SECURITE OLYMPIENNE

Un supporter de l'OM en prison après l'agression d'une fan de Montpellier Publié le vendredi 29 avril 2011 à 11H23


Un membre du club des Yankee, âgé de 18 ans est détenu à la prison de Fleury Mérogis, depuis le 25 avril dernier, après avoir gravement blessé une supportrice de Montpellier, quelques heures avant la finale de la coupe de la Ligue au Stade de France, la veille. Le garçon est soupçonné d'avoir fait chuter la jeune femme sur les rails du RER, à la station Châtelet, à Paris, en tentant d'arracher son sac.

Le suspect se trouvait dans une rame qui traversait la station au ralenti, lorsqu'il a tendu le bras à travers la baie vitrée du train pour tirer sur le sac de la victime, qui patientait sur le quai. En s'agrippant à son bien, elle a été déséquilibrée et s'est retrouvée coincée entre le quai et le RER. Souffrant de multiples fractures au bassin et de graves lésions au bas ventre, elle se trouvait d'abord dans un état critique, mais serait aujourd'hui hors de danger. Le jeune homme, reconnu par des caméra de vidéosurveillance a été interpellé le soir de l'agression, à la gare de Lyon, alors qu'il s'apprêtait à repartir vers Marseille. Il a été mis en examen pour violences volontaires aggravées.

Supporters : l'appel au calme de l'OM Publié le vendredi 20 mai 2011 à 20H13


A la veille de la réception de Valenciennes, pour l'avant-dernière journée de championnat, l'OM a publié sur son site internet un message à l'endroit de ses supporters. Guy Cazadamont, le directeur de la sécurité du club olympien, lance ainsi un appel aux associations marseillaises en ce qui concerne l'usage d'engins pyrotechniques.

"Sur ces deux rencontres, ne tombons pas dans l’excès du match contre Grenoble l’an passé (dernier match de la saison) qui nous avait valu deux matches à huis clos avec sursis, prévient-il. Restons dans la continuité de cette saison et surtout faisons la fête avec de beaux tifos. Il y aura un feu d’artifice et des animations, mais sans usage d’engins pyrotechniques dans le public. Perdre le bénéfice du travail de toute une saison serait un immense gâchis

L’appel au calme et à la raison de
Guy Cazadamont, le directeur de
la sécurité du club, n’y aura rien
fait. Hier soir, au début de la seconde
période, une poignée d’engins
pyrotechniques ont été allumés
tout en bas du virage Sud.
Cette dernière au Vélodrome
n’avait vraiment pas besoin de cela,
l’enceinte du boulevard Michelet
étant sous le coup de deux
matches à huis clos avec sursis Ces fumigènes
inutiles

Malgré l'appel au calme de l'OM, les supporters olympiens ont allumé des fumigènes.

Vélodrome : des supporters de l'OM blessés par le feu d'artifice45 contributions Publié le lundi 23 mai 2011 à 12H44

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=ZHD1dp0JEnM#at=45

Voici un document vidéo enregistré par un supporter en tribune Ganay (à voir à 3'25 et à 5'25) :


Si certains supporters de l'OM ont gâché la fête en allumant des fumigènes, samedi lors du match OM-VA, le feu d'artifice programmé à l'issue de la rencontre a lui aussi fait des dégâts. Quatre personnes ont été touchées par des fusées -trois en virage Sud, une en tribune Ganay- et souffrent de brûlures légères. Elles ont été évacuées par les marins pompiers.

Par ailleurs, six autres supporters ont été blessés dans la bousculade qui a suivi. D'après les premiers éléments de l'enquête, il semblerait que le générateur utilisé par l'artificier ait propulsé les fusées à l'horizontale et non à la verticale.

Supporters : la Cosa réagit aux propos de Dassier Publié le mardi 24 mai 2011 à 16H24


A la suite des propos tenus par Jean-Claude Dassier, après la polémique des fumigènes, les membres de la Cosa ont souhaité réagir. Ils nient en effet "avoir introduit et utilisé des engins pyrotechniques lors du dernier match OM-VA".

Le communiqué de la Cosa :
"L’association Cosa nie formellement toute implication dans ces faits et s’étonne de ne pas avoir été contactée à ce sujet par l’Olympique de Marseille.

Nous rappelons à M. Dassier qu’aucun membre de la Cosa n’a été interpellé ce soir-là pour les faits dont nous sommes accusés, et ce malgré la
présence en grand nombre de stadiers dans la zone Ultra (virage sud).

L’association Cosa n’a pas pour vocation à faire figure de bouc émissaire, sur la base de simples dénonciations et de conversations entre le président du club et d’autres associations, ni à endosser à la place d’autres personnes la responsabilité des faits.

Nous restons à la disposition du président de l’Olympique de Marseille pour lui apporter notre version des événements survenus samedi soir au Stade Vélodrome, afin qu’il en ait une vision plus équilibrée, voire plus proche de la réalité, comme le bon sens aurait dû le lui suggérer depuis le début de cette affaire."

Ils ont crié, éructé, insulté aussi
fort qu’ils le pouvaient.
Avec un indéniable réalisme,
ces futurs gardiens de la paix se
sont transformés en supporters
acharnés et violents, prêts à endécoudre
avec les forces de police
dédiées à la sécurité à l’intérieur
des stades de foot, les Sections
d’intervention rapide (SIR). Le stade
Vélodrome a accueilli, hier
après-midi, cet exercice grandeur
nature dans les travées de la tribune
Jean-Bouin, avec la participation
des SIRdes Bouches-du-Rhône,
des Alpes-Maritimes et de
l’Hérault. Ces nouvelles brigades
sont nées en février 2010, après la
création de la Division nationale
de lutte contre le hooliganisme,
dont le commissaire Antoine Boutonnet
est le directeur : "Lors de la
saison 2009-2010, il y a eu une radicalisation
de certains supporters,
avec beaucoup d’agressions.
En février 2010, un fan du PSG est
même décédé. On commençait
vraiment à être dans la zone rouge.
Cette saison, on a réussi à freiner
ce mouvement. L’idée, c’est
d’identifier les fauteurs de troubles
et de sanctionner immédiatement."
Voilà la grande nouveauté arrivée
l’année dernière. Jusqu’à présent,
les services spécialisés dans
les violences sportives fondaient
leur action sur le renseignement,
à l’intérieur de groupes de supporters,
puis interpellaient les suspects
après des jours d’investigations.
Désormais, les SIR sont en
mesure de passer à l’action quelques
minutes seulement après
l’infraction, à l’intérieurmême de
l’enceinte sportive. Tel était l’objet
de l’exercice qui s’est tenu
hier. Les membres de la Sir ont
ainsi travaillé sur "l’exfiltration"
de supporters qui tenaient une
banderole à caractère raciste, ou
d’autres, qui venaient de lancer
des projectiles contre des arbitres.
"La création des SIR a permis
de travailler plus finement
dans le stade, confirmait Pascal
Lalle, le directeur départemental
de la sécurité publique. Notamment
en ce qui concerne l’introduction
de fumigènes, d’armes
blanches ou d’objets contondants.
Cela a en tout cas permis
de calmer les ardeurs de ceux qui
viennent au stade non pas pour
supporter leur équipe, mais pour
se montrer violents."
L’année dernière, la SIR des
Bouches-du-Rhône a réussi à élucider
55%des infractions commises
dans les stades du département,
pour l’essentiel au Vélodrome.
"Notre problème, ce ne sont
pas les supporters de l’OM,
confiait un membre de la SIR. On
en a interpellé qu’un seul. Ce sont
plutôt les visiteurs que nous
avons à l’oeil."


Ceux qui composent les rangs des Sections d’intervention rapide ont
pour la plupart fait leurs armes dans des services de maintien de l’ordre
ou intervenant pour des missions de sécurisation des quartiers
sensibles. Les techniques utilisées dans les stades se sont d’ailleurs
inspirées de celles mises en oeuvre lors d’opérations dans les cités
difficiles. Afin de renforcer leur action, les SIR utilisent aussi des
moyens vidéo. "L’image nous permet d’avoir des procédures qui tiennent
la route, confiait hier un officier de la SIR. On peut utiliser des
caméras, ou bien des objectifs fixés sur les gilets. C’est plus discret et
plus efficace."
Lors de la saison écoulée, la SIR des Bouches-du-Rhône, composée
d’environ 25 fonctionnaires, a ainsi participé à 18 rencontres de football
professionnel. 19 personnes ont été interpellées, dont plus de la
moitié pour utilisation d’engins pyrotechniques, le délit le plus fréquemment
rencontré, notamment au Vélodrome

Vidéo : de faux hooligans envahissent le stade Vélodrome4 contributions Publié le dimanche 19 juin 2011 à 14H26

http://www.laprovence.com/video/De%2Bfaux%2Bhooligans%2Benvahissent%2B%2Ble%2Bstade%2BV%25C3%25A9lodrome/iLyROoafztLz

La police a effectué jeudi dernier un exercice au stade Vélodrome. L'objectif : être prêt en cas d'affrontements avec des hooligans

AUJOURD’HUI
Risque
de huis clos
L’OM est convoqué cet
après-midi (18h) devant la commission
de discipline de la LFP,
conséquence de l’utilisation
d’engins pyrotechniques dans
les tribunes lors du match
contre Valenciennes, lors de la
37e journée.
Le club, sous le coup d’un sursis
de deux matches à huis clos,
sera représenté par Cédric Dufoix
(secrétaire général),
Alexandre Mialhe (responsable
juridique) et Guy Cazadamont
(directeur de l'organisation et
de la sécurité). Ces derniers
plaideront la clémence. En cas
de révocation du sursis, l’OM a
la possibilité d’interjeter appel
auprès de la Fédération.

L’OM se rendra aujourd’hui à Tanger, où la LFP et la Fédération
marocaine attendent Louis Vassallucci, le coordinateur sportif, et
Guy Cazadamont, le directeur de la sécurité. Les deux dirigeants olympiens
prépareront l’arrivée de l’équipe pour le Trophée des champions
(27 juillet). On sait déjà que le programme sera allégé comparativement
à la saison dernière. La délégation aura un protocole moins
lourd à respecter. Cela conduira, ainsi, l’équipe à arriver seulement
la veille de la rencontre.

L'OM à Tanger Publié le samedi 02 juillet 2011 à 11H39


Alors que le staff et les joueurs de l'OM prennent part au premier stage de préparation, deux représentants du club olympien sont actuellement à Tanger, au Maroc, avec des représentants de la LFP et de la fédération marocaine . Guy Cazadamont, le directeur de la sécurité, et Louis Vassallucci, le coordinateur sportif, règlent les modalités de transport et d'hébergement de l'OM pour le Trophée des champions, prévu le 27 juillet prochain contre Lille.

"Nos supporters, on ne doit
pas les conduire comme
des vaches dans un pré."
GUY CAZADAMONT

L'OM renforce la sécurité de ses joueurs
Après l'agression de Vitorino Hilton à son domicile, la dixième d'un joueur de l'OM en deux ans, le comité exécutif du club phocéen réuni mercredi matin a décidé de s'attaquer sérieusement au problème.

«Dès ce soir, l'Olympique de Marseille mettra en place des patrouilles effectuées par des agents de sécurité mobiles autour du domicile des joueurs, indique le communiqué publié mercredi après-midi sur le site du club. Les services compétents du Club vont prendre contact avec le Préfet délégué à la sécurité très rapidement afin d'établir un état des lieux sur les mesures appliquées aujourd'hui et l'évolution des enquêtes déjà en cours. L'OM se donne deux mois pour réaliser un audit de la situation auprès d'experts et mettre en place les mesures qui s'imposent.» (

Affaire Hilton : le home jacking de trop pour Anigo

http://www.laprovence.com/video/Affaire%2BHilton%2B%253A%2Ble%2Bhome%2Bjacking%2Bde%2Btrop%2Bpour%2BAnigo/iLyROoaf2w5I/laprovence/

le 13/07/2011 à 20:18:20


Après que l'Olympien Vitorino Hilton et sa famille ont été victimes d'un violent home-jacking dans leur maison marseillaise la nuit dernière, la direction de l'OM a annoncé la mise en place de patrouilles de protéger les joueurs. Pour le directeur sportif José Anigo "c'est la goutte d'eau d'eau qui fait déborder le vase". Il comprend que les joueurs hésitent à venir à Marseille et en appelle aux pouvoirs publics.

L’OM en appelle aux pouvoirs publics




"La goutte d’eau qui fait déborder le vase"
L’agression à domicile subie par Vitorino
Hilton n’étant que la plus récente d’une
longue série, elle a provoqué une réaction
énergique de l’OM, qui a décidé de prendre
des mesures d’urgence pour la protection
de ses joueurs, au terme d’une réunion de
direction, qui s’est tenue hier en début
d’après-midi à La Commanderie, en présence
du président Labrune. Mais il apparaît
surtout, à entendre José Anigo, le directeur
sportif et Guy Cazadamont, le directeur
de la sécurité de l’OM, que le club attend
beaucoup plus des pouvoirs publics.
C’est un peu un appel au secours qu’ont
lancé hier les dirigeants marseillais.
"On ne peut pas se contenter de dire aux
joueurs de ne pas porter une belle montre et
de ne pas conduire une belle voiture, explique
José Anigo. Il y a d’autres gens aisés à
Marseille, des médecins, des dirigeants de société,
qui ont le droit de vivre normalement.
Nous ne sommes pas dans un pays de
non-droit et il n’est pas interdit de profiter
de ce qu’on gagne. Marseille n’est pas non
plus une ville de non-droit. Sinon, on va finir
par ne plus pouvoir faire venir des
joueurs à Marseille. Chez tous ceux que j’ai
fait signer cette année, les premières questions
ont concerné leur sécurité et celle de
leurs familles. Un mois après l’arrivée de
cinq recrues, voilà ce qui s’est produit: je ne
suis pas très à l’aise vis à vis d’eux, et le club
non plus."
"Nous n’en sommes malheureusement
pas au premier cas depuis dix ans", ajoute
Guy Cazadamont. "Et pas d’interpellation..."
En urgence, l’OM a donc décidé de rassurer
ses joueurs, en faisant appel à une société
de sécurité, différente d’ailleurs de celles
qui travaillent déjà avec le club, pour couper
court à tout amalgame fâcheux.
Des mesures d’urgence
"Pour tranquilliser nos joueurs et leurs familles,
nous prenons le taureau par les cornes,
a poursuivi José Anigo. Des agents de
sécurité seront à leurs côtés, des véhicules
vont patrouiller dans leur voisinage. Ça va
coûter très cher, mais si c’est le prix à payer
pour que des joueurs puissent continuer de
venir à Marseille, il faudra l’intégrer dans
notre budget.
"Néanmoins, si nous assurons la sécurité
sur notre site, nous n’avons pas vocation à le
faire en dehors, ce n’est plus de notre ressort.
Nous ne sommes pas là pour bâtir des milices.
Notre seul recours est de nous retourner
vers les pouvoirs publics ; nous avons besoin
d’une enquête poussée pour retrouver les délinquants
et besoin d’eux pour vivre normalement."
"L’action d’un agent de sécurité est tout de
même limitée", soupire d’ailleurs Guy Cazadamont.
À terme, les dirigeants marseillais ont déjà
réfléchi à d’autres mesures, préventives.
"Faudra-t-il regrouper nos joueurs dans
certaines résidences sécurisées ? Nous leur
avons demandé d’arrêter de prendre des
maisons individuelles, de préférer des appartements,
mais quand on vit dans notre
région, on peut tout de même avoir envie
d’un jardin, d’une piscine, il n’y a rien de criminel
à aspirer à cela

Guy Cazadamont et José Anigo ont expliqué les mesures prises par le club, qui se
retourne toutefois vers la préfecture de police


29 mai 2011. Les frères Ayew
sont à Caen pour le dernier
match de championnat. Leur
villa de Roquevaire est prise
pour cible par trois malfaiteurs
armés. À l’intérieur, la femme
d’André, la copine de Jordan,
un cousin et le demi-frère des
fils d’Abedi Pelé. Les voyous repartent
avec argent liquide,
sacs de luxe, vêtements, montres
de valeur et une voiture.
Mars 2011 Jean-Claude Dassier,
le président de l’OM, est
victime d’un vol avec effraction
dans sa villa marseillaise.
Mars 2011 Lucho est braqué
dans sa villa aixoise par quatre
individus encagoulés et armés.
Août 2010 André-Pierre Gignac
est cambriolé dans sa maison
située dans la banlieue toulousaine,
cinq jours avant son
départ pour l’OM.
Mars 2010 Fabrice Abriel reçoit
à son tour la visite de cambrioleurs
à son domicile d’Aubagne.
Plusieurs maillots de foot,
des montres et des sacs de luxe
lui sont volés.
Janvier 2010 Mbia est cambriolé.
Des malfaiteurs lui dérobent
bijoux, montres, écrans
plasma et matériel hi-fi.
Les autres victimes
D’autres joueurs ont essuyé pareilles
mésaventures. En 2003,
Vedran Runje était rentré précipitamment
d’un stage à Capbreton,
car sa maison avait été visitée. La
même année, Habib Beye s’était
fait piéger et avait dû abandonner
sa voiture à Fuveau. En avril
2006, Niang dormait, quand plusieurs
individus étaient entrés
chez lui à Saint-Julien pour lui
voler les clés de son 4x4 BMW et
celles de son Audi A4. En décembre
2006, c’est la villa de Djibril
Cissé, à Cassis, qui avait été visitée
pendant OM-Monaco. En septembre
dernier, Laure Manaudou
et Frédérick Bousquet ont connu
la même mésaventure.
(Avec la documentation)

Mais que font les pouvoirs publics ? Bon je ne veux pas faire de politique car je n'y connais rien mais au lieu d'aller dépenser de l'argent dans la guerre en Libye, ou les missions en Afghanistan, ça serait pas deja mieux de les utiliser pour la sécurité du contribuable ? Peut-etre que je suis trop naif voire utopique mais bon voila quoi...
Je connais plein de gens qui se sont fait agressés dont des personnes agees tout ça pour quelques centaines d'euros ça me dégoute.

olympien13 a écrit:Mais que font les pouvoirs publics ? Bon je ne veux pas faire de politique car je n'y connais rien mais au lieu d'aller dépenser de l'argent dans la guerre en Libye, ou les missions en Afghanistan, ça serait pas deja mieux de les utiliser pour la sécurité du contribuable ? Peut-etre que je suis trop naif voire utopique mais bon voila quoi...
Je connais plein de gens qui se sont fait agressés dont des personnes agees tout ça pour quelques centaines d'euros ça me dégoute.

et pourtant ton maire de marseille et le senat viennent de voter une prolongation de l'action de la france en llibye

ca nous a deja couté vers le 1 ER JUILLET deja 160 MILLLIONS D EUROS
on va bientot atteindreles 300 en septembre alors que les agressions se multiplient à marseille
merci gaudin

et oui on ne fait pas de politique
mais on constate les delit et notre argent qui fout lr camp dans les bombes versses en lybie
tout ca pour proteger le route americano_europeenne du petrole d'asie vers l'occident

bienvenou a écrit:

olympien13 a écrit:Mais que font les pouvoirs publics ? Bon je ne veux pas faire de politique car je n'y connais rien mais au lieu d'aller dépenser de l'argent dans la guerre en Libye, ou les missions en Afghanistan, ça serait pas deja mieux de les utiliser pour la sécurité du contribuable ? Peut-etre que je suis trop naif voire utopique mais bon voila quoi...
Je connais plein de gens qui se sont fait agressés dont des personnes agees tout ça pour quelques centaines d'euros ça me dégoute.

et pourtant ton maire de marseille et le senat viennent de voter une prolongation de l'action de la france en llibye

ca nous a deja couté vers le 1 ER JUILLET deja 160 MILLLIONS D EUROS
on va bientot atteindreles 300 en septembre alors que les agressions se multiplient à marseille
merci gaudin