PRESIDENTIELLES 2012
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bienvenou- Admin
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bienvenou- Admin
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
A FORCE D ETRE CORROMPUS NOS ELUS SERONT SANCTIONNES .....................
POLITIQUE● Sondage/présidentielle:
Marine Le Pen proche d'Aubry
et Sarkozy au 1er tour. Marine Le Pen enregistre une forte progression
dans les intentions de vote pour l'élection présidentielle et talonne
Martine Aubry et Nicolas Sarkozy, selon un sondage Ifop pour France
Soir. Dans une configuration oùMartine Aubry serait la candidate
du PS, la présidente du Front national recueillerait 20%des intentions
de vote contre 22%pour la première secrétaire du PS et 23%
pour Nicolas Sarkozy. Lors des deux derniers sondages Ifop, Marine
Le Pen obtenaient 12%(novembre) et 16,5%(janvier).
POLITIQUE● Sondage/présidentielle:
Marine Le Pen proche d'Aubry
et Sarkozy au 1er tour. Marine Le Pen enregistre une forte progression
dans les intentions de vote pour l'élection présidentielle et talonne
Martine Aubry et Nicolas Sarkozy, selon un sondage Ifop pour France
Soir. Dans une configuration oùMartine Aubry serait la candidate
du PS, la présidente du Front national recueillerait 20%des intentions
de vote contre 22%pour la première secrétaire du PS et 23%
pour Nicolas Sarkozy. Lors des deux derniers sondages Ifop, Marine
Le Pen obtenaient 12%(novembre) et 16,5%(janvier).
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Selon vous, Dominique Strauss-Kahn sera-t-il candidat à la Présidentielle de 2012 ?
65%Oui
28%Non
8%Ne se prononce pas
son meilleur ami semble content de cette nouvelle
65%Oui
28%Non
8%Ne se prononce pas
son meilleur ami semble content de cette nouvelle
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
A FORCE DE VOULOIR RESSEMBLER AU DIABLE...
ON PEUT SE BRULER (AU MOINS) LA MAIN
ON PEUT SE BRULER (AU MOINS) LA MAIN
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
DSK candidat
sans le dire
S’il a éludé les questions sur la
présidentielle, il a insisté sur le
volet social de la crise
Dominique Strauss-Kahn
l’homme qui n’en dit pas trop
Sans l’avouer, DSK n’a jamais semblé plus candidat qu’hier soir, sur France 2
Laissant planer le doute, DSK a déclaré que la question d'un
deuxième mandat au FMI "ne se pose pas
Dominique Strauss-Kahn
n’a rien lâché. En tout
cas, rien qui puisse le fragiliser
vis-à-vis du FMI et du devoir
de réserve que lui impose sa
charge. Rien, non plus, qui suggérerait
quelque envie que ce
soit de poursuivre sa mission à
la tête de cette institution au-delà
de son mandat, qui prend
théoriquement fin en novembre
2012. Pour autant, DSK n’a envoyé
aucun message négatif à
ceux qui espèrent le voir représenter
la gauche socialiste à la
prochaine présidentielle.
À l’image des déclarations savamment
dosées que lui et son
proche entourage ont pu distiller
ces derniers jours, qu’il
s’agisse de son épouse, Anne Sinclair,
évoquant son désir de ne
pas voir son mari briguer un second
mandat à la tête du Fonds
monétaire international, ou de
lui-même, admettant que la
France lui manquait, comme elle
manque "à tout expatrié".
DSK silencieux sur ses véritables
intentions, mais DSK déjà
dans la peau d’un présidentiable:
c’est le sentiment de Patrick
Mennucci, chef de file du PS
marseillais, qui avoue avoir "ressenti
profondément qu’il serait
candidat", hier soir. Strauss-Kahnien
convaincu, Mennucci a
trouvé que son champion donnait
"une très belle image de la
politique" et "rehaussait le niveau,
face à ceux qui ont mis la
France dans la panade".
De son côté, l’Aixoise Gaëlle
Lenfant, membre du bureau national
du PS et supportrice fervente
de Martine Aubry, a trouvé
Dominique Strauss-Kahn "excellent
dans son rôle de directeur
général du FMI", soulignant sa
grande satisfaction "que ce soit
un socialiste français qui occupe
ce poste, ce qui a permis, comme
il l’a évoqué, de gérer la crise financière
et la crise économique,
sans occulter la crise sociale à laquelle
beaucoup de Français
sont confrontés." Quant à son
éventuelle candidature à la présidence
de la République, Gaëlle
Lenfant admet qu’on lui "pose
très souvent la question", mais
qu’elle n’est "pas Mme Irma" et
qu’elle "n’en sait rien", pas plus
aujourd’hui qu’hier.
Reste l’impression générale :
celle d’un homme qui ne peut
guère aller au-delà du subliminal
dans les messages qu’il délivre
sur la scène nationale, mais
qui, dans ce registre, sait parfaitement
venir tutoyer les limites.
"Je m’astreins à ne pas parler de
politique française", a-t-il ainsi
rappelé, ajoutant que c’était "la
tradition" au FMI et qu’il fallait
"la respecter".
Observant seulement qu’en
France "une autre politique économique
devrait être engagée,
plus active". Sous entendu, que
celle conduite par le gouvernement
actuel. C’est toutefois sur
l’ultime question, ce que le socialisme
signifiait encore pour lui,
que DSK a achevé de convaincre
Patrick Mennucci qu’il irait bel
et bien au combat. Le socialisme,
"c’est l’espoir, l’avenir, l’innovation",
a-t-il répondu.
"C’est lui", ont compris ses partisans.
sans le dire
S’il a éludé les questions sur la
présidentielle, il a insisté sur le
volet social de la crise
Dominique Strauss-Kahn
l’homme qui n’en dit pas trop
Sans l’avouer, DSK n’a jamais semblé plus candidat qu’hier soir, sur France 2
Laissant planer le doute, DSK a déclaré que la question d'un
deuxième mandat au FMI "ne se pose pas
Dominique Strauss-Kahn
n’a rien lâché. En tout
cas, rien qui puisse le fragiliser
vis-à-vis du FMI et du devoir
de réserve que lui impose sa
charge. Rien, non plus, qui suggérerait
quelque envie que ce
soit de poursuivre sa mission à
la tête de cette institution au-delà
de son mandat, qui prend
théoriquement fin en novembre
2012. Pour autant, DSK n’a envoyé
aucun message négatif à
ceux qui espèrent le voir représenter
la gauche socialiste à la
prochaine présidentielle.
À l’image des déclarations savamment
dosées que lui et son
proche entourage ont pu distiller
ces derniers jours, qu’il
s’agisse de son épouse, Anne Sinclair,
évoquant son désir de ne
pas voir son mari briguer un second
mandat à la tête du Fonds
monétaire international, ou de
lui-même, admettant que la
France lui manquait, comme elle
manque "à tout expatrié".
DSK silencieux sur ses véritables
intentions, mais DSK déjà
dans la peau d’un présidentiable:
c’est le sentiment de Patrick
Mennucci, chef de file du PS
marseillais, qui avoue avoir "ressenti
profondément qu’il serait
candidat", hier soir. Strauss-Kahnien
convaincu, Mennucci a
trouvé que son champion donnait
"une très belle image de la
politique" et "rehaussait le niveau,
face à ceux qui ont mis la
France dans la panade".
De son côté, l’Aixoise Gaëlle
Lenfant, membre du bureau national
du PS et supportrice fervente
de Martine Aubry, a trouvé
Dominique Strauss-Kahn "excellent
dans son rôle de directeur
général du FMI", soulignant sa
grande satisfaction "que ce soit
un socialiste français qui occupe
ce poste, ce qui a permis, comme
il l’a évoqué, de gérer la crise financière
et la crise économique,
sans occulter la crise sociale à laquelle
beaucoup de Français
sont confrontés." Quant à son
éventuelle candidature à la présidence
de la République, Gaëlle
Lenfant admet qu’on lui "pose
très souvent la question", mais
qu’elle n’est "pas Mme Irma" et
qu’elle "n’en sait rien", pas plus
aujourd’hui qu’hier.
Reste l’impression générale :
celle d’un homme qui ne peut
guère aller au-delà du subliminal
dans les messages qu’il délivre
sur la scène nationale, mais
qui, dans ce registre, sait parfaitement
venir tutoyer les limites.
"Je m’astreins à ne pas parler de
politique française", a-t-il ainsi
rappelé, ajoutant que c’était "la
tradition" au FMI et qu’il fallait
"la respecter".
Observant seulement qu’en
France "une autre politique économique
devrait être engagée,
plus active". Sous entendu, que
celle conduite par le gouvernement
actuel. C’est toutefois sur
l’ultime question, ce que le socialisme
signifiait encore pour lui,
que DSK a achevé de convaincre
Patrick Mennucci qu’il irait bel
et bien au combat. Le socialisme,
"c’est l’espoir, l’avenir, l’innovation",
a-t-il répondu.
"C’est lui", ont compris ses partisans.
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
A MA GAUCHE POIDS LOURD CHALLENGER DSK ASSISTANTE LA SOMPTUEUSE JOURNALISTE ANNE SINCLAIR
A MA DROITE POIDS PLUME NICO LEBLANC ASSISTE DE LA CHANTEUSE CARLITA
FAITES VOS JEUX .................
A MA DROITE POIDS PLUME NICO LEBLANC ASSISTE DE LA CHANTEUSE CARLITA
FAITES VOS JEUX .................
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Intentions de vote à l'élection présidentielle de 2012 - vague 3
23.02.2011 Étude publiée
Étude réalisée pour le Nouvel Observateur et i>Télé
Marine Le Pen progresse et parvient au seuil du second tour
Parmi les principaux enseignements de la 3e vague de notre étude pour le Nouvel Observateur et i>Télé sur les intentions de vote pour l’élection présidentielle, on enregistre une légère progression des candidats socialistes, un tassement de Nicolas Sarkozy et surtout une nette hausse des intentions de vote en faveur de Marine Le Pen.
La nouvelle Présidente du Front National semble bénéficier de sa récente exposition médiatique, récoltant au premier tour entre 17% et 19% des intentions de vote selon la personnalité du candidat socialiste (+3,5 points à +4,5 points par rapport à notre vague précédente).
Le Président sortant pâtit de cette progression de Marine Le Pen, perdant entre 1 et 3 points au premier tour. Il serait nettement distancé par Dominique Strauss-Kahn (21% contre 29%) et se trouverait à égalité avec Martine Aubry (24% chacun) et François Hollande (23% contre 22%), devançant toutefois Ségolène Royal (24% contre 19%) et Arnaud Montebourg (25% contre 15%), testé pour la première fois. Ces chiffres représentent une légère progression pour les candidats socialistes, François Hollande se détachant toutefois nettement en gagnant 5,5 points depuis la précédente enquête.
Les différentes hypothèses de seconds tours ne présentent pas d’évolutions notables par rapport à notre vague de novembre : Dominique Strauss-Kahn battrait désormais le Président sortant avec 63% des voix contre 37%, François Hollande et Martine Aubry feraient de même avec 56% chacun contre 44%, quant à Ségolène Royal, elle devancerait Nicolas Sarkozy avec 52% des voix contre 48%.
Hausse des intentions de vote à l’extrême-gauche, mais baisse au centre et à droite
La gauche de la gauche progresse par rapport à notre précédente vague, réunissant au premier tour entre 14,5% et 16,5% des voix. C’est surtout Olivier Besancenot (LCR) qui en bénéficie (entre 7% et 8% des intentions de vote), soit une progression comprise entre 0,5 et 1,5 points. Jean-Luc Mélenchon (PG) conserve un socle électoral situé aux alentours de 7%, en légère progression, mais Nathalie Arthaud (LO), qui ne bénéficie pas de la même exposition médiatique que ses concurrents, reste comprise entre 0,5% et 1% des voix.
Inversement, on constate une baisse des intentions de vote au centre : la candidate EELV Eva Joly atteint entre 6% et 8% des intentions de vote (en repli de 0,5 à 2 points) même si elle obtient un niveau supérieur à celui jamais obtenu par un écologiste lors d’une élection présidentielle ; quant à François Bayrou (MoDem), il chute plus lourdement, perdant entre 1 et 3 points et réunissant de 5% et 6% des voix.
La situation est semblable à droite, où Jean-Louis Borloo perd entre 1 et 4,5 points de son capital électoral pour s’établir entre 4% et 5% des intentions de vote. Cependant, Dominique de Villepin reste stable avec entre 3,5% et 5,5% des voix.
L’affaiblissement de Nicolas Sarkozy et la progression des candidats socialistes se poursuit donc, mais la dispersion des voix à gauche et au centre-droit rend le premier tour imprévisible : Marine Le Pen se trouve désormais à faible distance d’au moins un des principaux candidats dans chacune des hypothèses envisagées, sauf en cas d’affrontement entre Nicolas Sarkozy et Martine Aubry, auquel cas la Présidente du FN serait rejetée 6,5 points derrière les prétendants de l’UMP et du PS.
Mets d'avis qu'il faudra voter dès le premier tour ...
Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa peut être boutter d'entrée ! ( S'il se présente bien sûr ...), et que la classe ouvrière vote massivement ...
Moi j'en reprends pas pour 5 ans.. J'vais faire une attaque !
23.02.2011 Étude publiée
Étude réalisée pour le Nouvel Observateur et i>Télé
Marine Le Pen progresse et parvient au seuil du second tour
Parmi les principaux enseignements de la 3e vague de notre étude pour le Nouvel Observateur et i>Télé sur les intentions de vote pour l’élection présidentielle, on enregistre une légère progression des candidats socialistes, un tassement de Nicolas Sarkozy et surtout une nette hausse des intentions de vote en faveur de Marine Le Pen.
La nouvelle Présidente du Front National semble bénéficier de sa récente exposition médiatique, récoltant au premier tour entre 17% et 19% des intentions de vote selon la personnalité du candidat socialiste (+3,5 points à +4,5 points par rapport à notre vague précédente).
Le Président sortant pâtit de cette progression de Marine Le Pen, perdant entre 1 et 3 points au premier tour. Il serait nettement distancé par Dominique Strauss-Kahn (21% contre 29%) et se trouverait à égalité avec Martine Aubry (24% chacun) et François Hollande (23% contre 22%), devançant toutefois Ségolène Royal (24% contre 19%) et Arnaud Montebourg (25% contre 15%), testé pour la première fois. Ces chiffres représentent une légère progression pour les candidats socialistes, François Hollande se détachant toutefois nettement en gagnant 5,5 points depuis la précédente enquête.
Les différentes hypothèses de seconds tours ne présentent pas d’évolutions notables par rapport à notre vague de novembre : Dominique Strauss-Kahn battrait désormais le Président sortant avec 63% des voix contre 37%, François Hollande et Martine Aubry feraient de même avec 56% chacun contre 44%, quant à Ségolène Royal, elle devancerait Nicolas Sarkozy avec 52% des voix contre 48%.
Hausse des intentions de vote à l’extrême-gauche, mais baisse au centre et à droite
La gauche de la gauche progresse par rapport à notre précédente vague, réunissant au premier tour entre 14,5% et 16,5% des voix. C’est surtout Olivier Besancenot (LCR) qui en bénéficie (entre 7% et 8% des intentions de vote), soit une progression comprise entre 0,5 et 1,5 points. Jean-Luc Mélenchon (PG) conserve un socle électoral situé aux alentours de 7%, en légère progression, mais Nathalie Arthaud (LO), qui ne bénéficie pas de la même exposition médiatique que ses concurrents, reste comprise entre 0,5% et 1% des voix.
Inversement, on constate une baisse des intentions de vote au centre : la candidate EELV Eva Joly atteint entre 6% et 8% des intentions de vote (en repli de 0,5 à 2 points) même si elle obtient un niveau supérieur à celui jamais obtenu par un écologiste lors d’une élection présidentielle ; quant à François Bayrou (MoDem), il chute plus lourdement, perdant entre 1 et 3 points et réunissant de 5% et 6% des voix.
La situation est semblable à droite, où Jean-Louis Borloo perd entre 1 et 4,5 points de son capital électoral pour s’établir entre 4% et 5% des intentions de vote. Cependant, Dominique de Villepin reste stable avec entre 3,5% et 5,5% des voix.
L’affaiblissement de Nicolas Sarkozy et la progression des candidats socialistes se poursuit donc, mais la dispersion des voix à gauche et au centre-droit rend le premier tour imprévisible : Marine Le Pen se trouve désormais à faible distance d’au moins un des principaux candidats dans chacune des hypothèses envisagées, sauf en cas d’affrontement entre Nicolas Sarkozy et Martine Aubry, auquel cas la Présidente du FN serait rejetée 6,5 points derrière les prétendants de l’UMP et du PS.
Mets d'avis qu'il faudra voter dès le premier tour ...
Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa peut être boutter d'entrée ! ( S'il se présente bien sûr ...), et que la classe ouvrière vote massivement ...
Moi j'en reprends pas pour 5 ans.. J'vais faire une attaque !
domenico belli- Messages : 2494
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
DSK 63 % C'est pas une victoire
c'est une racléée
SARKO dira j'ai pris une sacrée DSKSQUETTE
c'est une racléée
SARKO dira j'ai pris une sacrée DSKSQUETTE
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Villepin rappelle Sarkozy
à ses responsabilités
L'ancien Premier ministre Dominique
de Villepin a invité Nicolas
Sarkozy à ne pas chercher
de "bouc émissaire" au travers
du débat sur l'islam, que l'UMP
veut organiser avec la bénédiction
élyséenne. L'ancien collaborateur
du président Jacques
Chirac a été reçu à l’Élysée, hier,
dans le cadre des consultations
entreprises par le chef de l’État
sur la présidence française du
G20. Mais Villepin n'a pas dit un
mot du G20 dans sa déclaration
à la presse.
Il a dit avoir eu avec Nicolas
Sarkozy un dialogue "direct,
franc, républicain" et avoir "rappelé"
au chef de l'État les "grandes
exigences" du moment. "J'ai
eu le souci d'alerter le président
de la République sur les grands
enjeux et une situation grave sur
le plan intérieur et sur le plan international,
a-t-il déclaré. J'estime
pour ma part que, dans ces
circonstances, il est important de
veiller à ce que tout débat chez
nous, en France, sur la laïcité,
sur l'islam, ne s'accompagne pas
de recherche de bouc émissaire."
L'UMP, que Dominique de Villepin
a pour sa part décidé de
quitter, a pourtant annoncé
dans la foulée - et avec l'accord
de l’Élysée - l'organisation
d'une convention sur la laïcité et
l'islam, le 5 avril
à ses responsabilités
L'ancien Premier ministre Dominique
de Villepin a invité Nicolas
Sarkozy à ne pas chercher
de "bouc émissaire" au travers
du débat sur l'islam, que l'UMP
veut organiser avec la bénédiction
élyséenne. L'ancien collaborateur
du président Jacques
Chirac a été reçu à l’Élysée, hier,
dans le cadre des consultations
entreprises par le chef de l’État
sur la présidence française du
G20. Mais Villepin n'a pas dit un
mot du G20 dans sa déclaration
à la presse.
Il a dit avoir eu avec Nicolas
Sarkozy un dialogue "direct,
franc, républicain" et avoir "rappelé"
au chef de l'État les "grandes
exigences" du moment. "J'ai
eu le souci d'alerter le président
de la République sur les grands
enjeux et une situation grave sur
le plan intérieur et sur le plan international,
a-t-il déclaré. J'estime
pour ma part que, dans ces
circonstances, il est important de
veiller à ce que tout débat chez
nous, en France, sur la laïcité,
sur l'islam, ne s'accompagne pas
de recherche de bouc émissaire."
L'UMP, que Dominique de Villepin
a pour sa part décidé de
quitter, a pourtant annoncé
dans la foulée - et avec l'accord
de l’Élysée - l'organisation
d'une convention sur la laïcité et
l'islam, le 5 avril
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
EN VUE DE MARS 2012
IL DEVIENT URGENT DE COUPER LES BRANCHES MORTES
Remaniement : Michèle Alliot-Marie fixée sur son sort ce week-end
Nathalie Schuck | Publié le 25.02.2011, 17h33
La chef de la diplomatie Michèle Alliot-Marie, empêtrée dans la polémique sur ses vacances tunisiennes controversées, pourrait quitter le gouvernement «dimanche ou lundi».
Comme nous l’annoncions ce vendredi matin dans nos colonnes, Michèle Alliot-Marie va, sauf surprise de dernière minute, être évincée du gouvernement par Nicolas Sarkozy ce week-end, au plus tard lundi. «Ce sera dimanche», confirme un proche conseiller du président. A moins que ce dernier prenne tout le monde par surprise en abattant ses cartes dès samedi, ce qui semble moins probable puisque MAM sera alors au Koweït en voyage officiel (NDLR : elle doit rentrer tard samedi soir).
SUR LE MÊME SUJET
VIDEO. Elle écarte un départ du gouvernement Après Estrosi, Bernard Debré (UMP) demande un remaniement rapide Gouvernement : MAM fixée ce week-end Alliot-Marie écarte un départ ou une démission du gouvernement
Jeudi matin, la ministre des Affaires étrangères a rencontré le président dans son bureau à l’Elysée. Officiellement, c’est elle qui avait sollicité ce rendez-vous pour évoquer son récent déplacement au Brésil. Selon nos informations, Sarkozy lui aurait fait comprendre qu’il allait se séparer d’elle à brève échéance. «Tout ce que j’ai fait est légal», aurait répliqué en substance Michèle Alliot-Marie, en refusant de démissionner.
La ministre est sur la sellette depuis début février pour ses vacances en Tunisie et ses liens avec le régime Ben Ali. MAM aurait aussi, semble-t-il, demandé à Sarkozy un lot de consolation : que son compagnon, Patrick Ollier, reste au gouvernement. Le ministre des Relations avec le Parlement est très menacé en raison de ses liens ambigus avec le régime Kadhafi en Libye.
Juppé favori
D’ores et déjà, Alain Juppé apparaît comme le grand favori pour succéder à MAM au Quai d’Orsay, poste qu’il a occupé de 1993 à 1995. Il serait remplacé au ministère de la Défense, qu’il dirige depuis mi-novembre, par Gérard Longuet, patron des sénateurs UMP. Surprise, Longuet a été invité à la dernière minute ce vendredi matin par l’Elysée à accompagner Sarkozy pour sa visite en Turquie.
La seule question qui demeure est : le président en profitera-t-il pour procéder à un remaniement plus large en faisant par exemple entrer des centristes? «Ce n’est pas calé», temporise un de ses conseillers.
IL DEVIENT URGENT DE COUPER LES BRANCHES MORTES
Remaniement : Michèle Alliot-Marie fixée sur son sort ce week-end
Nathalie Schuck | Publié le 25.02.2011, 17h33
La chef de la diplomatie Michèle Alliot-Marie, empêtrée dans la polémique sur ses vacances tunisiennes controversées, pourrait quitter le gouvernement «dimanche ou lundi».
Comme nous l’annoncions ce vendredi matin dans nos colonnes, Michèle Alliot-Marie va, sauf surprise de dernière minute, être évincée du gouvernement par Nicolas Sarkozy ce week-end, au plus tard lundi. «Ce sera dimanche», confirme un proche conseiller du président. A moins que ce dernier prenne tout le monde par surprise en abattant ses cartes dès samedi, ce qui semble moins probable puisque MAM sera alors au Koweït en voyage officiel (NDLR : elle doit rentrer tard samedi soir).
SUR LE MÊME SUJET
VIDEO. Elle écarte un départ du gouvernement Après Estrosi, Bernard Debré (UMP) demande un remaniement rapide Gouvernement : MAM fixée ce week-end Alliot-Marie écarte un départ ou une démission du gouvernement
Jeudi matin, la ministre des Affaires étrangères a rencontré le président dans son bureau à l’Elysée. Officiellement, c’est elle qui avait sollicité ce rendez-vous pour évoquer son récent déplacement au Brésil. Selon nos informations, Sarkozy lui aurait fait comprendre qu’il allait se séparer d’elle à brève échéance. «Tout ce que j’ai fait est légal», aurait répliqué en substance Michèle Alliot-Marie, en refusant de démissionner.
La ministre est sur la sellette depuis début février pour ses vacances en Tunisie et ses liens avec le régime Ben Ali. MAM aurait aussi, semble-t-il, demandé à Sarkozy un lot de consolation : que son compagnon, Patrick Ollier, reste au gouvernement. Le ministre des Relations avec le Parlement est très menacé en raison de ses liens ambigus avec le régime Kadhafi en Libye.
Juppé favori
D’ores et déjà, Alain Juppé apparaît comme le grand favori pour succéder à MAM au Quai d’Orsay, poste qu’il a occupé de 1993 à 1995. Il serait remplacé au ministère de la Défense, qu’il dirige depuis mi-novembre, par Gérard Longuet, patron des sénateurs UMP. Surprise, Longuet a été invité à la dernière minute ce vendredi matin par l’Elysée à accompagner Sarkozy pour sa visite en Turquie.
La seule question qui demeure est : le président en profitera-t-il pour procéder à un remaniement plus large en faisant par exemple entrer des centristes? «Ce n’est pas calé», temporise un de ses conseillers.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
source le journal tres serieux la croix
http://www.la-croix.com
ANKARA - Sarkozy un chewing-gum à la bouche en Turquie, selon le maire d'Ankara
Le maire d'Ankara Melih Gokcek a fait savoir samedi qu'il s'était permis de mâcher du chewing-gum en présence de Nicolas Sarkozy lors de sa courte visite en Turquie vendredi, en réaction au "manque de respect" dont le chef de l'Etat français avait fait preuve selon lui en faisant de même.
L'édile, figure haute en couleur de la vie politique turque et à la personnalité controversée, faisait partie de la délégation qui a accueilli et raccompagné le président français à l'aéroport lors de sa visite éclair en Turquie vendredi dans le cadre de la présidence française du G20, selon l'agence turque Anatolie.
"M. Sarkozy est descendu de la passerelle de l'avion en mâchant un gros chewing gum. Il s'est arrêté un instant, a regardé autour de lui et a continué à mâcher... Personnellement j'ai été vexé", a rapporté M. Gokcek à l'agence Anatolie.
"Il avait fait preuve du même manque de respect précédemment en présence de notre président Abdullah Gül en France", a ajouté le maire, sans détailler.
"Lorsque nous avons pris congé de lui, je n'ai donc pas retiré mon chewing-gum de ma bouche. Il fallait que quelqu'un réagisse et je pense avoir répondu avec diplomatie. En la matière, il y a quelque chose que l'on appelle la réciprocité", a-t-il ajouté.
M. Sarkozy, qui irrite depuis longtemps les Turcs en s'opposant à leur entrée dans l'Union européenne, a passé seulement six heures à Ankara.
Lors d'une conférence de presse conjointe avec M. Gül, il a réaffirmé son refus de voir la Turquie intégrer l'UE et défendu l'option d'un compromis "entre le tout adhésion et l'association
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Sarkozy parlera ce soir à la télévision
ENCORE C EST PAS VRAIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Nicolas Sarkozy interviendra ce
soir, à 20 heures, à la télévision
et à la radio pour tenter de redonner
une vision à la diplomatie
française face aux événements
du monde arabe et pourrait annoncer
dans le même temps un
changement à la tête du Quai
d'Orsay. Plus généralement, la diplomatie
française s'est vu reprocher
de ne pas avoir anticipé les
événements en Tunisie et ceux
qui, dans la foulée, ont ébranlé
l'Egypte, la Libye et d'autres pays
arabes.
Cette intervention solennelle, annoncée
par un court communiqué
de l'Élysée, a été décidée au
moment où des spéculations
vont croissantes sur un remaniement
gouvernemental imminent,
dont la ministre des Affaires
étrangères Michèle Alliot-Marie
serait la principale victime.
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
IL PARAIT DE LA BOUCHE DE NOTRE EMMINENCE GRISE QUE NOUS N AVONS PAS AVOIR PEUR
DES PAUVRES PEUPLES TUNISIENS EGYPTIENS ET LYBIENS
BIEN EVIDEMMENT NOUS AVONS PLUS A REDOUTER
DE NOS DROITS ET NOS ACQUIS DE CEUX LA QUI
EMPOISONNENT NOTRE VIE DE TOUS LES JOURS
[
ET A FORCE DE REMANIEMENT ET DE REMONTRANCES TOUS LES 8 JOURS
CA EN DEVIENT NON SEULEMENT RIDICULE PITOYABLE MAIS PATHETIQUE
Remaniement : MAM et Hortefeux s'en vont...BON DEBARRAS
Anonymous 477#2
lundi 28 février 2011 08:19:39
Casse toi Sarko !
Degage, on veux pas de toi d ailleurs la révolution est en route, prépare toi
JUPPE LE RETOUR tout le monde#10
lundi 28 février 2011 06:17:05
juppe ministre je croyait q un mis en examen ne pouvait pas etre ministre c est une honte signe louis
DES PAUVRES PEUPLES TUNISIENS EGYPTIENS ET LYBIENS
BIEN EVIDEMMENT NOUS AVONS PLUS A REDOUTER
DE NOS DROITS ET NOS ACQUIS DE CEUX LA QUI
EMPOISONNENT NOTRE VIE DE TOUS LES JOURS
[
ET A FORCE DE REMANIEMENT ET DE REMONTRANCES TOUS LES 8 JOURS
CA EN DEVIENT NON SEULEMENT RIDICULE PITOYABLE MAIS PATHETIQUE
Remaniement : MAM et Hortefeux s'en vont...BON DEBARRAS
Anonymous 477#2
lundi 28 février 2011 08:19:39
Casse toi Sarko !
Degage, on veux pas de toi d ailleurs la révolution est en route, prépare toi
JUPPE LE RETOUR tout le monde#10
lundi 28 février 2011 06:17:05
juppe ministre je croyait q un mis en examen ne pouvait pas etre ministre c est une honte signe louis
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Sarkozy remet de l'ordre dans son équipe avant 2012
Se débarrasser des boulets MAM et HORDUFEU
et préciser son cap pour 2012. Toujours au plus bas dans les sondages, Nicolas Sarkozy a remodelé son gouvernement avec l'espoir de le remettre,
définitivement cette fois, en ordre de bataille
pour la présidentielle.
Se débarrasser des boulets MAM et HORDUFEU
et préciser son cap pour 2012. Toujours au plus bas dans les sondages, Nicolas Sarkozy a remodelé son gouvernement avec l'espoir de le remettre,
définitivement cette fois, en ordre de bataille
pour la présidentielle.
aladin- Messages : 115038
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
OUI LUI AUSSI.
Rien n’a changé.
Pour 2011, François Fillon a une priorité : faire
baisser le chômage
Au lendemain d'un remaniement
consacrant la montée en puissance d'Alain
Juppé et de Claude Guéant, le Premier ministre
François Fillon a assuré, hier, sur RTL, entretenir
une relation de confiance avec Nicolas Sarkozy.
Ces changements ont été motivés par des impératifs
de politique étrangère et intérieure - les soulèvements
populaires au Moyen-Orient et le risque
de flux migratoires qui en découle- et ne visaient
pas à endiguer la chute de popularité du chef de
l'État à un an de la présidentielle. "Les relations
entre le président de la République et moi n'ont jamais
été aussi confiantes", a assuré le chef du gouvernement.
Il a justifié le remplacement de Michèle Alliot-
Marie par Alain Juppé: "Il fallait nommer un
ministre des Affaires étrangères qui ait une grande
autorité morale et politique." Concernant la nomination
de Claude Guéant au ministère de l'Intérieur,
à la place de Brice Hortefeux, l'ancien secrétaire
général de l'Élysée est "le mieux à même de
conduire une nouvelle étape de la politique de sécurité
et d'immigration au moment où nous estimons
qu’elle est nécessaire". Interrogé sur son silence
de ces derniers jours, François Fillon a répondu:
"Je ne parle que lorsque j'ai des choses à
dire."
"Je ne parle que lorsque
j'ai des choses à dire"
Sur ses relations avec Nicolas Sarkozy, il a fustigé
les rumeurs circulant dans la presse. "Depuis
quatre ans que Nicolas Sarkozy m'a confié la mission
de Premier ministre, j'ai entendu successivement
dire que je n'étais personne, puis que je lui
avais imposé ma nomination en novembre dernier,
puis que j'étais un hyper-Premier ministre,
puis, il y a quelques jours, (...) que je préparais ma
candidature aux élections présidentielles contre
lui. Tout cela n'a évidemment aucun sens."
Prié de dire si, selon lui, la présidentielle de
2012 était perdue pour Nicolas Sarkozy, François
Fillon a expliqué que la priorité du gouvernement
était la réussite de 2011. "Ce qui compte, c'est de
savoir si, en 2011, on va atteindre notre objectif de
croissance, 2%. Il est atteignable. La question qui
se pose pour 2011 c'est : est-ce qu’on peut faire baisser
le chômage ?" "Une fois qu’on aura fait ça,
alors la question se posera du débat électoral (...)
Les sondages ne compteront que lorsqu’on aura un
candidat désigné à gauche et qu’on sera engagé
dans la campagne avec un candidat désigné à droite,
ce n'est pas le cas aujourd'hui", a conclu le Premier
ministre
Rien n’a changé.
Pour 2011, François Fillon a une priorité : faire
baisser le chômage
Au lendemain d'un remaniement
consacrant la montée en puissance d'Alain
Juppé et de Claude Guéant, le Premier ministre
François Fillon a assuré, hier, sur RTL, entretenir
une relation de confiance avec Nicolas Sarkozy.
Ces changements ont été motivés par des impératifs
de politique étrangère et intérieure - les soulèvements
populaires au Moyen-Orient et le risque
de flux migratoires qui en découle- et ne visaient
pas à endiguer la chute de popularité du chef de
l'État à un an de la présidentielle. "Les relations
entre le président de la République et moi n'ont jamais
été aussi confiantes", a assuré le chef du gouvernement.
Il a justifié le remplacement de Michèle Alliot-
Marie par Alain Juppé: "Il fallait nommer un
ministre des Affaires étrangères qui ait une grande
autorité morale et politique." Concernant la nomination
de Claude Guéant au ministère de l'Intérieur,
à la place de Brice Hortefeux, l'ancien secrétaire
général de l'Élysée est "le mieux à même de
conduire une nouvelle étape de la politique de sécurité
et d'immigration au moment où nous estimons
qu’elle est nécessaire". Interrogé sur son silence
de ces derniers jours, François Fillon a répondu:
"Je ne parle que lorsque j'ai des choses à
dire."
"Je ne parle que lorsque
j'ai des choses à dire"
Sur ses relations avec Nicolas Sarkozy, il a fustigé
les rumeurs circulant dans la presse. "Depuis
quatre ans que Nicolas Sarkozy m'a confié la mission
de Premier ministre, j'ai entendu successivement
dire que je n'étais personne, puis que je lui
avais imposé ma nomination en novembre dernier,
puis que j'étais un hyper-Premier ministre,
puis, il y a quelques jours, (...) que je préparais ma
candidature aux élections présidentielles contre
lui. Tout cela n'a évidemment aucun sens."
Prié de dire si, selon lui, la présidentielle de
2012 était perdue pour Nicolas Sarkozy, François
Fillon a expliqué que la priorité du gouvernement
était la réussite de 2011. "Ce qui compte, c'est de
savoir si, en 2011, on va atteindre notre objectif de
croissance, 2%. Il est atteignable. La question qui
se pose pour 2011 c'est : est-ce qu’on peut faire baisser
le chômage ?" "Une fois qu’on aura fait ça,
alors la question se posera du débat électoral (...)
Les sondages ne compteront que lorsqu’on aura un
candidat désigné à gauche et qu’on sera engagé
dans la campagne avec un candidat désigné à droite,
ce n'est pas le cas aujourd'hui", a conclu le Premier
ministre
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
NOUS SERONS ICI SANS CONCESSIONS
DE COULEURS POLITIQUES ET D "IDEES
DANS UNE TOTALE INDEPENDANCE ET TRANSPARENCE ;;QU IMPORTE LE RESULTAT
des idées et des r^ves pendant que certains vous font rêver d'autres vous piquent le portefeuille
LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES
Martine, Arnaud, Jean-Noël et les autres...
DE COULEURS POLITIQUES ET D "IDEES
DANS UNE TOTALE INDEPENDANCE ET TRANSPARENCE ;;QU IMPORTE LE RESULTAT
des idées et des r^ves pendant que certains vous font rêver d'autres vous piquent le portefeuille
LES PRINCIPAUX PROTAGONISTES
Martine, Arnaud, Jean-Noël et les autres...
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
A GAUCHE UN LONG FLEUVE TRANQUILLE
MOI J "AIME CES IMPRESSIONS DE LASCIVE QUIETUDE
ET DE FRANCHE AMITIE.............
Jean-Noël Guérini porte plainte contre Montebourg
jeudi 03 mars 2011 à 13H24
"Je m'insurge de la publication par la presse d'un rapport rédigé par Arnaud Montebourg consacré à la situation de la fédération du Parti socialiste des Bouches du Rhône. Je m'inscris totalement en faux contre ce texte, mensonger, calomnieux et diffamatoire", dit Jean-Noël Guérini.
Le président du Conseil général des Bouches-du-Rhône et patron de la fédération socialiste du département, Jean-Noël Guérini, a annoncé jeudi qu'il porterait plainte contre le député socialiste Arnaud Montebourg, qui recommande sa "destitution" dans un rapport. Le sénateur dit avoir chargé Me Patrick Maisonneuve, du barreau de Paris, d'instruire cette plainte pour diffamation.
"Je m'insurge de la publication par la presse d'un rapport rédigé par Arnaud Montebourg consacré à la situation de la fédération du Parti socialiste des Bouches du Rhône. Je m'inscris totalement en faux contre ce texte, mensonger, calomnieux et diffamatoire", dit Jean-Noël Guérini.
"Cet élu qui se prend pour un procureur tient des propos péremptoires sur le Conseil général des Bouches du Rhône, sa gestion et son fonctionnement. Son attitude, digne d'un inquisiteur, est inacceptable", ajoute-t-il dans un communiqué.
Jean-Noël Guérini qualifie le rapport d'Arnaud Montebourg, qui selon lui "cherche à exister par tous les moyens", de "stratégie et d'opération de communication". Le frère de Jean-Noël Guérini, Alexandre, est en prison depuis le 1er décembre dernier dans le cadre d'une information judiciaire sur les marchés publics des Bouches-du-Rhône.
Jean-Noël Guérini a été élu président du conseil général des Bouches-du-Rhône en 1998, réélu en 2001, 2004 et 2008. Il est également premier secrétaire de la fédération socialiste du département.
MOI J "AIME CES IMPRESSIONS DE LASCIVE QUIETUDE
ET DE FRANCHE AMITIE.............
Jean-Noël Guérini porte plainte contre Montebourg
jeudi 03 mars 2011 à 13H24
"Je m'insurge de la publication par la presse d'un rapport rédigé par Arnaud Montebourg consacré à la situation de la fédération du Parti socialiste des Bouches du Rhône. Je m'inscris totalement en faux contre ce texte, mensonger, calomnieux et diffamatoire", dit Jean-Noël Guérini.
Le président du Conseil général des Bouches-du-Rhône et patron de la fédération socialiste du département, Jean-Noël Guérini, a annoncé jeudi qu'il porterait plainte contre le député socialiste Arnaud Montebourg, qui recommande sa "destitution" dans un rapport. Le sénateur dit avoir chargé Me Patrick Maisonneuve, du barreau de Paris, d'instruire cette plainte pour diffamation.
"Je m'insurge de la publication par la presse d'un rapport rédigé par Arnaud Montebourg consacré à la situation de la fédération du Parti socialiste des Bouches du Rhône. Je m'inscris totalement en faux contre ce texte, mensonger, calomnieux et diffamatoire", dit Jean-Noël Guérini.
"Cet élu qui se prend pour un procureur tient des propos péremptoires sur le Conseil général des Bouches du Rhône, sa gestion et son fonctionnement. Son attitude, digne d'un inquisiteur, est inacceptable", ajoute-t-il dans un communiqué.
Jean-Noël Guérini qualifie le rapport d'Arnaud Montebourg, qui selon lui "cherche à exister par tous les moyens", de "stratégie et d'opération de communication". Le frère de Jean-Noël Guérini, Alexandre, est en prison depuis le 1er décembre dernier dans le cadre d'une information judiciaire sur les marchés publics des Bouches-du-Rhône.
Jean-Noël Guérini a été élu président du conseil général des Bouches-du-Rhône en 1998, réélu en 2001, 2004 et 2008. Il est également premier secrétaire de la fédération socialiste du département.
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
DESIDEESETDESREVES CA VA TOURNER AU CAUCHEMAR...
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Re: PRESIDENTIELLES 2012
Marine Le Pen en tête
dans les sondages pour 2012
Avec 23%d’intentions de vote, la candidateFN devance ses adversaires
C'est le premier sondage sur la présidentielle de 2012 qui donne
Marine Le Pen, présidente du FN, présente au second tour
C’est un sondage qui résonne
comme un avertissement
sérieux pour les partis
traditionnels. Un coup de semonce
qui risque de faire du
bruit dans les états-majors politiques.
Selon une enquête Harris
Interactive, publiée aujourd’hui
dans Le Parisien, Marine Le Pen
arriverait en tête du premier
tour de l’élection présidentielle,
si elle avait lieu demain, avec
23% des voix, contre 21% pour
le Président sortant. Ce dernier
se retrouverait au coude à coude
avec la première secrétaire nationale
du Parti socialiste, Martine
Aubry, si elle est candidate.
Ce sondage n’est qu’une photographie
de l’opinion à un moment
donné. Il est à replacer
dans un contexte de difficultés
économiques, de conflits d’intérêts
privés sur le plan ministériel
et d’interrogations sur le plan international,
avec la série de révolutions
qui sont venues secouer
le monde arabe. Des révolutions
qui alimentent la crainte, pour
certains, de voir déferler une immigration
incontrôlée. L’étude
est également publiée au moment
où s’amorce une réflexion
sur la place de la laïcité et de l’islam
en France.
"Cela prouve qu’en exploitant
les thèmes du FN, la droite fait
un pari dangereux pour son avenir,
analyse Daniel Van Eeuwen,
professeur de sciences politiques
à Aix. On préfère toujours
l’original à la copie quand on se
déplace sur ce terrain".
Ces résultats rappellent étrangement
le scénario qui s’était déroulé
en avril 2002, quand
Jean-Marie Le Pen s’était qualifié
au second tour de la présidentielle
aux dépens du socialiste
Lionel Jospin. Comment a réagi
la classe politique à cette annonce?
Le porte parole national du
PS, Benoît Hamon, juge ce sondage
"inquiétant". Sur les ondes
de RTL, le député de Seine-Maritime
PS Laurent Fabius justifie
la poussée de l’extrême droite
comme étant "accentué par
l’échec de M. Sarkozy et les thèmes
qu’il choisit, par exemple
lancer un débat sur l’islam qui
est en fait contre l’islam".
Le bouillonnant Jean-Luc Mélenchon,
du Parti de gauche parle
de "guignolisation de la politique".
Sur un plan plus local, le
conseiller régional socialiste Patrick
Mennucci y voit, lui, "un signal
d’alerte adressé au président
de la République". L’élu aff
i r m e que l e s r é s u l t a t s
n’auraient pas été les mêmes "si
on avait mis le nom de Dominique
Strauss-Kahn dans la balance".
À
droite, l’ancien porte-parole
de l’UMP semble avoir du mal à
cacher un certain embarras. "Cela
doit nous faire penser toujours
plus au fait que nous devons,
dans notre camp, n’avoir qu’un
candidat pour porter nos couleurs,
car bien évidemment, le risque
d’être absent au second tour
est réel", a reconnu Dominique
Paillé.
Au-delà de ces réactions, ce
sondage met en lumière le discrédit
d’un président de la République
au plus bas dans les sondages,
avec une cote de popularité
de 22% pendant que celle de
son Premier ministre, François
Fillon, s’établit à 33 %. Reste à savoir
encore si cette poussée d’intentions
frontistes se traduira
dans les urnes à l’occasion de la
prochaine consultation électorale.
Réponse dans deux semaines.
dans les sondages pour 2012
Avec 23%d’intentions de vote, la candidateFN devance ses adversaires
C'est le premier sondage sur la présidentielle de 2012 qui donne
Marine Le Pen, présidente du FN, présente au second tour
C’est un sondage qui résonne
comme un avertissement
sérieux pour les partis
traditionnels. Un coup de semonce
qui risque de faire du
bruit dans les états-majors politiques.
Selon une enquête Harris
Interactive, publiée aujourd’hui
dans Le Parisien, Marine Le Pen
arriverait en tête du premier
tour de l’élection présidentielle,
si elle avait lieu demain, avec
23% des voix, contre 21% pour
le Président sortant. Ce dernier
se retrouverait au coude à coude
avec la première secrétaire nationale
du Parti socialiste, Martine
Aubry, si elle est candidate.
Ce sondage n’est qu’une photographie
de l’opinion à un moment
donné. Il est à replacer
dans un contexte de difficultés
économiques, de conflits d’intérêts
privés sur le plan ministériel
et d’interrogations sur le plan international,
avec la série de révolutions
qui sont venues secouer
le monde arabe. Des révolutions
qui alimentent la crainte, pour
certains, de voir déferler une immigration
incontrôlée. L’étude
est également publiée au moment
où s’amorce une réflexion
sur la place de la laïcité et de l’islam
en France.
"Cela prouve qu’en exploitant
les thèmes du FN, la droite fait
un pari dangereux pour son avenir,
analyse Daniel Van Eeuwen,
professeur de sciences politiques
à Aix. On préfère toujours
l’original à la copie quand on se
déplace sur ce terrain".
Ces résultats rappellent étrangement
le scénario qui s’était déroulé
en avril 2002, quand
Jean-Marie Le Pen s’était qualifié
au second tour de la présidentielle
aux dépens du socialiste
Lionel Jospin. Comment a réagi
la classe politique à cette annonce?
Le porte parole national du
PS, Benoît Hamon, juge ce sondage
"inquiétant". Sur les ondes
de RTL, le député de Seine-Maritime
PS Laurent Fabius justifie
la poussée de l’extrême droite
comme étant "accentué par
l’échec de M. Sarkozy et les thèmes
qu’il choisit, par exemple
lancer un débat sur l’islam qui
est en fait contre l’islam".
Le bouillonnant Jean-Luc Mélenchon,
du Parti de gauche parle
de "guignolisation de la politique".
Sur un plan plus local, le
conseiller régional socialiste Patrick
Mennucci y voit, lui, "un signal
d’alerte adressé au président
de la République". L’élu aff
i r m e que l e s r é s u l t a t s
n’auraient pas été les mêmes "si
on avait mis le nom de Dominique
Strauss-Kahn dans la balance".
À
droite, l’ancien porte-parole
de l’UMP semble avoir du mal à
cacher un certain embarras. "Cela
doit nous faire penser toujours
plus au fait que nous devons,
dans notre camp, n’avoir qu’un
candidat pour porter nos couleurs,
car bien évidemment, le risque
d’être absent au second tour
est réel", a reconnu Dominique
Paillé.
Au-delà de ces réactions, ce
sondage met en lumière le discrédit
d’un président de la République
au plus bas dans les sondages,
avec une cote de popularité
de 22% pendant que celle de
son Premier ministre, François
Fillon, s’établit à 33 %. Reste à savoir
encore si cette poussée d’intentions
frontistes se traduira
dans les urnes à l’occasion de la
prochaine consultation électorale.
Réponse dans deux semaines.
bienvenou- Admin
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Age : 110
Localisation : cassis
Re: PRESIDENTIELLES 2012
"Christophe Colomb était le premier socialiste:
- il ne savait pas où il allait,
- il ignorait où il se trouvait
- et faisait tout ça aux frais des autres."
Sir Winston Churchill
Demandez l'programme ...
Lequel ! Et avec qui ...?
Ah bin ..., elle a de beaux jours devant elle, la Marine..., Nationale Frontiste !
- il ne savait pas où il allait,
- il ignorait où il se trouvait
- et faisait tout ça aux frais des autres."
Sir Winston Churchill
Demandez l'programme ...
Lequel ! Et avec qui ...?
Ah bin ..., elle a de beaux jours devant elle, la Marine..., Nationale Frontiste !
domenico belli- Messages : 2494
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Localisation : NORMANDIE
Re: PRESIDENTIELLES 2012
CE MATIN JE RENDAIS VISITE A MON AMI CHRISTOPHE COLOMB SUR LE PORT DE BARCELONA...
LES GRANDS SPRITS SE RENCONTRENT
MON CHER DOMENICO
domenico belli a écrit:"Christophe Colomb était le premier socialiste:
- il ne savait pas où il allait,
- il ignorait où il se trouvait
- et faisait tout ça aux frais des autres."
Sir Winston Churchill
Demandez l'programme ...
Lequel ! Et avec qui ...?
Ah bin ..., elle a de beaux jours devant elle, la Marine..., Nationale Frontiste !
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