ELIAQUIM MANGALA

Mangala sauve Porto
Mené 2-0 à Francfort, Porto est revenu grâce à un doublé de Mangala et s'est ensuite qualifié pour les huitièmes de finale (3-3, 2-2 à l'aller). Les Portugais retrouveront Naples, venu à bout de Swansea (3-1, 0-0).

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Sur deux coups de tête, Eliaquim Mangala a relancé Porto vers la qualification en huitièmes. (Reuters)



Didier Deschamps a dû apprécier. Appelé quelques heures plus tôt en équipe de France pour le match amical face aux Pays-Bas le 5 mars, Eliaquim Mangala s’est illustré avec Porto jeudi soir en Ligue Europa. Alors que son équipe, accrochée 2-2 à l’aller, était menée 2-0 sur le terrain de l’Eintracht Francfort, le défenseur central français s’est offert un doublé. Sur deux coups de tête (58e et 71e), il a relancé le suspense de ce seizième de finale complètement fou.

Car les Allemands ont ensuite repris l’avantage grâce à Meier (3-2, 76e) et croyaient tenir leur qualification mais Nabil Ghilas les a éliminés en toute fin de partie (3-3, 87e). Pas au mieux en Championnat, avec une troisième place à 7 points de Benfica, le leader, Porto s’est donc fait du bien sur la scène européenne. Repêché de la Ligue des champions, il va retrouver en huitièmes un autre favori de la compétition : Naples

Avec SAKHO, VARANE plus MANGALA franchement c'est pas mal!

Tommy Allez l'O.M a écrit:Avec SAKHO, VARANE plus MANGALA franchement c'est pas mal!

oui c'est le futur de la charniere

 mapou ayant disparu et kocelny trop sanguin

Mangala : «C'est rassurant»
Eliaquim Mangala a profité d'un souci musculaire de Laurent Koscielny pour fêter sa deuxième sélection face aux Pays-Bas (2-0), mercredi soir. Malgré une «petite frayeur» en fin de match, le défenseur de Porto s'en est bien sorti.

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Eliaquim Mangala était titulaire en défense centrale face aux Pays-Bas. (L'Equipe)



Sans la prestation désastreuse d’Eric Abidal à Kiev face à l’Ukraine, il ne serait peut-être pas revenu dans le groupe France pour ce rassemblement. Sans la douleur aux ischio-jambiers ressentie mardi soir par Laurent Koscielny, il n’aurait pas été aligné d’entrée face aux Pays-Bas (2-0). Neuf mois après sa première sélection en Uruguay (0-1) où sa responsabilité avait été engagée sur le but de Suarez, Eliaquim Mangala n’a pas laissé passer sa chance d’affirmer sa candidature pour le Mondial. Sur le terrain à défaut de le faire derrière les micros.

«Je me suis fait une petite frayeur» «J’ai une chance comme tous les autres, a-t-il évacué lorsque la question lui a été posée. Il reste du temps. Il ne faudra pas se blesser, être bon en club, et le coach fera ses choix». A un peu plus de trois mois de la Coupe du monde, le défenseur de Porto ne l’a toutefois pas nié : son retour en Bleu est un signal «rassurant» envoyé par le sélectionneur. «Ça veut dire qu’il pense à moi, qu’il surveille ce que je fais». «Il évolue dans un grand club portugais et joue la Ligue des champions, a confirmé Deschamps. Il fait partie de ces joueurs dont je considère qu’ils ont le potentiel pour être internationaux.»

Collectivement, Mangala a trouvé les Bleus «dans la continuité du barrage retour face à l’Ukraine». «Les victoires donnent de la confiance, a-t-il souligné. Aujourd’hui, on a montré qu’on était présent, mais il reste du chemin. On verra au mois de juin, c’est là que tout va commencer.» Individuellement, l’ancien joueur du Standard de Liège reverra son match pour être certain, mais à chaud, il a qualifié sa prestation de «bonne» malgré une prise de risque – un dribble aux abords de sa surface – en fin de match. «Je me suis fait une petite frayeur, a-t-il reconnu. Heureusement, ça s’est bien passé.» Sur cette action, mais aussi d'une manière générale. «Alors qu’il y avait van Persie devant lui...», a rappelé DD.

Magala pense «avoir été bon»
6/03 09h04 - Football, EdF
«On a été dans la continuité de notre barrage retour contre l'Ukraine, analysait Eliaquim Mangala après la victoire de l’équipe de France sur les Pays-Bas, mercredi soir à Saint-Denis (2-0). Ça nous donne de la confiance, on améliore nos automatismes. On a senti le peuple français avec nous. On a été présent dans le jeu. Il reste du chemin à parcourir jusqu'en juin. Ma place dans les 23 ? Ça n'est pas fait. J'ai une chance comme tous les autres joueurs, il ne faudra pas se blesser et être bon en club. Ma performance individuelle ? Il faut que je revoie le match. Je crois que j'ai été bon, même si à un moment en fin de rencontre je cause une frayeur. Ce sont des détails qui me serviront. Mais pour un défenseur, prendre zéro but c'est satisfaisant. Avec Raphaël (Varane) ça faisait longtemps, mais on avait déjà joué ensemble. C'est surtout une question de communication avec ton partenaire.»

Man City: Bientôt conclu pour Mangala ?

Avant de probablement faire partie du groupe de l’équipe de France à la Coupe du monde au Brésil, Eliaquim Mangala devrait connaître son club pour la prochaine saison. Manchester City, intéressé depuis longtemps par le défenseur central, serait proche d’un accord avec le FC Porto pour un transfert estimé à 25 millions d’euros, indique le DailyMail. Txiki Begiristain, le directeur sportif du club anglais, était présent à Porto pour le quart de finale aller de la Ligue Europa contre Séville, jeudi soir. Une bonne idée puisque l’international français de 23 ans a inscrit le but de la victoire 1-0 en première période. Avec le joueur révélé au Standard de Liège (il a grandi en Belgique), la formation de Manuel Pellegrini va rajeunir sa charnière centrale. Cette saison, le vétéran Martin Demichelis, arrivé l’été dernier, est associé au capitaine Vincent Kompany, avec Joleon Lescott en doublure et sur le départ en fin de contrat

Gameiro sur le banc, Mangala capitaine

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Auteur d'un doublé dimanche en Liga contre l'Espanyol (4-1), Kevin Gamiro débute sur le banc de Valence en quart retour de la Ligue Europa, ce jeudi soir contre le FC Porto à Sanchez -Pizjuan (coup d'envoi à 21h05). Au match aller, perdu au Portugal (1-0), l'attaquant français était entré pour la dernière demi-heure. Le seul buteur de la rencontre, Eliaquim Mangala, est titulaire avec Porto. Le défenseur tricolore est même capitaine, comme plusieurs fois cette saison et déjà à l'aller.

Mangala: ''J'ai toujours regardé le PSG''








Natif de Colombes en région parisienne avant de faire ses classes en Belgique et de gagner le Portugal pour évoluer sous les couleurs du FC Porto, Eliaquim Mangala garde un oeil attentif sur les résultats du Paris Saint-Germain, un club dans lequel évoluent d'ailleurs Lucas Digne, Yohan Cabaye et Blaise Matuidi, trois de ses coéquipiers sous le maillot de l'équipe de France. "Le PSG est une équipe qui est en train de grandir et qui va encore grandir, a confié le gaucher à Sports.fr, ce jeudi, à Clairefontaine. C'est un club qui a un grand projet. Ils ont démontré depuis leur arrivée qu'ils savaient où ils voulaient aller. Ils ont des idées, de grands objectifs (la Ligue des champions, ndlr). Je pense qu'ils les atteindront dans un avenir proche. C'est bien pour la France et Paris qui est la capitale". "J'ai toujours regardé ce que faisait le PSG", a enfin avoué le défenseur central des Bleus.

Le 04/06/2014 à 08:30:00 | Mis à jour le 04/06/2014 à 09:00:48
Foot
Bleus «Pogba danse quand il conduit la balle»

Un an après avoir découvert pour la première fois le Brésil, Eliaquim Mangala ne cache pas son excitation à l'idée d'y retourner pour y disputer un Mondial. Le défenseur de Porto s'est prêté à notre questionnaire.

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Eliaquim Mangala a été préféré à Eric Abidal par Didier Deschamps. (L'Equipe)




«Eliaquim Mangala, trois choses que vous inspire le Brésil ?
Le football, la picanha et le carnaval.

Un joueur brésilien qui vous a marqué ?
Ronaldo, c’est le joueur que j’ai le plus vu quand j’étais petit. Il m’a donné du rêve par ce qu’il faisait, ses buts... C’était vraiment magique.

Un match du Brésil qui vous a marqué ?
France-Brésil 1998, normal, 3-0. J’avais sept ans, je l’avais suivi devant la télé en Belgique.

Votre première fois au Brésil ?
C’était l’été dernier. Malheureusement, on avait perdu donc je n’en garde pas un très bon souvenir. Mais on fera mieux cette année.



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L’insécurité, le retard des stades, la contestation sociale, ça vous inspire quoi ?
On sait qu’ils ont pas mal de difficultés au niveau de la population, qu’il y a pas mal de contestation. Je peux comprendre que la Société se manifeste : la Coupe du monde a coûté cher alors qu’il y a des personnes, des enfants qui ont du mal à vivre... Après, ils accueillent quand même la Coupe du monde, ça va être un beau spectacle. J’espère que ça se passera bien.

Le plus Brésilien des joueurs français, selon vous ?
Je dirais Pogba parce qu’il a un jeu un peu nonchalant, pour sa façon de danser quand il conduit la balle.

Le geste brésilien par excellence que vous rêvez de réaliser : Un coup franc à la Juninho,  une virgule à la Ronaldinho, un cassage de rein à la Ronaldo, une bicyclette à la Leonidas da Silva, un coup du sombrero-volée à la Pelé, une série de dribbles à la Garrincha... ?
Une belle bicyclette à la Leonidas da Silva. J’en avais tenté une en Coupe avec Porto face à Guimaraes. Elle n’était pas passée loin, elle n’était pas passé loin… J’espère que j’aurai l’occasion de me rattraper.



Vous êtes plutôt football samba ou football bossa nova ?
Samba. Moi, le beau jeu, ça me plaît. Si tu arrives en plus à allier l’efficacité, c’est parfait.

Une Coupe du monde au Brésil, c’est...
C’est ce qu’il y a de mieux. Disputer une Coupe du monde, c’est déjà quelque chose de magnifique, mais au Brésil, ce n’est vraiment pas donné à tout le monde. Personnellement, c’est un moment unique. J’ai hâte de vivre cette expérience.

Un sacre des Bleus au Mondial, ce serait...
Merveilleux, magnifique, extraordinaire… Il n’y a pas de mots ! Est-ce que j’y crois ? Moi je suis quelqu’un d’optimiste et d’ambitieux donc oui. Mais il faut aussi être réaliste. Je sais que ça sera difficile, que tout le monde voudra la gagner. »

Guilavogui interviewe Mangala
Depuis leur rencontre chez les Espoirs, Josuha Guilavogui et Eliaquim Mangala sont restés très proches au point d'avoir été surnommés "Timon et Pumba" par Bacary Sagna. Si Guilavogui, victime d'une déchirure à une cuisse, ne prendra pas part au Mondial, il a tout de même accepté de poser 10 questions à Mangala.

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Josuha Guilavogui et Eliaquim Mangala sont des amis proches. (Martin / L'Equipe)




«Quel est le défenseur qui t’inspire le plus ?
Thiago Silva et Sergio Ramos. Thiago parce que c’est ce qui fait de mieux à ce poste. Et Ramos parce que ça serait un bon complément. J’aime beaucoup son agressivité, son leadership. Sans forcément copier, tu essayes un peu de comparer : tu regardes comment ils jouent, comment ils défendent dans certaines situations, si tu aurais fait le même choix qu’eux…

Quel type d’attaquant étais-tu quand tu jouais devant ?
Moi j’étais assez grand, donc on m’envoyait des ballons devant et je déviais de la tête. J’étais un peu un attaquant pivot...  Ça a duré jusqu’à mes 17 ans et puis bon à un moment donné, ils ont décidé de me mettre plus bas. En fait, plus tu montes (de niveau), plus il faut avoir un bon niveau technique, ce que je n’avais pas forcément.

L’attaquant contre lequel tu as eu le plus de mal à défendre ?
Luis Suarez l’été dernier lorsqu’on a joué l’Uruguay. C’est un attaquant qui est au-dessus par sa capacité à éliminer, ses déplacements, ses dribbles... Il est technique, rapide, et en plus il marque. Ce n’est pas pour rien s’il a été élu meilleur joueur de Premier League cette saison.



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Foot - Transfert Mangala préfère Chelsea à City




Pourquoi as-tu arrêté les tresses ?
Parce qu’il fallait changer un peu. J’ai enlevé les tresses, je suis passé au défrisage, puis à la boule. Ça marche mieux maintenant (rires).

Aimerais-tu entraîner à la fin de ta carrière ?
Peut-être. C’est trop tôt pour le dire encore. Ce qui est sûr, c’est que je suis un passionné. Je ne me vois pas trop sortir du foot, mais bon, je n’ai que 23 ans… On verra bien ce qui se passera dans le futur.

Prends-tu toujours des cours de Kizomba (danse Africaine d'origine angolaise) ?
(rires) Non non j’ai arrêté. D’ailleurs c’était juste comme ça parce que j’aime bien, mais je n’en ai jamais vraiment pris. Mon niveau ? Je me débrouille.



Pourquoi t’appelle-t-on "le vieux" ?
Dans les discussions, ils disent que je ne fais pas mon âge, mais j’ai bien 23 ans. Tu vois bien ma "baby face".

Quel est ton plus grand souvenir de footballeur ?
Celui qui me vient tout de suite, c’est mon premier but en Ligue des champions avec le Standard de Liège. C’était mon premier match de C1 contre Arsenal et je marque après deux minutes de jeu.

Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour l’avenir ?
Gagner la Coupe du monde.

Justement, que fais-tu si tu la gagnes ?
Je te paye des vacances.»

Mangala ne pense pas au onze

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Interrogé sur la concurrence à son poste, Eliaquim Mangala a remis son sort entre les mains de Didier Deschamps. «Le sélectionneur fait l’équipe, moi j’essaye d’être prêt le jour J s’il fait appel à moi.» Alors qu’il semble en retrait par rapport à Sakho, Varane ou Koscielny, le défenseur de Porto a rappelé qu’il voulait avant tout «faire partie des 23». En ce sens, il a également reconnu que sa prestation face aux Pays-Bas (2-0), début mars, lui avait certainement permis «de gagner des points». «Mais je n’avais aucune certitude de faire partie des 23».

Mangala : «De l'histoire ancienne»

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Arrivé au début du rassemblement à Clairefontaine avec un souci à une cheville qui l’a contraint à suivre un travail spécifique, Eliaquim Mangala s’est montré rassurant ce mercredi. «Tout va bien, a indiqué le défenseur du FC Porto. J’ai eu un petit problème à la fin de la saison, il a fallu que je me remette à 100%. Aujourd’hui, c’est de l’histoire ancienne».

Mondial 2014. Quelle défense pour le match face à l'Equateur ?

　

Sakho semble remis, Mangala devrait attendre

Son élongation à la cuisse droite ne serait qu'un mauvais souvenir au vu des deux dernières séances d'entraînement effectuées sans frein particulier. Pourtant, Deschamps avait laissé entendre au lendemain du match contre le Suisse que son rétablissement serait trop juste pour celui face à l'Equateur. La tendance est donc en faveur d'une titularisation. Qui plus est, cela permettrait de ne pas bouleverser d'un seul coup toute la charnière centrale. De fait, sauf alerte de dernière minute, Eliaquim Mangala, qui n'a pas encore joué durant le tournoi, ne devrait pas avoir la joie de fouler la pelouse du Maracana. Le joueur de Porto (23 ans, 3 sélections), qui avait réussi une belle sortie contre les Pays-Bas en mars (2-0), paye sans doute son inexpérience au plus haut niveau international.

Mangala :visitemédicaleàManchester
Selon les médias anglais, Eliaquim Mangala était est hier à Manchester
pour une visitemédicale. Le défenseur international tricolore
doit s’engager dans la foulée avec Manchester City, club qui
est prêt à payer 40 M¤. Les Citizens, qui hésitaient entre Mangala
et Benatia, ont donc choisi le Français du FC Porto, présent auBrésil
avec les Bleus

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12/08/2014 05:25
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Le Français Eliaquim Mangala, de Porto à Manchester City. - (Maxppp)

C'est le nombre de millions d'euros dépensés par le club anglais de Manchester City pour acquérir les services de l'international français Eliaquim Mangala (23 ans), arrivé de Porto. Présent au Mondial avec les Bleus, Mangala devient le défenseur le plus cher de l'histoire du football, dépassant ainsi le néo-Parisien David Luiz (49,5 millions).

[size=33]Premier League. Pellegrini encourage Mangala malgré ses erreurs[/size]
Angleterre - 27 Septembre
écouter

• Eliaquim Mangala. | Photo : Jérôme Fouquet / Ouest-France
  

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Le défenseur français Eliaquim Mangala a été encouragé par son entraîneur Manuel Pellegrini après ses deux erreurs flagrantes lors de la victoire à Hull (4-2).

L'ancien défenseur de Porto acheté près de 40 M EUR cet été par les Citizens a inscrit un but contre-son-camp puis concédé un penalty.
« Il ne faut pas analyser un joueur sur un seul match, l'a secouru le technicien chilien. Lors de son dernier match contre Chelsea, il avait été magnifique et tout le monde disait que c'était le meilleur défenseur du monde. Il va continuer à jouer ».
LIRE AUSSI : Chelsea, City et ManU se remettent à l'endroit
« Le but-contre-son camp l'a rendu un peu nerveux je pense et il a ensuite offert un penalty. Mais il est revenu plus calme après la pause et a produit une bonne 2e période. Ce n'est pas juste de le juger sur un seul match », a poursuivi Pellegrini.

Explosion avec Porto

« C'est encore un jeune joueur mais il ne l'estpas trop pour l'Angleterre. Il a déjà beaucoup d'expérience. Il a été trois fois champion national, il a beaucoup joué en Ligue des champions, il est international français et a gagné des titres au Portugal », a-t-il continué.
Mangala était titulaire pour la 3e fois d'affilée après avoir fait ses débuts il y a une semaine lors du nul contre les Blues (1-1).Âgé de 23 ans et révélé en Belgique par le Standard de Liège avant d'exploser avec Porto, il compte trois sélections en Bleu depuis sa 1re cape en juin avant le Mondial qu'il a disputé.

[size=40]Mangala toujours là[/size]

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Malgré son match catastrophique contre Hull City la semaine dernière (4-2), Eliaquim Mangala a conservé la confiance de Manuel Pellegrini pour la rencontre contre Aston Villa ce samedi (18h30). Le défenseur est le seul Français titulaire contre les Londoniens, puisque Bacary Sagna va débuter le match sur le banc.

La compo de City :

Hart - Zabaleta, Kompany, Mangala, Kolarov - Milner, Fernandinho, Toure, Silva - Dzeko, Agüero.

Mangala : «Toujours senti français»8/10 09h30 - Foot, EdF
Dans un entretien accordé au Parisien, Eliaquim Mangala a évoqué son attachement à l'équipe de France alors qu'il aurait pu évoluer avec la Belgique ou le Congo. «J'ai grandi en Belgique, mais je me suis toujours senti profondément français. Je regardais les Bleus à la télévision en espérant un jour les rejoindre. J'ai attendu mon heure et finalement, elle est arrivée avec les Espoirs le 13 novembre 2009.»

Le 09/10/2014 à 18:09:00
FOOT
[size=40]BLEUSMangala ne se sent «pas différent»

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Eliaquim Mangala est l’un des deux seuls joueurs de champ français à ne pas avoir joué une minute durant la Coupe du monde (avec Rémy Cabella). Dans ce groupe des Bleus à l’ossature bien formée, il ne se sent pas pour autant défavorisé. «Je suis légitime comme tous ceux qui font partie de ce groupe, a affirmé ce jeudi le défenseur central, dont la dernière des trois sélections remonte à France - Paraguay (1-1, le 1er juin). Je n’ai pas de position différente. Certains ont un plus grand vécu mais je ne suis pas différent.» D’après la mise en place tactique de mercredi, Mangala est d’ailleurs pressenti pour débuter en défense centrale, samedi contre le Portugal, à côté de Raphaël Varane.

[size=40]Bölöni: "Varane-Mangala ? Ils vont dépasser Blanc et Desailly"[/size]


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Coach de Raphaël Varane à Lens, et d'Eliaquim Mangala au Standard de Liège, Laszlo Bölöni a forcément suivi la performance de ses deux anciens joueurs, samedi, lors de la victoire de l'équipe de France face au Portugal (2-1). "Mangala a fait preuve d'un peu plus de précipitation. Il n'était pas dans le rythme comme Varane, qui a exprimé un peu plus de maturité. Mais c'est un petit peu normal car il joue au très, très haut niveau depuis deux ans maintenant. Mangala, il arrive maintenant. Mais il m'a quand même agréablement surpris par sa bonne construction de jeu, ses relances correctes. Le plus grand problème, c'est qu'ils jouent très peu de matches ensemble. Mais d'ici l'Euro 2016, ils ont le temps. Mais j'ai quand même trouvé une charnière plutôt encourageante. Je vais peut-être vous paraître osé en disant que ces deux-là vont dépasser le couple Laurent Blanc-Marcel Desailly", explique le technicien, désormais à Al-Khor, au Qatar, dans les colonnes de L'Equipe.

[size=40]Bölöni: "Varane-Mangala ? Ils vont dépasser Blanc et Desailly"[/size]


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Coach de Raphaël Varane à Lens, et d'Eliaquim Mangala au Standard de Liège, Laszlo Bölöni a forcément suivi la performance de ses deux anciens joueurs, samedi, lors de la victoire de l'équipe de France face au Portugal (2-1). "Mangala a fait preuve d'un peu plus de précipitation. Il n'était pas dans le rythme comme Varane, qui a exprimé un peu plus de maturité. Mais c'est un petit peu normal car il joue au très, très haut niveau depuis deux ans maintenant. Mangala, il arrive maintenant. Mais il m'a quand même agréablement surpris par sa bonne construction de jeu, ses relances correctes. Le plus grand problème, c'est qu'ils jouent très peu de matches ensemble. Mais d'ici l'Euro 2016, ils ont le temps. Mais j'ai quand même trouvé une charnière plutôt encourageante. Je vais peut-être vous paraître osé en disant que ces deux-là vont dépasser le couple Laurent Blanc-Marcel Desailly", explique le technicien, désormais à Al-Khor, au Qatar, dans les colonnes de L'Equipe.