MONTPELLIER HERAULT // LIGUE 1

le MHSC s’impose à Toulouse

02/04/11 – Grâce à sa victoire dans le derby du Sud ce samedi soir (0-1) avec un but de Souleymane Camara (3e réalisation cette saison) bien servi par Olivier Giroud, le MHSC conforte sa 6e place et revient à 4 points du PSG (5e place qualificative en Ligue Europa en cas d'accident en finale de Coupe de la Ligue) avant de recevoir Nice dimanche prochain à 17h pour le compte de la 30e journée. Les Pailladins, avec cette 5e victoire à l'extérieur, sont la 3e meilleure équipe de L1 hors de leurs bases. En prenant 21 points avec seulement 9 buts marqués en 15 rencontres, si cela n'est pas du réalisme

http://lagaseta-football.com/

Pour sa dernière édition de la saison, Le MHSC sur les bancs de l’école avait un rendez-vous un peu particulier puisqu’il s’agissait des retrouvailles entre le Président-Délégué Laurent Nicollin et l’école de son enfance, l’Ecole du Docteur Calmette à Montpellier. A cette occasion, Laurent Nicollin était accompagné par Bruno Carotti, ancien joueur et capitaine du MHSC, Olivier Giroud, Souleymane Camara et Benjamin Stambouli.

Les cinq Montpelliérains rendaient visite aux CM2 de Monsieur Dieulangard qui avaient préparé leur visite depuis des mois. Après les premières présentations, les enfants s’essayaient au jeu de l’interview avec succès. "Quand est-ce que vous avez débuté votre carrière professionnelle ?" Olivier Giroud, très pédagogue expliquait alors les différents stades "aspirant, stagiaire, professionnel" qui jalonnent le parcours d’un jeune joueur au Centre de Formation. L’occasion aussi d’apprendre que Souleymane Camara était issue "du Centre de Formation de l’AS Monaco à Dakar".

"Est-ce qu’il faut le bac pour rentrer dans un club professionel ?" Olivier se chargeait à nouveau d’expliquer aux enfants l’importance des études : "Dans le football il y a beaucoup d’appelés mais peu d’élus alors il faut assurer à l’école" tout en expliquant que l’abnégation était le maître mot des années de formation : "Il faut faire des sacrifices car il faut bien travailler à l’école tout en s’entraînant à côté et concilier les deux demande beaucoup de concentration". Bruno Carotti était là pour rappeler qu’il n’y avait pas d’âge pour étudier puisque lui-même avait repris les chemins de l’école à la fin de sa carrière : "On retourne à l’école et on apprend à faire autre chose que du foot".

Les enfants n’étaient pas avares de questions et les joueurs se prêtaient au jeu avec le sourire : "Est-ce que les blessures sont fréquentes ?" – "Combien d’heures de sport faites-vous par semaine ?" – "Quel est le régime alimentaire suivi le jour du match ?" En tant que jeune issu du Centre de Formation de Montpellier, Benjamin Stambouli racontait une journée-type d’un jeune aspirant footballeur sous l’oeil attendri de son Président-Délégué qui n’hésitait pas à chambrer gentiment ses "petits".

Les trois joueurs revenaient sur le match qu’ils avaient préféré jouer. Pour Olivier Giroud c’était sans hésitation son "premier but à Györ en Hongrie lors de mon premier match officiel". Benjamin Stambouli lui se remémorait son premier match en Ligue à La Mosson face à Bordeaux. Tandis que Souleymane Camara étonnait son jeune public en répondant "Rennes à La Mosson malgré la défaite". Une bien belle transition pour la question suivante : "Que pensez-vous du proverbe qui dit qu’une finale n’est belle que si on la gagne ?" Unanimement les trois Montpelliérains acquiessaient en rappellant que l’on ne se souvenait que de "ceux qui soulèvent la Coupe". L’occasion pour Laurent Nicollin de rappeler que même si le MHSC avait perdu, la finale de Coupe de France de 1994 restait un souvenir mémorable. Souvenir partagé par Bruno Carotti qui était sur le terrain ce soir-là.

Après avoir demandé à Benjamin, Olivier et Souleymane si "en tant que joueur pro ils demandaient des autographes à d’autres joueurs", les enfants s’interrogeaient sur les idoles de leurs hôtes du jour : "Romario" pour Souleymane, "Chevtchenko" pour Olivier, "Laurent Blanc, Heinze et Riquelme" pour Benjamin et "Laurent Blanc" pour Bruno. Après près d’une heure de questions, tout le monde sortait dans la cour de récréation pour une photo souvenir en plein air.

Quelques minutes plus tard, les enfants regagnaient leur salle de classe pour une séance de dédicaces et de photos avec les cinq invités du jour. L’occasion d’échanger quelques mots avec les joueurs, de refaire le match ou de poser des questions indiscrètes…

Dernière étape de l’après-midi, la distribution des cadeaux, une écharpe, un jeu de cartes et un kit scolaire aux couleurs du MHSC pour tous les petits enfants ainsi que deux places par enfant pour venir assister à la rencontre MHSC-OGC Nice de dimanche (17h) et ainsi supporter leurs nouveaux amis.

Après avoir raccompagné les joueurs en chantant "Ici c’est la Paillade", les enfants rejoignaient tous leurs petits camarades dans la cour de récréation et c’est dans l’hystérie collective que les héros du jour prenaient congès de leurs très nombreux fans… L’émotion était au rendez-vous pour cette dernière opération qui a permis au Président-Délégué, Laurent Nicollin, à l’initiative du MHSC sur les bancs de l’école, de se rendre compte de la réussite de son projet.

Le MHSC sur les bancs de l’école revient la saison prochaine. Vous êtes enseignant en cours moyen, vous voulez que les joueurs du MHSC rendent visite à votre école à partir de la rentrée prochaine, envoyez dès à présent votre candidature à education@mhscfoot.com

MHSC-El Kaoutari: »On a retrouvé notre solidarité »
Posté le 06 avril 2011 |

http://www.onze34.com

Le défenseur montpelliérain, Abdelhamid El Kaoutari, s’est confié au Midi Libre après la victoire du MHSC face au TFC (0-1), samedi dernier lors de la 29e journée de Ligue 1. « La manière était secondaire. Avant le match, les mots du coach étaient l’état d’esprit, le sérieux, la discipline. On n’a même pas parlé du résultat, de victoire ou de défaite. Après Lens, où on avait été inexistants, l’important, c’était vraiment de retrouver notre solidarité. C’est ça qui a payé contre Toulouse« , a-t-il déclaré au quotidien.

cetto à montpellier il parait que ca peut se faire si montpellier devien europeen

banjo a écrit:cetto à montpellier il parait que ca peut se faire si montpellier devien europeen

certes pour remplacer spahic qui est personné non grata

Spahic prend... 7 matches !
Récidiviste, Emir Spahic a pris 7 matches de suspension. Le Montpelliérain, qui avait mis un coup de coude à Jemaâ, manquera la finale de la Coupe.
Emir Spahic a été condamné jeudi à sept matches de suspension pour le coup de coude donné au visage du Lensois Jemâa le 19 mars dernier. Le défenseur international bosnien de Montpellier, récidiviste, manquera donc la finale de la Coupe de la Ligue prévue le 23 avril contre Marseille au stade de France. Suspendu à titre conservatoire, le joueur a purgé un match contre Toulouse le 2 avril. Il ne pourra rejouer que pour la 35e journée le 11 mai contre Lorient. «La commission a pris la sanction qu'elle estime la plus juste au regard du barème disciplinaire, de la jurisprudence et de la récidive, on essaie d'être cohérent», a expliqué le président de la commission de discipline, Pascal Garibian.Le Bosnien de 30 ans n'en est pas à son coup d'essai. Le 11 décembre à Brest (0-0), Spahic avait déjà asséné un coup de coude à l'attaquant breton Nolan Roux et avait écopé d'une suspension de quatre matches. Sollicité par Arsenal en août, apprécié à Lille, il ne cache pas son envie de partir en fin de saison.

L'appel pour OM-Nice examiné le 15 avril
Publié le vendredi 08 avril 2011 à 08H58


Le match OM-Nice, programmé le week-end de la finale de la Coupe de la Ligue (le samedi 23 avril), a été fixé le mercredi 27 avril. L'OM n'est pas d'accord (Montpellier, qui joue contre Lyon, non plus) et a demandé le report de ce match d'une semaine supplémentaire, soit le 5 mai.

La commission d'appel de la LFP se réunira pour statuer sur cet appel le vendredi 15 avril à 14h30

L1 - 30e j.
cet après-midi (17h),

Montpellier accueillera Nice.


Montpellier-Nice
Trois défaites - contre Saint-Etienne (1-2), Rennes (0-1) et Lens (1-4) - lors de ses quatre dernières sorties à la Mosson : pour Montpellier, il est temps de corriger le tir. La venue de Nice lui offre l'opportunité d'engranger une bonne dose de confiance. Bien calés à la sixième place, les hommes de René Girard en auront besoin avant leur double confrontation face à Marseille, en Championnat puis en finale de la Coupe de la Ligue. Battre les Aiglons n'aura toutefois rien d'une sinécure. Boostés par leur nul miraculeux du week-end dernier, face à Lyon, les Azuréens sont invaincus depuis cinq rencontres en Ligue 1

MONTPELLIER - NICE
Stade de la Mosson.
Arbitre : Alexandre Castro.
Montpellier: Jourdren - Stambouli,
Yanga-Biwa, El Koutari, Jeunechamp
- Marveaux, Pitau (cap), Dernis -
Utaka, Camara, Belhanda.
Entraîneur: René Girard.
Nice: Ospina - Coulibaly, Civelli,
Pejcinovic, Clerc - Digard - Bellion,
Ben Saada, Sablé (cap.), Mounier -
Mouloungui.
Entraîneur: Éric Roy.

Nice mouille le maillot
Mené à Montpellier, Nice a arraché le nul (1-1). Une nouvelle fois, les Aiglons ont prouvé qu'il avaient du coeur.




Mené par un très bon Digard, Nice s'est arraché à Montpellier pour prendre un point.
Mené à Montpellier, Nice est revenu de loin en prenant le point du nul (1-1). Une nouvelle fois, les Aiglons ont prouvé qu'ils avaient du coeur.

A Toulouse (1-1) puis contre Lyon (2-2), Nice s'était arraché pour ne pas perdre et avait égalisé dans le temps additionnel. A Montpellier, Eric Roy n'aura même pas eu à suer jusqu'au bout : ses Aiglons ont marqué un peu plus tôt que d'habitude, à la 73e. Ils peuvent remercier Geoffrey Jourdren, auteur d'une énorme bourde sur un centre de Clerc. Grâce à ce mental, l'OGCN de Létizi, qui a remplacé un Ospina malade, n'a perdu aucun de ses six derniers matches de L1 et il reprend deux points d'avance sur la zone rouge. «Ça va être chaud jusqu'au bout mais on envoie des messages tous les week-end pour bien faire comprendre que l'on ne va rien lâcher, nous avait confié Eric Roy il y a quelques jours. Sur les derniers matches, le fait d'avoir arraché des points dans les arrêts de jeu, c'est faire preuve d'un état esprit guerrier.» Ce n'est pas le match à La Mosson qui le fera mentir, d'autant plus qu'il faisait très chaud pour cette époque de l'année (25°C).

Outre la bourde de Jourdren, le tournant du match a eu lieu à la 68e. Menant 1-0 grâce à un but superbe de Dernis (44e) qui a fait tourner Civelli en bourrique, Montpellier a alors eu l'occasion de tuer le match. Mais Utaka s'est manqué sur un penalty obtenu par Camara pour une faute idiote de Diakité : le tir de l'attaquant du MHSC a frappé l'intérieur du poteau gauche avant d'aller frapper... celui de l'autre côté ! Malgré les entrées d'Estrada, Giroud et Belhanda, Montpellier n'a pas pu se mettre à l'abri et s'est fait rejoindre logiquement (6 occasions de chaque côté, une possession de balle parfaitement partagée). Ce n'est vraiment pas de bon augure avant de rencontrer Marseille deux fois (en L1 puis en finale de Coupe de la Ligue) et Lyon. Nice, lui, a aussi un gros calendrier avec le derby contre Monaco puis la demie de Coupe de France face à Lille (Coulibaly sera d'ailleurs suspendu). Mais les Aiglons d'un Digard encore très bon ne lâcheront rien. Comme toujours. -

dimanche 10 avril 2011


Ligue 1 Une belle affaire trop mal pliée


Avec un penalty raté par Utaka, les Héraultais, rejoints en fin de match, ont raté l’occasion de creuser l’écart.

Montpellier n’y arrive plus à La Mosson. Hier, il a laissé bêtement filer deux points et une victoire qui lui tendait les bras, se contentant d’un nul inachevé contre Nice. Il s’en est fallu de peu. D’un penalty manqué par John Utaka à la 67e minute et d’une volte-face de la réussite, choisissant le camp niçois avec un but de Jourdren contre son camp six minutes plus tard.

Ce n’est pas la fin du monde. Juste un troisième match de rang sans victoire à domicile. C’est surtout une belle affaire qui s’envole. Si Montpellier reste ce matin sixième de la Ligue 1, il n’a que deux points d’avance au lieu

des quatre que lui aurait offert un succès. Avant de recevoir l’Olympique de Marseille puis d’aller défier Lyon à Gerland, la marge eut été appréciable.

« Peut-être qu’on gagnera contre l’OM », glissait, malicieux, René Girard, après avoir avoué que son équipe a décidément « plus de mal à la maison en ce moment pour tenir le ballon et être cohérent dans le jeu. » L’entraîneur gardois du MHSC n’a pourtant pas été loin de gagner totalement son pari dans la gestion de l’effectif. En laissant sur le banc Bocaly, Estrada, Giroud, mais aussi Pitau et Belhanda, en faisant débuter Stambouli, Saïhi, Kabze et Dernis, il avait donné des allures de... Coupe de la Ligue à son équipe. Pour justement mieux ménager des cadres et préparer la finale en question. « Histoire surtout d’apporter du sang frais ».

Un but de Jourdren de la tête contre son camp

En face, Eric Roy, déjà privé de Ljuboja et Ospina, avait certes fait le même calcul, préservant Coulibaly et Mouloungui en vue de la demi-finale de Coupe de France.

Au-delà de l’envie et d’un engagement irréprochable, Montpellier a donc longtemps souffert du “syndrome maison”. Sans doute la configuration inédite de l’équipe ne favorisait-elle pas les automatismes. Dernis à la peine en soutien du trio offensif, Montpellier reculait trop, peinait à trouver de la profondeur, péchait toujours dans la dernière passe et s’exposait à nouveau aux contres des Niçois. Rares mais assassins. Sans la vigilance d’El Kaoutari puis Jourdren, Mounier aurait dû donner de l’air aux Aiglons dans ce match étouffé par la chaleur, avec un thermomètre flirtant avec les 30°C.

Bousculés, les Héraultais auront alors eu le mérite de resserrer leur ligne et de flamber dans un domaine où on les a souvent critiqués : le réalisme. Un éclair, une occasion, un but. Geoffrey Dernis, auteur d’un petit coup de génie juste avant la pause, ne pouvait mieux justifier la confiance de Girard.

Largement flatteur à la mi-temps, cet avantage aurait mérité d’être légitimé et élargi après la pause. Plus cohérent et fluide dans le jeu, Montpellier loupa plusieurs fois le coche, à l’image de ce face-à-face perdu par Jeunechamp face à Letizi (53e).

Et puis, l’incroyable tournant : ce penalty tiré par Utaka, qui heurte les deux montants, mais revient sur un défenseur niçois. Et un contre meurtrier des Aiglons dans la foulée. Au final, le troublant paradoxe d’un Montpellier rejoint au score au moment où il donnait l’impression de maîtriser son sujet, d’exorciser ses démons à La Mosson. Mais peut-être est-il écrit qu’il faut du beau linge, genre Marseille, pour que Montpellier apprenne à plier ses affaires.

Football - L1Montpellier, la tête ailleurs


Les Héraultais ont été tenus en échec sur leur pelouse, dimanche, par Nice (1-1).

Un penalty raté et un but contre son camp ont sanctionné une prestation frustrante. Place à l’OM, enfin.

L’image est inhabituelle. Cruelle, aussi, pour un joueur parmi les plus réguliers, et les plus sûrs à son poste. Elle montre Geoffrey Jourdren allongé sur sa droite, s’emmêlant les mains et les gants sur un centre de près du Niçois Clerc, avant d’accompagner d’un regard désespéré le ballon qui entre doucement, mais sûrement, dans son propre but.

Pilier du MHSC depuis son retour en Ligue 1 il y a un an et demi, le gardien héraultais, qui n’a raté qu’un seul des 68 matches de championnat depuis, a évidemment lui aussi le droit de passer à côté

quand son équipe s’en est régulièrement remise à ses prouesses. Pas plus tard que le week-end précédent à Toulouse (victoire 1-0). On n’a entendu personne, d’ailleurs, pour lui en vouloir.

Face aux Aiglons, alors que le ballon heurte son visage avant de franchir la ligne, l’ancien international Espoirs n’est pas le seul, il est vrai, à avoir eu la tête ailleurs. « Ça arrive, c’est une faute de main, a-t-il admis sans s’échapper et sans s’attarder à La Mosson. Mais est-ce qu’on méritait de gagner ? » Il n’y avait pas beaucoup plus de conviction dans le penalty raté d’Utaka, l’attaquant nigérian qui en est désormais à trois poteaux - quatre, si l’on considère que son tir a heurté les deux montants - depuis son arrivée cet hiver. Et certaines attitudes ont parfois trahi quelque chose comme de la retenue inhabituelle.

« On va s’accrocher à la 6e place et préparer au mieux la finale... »
Geoffrey Dernis

Placée juste avant la double confrontation face à Marseille, dimanche prochain en championnat puis cinq jours plus tard en finale de la Coupe de la Ligue, la réception de Nice a ressemblé, somme toute, exactement à ce qu’on pouvait imaginer. Un passage obligé dont la bande à Marveaux s’est acquittée, ce n’est qu’une impression, davantage par devoir que par un véritable élan.

« C’était assez difficile avec cette chaleur. On a eu du mal à mettre du rythme », a souligné Jamel Saïhi, l’un des meilleurs Montpelliérains, dimanche, sur la pelouse de La Mosson baigné par un soleil de plomb. Les conditions, étouffantes, n’ont pas servi le jeu, c’est une évidence. Mais ce n’est pas forcément la seule explication. Pas plus que la difficulté récurrente à tuer les matches quand l’occasion se présente. « C’est une déception. Dans le jeu, on peut faire beaucoup mieux », a souligné Joris Marveaux.

Les joueurs en ont-ils gardé sous la semelle ? Ont-ils hésité à trop se livrer, si proches d’un rendez-vous historique pour eux comme pour le club, plus de vingt ans après la victoire en Coupe de France ? Cela trotte forcément dans les esprits, bien plus que ce que chacun veut bien le dire. « C’est dommage, il y avait mieux à faire, expliquait Geoffrey Dernis, virevoltant pour l’ouverture du score. Maintenant, on va s’accrocher à cette 6e place et préparer au mieux la finale... »

Sans Giroud, Estrada, Pitau, Bocaly et Belhanda,

laissés sur le banc au coup d’envoi, René Girard avait en quelque sorte lui-même anticipé les échéances à venir. L’entraîneur montpelliérain n’a pas exactement dit les choses comme elles paraissaient. « On ne va pas commencer à..., a-t-il coupé. C’était l’équipe-type de cet après-midi. J’ai un groupe de 25 joueurs et je fais jouer ceux qui me paraissent le mieux dans la gestion de mon effectif. » Contre Nice, ça a failli payer. Et maintenant, vivement Marseille.

Montpellier fait appel pour Spahic
3 contributions Publié le mardi 12 avril 2011 à 20H18


Suspendu 7 matches par la commission de discipline de la LFP, Emir Spahic n'a pas dit son dernier mot. Ou plutôt le MHSC. Car le club de Loulou Nicollin a décidé d'interjeter appel de cette décision auprès des instances fédérales.

Le milieu montpelliérain Geoffrey Dernis se projette sur l’enchaînement des deux rendez-vous face à Marseille, en championnat samedi prochain et le 23 en finale de la Coupe de la Ligue. « C’est un match à la Mosson, un match à la maison. Le public va demander un gros match de notre part contre Marseille, a indiqué le joueur âgé de 30 ans sur le site du club. C’est vrai que le week-end d’après on se retrouve en finale et même si on en a conscience, on se dit que c’est bizarre. Il faut se dire que c’est un match à la Mosson, un derby contre Marseille et que le public doit nous aider. Il ne faut pas calculer.«

forum supporters de montpellier

Une question à vous tous,
On avance fort vers une affluence record pour un match entre le MHSC et l'OM, mais malheureusement un triste record d'absenteisme !

D'après vous :
Est ce que les gens n'ont la tête qu'à la finale ?
N'ont plus trop d'argent car les frais de la finale ont fait mal ?
25€ pour ce match de championnat est trop cher ?
Ou est ce qu'ils craignent une double confrontation arrangée qui verrait l'OM l'emporter chez nous et n'ont donc pas envie de payer pour voir un résultat connu à l'avance ?

12 Avr 11, 17:09 Sujet du message: [L1 - 31e journée] Montpellier HSC - O Marseille


Dimanche 17 avril 2011 - 17H00 - Stade de la Mosson

MONTPELLIER HSC - O.MARSEILLE

Arbitre : Stéphane LANNOY
Arbitres assistants : Eric DANSAULT et Laurent UGO
4e arbitre : Bartolomeu VARELA
aurions-nous déjà la tête à la finale ?

Pourtant entre une 6e place à défendre , une victoire de prestige contre les poissonniers , la chasse aux suceurs ,"l'affaire Karabatic" , les déclarations adverses : "Envahissons Montpellier dimanche prochain" etc.... il y a des motifs pour lancer l' avant match

CONFRONTATIONS MONTPELLIER-MARSEILLE
Championnat de L1/D1
Saison Journée Score
2009-2010 22eme journée 2-0
2003-2004 18eme journée 0-1
2002-2003 31ème journée 1-2
2001-2002 1ère journée 1-1
1999-2000 6ème journée 3-1
1998-1999 19ème journée 0-1
1997-1998 3ème journée 0-0
1996-1997 15ème journée 2-0
1993-1994 13ème journée 0-2
1992-1993 32ème journée 1-1

Depuis 1932
Confrontations 15
Victoire Montpellier 5 (33.33%)
Match nul 6 (40%)
Victoire Marseille 4 (26.67%)
Nb de buts Montpellier 16
Nb de buts Marseille 10

Posté le: 12 Avr 11, 18:55 Sujet du message:

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Vu qu'il n'y a pas eu de politique particulière dans ce sens de la part du club (pour des simples raisons d'offre et de demande je suppose), je vois mal comment on pourrait éviter La Mosson "ciel et blanc" malheureusement. Les circonstances de l'an passé, entre équipe dans une bonne passe au pied du podium et premier Montpellier-OM en championnat depuis six ans, étaient exceptionnelles et ont donné lieu à un résultat exceptionnel dans les tribunes. Sachant qu'en plus le public répond globalement moins présent cette saison (la meilleure affluence c'est 22 000 personnes contre Bordeaux sachant qu'on a déjà joué Paris et Lyon), j'espère me tromper mais ça risque d'être différent dimanche prochain

http://www.montpellierinteractif.com/board/post141756.html#141756

https://www.dailymotion.com/video/xi8m1l_conference-du-president-nicollin-avant-mhsc-om_sport#from=embed&start=1

Vidéo : les bons mots de "Loulou" avant Montpellier-OM
Publié le vendredi 15 avril 2011 à 19H08


Louis Nicollin n'est pas une facétie près. L'emblématique président de Montpellier, présent ce vendredi en point presse, évoque la double confrontation entre son club de coeur et l'OM. Extraits des bons mots de "Loulou"...


Conférence du Président Nicollin avant MHSC - OM par mhscfoot

Montpellier - OM : le onze montpelliérain probable
Publié le dimanche 17 avril 2011 à 09H31


Voici la composition probable de l'équipe montpelliéraine qui accueille l'OM, cet après-midi à 17 heures, dans le cadre de la 31e journée du championnat de Ligue 1.

Gardien : Jourdren

Défenseurs : Bocaly, Yanga-Mbiwa, El Kaoutari, Jeunechamp

Milieux : J. Marveaux, Belhanda, Pitau (cap)

Attaquants : Camara, Giroud, Utaka

Remplaçants : Pionnier (g), Stambouli, Collin, Dernis, Estrada, Kabze, Koita

René Girard : "Une faute bénigne est à l’origine
du penalty qui fait la différence, alors que Heinze
est un spécialiste pour accrocher les maillots.
Mais samedi, ce sera un tout autre match.
J’aurais préféré faire au moins un nul pour le capital
confiance, qui n’aurait pas été immérité."