CARTON ROUGE ..OLYMPIEN

papeleo


24/09/2012 à 07h35

quelle tronche et analyses teinté de venin leBEIN ALJAIZIRA foot de la chaine qatari alias le qatar de paris...que cela les enm.....de voir LOM premier sans le sou...qu'ils se rassure nous le resterons le plus longtemps possible et la reception du qatar fc paris bientot ne fait que grandir notre envie de les battre alors la oui LOM est de retour et faudra compter avec nous!!!allez LOM
djezer


23/09/2012 à 23h03

Nombreux sont ceux à attendre notre chute avec l'eternelle question : Mais ça va durer combien de temps cette comédie ? Entre l'enchaînement des matches, le banc et effectif restreint ou le soit disant jeu proposé qui fait que sans Mandanda on serait à la rue bref si vous croyiez qu'on va donner le titre à Paris quelle belle forme de concurrence que voici !

ACCUSE LEVEZ VOUS ...LE BANC FAMELIQUE A DU MAL A SE METTRE DEBOUT
NOUS NE SOMMES QU EN SEPTEMBRE

cest suravé un banc des jeunes des blessé un suspendu longe duree
pas besoin detre journaliste pou savoir que la saison sera longue et dure

banjo a écrit:cest suravé un banc des jeunes des blessé un suspendu longe duree
pas besoin detre journaliste pou savoir que la saison sera longue et dure

c'est une evidence que bientot on aura du mal à finitr les matchs
valbu etait carbo a la 60 eme contre evian

Procès pour abus de confiance : Basile Boli sera jugé en janvier Publié le jeudi 27 septembre 2012 à 15H06


Le procès de l'ancien Olympien Basile Boli - le buteur de la finale de la Ligue des champions en 1993 - pour abus de confiance dans le cadre d'activités associatives a été programmé au 31 janvier 2013 par la 14e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre (Hauts-de-Seine).

L'ancien défenseur et international, qui a aujourd'hui 45 ans, comparaîtra pour des faits remontant aux années 2007 et 2008, lorsqu'il était secrétaire général de l'association "Entreprendre et réussir en Afrique" (Era).

Le procès portera sur les comptes de l'association, largement subventionnée par l'Agence nationale de l'accueil des étrangers et des migrations (Anaem), aujourd'hui connue sous le nom d'Office français de l'immigration et de l'intégration (Ofii), qui s'est constituée partie civile.

ttention danger !»
Elie Baup a prévenu ses joueurs : ils n'ont pas encore le droit de penser au match contre Paris le week-end prochain. Valenciennes passe avant tout (14h00).

Elie Baup ne veut pas que ses joueurs aient trop tôt la tête au match contre Paris. Notamment les plus jeunes du groupe, comme Abdullah
ie Baup n'a pas coché le match OM-PSG dans son calendrier, même s'il a vite compris qu'à Marseille, la réception de Paris pouvait occulter tout le reste. La certitude de recevoir en leader les Parisiens le 7 octobre prochain au Vélodrome décuple l'envie - et l'impatience - des supporters olympiens d'en découdre. Au point de faire passer le match de Valenciennes (14h00) au second plan et de le transformer en formalité. «Ce serait une grossière erreur de ne pas jouer le match à Valenciennes à fond, assure Baup. C'est le danger qui guette les nouveaux puisque dès le premier entraînement, l'entourage du club dans sa globalité va vous parler de Paris. Mais il faut patienter encore quelques jours...»
«Pour être dans les meilleures conditions contre Paris, il ne faudra pas se louper (contre VA). Si on se relâche un petit peu, on peut vite retomber dans nos travers.» (Morel)Toute la semaine, l'entraîneur marseillais s'est employé à imposer le fameux credo «prenez match après match» . Avec plus ou moins de bonheur. André-Pierre Gignac par exemple, bon élève, a refusé d'évoquer une telle affiche avant l'heure. Jérémy Morel a, lui, avoué qu'elle avait pris place dans un coin de sa tête mais que «pour être dans les meilleures conditions contre Paris, il ne faudra pas se louper (contre VA). Si on se relâche un petit peu, on peut vite retomber dans nos travers. Les fantômes ne sont pas loin... et on n'a pas envie de connaître cette première défaite.»
«Paris, un rêve de minot»
Il est plus difficile, en revanche, pour les jeunes éléments de l'équipe d'en faire abstraction. Jordan Ayew a avoué qu'Ibrahimovic est son «idole depuis longtemps.» Quant à Rafidine Abdullah, il se pince pour y croire. Le rêve se poursuit pour lui : «J'espérais faire un seul match au Vélodrome. C'est fait et maintenant, ce peut être contre Paris, c'est un rêve de minot. Ce serait beau de se retrouver face à Zlatan, Motta ou Thiago Silva ! Avant, je les voyais sur TF1 ! Je n'imaginais pas que ça pouvait m'arriver.» Mais, ajoute-t-il encore lucide : «Valenciennes est un match aussi important. Si on gagne, on sera plus costaud pour recevoir Paris». Pour espérer battre le record de 8 victoires consécutives en L1, détenu par l'Olympique lillois, les Marseillais doivent être vigilants : il leur faudra d'abord gagner à Valenciennes, où ils ne sont imposés qu'une fois en six saisons.

Cette semaine, le club devra
veiller à ne pas être aspiré
par les pensées négatives.

Si cen’est le néant, cela lui ressemble.
Adieu belle invincibilité! On
aimerait certaines journées plus
belles, plus radieuses. Ce dernier dimanche
de septembre a revêtu des habits
de tristesse, sans pour autant
plonger dans la négation absolue. La
vie continue. Le football est écrit de récits
enthousiastes parfois sombres,
mais la route est encore longue.
Il revient de ne pas occulter le parcours
réalisé jusqu’ici. Il a été salué à
sa juste valeur, en apportant avec sincérité
les modérations nécessaires
pour éviter toute crise de suffisance. Il
est conseillé de s’appuyer sur les acquis,
de bonifier les bénéfices d’un début
de saison historique et de continuer
à avancer avec humilité pour rebondir
rapidement vers de nouvelles
belles heures.
L’OM a traversé un trou noir, un
jour comme cela ne lui était plus arrivé
depuis le 11 décembre 2007, soir
d’une sixième journée de Ligue des
champions où Liverpool s’était imposé
0-4 au stade Vélodrome.
Nul n’est qualifié pour affirmer si
l’absence collective d’hier est un simple
accident ou le prémice de jours difficiles.
Dans les prochaines heures,
quand l’actualité s’emballera vers le
grand rendez-vous attendu par tous
les médias de France, le club devra
veiller à ne pas être aspiré par les pensées
négatives, les discours arrêtés, les
débats faciles sur le déséquilibre annoncé
entre l’OM et le PSG. Restons
concentrés sur l’essentiel: le travail et
le retour aux vraies valeurs, dispersées
hier sur la terre du Hainaut.
Rien n’a fonctionné. Désordonnés,
les Olympiens sont partis sur un rythme
d’hippopotame. L’équipe s’est retrouvée
en difficulté dès le coup
d’envoi. Valenciennes a fixé le cap, un
pressing haut pour couper les liaisons
entre les lignes, éviter à l’OM de ressortir
proprement depuis son camp.
Payant! Battu dans tous les secteurs
essentiels, l’OM a plongé. Incapables
de construire, d’apporter de la vie et
de la fluidité dans la circulation de balle,
entamés dans l’animation offensive,
les Olympiens auraient pu jeter un
doute chez les Nordistes si, après
l’ouverture du score, ils étaient parvenus
à exploiter deux situations pour
égaliser.
Peine perdue. Les erreurs individuelles
à l’origine des deuxième et troisième
buts sont finalement la continuité
de l’ouverture du score quand le mur
composé de Morel et André Ayew
s’est disloqué pour ouvrir une voie
royale à une frappe enroulée de Danic,
parfaite de maîtrise technique.
Battu sur les seconds ballons, dans
le domaine aérien, révélant des carences
défensives inattendues, l’OM a
manqué de présence, d’agressivité offensive
et défensive, à l’image du
deuxième but où l’engagement de Danic
laisse sur place Fanni; à l’image
du quatrième où toute liberté est accordée
à Kadir pour centrer, à Le Tallec
pour reprendre de la tête.
L’OM a connu une défaillance collective.
"Le verdict est lourd, brutal,
conséquent, regrette Élie Baup. Il ne
sert peut-être à rien de s’éterniser sur
une telle défaite et se remettre
l’endroit."
Cette gifle doit être salutaire.
L’agressivité saine des Valenciennois
est l’exemple à suivre pour la révolte
attendue dimanche.
Allez, demain sera plus beau...

Que retenez-vous de la déroute olympienne sur la pelouse de Valenciennes ?
9%Un série d'invincibilité qui s'arrête
4%La bourde de Steve Mandanda
8%Les lacunes défensives
80%Un collectif dépassé dans tous les compartiments du jeu

Une sérieuse alerte
02-10-2012

Dernière mise à jour : ( 02-10-2012 )



L’OM a reçu un sérieux avertissement à Valenciennes. Les Provençaux devront montrer sur le terrain qu’il s’agissait d’un simple accident. La lourde défaite de l'OM concédée à Valenciennes montre à quel point l’édifice construit par Elie Baup reste encore fragile.


« Ce soir, rien n’a marché, tout a tourné à l’envers pour nous ! » Au stade du Hainaut, on a senti qu’Elie Baup avait pris un sérieux coup sur la cafetière. Il faut dire que l’uppercut valenciennois pris en plein plexus solaire avait de quoi le secouer, ainsi que ses hommes qui ont vécu le même calvaire qu’au soir du 22 octobre 2006, lorsque Lyon était venu corriger l’OM au Vélodrome 4–1. A l’époque, c’est contre des Gones qui dominaient le foot français de la tête et des épaules que l’OM avait baissé pavillon. Dimanche, c’est une formation valenciennoise encore groggy par son élimination en coupe de la Ligue par Monaco qui a corrigé le leader. Certains diront qu’il fallait bien que la défaite arrive. C’est la manière qui est marquante. Une véritable faillite collective qui ébranle les certitudes nées d’une belle série de six succès.


A Istanbul, les Olympiens étaient parvenus à remonter leur handicap de deux buts. Le scénario du match était autre avec une maîtrise marseillaise qui laissait deviner un tel dénouement. A Valenciennes, jamais ils n’ont été en mesure de prendre une quelconque initiative. « Notre adversaire nous a étouffés » reconnaît Elie Baup. Malgré ce cuisant échec, il ne faut surtout pas jeter le bébé avec l’eau du bain. La défaite est arrivée. Elle fait mal. Les Provençaux doivent montrer qu’ils ont compris l’avertissement. Et qu’il est sans frais. La plus belle réponse ne pourra venir que du terrain, jeudi en Ligue Europe contre Limassol, « nous y sommes déjà car ce match est important pour nous remettre en selle » souligne André–Pierre Gignac, plus remonté que jamais par un résultat « qui me reste en travers de la gorge. ». Vincent Labrune a parlé d’un nom match sur OM.net. « Cela arrive une fois tous les dix ans. C’était un non-match dans tous les sens du terme... Il faut que ce soit un mal pour un bien, il faut s’en servir pour repartir sur d’autres bases et faire en sorte que, dimanche la ville et nos supporters soient fiers de notre équipe et que l’on fasse un autre match.

COUPE PAUVRE
Quel décalage entre l’enthousiasme
qui nous est rapporté de tous ceux qui
ont vécu le déplacement de l’OM à Istanbul
et ce que l’on a vécu hier soir !
Entre l’atmosphère, l’intensité
"européenne", le dénouement incroyable
sur la pelouse de Fenerbahçe et
cette confortable victoire plan-plan
alors que les Olympiens ont longtemps
ramé pour l’emporter avec de
la marge, dans une ambiance pauvrette,
digne d’un seizièmes de finale de
coupe de France contre Trifoullis-les
Oies.
Alors, c’est le serpent qui se mord la
queue, un peu comme ces clubs qui luttent
toute une saison pour se qualifier
dans une compétition, qu’ensuite ils
bradent et méprisent parce qu’elle les
gêne dans un championnat où ils luttent
pour se qualifier pour cette compétion
qu’ils délaisseront ensuite
etc... Là, on se demande si la soirée
d’hier était ennuyeuse parce que la
compétition n’est pas follichone ou si
le match était sans vie parce qu’il n’y
avait pas assez de vie autour pour
qu’il ressemble à un vrai match.
C’est tout le problème de cette coupe
pauvre. On espère que Mönchengladbach
et Fenerbahçe nous feront revivre
de vraies soirées européennes au
Vélodrome.

L'ITALIEN NOUS PREND POUR DES CAVES ...IL REVE DE NOUS ENDORMIR
QD LE SECOND VIENT VISITER LE 1ER AVEC LA POSSIBILITE DE LUI RAVIR LE LEADERSHIP
LORSQUE LE BUDGET DE 300 M€ DU PQSG L UI ORDONNE D ECRASER LA L1 TRIPLE BUDGET DE CELUI DE L' OM

IL VIENT NOUS FAIRE CROIRE QUE C'EST QU UN JEU ENTRE AMIS DE LONGUE DATE

ALLEZ MARSEILLE
UN NET ET SEC 3 A 0 ET BOUGEZ LES PHYSIQUEMENT COMME PORTO

OM-Cheyrou: "Paris a un projet énorme mais instable" Publié le 7 octobre 2012 à 10h24
Avant le choc au sommet contre le PSG, dimanche soir, pour le compte de la 8e journée de Ligue 1, Benoît Cheyrou, le milieu de l’OM, est revenu sur la nouvelle ère que connaît le club de la capitale. "Beaucoup d’équipes peuvent postuler pour le titre mais Paris est le favori numéro 1. Ils sont bien partis dans un projet énorme mais instable car, dans six mois ou un an, un joueur peut être recruté pour 30 millions d’euros et te prendre ta place. C’est donc peut-être plus difficile de s’impliquer. Je vois des joueurs qui ont fait une bonne saison l’an dernier et qui se retrouvent sur le banc cette année, ils peuvent se poser des questions", estime l'intéressé sur le site officiel de son club, avant de poursuivre: "Avoir autant de joueurs pour jouer la L1 et la Champions League, c’est un luxe plus qu’un souci. Mais l’accumulation de bons joueurs ne fait pas forcément une bonne équipe. Il faut une osmose et une cohérence dans le groupe qui ne s’acquiert que par le vécu."

C'est clair que ce MENES on le supporte plus
moi si j'avais un physique si ingrat je ne la ramenrais pas
àmoins que ca soit la cause de son aigreur
et là il serait mieux dans un hopital pour soigner son cerveau

Pierrot le fou Par Alexandre JACQUIN
Les analyses de Pierre Ménès sont parfois
désopilantes. Son humour est grinçant,
son ton sarcastique. Il n’est pas rare de
partager sa vision du football, de sourire à
ses vannes, de se marrer quand il se prend
le bec en direct avec un Jean-Michel Aulas
remonté. Mais, quelquefois, à trop vouloir
en faire, à chercher systématiquement la
petite bête et à cultiver son côté rebelle, le
plus caustique des journalistes de la capitale
en devient agaçant. Comme hier soir à la
mi-temps du match, sur le plateau du Canal
Football Club...
Morgan Amalfitano est effectivement
coupable d’avoir giflé Blaise Matuidi en
première période. La courte échauffourée
qui a suivi, au retour aux vestiaires, a donné
une mauvaise image de ce clasico qui,
jusqu’alors, tenait toutes ses promesses
sur le plan sportif. "La commission de discipline
va s’occuper de lui !", a alors prévenu
notre ami de Canal +, de manière
particulièrement virulente. Ménès occupe-
t-il désormais un siège au sein des instances
fédérales? Son nom ne figure pour
l’instant dans aucun organigramme... Pour
la petite histoire, un comité de visionnage
est effectivement en place. Il reviendra à
n’en pas douter sur le regrettable mauvais
geste de l’ancien Lorientais. Mais, cher
Pierrot, les zapping et les rediffusions existent
aussi. Ils permettent de réexaminer
les propos des acteurs de la télé. Allez,
sans rancune

PSG-Matuidi: "Amalfitano cherche à me faire mal" Publié le 8 octobre 2012 à 23h28
Après le résultat nul du Paris Saint-Germain sur la pelouse de l'Olympique de Marseille (2-2), dimanche soir, en clôture de la 8e journée de Ligue 1, Blaise Matuidi, le milieu défensif parisien, est revenu ce lundi soir sur son altercation avec Morgan Amalfitano et, bien évidemment, sur sa discussion avec Tony Chapron, l'arbitre de la rencontre, dans l'émission Club Liza sur RTL. "C'est vrai que j'étais un peu en colère par rapport à ce fait de jeu pendant le match. Amalfitano ne joue clairement pas le ballon, il cherche à me faire mal et je l'ai ressenti. J'étais un peu énervé", a-t-il confié à nos confrères de la radio nationale, avant d'ajouter : "Peut-être que j'ai eu une réaction que je n'aurais pas forcément dû avoir en allant le voir à la mi-temps, en lui parlant, et il a eu cette réaction. Mais ce sont des choses qui normalement ne doivent pas arriver sur un terrain de foot. On le sait lui comme moi." Quant à la discussion avec M. Chapron ? "Oui, elle a été plutôt virulente d'ailleurs. On était tous les deux… Moi, à vrai dire, j'ai été un petit peu choqué de la réaction de l'arbitre à ce moment-là."

on est sur que l'om va finir dans les 8 mais on est pas sur qu'avec un banc si famelique on va finr mieux

1 point en 3 matchs avec troyes et VA dans ces 3c'est grave

L’Estac n’avait jamais battu l’OM en
Ligue 1. C’est chose faite, désormais!
Le club olympien n’avait jamais
laissé son fauteuil de leader depuis
le début de saison; là aussi, c’est réparé.
Seule équipe avec Lorient à avoir marqué
à tous les matches de L1 cette saison,
l’OM interrompt également sa série au terme
d’un match terne et branché sur courant
alternatif. Et il concède sa deuxième
défaite de la saison après le couac majuscule
à Valenciennes, laissant au PSG à la
sauce qatarie sa première place au classement
à la différence de buts.
Un nul aurait pourtant suffi à l’OM
pour garder la main en tête du championnat.
Mais face au promu et lanterne rouge
de la Ligue 1, qui plus est avec un effectif
largement remanié à cause d’une hécatombe
de blessés et de suspendus, les
Olympiens espéraient davantage et souhaitaient
éviter à tout prix le "match piège".
Raté !
Car si ce ne fut pas une rencontre à sens
unique, comme l’écart entre les deux formations
pouvait le laisser supposer, cela
s’est terminé sur un "match de peintres".
Un terme péjoratif pour les artistes de
tous bords, puisqu’ils trouvent toujours le
cadre, en toute occasion. À la différence
d’hier pour l’escouade marseillaise.
La bandeàNicolas Nkoulou était néanmoins
restée dans l’idée de "dimension
collective", chèreàÉlie Baup, et avaitmontré
de bonnes dispositions en déployant
du jeu face à une équipe repliée sur elle-
même et qui n’exploitait que les
contres, elle n’est jamais parvenue à trouver
la faille dans un édifice troyen pourtant
incertain. Le hic, c’est que les Olympiens
ont cruellement manqué de justesse
technique dans le dernier geste, anéantissant
les mouvements mis en place.
Amalfitano, Valbuena, Rémy, Kaboré,
"Dédé" Ayew, mais aussi Morel, auraient
pu faire la différence. Pas Gignac, sorti
prématurément sur blessure (lire page suivante).
Ce moment n’est jamais venu.
Bien au contraire. Cela n’efface pas le penalty
oublié sur Loïc Rémy. Mais la chance
n’a jamais été au rendez-vous, comme
en attestent ces deux buts refusés (logiquement)
à André Ayew et au maudit Rémy,
clairement en manque de confiance,
pour hors-jeu.
Étouffé en première période, Troyes a
donc repris du poil de la bête en seconde.
Les protégés de Jean-Marc Furlan
auraient pu doucher les Olympiens plus
tôt sur un coup de boule puissant de Nivet
(56), que seule la transversale deMandanda
repoussa. Pour son 250e match en
L1, il était presque écrit que ce diable de
Nivet (même hors-jeu) allait trouver la cible.
Et le milieu troyen a attendu les derniers
instants pour crucifier l’OM (88) et
provoquer le réveil tardif du stade de
l’Aube.
Le plus inquiétant est le manque de réalisme
des Marseillais. Avant de se déplacer
au stade Vélodrome, dimanche, Lyon,
lui, a retrouvé le podium (18 points) à la
faveur d’un but opportuniste de Gomis
en battant Brest (1-0). L’OM, de son côté,
a ouvert les vannes. Il faudra revoir la cop
i e à Mönchengladbach avant
d’accueillir l’OL pour un Olympico qui
promet déjà... Et ranger aux oubliettes la
détresse de l’Aube.

UN BELLE TETE DE FO ..

L’Olympique Lyonnais est à son aise
dans le jardin du stade Vélodrome.
Les résultats des dix dernières années
viennent confirmer cette tendance.
Au cours de cette période, l’OM
n’a empoché que deux succès (en
2007-08 et en 2009-2010); l’OL, lui,
en a signé trois, le reste des rencontres
se concluant par des résultats
nuls. Ce fut le cas la saison dernière
(2-2), où, après un départ canon et
deux buts d’avance inscrits rapidement
par Cheyrou et Brandao, les
Rhodaniens étaient parvenus à revenir
dans le match pour arracher un
point précieux. Fin de série ce soir ?

Des supporters grecs dévalisent la boutique de l'OM à Rabatau Publié le mardi 30 octobre 2012 à 23H25


La boutique de l'OM située 36, boulevard Rabatau, dans le huitième arrondissement de Marseille, a été dévalisée ce soir par un groupe de supporters du club de volley féminin grec de l'AEK Athènes.

Cinq d'entre eux ont été interpellés, alors qu'ils volaient dans le magasin divers objets, parmi lesquels des maillots, des casquettes et des fanions. L'OM a évalué son préjudice à 1 500 euros.

"Il y a deux sortes de
directeurs sportifs :
ceux qui font selon
l’intérêt du club et
de l’entraîneur en poste
et ceux qui font selon
leur propre intérêt”
DIDIER DESCHAMPS

Présent sur le plateau de beINSport lundi
soir, Didier Deschamps a répliqué aux propos
de José Anigo, tenus dans nos colonnes
samedi. Au terme d’un entretien croisé avec
Bernard Lacombe, le directeur sportif
olympien répondait à une question posée par
le conseiller du président lyonnais, évoquant
les rapports entre entraîneurs et dirigeants
du cru (*). Le sélectionneur des Bleus, qui
s’est senti visé, a décidé de réagir...
(*) "Il y a les techniciens qui ont besoin
d’échanger (...) et ceux qui ne veulent pas. Ça
crée des soucis."

MINOUDA


01/11/2012 à 09h00 | 1

Bonjour à tous ! 1ère réflexion sur ce match et quelle belle surprise ! Big moustache assis en tribune entre deux dirigeants du QSG ! Où étaient placés notre président et les autres dirigeants Marseillais ? Et MLD ? On ne les a pas vus , Ils étaient peut-être (complètement) ailleurs ?
En ce qui concerne le "patron" de la Ligue et les dirigeants du QSG, la moindre des corrections était de faire honneur aux dirigeants visiteurs en les asseyant à leurs cotés ! Mais il est vrai qu'à Paris nous avons à faire à des mercenaires qui ne connaissent pas les bonnes manières !
Mais également, c'est à nos dirigeants de s'imposer...On comprend mieux maintenant le comportement de l'arbitre ! Tout ça pue le fric pollueur du sport !

lesmigs


01/11/2012 à 00h36

Oui Baup a raison , de toute façon il fallait que la PSG gagne, la match était joué d'avance. Avec leur fric les QSI achètent ce qu'ils veulent...Thiriez les arbitres tout. La même faute aurait pu être sifflée pour A Ayew et celle ci était dans la surface .Je suis abonné de l'OM et supporter, mais originaire de la Loire, allez les Verts mais ne vous faites pas trop d'illusion le fric aura raison de vous.

Rammstein2a


05/11/2012 à 04h50

c'est quand meme fou qu'ils ont besoin de se faire bouger alors qu'ils n'avaient pas planter 1 but depuis la blessure de gignac et qu'ils avaient l'occaz de passer en tete après la défaite des tetes de cons la veille,ça montre que le bel esprit n'aura pas tenu longtemps
djezer


05/11/2012 à 01h25

En un sens c'est compréhensible, cette équipe n'est pas dotée de très grands techniciens dans ses lignes ! Et donc sans un jeu de passes huilé tu ne déstabilises pas une équipe attentiste ou bien en place comme Ajaccio et c'est ce qu'on a vu ! Sans parler de la piste aux étoiles c'est à dire que jouer un promu c'est pas bandant quoi pour nos chers professionnels !
julienrocheron13


04/11/2012 à 23h18

bravo a elie pour avoir bouger cette equipe qui est reste amorphe en première mi temps c'est quand même honteux que c'est elie qui doivent les faire réagir !!!