HOMMAGE OLYMPIEN

Sami craint l'attaque de l'OM

Avant de recevoir l'OM, le défenseur de l'ASNL, Joël Sami, a ciblé le principal atout de la formation de Didier Deschamps. « L’attaque est leur point fort en ce moment et il faudra être très concentré. On sait qu’au moindre relâchement, on passera une très mauvaise soirée. Mais, je n’ai aucune crainte à ce sujet. La victoire de samedi va beaucoup nous aider car nous ne sommes plus dans l’obligation de gagner alors qu’eux si. On sait que jouer le nul, car prendre un point serait satisfaisant, pourrait même nous faire gagner ! »

Il était une fois... Jean-Marc Ferreri
Durée : 2'09 - Date : 26/12/2011

26 décembre 1962, c'est la naissance de Jean-Marc Ferreri

OMtv 2011

http://www.om.net/fr/OMtv_Online/301003/Accueil/7254/Il_etait_une_fois_Jean_Marc_Ferreri

http://www.om.net/fr/OMtv_Online/301003/Accueil/7256/Il_etait_une_fois_Lucien_Leduc

Il était une fois... Lucien Leduc
Durée : 2'32 - Date : 30/12/2011

30 décembre 1918, c'est la naissance de Lucien Leduc

Doukantie : "On a toujours une chance"1 contribution Publié le vendredi 06 janvier 2012 à 17H43


L'entraîneur du Red Star, Vincent Doukantie, refuse de partir battu. Quelques minutes avant le dernier entraînement de son équipe au Stade de France, il admet que malgré l'enjeu et la popularité de l'OM, ses joueurs ont préparé "tranquillement l'événement. Ils sont un peu insouciants. Ils pensent pouvoir rivaliser un moment dans le match. Ce moment peut être long ou très, très court. Il y a toujours des exploits en coupe de France. Donc, on a une chance.

LESGRANDES DATES Trois matches de coupe.
Le Red Star a remporté cinq fois la
coupe de France en 1921, 22, 23,
28 et 42. L’OM a gagné ses deux
premières en 1924 et 1927, soit
dans la grande période du club
audonien. Les deux équipes se
sont rencontrées deux fois en coupe,
la première sur terrain neutre,
la deuxième, en deux manches, à
Marseille, puis Saint-Ouen.
➔ 7 avril 1935, demi-finale :
Red Star-OM 2-3. Buts de Roviglione,
Kohut et Eisenhoffer contre deux buts
de Cavalli et Thurley. L’OM allait gagner
la finale contre Rennes (3-0).
➔ 28 mars et 11 avril 1971: 8e de finale.
Deux victoires de l’OM 1-0. Buts de
Couécou au Vélodrome, de Skoblar
à Saint-Ouen.
- La dernière en D2. Le dernier
match officiel de l’OM au Stade
Bauer remonte au 1er novembre
1995 en D2. Excellent match,
avec le retour de Durand, longtemps
écarté par une opération
pour pubalgie. Un 2-2 (buts
d’Agasson et Mauricio pour le
Red Star, Libbra et Foret c.s.c.
pour l’OM), devant 6827 spectateurs
mais une atmosphère plus
calme que l’année d’avant où
les supporters du PSG avaient
agressé les Marseillais en jetant
des projectiles et en blessant
notamment Jean-Louis Levreau,
vice-président de l’OM

◗ LE TOUT PREMIER
11 décembre 1932
OM-Lille 7-0
Le Losc était encore l’Olympique
lillois et l’OM qui l’avait déjà battu
au match aller, pour le tout
premier match de l’ère professionnelle,
le pulvérisait au retour
avec trois buts made in England
(un de Jennings et deux de
Caiels), un de Defosse contre son
camp, puis un triplé du grand-oncle
de José Anigo, Joseph Alcazar.
Mais quelques mois plus tard,
c’est Lille qui allait être le tout
premier champion de France.
◗ LE PLUS PROLIFIQUE
22 mai 1960, OM-Lille 3-6
Première saison de l’OM en D2:
elle se termine mal, avec trois
défaites consécutives et évidemment
pas de remontée immédiate.
Ce jour-là, c’est la fête de
l’avant-centre nordiste René Fatoux,
qui réussit un quintuplé ;
le Losc est dirigé par Jules Van
Dooren , grand Lillois des années
40-50. À l’OM, où débute le jeune
Dédé Tassone en défense, Célestin
Oliver réussit un doublé.
◗ LE PLUS NEUTRE
16 août 2009 OM-Lille 1-0
Le Vélodrome étant impraticable,
après l’accident d’un technicien
au cours de la préparation
du concert de Madonna, c’est à
Montpellier que l’OM reçoit.
Brandao marque de la tête
sur un corner de Ben Arfa

ON A AIMÉ. "Pas de match
le 5 mai

Les supporters olympiens soutiennent
la démarche des soeurs Guidicelli
et de l’ensemble des Corses réclamant
qu’aucun match de football
ne soit joué en France le 5mai, date
du 20e anniversaire de la catastrophe
de Furiani. Les Fanatics ont appelé
par une large banderole à rejoindre
la pétition, laquelle atteignait
à l’heure du coup d’envoi
34 937 signatures

16/01/2012 - 08:59
Lille-Garcia: "On était au maximum"
Dimanche soir, en clôture de la 20e journée de Ligue 1, le Losc Lille Métropole a chuté à Marseille (2-0) et va peut-être devoir revoir ses ambitions nationales à la baisse. Mais au coup de sifflet final, Rudi Garcia n'a pas cherché à rejeter la faute sur ses troupes. "Je n'ai rien à reprocher à mes joueurs sur l'envie et la détermination, a expliqué l'entraîneur des Dogues. C'est la vérité d'un soir, on était au maximum de nos moyens et ce n'était pas suffisant face à Marseille qui l'a logiquement emporté".

Football Ligue 1 : Paris est-il déjà intouchable ? 17 janvier 2012
Tout se passe comme si le sort du championnat de France était déjà scellé. Il a suffi que le PSG version Ancelotti gagne haut la main son premier match de l’année 2012, contre Toulouse (3-1), pour que les superlatifs tondent l’herbe sous les pieds de ses rivaux.

Avec sept points d’avance sur Lille, huit sur Lyon, neuf sur l’OM, Paris est favori, ça ne fait aucun doute. Mais est-il intouchable ? Pas si sûr que cela.

Paris, équipe à battre et avec tant d’ego à gérer

Cette saison, le PSG a l’étoffe d’un patron. Il a certes cédé le commandement du championnat à Montpellier pendant 26 jours, mais l’a repris juste avant la trêve pour souffler le titre de champion d’automne aux Héraultais. La transition entre Kombouaré, limogé à la trêve, et Carlo Ancelotti, s’est bien passée. Paris a séduit contre Toulouse et le club espère encore engager un attaquant de classe internationale avant la fin du mercato. Difficile d’occulter sa nouvelle sûreté défensive et cette densité au milieu qui n’a laissé aucun répit au TFC.

L’ex-joueur et entraîneur de l’AC Milan a imposé un 4-3-2-1 au sein duquel le défenseur brésilien Maxwell a immédiatement apporté un plus offensif. Mais le plus dur reste à venir pour le PSG. Un système sans véritable avant-centre risque de montrer rapidement ses limites. D’autant que le club parisien sera attendu chaque week-end comme l’équipe à battre. Et qu’il va lui falloir gérer les ego et les états d’âme de ses stars laissées sur le banc, Gameiro en tête.

Montpellier, l’épine dans le pied du PSG

Montpellier, 2e du classement : c’est tout sauf une anomalie. Les Héraultais ont passé la totalité du championnat sur le podium et ils sont les seuls à pouvoir, sur la durée, tenir le rythme du PSG. Giroud, Stambouli et consorts clament désormais haut et fort leur désir de finir dans le trio de tête. Les chiffres leur donnent raison.

Après dix journées, Paris comptait trois points d’avance sur le MHSC. Au cours des dix journées suivantes, les deux clubs ont pris rigoureusement le même nombre de points : vingt. Le mano-à-mano peut donc se poursuivre. Le PSG – Montpellier du 18 février (24 e journée) ressemblera à un virage capital. Mais il se situera encore loin du poteau d’arrivée. Montpellier aura l’avantage de recevoir Lille pour un dernier match à La Mosson qu’on espère décisif (37 e journée). Mais il devra aussi aller à Marseille et à Rennes. Paris, lui, se déplacera dix fois sur dix-huit, notamment à Lille et à Lyon.

Marseille, la grosse bête qui remonte

Impressionnant vainqueur de Lille dimanche (2-0), l’OM avance au rythme d’un vrai champion. Après un départ catastrophique (9 points en dix matches), les hommes de Didier Deschamps ont pris 25 points sur 30 possibles entre la 11e et la 20 e journée. Ils sont largement leaders sur cette période, devant Montpellier et Paris (20 points). Reste à savoir si l’écart (9 points) avec le PSG n’est pas rédhibitoire.

« C’est beaucoup, reconnaît Deschamps. Aujourd’hui, les Parisiens sont idéalement placés, il n’y a qu’eux qui peuvent perdre cette place. » Si l’équipe phocéenne gère parfaitement l’enchaînement qui l’attend (déplacement à Rennes, réception de Lyon), elle peut se positionner comme le principal rival du PSG. Avec Montpellier, bien sûr.

L'état d'esprit a changé»
Le 19/01/2012 | Mis à jour le 19/01/2012 09:06:00


Mandanda va croiser Le Havre à nouveau.
Steve Mandanda retrouve le Havre, son club formateur, en Coupe de France, sur la dynamique de trois victoires consécutives en 2012. Content mais surtout pas euphorique.

«Steve Mandanda, vous avez réussi un bon début d'année. Avez-vous changé la donne dans ce championnat ? Changer la donne, je ne sais pas. Mais ce qui compte, c'est que cette victoire contre Lille nous a rapprochés du podium. Mais nous savons que cela se joue à rien. Aujourd'hui, on a recollé et c'est le plus important ? Désormais, il faut rester dans ce groupe et être là pour le sprint final en avril-mai. Où, en général, tout se joue. Vous faites attention à ne pas tomber dans l'euphorie ? C'est le maître mot. Il faut rester vigilant, surtout à Marseille où lorsque ça va mal, c'est très difficile mais lorsque ça va bien, l'euphorie est souvent là. Il faut garder un juste milieu, car tout peut basculer très vite. On sait ce qu'il faut faire pour continuer à gagner. On doit garder les ingrédients qui font notre force aujourd'hui : concentration, détermination, simplicité, qualité du jeu. Vous avez des garanties dans le jeu ? Bien sûr. Mais pourquoi a-t-on plus de garanties ? Parce qu'il y a plus de simplicité, de mouvement. On a progressé en solidarité de jeu, en solidité défensive. L'état d'esprit a changé et on a gagné en confiance avec les victoires. Mais il ne faut pas s'enflammer et ne pas tenter l'exploit individuel, c'est pour ça que je mets en garde aussi ; on est content mais il faut rester vigilant.

« La Coupe ? C'est un objectif ! »
En Coupe, vous retrouvez Le Havre. C'est un club qui a beaucoup compté pour vous ? Je les ai déjà joués quand ils étaient en Ligue 1 et c'est très touchant. Je garde de très bons souvenirs de cette ville et de ce club. Il s'agit de toute ma jeunesse, un club où j'ai appris le métier et où j'ai grandi. Je garde contact avec beaucoup de personnes, c'est très important pour moi. Au niveau de la formation et de l'éducation, je suis vraiment passé entre de très bonnes mains. C'est un club que j'aime beaucoup, car au delà de la performance sportive, il y a un bon suivi. Le scolaire et l'éducation ne sont pas négligés Sur ce plan, Le Havre m'a énormément apporté. Mais... j'espère que l'on va se qualifier ! La Coupe de France peut être un objectif pour vous ? Ah oui, c'est un objectif, très clairement. C'est un trophée emblématique. En ce qui me concerne, c'est la seule compétition en France que je n'ai pas gagnée. Et aujourd'hui, j'ai envie de la gagner.»

Bosquier : «Il n’y a que le résultat qui compte»

Invité de ForOM sur OMtv ce lundi après OM-Le Havre, l’ancien Olympien Bernard Bosquier retient surtout la bonne période qui se poursuit : «En coupe, il n’y a que le résultat qui compte. Et si on va en finale, personne ne se souviendra comment on s’est qualifié contre Le Havre. C’est vrai que ça a été difficile mais il n’y a pas de match facile. Des joueurs de L2 peuvent parfaitement se mettre au diapason de joueurs de L1. Mais ce qui est surtout important, c’est la dynamique qu’on a depuis un mois et demi.»

UN GRAND JOUEUR CE BERNARD BOSQUIER DEFENSEUR CENTRALA DE CLASSE INTERNATIONALE



Bernard Bosquier (né le 19 juin 1942 à Thonon-les-Bains) est un ancien footballeur français, qui évoluait au poste de défenseur.



Carrière 1959-1961 : Olympique Alès France
1961-1966 : FC Sochaux France
1966-1971 : Saint-Étienne !AS Saint-Étienne France
1971-1974 : Olympique de Marseille France
1974-1976 : FC Martigues France