CARTON ROUGE ..OLYMPIEN

Trinita


20/02/2012 à 23h53 | 2

Chiffres trompeurs, car une fois de plus des centaines de places sont fictives !!! car elles seront en vente par l'armée de charbonneurs devant le stade, principalement Bd Michelet avant le match...

Donc il risque d'y avoir moins de monde que cela visuellement... ça me ferait plaisir qu'ils se retrouvent avec un paquet d'invendus comme lors des derniers gros matchs (Arsenal par exemple).

Et biensur ces revendeurs pas du tout discrets ne seront pas inquiétés... car ils ont carte blanche. Limite si ils gueulent pas comme les poissonniers à la criée le matin pour vendre leur place. Dont une grosse partie du benef va dans un groupe du virage sud... comme beaucoup de monde le sait bien.

ON N’A PAS AIMÉ...

Se faire virer
du stade

La ville est déserte le matin, mais elle
ne veut pas se coucher trop tard, le
soir. Une heure et demie après le
coup de sifflet final, les envoyés spéciaux
ont été priés de
quitter les lieux et d’aller travailler
dans la rue. On a expliqué qu’il n’y a
pas d’heure pour travailler... Rien à
faire. En guise de réponse, extinction
des lumières. On s’en fiche, le clavier
est éclairé.
Nous aussi, on sait être têtus !

Rien,
mais alors rien!

La Bretagne est une région magnifique,
mais la journée ne restera pas
dans les mémoires. Un taxi qui refuse
de prendre des gens en provenance
de Marseille, un autre qui balance son
confrère sur ses habitudes à rallonger
le parcours, donc la facture, personne
dans les rues à 10h, un soleil totalement
absent. Un public qui insulte la
Bonne Mère (ça c’est insupportable),
qui devient de plus en plus vindicatif
alors que son équipe mène au score.
Franchement, on n’a rien aimé

Des ramasseurs de balle pas pressés Le Stade Brestois a trouvé une bonne idée : avant le coup d'envoi, le speaker présente
un par un tous les ramasseurs de balle. Ça a son effet. Ça anesthésie aussi les
jeunes intéressés. Nous n'avons pas le souvenir de gamins aussi longs pour rendre le
ballon à l'équipe adverse. Un a même toisé du regard Azpilicueta, histoire de lui
demander s'il voulait le ballon, un autre a refusé de le donner à Valbuena. Un comportement
qui n'a pas troublé l'arbitre. Bref, toutes les ficelles ont été bonne

tiens encore une autre d'hier soir DESCHAMPS EST FURIEUX
L’OMa été en infériorité
numérique à cause
d’unarbitragemaison


On comprend un peu mieux
c e mat i n p o u r q u o i
l’arbitrage français est si
peu représentatif aux yeux des instances
internationales. Cette réflexion
saute un peu plus à la figure
quelques jours après un rendez-
vous de Ligue des champions,
compétition qui permet de voir
évoluer le top de l’arbitrage européen,
même quand l’OM perd.
Ruddy Buquet ne prétendra jamais
à une phase finale de Championnats
d’Europe des nations ni
de Coupe du monde en restant
aussi déconnecté de la réalité. Sa
prestationd’hier frôle le scandale.
L’OMajoué en infériorité numérique
pendant 90 minutes en raison
d’un arbitrage à la maison de
premier choix. Il doit certainement
y avoir une raison de se
payer pendant 90minutes une
équipe européenne. Pour quelle
gloire? Que personne ne se trompe:
il n’est pas question ici de limiter
la défaite olympienne à un seul
homme. Avec d’autres arguments,
l’OMaurait pu contourner le problème,
plutôt le piège qui lui a été
t endu . I l p lane une par t
d’obscurité mystérieuse. Alors,
avec un peu de recul, nous essayons
de comprendre.
Pourquoi ne pas siffler unpenalty
après une minute de jeu, surtout
quand celui-ci est justifié.
Martial touche le pied deBrandao,
le déséquilibre. Oui, il y a penalty,
oui il y a carton rouge. Mais il faut
croire que, dans ce pays, plusieurs
minutes sont nécessaires pour
p r e n d re d es d é c i s i o n s
d’importance. Celle-là l’est, car elle
conditionne toute la rencontre :
il n’est pas certain que l’OMaurait
transformé cette sanction, mais il
est avéré qu’elle a perturbé
l’arbitre, et lui a fait perdre les pédales.
Quand à la mi-temps, Martial
reconnaît ne pas avoir touché
le ballon, mais le pied de Brandao,
la franchise du défenseur central
brestois fait une belle jambe à tout
le monde, car depuis longtemps
tout va de travers. Tout peut être
avoué, car tout semble permis.
Quand un journaliste breton se
permet de lâcher à la pause: "Avec
l’arbitre, ça va passer pour nous",
on finit par voir rouge. Nul n’est
dupe, car une multitude d’actes
n’ont pas été sanctionnés à leur
juste mesure.
Lesquels? La semelle de Daf sur
Amalfitano (25e), pour commencer
; l’attentat de Guidileye sur Valbuena
(32e) ; le balayage de Baysse
toujours sur Valbuena (39e) ;
l’avertissement verbal à Coulibaly
de cesser de multiplier les fautes à
40mètres de ses buts: aucun carton,
rien.
Conséquence : en refusant de
sanctionner administrativement
des actes évidents, il a incité le public
à penser que les Olympiens simulaient,
tout en alimentant
l’ambiance délétère qui s’est installée
au fil des minutes. Celle qui a
vu Valbuena et Amalfitano se faire
copieusement siffler. Quand Kaboré
et Daf s’engagent pour disputer
un ballon de la tête, car le football
est aussi un sport de contact, et
que seul l’Olympien est averti, la
coupe est presque pleine.
Les compensations, comme
l’oubli de la faute de Fanni sur Ben
Basat, qui méritait un jaune également,
soulignent combien le Buquet
était fané. Et cela risque de
coûter plusieurs millions d’euros à
l’OM, car participer à la prochaine
Ligue des champions devient de
plus enplus compliqué

Vidal13


05/03/2012 à 15h49

Dassier a dilapidé le boulot de Diouf, et labrune va nous achever!

HALTE aux dirigeants, dehors!!!!!!

Année après année, notre effectif s'appauvri! N'en déplaise aux fanfarons qui misent sur les jeunes, ils n'ont qu'à voir Arsenal qui recrute des jeunes "talents" mais qui restent éloigner du podium!

Si nous avons une politique d'incubateur, car nous n'arrivons pas à retenir le peu de jeunes qui ont un bon potentiel, il vaut mieux revoir nos objectifs à la baisse et parler de maintient chaque année comme le faisait Guy Roux!

Je suis triste, car après 17 ans de merde, nous entrevoyons enfin le bout du tunnel, et au lieu de nous renforcer, nos dirigeants, servis par une sangsue (anigo), tirent à contresens de la bonne marche!

Le départ de Lucho pour une misère en pleine saison, sans renforcer cette équipe avec des joueurs blessés ou parttis à la CAN en est le plus bel exemple de démission de nos ambitions!

Si DD se barre en fin d'année, car il ne peut faire plus de miracles avec une équipe diminuée chaque année, on repartira dans un cycle, dont moi en tant que fervent supporter, je ne veux pas. et je le dit tout de go, j'en ai ras le bol de me déplacer pour voir une équipe qui s'appauvri, nous sommes sur le même déclin que Lyon et nous allons finir comme Saint-étienne, il n'y aura que les personnes agées qui se souviendront de nos victoires!

OM:désormais rien neva plus!
Troisième défaite consécutive... Au terme d’un
match catastrophique, les Olympiens se sont inclinés
2-0 face à Évian. La qualification pour la
Ligue des champions semble être devenue un
rêve inaccessible

Pourquoi ceserait terminé?"
DIDIER DESCHAMPS L’entraîneur olympien refuse d’admettrequele podiumest pratiquement inaccessible

"On revient de très,
très loin par rapport à
notre début de saison.
Là, ça coince un peu."

"Il y a eu forcément
des performances
individuelles qui sont
insuffisantes."


Didier Deschamps et Guy Stephan s’attendent à une fin de saison compliquée


Visage marqué, traits tirés,
regard sombre, Didier
Deschamps s’est présenté,
hier, dans le petit bungalow
qui sert de salle de conférence.
Plus tôt dans la soirée,
sur son banc de touche,
l’entraîneur olympien était apparu
exaspéré devant la production
fournie par son équipe.
Mais face aux médias, "DD" a
pris le parti de positiver, malgré
tout.
❚ Quel est votre sentiment
après cette nouvelle défaite qui
vous éloigne un peu plus de la lutte
pour la Ligue des champions ?
C’était un match bonus pour
nous. On le savait. On avait
l’opportunité de prendre des
points, alors que nos concurrents,
eux, ne jouaient pas.
Ce n’est évidemment pas un
bon résultat ; le troisième négatif
à la suite.
Ce soir (hier), on avait pourtant
accompli une entame de
match plutôt bonne. On s’est
même procuré une ou deux occasions.
Mais on s’est fait piéger
sur laprofondeur et ona encaissé
deux buts en cinq minutes,
même si le second n’aurait pas
dû être validé.
Ensuite, cela fut beaucoup
plus compliqué pour nous. Au
contraire d’Évian, une équipe
bien organisée, qui a défendu
bas et qui a su procéder par
contres. En 2e mi-temps, onaessayé,
mais on ne s’est pas montrés
suffisamment dangereux.
❚ Désormais, avez-vous tiré un
trait définitif sur une qualification
en Ligue des champions?
Pourquoi voulez-vous que je
vous dise ça? Pourquoi une telle
perspective serait terminée? On
est dans une période difficile,
c’est sûr.
On revient de très, très loin
par rapportànotre début de saison.
Là, ça coince un peu.
Il reste encore beaucoup de
points à engranger. Mais c’est
vrai, vu notre rythme au cours
des dernières journées, ce sera
difficile. Je ne veux pas noircir le
tableau, mais je ne veux pas
l’embellir outre mesure aussi.
J’attendsmaintenant de récupérer
au plus vite des forces vives,
car aujourd’hui, il nous est
difficile d’évoluer collectivement
en étant privés de joueurs
importants (Rémy, Valbuena,
Mbia). Ce soir (hier), je disposais
d’un banc extrêmement jeune,
avec des solutions limitées.
Maintenant, c’est vrai, sans
vous les citer, il y a eu forcément
des performances individuelles
qui sont actuellement insuffisantes.
❚ Justement, le plus édifiant
sur ce match, fut l’apathie de certains
joueurs, voire de tout votre
groupe...
Non, pas tout le groupe. Mais
c’est vrai, on a eu tendance à subir
un peu les événements. En
termes de rythme et de vitesse,
on a été très vite mis en difficulté.
❚ Vous le rappeliez, votre équipea
pourtant effectué une bonne
entame de match. Comment expliquez-
vous qu’elle ait baissé
par la suite ?
Elle n’a pas baissé. Avant le
premier but, on a eu une première
alerte sur un ballon en
profondeur. Le deuxième a fait
mouche, lui. Puis après, le second
but est venu très rapidement


Les intentions étaient là.
L’envie aussi. Mais avec peu
d’opportunités, notre adversaire
est parvenu à prendre deux
buts d’avance et ce fut beaucoup
plus facile pour lui à partir
de ce moment. Pour nous, en revanche,
c’est devenu très compliqué,
car on a été confrontés à
une équipe regroupée et on a eu
du mal à trouver des solutions.
On doit également composer
avec une certaine impuissance
offensive sans que l’on ait, aussi,
une grande solidité défensive.
Dans ces conditions, c’est
difficile de gagner des matches.
Aujourd’hui, le rendement collectif
n’était pas suffisant.
❚ Vous parliez d’envie. Vous
croyez vraiment qu’elle était là,
ce soir (hier) ?
(Agacé) Je parlais du premier
quart d’heure. Quand on n’est
pas sur le terrain, on ne peut
pas comprendre. Moi, je sais ce
que c’est. J’ai été un peu footballeur.
Footballeur, c’est la tête
aussi.
Ce n’est pas tout d’avoir envie.
Quand vous prenez une gifle,
puis une deuxième, parfois,
on réagit; parfois non. Parfois,
on peut; parfois on veut; et parfois,
on ne peut pas. C’est comme
ça.

"Le risque de tout
perdre?Moi, je vois la
possibilité de gagner."
DIDIERDESCHAMPS

Victoire, victoire, victoire,
victoire. Nul, nul. défaite,
Défaite, défaite. Qui a dit
que l’OMétait irrégulier? En ce
début d’année 2012, il est mêmetrès
régulier. On a commencé
par l’apprécier, puis un peu
moins. Et là, lecomiquede répétition
ne nous fait plus rire ;
Mais alors plus du tout...
Une défaite, celle de Brest
était injuste, comme le nul
concédé devant Valenciennes.
L’autre,amplementméritée, devantToulouse.
Le coupdegueule
de Didier Deschamps, plus la
situation générale, auraient dû
suffire pour stimuler une équipe
qui avait un match en retard
à Annecy contre Évian-Thonon-
Gaillard. Eh bien, non.
Alors, là, trois défaites, ça
n’engendre plus que le doute,
la crainte d’un glissage irrémédiable,
au moment où, au
contraire, il faut semontrer costaud
en vue du sprint final.
Comment enrayer cette glissade?
Côté Olympien, après le bâton,
qui n’a pas marché, on agite
la carotte. L’espoir.
"Nous avons des objectifsàatteindre
qui sont clairs, rappelle
ainsi l’entraîneur olympien. Il
est excitant de pouvoir jouer des
choses importantes au cours des
deuxmois qui nous restent: une
finale, la Ligue des champions,
la coupe de France. Il y a un domaine
où nous sommesmal placés,
c’est le championnat; nous
traversons une période difficile.
Il faut faire autre chose. Mais il
ne faut pas avoir de doute et de
fébrilité, et essayer d’inverser la
tendance en se basant sur la simplicité
et la détermination. Il reste
de l’optimisme. Il faut toujours
relativiser; quand ça va
bien aussi d’ailleurs."
Pour le moment, c’est sûr, ça
ne va plus du tout. Résultats,
manière, usure, impuissance,
calendrier très lourd en vue, fin
mars: que l’on regarde devant
ou derrière, on se décourage.
Ce que veut éviter l’entraîneur
olympien, comme son président
la veille dans nos colonnes.
Découragement ?
"Aucun signal ; ça serait incompréhensible.
Nous risquons
de tout perdre?Non, moi, je vois
que nous avons encore la possibilité
de gagner des choses."
La force d’un dirigeant, d’un
entraîneur, du dépositaire des
responsabilités, c’est effectivement
aussi de ne pas naviguer
au gré du vent et denepas, comme
beaucoup de supporters,
tomber dans l’excès, du style :
"On va aller disputer la finale de
la Ligue des champions à Munich
contre le Milan AC", quand
l’OMbat l’Inter, à "on ne va pas
se qualifier pour l’Europe la saison
prochaine, les meilleurs
joueurs vont partir, on va
connaître des années de galère" ,
quand l’OM aligne trois défaites
en Ligue 1.
Mai s c’est sûr : autant
l’optimisme pouvait prévaloir
avant Évian, autant la crainte
est du voyage avant le diptyque
Ajaccio-Milan.
Où sont les motifs d’espoir ?
D’abord, dans les retours à la
compétition, sans doute encore
prudents, deMathieu Valbuena
et Loïc Rémy. Le meilleur passeur
et le meilleur buteur, soit
les hommes qui font gagner les
matches (même si le troisième
"match winner", André Ayew
doit soigner son épaule dans le
même temps). Et puis, celui de
Stéphane Mbia, qui va pouvoir
dans un premier temps soulager
Alou Diarra ou la défense
centrale, avant de s’imposer de
nouveaucomme un titulaire incontournable.
Mais il ne faudra pas s’en
contenter et croire seulement
en eux. L’état d’esprit et surtout
la fierté devront prévaloir, en
un lieu, Ajaccio, oùon en aà revendre.

la ca craint ils vont ggné en corse

banjo a écrit:la ca craint ils vont ggné en corse

pas sur ce sera dur

L’OM s’inquiète Une grève spontanée du personnel à
Marignane oblige l’OM à changer
d’aéroport. L’intendance trouve un
autre point d’envol, en permettant à
l’équipe de décoller du Castellet avec
plus de 40mn de retard. Ce sera aussi
le point d’arrivée, ce soir, après la rencontre.

L’OM est prévenu, Dejan Stankovic
est "à 200%"! L’international
serbe a même promis "la guerre
sur le terrain", hier en conférence
de presse. "On est confiant après
notre victoireà Vérone. Le vestiaire
était très heureux, c'était vraiment
difficile, reconnaît le milieu
de terrain intériste. Je n'ai jamais
connu 7 défaites en 8 matches
dans ma carrière. Cette victoire
nous permet d’envisager la rencontre
contre l’OM dans de
meilleures dispositions. Ce ne sera
pas une partie facile. L’OM a
bien joué à l’aller. Il faudra être patient,
contrôler le match

Des cris de singe ?
Si nous étions seuls à l’avoir perçu,
nous n’oserions pas y croire, mais plusieurs
journalistes, pas tous assis à côté,
ont eu la même sensation: en premièremi-
temps, nous avons entendu le
public milanais lancer des cris de singe
par moments, quand Mbia, Mandanda
et surtout Nkoulou touchaient le ballon.
De toute façon, si c’était le cas, ce que
la vidéo pourrait prouver, l’Inter ne risque
rien: en 2008, le Zénith Saint-Pétersbourg
avait pris une amende dérisoire,
alors qu’aux cris de singe s’étaient ajoutés
des jets de bananes sur des Africains
de l’OM.

DU CÔTÉ DE MILAN
Les journalistes italiens taclent l’Inter

Les quotidiens sportifs transalpins n’y sont pas allés de main morte,
hier matin, pour qualifier l’élimination de l’Inter Milan contre l’OM.
"Inter, et tout est fini", a titré la Gazzetta dello Sport, qui consacre
sept pages au 8e de finale retour de Ligue des champions. "L’histoire
se répète :du triplé d’or à l’Inter à zéro titre", a écrit pour sa part
l’un des journalistes, faisant référence au triplé de 2010.
"L’Inter a failli", souligne sobrement en Une le Corriere dello Sport.
Dans les trois pages de reportage, le quotidien peste tout de même
sur une faute de Brandao sur l’action du but, avec capture d’écran à
l’appui. Les regrets de Claudio Ranieri sont aussi largement relayés
("Ranieri : ’Éliminés injustement’). Et pour cause : l’entraîneur intériste
est plus que jamais sur un siège éjectable.




Le moins sérieux des trois titres, Tuttosport, revient aussi dans les
grandes largeurs sur l’échec milanais. "Inter, ce sont des larmes de
rage": tel est le titre de la page dédiée à ce match. Et le journal
italien recense les people présents en tribunes à San Siro: Jean Dujardin
("il premio Oscar"), mais aussi Andrea Bocelli

LA BELLETTE DE CANAL REPOND

DU CÔTÉ DE CANAL+
"Que les clubs français
s’habituent à jouersouvent !"

Invité de Jean-Michel Larqué
sur les ondes de RMC, hier
après-midi, Cyril Linette, le patron
des sports de Canal +, n’a
pas mâché ses mots lorsqu’il a
été interrogé sur la requête de
l’OM.
"Si on écoute les clubs français,
ils ne veulent jamais jouer,
a-t-il d’emblée lancé. Vouloir
avancer une rencontre de 24 heures,
pour bénéficier d’un jour de
repos supplémentaire, c’est légitime.
Mais vouloir demander le
report d’un match, non. Il faut que les clubs français s’habituent
à jouer souvent, comme c’est le cas dans les grands championnats".
Canal + n’aura pas son mot à dire dans le dossier, la chaîne
cryptée - détentrice du premier choix en L1 - ayant jeté son dévolu
sur Rennes-Lyon lors de cette 30e journée; et, ainsi, laissé le
champ libre à Orange pour diffuser OM-Montpellier. Mais le ton
est donné. "Il y a déjà eu deux précédents: Bordeaux et Lyon, en
2010. Bilan, Bordeaux, qui avait eu ses matches reportés entre
le déplacement à Olympiakos, n’a ensuite plus gagné pendant
un mois et demi; et Lyon s’en est pris trois à Munich contre le
Bayern. Alors, je ne vois pas vraiment où réside l’intérêt

POVRES GENS

On pense parfois que le plus
dur est de marquer le premier
but, surtout au Vélodrome.
Ce n’est malheureusement
plus du tout le cas, dès lors que Dijon
a fait encore mieux que Valenciennes
et Lyon, qui avaient égalisé
après avoir été rapidement menés
au scoreàMarseille.
Hier, l’OM aencore été battu, faute
de transformer en buts ses intentions
offensives. Car l’équipe olympienne,
dans sa configuration "solidité
européenne", a tout de même
cherché à aller de l’avant, mais
sans avoir suffisamment d’essence
pour tenir 90 minutes et surtout
pour accélérer. Elleamême parfois
roulé sur la réserve.

POUR LES NOMINNES POUR L EUROPE IL Y A 5 WAGONS ET NOUS SOMMES DERNIER DU DERNIER WAGON
BIEN EVIDEMMENT LA CHAMPIONS LEAGUE SELOIGNE ...........
LE SEUL MOYEN DE REDORER NOTRE BLASON ..LA GAGNER DES CETTE SAISON

Pl Equipe Pts Jo G N P F Bp Bc Pé Dif
1 Paris S G 59 28 17 8 3 0 52 29 0 23
2 Montpellier 57 28 17 6 5 0 52 27 0 25

3 Lille 50 28 13 11 4 0 50 31 0 19

4 Toulouse 47 28 13 8 7 0 30 24 0 6
5 Lyon 46 28 14 4 10 0 44 35 0 9
6 Saint Etienne 46 28 13 7 8 0 35 30 0 5

7 Rennes 44 28 12 8 8 0 37 32 0 5

8 Bordeaux 40 28 10 10 8 0 34 31 0 3
9 Marseille 39 28 10 9 9 0 35 29 0 6

Un peu d’orgueil

Mais où est donc passée la force de caractère de l’OM? Ce tempérament
qui, ces dernières années, lui a permis de balayer doutes et
obstacles. D’inverser les scénarios les plus mal engagés, de devenir
un habitué des podiums. Disparu, envolé, évaporé. Aujourd’hui,
l’esprit olympien s’apparente à un champ de ruines, alors que la
saison est loin, très loin d’être terminée. L’accumulation des revers,
des gifles et des désillusions a fini par tuer les ambitions du
club en championnat. Avec, pour conséquence, une absence quasi
certaine sur la scène de la Ligue des champions la saison prochaine.
Car aujourd’hui, plus personne n’imagine cet OM moribond capable
d’écarter le Bayern, le Real pour aller remporter le suprême
trophée à Munich synonyme de qualification. Certes, il reste une
finale de coupe de la Ligue face à Lyon. Dernier espoir d’une présence
continentale. Maigre consolation, modeste perspective pour une
équipe qui, il y a encore quelques semaines, se croyait encore capable
du meilleur. C’était avant cette pitoyable série. C’était avant
que l’OM perde son âme. Le pire serait aujourd’hui de se résigner.
D’abandonner. De rendre les armes. De trahir la passion et
l’engagement de tous ces supporters parfois désenchantés mais
toujours fidèles. Alors Messieurs, un peu d’orgueil

l'OM EST PLUS LOIN
DE LA 3EME PLACE 11 PTS QUE DE LA PLACE DE RELEGABLE 8 PTS
POUR LE TITRE .....ON EN PARLE MEME PAS

PTS J G N P BP BC G
1. PSG 59 28 17 8 3 52 29 23
2. Montpellier 57 28 17 6 5 52 27 25
3. Lille 50 28 13 11 4 50 31 19

4. Toulouse 47 28 13 8 7 30 24 6
5. Lyon 46 28 14 4 10 44 35 9
6. Saint-Etienne 46 28 13 7 8 35 30 5
7. Rennes 44 28 12 8 8 37 32 5
8. Bordeaux 40 28 10 10 8 34 31 3
9. OM 39 28 10 9 9 35 29 6

10. Evian TG 36 28 9 9 10 41 40 1
11. Valenciennes 31 28 8 7 13 28 34 -6
12. Lorient 31 28 7 10 11 27 36 -9
13. Brest 30 28 5 15 8 23 26 -3
14. Nancy 30 28 7 9 12 26 36 -10
15. Dijon 30 28 8 6 14 34 48 -14
16. AC Ajaccio 30 28 7 9 12 30 48 -18
17. Caen 29 28 7 8 13 32 42 -10

18. Nice 27 28 6 9 13 26 33 -7
19. Sochaux 27 28 6 9 13 28 43 -15
20. Auxerre 24 28 4 12 12 33 43 -10