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Emon intéresse Ajaccio

Après le limogeage en début de semaine d'Alex Dupont, Alain Orsini, le président de l'AC Ajaccio, aurait peut-être jeté son dévolu sur Albert Emon.
le profil de l'ancien entraîneur de l'OM plaît à la direction du club corse. Libre depuis janvier 2011, il a récemment entraîné l'AS Cannes en National.

Rennes au pied du podium
Rennes s'est emparé de la 4e place du classement en s'imposant à Ajaccio (2-4), pour le compte de la 19e journée de Ligue 1. Les Corses ont pourtant mené à deux reprises, grâce à Mutu (2e) et Diawara (42e), mais le SRFC a réagi en marquant quatre fois, par Féret (17e sp, 72e), Alessandrini (45e) et Diarra (60e). A noter que la rencontre a été interrompue 10 minutes après le dernier but rennais, en raison de l'hostilité manifestée par les supporters de l'ACA dans les tribunes. Le club du président Orsoni est désormais 16e du classement.

◗ MATCH ARRÊTÉ
ÀFRANÇOIS-COTY
La rencontre entre l’AC Ajaccio
et le Stade Rennais a été interrompue
hier soir. La raison ?
M. Buquet a décidé de siffler
coup franc indirect pour Rennes
à la suite d’une passe en retrait
de la tête de Carl Medjani pour
son gardien, Guillermo Ochoa.
Mais le défenseur corse s’est levé
délibérément le ballon pour
le donner à son gardien.
Sur le coup franc qui a suivi, Féret
a inscrit le quatrième but
breton. Les tribunes du stade
François-Coty se sont alors enflammées
et l’arbitre a décidé
d’arrêter la partie, estimant
qu’il ne pouvait plus assurer
l’intégrité physique des joueurs
et du corps arbitral.
Après une dizaine de minutes,
le match a repris pour aller
jusqu’à son terme. Mais il n’est
pas sûr que la commission de
discipline de la LFP ne laisse ces
débordements impunis...

L'ACA victime du règlement. Publié le lundi 24 décembre 2012 à 07h19 .
Le coup franc indirect (ou pas) décidé par M. Derrien, l'arbitre de la rencontre, au profit des Rennais a sans aucun doute scellé le sort du match de samedi soir, malgré la contestation des Ajacciens.
. Battus à domicile par Rennes lors de la dernière rencontre du cycle aller, les Ajacciens ont mal terminé l’année 2012. Et les décisions du corps arbitral ont sans doute relégué au second plan leur prestation

Comment faire basculer un match en deux décisions. Samedi soir au stade François Coty, M. Buquet, l'arbitre d'ACA-Rennes a démontré sa méthode.

Après avoir mené deux fois au score, plusieurs circonstances et choix arbitraux, allaient favoriser les Rennais.

A la 44e minute d'abord, quand Samuel Bouhours entrait en contact de la main avec le ballon alors qu'il taclait un adversaire. A moins de lui couper le bras, on se demande bien comment il aurait pu faire autrement… M. Bucquet, lui, n'hésitait pas et signalait une faute à l'entrée de la surface au crédit des Bretons. Alessandrini, par ailleurs excellent lors de cette rencontre, transformait le coup-franc. La tension montait alors d'un cran sur le terrain et dans les tribunes…

Une passe en retrait fautive

A la 72e minute ensuite, lorsque le défenseur ajaccien, Carl Medjani, à l'aide d'un jongle, s'élevait le ballon à hauteur de la tête. Cela afin d'effectuer une passe en retrait vers son gardien Memo Ochoa. Ballon en main, le portier relançait avant l'arrêt de la rencontre et un coup franc indirect dans la surface de réparation corse décidé par l'arbitre.«Je ne connaissais pas du tout cette loi de jeu comme 95% des personnes présentes sur la pelouse à ce moment-là !» affirmait plus tard Carl Medjani. «L'arbitre central aussi ne semblait pas la connaître car il nous a laissé jouer avant qu'on ne lui signale ce fait de jeu dans son oreillette. Je ne comprends pas car certes, c'est une passe à mon gardien mais effectuée avec une partie de mon corps qui est autorisée dans d'autres circonstances… C'est bizarre ! »

A ce sujet, le règlement officiel de la FIFA est assez flou. La loi 12 stipule «qu' un coup franc indirect est accordé à l'équipe adverse si, à l'intérieur de sa propre surface de réparation, un gardien de but touche le ballon des mains sur une passe bottée délibérément par un coéquipier». Aucune remise de la tête, volontaire ou non n'est discutée ici. Pourtant, selon Bruno Derrien, ex-arbitre international français, la décision de M. Bucquet était tout à fait valable (voir par ailleurs) !

Quoi qu'il en soit, cette nouvelle décision révoltait les Acéistes et leur faisait perdre leur sang-froid. «Je pense que nous avons perdu beaucoup d'énergie à contredire les décisions de l'arbitre. Nous aurions mieux fait de rester concentrés sur ce que nous avions à faire», avouait dans les vestiaires Fousseni Diawara.

Un coup franc indirect frappé… directement

Pour ne rien arranger, Rennes marqua son 4e but sur ce coup franc indirect qui fit débat ! En effet, Alessandrini n'aurait qu'effleurer le ballon avant le tir de Ferret. Un nouveau fait de jeu qui entraîna de nouvelles contestations de la part des Ajacciens et du public, déjà fortement irrité par les circonstances… Le règlement est là aussi quelque peu confus : le ballon est en jeu dès qu'il est botté et a bougé. Pourtant, le but serait tout à fait valable. Les Ajacciens ont semble-t-il été victimes d'un règlement méconnu. Malheureusement, ce type de scénario n'est souvent visible qu'en Corse !

En attendant des suites à ce match, l'ACA, désormais 16e, perd deux places au classement. Les joueurs ont de moins dix jours pour souffler avant de se retrouver le mercredi 2 janvier pour préparer le second cycle d'un championnat plus compliqué que prévu.

Football - Ligue 1
ACA: Alex Dupont viré pour... quoi ?. Publié le vendredi 28 décembre 2012 à 09h55 .
. Quand on doit faire un bilan, on examine en premier lieu les chiffres. Et là, immédiatement, on doit se rendre à l'évidence. Ils sont implacables. L'ACA, malgré une fin d'année plutôt moyenne, a réalisé un parcours correct. C'est tout le paradoxe.

Avec une 16e place et 19 points au compteur (et potentiellement 21 points si on ne prend pas en compte le retrait de deux points effectué par la LFP), le club ajaccien effectue tout simplement le meilleur début de saison depuis son retour en Ligue 1 en 2002. En fait, il n'y a que lors de l'exercice 2003-2004, l'année suivant celle de son accession, qu'il avait obtenu pareil bilan au terme des dix-neuf premières journées.

L'ACA va bien. C'est donc la conclusion que d'aucuns pourraient élaborer en toute logique. Mais dans le monde impitoyable du football professionnel, cette dernière est toute autre.

Ainsi, malgré de bons résultats comptables, un entraîneur peut être mis en difficulté. En d'autres temps, Rolland Courbis avait tenu jusqu'au cœur de l'hiver malgré un classement bien moins glorieux. Tout comme José Pasqualetti, débarqué après une accumulation de mauvais résultats. Dans ce cas précis, l'entraîneur constitue un fusible que l'on doit changer pour espérer relancer l'équipe.

L'ACA a sans doute innové cette année. Alex Dupont a quitté ses fonctions pour cause de «rupture nette» avec les joueurs. D'une mauvaise humeur d'une partie du vestiaire en somme. En le virant, Alain Orsoni en était presque désolé. Et pour cause. «J'ai beaucoup d'affection et d'estime pour Alex. Il était un peu le premier fusible,a ainsi expliqué le président du club acéiste.C'est un mec droit. Ça peut paraître paradoxal que j'ai pris la décision de me séparer de lui et qu'en même je lui donne des éloges qui sont sincères . (...) Les joueurs restent à mes yeux les premiers responsables, il leur appartient sur le terrain de donner l'exemple, de justifier leur statut, de se comporter en professionnels».

Les premiers choix d'Albert Emon, qui prendra ses fonctions mercredi prochain pour la reprise, seront ainsi un bon baromètre du climat 2013 à l'ACA.


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AUDIO. Après ACA-Rennes, Alain Orsoni accuse les arbitres. Publié le vendredi 28 décembre 2012 à 13h35 .Partager
. Après la rencontre entre l'AC Ajaccio et Rennes de samedi soir au stade François Coty (2-4), Alain Orsoni, le président du club ajaccien, accuse les arbitres d'avoir volontairement voulu « pourrir » un match qui se déroulait normalement durant plus d'une heure.

Il a dénoncé par ailleurs un acharnement sur les clubs corses et a déclaré qu'il n'y avait jamais eu de débordements à Ajaccio, contrairement à d'autres stades en France, citant notamment l'envahissement des vestiaires par des supporters au stade de Nancy le 9 novembre...

Ecoutez la réaction d'Alain Orsoni

http://www.corsematin.com/article/ac-ajaccio/audio-apres-aca-rennes-alain-orsoni-accuse-les-arbitres.856853.html

PSG-Ajaccio reprogrammé le vendredi soir

Initialement programmé le dimanche 13 janvier à 14 heures, le match entre le Paris-SG et Ajaccio, comptant pour la 20e journée de L1, a été avancé au vendredi 11, à 20h30. Un changement de programmation issu d'une demande de la Préfecture de Police de Paris en raison des nombreuses manifestations prévues le 13 janvier dans la capitale.

Paris et le problème corse
Zlatan Ibrahimovic et le PSG ont buté sur des Ajacciens accrocheurs.Mis à jour le 11 janvier 2013 à 23h31
173 réactions Le PSG n’a pas réussi à battre Ajaccio (0-0) ce vendredi, lors de la 20e journée de Ligue 1, un résultat identique au match aller en Corse. Réduits à dix après l’expulsion de Thiago Motta, les Parisiens ont aussi perdu Thiago Silva sur blessure. Une soirée à oublier pour les hommes de Carlo Ancelotti.

La série a pris fin. Vainqueur de ses six derniers matches toutes compétitions confondues, dont quatre en Ligue 1, le PSG, qui a évolué toute la deuxième période en infériorité numérique après l’expulsion de Thiago Motta, a été stoppé dans son élan vendredi soir par Ajaccio (0-0), comme lors du match aller. Et si elle n’a plus grand-chose à voir avec celle qui avait été tenue en échec au Stade François-Coty en août, cette équipe parisienne, renforcée par un Lucas convaincant pour sa grande première, a tout de même buté sur une formation ajacienne privée de nombreux titulaires partis à la CAN (Medjani, Mostefa, Diawara, Diarra et Belghazouani) et qui s’est présentée avec une défense à cinq qui n’avait pas franchement réussi à Evian-Thonon-Gaillard le mois dernier au Parc des Princes (4-0).

Sous les yeux d’Hatem Ben Arfa, Raymond Domenech et surtout de Nicolas Anelka, qui s’est entraîné cette semaine avec un groupe parisien qu’il pourrait prochainement intégrer, le PSG est donc resté stérile, malgré une écrasante domination. Mais la maladresse de ses attaquants, un manque de liant entre les lignes ainsi qu’une certaine frilosité tactique après l’expulsion de Motta ne lui ont pas permis de s’imposer et de s’échapper en tête du classement, avant les déplacements de Lyon à Troyes samedi et de Marseille à Sochaux le lendemain. Et si Ibrahimovic, le meilleur buteur du championnat, est resté muet à l’issue d’une prestation en deçà de ses standards, le Brésilien Lucas, qui découvrait le Parc des Princes, a lui livré une prometteuse copie sur le cote droit avant de céder sa place à quelques minutes de la fin (84e).

Les "Thiago" sortis prématurément
L’ancien de Sao Paulo est d’ailleurs très vite en action, prouvant que les passements de jambes n’ont plus de secret pour lui, mais c’est Motta, servi par Ibrahimovic sur un coup franc en retrait, qui allume la première mèche, à côté (12e), vite imité par Matuidi, dont la tentative est détournée encore par Ochoa dans la foulée (14e). Pas plus de réussite pour Alex, de retour dans le onze de départ, qui voit sa a tête sur corner, bien frappé par Lucas, contrée à bout portant par son coéquipier Lavezzi (28e). Même Ibrahimovic, pourtant idéalement placé, se montre maladroit, à la réception d’une somptueuse ouverture de Motta, envoyant sa reprise largement au-dessus du but adverse (31e). Un tableau qui va encore se noircir en moins d’un quart d’heure, à cheval sur les deux mi-temps, avec les sorties prématurées des deux "Thiago".

Motta est d’abord logiquement expulsé pour une semelle sur Sammaritano à l’entrée de la surface (45e), avant que Silva, blessé, ne cède sa place à Sakho (57e), quelques minutes après l’entrée en jeu de Chantôme, à la place d’un Pastore très quelconque (45e). Face à des Corses bien regroupés et dont la principale opportunité est un coup franc d’André détourné par Sirigu dans le temps additionnel (45e), les Parisiens continuent à presser, souvent de manière assez désordonnée. Mais Alex est tout proche d’ouvrir le score, après un centre de Lucas, sur une nouvelle tête sauvée par Ochoa (61e). Très remuant, Lucas s’offre une nouvelle percée conclue par un tir dévié en corner (65e), mais c’est encore Ibrahimovic qui se procure la plus grosse occasion. Lancé par Lavezzi sur la gauche, le Suédois bute à nouveau sur Ochoa, qui contre sa frappe piquée (68e). Sakho manque lui de délivrer les siens à l’issue d’un cafouillage (72e), avant une ultime opportunité pour "Zlatan", dont le tir file juste à côté (92e). Comme un résumé de la soirée parisienne…

MT AC Ajaccio1-0Valenciennes

term AC Ajaccio1-1Valenciennes

grosse deception des corses qui ont raté un penalty par mutu

90+4Face à des Valenciennois à dix, Mutu, qui avait libéré ses partenaires avant le repos, a manqué le penalty de la victoire. Accrocheurs, mais peu réalistes, les Nordistes ont égalisé dans la foulée grâce à Nguette, auteur de son premier but en L1.

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Créé le 19/01/2013 - 22:30
Valenciennes-Penneteau: "Un match référence"
Valenciennes, en difficulté en ce début d'année, a pu repartir d'Ajaccio avec le point du match nul grâce à une solidarité retrouvée dans l'équipe. Réduits à dix et menés 1-0, les hommes de Daniel Sanchez ont réagi très positivement. Nicolas Penneteau le premier, en sortant un penalty tiré deux fois par Adrian Mutu, le buteur corse: "Sur le penalty, je pensais qu'il allait faire une Panenka sur le premier mais je vois qu'il ouvre son pied au dernier moment, je plonge mais je suis un peu court. Sur le second, je savais qu'il allait changer de coté ou frapper au milieu et là, je suis bien dessus." Le gardien nordiste est en tout cas très satisfait de son match comme de celui de ses coéquipiers: "C'est sur que l'on méritait mieux en première mi-temps, a-t-il concédé sur beIN Sport. On a tout fait pour les maintenir le plus haut possible et cela a marché. On avait besoin d'un match référence au niveau de la solidarité et on l'a obtenu ce soir. Dans le jeu aussi,on a fait un excellent match."

Ligue 1: Ajaccio et Valenciennes se neutralisent
Ajaccio et Valenciennes se sont séparés sur un score vierge (1-1), samedi à l'occasion de la 21e journée de Ligue 1. Adrian Mutu a ouvert le score pour les locaux (30e). A l'heure de jeu, le Roumain aurait pu s'offrir le doublé sur penalty. Il a transformé sa première tentative mais M. Cailleux, l'arbitre de la rencontre, lui a demandé de le retirer. Nicolas Penneteau a ensuite stoppé sa Panenka. Dans la foulée, le jeune Opa Nguette a égalisé pour VA (69e).

Evian TG1-1AC Ajaccio

Ligue 1: Evian et Ajaccio se neutralisent
Evian-Thonon-Gaillard et Ajaccio n'ont pas réussi à se départager, les deux équipes se quittant sur un match nul (1-1), samedi au Parc des sports d'Annecy, à l'occasion de la 22e journée de Ligue 1. Dennis Oliech a ouvert le score pour le club corse (36e) avant que Daniel Wass ne ramène le club haut-savoyard à hauteur de son hôte (54e). Après ce partage des points, ETG pointe au 17e rang du classement; avec un point d'avance sur la zone rouge, quand son adversaire du jour est 15e.

L'ACA gagne... une place. Publié le dimanche 27 janvier 2013 à 07h16 .
Comme face à Valenciennes la semaine dernière, Benjamin André et les Acéistes n'ont pas su garder leur avantage.PQR/Le
. Après avoir mené au score grâce à un but du dernier venu dans les rangs de l’ACA, Dennis Oliech, les Ajacciens ne sont pas parvenus à conserver leur avantage et ont dû se contenter du nul, qui leur permet de passer devant Sochaux.

Après Paris SG (0-0) et Valenciennes (1-1), Ajaccio obtient un troisième match nul consécutif et compte toujours deux points d'avance sur le premier relégable, Reims.

Face à des Eviannais très entreprenants, l'ACA éprouvait beaucoup de difficultés à entrer dans le match. Associé à Felipe Saad en charnière centrale, Yoann Poulard devait sauver en catastrophe devant Kévin Bérigaud sur un centre de Yannick Sagbo (2e). Puis sur un corner de Barbosa, le même Sagbo déviait de la tête pour Bérigaud dont la reprise du bout du pied était captée par Memo Ochoa sur sa ligne (10e). Deux minutes plus tard, sur un coup-franc rapidement joué, Bérigaud remisait de la tête pour Milos Ninkovic, mais la frappe du milieu de terrain serbe ne prenait pas à défaut le portier Ajaccien (12e).

Oliech déjà décisif

Après un premier quart d'heure compliqué, Ajaccio tentait de mettre le pied sur le ballon. Sur la première attaque Corse, Samuel Bouhours trouvait Johan Cavalli qui décalait Adrian Mutu mais l'attaquant Roumain ratait sa frappe et ne trouvait pas le cadre (16e). C'est ensuite Benjamin André qui s'essayait de loin, sans plus de réussite (21e).

Incapable de se montrer véritablement dangereux, l'ACA allait s'en remettre à une erreur individuelle Haut-Savoyarde pour ouvrir le score : le contrôle raté du défenseur Brésilien Bétao profitait à Johan Cavalli. Le n°7 ajaccien rentrait dans la surface de réparation et servait Dennis Oliech qui n'avait plus qu'à pousser le ballon au fond des filets (0-1 ; 36e). Très discret jusqu'alors, l'attaquant Kényan se montrait déjà décisif pour son premier match sous ses nouvelles couleurs.

Malgré une première période où ils ont passé la majeure partie du temps à résister aux assauts éviannais, les joueurs d'Albert Emon rentraient aux vestiaires avec un but d'avance.

Evian revenait des vestiaires avec la ferme intention de ne pas courir trop longtemps après le score. Et il ne fallait que huit minutes en seconde période pour voir les Roses égaliser. Monté aux avants postes, le latéral gauche Daniel Wass devançait la sortie hasardeuse d'Ochoa et reprenait de la tête une ouverture millimétrée d'Olivier Sorlin (1-1 ; 53e). Dix minutes plus tard, Ochoa se reprenait bien en sauvant les siens d'une belle envolée sur une reprise acrobatique de Ninkovic (62e).

L'ACA se créa ensuite sa seule occasion de la seconde période par Mutu dont la frappe croisée était repoussée par Bertrand Laquait.

Evian appuya ensuite sur l'accélérateur pour prendre l'avantage, mais Sagbo voyait son tir passer de peu à côté (77e).

Dans les arrêts de jeu, Cédric Cambon croyait bien offrir la victoire à Evian mais sa reprise était repoussée par un défenseur Ajaccien.

L'ACA aura souffert pendant 90 minutes mais n'aura pas plié et ramène au courage un point important dans la course au maintien.
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OL: Lisandro incertain contre l'AC Ajaccio
Lisandro Lopez est incertain pour le prochain déplacement de l’Olympique Lyonnais, dimanche après-midi à Ajaccio (14 heures), dans le cadre de la 23e journée de Ligue 1. L’attaquant argentin des Gones souffre d’une fatigue musculaire au mollet droit, a-t-on précisé mardi du côté de Gerland. "Licha" était déjà forfait vendredi dernier, pour la victoire de l'OL à Valenciennes (2-0).

L1) L’ACA bat Lyon, quarante ans après (3-1)

03 février 2013 | 0 réactions
L’AC Ajaccio a remporté une superbe victoire face à l’Olympique Lyonnais (3-1), quarante ans après sa dernière victoire face aux rhodaniens ! Cette victoire est aussi la première pour les ajacciens, en cette année 2013, après 4 matchs nul d’affilée, Albert Emon, peut lui aussi gouter aux joies de la victoire.

Dominateurs en début de match face à des Corses recroquevillés en défense, les Lyonnais ont ensuite laissé un peu plus le ballon à une équipe de l’ACA qui a montré un meilleur visage au fil des minutes. Incapables de contourner le bloc ajaccien, les Gones pensaient tout de même ouvrir le score par l’intermédiaire de Lacazette mais son but était refusé par M. Jaffredo, alors qu’il semblait valable, pour une position de hors jeu de Gomis qui avait fait action de jeu pour l’arbitre (32e).

Après la pause l’attaquant de l’OL profitait d’un bon centre de Ghezzal pour tromper Ochoa d’une reprise du pied droit (0-1, 53e). Un avantage de courte durée puisque les Corses égalisaient sur un plat du pied droit enroulé de Belghazouani dans le petit filet opposé de Vercoutre (1-1, 57e). Relancée par cette égalisation, la formation d’Albert Emon prenait finalement l’avantage sur une tête piquée de Mutu (2-1, 65e).

La fin de match était totalement folle et Lyon pouvait croire à l’égalisation sur un penalty de Gomis en fin de match, mais Ochoa repoussait la tentative de l’international français ! Quelques minutes plus tard, c’est l’ACA qui obtenait un penalty avec l’expulsion de Lovren, qui était en position de dernier défenseur. Mutu se chargeait de creuser l’écart et de s’offrir son premier doublé en L1 (3-1, 90e+3) !

L1) L’ACA veut aussi faire tomber Bordeaux (20h à Timizzolo)
Écrit par: Corse Sport Le: 09 février 2013 | 0 réactions
On n’arrête plus l’AC Ajaccio ! Invaincue en 2013, après trois matchs nuls et une victoire éclatante contre Lyon (3-1), dimanche dernier, l’ACA remonte petit à petit le classement de Ligue 1. Désormais 14ème du championnat, avec 5 points d’avance sur Reims, le premier relégable, le club ajaccien va tenter de faire un deuxième « coup » après le coup d’éclat contre Lyon. Avec cette deuxième rencontre à domicile, en une semaine, l’occasion est belle pour faire, une nouvelle fois, plaisir à son public et montrer que la victoire de dimanche était tout, sauf un accident.Fort d’un effectif, quasi au complet, et d’un mental à toute épreuve, les ajacciens devraient évoluer dans un système proche, de celui qui avait fait vacillé le collectif rhodanien.

Chevalier dans le groupe bordelais !

Face aux ajacciens, se dresseront aussi une équipe redoutable, les Girondins de Bordeaux, invaincus depuis le 25 novembre dernier à l’extérieur. Quatrième du championnat, les hommes de Francis Gillot se sont découverts de nouvelles ambitions, avec la Ligue des Champions, qui se dresse devant eux à seulement 4 points. Certes, le groupe bordelais sera amputé de Sertic et Sacko blessé, d’Henrique suspendu, Diabaté toujours en sélection et Rolan, n’est pas encore arrivé. Chevalier, qui évoluait au GFCA jusqu’il y a peu, a été appelé en renfort de dernière minute ! Mais qu’on ne se trompe pas, c’est bien, un des collectifs les mieux huilés de ce championnat, qui se présente ce soir à François-Coty. Un peu comme Lyon, en fait…

AC Ajaccio 1-0 Bordeaux
C R. Faty (31e)
BRAVISSIMO

AJACCIO - BORDEAUX: 1-0
Ochoa-Faty 1, Bordeaux 0
Une semaine après un succès face à Lyon (3-1), Ajaccio fait à nouveau le plein face à un gros à François-Coty. Grâce à un but splendide signé Faty et surtout un Ochoa infranchissable dans sa cage, les Corses battent les Girondins sur la plus petite des marges (1-0).
Après 30 minutes ennuyeuses, Faty réveille le stade d'une bicyclette venue d'ailleurs (1-0, 31e). Bordeaux tente de réagir mais Faubert (37e) et Obraniak (39e) se cassent les dents sur le portier de l'ACA.
Au retour des vestiaires, Ochoa reprend son show devant Bellion (49e). Il écoeure aussi Maurice-Belay (73e et 84e) et Saivet (82e). De l'autre côté, Mutu trouve le poteau (78e) avant de servir Belghazouani sur un plateau pour une... glissade malgré une position idéale (80e).
Albert Emon est toujours invaincu avec Ajaccio en Ligue 1 et prend ses distances sur la zone de relégation. Au lieu de mettre la pression sur le 3e, Francis Gillot et ses hommes sont doublés par Saint-Etienne et Nice.
Prochains matches: Brest - Ajaccio ; Bordeaux - Lyon