ENTRAINEURS ET COACHS DES EQUIPES DE FRANCE ...

on va de plus en plus parler d'eux
j'espere en bien
car le foot francias n'a que faire de ces polemiques de pouvoir

Pour l'instant, je veux seulement être certain de me remettre et après je verrai. Mais je suivrai les conseils des médecins et s'ils me conseillent d'arrêter d'entraîner, alors j'arrêterai.» Dimanche, Gérard Houllier a envisagé publiquement de mettre un terme à sa carrière d'entraîneur, au micro de la BBC.

A 63 ans, il avait dû quitter le banc d'Aston Villa précipitemment la saison dernière afin d'être hospitalisé en raison de problèmes cardiaques. «J'ai un goût d'inachevé avec Aston Villa. Il y avait la possibilité de confier l'équipe à mon adjoint Gary McAllister, et que je revienne en septembre. Mais le président a choisi une autre voie et je le respecte. Nous nous sommes quittés en bons termes.» Depuis, Alex McLeish a été installé au poste d'entraîneur des Villans.

Pas question toutefois pour Houllier, entraîneur depuis 38 ans, notamment à Lens, Paris, en équipe de France, ou encore à Lyon et Liverpool, de quitter le milieu du football. «Je serai toujours profondément attaché au football. C'est ma vie, mon oxygène et si je peux m'impliquer d'une autre façon, je le ferai.»

: 3 août 2011
Smerecki, ''El Profesor''

Francis Smerecki est très respecté par ses joueurs.
A la tête de l'équipe de France des moins de 20 ans, Francis Smerecki façonne ce groupe, avec succès, depuis cinq ans. Ses joueurs témoignent avant un France-Corée déjà décisif (mardi à minuit).

Il a fêté ses 62 printemps à Bogota, en Colombie, avec ses joueurs, autour d'un gâteau d'anniversaire. Quand il a soufflé ses bougies, Francis Smerecki a fait le même voeu que ses gamins de 20 ans : celui de remporter la Coupe du monde. Avec eux. Il n'y a pas d'âge pour rêver... «Si on y arrive, ce sera une grande satisfaction», dit-il simplement. En Colombie, Smerecki a moins de pression que ses joueurs, qu'il met volontiers en avant. Sacrés champions d'Europe des U19 l'été dernier, avec lui, ces derniers lui vouent, en retour, un grand respect. De la reconnaissance aussi. «Dans mon parcours, il m'a beaucoup aidé, toujours été de bon conseil, témoigne Gueida Fofana, le capitaine. La sélection, avec lui, m'a permis de franchir des caps. C'est le genre de coach qui est proche de ses joueurs, qui aime bien savoir comment ils vivent le "truc", ce qu'ils ressentent dans leurs clubs aussi.» «Il a toujours les bons mots pour nous remettre dans le droit chemin et nous faire progresser», abonde Gaël Kakuta, l'un des plus grands talents de cette génération.

Les mots pour encourager, pour féliciter et même pour «sévir» quand il le faut, car Smerecki n'est pas qu'un papa-poule. Respecté, l'ex-entraîneur de Guingamp a su transmettre la culture de la gagne à ses jeunes joueurs (son équipe était invaincue depuis octobre 2009 avant de prendre une claque par la Colombie en ouverture de ce tournoi). La culture tactique aussi, comme le souligne Kakuta. «A chaque fois que nous nous sommes retrouvés en difficulté en compétition ou lors de matches amicaux, il a su trouver les mots et surtout les solutions. Depuis nos débuts en sélection à 16 ans, il nous a beaucoup aidés tactiquement, il nous a énormément appris, reconnaît l'attaquant formé à Lens et parti très tôt à Chelsea. Avec lui, le groupe a vraiment progressé. Si un jour, l'un d'entre nous réussit vraiment une grande carrière, le coach Smerecki y sera pour beaucoup.»

Un avis partagé par Gueida Fofana, l'un des cadres de cette génération, qui apprécie la méthode Smerecki : «Avec lui, le plan de jeu est assez simple : quand on attaque, on doit toujours garder un certain équilibre pour éviter de se faire contrer. On pratique plutôt un football offensif, on aime le beau jeu. Jusqu'à maintenant, ça nous a souri, puisque l'on a été champions d'Europe l'an dernier. En Colombie, on aimerait continuer à faire des étincelles et marquer l'Histoire.» Face à la Corée, mardi à minuit, les Bleuets savent ce qu'il leur reste à faire. "El Profesor" Smerecki leur a fait la leçon après la débâcle face à la Colombie.

1 septembre 2011
Mombaerts vers la sortie ?

Fragilisé, par l'affaire des quotas notamment, Erick Mombaerts pourrait rapidement être remplacé à la tête de l'équipe de France Espoirs. Les noms de Francis Smerecki et de Philippe Bergeroo sont avancés.

Info Le monde
. Le sélectionneur de l'équipe de France Espoirs, Erick Mombaerts, pourrait voir son avenir à la tête des Bleuets s'inscrire en pointillés. Et ce pour deux raisons. D'abord le rôle qu'il a joué dans la discussion aboutissant à l'affaire des quotas a grandement écorné son image. Ensuite la légitimité de ses possibles successeurs, aux yeux de Noël Le Graët, pourrait précipiter son remplacement. «A ma connaissance, aucune décision n'a été prise à propos d'Erick» confiait mercredi Pierre Lerestueux, nouveau chef de délégation des Espoirs. Pour autant certains noms se détachent déjà pour prendre la suite.

En tête de liste arrive celui de Francis Smerecki, l'ancien entraîneur de Guingamp de 1993 à 1999, club présidé pendant longtemps par Noël Le Graët. Il a par ailleurs mené la génération 91, celle qui devrait bientôt former les Espoirs, au titre de champion d'Europe des moins de 19 ans l'été dernier et aux demi-finales du Mondial des moins de 20 ans cet été. Autre nom avancé, celui de Philippe Bergeroo. L'ancien entraîneur du PSG et de Rennes est actuellement à la tête de l'équipe de France des moins de 18 ans et apprécierait le poste de sélectionneur des Espoirs. Son expérience pourrait également jouer en sa faveur. Noël Le Graët, lui, souhaite des changements profonds dans le fonctionnement de la Fédération. Erick Mombaerts pourrait être le premier d'une longue série...

L'équipe de France avec EVRA elle me dégoute !!!! Ce type ose se la ramener après toute la merde et la honte qu'il a fait à la France devant le monde entier !

olympien13 a écrit:L'équipe de France avec EVRA elle me dégoute !!!! Ce type ose se la ramener après toute la merde et la honte qu'il a fait à la France devant le monde entier !

j'ai du mal a juger car domenech a pourri la situation
et res^ponsable du fiasco

Bergeroo vendredi à Canet

L’Amicale des éducateurs des Pyrénées Orientales démarre fort la saison 2011-2012 puisque dès le, 2 septembre, elle a invité l’entraîneur national Philippe Bergeroo dans ses murs. Le coach dirigera une séance d’entraînement, en salle puis sur le terrain, et on en profitera pour « recycler » les titulaires de brevets d’état. Cela se passera au stade Saint-Michel à Canet, à partir de 18 h.

bienvenou a écrit:

olympien13 a écrit:L'équipe de France avec EVRA elle me dégoute !!!! Ce type ose se la ramener après toute la merde et la honte qu'il a fait à la France devant le monde entier !

j'ai du mal a juger car domenech a pourri la situation
et res^ponsable du fiasco

C'est trop facile de tout mettre sur Domenech moi je dis en 2006 meme s'il y avait ZIZOU on est allé en finale avec et en 2008 et 2010 on avait les EVRA, ABIDAL.. et là on les reprend c'est eux qui sont sur le terrain et la grève c'est eux aussi !

olympien13 a écrit:

bienvenou a écrit:

olympien13 a écrit:L'équipe de France avec EVRA elle me dégoute !!!! Ce type ose se la ramener après toute la merde et la honte qu'il a fait à la France devant le monde entier !

j'ai du mal a juger car domenech a pourri la situation
et res^ponsable du fiasco

C'est trop facile de tout mettre sur Domenech moi je dis en 2006 meme s'il y avait ZIZOU on est allé en finale avec et en 2008 et 2010 on avait les EVRA, ABIDAL.. et là on les reprend c'est eux qui sont sur le terrain et la grève c'est eux aussi !

de toute façon sans etre à l'interieur on ne saura jamais les tenants et les aboutissants

c'est comme les supporters et les bureaux d"un club ils n'ont pas la meme optique ni la meme vision des choses

C'est clair mais moi je n'aime pas EVRA en particulier

olympien13 a écrit:C'est clair mais moi je n'aime pas EVRA en particulier

mais en tnat que joueur c'est le meilleur arriere gauche au monde

titulaire indiscutable a MU depuis ;; 6 ANS AU MOINS

Oh que non ya meilleur que lui, KOLAROV, COENTRAO, CHIVU, BALE...

olympien13 a écrit:Oh que non ya meilleur que lui, KOLAROV, COENTRAO, CHIVU, BALE...

contrao bale
c'est plutot des contre attaquants

et chivu un central

bon dans les 3 emilleurs du monde

mardi 30 juillet 2013 - 12:25 -  


Willy Sagnol, Manager des Sélections Nationales et Sélectionneur des Espoirs depuis cet été, assurera désormais les fonctions supplémentaires de Président de la Commission Fédérale de la Coupe de France. Cette commission est chargée de l’organisation et de l’administration de la compétition.

Le 02/08/2013 à 00:14:00 | Mis à jour le 02/08/2013 00:21:05

Foot-Euro -19 ans Smerecki : «Il aurait fallu jouer»
Battue par la Serbie en finale de l'Euro (0-1) jeudi, l'équipe de France des moins de 19 ans a vu son rêve s'envoler. «Pour espérer gagner une finale, il faut la jouer», a déclaré le sélectionneur Francis Smerecki.

Francis Smerecki a regretté la manière employée par les siens. (L'Equipe)












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S'il avoue que, dans quelques semaines, cette aventure lituanienne sera un bon souvenir, Francis Smerecki, le sélectionneur des U19 battus en finale de l'Euro jeudi par la Serbie (0-1), a regretté la manière employée par les siens. «Pour espérer gagner une finale, il faut la jouer, a-t-il notamment confié. A mes joueurs, je leur ai dit : si on avait été plus généreux, plus batailleurs en début de match, ç'aurait pu être différent. On a joué deux finales dans ce tournoi, on a gagné celle qu'il ne fallait pas contre l'Espagne (demi-finale) et l'autre, contre la Serbie, on l'a insuffisamment jouée.»

«Une fois qu'on a encaissé ce but, on a joué avec une envie qui n'était pas manifeste avant» Smerecki a aussi regretté le manque d'envie de ses joueurs avant l'ouverture du score adverse  : «Au début, je me suis dit : est-ce qu'on avait suffisamment rechargé les batteries psychologiquement ou est-ce qu'on a abordé cette finale en attentistes, sans engagement, en se disant que ça suffirait ? Il aurait fallu au moins jouer. J'ai pensé qu'on avait des jambes de plomb, mais une fois qu'on a encaissé ce but, on a joué avec une envie qui n'était pas manifeste avant, mais avec trop d'imprécisions.» Victorieuse de l'Espagne en demi-finale, la France se croyait peut-être déjà arrivée. «Si on regarde l'ensemble, plus que le tournoi, mais aussi les deux tours de qualifications, la phase finale, c'était très agréable, on reste invaincus, on sort le tenant du titre (l'Espagne), mais pour l'instant, c'est la déception qui domine, a poursuivi le sélectionneur. En sortant l'Espagne, on s'est dit qu'on pouvait être champion d'Europe et puis on est vice-champion au final.»

FFF: Martini est parti

Bruno Martini, ancien entraîneur des gardiens de l'équipe de France sous l'ère Domenech (2004-2010), n'est plus un salarié de la Fédération française de football (FFF), nous apprend le Journal du Dimanche. "Nous nous sommes séparés d'un commun accord, en très bons termes, confirme Noël Le Graët, le président de la FFF, dans les colonnes du journal dominical. Je n'allais pas organiser une conférénce de presse pour l'annoncer !" Bruno Martini, dont la dernière mission aura été d'accompagner les moins de 19 ans jusqu'en finale de l'Euro en Lituanie, pointerait au chômage depuis le 1er août.

FFF
Vendredi 20 Septembre 2013
LACOMBE : "LE MOMENT DE TRANSMETTRE"
Il était temps de voir autre chose. Je pense vraiment que c'est le bon moment pour transmettre, nous confie Guy Lacombe. L'ancien entraîneur du Paris Saint-Germain ou encore de l'AS Monaco est de retour. A partir du 1er octobre prochain, il rejoindra la DTN* en "qualité d'entraîneur national et de responsable de la formation des cadres techniques". Guy Lacombe, formateur dans l'âme, précise : ma mission sera d'accompagner les cadres techniques et les jeunes entraîneurs tout au long de leur formation. Je suis revenu oui, le football c'est ma vie mais c'est un autre métier que je vais débuter. C'est exaltant.

L1 / ASMFC
Vendredi 20 Septembre 2013
GUY LACOMBE : "MONACO ME RÉGALE"
Guy Lacombe. Entraîneur du Paris Saint-Germain de décembre 2005 à janvier 2007 et de l'AS Monaco FC de 2009 à janvier 2011. Notamment. Le 1er octobre prochain, l'un des plus célèbres formateurs français . En attendant, on s'accapare quelques minutes de sa gentillesse et de son temps pour présenter ce choc de la 6ème journée de Ligue 1 entre ses deux anciens clubs.
Guy, votre vision sur ces deux nouveaux ogres du championnat français ?
Ils sont sur la bonne voie. Le PSG et l'AS Monaco se ressemblent par leurs moyens financiers. Pour réussir, ce sont deux clubs qui ont besoin d'un budget important. Cette saison, Monaco a réalisé un excellent recrutement d'ailleurs, ce qui fait logiquement de lui le plus sérieux concurrent au Paris Saint-Germain.
Vous, formateur dans l'âme, la formation possède-t-elle encore une place dans ces clubs ?
"Ce qui dénote de la grande valeur du club"
Monaco a toujours possédé un centre de formation de qualité et surtout, performant. D'ailleurs, lors des succès du club, les jeunes joueurs étaient constamment intégrés parmi les "vedettes" on va dire. Ce qui dénote de la grande valeur du club. Paris aussi, comme depuis quelques années avec Mamadou Sakho ou encore Clément Chantôme. Mais les grandes équipes, souvenez-vous de celle de 1994 par exemple, l'effectif était composé de joueurs du gotha mondial... Je pense vraiment que l'AS Monaco doit toujours se souvenir de ça, l'histoire se répète souvent. 
A l'époque, cette rencontre était déjà si particulière ?
Je me souviens de mon retour au Parc avec Monaco, je me suis fait allumer par vos confrères parisiens (rires). Avec l'ASM j'avais affronté le PSG, à Paris, pour une défaite en finale de Coupe de France en 2010 et un succès en 2010 (0-1). D'un point de vue plus global, c'était deux contextes diamétralement opposés. Avec Monaco, c'était une équipe avec peu de moyens mais des jeunes de qualité comme Kurzawa. A Paris, fallait changer quelques choses dans l'effectif. Au final, c'était un "match normal". Désormais, il est vrai, comme le souligne le président de la LFP Frédéric Thiriez, on peut le comparer avec la rencontre Real Madrid - FC Barcelone.
La malédiction du Parc des Princes 
Les chiffres parlent, dans l'Histoire, Monaco a fait du Parc une terre fertile en victoires...
"Pour tous les joueurs en réalité, peu importe l'équipe, jouer au Parc, c'est exaltant"
On peut se permettre de titiller les joueurs avec ces statistiques, de toucher leur orgueil mais ça ne concerne qu'une partie du groupe. Il faut trouver d'autres arguments pour motiver l'autre (rires). Que ce soit avec Monaco ou Paris d'ailleurs. A Paris on respectait beaucoup Monaco. Par la suite, dans la Principauté, lorsqu'on se déplacait dans la Capitale, c'était toujours particulier. Pour tous les joueurs en réalité, peu importe l'équipe, jouer au Parc, c'est exaltant. Il est toujours plus facile de trouver la motivation dans ces conditions.
Forcément, un pronostic ? 
Le PSG a disputé la C1 cette semaine. C'est une compétition qui bouffe quelques points... Il possède néanmoins deux équipes. Monaco est un très sérieux candidat. Pour ce match c'est dommage, Toulalan sera absent (touché aux adducteurs, ndlr)... Je vais dire que Paris, c'est au Parc quand même, reste favori. Je ne vais pas donner de pronostic, à chaque fois c'est l'inverse qui se passe (rires). Les supporters parisiens ont compris que dimanche, c'était le grand match, de qui était le véritable opposant cette saison. Ca devrait être une grande fête. Les joueurs sont également sensibles à ce genre de choses. Monaco devra livrer une super prestation.
Ce nouveau Monaco vous plaît ? 
"J'aime beaucoup regarder leurs matches. Il y a un vrai style"
Claudio Ranieri est un grand, très grand coach. C'est très important pour l'AS Monaco. Sincérement, cette équipe me régale. J'aime beaucoup regarder leurs matches avec des joueurs puissants, un vrai style, puis Falcao... Monaco est redoutable.

Le DTN prêche la bonne parole
01/04/2014 05:35
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François Blaquart (à droite) et Gilles Bouard (CTR) encadrent les U13 de Vienne et Moulière qualifiés pour la finale régionale de la coupe nationale.
François Blaquart, le Directeur Technique National, était présent samedi à Vouillé à l’invitation de l’amicale des éducateurs de la Vienne.

La vocation du club amateur et les exigences du football de demain dans l'approche de l'entraînement. Tels étaient les deux thèmes abordés ce samedi du côté de Vouillé par François Blaquart, le Directeur Technique National. L'occasion, aussi, d'échanger avec lui sur la situation du football en France et dans la région.
Vous avez pris vos fonctions en octobre 2010. Quelle politique avez-vous voulu mettre en place à la Direction Technique Nationale ?
« Mon rôle est d'animer le secteur technique autour de trois axes : le développement, le parcours de haut niveau et la formation des entraîneurs. »
 " Le rôle d'un club amateur est de créer une structure qui lui permette de grandir "
Quel est l'état de santé du football français ?
« Nous avons un nombre stable de licenciés autour de deux millions. Le football de haut niveau obtient des résultats intéressants. La France est reconnue en Europe pour la qualité de sa politique de formation. Il est cependant dommageable de ne pas conserver les joueurs les plus performants chez nous. Nous pouvons être inquiets quant au monde amateur. Il y a un manque de ressources humaines et financières. La crise économique n'aide pas à améliorer la situation. »
La Coupe du monde au Brésil approche. La DTN doit être tournée vers la préparation de cet événement…
« La DTN aide Didier Deschamps, le sélectionneur national, et son staff dans l'observation des joueurs qui sont actuellement dans leur club. Nous étudions aussi les adversaires. Didier Deschamps est très bien organisé et une certaine sérénité se dégage. Dans le même temps, un groupe est en train de naître. Pour le moment, c'est plutôt encourageant. Mais il peut arriver beaucoup de choses dans une Coupe du monde. Au-delà, nous portons aussi notre regard sur le championnat d'Europe 2016 qui aura lieu en France. »
Vous êtes Charentais. Suivez-vous les résultats des équipes du Centre-Ouest ?
« La ligue du Centre-Ouest est dynamique. Elle parvient notamment à maintenir ses effectifs. Elle manque cependant de clubs phares même si les Chamois Niortais en Ligue 2 ou Soyaux en 1^re division féminine obtiennent de bons résultats. »
Mais, derrière ces deux exemples, peut-on parler de désert ?
« Les grandes villes comme Limoges, Angoulême, La Rochelle ou Poitiers ne sont effectivement plus à la place qui devrait être encore la leur. Ces clubs devraient être en National ou en CFA. C'est aussi dommageable qu'incompréhensible. »
S'agit-il d'une situation cyclique ou le mal est-il plus profond ?
« Le développement d'un club passe par une équipe dirigeante réunie autour d'un projet et d'un président. Il faut avoir la chance de tomber sur une personne qui dynamise l'ensemble. Les clubs doivent aussi se poser les bonnes questions au moment de recruter un entraîneur en choisissant un technicien capable d'impulser une politique sportive globale et non pour s'occuper de la seule équipe première. Il faut un bâtisseur et un formateur. Le rôle d'un club amateur est de créer une structure qui lui permette de grandir. »
dans les coulisses
Patrice Billy récompensé
Éducateur au SO Châtellerault en charge des U17, Patrice Billy s'est vu remettre samedi des mains de François Blaquart, le Directeur Technique National, le trophée Georges-Boulogne, récompensant son dévouement pour son sport et son club. Rappelons que Patrice était notamment de l'aventure du SOC en Ligue 2 (1987-1988).
Abstention record
En cette période électorale, un triste record d'abstention vient d'être battu par les clubs de football de la Vienne. En effet, pour la venue du Directeur Technique National, François Blaquart, 80 % des clubs, dont une équipe évoluant en championnat national et régional, n'étaient pas représentés. « Les absents ne sont pas à blâmer mais ils ont oublié que la solidarité au niveau des éducateurs est un élément moteur pour la bonne santé du football départemental », ont observé les représentants de l'Amicale.
Première honorable pour Ndedi
Pour la première fois de la saison, le capitaine des U17 nationaux de Poitiers a été aligné chez les seniors en DH, samedi à Bressuire (2-4). Malgré les quatre buts, le gardien Raphaël Ndedi a rempli sa mission. « Il a confirmé ce que je savais de lui. On le reprendra avec plaisir dès qu'on le pourra », commente l'entraîneur de la réserve poitevine.
Sansiquet en voit de toutes les couleurs
Le gardien de la réserve ligugéenne n'a pas joué le week-end dernier. Depuis le samedi précédent, Alex Sansiquet souffre d'une cheville. On devrait dire de la jambe droite. Sa cheville et son mollet ont doublé de volume pour ne pas dire triplé. Par ailleurs, son articulation est en train de bifurquer du rouge au noir en passant par le bleu. Impressionnant.
Finales régionales pour Poitiers et Vienne et Moulière
La finale départementale de la coupe nationale U13 a été remportée par Vienne et Moulière et le Poitiers FC, samedi à Vouillé (voir la photo plus haut). Les deux équipes sont qualifiées pour la finale régionale le 3 mai à Aixe/Vienne. Loudun et Châtellerault terminent juste derrière parmi seize formations au départ.

Les hommes d'ombre de " DD "
21/05/2014 05:35
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L'encadrement des Bleus ne laisse rien au hasard, tant dans la préparation que dans l'anticipation du Mondial au Brésil. - (AFP)
Ils sont dix-neuf à composer l’encadrement de l’équipe de France et à veiller, autour du sélectionneur, au bon fonctionnement de la “ maison bleue ”.

Le volet technique et physique. Le plus proche collaborateur de Deschamps est Guy Stéphan. Le fidèle adjoint a connu « DD » joueur à l'Euro 2000 (en tant que n° 2 de Roger Lemerre) avant de l'accompagner à Marseille (2009-2012) et de le suivre en sélection. Son statut lui autorise une certaine proximité avec les joueurs. « Je ne suis pas là pour faire remonter toutes les infos », a-t-il cependant expliqué. Mais l'échange est permanent avec le sélectionneur : « Chaque jour, il y a des discussions. L'essentiel, c'est d'amener l'équipe en forme pour le 15 juin (date de la première rencontre de la Coupe du monde face au Honduras). »
10 m³ de matériel
Avant d'entrer dans le vif du sujet au Brésil, les Bleus vont passer entre les mains du préparateur physique Éric Bédouet, qui vient tout juste d'intégrer le staff bleu. « On va adapter et individualiser le travail le plus possible, a déclaré celui qui officie également à Bordeaux. On a procédé à un test au mois de mars qui nous a donné une photographie physiologique des joueurs, on en refera un jeudi et un troisième avant le départ au Brésil. » Deschamps a parfaitement résumé avec humour le rôle de Bédouet : « J'espère que ce sera celui que les joueurs détesteront le plus, ça voudra dire qu'il a bien travaillé. »
> Le volet médical. Aux côtés du médecin Franck Le Gall, les Bleus bénéficient des talents de trois kinés et d'un ostéopathe. Un bilan médical sera effectué durant le stage de préparation, répondant aux critères de la Fifa. « On veut que les joueurs ne prennent pas de médicaments qui figurent sur la liste des produits interdits, a-t-il indiqué. La liste est connue de tous. Au niveau de la prise de sang, on ne va pas rechercher des produits mais on pourra peut-être trouver un indice indirect de dopage. »
> Organisation et intendance. Il s'agit de la partie immergée de l'iceberg, articulée autour du « team manager » Erwan Le Prévost. Le choix du camp de base de Ribeirao Preto a ainsi fait l'objet d'une attention particulière, le catalogue de la Fifa comprenant au départ une cinquantaine de sites. « Ribeirao Preto a l'avantage d'être central au Brésil, avec de très courtes distances de l'aéroport au centre des médias et aux terrains d'entraînement, a-t-il affirmé. Le climat est aussi en harmonie avec la quasi-totalité des stades où on serait amené à jouer. »
Au total, les Bleus partiront au Brésil avec 10 m³ de matériel. Le coût de cette campagne, jusqu'à la fin de la phase de poules, est estimé à 3 millions d'euros.

Girondins : la FFF ne retiendra pas Willy Sagnol si Bordeaux le sollicite
14 commentaires
Publié le 21/05/2014 à 14h33 , modifié le 21/05/2014 à 14h54 par
Sudouest.fr avec AFP


Le président de la Fédération française de football Noël Le Graët a déclaré mercredi qu'il ne s'opposerait pas à un départ du sélectionneur des Espoirs Willy Sagnol, qui intéresse Lyon et Bordeaux
Si les Girondins de Bordeaux ont fait de la venue de Zinédine Zidane, leur priorité au poste d'entraîneur, leur second choix se porterait sur l'actuel sélectionneur des espoirs de l'équipe de France Willy Sagnol. © Photo
AFP









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Si les Girondins de Bordeaux ont fait de la venue de Zinédine Zidane, leur priorité au poste d'entraîneur, leur second choix se porterait sur l'actuel sélectionneur des espoirs de l'équipe de France Willy Sagnol.

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L'Olympique Lyonnais, après le départ de Rémi Garde, aurait également des vues sur l'ancien défenseur des Bleus. 
Sous contrat avec la Fédération Française de Football depuis son arrivée à ce poste en août 2013, Willy Sagnol a sondé ses dirigeants fédéraux pour savoir s'il était libre ou non d'accepter des sollicitations.

"Pas d'empêchement ferme s'il a envie d'entraîner un club"  

 "Il est venu me voir hier, il m'a demandé ma position. Je lui ai dit que je souhaitais qu'il reste à son poste parce qu'il travaille bien, il est en cours de qualification (pour l'Euro-2015, ndlr), mais que s'il avait une proposition qui attirait son attention, je ne ferais pas un barrage sévère. Il y aura une discussion mais pas d'empêchement ferme s'il a envie d'entraîner un club", a expliqué le patron de la FFF Noël Le Graet, lors de la présentation du dispositif pour les supporteurs français au Mondial brésilien.
"Il doit donner sa réponse aujourd'hui ou demain, a-t-il ajouté. Il est heureux à la Fédération et j'aime beaucoup travailler avec lui mais j'ai toujours pensé à propos d'un certain nombre d'entraîneurs nationaux, et lui en particulier, que s'ils ont une offre d'un club de 1re division, je ne suis pas certain que la Fédération doive faire un barrage. Il ne faut jamais retenir quelqu'un à tout prix" a ajouté le président de la FFF.
"Il remplit très bien sa mission et il a pris un poids à la Fédération en étant président de la commission de la Coupe de France. Je n'ai pas envie de lui dire: - Willy, on a un contrat, tu restes et il n'est pas question que tu partes -. J'ai beaucoup de considération pour lui", a-t-il conclu.

Willy Sagnol aux Girondins de Bordeaux ? "Je n’exclus aucune possibilité", dit-il
61 commentaires
Publié le 23/05/2014 à 07h55 , modifié le 23/05/2014 à 07h55 par
Emmanuel Commissaire


Le sélectionneur de l'équipe de France Espoirs réfléchit sérieusement à son avenir. Il admet avoir fait le tri dans ses contacts avec plusieurs clubs, mais souligne que "rien n'est encore acté"
Willy Sagnol devrait entraîner une équipe de Ligue 1 pour la première fois de sa jeune carrière © Photo
AFP CHARLY TRIBALLEAU









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P
ressenti pour entraîner Bordeaux à partir de la saison prochaine, Willy Sagnol s'envolera comme prévu demain pour la Réunion, où l'équipe de France Espoirs effectuera jusqu'au 3 juin une tournée qui s'achèvera par un match amical contre Singapour. Une tournée d'adieux en ce qui le concerne ?

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Un accord a-t-il été trouvé avec les Girondins ? "Je ne confirme rien du tout, a répondu ce jeudi le sélectionneur des Bleuets depuis Clairefontaine. Que ce soit les Girondins de Bordeaux ou moi-même, personne n'a encore parlé".
Cependant, lors de son entrevue d'hier avec Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), il n'a pas uniquement été question de sa mission actuelle. "Si j'ai sollicité un rendez-vous avec le président, c'est aussi parce qu'il y a forcément des contacts avec plusieurs clubs depuis plusieurs semaines. J'ai déjà pris certaines décisions par rapport à certains clubs. Il y a eu des refus de ma part ces deux ou trois derniers jours pour déjà faire un tri. Aujourd'hui, rien n'est acté, rien n'est défini et je n'exclus aucune possibilité pour la suite et de ma carrière et de l'équipe de France Espoirs. Quoi qu'il arrive, c'est une décision qui interviendra très rapidement. Cela peut se passer pendant (NDLR, le stage des Bleuets), dans un sens comme dans l'autre".