ENERGIES ECOLOGIQUES ET POURQUOI PAS ???

ENVIRONNEMENTDes cadeaux plus sains
dans la hotte du Père Noël Écolabellisés ou en matières naturelles, les jouets plus sains
sont de plus en plus tendance. près l’achat du sapin samedi
dernier, nous continuons notre
série spécial Noël, avec d’autres
astuces pour limiter l’impact environnemental
des fêtes de fin
d’année. Cette semaine, penchons-
nous sur la hotte du Père
Noël. Dans la quête du cadeau
parfait, qui plaira tout en limitant
l’impact sur la santé et
l’environnement, les jouets
pour enfants sont un véritable
casse-tête. Chaque année, il
s’en vend plus de 60 millions
pendant les fêtes, soit environ
huit cadeaux et 110 euros par enfant.
Problème, selon l’Ademe,
les jouets sont souvent importés
de pays lointains, (62% viennent
de Chine) et contiennent
des substances toxiques, commele
plomb, le mercure, les phtalates
ou le formaldéhyde.
Jouets écolabellisés
En l’absence d’un écolabel
européen, reste à compter sur
la réglementation sur la sécurité
des jouets qui a été revue en
jullet dernier. "La migration de
certains éléments chimiques
dans l’organisme a notamment
été prise en compte. Depuis
l’entrée en vigueur de cette norme,
tous les jouets doivent être
conformes", assure Clarisse Issanes,
experte normes jouets de
l’Afnor.
L’Ademe recommande également
l’achat de jouets écolabellisés.
Les labels Nordic Swan,
"Spiel Gut" ou "Öko-Test"
fixent par exemple plusieurs exigences
environnementales
comme la limitation des substances
dangereuses pour la santé
humaine, l’utilisation de textil
e s n a t u r e l s i s s u s d e
l’agriculture biologique ou encore
l’utilisation de bois issus
de forêts gérées durablement.
"En France, encore peu de
jouets sont porteurs de ces écolabels.
Posez tout de même la question
en magasin. Plus les
consommateurs seront nombreux
à demander cette marque
de qualité, plus les fabricants
auront intérêt à faire des efforts
et à se lancer dans une démarche
d’écolabellisation", recommande
l’Ademe.
Enfin, un conseil des médecins
de l’Association santé environnement
France: une fois le
cadeau choisi, "débarrassez-le
de son emballage et pensez à
bien l'aérer avant de la déposer
sous le sapin. Cela permettra de
limiter l'exposition de votre enfant
aux polluants".

L’écogeste de la semaineDes illuminations de Noëlmoins gourmandes. En France, la
puissance fournie pour les illuminations de Noël est estimée à
1300 MW. Pour se faire une idée, cela représente les trois quarts de
la puissance fournie par le parc photovoltaïque français, selon
l’Ademe. Et ce ne sont pas les illuminations des villes qui sont les plus
gourmandes: près de 1 000 MW sont liés aux décorations des particuliers.
En restant allumées 4 heures par jour, elles peuvent consommer
près de 40 kWh pendant la période des fêtes, soit la consommation
d’un mois et demi d’éclairage d’un logement. Pour faire des économies
et allonger la durée de vie de ces illuminations, il est préférable
de les éteindre lorsqu’elles ne sont plus nécessaires, en journée,
si personne n’est dans la pièce ou en partant se coucher !

Une affiche de Greenpeace perturbe la conférence de presse d'avant-match de Copenhague-Real Madrid
Le 09 décembre à 19h24 | Mis à jour il y a 12 heures

Une affiche de Greenpeace contre les forages pétroliers de Gazprom dans l'Arctique a été déployée lundi lors de la conférence de presse du Real Madrid avant son match de Ligue des champions à Copenhague, perturbant la comparution de l'entraîneur Carlo Ancelotti et du défenseur Pepe.


Pendant que le joueur portugais était en train de s'exprimer devant les médias, une affiche rouge s'est lentement déroulée au-dessus de lui, semble-t-il actionnée mécaniquement. "Sauvez l'Arctique, montrez le carton rouge à Gazprom", a-t-on pu lire en anglais, avant que l'affiche soit repliée précipitamment par des agents danois sous les rires d'Ancelotti et Pepe.
Cette action de Greenpeace fait écho à l'opération spectaculaire menée par l'organisation écologiste lors du match de Ligue des champions entre les Suisses de Bâle et les Allemands de Schalke début octobre. Quatre militants descendus du toit du stade avaient déployé une banderole hostile à Gazprom, sponsor de la compétition.Ces deux coups d'éclat font suite à l'arraisonnement en septembre d'un navire de Greenpeace après une action ciblant une plateforme pétrolière du géant gazier russe dans l'Arctique. Leur action visait à dénoncer les risques de l'exploitation d'hydrocarbures dans cette vaste zone aux écosystèmes particulièrement fragiles

VACANCESRESPONSABLES:REPÉREZ LESLABELS
L’Ecolabeleuropéen
Certifié par l’Afnor, il garantit la performance environnementale
des hébergements touristiques (résidences hôtelières, centres de
vacances, campings, chambres d’hôtes, etc.) en matière de déchets,
de consommation d’énergie, d’eau… Près de 200 établissements
sont labellisés en France, dont des chaînes comme Best
Western.
La clefverte
Géré par la fondation européenne pour l’éducation à
l’environnement, c’est le label européen leplus ancien. Il est décerné
aux hébergements et aux restaurants respectueux de
l’environnement qui satisfont des critères portant sur l’eau,
l’énergie, les déchets, les produits d’entretien…
LesgîtesPanda
Ce label duWWF est arboré par 300 établissements agréés Gîtes de
France, répartis sur unequarantainede territoires de Parcnaturels
nationaux et régionaux.
Lelabel"Hôtelaunaturel"
Ces établissements sont exclusivement implantés dans les 8 parcs
naturels régionaux de France.On compte 23 hôtels labellisés.
Agirpouruntourismeresponsable (ATR)
Il certifie avec l’Afnor les voyagistes qui ont une politique environnementale
et éthique exemplaire: distribution équitable des retombées
touristiques, constitution de petits groupes de voyageurs,
etc. ATR compte aujourd’hui 13 labellisés, dont beaucoup
de spécialistes de l’aventure ainsi que Voyageurs duMonde.

Vacances "écolos",
mode d’emploiAprès le choix du sapin, des
cadeaux et du menu de fêtes,
notre série spécial Noël "écolo"
continue avec quelques
conseils pour limiter l’impact
de vos vacances, que vous partiez
à l’autre bout du monde
ou en Provence.
◗ CHOISISSEZ UN
ÉTABLISSEMENT
LABELLISÉ
Ecolabel européen, Gîtes
Panda, Clef verte, ou encore
Agir pour un tourisme durable.
En Paca, plus de 160 établissements
sont ainsi certifiés
par un écolabel attestant de
leur engagement en matière
d’environnement et solidarité.
Pour en savoir plus, visitez
Via-Sapiens, un site participatif
dédié au tourisme responsable,
initié par les Marseillais
d’Eco-Sapiens. Pour les voyages
organisés à l’étranger,
v o u s p o u v e z c h o i s i r
d’embarquer avec un voyagiste
responsable, labellisé
"ATR".
◗ PARTEZ POUR UN CONGÉ
SOLIDAIRE
Et si vous preniez des vacances...
pour travailler? C’est le
concept du congé solidaire,
qui propose aux salariésdeposer
des congés ou des RTT
pour participer à des missions
d’éco-volontariat ou humanitaire,
en France et à l’étranger.
Quelles que soient vos compétences,
ces séjours permettent
d’apporter un soutienàdes associations
locales. Plusieurs organismes,
comme Cybelle Nature
ou Planète Urgence, organisent
ce type de voyage. La
participation financière, qui
avoisine les 3000 euros selon
les projets, peut être prise en
charge par l’entreprise, qui bénéficiera
ensuite d’unedéduction
fiscale de 60% sur ces frais
de mission.
◗ VOYAGEZ GROUPÉS
Selon l’Organisation mondiale
du tourisme, 53% des déplacements
se font encore en
avion, et 39% en voiture. Si
vous partez skier, pensez par
exemple aux "Navettes blanches"
qui relient en bus la gare
d’Aix-en-Provence TGV et
l’aéroport deMarseille aux stations
de la région. Ces bus circulent
tous les samedis, à partir
d’aujourd’hui et jusqu’au
19 avril. Infos sur le www.info-
ler.fr

INGRÉDIENTSNATURELS
LeVauclusienNaturexaccroît sesventes
Le nº1 mondial des ingrédients naturels d’origine végétale vient
d’annoncer que malgré le contexte difficile de l’année 2013, son
chiffre d’affaires a progressé de 9,7% pour s’établir à 320,7 millions
d’euros. Une belle performance pour l’entreprise d’Avignon
dont l’activité se partage entre l’Europe, l’Amérique du Nord et
l’Asie.
ÉNERGIE
Leparc solaire deSisteroninaugurévendredi 14
Cette centrale réalisée et exploitée par l’opérateur Solaire Direct,
dispose d’une puissance installée de 4,5 mégawatts et est capable
de livrer 6,9 gigawatts par an. Soit de quoi répondre à 58% de la
consommation annuelle des habitants de la ville.

Le réchauffement climatique à l’origine des intempéries extrêmes pour 76% des Français
Publié le Mercredi 19/02/2014 à 20H13

76 % des Français pensent que les récentes intempéries sont la conséquence du réchauffement climatique, et souhaitent que des actions ambitieuses soient mises en place pour réduire les émissions de carbone, d’après un sondage Ifop/Avaaz publié aujourd’hui.

Conscients des conséquences du changement climatique sur leur quotidien, 73 % des Français pensent que, si l’on ne fait rien, il représentera une menace pour leur mode de vie. Pour diminuer les risques, ils sont 80 % à penser qu’il est important de s’engager maintenant sur des objectifs ambitieux (à savoir une réduction de 50% des émissions de GES d'ici 2030) pour que d’autres pays suivent l’exemple de la France.

Retrouvez la suite de l'article sur EchoPlanete.com

À l'Inra de Marseille, on pense
que les champignons, véritable
"boîte à outils" de la chimie
verte, vont révolutionner la production
de biocarburant. Aumilieu
des calanques sur le campus
de Luminy, l'unité BCM
(Biotechnologie des Champignons
Filamenteux) travaille
sur les propriétés naturelles de
certains champignons qui savent
"digérer" le bois.
"Nous, on leur fait cracher les
outils pour dégrader le bois:
leurs enzymes sont des "ciseaux"
qui permettent de découper le
bois enpetitesmolécules" utilisables
ensuite dans des procédés
chimiques, explique le professeur
Jean-Claude Sigoillot. Ce
chercheur dirige l'unité marseillaise,
l'une "des trente équipes
dans le monde" qui planchent
sur les champignons
pour inventer la chimie du futur,
qui sera "plus propre et plus
économe en ressources naturelles".
"Avec les enzymes des champignons
nous pouvons, à partir
de bois, de paille, de déchets végétaux
que l'on déconstruit en
"briques" (appelées molécules
plateformes, Ndlr) recombinables,
remplacer tous les dérivés
du pétrole par des produits plus
respectueux de l'environnement",
explique le professeur.
L'un des programmes phares
du laboratoire marseillais, c'est
sa participation au projet Futurol.
Lancé en 2008, il réunit une
dizaine de partenaires (Confédération
Générale des Betteraviers,
Champagne Céréales,
Crédit Agricole du Nord-Est,
IFP, Institut National de la Recherche
Agronomique (Inra),
Lesaffre, Office National des Forêts,
Tereos, Total et Unigrains)
qui a pour ambition de mettre
sur pied une véritable filière
éthanol de deuxième génération.
Cette filière de production
n'utilise plus les parties comestibles
des plantes, comme c'est
le cas des bioéthanols de première
génération produitsàpartir
de betterave ou de canne à
sucre, mais permet de valoriser
les déchets végétaux, la paille,
le bois.Un site pilote de production
de biocarburant de seconde
génération fonctionne depuis
2011 dans la Marne à Pomacle-
Bazancourt. Selon
Jean-Claude Sigoillot, une usine
prototype va prendre la suite
dans les prochains mois pour
passer au stade industriel et permettre
ainsi de démontrer la
rentabilité de la filière. "En France,
une quinzaine d'usines de
première génération produisent
de l'éthanol. L'idée c'est de les
transformer pour qu'elles
consomment des déchets verts",
lance le chercheur.
Ainsi, en valorisant des déchets,
la production de biocarburant
de seconde génération
ne sera plus en concurrence
avec l'alimentationhumaine

Hier, Paris et sa proche banlieue
ont redécouvert la circulation
alternée, une mesure
anti-pollution inédite
depuis 1997, qui n'est pas
reconduite aujourd’hui.
Sauf dérogations, seules les
voitures et motos dotées de
plaques impaires ont été
autorisées à circuler. La mesure,
décidée ce week-end,
semble avoir porté ces
fruits puisqu'au vu des
"améliorations" constatées
hier, le gouvernement a décidé
de ne pas la reconduire
aujourd’hui. Le Centre national
d'information routière
a relevé au maximum
134kilomètres de bouchons
en Ile-de-France, soit "deux
fois moins que d'habitude".
Pour veiller au respect de la
mesure, quelque 700 policiers
ont été mobilisés. Les
automobilistes et motards
bravant l'interdit étaient
passibles d'une amende de
22euros.Amidi, la préfecture
de police avait relevé
près de 6000 infractions,
dont 3 859 pour non-respect
de la circulation alternée
à Paris et dans sa proche
banlieue

ÉNERGIE
Ladélicate questiondu
nucléairereste ensuspensprésentation du projet de loi en Conseil des ministres devrait
intervenir en juin, promet le ministre Philippe Martin. Un sujet énergétique,
économique et
politique
Financer autrement les énergies
renouvelables, renforcer le
contrôle du nucléaire : leministère
de l’Énergie a dévoilé les
premières pistes du futur projet
de loi sur la transition énergétique,
mais l’épineuse question
du poids de l’atome en France
reste en suspens. Le ministère
de PhilippeMartin a fait connaître
ses intentions sur plusieurs
points dans sept "documents
préparatoires" transmis à la
commission spécialisée du
Conseil national de la transition
énergétique (CNTE), qui se
réunissait hier. Mais ces éléments
"n’ont pas fait l’objet de
discussions interministérielles",
a-t-il prévenu. En clair : ils
n’ont pas encore été validés par
l’exécutif, alors que des questions
sensibles restent à trancher,
comme l’évolution de la
part du nucléaire dans le bouq
u e t é n e r g é t i q u e d e
l’Hexagone.
"Les modalités précises sont
encore en cours de définition",
selon un des documents. Le
gouvernement a réaffirméàplusieurs
reprises sa volonté de réduire
de 75 à 50% la part de
l’énergie nucléaire dans la production
électrique française à
l’horizon 2025. Mais les
moyens d’y parvenir divisent,
entre partisans d’une sortie progressive
du nucléaire, défenseurs
du tout atome et ceux qui
prônent la prolongation de la
durée de vie de certaines centrales
en échange de la fermeture
de plusieurs autres. "On est
dans un sujet qui est à la fois
énergétique et économique, et
en même temps très politique",
reconnaît le député EELV Denis
Baupin. "Le noeud du problème,
l’évolution du parc nucléaire, a
été remis à plus tard, après les
municipales. En l’absence de direction,
on en reste à des questions
plus annexes", aestiméAnne
Bringault, du Réseau action
climat. Selon plusieurs sources
proches du dossier, une réunion
d’arbitrage prévue à
l’Élysée débutmars a été reportée
sine die. Mais les délais seront
tenus, assure Philippe
Martin. Laprésentationduprojet
de loi en Conseil des ministres
devrait intervenir durant la
deuxième quinzaine de juin, en
vue d’une adoption par le Parlement
d’ici la fin de l’année.

Sept jours pour voir
la vie en vert
La 12e semaine du développement durable débute demain en Provence Pour la 12e édition de la semaine du développement durable, l’Ademe met l’accent sur les gestes simples
qui permettent de consommer vert et pas cher, comme l’achat en circuit court Passer au bio, recycler davantage
ou encore miser sur les produits
d’occasion. À partir de demain,
le ministère de l’Écologie
invite les citoyens à semobiliser
pour consommer autrement, à
l’occasion de la 12e semaine du
développement durable.
Jusqu’à lundi prochain, une centaine
de manifestations sont prévues
dans toute la région, pour
aider les Provençaux à passer au
vert.
Pour les acteurs du secteur,
cette semaine est l’occasion de
rappeler aux citoyens que les enjeux
planétaires,comme le chang
e m e n t c l i m a t i q u e o u
l’épuisement des ressources
sont liés à notre mode de vie au
quotidien."Nous ne sommes
plus dans l’explication du
concept de développement durable.
Aujourd’hui, c’est une notion
que les Français connaissent
bien, ce qui n’était pas forcément
le cas au moment de la création
de cet événement en 2003, constate
Florence Clément, en charge
de l’information du public à
l’Ademe, l’Agence de l'environnement
et de la maîtrise de
l'énergie. Maintenant notre but
est de donner des conseils pour
consommer durable au quotidien,
en leur montrant que ce
n’est pas plus difficile et pas plus
cher".
Car c’est bien là le nerf de la
guerre: les consommateurs veulent
bien être plus écolos, mais
seulement s’ils y trouvent un
avantage. Ainsi, 56% des
consommateurs de produits bio
font ce choix "parce que c’est bon
pour la santé", les considérations
environnementales
n’arrivant qu’en second plan
alors qu’elles étaient la priorité
jusqu’en 2010.
Lire les étiquettes
Même c o n s t a t pour l a
consommation collaborative,
pratiquée par un Français sur
deux. Les études sur cette tendance
montrent que c’est surtout
l’envie d’économiser qui
motive les citoyens à faire du covoiturage,
acheter des produits
d’occasion ou apprendre à les réparer.
Et tant mieux si, au passage,
c’est bon pour la planète. En
bref, pas besoin d’être écolo
pour acheter écolo. "Le premier
des écogestes, c’est tout simplement
de prendre le temps de se
renseigner sur ce qu’on achète, illustre
Florence Clément. Pour
les achats du quotidien, on choisit
souvent les mêmes produits
par habitude, alors que des alternatives
durables et bon marché
existent souvent". Par exemple,
en grande surface, un paquet de
pâtes de marque coûte plus cher
que son équivalent bio de marque
distributeur. À bon entendeur.

LESPOINTSFORTSDELASEMAINE
DUDÉVELOPPEMENTDURABLE
TestezlevéloàassistanceélectriqueàGap(05)
La Ville de Gap propose de faire la découverte des avantages du
vélo à assistance électrique (VAE) lors de la manifestation du Parcours
du Coeur, au Domaine de Charance, au-dessus de Gap. La
municipalité propose d’ailleurs une aide à l'acquisition de vélo à
assistance électrique, en délivrant un bon de 200¤ par famille gapençaise
pour l'achat d'un VAE.
➔ Dimanche 6 avril, de 8h à 18h, au Domaine de Charance, 5 Rue du Colonel Roux, Gap (05).
Informations au 0492 53 26 79.
Deuxateliers écolosàIkéa Avignon (84)
A l’occasion de la semaine du développement durable, Ikéa propose
aux plus petits d’apprendre à créer de nouveaux objets avec des
matières qui auraient du partir à la poubelle (chutes de textiles,
cartons, bouteilles plastiques …). Pour les plus grands, un challenge
national entre 29 blogueurs culinaires est organisé pour sensibiliser
sur le gaspillage alimentaire et la consommation d’eau. Le public
pourra juger les recettes réalisées avec une contrainte: ne produire
aucun déchet et utiliser le moins d’eau possible
➔ Atelier enfant de mardi à samedi, 15h-17h, au restaurant du magasin . Atelier culinaire le
samedi, de 15h à 18h au rayon cuisine du magasin Ikea Avignon-Vedène, Chemin du Pont
Blanc , 84270 Vedène
NatureenfêteàMiramas (13)
La 4e édition de Nature en fête se déroulera sur l'espace naturel du
Château de Cabasse. Cette manifestation sera ponctuée de balades
découvertes, de conférences, d'ateliers, de jeux autour de la
biodiversité, de l'alimentation, du climat. De nombreuses activités,
dont un "rallye du petit écolo", un petit marché bio et un spectacle
dans les arbres sont également au programme.
➔ Samedi 5 avril, de 10h à 18h, Place Jean Jaurès à Miramas.
Informations au 0490 58 79 78.

L'eau impropre à la consommation à Briançon

Briançon / Publié le Mardi 01/04/2014 à 06H53







A Briançon (Hautes-Alpes), l'eau du robinet est impropre à la consommation depuis ce lundi soir, 22h. Cause de cet incident : une rupture de la canalisation d'adduction du réservoir des Salettes ce lundi matin, à 6h30, rapporte le site d'Alpes1.
Des bouteilles d'eau minérale seront distribuées au Fontenil, au Champ de Mars, place de l’Europe, place Nortier à Fontchristianne ce mardi entre 10h et 12h. Autre lieu de distribution : à la caserne des pompiers ce 1er avril entre 12h et 14h.

Des bouteilles d'eau seront apportées au domicile des personnes ne pouvant se déplacer.

Numéro à contacter : 06 07 95 24 00. Des packs d’eau seront mis à la disposition des écoles, collèges, lycée, crèches, maisons de retraite… Vous pourrez suivre l'évolution de la situation sur le site de Briançon, www.ville-briancon.fr et sur les Facebook de la ville.

Les énergies renouvelables
donnent dujusàlarégion
Pacamontrela voie grâceàl’hydraulique, lephotovoltaïque et l’éolien Paca est la première terre d’accueil pour les centrales photovoltaïques. La production régionale
représente 18%de celle nationale. Ici, le parc de Puyloubier

Grâce a ce qui est fait,
l’hiver 2015 sera
sécurisé." LE PRÉFET CADOT Réduire la dépendance
énergétique de la région.
Tel est l’objectif poursuivi
par les pouvoirs publics et le Réseau
de transport d’électricité
(RTE), la filiale d’EDF dont les infrastructures
haute tension permettent
l’approvisionnement
électrique du territoire. Pour y
parvenir, les efforts entrepris depuis
plusieurs années obéissent
à deux choix: d’une part, mieux
maîtriser la consommation régionale
et renforcer le réseau (lire
ci-dessous) ; d’autre part, accroître
la part des énergies renouvelables,
déjà très représentées
au travers des ressources hydraulique
et photovoltaïque.
L’enjeu est d’autant plus important
que la région est attractive
et que sa consommation électrique,
portée par les besoins
des particuliers et de l’activité
économique, progresse régulièrement,
malgré une tendance à
la stabilisation. C’est ainsi que
l’an passé, en raison de la rigueur
de l’hiver, la hausse a atteint
1,5%. Mais surtout, les pics de
consommation croissent eux
aussi et c’est dans ces instants
de tension que la fiabilité du réseau
électrique s’avère la plus
importante. Paca, qui produit
en effet un peu moins de la moitié
de ce qu’elle consomme (soit
19100gigawatts pour un total de
39000GW), doit donc importer
du reste de la France ce qui lui
manque.
La réduction de cette dépendance,
avec la sécurisation en
cours du réseau, est la première
des priorités du schéma régional
d’alimentation électrique
qui lui-même s’inscrit dans "la
transition énergétique". À savoir
davantage d’énergie verte pour
un moindre recours aux énergies
fossiles. Or à ce stade, un
premier constat s’impose: "35%
de la consommation régionale
est couverte par le renouvelable.
C’est 15% de plus que la moyenne
française", rapporte Catherine
Greiveldinger, la déléguée de
RTE Méditerranée. Une performance
portée par l’hydraulique
qui, l’an passé, dopé par les fortes
pluies, a atteint son plus
haut niveau de production depuis
dix ans avec 12368GW. Soit
un bond de 22%. Mais dont rien
ne dit qu’il se reproduira cette
année.
L’effort se porte surtout sur
l’énergie photovoltaïque qui
avec 811gigawatts produits l’an
passé, est en hausse de 20 %.
Avec une cinquantaine de parcs
d’une puissance supérieure à
unmégawatt en production, notamment
dans les Alpes-de-Haute
Provence, Paca, qui représente
18%de la production française,
est devenue en quelques années
et grâce à son ensoleillement,
l a première t e r r e
d’accueil pour les parcs solaires.
Qu’il a fallu raccorder au réseau
de transport. Un poids appelé à
grandir puisque sa part devrait
être multipliée par 4 en 2030 et,
avec lui, la difficulté d’intégrer
une énergie qui reste intermittente.
Autre type d’énergie appelée
à se développer que l’éolien.
Encore peu représenté chez
nous (à peine 45 mégawatts produits),
c’est vers les parcs marins
que se portent les espoirs futurs.
Les études sont en cours. Et
avec elles, la volonté que les
énergies renouvelables donnent
encore plus de "jus" à la région.

Des investissements pour sécuriser l’approvisionnement électrique du Sud-Est Éviter que la région ne plonge dans le noir
lors d’une période de pointe de consommation
et renforcer la solidarité entre les
territoires. Tels sont les objectifs auxquels
sont appelés à répondre le filet de
sécurité en cours d’achèvement dans les
Alpes-Maritimes et le projet Midi Provence.
Le filet, un investissement de 170 millions
d’euros (M¤) dont les essais sont programmés
pour la fin de cette année avant une
mise en service début 2015, consiste en la
réalisation de trois lignes souterraines de
225 000 volts chacune. Le maillage en
cours de réalisation, en fait un itinéraire
électrique bis, complète l’unique ligne de
400000volts qui, actuellement, alimente
Nice. Grâce à ce filet, le risque de coupures
en période de pointe s’éloigne.
Midi Provence est un projet qui vise également
à sécuriser et à renforcer les
liaisons électriques entre les régions Paca
et Languedoc-Roussillon. Mais cette fois,
c ’ e s t de l a pose d’un c â b l e de
320000volts en courant continu dont il
s’agit. L’ouvrage, d’une longueur de
210km, sera réalisé entre Ponteau, près
de Martigues, et le poste de La Gaudière,
dans le département de l’Aude. Particularité:
le câble sera sous-marin et enfoui
dans le sable sur 160 km. D’un coût
d’environ 500M¤, l’ouvrage sera opérationnel
en 2020.
La Haute Durance va également faire
l’objet d’aménagements destiné à substituer
un réseau électrique moderne aux
200km de l’actuel construit en 1936. Évalué
à 230M¤, ce projet verra une bonne
partie des lignes devenir souterraines. La
déclaration d’utilité publique est attendue,
la mise en service étant prévue pour
2020.

EAU

Les écologistes veulent

annuler les contrats Réalisée par la Chambre régionale
des comptes, l’analyse particulièrement
critique des
contrats de distribution de l’eau
et d’assainissement attribués
parMPMà Veolia et à Suez a fait
l’effet d’un pavé dans la mare
(voir notre édition d’hier). Conséquence,
Europe Écologie-Les
Verts demande à la communauté
urbaine l’annulation de ces
contrats d’un montant de 3,2
milliards d’euros.
"Europe Écologie s’est toujours
inquiété de cette particularité
française qui consiste à confier la
gestion de l’eau au secteur privé
à l’inverse de ce qui se fait dans la
grande majorité des pays et dans
d’autres grandes villes comme
Paris, Grenoble", rappelle un
communiqué. D’où la proposition
d’"un retour en régie publique
afin que l’eau soit moins chère
pour les Marseillais, tout en garantissant
l’emploi local, ce qui
mettrait fin à des pratiques douteuses".
En décembre dernier,
des élus écologistes ont attaqué
le contrat de l’eau devant le tribunal
administratif

Les producteurs de lavande reçus demain au ministère de l'écologie
Avignon / Publié le Jeudi 01/05/2014 à 19H08



Une délégation de l'association des producteurs d'Appellation d'Origine Protégée d'huile essentielle de Lavande (APAL) sera reçue demain à 15h au ministère de l'écologie à Paris par le conseiller spécial de Ségolène Royal, Jean-Louis Bianco.

Producteurs et parfumeurs régionaux sont en effet menacés par la mise en place au niveau européen d'une nouvelle réglementation visant à classer la lavande et les plantes à parfum aromatiques et médicinales d'origine naturelle au même titre que des produits chimiques concus et fabriqués industriellement. Cette nouvelle réglementation rendrait quasi impossible dans les cosmétiques ou la pharmacologie l'utilisation des productions agricoles naturelles selon la filière professionnelle.

La zone de production identifiée dans l'AOP représente un peu plus de 15 mille hectares repartis sur les départements de la Drôme, du Vaucluse, des Alpes-de-Hautes-Provence et des Hautes-Alpes. La lavande représenterait plus de deux milliards de chiffre d'affaires touristiques en plus des retombées commerçiales de production.

Pollution par l'ozone : modification des tarifs des horodateurs




Marseille / Publié le Jeudi 12/06/2014 à 21H04


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La Ville de Marseille, qui entend "inciter les habitants à ne pas utiliser leurs véhicules et à privilégier les transports en commun" lors des épisodes de pollution par l'ozone, double les tarifs horaires de stationnement pour les automobilistes de passage et propose en revanche la gratuité du stationnement pour les résidents réglant à l'horodateur pour la journée, dans le périmètre de leurs quartiers respectifs, "afin qu'ils évitent d'utiliser leur véhicule", de ce jeudi à demain vendredi inclus.

La mention "alerte ozone" figurera sur les écrans des horodateurs.

L'alerte à la pollution par l'ozone de niveau 1 a en effet été déclenchée par la Préfecture.

Pollution par l'ozone : l'alerte de niveau 1 déclenchée

Publié le Vendredi 13/06/2014 à 08H41

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Les mesures d’urgence de niveau 1 pour limiter les émissions de polluant des activités concourant à l'élévation du niveau de pollution ont été déclenchées par la Préfecture des Bouches-du-Rhône (mais aussi le Var et les Alpes-Maritimes) hier. Le seuil d'information et de recommandation (180 microgrammes par mètre cube d'air) a en effet été atteint ou risque de l’être dans le département.
Un risque d'aggravation de la situation avec un dépassement du seuil d’alerte (240 microgrammes par mètre cube d'air) est annoncé ce vendredi par les associations agréées de surveillance de la qualité de l'air.

Il est donc recommandé de limiter vos déplacements, de privilégier les modes de transport doux, les transports en commun ou le covoiturage, mais aussi d’éviter les efforts physiques intenses pendant la journée, en particulier pour les personnes sensibles (enfants, personnes âgées, personnes asthmatiques ou allergiques et personnes souffrant de problèmes respiratoires ou cardiovasculaires).
Ces mesures sont applicables de 6 heures à 21 heures.

La plage du Prophète fermée au public et interdite à la baignade

Marseille / Publié le Mardi 01/07/2014 à 09H55







A la suite d'analyses de l'eau, la plage du Prophète a été fermée ce mardi au public et interdite à la baignade.

Plages : anse des Phocéens, Bonneveine et Prado rouvertes

Marseille / Publié le Dimanche 03/08/2014 à 11H50

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Suite aux prélèvements des eaux de baignade, les plages Bonneveine, Anse de Phocéens et Prado Nord et Sud sont rouvertes. Les plages Borély, Huveaune et Pointe Rouge restent fermées jusqu'à demain matin ainsi que Vieille Chapelle.

[size=32]Treize plages interdites à la baignade[/size]

MARSEILLE / PUBLIÉ LE MERCREDI 13/08/2014 À 17H47



A la suite des intempéries de ce mercredi, 13 plages de Marseille sont fermées à la baignade. Plusieurs analyses doivent être effectuées afin de rouvrir l'accès au public.
- Plage de la Lave 
- Plage Le Fortin 
- Plage du Prophète 
- Plage Bain des dames
- Plage Prado Nord 
- Plage Prado Sud 
- Plage de l'Huveaune 
- Plage Borely 
- Plage Bonneveine 
- Plage de la Pointe Rouge
- Plagette de l'Anse des Phocéens 
- Plagette de l'Anse des Sablettes 
- Plagette Bonne Brise