AS MONACO FC // LIGUE 2

Foot - L2 - Monaco le 12/09/2011 à 23:07

Laurent Banide a été remercié très rapidement par Monaco et il n'a pas du tout apprécié. Le président Franzi l'a remercié et confirmé l'arrivée de Marco Simone.



Franzi : «Simone, un risque mesuré»


Le président Franzi, lui, a tenu à saluer le travail de Banide. « Il s'agit d'une décision sans plaisir. Je n'ai rien à reprocher à Laurent Banide tant d'un point de vue humain que professionnel. Mais après le match de vendredi soir, où les joueurs paraissaient réellement déboussolés, la décision était devenue évidente », a-t-il déclaré sur Eurosport avant d'expliquer son choix de faire appel à Marco Simone : « Il faut bien une première fois et nous savons que cela peut fonctionner comme avec Laurent Blanc à Bordeaux ou même Didier Deschamps ici même il y a quelques années. Marco Simone a toutes les qualités pour réussir. C'est quelqu'un d'intelligent, avec un fort caractère et qui connait très bien le football. De plus, son expérience en tant que joueur le rendra crédible aux yeux des joueurs. Alors oui, c'est un pari, mais un pari mesuré

Marco Simone, le joker

NOUVEAUTE L'arrivée de l'ex-buteur à la tête de l'AS Monaco a été officialisée cet après-midi, à la Turbie, face à la presse.

Mardi 13 Septembre 2011

L'ancien goleador vient d'entamer une nouvelle vie. Au placard les costumes de consultant télé, d'agent, ou même de président (AS Legnano, en C2). Marco Simone, figure emblématique du football français, prend comme prévu les commandes de l'équipe fanion du Rocher, soutenu par Frédéric Barilaro et Jean Petit.
Premier à prendre la parole en amont de l'entraînement du jour, le président Franzi évoquait un choix logique « après ce qu'on a vu vendredi », faisant référence à la pauvre prestation des Asémistes contre Angers (défaite 1-3). « Marco commence ? Et alors ? Il faut bien le faire un jour. C'est un garçon intelligent et je suis convaincu qu'il saura, par exemple, mettre à profit les enseignements qu'il a reçus de ses propres entraîneurs. »
En prise de marques au cours de sa première séance, essentiellement dirigée par Frédéric Barilaro, l'Italien a préféré observer, échanger avec Jean Petit pour enfin y aller de ses quelques consignes lors des jeux de conservation.
Survêtement ajusté, coiffure (toujours) impeccable, l'ancien numéro 11 s'est enfin dirigé vers la salle de presse, faisant état de sa décision. « Pourquoi ? D'abord parce qu'on me l'a proposé. Je suis très heureux de débuter à Monaco. C'est une chance de démarrer dans un club important. »
Celui qui assume pleinement son statut de débutant a cependant revu avec réalisme l'objectif de l'ASM FC, auparavant assimilé à la remontée immédiate. « Je serais malhonnête d'afficher cet objectif. Dans notre situation, ce n'est pas possible. Dans un premier temps, concentrons-nous sur le match à Bastia. » Une partie pour laquelle il prévient avoir préparé « deux consignes » pour ses joueurs. Lesquelles ? « Vous le verrez vendredi... »

Connaissant le ritale et sa mentalité ,les monégasques vont pourrir le match .....
A son dernier match a Furiani (2003)sous les couleurs Monégasque , il avait eu l'audace de traiter Mendy le vrai de faux noir .. L'autre avait gardé ses nerfs jusqu’a la mi temps et au moment ou les joueurs devait rentré aux vestiaires...Pif paf pouf et un sparadrap sur le nez a Marco Le lendemain dans l’équipe ,Simone nous avait fait une belle Pasqueletti

JUDAS a écrit:Connaissant le ritale et sa mentalité ,les monégasques vont pourrir le match .....
A son dernier match a Furiani (2003)sous les couleurs Monégasque , il avait eu l'audace de traiter Mendy le vrai de faux noir .. L'autre avait gardé ses nerfs jusqu’a la mi temps et au moment ou les joueurs devait rentré aux vestiaires...Pif paf pouf et un sparadrap sur le nez a Marco Le lendemain dans l’équipe ,Simone nous avait fait une belle Pasqueletti

match pourri tu crois qu'ils vont jouer 8 derreire pour avoir un bon zéro à zéro

AS Monaco: Simone, ça va le faire ?.Publié le jeudi 15 septembre 2011 à 07H02
Marco Simone, demain sur le banc à Bastia, aujourd'hui sous le regard de quelques amis.

.Un mois et demi après Giuly, l'AS Monaco vient d'attirer un autre monument du foot. Simone, c'est un caractère bien trempé et une carrière de joueur XXL qui l'a vu remporter sous les ordres de Sacchi, Capello ou Puel, la Ligue des Champions avec le Milan AC (1990, 94), quatre scudettos (1992, 93, 94, 96) ou un championnat de France avec Monaco (2000). Suffisant pour redresser la barre aux commandes de l'ASM ? Ses détracteurs pointent du doigt son inexpérience en la matière. Mais, comme le rappelle Etienne Franzi, «il y a toujours une première fois »...

L'ancien milieu de terrain Yann Lachuer a connu Simone au Paris SG à la fin des années 90. Il se souvient d'un « gros caractère ». « C'était un leader, il prenait souvent la parole mais il faisait bénéficier le groupe de son expérience ».

Baup : « Bienvenue chez les fous »

Pour l'ancien Auxerrois reconverti entraîneur, il n'y a pas beaucoup de différence avec le métier de coach, mais la principale difficulté est de parvenir à faire passer le message. « C'est clair, grâce à son vécu, il sait ce qu'il faut faire, explique celui qui a fait monter Orléans du CFA en National en 2010. Mais il faut se mettre au diapason de son groupe, s'adapter. Trouver les bons mots, gérer les hommes, les egos et les problèmes. C'est la chose la plus compliquée à mon sens. Et puis quand on a connu le très haut niveau, ce n'est pas toujours évident d'expliquer aux joueurs ce que l'on considère comme le b.a.-ba. Mais il va travailler avec Jean Petit, ça va donner un tandem complémentaire. »

Elie Baup, qui connaît bien Simone pour l'avoir fréquenté sur la chaîne cryptée, avait vu que « ça l'intéressait », mais a été surpris que cela se fasse aussi vite.

« Je l'ai tout de suite appelé, je lui ai dit : "Bienvenue chez les fous", rigole le technicien.

Bon, il n'a pas l'expérience mais il a faim, il est joueur. Il a aussi ce côté italien, il aime surprendre, ruser. Dans un petit club, il faut être pédagogue, c'est sûrement mieux d'avoir plus d'expérience. Alors que dans un grand club, même sans un long vécu d'entraîneur, il y a ce langage commun avec les grands joueurs

. Bon, à Monaco, il y a quand même des gars comme Giuly, Vahirua ou Hansson qui connaissent le foot... » Une chose est sûre, Baup a perdu un bon camarade au Canal Football Club. « S'il y a un gars avec qui je m'entendais bien, c'était lui.Ça chambrait pas mal. D'ailleurs, vous lui direz : faut qu'il arrête avec le gel, c'est plus la peine maintenant qu'il entraîne... »

http://www.nicematin.com/article/as-monaco/as-monaco-simone-je-ne-suis-pas-entraineur

AS Monaco: Simone, "Je ne suis pas entraîneur".Publié le mercredi 14 septembre 2011 à 08H29
Pour le nouveau trio technique de l’AS Monaco (de gauche à droite, Frédéric Barilaro, Jean Petit et Marco Simone), il y a du boulot...

(Photo Patrice Lapoirie)

.Hier, à la Turbie. Une vingtaine de journalistes attend la première séance dirigée par Marco Simone*, avec Jean Petit et Frédéric Barilaro. Étienne Franzi vient de présenter l’entraîneur aux joueurs, dans le vestiaire, avant de passer par la case médias. « C’est un homme de caractère, détaille le président de l’ASM pour justifier le choix.

Il connaît le football, son CV lui donne une crédibilité naturelle et il a eu la chance d’avoir été sous la coupe de ce qui se fait de mieux parmi les entraîneurs. Comme c’est un type intelligent, il a sûrement emmagasiné beaucoup de choses qu’il pourra aujourd’hui rapporter aux joueurs. »




Reste que Marco Simone est novice à ce niveau… « Il y a toujours une première fois », glisse Franzi, citant Deschamps à Monaco ou Blanc à Bordeaux. Sur la pelouse, Simone reste légèrement en retrait, échange souvent avec Petit, et observe la séance essentiellement animée par Barriac puis Barilaro. Avant de venir s’asseoir, pour la première fois, en conférence de presse. L’opération séduction commence. Avec l’accent, et une certaine espièglerie.



Pourquoi avez-vous accepté ce challenge ?
D’abord parce qu’on m’a offert cette opportunité. Ensuite parce que j’ai commencé à passer les diplômes il y a plus d’un an et que ça me plaît.

Joueur, songiez-vous entraîner un jour ?
Déjà, je pensais ne jamais arrêter le football. D’ailleurs, parfois, on arrête trop tard (il sourit)… Je voulais rester dans le milieu. J’ai fait beaucoup de choses (joueur, directeur sportif, agent, consultant, ndlr). Et puis, en allant au stade, on regarde les matches et on commence à penser comme un entraîneur, c’est ce qu’il s’est passé. C’est vraiment une chance de commencer ici.

Les difficultés actuelles du club ne vous ont-elles pas freiné ?
Je ne peux pas cacher le mauvais classement de l’équipe. Mais dans une saison, on l’a vu avec Lille, une équipe a toujours des moments difficiles ; un mois, deux mois. Alors je préfère penser, malgré les difficultés, que Monaco a commencé la saison par sa période noire et que ça va changer.

Qu’avez-vous dit au groupe avant l’entraînement ?
Que je ne suis pas un entraîneur. C’est la réalité. Prétendre le contraire serait mentir. En revanche, je connais le football. Je débute dans ce métier mais j’aurai des arguments et de bonnes propositions pour améliorer l’équipe, et mettre les joueurs dans de bonnes conditions.

Quelle est la priorité aujourd’hui ?
Cet après-midi, je n’ai pas beaucoup parlé à l’entraînement mais j’ai beaucoup observé. Même si je connais très bien cette équipe pour avoir vu tous les matches cette saison, j’ai moi aussi besoin d’un temps d’adaptation pour découvrir ce rôle. J’ai mes idées, je sais ce que je vais proposer pour résoudre les problèmes et ce n’est pas une question de tactique. Les joueurs doivent être responsables par rapport à ce qu’ils représentent, vis-à-vis du club, des dirigeants, des supporters, ou de la presse. Ce sont des principes qu’il faut avoir pour réussir dans la vie. Pour ce qui est de la tactique, j’en parlerai directement avec eux.

Il y a déjà urgence…
Je ne suis pas magicien. Nous sommes dans l’urgence avec ce match à préparer à Bastia. Mais ce n’est pas en trois jours qu’on va bourrer le crâne des joueurs avec 150 000 idées. Je veux que les joueurs sortent du terrain avec l’idée qu’ils ont appris quelque chose. Je vais simplement leur donner deux consignes pour le match de vendredi, et elles seront précises. C’est un premier pas.

Vous avez dû renoncer à vos activités parallèles ?
Je suis l’agent de… Ou plutôt, j’étais l’agent de certains joueurs à Monaco, en France et en Italie. Quand j’ai accepté, j’ai dû renoncer à ce travail, j’ai rendu ma carte. Aujourd’hui, je suis l’entraîneur de l’AS Monaco. Je serais irresponsable et malhonnête de donner dans mes fonctions un avantage à ces joueurs-là. J’ai également résilié mon contrat avec Canal +.

Comment voyez-vous votre collaboration avec Jean Petit et Frédéric Barilaro ?
C’était ma demande de pouvoir avoir à côté deux personnes que je connais bien. Ils connaissent bien la maison. Je n’ai pas besoin d’expliquer certaines choses parce que je les connais depuis tellement longtemps que j’ai l’impression qu’on parle le même langage. Je les ai choisis parce que j’ai confiance en eux. Je vais avoir un rôle plus médiatisé par rapport à ce qui va se passer, avec plus de responsabilités. J’ai pensé que c’était bien d’être entouré par deux personnes qui sont aujourd’hui plus compétentes que Marco Simone...

Avez-vous discuté avec le Prince ces derniers jours ?
J’ai eu le Prince au téléphone. On est revenu sur ce qu’il avait déclaré après la relégation. Monaco doit s’appuyer chaque année sur un travail très important du centre de formation. Le club a besoin de retrouver son identité. On va essayer de le faire du mieux possible, avec les jeunes qui sont en mesure de jouer.

L’objectif, c’est toujours la remontée ?
Non. J’ai été assez clair quand j’ai pris mes fonctions. On commence une aventure, et on ne peut pas se fixer ces objectifs dans notre situation. Ce serait malhonnête de dire « oui, oui, on va remonter tout de suite ». L’objectif, c’est faire du mieux pour qu’ils soient bien vendredi soir. Aujourd’hui, on n’est pas dans les conditions mentales pour se projeter dans 32 journées. Je ne vais pas donner de faux espoirs. Après, tout peut arriver. L’objectif de Monaco n’était pas de descendre l’an dernier et pourtant c’est arrivé. Et si on peut monter, on le fera.

*Marco Simone va signer un contrat de deux ans plus une en option si l’ASM monte en Ligue 1.

L'ancien attaquant international italien Marco Simone (au centre) et l'ancien international Jean Petit ont été nommés lundi coentraîneurs de l'AS Monaco, actuel 17e du Championnat de France de 2e division, en remplacement de Laurent Banide, annonce le club dans un communiqué. |

L'ancien attaquant international italien Marco Simone et l'ancien international Jean Petit ont été nommés lundi coentraîneurs de l'AS Monaco, actuel 17e du Championnat de France de 2e division. Ils remplacent Laurent Banide, annonce le club dans un communiqué.

«Après avoir procédé aux consultations appropriées et rencontré plusieurs joueurs, le président de l'AS Monaco FC a pris la décision, au regard des résultats enregistrés depuis le début de saison, y compris en Coupe de la Ligue, de procéder à une réorganisation de l'encadrement sportif du club et de confier, avec effet immédiat, la responsabilité de l'équipe professionnelle à un tandem constitué de messieurs Jean Petit et Marco Simone», précise le club monégasque.

Ce sera la première expérience en tant qu'entraîneur pour Marco Simone. Joueur, l'attaquant italien a porté le maillot monégasque de 1999 à 2003 (champion de France en 2000) après avoir joué deux ans au Paris SG (1997-1999).

Laurent Banide fait, lui, les frais du début de saison raté de son équipe qui ambitionne pourtant de remonter directement dans l'élite. Après sa défaite à domicile vendredi par Angers (3-1), l'ASM ne compte que 4 points en six journées (4 nuls, 2 défaites).

Jean Petit, jusqu'alors conseiller technique du club de la Principauté, a plusieurs fois par le passé assuré des intérims lors de quelques matches en 1994 et 2005

L2 - 7e j.
Les équipes probables

20h30
Bastia (4e) - Monaco (18e)
Stade Armand-Cesari
Arbitre : M. Piccirillo
Bastia : Novaes - Cioni, Mary, Choplin, Harek - Cahuzac (cap.), Rothen - Khazri, S. Diallo, Maoulida - D. Suarez
Monaco: J. Carrasso - Marester, Adriano, Hansson (cap.), Muratori - Salli, G. Coulibaly, N. Mendy, Eysseric - Helstad, Vahirua

L2 - 7e j.
«Commencer par Bastia, ça me plaît beaucoup !»

Pour son premier match de Ligue 2, le nouvel entraîneur de Monaco, Marco Simone, sera confronté ce vendredi (20h30) à un adversaire coriace, le Sporting Club de Bastia, invaincu à Furiani en Championnat depuis mai 2010 (17 succès et 7 nuls). (Photo )

Le dépucelage s'annonce douloureux. Ce qui ne semble pas effrayer pour autant l'ex-attaquant de l'AC Milan. «Commencer par Bastia, ça me plaît ! Je connais très bien cette équipe et l'environnement. Les Bastiais sont bien organisés, bien en place. Ce sera difficile. Je suis très excité et je vais faire en sorte que mes joueurs le soient aussi.» Pour l'anecdote, ce match à Furiani sera l'occasion de retrouver une vieille connaissance, Jérôme Rothen, qu'il a côtoyé à Monaco (2002-2003). «Je n'ai pas encore parlé à Jérôme, mais je suis ravi de le revoir. C'est un garçon que j'apprécie beaucoup.»

«La priorité n'est pas la montée»

La pression, Simone la balaie d'un revers de la manche. Et lorsque le Prince Albert II lui a confié les clés pour deux saisons, il n'a pas hésité une seconde. «C'est quoi le danger ?, reprend l'intéressé, amusé. Tous les entraîneurs, confirmés ou non, sont sur un siège éjectable de toute façon. J'ai connu des coaches qui venaient de gagner un trophée et qui ont été virés.» Sur les objectifs fixés par le club, là encore, le coach tempère : «Pas question de parler de Ligue 1, même si Monaco avait mieux débuté. La priorité n'est pas la montée, mais que l'équipe progresse, se structure.»

La leçon du passé prouve néanmoins qu'il faut remonter au plus vite pour éviter de s'embourber dans l'antichambre de l'élite. Réponse de Simone : «Je le sais. Mais je fais quoi ? Je dois me flinguer ? (Rires) Si Monaco ne monte pas cette année, ce sera la saison d'après. Nantes, Lens... sont redescendus aussitôt. Si ton équipe n'est pas structurée, tu vas te faire mal pour la deuxième fois d'affilée. Une fois, tu peux réagir. Deux fois, tu peux mourir

Je lui payerais volontiers le café a Zimone

JUDAS a écrit:Je lui payerais volontiers le café a Zimone

sésolé pour toi
je crois qu'avec zon zeveu sur la langue et son zel ds les zeveux
il prefere les femmes

egalisation

Bastia 1 - 1 Monaco

8 minutes à jouer

17/09/2011
"Fier de mon équipe"
Marco Simone revient sur le nul ramené de Bastia et évoque la prochaine rencontre face à Arles-Avingnon ce lundi au Louis II. Retrouvez aussi la réaction d'Eric Marester.
Les autres news...


Marco, comment avez-vous vécu ce match à Bastia qui était le premier de votre nouvelle carrière d'entraîneur ?
Je l'ai bien vécu, sereinement. Je suis resté debout devant le banc toute la rencontre, parfois je suis sorti de ma zone, mais quand on est pris dans le jeu, on ne voit pas forcément où l'on met les pieds. La seule inquiétude que j'avais c'était que mon équipe ne soit pas récompensée de ses efforts. Dans la situation qui est la nôtre, ramener quelque chose d'un déplacement aussi difficile, cela ne peut être que positif.

Qu'aviez-vous demandé à vos joueurs pour ce match ?
Je leur avais demandé d'appliquer les choses que nous avions spécifiquement travaillé à l'entraînement durant la semaine, mais mon discours allait au-delà. Le premier message que je tenais à leur faire passer était plus moral que sportif. Je leur ai parlé d'amour propre, de respect du maillot, de la dignité d'un club comme l'AS Monaco FC. Sur ce plan, je suis fier de mon équipe car elle su faire preuve d'un excellent état d'esprit. C'est ce qui lui a permis de tenir le choc quand elle a été dominée et de saisir sa chance peu après l'heure de jeu. On a eu un temps fort d'une vingtaine de minutes, c'est insuffisant, mais c'est un premier pas. Les joueurs sont à l'écoute, peu à peu nous nous rapprochons eux et moi, et s'ils continuent d'être aussi réceptifs nous allons progresser.


En première période, votre équipe a beaucoup souffert...
Comme nous l'attendions, nos adversaires ont mis une grosse pression d'entrée dans ce match. Il y a avait beaucoup de rythme et d'engagement de la part de Bastia et nous n'avons pas su réagir à cette situation. Nous avions du mal dans les duels et nous ne parvenions pas à sortir de notre camp car nos attaquants ne réussissaient pas à garder le ballon pour permettre au bloc de remonter. Mais même dans la difficulté, j'ai vu des choses positives, des consignes que les joueurs ont tenté d'appliquer. Sur le but que nous prenons, Hansson joue très bien le coup en montant sur le porteur, malheureusement les autres défenseurs n'ont pas suivi assez vite et Maoulida a pu faire son appel sans être hors jeu. Ce que je retiens, c'est l'intention. Elle était bonne et désormais il nous faut travailler sur les automatismes et la coordination collective.


Le salut est venu du banc et de la jeunesse de votre équipe...
Effectivement, les jeunes ont fait une belle rentrée. J'avais demandé aux remplaçants de vivre le match comme s'ils étaient sur le terrain, d'analyser chaque action et de s'y projeter. Un match se gagne à quatorze et il est primordial que tout le monde soit concerné car c'est souvent le banc qui fait la différence dans un match. Valère et Terence ont su apporter ce qu'il fallait dans ce match. Ils nous ont permis de mieux garder le ballon, d'apporter un mouvement différent pour mettre Bastia en difficulté. Sur le but, Valentin joue super bien le coup... Nous nous procurons trois grosses occasions, nous en mettons une, c'est bien. Je le répète, on ne peut pas être bien seulement vingt minutes dans un match, mais je vais m'appuyer sur les choses positives pour préparer la suite.


En dehors du point pris, quel est le gros point positif de ce match pour vous ?
J'avais demandé à l'équipe de former un gros bloc et je pense que globalement elle y est parvenue même s'il y a toujours des choses à perfectionner. Nous n'aurons des résultats qu'en respectant les consignes collectives, sur ce match je suis donc très satisfait qu'elles aient été appliquées à la lettre.

Vous avez privilégié un système en 4-4-2, pour quelles raisons ?
C'est une formule qui me convient bien et qui s'est imposée d'elle-même. Je n'ai travaillé que trois jours avec l'équipe avant Bastia et je ne voulais pas compliquer les choses. L'avantage du 4-4-2 est que ce système est facile à appliquer pour les joueurs. Tactiquement, ils ont des repères dans cette organisation, cela nous permet de gagner du temps. Je pense conserver ce shéma à l'avenir, sachant que toute la subtilité réside dans son animation. Après, en cours de match et selon les évènements, cela pourra évoluer, mais c'est une bonne base.


Qu'attendez-vous du prochain match de votre équipe lundi soir face à Arles-Avignon ?
Les consignes seront globalement les mêmes, avec l'expérience du match à Bastia en plus. Nous n'avons pas beaucoup de temps, mais nous allons essayer de corriger certaines choses, notamment dans l'animation du jeu. Bien entendu l'objectif sera de gagner, sur les plans statistique et moral c'est très important, mais je n'en fais pas une obsession. Gagner, cela passe par des principes, ce qui m'intéresse le plus aujourd'hui, c'est qu'ils soient respectés.

Y aura-t-il des mouvements dans le groupe pour cette rencontre ?
Mis à part une petite alerte sans gravité pour Valentin Eysseric, nous n'avons pas ramené de bobos de ce match à Bastia. Le groupe ne devrait donc pas trop évoluer même si nous savons déjà qu'il faudra se passer d'Adriano puisqu'il s'est fait expulser. J'avais demandé Nimani, Yatabaré et Afolabi d'évoluer avec la réserve ce dimanche, j'ai rappelé Rabiu car j'aurai éventuellement besoin de lui lundi. Il nous reste une journée de travail pour trouver la bonne formule.



Eric Marester : "Le coach avait mis l'accent sur le bloc équipe et je pense que nous avons été dans le vrai même si nous avons souffert. Il fallait être costaud pour ramener un point de Furiani et c'est une bonne chose d'y être parvenu. Maintenant, nous devons confirmer lundi soir contre Arles-Avignon car nous avons vraiment besoin d'une victoire. Avec des nuls, on ne va nulle part et on ne peut pas se contenter de cela à Monaco. Nous sommes attendus partout dans ce championnat, à nous d'assumer ce statut sachant que nous devons faire des progrès dans le jeu pour mieux aborder nos rencontres à domicile. Car au Louis II c'est à nous de prendre des initiatives."

Blessure - 17/09/2011
Giuly au milieu du tunnel
Trois semaines après avoir contracté une déchirure à un mollet, Ludovic Giuly poursuit sa convalescence. Après avoir délaissé les béquilles, il recommence à travailler physiquement et devrait être prêt à retrouver la compétition d'ici trois semaines, soit après la trève international de début octobre.

Blessure - 17/09/2011
Arthroscopie pour Kurzawa
Layvin Kurzawa a subi une arthroscopie du genou gauche ce vendredi, une "opération de nettoyage" qui nécessitera environ trois semaines d'arrêt pour le jeune défenseur de l'ASM FC.

Entraînement - 17/09/2011
Retour à La Turbie ce samedi matin
A peine le temps de savourer ce point arraché à une vaillante formation bastiaise, la délégation monégasque s'est envolée pour un retour express en Principauté. Ce samedi matin à 10h00, les joueurs retrouveront le staff pour le décrassage. Au terme de la séance, Marco Simone effectuera un point presse.

AS Monaco: Kurzawa "out" 5 semaines.Publié le dimanche 18 septembre 2011 à 07H03 . Blessé au genou, Layvin Kurzawa a subi une arthroscopie jeudi. Il sera "out" 5 semaines. Sébastien Chabbert est à l'arrêt pour 2 à 3 semaines (genou). Malonga (contusion cuisse) est forfait pour la réception d'Arles (lundi, 20h30, en direct sur Eurosport) et incertain pour le déplacement à Laval.

Enfin, Ludovic Giuly soigne toujours sa déchirure musculaire. Il ne devrait faire son retour sur les terrains avant mi-octobre. Adriano, expulsé à Bastia, sera automatiquement suspendu demain.

Eric Marester : "Le coach avait mis l'accent sur le bloc équipe et je pense que nous avons été dans le vrai même si nous avons souffert. Il fallait être costaud pour ramener un point de Furiani et c'est une bonne chose d'y être parvenu. Maintenant, nous devons confirmer lundi soir contre Arles-Avignon car nous avons vraiment besoin d'une victoire. Avec des nuls, on ne va nulle part et on ne peut pas se contenter de cela à Monaco. Nous sommes attendus partout dans ce championnat, à nous d'assumer ce statut sachant que nous devons faire des progrès dans le jeu pour mieux aborder nos rencontres à domicile. Car au Louis II c'est à nous de prendre des initiatives."

Voila le genre de truc qui me mets hors de moi Le gus relate un match qui n'a jamais exister et raconte que son équipe a bien jouer et n'a bien sur pas gagner avec le gros apport arbitral de l'autre merde de Piccirello
Si hier au soir l'arbitrage avait été correct ,Monaco prenait une valisette double poignée d'au moins 4-0 tellement ils ont les plus meilleurs et l'autre tapette de Simone un gode de 70 cm clouté dans son cul avec graver un grand Forza Bastia en souvenir de cette rencontre

apparemment ca lui rapele des souvenirs de jeunesse

Barilaro : "Nous attendons une réaction"



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Lundi 19 Septembre 2011


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L’ASM reçoit ce soir Arles-Avignon pour la 8ème journée du championnat. « C’est important de gagner ce soir. Nous restons sur un bon résultat face à Bastia (1-1). Ça n’avait pas été un match facile. Les joueurs ont su réagir à la mi-temps. Ce soir nous attendons une réaction dans le jeu et dans l’état d’esprit », explique Frédéric Barilaro, entraîneur adjoint de l’ASM. Coup d’envoi du match à 20h30.

MT Monaco0-0Arles-AvignonC

bienvenou a écrit:MT Monaco0-0Arles-AvignonC

Normal !!! Piccirello n'est pas aux commandes

il a du telephoner à la mitemps
asm 1acaa0

Simone, c'est déjà gagné
19/09/2011 à 22:44
Pour la première de Marco Simone à Louis II, Monaco a enfin gagné, cette saison, face à Arles-Avignon (1-0). Mais que ce fût dur !
Marco Simone a le sourire : Monaco a enregistré sa première victoire de la saison. Mais dans la douleur
Seule la victoire comptait, et seule la victoire on retiendra. Cinq mois que les Monégasques n'avaient plus gagné à Louis II, et cette longue soirée face à Arles-Avignon, lundi, leur a au moins offert une satisfaction à défaut de spectacle (1-0). Le premier succès de la saison - pour la première de Marco Simone sur le banc à domicile - a en effet été long à se dessiner, et il ne s'est pas dessiné de la plus jolie des manières, dans un stade vide où les 22 acteurs n'ont guère brillé. Mais il fait déjà un grand bien aux hommes du Rocher, qui migrent de la zone rouge pour une plus rassurante 14e place, en attendant la suite de la 8e journée mardi. Deux points devant au classement (12es), les Provençaux pourront regretter leur manque d'audace offensive alors qu'ils eurent, le plus longtemps, la maîtrise des débats, et signèrent les rares tentatives de jeu de la soirée. Ils regretteront aussi leur passivité totale sur le coup-franc d'Eysseric - seule bonne surprise de la soirée avec le jeune Terence Makengo en pointe - qui amena le but monégasque (53e), une tête esseulée de Rabiu Afolabi, décisif pour sa première sous la tunique rouge et blanche. Dernier motif de satisfaction : sous pression jusqu'en fin de rencontre, l'ASM a réussi à garder sa cage inviolée, comme le coach l'avait demandé. « Je suis satisfait, car on a cherché à trouver le plus vite possible un bloc. Mais s'il est mal interprété, parfois il devient un bloc bas et peu offensif. En deuxième mi-temps, il y a eu une interprétation différente. Il faut développer la phase offensive, on ne l'a pas encore fait », a expliqué Marco Simone, au coup de sifflet final, au micro d'Eurosport , « On sait qu'on est encore dans la difficulté. Je répète, rien n'est terminé, c'est bien de prendre un bon départ mais la situation n'est pas encore réglée ».