liquides a été fondée en 1975
dans le contexte du développement des
réacteurs nucléaires à neutrons rapides
(RNR) utilisant du sodium liquide comme
fluide caloporteur (à la différence des REP,
réacteurs à eau pressurisée, qui utilisent
l’eau comme fluide caloporteur).
Cette fondation a été motivée par la volonté
du CEA de partager les connaissances qu’il
avait acquises sur les risques particuliers
associés à l’utilisation du sodium,
d’enseigner les procédés et procédures
nécessaires pour lesmaîtriser, et exploiter
en toute sécurité les dispositifs contenant
du sodium.
Le caractère pragmatique de l’enseignement
est prépondérant. Il couvre 5 thèmes
portant sur le sodium : la technologie du
sodium, les inspections et réparations, la
sécurité et les risques spécifiques, l’assainissement
des installations contenant du
sodium. Un panel de 9 sessions différentes,
dont la durée varie d’une demi-journée à 5
jours, est proposé.
Les nombreux intervenants, une trentaine,
sont tous des spécialistes reconnus du
sodium et des métaux liquides, ayant une
longue expérience sur les installations en
sodium du CEA : l’enseignement privilégie
le contact direct entre les stagiaires et les
ingénieurs et techniciens de terrain.
4500
C’est le nombre de stagiaires formés
depuis la création de l’Ecole. Ils viennent
du CEA, des industries du nucléaire (EDF,
AREVA, …), des entreprises sous-traitantes
du démantèlement et de l’assainissement,
ou encore des personnels de sécurité du
CEA.
Actuellement rattachée au Département
de Technologie Nucléaire (DTN), sous
la responsabilité de Michel Soucille,
la programmation des cours et la
gestion des inscriptions est assurée
par l’Institut National des Sciences
et Techniques du Nucléaire (INSTN),
www-instn.cea.fr.
Des formations « à la carte » peuvent aussi
être proposées.
Cadarache : deux Ecoles
internationales pragmatiques
Connaissez-vous l’ecole des
Combustibles ? ou encore l’ecole
du Sodium et des Métaux liquides ?
Rattachées au CEA, le Commissariat
à l’énergie atomique et aux énergies
alternatives, et situées à Cadarache,
elles sont pourtant reconnues
internationalement.
Par le biais de formations initiales,
continues ou professionnelles,
ces enseignements s’adressent
particulièrement aux ingénieurs
et techniciens du nucléaire,
français ou étrangers : CEA, EDF,
AREVA, IRSN, entreprises soustraitantes,
Un seul mot d’ordre
pour ces deux écoles :
transmettre le savoir et le savoir-faire
dans le domaine du nucléaire
L’EsmL
Ecole du sodium et des métaux Liquides
L’Ecole internationale du Sodium et des
Métaux Liquides a été fondée en 1975
dans le contexte du développement des
réacteurs nucléaires à neutrons rapides
(RNR) utilisant du sodium liquide comme
fluide caloporteur (à la différence des REP,
réacteurs à eau pressurisée, qui utilisent
l’eau comme fluide caloporteur).
Cette fondation a été motivée par la volonté
du CEA de partager les connaissances qu’il
avait acquises sur les risques particuliers
associés à l’utilisation du sodium,
d’enseigner les procédés et procédures
nécessaires pour lesmaîtriser, et exploiter
en toute sécurité les dispositifs contenant
du sodium.
Le caractère pragmatique de l’enseignement
est prépondérant. Il couvre 5 thèmes
portant sur le sodium : la technologie du
sodium, les inspections et réparations, la
sécurité et les risques spécifiques, l’assainissement
des installations contenant du
sodium. Un panel de 9 sessions différentes,
dont la durée varie d’une demi-journée à 5
jours, est proposé.
Les nombreux intervenants, une trentaine,
sont tous des spécialistes reconnus du
sodium et des métaux liquides, ayant une
longue expérience sur les installations en
sodium du CEA : l’enseignement privilégie
le contact direct entre les stagiaires et les
ingénieurs et techniciens de terrain.
4500
C’est le nombre de stagiaires formés
depuis la création de l’Ecole. Ils viennent
du CEA, des industries du nucléaire (EDF,
AREVA, …), des entreprises sous-traitantes
du démantèlement et de l’assainissement,
ou encore des personnels de sécurité du
CEA.
Actuellement rattachée au Département
de Technologie Nucléaire (DTN), sous
la responsabilité de Michel Soucille,
la programmation des cours et la
gestion des inscriptions est assurée
par l’Institut National des Sciences
et Techniques du Nucléaire (INSTN),
www-instn.cea.fr.
Des formations « à la carte » peuvent aussi
être proposées.
ContaCt :
Michel SouCille,
Responsable de l’ESML, CEA/DTN,
michel.soucille@cea.fr
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Téléphonie : seriez-vous prêts à payer plus pour sauver des emplois en France ?
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bienvenou- Admin
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Date d'inscription : 23/06/2009
Age : 110
Localisation : cassis
Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
MAGAZINE Crise oblige, les jobs d’été ne
sont plus réservés aux étudiants
"Zone interdite", le rendez-vous
hebdomadaire de M6
a enquêté .
Oncompteentre 1,5 et2millions
depostes estivaux pour environ
3,5 millions d’étudiants
" Zone interdite : les inédits de l’été "
à 20 h 50 sur M6
Touslesans,c’estlamêmegalère.
La saison estivale approche et les
étudiantscherchentdésespérément
unjobd’étépourfinancervacances
ouétudes.Décrocherce typed’emploi
est désormais un véritable parcours
du combattant : si lenombre
d’offres ne diminue pas, la concurrence
est devenue plus rude.
" Depuis quelques années, il est
beaucoupplusdifficilepourlesétudiants
de trouver un job d’été. En
effet, crise oblige, pour un certain
typedepersonnes,telsleschômeurs
longuedurée,devenirsaisonnierest
unequestiondesurvie.Lacompétitiondevientplusrude,
iln’yaplusde
placepourtoutlemonde".Nathalie
Laville, réalisatrice du reportage
"Unété de saisonniers ", diffusé ce
soir surM6dans le cadre de l’émission
" Zone interdite ", a fait ce
constat peu optimiste.
Et,effectivement,oncomptechaque
année entre 1,5 et2millions de
postes estivauxàpourvoir pour environ
3,5 millions d’étudiants et
autantdechômeurspostulants. S’il
nesemblepasexisterderecettemiracle
pour décrocher un emploi de
saisonnier à tous les coups, le boucheàoreille
et les relations demeurent
les outils les plus efficaces :
"Maxime,quenoussuivonsdansle
reportage, a été embauché grâce à
ses amis, qui avaient déjà travaillé
comme vendeurs de beignets l’an
passé.Ilsl’ontconseilléaupatronet,
puisqu’ilsavaientétécompétents,le
chef a eu confiance ", poursuit la
journaliste.
Des propos que confirme Valentine,
23ans,étudianteeninformatique:"
Celamarchecommeça dans
beaucoupdedomaines,mêmepour
un simple job d’été. Au début, par
fierté et pour prouvermonautonomieàmesparents,
jen’osaispassolliciter
mon entourage, qui me proposait
de l’aide. Mais cela fait trois
étés que je travaille dans la même
pizzeria ! ".
Après avoir décroché un emploi
desaisonnier,mieuxvautnepasêtre
tropregardantsurleshorairesoules
jours de repos. En effet, les secteurs
de la restauration, de l’hôtellerie et
del’animation,quisontlesplusgros
employeursdecettemain-d’oeuvre
étudiante,respectentpeuleCodedu
travail. Sur un millier d’établissementscontrôlés,
enl’espacedetrois
ans,70%étaienteninfractionsurles
tempsdetravail,avecdesemployés
travaillant 14heures par jour ou 7
jours sur 7.
sont plus réservés aux étudiants
"Zone interdite", le rendez-vous
hebdomadaire de M6
a enquêté .
Oncompteentre 1,5 et2millions
depostes estivaux pour environ
3,5 millions d’étudiants
" Zone interdite : les inédits de l’été "
à 20 h 50 sur M6
Touslesans,c’estlamêmegalère.
La saison estivale approche et les
étudiantscherchentdésespérément
unjobd’étépourfinancervacances
ouétudes.Décrocherce typed’emploi
est désormais un véritable parcours
du combattant : si lenombre
d’offres ne diminue pas, la concurrence
est devenue plus rude.
" Depuis quelques années, il est
beaucoupplusdifficilepourlesétudiants
de trouver un job d’été. En
effet, crise oblige, pour un certain
typedepersonnes,telsleschômeurs
longuedurée,devenirsaisonnierest
unequestiondesurvie.Lacompétitiondevientplusrude,
iln’yaplusde
placepourtoutlemonde".Nathalie
Laville, réalisatrice du reportage
"Unété de saisonniers ", diffusé ce
soir surM6dans le cadre de l’émission
" Zone interdite ", a fait ce
constat peu optimiste.
Et,effectivement,oncomptechaque
année entre 1,5 et2millions de
postes estivauxàpourvoir pour environ
3,5 millions d’étudiants et
autantdechômeurspostulants. S’il
nesemblepasexisterderecettemiracle
pour décrocher un emploi de
saisonnier à tous les coups, le boucheàoreille
et les relations demeurent
les outils les plus efficaces :
"Maxime,quenoussuivonsdansle
reportage, a été embauché grâce à
ses amis, qui avaient déjà travaillé
comme vendeurs de beignets l’an
passé.Ilsl’ontconseilléaupatronet,
puisqu’ilsavaientétécompétents,le
chef a eu confiance ", poursuit la
journaliste.
Des propos que confirme Valentine,
23ans,étudianteeninformatique:"
Celamarchecommeça dans
beaucoupdedomaines,mêmepour
un simple job d’été. Au début, par
fierté et pour prouvermonautonomieàmesparents,
jen’osaispassolliciter
mon entourage, qui me proposait
de l’aide. Mais cela fait trois
étés que je travaille dans la même
pizzeria ! ".
Après avoir décroché un emploi
desaisonnier,mieuxvautnepasêtre
tropregardantsurleshorairesoules
jours de repos. En effet, les secteurs
de la restauration, de l’hôtellerie et
del’animation,quisontlesplusgros
employeursdecettemain-d’oeuvre
étudiante,respectentpeuleCodedu
travail. Sur un millier d’établissementscontrôlés,
enl’espacedetrois
ans,70%étaienteninfractionsurles
tempsdetravail,avecdesemployés
travaillant 14heures par jour ou 7
jours sur 7.
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