L'EXPERIMENTE GERARD ROLAND

GERARD ROLAND, A CONTRE COURANT

Certains supporters venus assister aux entraînements pensent parfois à une recrue quand d’autres lui trouvent une ressemblance avec Hengbart l’auxerrois. Capitaine de la réserve depuis son arrivée en août 2010, Gérard Roland possède pourtant un parcours qui ne ressemble à aucun autre.

Son histoire pourrait en rappeler une autre puisque Gérard Roland n’a pas été conservé par les Girondins de Bordeaux à l’issue de sa formation. Une première désillusion pour celui qui a commencé le foot à l’âge de 5 ans avant d’intégrer le centre de formation marine et blanc 10 ans plus tard. «L’année du titre en 99 avec les Wiltord, Laslandes, Bernarbia. Une grande équipe où les jeunes n’avaient pas forcément leur place.»

Derrière ça, ce Bordelais mais a grandi à Bègles s’envole contre toute attente pour la première division portugaise à Varzim. «Un agent qui m’avait vu jouer en moins de 17 ans avec Bordeaux m’a proposé d’aller faire un essai au Portugal et ça s’est bien passé. Je me suis dit que c’était peut-être un tremplin.»
Là-bas, il découvre de grands stades, affronte Benfica ou Porto, et se retrouve face à des joueurs comme Deco ou Jardel. Il n’est pas titulaire mais savoure chaque instant, gardant en mémoire le maintien acquis à l’issue de la première saison. «Lors de l’avant dernière journée, nous avions été gagner à Boavista, le champion sortant qui jouait la Champions League. J’ai en mémoire de très bons moments.» Quelques galères aussi, prémices de ce que vivent aujourd’hui de nombreux clubs européens. «Au Portugal, il y a forcément un décalage entre les 4-5 grands clubs et le reste du championnat. On avait mal débuté la saison et, dès le début, les salaires ont eu du mal à être versés. C’est revenu petit à petit mais il y avait toujours un décalage d’un mois ou deux. Quand on est un jeune joueur, sans argent de côté, dans un pays que l’on ne connait pas et qu’on n’a pas forcément de recours, on essaie de faire avec.»
L’homme n’en fait pas tout un plat pour autant et parle d’une expérience qui forge le caractère. Surtout que le confort n’est pas pour tout de suite. Après Varzim, il se retrouve lâché par ceux qui lui avait promis des signatures ici et là. «Ce n’étaient pas foncièrement de mauvaises personnes, mais ils avaient d’autres chats à fouetter et je passais derrière les autres. Je me suis donc retrouver sans rien et j’ai dû retourner vivre chez mes parents.»

«Je mesure ma chance d’être là»

Retour aux sources et signature à Langon-Castets. Il y dispute une saison pour garder le rythme et évolue aux côtés d’un certain… Mathieu Valbuena. «C’était déjà un bon joueur, on sentait qu’il avait la volonté de réussir et qu’il ne lâcherait pas.»
Leurs trajectoires seront pourtant différentes. Gérard passe par Beauvais et Bayonne en National et son arrivée à l’OM à l’été 2010 se fait par l’intermédiaire de Jean-Jacques Benoit. «Je l’avais eu comme entraineur au stade Bordelais quand j’avais 14 ans. Il a proposé mon nom à monsieur Stambouli et il nous a mis en relation.»
La magie d’un club comme l’OM, c’est que vous êtes ravi de le rejoindre même si c’est pour disputer un championnat situé trois divisions en dessous celui où vous évoluiez jusque là. «Le jour où on m’a donné les équipements avec le logo du club, j’ai ressenti une grande fierté. C’est un honneur. Je prends beaucoup de plaisir car je sais par où je suis passé et aujourd’hui ce n’est que du bonheur.»
L’intégration est rapide, Franck Passi lui confie des responsabilités et une relation de confiance s’installe entre les deux hommes. Depuis, il a participé à la remontée en CFA2 et reprend aujourd’hui le discours de son entraîneur : « La montée en CFA n’est pas vitale mais on s’est fixé de gagner tous les matches cette saison…»

Trêve internationale aidant, Gérard a encore eu l’occasion de s’entraîner avec les pros cette semaine, chose qu’il savoure. «Techniquement, c’est encore autre chose, ce sont des joueurs qui ont le niveau Champions League. Il y a un an, j’étais à Bayonne et là je me retrouve à l’OM avec l’équipe première.»
A 30 ans, le défenseur central prend toujours du plaisir sur le terrain mais n’a pas lâché les bancs d’étudiants. Titulaire d’un Bac L et d’une licence en histoire de l’art, il prépare cette année un mémoire sur le suivi psychologique des jeunes dans les centres de formation. Parfaitement dans les cordes d’un joueur venu à l’OM pour encadrer ces derniers…

merci olympien

cet article est tres interessant j'essaierai si possible de faire une vidéo del ui qd j'irais les voir
car ce qu'il dir=t est peu courant ds le foot

Oui effectivement !!! Ca serait le top si tu lui parles ou si tu l'interviewes .

P.S : ne dit pas "merci" lol c'est normal que je poste des articles, qu'est-ce qu'on devrait dire nous alors avec tout le boulot que tu fais ici !!!

olympien13 a écrit:Oui effectivement !!! Ca serait le top si tu lui parles ou si tu l'interviewes .

P.S : ne dit pas "merci" lol c'est normal que je poste des articles, qu'est-ce qu'on devrait dire nous alors avec tout le boulot que tu fais ici !!!

on peut le voir comme ca

Nom Prénom Date de naissance Lieu Poste Taille Poids

ROLAND Gérard 05/04/1981 Bordeaux Défenseur 1,86 78

Roland : "Fier et honoré d'être avec l'OM"
vendredi 14 octobre 2011 à 18H19


Il fait partie des "nouveautés" du groupe marseillais, au même titre que le jeune Larry Azouni. Retenu par Didier Deschamps pour la rencontre entre le TFC et l'OM, ce samedi, Gérard Roland ne cache pas sa joie. Quoi de plus normal pour le capitaine de la réserve olympienne ? "C'est la première fois que je suis retenu pour un match de championnat. Je suis donc fier et honoré, explique le défenseur de 30 ans au micro d'OMtv. Je vais à Toulouse avec beaucoup d'envie pour aider l'équipe à ramener un bon résultat."

VIDEO

http://www.om.net/fr/OMtv_Online/301003/Accueil/6902/Roland_Honore_et_fier

L’ENTRAÎNEMENT
Les jeunes avec les pros... et en Bleus !

Didier Deschamps disposait d’un effectif étoffé, hier, lors de la séance
d’entraînement matinale au centre RLD. Plusieurs joueurs de l’équipe
réserve et du centre de formation avaient en effet rejoint le groupe
pro. Gérard Roland, capitaine de l’équipe de CFA2, était accompagné
de Chris Gadi - désormais coutumier du fait -, Wesley Jobello, Larry
Azouni et Oumar Diop. L’entraîneur olympien - qui ne dispose actuellement
que de 12 joueurs de champ -, puisera forcément dans ces forces
vives. "On sera 18 ou 19 à Rennes", a-t-il tenu à préciser hier. Ce qui
risque de handicaper les U19, qui disputent demain les 32esde finale de
la coupe Gambardella contre Grenoble (à Aubagne).

CFA2
L’OMcraque(encore)àla fin
OM 1
FURIANI 1


Stade Le Cesne. Mi-temps: 1-0.
Arbitre : M. Regaieg, assisté de MM. Fabre
et Chevalier. Délégué : M. Thiabaud.
Avertissements - OM : Nzambe (9),
D’Ulivo (72), Loiacono (85).
Furiani : P. Leca (27).
Buts - OM: Nzambe (24).
Furiani : Bonci (90+7 s.p.).
OM: Mensah - Marin, Aloe, Roland (cap.) -
D’Ulivo, Abbes, Abdullah (Paoletti, 82),
Nzambe - Diop - Savino (Bonelli, 58), Anani
(Loiacono, 73).
Entraîneur: Franck Passi.
Furiani: Agostini - Benyoucef, Vinciguerra,
Casanova, F. Leca - Ferrarini, P. Leca
(cap. puis Matteoli, 86) - Oliveira (Madeddu,
75), Luccherini (Lenzini, 46), Bonavita
- Bonci. Entraîneur: Didier Gilles.

cette photo est de ce matin mais en face
je ne reconnais pas les couleurs de grasse bleu

Foot13.fr

CFA2 - Gérard ROLAND (Olympique de Marseille) "Fédérer le groupe..."
La réserve olympienne aime jouer avec les nerfs de ses supporteurs. Plusieurs des dernières rencontres se sont jouées dans les arrêts de jeu. Parfois dans la douleur comme face au Grenoble Foot 38 ou l’AS Furiani Agliani, avec des points perdus par manque de réalisme dans les derniers instants. Mais parfois avec bonheur puisque les partenaires de Gérard Roland ont remporté, le week end dernier, un match important au RC Grasse, grâce à un but de Gadi.



Gérard Roland est le capitaine de la réserve olympienne La réserve de l'OM sort donc d'un beau succès à Grasse. "Nous sommes très contents de cette victoire in extremis, mais ce match a aussi montré notre fragilité. Sans plusieurs arrêts importants de Cedric Mensah, nous aurions pu revenir bredouilles de ce déplacement. Le résultat nous donne de l’air et entretient la confiance mais la prestation reste moyenne." explique le capitaine olympien, Gérard Roland. Les hommes de Franck Passi soufflent effectivement le chaud et le froid cette saison. Ils avaient fort bien entamé la saison avec trois victoires, puis réalisé quelques belles performances comme la victoire à l’US Corte. Mais entretemps, que de points perdus par la classe biberon de l’Olympique Marseille. "Pendant la première partie de saison, l’effectif a été sans cesse chamboulé d’un match à l’autre. Certains pouvaient jouer en U19 Nationaux, puis en CFA2 et se retrouver ensuite sur la feuille de match de l’équipe professionnelle. Et le beau parcours en NextGen Cup n’a rien arrangé puisque les meilleurs U19 ont été retenus pour y participer. Ces bouleversements incessants n’ont pas permis de forger une cohésion suffisante. L’idée du staff technique était de créer une synergie entre le groupe des U19 et la CFA2, de façon à accélérer la post formation de notre jeune effectif. Mais finalement, l’unité ne s’est pas faite et certains joueurs pouvaient avoir des difficultés à s’identifier à une équipe." ajoute l’ancien partenaire de Mathieu Valbuena au FC Langon Castets.


"Chercher ce supplément d’âme, condition nécessaire pour toute équipe qui veut réussir..."

Le capitaine olympien est confiant pour la suite Conscient de ce handicap, Franck Passi a resserré le groupe après la trêve des confiseurs. Les résultats comptables n’ont pas encore été à la hauteur avec seulement deux victoires lors des sept matches joués depuis janvier. "Mais certains signes ont montré que l’homogénéité et la solidarité ont commencé à se construire. Certains jeunes prennent la parole au sein du groupe et s’impliquent davantage dans le quotidien de l’équipe et à l’entraînement. Cette aisance naissante permet au coach, qui est un véritable gagneur, de fédérer le groupe autour de l’objectif du maintien." rectifie Gérard Roland. Car il s’agit effectivement de se méfier de ne pas retomber en DH, dans ce championnat si serré et qui pourrait comporter jusqu’à cinq relégations. Le capitaine olympien garde cependant toute confiance dans la valeur de l’équipe. "Même si l’implication collective a mis du temps à se généraliser au sein de l’effectif, le potentiel est indéniable. L’équipe dispose d’un bon niveau technique, avec des joueurs qui ont des qualités de vitesse, d’endurance et une bonne vision du jeu. A part le Grenoble Foot 38, aucune équipe ne nous est réellement supérieure sur le plan footballistique." analyse Gérard Roland.
Reste maintenant à faire enfiler le bleu de chauffe à des jeunes joueurs, pas toujours préparés à cela. "Nous devrons pourtant aller chercher ce supplément d’âme, condition nécessaire pour toute équipe qui veut réussir." conclue le capitaine marseillais. Et pour assurer à la réserve olympienne le maintien à un niveau de jeu minimum, par rapport au standing du club.


Gérard Roland
Né le 5 avril 1981
Poste : défenseur
1m86 - 78kg
Joueur : Girondins Bordeaux, Varzim Sport Clube (Portugal), FC Langon Castets, AS Beauvais, Aviron Bayonnais FC, Olympique Marseille

Gerard ROLAND a signé au Stade Bordelais... Lui qui encadrait cette réserve, nouveau coup dur..

Tommy Allez l'O.M a écrit:Gerard ROLAND a signé au Stade Bordelais... Lui qui encadrait cette réserve, nouveau coup dur..

oui il y a ahmed et fabrice pour les encadrer

et puis il est peut etre originaire de la bas et a pres de 30 ans a envie de cette experience exaltante du promu

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Gerard ROLAND a signé au Stade Bordelais... Lui qui encadrait cette réserve, nouveau coup dur..

oui il y a ahmed et fabrice pour les encadrer

et puis il est peut etre originaire de la bas et a pres de 30 ans a envie de cette experience exaltante du promu

oui c'est ça au stade bordelais il doit connaitre tlm et veut suremnt les emener e nnationall

Gérard Georges Sylvain Roland
Date de naissance ( 05/04/1981 )5 avril 1981 (31 ans)
Lieu de naissance Bordeaux , France Hauteur 1,86 m
Carrière des jeunes
1994-1997 Bordeaux
* Parcours professionnel
Ans Équipe Apps † (GLS) †
1997-2001 Bordeaux B ? (?)
2001-2002 Varzim 8 (0)
2002-2004 Langon-Castets 33 (0

aladin a écrit:

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Gerard ROLAND a signé au Stade Bordelais... Lui qui encadrait cette réserve, nouveau coup dur..

oui il y a ahmed et fabrice pour les encadrer

et puis il est peut etre originaire de la bas et a pres de 30 ans a envie de cette experience exaltante du promu

oui c'est ça au stade bordelais il doit connaitre tlm et veut suremnt les emener e nnationall

Gérard Georges Sylvain Roland
Date de naissance ( 05/04/1981 )5 avril 1981 (31 ans)
Lieu de naissance Bordeaux , France Hauteur 1,86 m
Carrière des jeunes
1994-1997 Bordeaux
* Parcours professionnel
Ans Équipe Apps † (GLS) †
1997-2001 Bordeaux B ? (?)
2001-2002 Varzim 8 (0)
2002-2004 Langon-Castets 33 (0

oui lol

Tommy Allez l'O.M a écrit:

aladin a écrit:

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Gerard ROLAND a signé au Stade Bordelais... Lui qui encadrait cette réserve, nouveau coup dur..

oui il y a ahmed et fabrice pour les encadrer

et puis il est peut etre originaire de la bas et a pres de 30 ans a envie de cette experience exaltante du promu

oui c'est ça au stade bordelais il doit connaitre tlm et veut suremnt les emener e nnationall

Gérard Georges Sylvain Roland
Date de naissance ( 05/04/1981 )5 avril 1981 (31 ans)
Lieu de naissance Bordeaux , France Hauteur 1,86 m
Carrière des jeunes
1994-1997 Bordeaux
* Parcours professionnel
Ans Équipe Apps † (GLS) †
1997-2001 Bordeaux B ? (?)
2001-2002 Varzim 8 (0)
2002-2004 Langon-Castets 33 (0

oui lol

31 ans il se rapproche de sa famille
ses parents doivent avoir dans la soixantaine donc il veut en profiter
va til se marier a une bordelaise et avoir de petits girondins

affaire à suivre

Ca ne nous regarde pas... Enfin je crois savoir qu'il aurait une nouvelle femme enfin cela ne nous regarde pas xD

Tommy Allez l'O.M a écrit:Ca ne nous regarde pas... Enfin je crois savoir qu'il aurait une nouvelle femme enfin cela ne nous regarde pas xD

une nouvelle femme tu vois je le sentais

ces bordelaises elles nous piquent nos marseillias

kevin pinazo veille de match contre monacoB moitié t avril 2008 on est leader de cfa et on joue la montee

et bien il a suivi sa copine bordelaise vers chez elle à bordeaux on l'a plus revu et ils nous a abandonné a notre sort


le 10/04/2008 à 12h46
CASSIS-CARNOUX / KEVIN PINAZO :
0 « J'y crois toujours »
Excellent :DMagnifique !Triste :(Décevant Honteux Enervant !!Incroyable !Kevin Pinazo, après avoir être notamment passé par le centre de formation de l'Olympique de Marseille, comment vous êtes-vous retrouvé à Cassis-Carnoux ?
A Marseille, tout ne s'est pas bien passé, notamment avec mes parents. Mais je ne leur en veux pas. J'aurais du prendre mes décisions tout seul. Il y a eu des mauvais choix qui ont compliqué les choses. J'avais besoin de me relancer, de revenir aux sources pour ce j'avais perdu, c'est-à-dire mes proches, le terrain et la confiance. Ça m'a également permis de me prouver pas mal de choses à moi-même. En sortant d'une formation professionnelle, ce n'était pas évident de retrouver le monde amateur, mais je me suis accroché. C'est un vrai test.

Rappelez-nous votre parcours…
Je suis resté au centre de formation de l'Olympique de Marseille jusqu'à l'âge de quinze ans. Après, je suis allé à l'OGC Nice pendant un an et demi. Ensuite, je suis parti au Stade Malherbe de Caen. Là-bas, ça s'est relativement bien passé mais je n'ai pas été épargné par les pépins physiques. J'ai un gros problème avec une inflammation du tendon, une durcit. J'ai mis beaucoup de temps à revenir. Et dans la foulée, je me suis fait une grosse déchirure aux ischio-jambiers. Ça n'a pas été évident mais ça m'a fait mûrir. J'ai pris conscience que rien n'était acquis. Il faut toujours se remettre en question. Et continuer à bosser.

On vous a également vu tenter votre chance à l'étranger…
J'ai fait des essais à gauche, à droite. Je suis parti en Roumanie où ça n'est pas forcément bien passé. En revanche, en Norvège (Ndlr : Stabaek Football), c'était très positif mais ça ne s'est pas fait pour un tas de raisons que je ne maitrise pas forcément. Plus tôt, j'étais allé tenter ma chance à Chelsea, mais j'étais trop jeune, pas assez mature. Je ne connaissais pas la langue. C'était trop.

Vous a-t-on collé l'étiquette du talent qui n'a jamais percé ?
Oui, c'est surtout pour ça que je suis redescendu. Je voulais montrer à tout le monde que je pouvais réussir au plus niveau, mais je dois commencer à l'échelon inférieur pour y parvenir. Le CFA n'est pas un championnat très facile. Il y a peut-être moins de technique, mais c'est très physique. En plus, Cassis-Carnoux est connu pour relancer les joueurs qui se sont un peu perdus. Aujourd'hui, je savoure. Je retrouve des sensations que je ne connaissais plus, mais également le chemin des filets (sourire).

« Je veux retrouver le monde professionnel »

Les observateurs vous décrivent comme un véritable buteur. Qu'en est-il ?
C'est vrai que je tourne davantage dans la surface mais j'ai changé depuis mon passage au Stade Malherbe de Caen. On m'a dit que j'avais un profil un peu stéréotypé. On m'a fait évoluer. Aujourd'hui, un attaquant doit savoir défendre, reculer pour apporter des solutions à ses milieux et presser.

Comment voyez-vous l'avenir ?
Je veux retrouver le monde professionnel, retrouver le plus haut niveau. Je dois avouer que j'ai un petit goût amer dans la bouche quand je vois Samir (Ndlr : Nasri) jouer des gros matchs alors que je suis devant ma télé.

Quels souvenirs gardez-vous de votre époque marseillaise ?
De très bons. D'ailleurs, je regrette, d'être parti. J'avais l'opportunité de rester, mais j'ai fait les mauvais choix. Ce sont de gros regrets.

Libourne Saint-Seurin vous suivrait, non ?
Effectivement. Il y a Clermont, et quelques autres équipes de Ligue 2. Au-dessus, on parle des Girondins de Bordeaux mais ce n'est pas évident compte tenu de leur classement. C'est bon signe mais il n'y a rien d'acquis. Je ne dois pas lâcher. Je sais que je peux faire beaucoup mieux.

Quels sont vos objectifs pour cette fin de saison ?
La montée (Ndlr : Cassis-Carnoux est actuellement leader du groupe C de CFA) et le titre de meilleur buteur.

Rien que ça…
Il faut être ambitieux sinon on n'avance pas. J'y crois toujours.

Une montée en National pourrait-elle influer sur votre avenir ?
Ça dépendra de plusieurs choses, et notamment des opportunités qui se présenteront l'été prochain. On verra.

et pares il se barre

aladin a écrit:

Tommy Allez l'O.M a écrit:Ca ne nous regarde pas... Enfin je crois savoir qu'il aurait une nouvelle femme enfin cela ne nous regarde pas xD

une nouvelle femme tu vois je le sentais

ces bordelaises elles nous piquent nos marseillias

kevin pinazo veille de match contre monacoB moitié t avril 2008 on est leader de cfa et on joue la montee

et bien il a suivi sa copine bordelaise vers chez elle à bordeaux on l'a plus revu et ils nous a abandonné a notre sort


le 10/04/2008 à 12h46
CASSIS-CARNOUX / KEVIN PINAZO :
0 « J'y crois toujours »
Excellent :DMagnifique !Triste :(Décevant Honteux Enervant !!Incroyable !Kevin Pinazo, après avoir être notamment passé par le centre de formation de l'Olympique de Marseille, comment vous êtes-vous retrouvé à Cassis-Carnoux ?
A Marseille, tout ne s'est pas bien passé, notamment avec mes parents. Mais je ne leur en veux pas. J'aurais du prendre mes décisions tout seul. Il y a eu des mauvais choix qui ont compliqué les choses. J'avais besoin de me relancer, de revenir aux sources pour ce j'avais perdu, c'est-à-dire mes proches, le terrain et la confiance. Ça m'a également permis de me prouver pas mal de choses à moi-même. En sortant d'une formation professionnelle, ce n'était pas évident de retrouver le monde amateur, mais je me suis accroché. C'est un vrai test.

Rappelez-nous votre parcours…
Je suis resté au centre de formation de l'Olympique de Marseille jusqu'à l'âge de quinze ans. Après, je suis allé à l'OGC Nice pendant un an et demi. Ensuite, je suis parti au Stade Malherbe de Caen. Là-bas, ça s'est relativement bien passé mais je n'ai pas été épargné par les pépins physiques. J'ai un gros problème avec une inflammation du tendon, une durcit. J'ai mis beaucoup de temps à revenir. Et dans la foulée, je me suis fait une grosse déchirure aux ischio-jambiers. Ça n'a pas été évident mais ça m'a fait mûrir. J'ai pris conscience que rien n'était acquis. Il faut toujours se remettre en question. Et continuer à bosser.

On vous a également vu tenter votre chance à l'étranger…
J'ai fait des essais à gauche, à droite. Je suis parti en Roumanie où ça n'est pas forcément bien passé. En revanche, en Norvège (Ndlr : Stabaek Football), c'était très positif mais ça ne s'est pas fait pour un tas de raisons que je ne maitrise pas forcément. Plus tôt, j'étais allé tenter ma chance à Chelsea, mais j'étais trop jeune, pas assez mature. Je ne connaissais pas la langue. C'était trop.

Vous a-t-on collé l'étiquette du talent qui n'a jamais percé ?
Oui, c'est surtout pour ça que je suis redescendu. Je voulais montrer à tout le monde que je pouvais réussir au plus niveau, mais je dois commencer à l'échelon inférieur pour y parvenir. Le CFA n'est pas un championnat très facile. Il y a peut-être moins de technique, mais c'est très physique. En plus, Cassis-Carnoux est connu pour relancer les joueurs qui se sont un peu perdus. Aujourd'hui, je savoure. Je retrouve des sensations que je ne connaissais plus, mais également le chemin des filets (sourire).

« Je veux retrouver le monde professionnel »

Les observateurs vous décrivent comme un véritable buteur. Qu'en est-il ?
C'est vrai que je tourne davantage dans la surface mais j'ai changé depuis mon passage au Stade Malherbe de Caen. On m'a dit que j'avais un profil un peu stéréotypé. On m'a fait évoluer. Aujourd'hui, un attaquant doit savoir défendre, reculer pour apporter des solutions à ses milieux et presser.

Comment voyez-vous l'avenir ?
Je veux retrouver le monde professionnel, retrouver le plus haut niveau. Je dois avouer que j'ai un petit goût amer dans la bouche quand je vois Samir (Ndlr : Nasri) jouer des gros matchs alors que je suis devant ma télé.

Quels souvenirs gardez-vous de votre époque marseillaise ?
De très bons. D'ailleurs, je regrette, d'être parti. J'avais l'opportunité de rester, mais j'ai fait les mauvais choix. Ce sont de gros regrets.

Libourne Saint-Seurin vous suivrait, non ?
Effectivement. Il y a Clermont, et quelques autres équipes de Ligue 2. Au-dessus, on parle des Girondins de Bordeaux mais ce n'est pas évident compte tenu de leur classement. C'est bon signe mais il n'y a rien d'acquis. Je ne dois pas lâcher. Je sais que je peux faire beaucoup mieux.

Quels sont vos objectifs pour cette fin de saison ?
La montée (Ndlr : Cassis-Carnoux est actuellement leader du groupe C de CFA) et le titre de meilleur buteur.

Rien que ça…
Il faut être ambitieux sinon on n'avance pas. J'y crois toujours.

Une montée en National pourrait-elle influer sur votre avenir ?
Ça dépendra de plusieurs choses, et notamment des opportunités qui se présenteront l'été prochain. On verra.

et pares il se barre

Non mais je plaisantais pour Gerard ROLAND, je faisais comme dans le sketch des Inconnus mdr

ok

mais nous les bordelaises
on a deja donné

il a fait une annne detestable à cause d'elle et ensuite il a disparu vers bergerac en cfa2

Si c'était une belle bordelaise..

Tommy Allez l'O.M a écrit:Si c'était une belle bordelaise..

elle etais pas mal

sobre beauté mais rcéee
plus vieille que lui de 3 ou 4 ans de memoire

Ah ok, brune je parie? lol

Tommy Allez l'O.M a écrit:Ah ok, brune je parie? lol

chatains je crois

ca fait deja 5 ans ma memoire oublie

Bravo à lui