TROUVEZ L"AMOUR DANS LA CAVERNE DE BIENVENOU

Un petit garçon demande à sa mère: '' Pourquoi pleures-tu? ''
''Parce que je suis une femme '' lui répond-elle.


''Je ne comprends pas '' dit-il.
Sa mère l'étreint sans un mot
Plus tard le petit garçon demanda à son père : ''Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? ''
''Toutes les femmes pleurent sans raison'' fut tout ce que son père pu lui dire.
Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant pourquoi les femmes pleurent aussi facilement. Finalement il demanda à un sage!
Le sage lui fit signe:
''Quand Dieu a fait la femme, elle devait être spéciale. Ses épaules devaient être assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même assez douces pour être confortables ''.
''Il lui a donné une force intérieure pour endurer les naissances et les rejets qui viennent souvent de ses enfants.''
''Il lui a donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue, sans se plaindre.''
''Il lui a donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans n'importe quelle
circonstance quand ces derniers l'ont blessée très durement.''
''Il lui a donné la force de supporter son mari dans ses défauts. ''
''Il lui a donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir.''
''Et finalement Il lui a donné une larme à verser. Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle en ressent le besoin. ''
''Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. La beauté d'une femme réside dans ses yeux.
C'est la porte d'entrée de son coeur, la place où l'amour réside. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur

Il y a des périodes comme ça
ou au lieu de voir le soleil tu ne vois que des nuages
C'est dans ces moments qu'il faut aller chercher au fond de soi la lumiere

Retrouvailles émouvantes entre un gorille et une jeune femme 12 ans après leur séparation

Tansy Aspinall retrouve un gorille 12 ans après leur séparation - Copie écran vidéo YouTube
Tansy Aspinall retrouve un gorille 12 ans après leur séparation Copie écran vidéo YouTube
Zoomer
Ce sont des retrouvailles très émouvantes. Tansy Aspinall, la fille d’un propriétaire de zoos en Angleterre, s’est rendue au Gabon pour revoir Djalta et Bims, deux gorilles avec qui elle avait l’habitude de jouer pendant son enfance. Douze ans après leur réinsertion à l’état sauvage, les animaux ont aussitôt reconnu la jeune femme et lui ont réservé un accueil très chaleureux.

Damian Aspinall, un homme d'affaires écologiste, propriétaire de parcs animaliers, et sa fille Tansy ont fait le déplacement au Gabon pour revoir leurs anciens protégés, deux gorilles qui avaient vécu en captivité au zoo de Howletts au Royaume-Uni avant d’être relâchés dans la nature. Cela faisait douze ans que le père et la fille n’avaient pas vu les animaux. L’émotion était donc forte lors de leur arrivée dans la jungle gabonaise. C'est dans une vidéo mise en ligne le 13 novembre que l'on peut observer les retrouvailles.

Il leur a suffi de s’approcher et de les sentir pour se souvenir d’eux. Rapidement, Djalta a pris la jeune femme dans ses bras. « C'était incroyable de voir que non seulement, ils me reconnaissaient, mais qu'ils avaient de si tendres regards. Je me suis sentie tout de suite en sécurité, rassurée. A aucun moment, je n'ai eu peur. (...) Ils étaient vraiment doux avec moi » a confié Tansy au Daily Mail.

La fondation Aspinall, dirigée par Damian Aspinall en Angleterre, a pour but depuis quinze ans, la réinsertion d'espèces sauvages dans leur environnement naturel.

Solidarité
Par Jean-Luc CROZEL
La vraie misère n’est pas toujours celle qui s’affiche. Mais le
plus souvent, celle qu’on cache par honte et par pudeur. Elle est
celle de ces hommes, de ces femmes et de ces enfants qui à
l’approche des fêtes, se font invisibles, ne regardent même plus
les vitrines remplies de ces objets qu’ils ne pourront avoir; elle
est celle de ces familles qui redoutent les morsures du froid,
savent qu’il y a des jours ou elles ne mangeront pas à leur faim,
se disent que l’hiver est la plus cruelle des saisons.
C’est pour elles que les associations semobilisent en appelant
aux dons. Ceux que feront les entreprises, ceux que feront les
particuliers. À commencer par la Banque alimentaire, qui le dernier
week-end de novembre sera visible dans les grandes surfaces
afin de collecter des denrées alimentaires qui réparties entre
d’autres structures, contribuerontà mener le combat contre
la pauvreté et la faim. Un mal sournois et malheureusement
grandissant, qui année après année poursuit des ravages sur lesquels
grande est la tentation de fermer les yeux. Alors, lorsque
nous verrons les sacs tendus et les appels à donner pour nourrir,
n’hésitons pas: donnons, même si peu. Car aujourd’hui, plus
qu’hier, "on n’a plus de droit ni d’avoir faim, ni d’avoir froid".

Insolite - Albi (81) - Insolite

Elsa et sa fille proposaient des Câlins gratuits, mercredi place du Vigan./ DDM, Élodie Redoulès .

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C'est une initiative originale et pour le moins empreinte de tendresse. Elsa, la maman, vendeuse dans un magasin albigeois et sa fille Céline étaient installées mercredi sur la place du Vigan derrière un écriteau «Câlins gratuits». Bigre ! «C'est ma fille qui eu l'idée de faire ça, explique Elsa, pour reprendre la tradition des «abrasos» qui se perpétue notamment en Amérique latine. C'est une envie de partager un moment de joie, de tendresse et d'amour au moment de Noël. C'est la première fois que nous proposons ces étreintes mais ce ne sera pas la dernière», assure Elsa. Mercredi sur le Vigan, les passants accaparés par leurs ultimes achats de Noël étaient pour le moins surpris, car ce type de happening est relativement rare dans les villes moyennes, mais la surprise pour eux était surtout la gratuité. Espérons à présent que cette initiative fera des émules.

Nos amies les bêtes

Par Jean-Luc CROZEL

N’en doutons pas, le salon Animal Mania qui s’ouvre au parc

Chanot, est dans l’air du temps. Il suffit pour s’en convaincre de

voir son succès grandissant, comme il a suffi d’observer à

l’occasion des fêtes de fin d’année, ce regain d’intérêt des familles

pour les animaux de compagnie. Un engouement qui amène à cette

question: pourquoi ?

Les réponses peuvent se résumer en quelques considérations :

l’animal combat la solitude, sait être un passe-temps, est fidèle,

incite à la curiosité et éveille, aiguise la passion et nourrit

l’affection. Il peut rendre des services et rassurer, il peut aussi être

un vecteur relationnel. Et sans doute beaucoup d’autres choses.

Mais il en est une qu’il ne doit pas être et avec laquelle il ne faut

pas le confondre : le jouet. D’où cette recommandation qu’il n’est

jamais inutile de rappeler: nos amies les bêtes, qu’il s’agisse d’un

chien, d’un chat, d’un oiseau, d’une tortue, d’un lapin, d’un hamster

ou autre, exigent toutes qu’on s’occupe d’elles de constante

manière. Ce qui demande du temps, un engagement, quelques précautions,

de l’affection surtout, mais aussi quelques moyens

[size=36]L'émouvant amour d'une lionne pour ses sauveurs[/size]

Publié le 28/01/2015 à 09:54, Mis à jour le 28/01/2015 à 10:32

Insolite

Sirga a noué des liens hors du commun avec deux hommes depuis sa plus tendre enfance. Cette lionne originaire du Botswana a été rejetée par son groupe alors qu’elle n’avait que trois mois. Heureusement, l’Allemand Valentin Gruener et le Danois Mikkel Legarth étaient là pour veiller sur elle.

Une lionne câline et joueuse

Les deux chercheurs à l’origine du projet Wildlife Modisa (qui a pour but de préserver les populations de lions) se sont très vite attachés au jeune fauve. Sirga a également pleinement confiance en eux et n’hésite pas à quémander des caresses. Toutefois, les deux hommes savent que le fauve maintenant adulte devra un jour ou l’autre retrouver sa liberté. « Nous ne voulons pas que Sirga devienne comme les autres lions en captivité, constamment alimentés par un flot de touristes », explique Mikkel Legarth. La séparation entre les trois amis devrait être difficile, mais est indispensable pour le bien-être de l’animal.
 

LA TOUCHANTE AMITIÉ ENTRE UNE LIONNE ET DEUX HOMMES11

Ils lèguent leurfortuneàunsinge
Un riche couple d'Indiens a désigné comme seul héritier son singe
de compagnie, assurant qu’il lui devait sa réussite et voulait être
certain qu’on s'occuperait de l'animal s'il se retrouvait "orphelin".
Brajesh Srivastava et sa femme Shabista n'ont pas d'enfants, mais
ils considèrent leur singe Chunmun comme leur fils, et ont créé
une fondation pour prendre soin de l'animal après leur mort. Les
époux, qui ont été chassés de leurs familles respectives après s'être
mariés contre leur avis, racontent qùils étaient pauvres quand ils
ont adopté le singe en 2004, et qu’ils sont devenus riches depuis.
Ils sont propriétaires de lamaison qùils habitent dans l'État de l'Uttar
Pradesh, et possèdent des terrains et des économies.