OLYMPIQUE LYONNAIS LE FAUVE BLESSE...........

Lyon avait des idées
Malgré un nul concédé contre Besiktas (1-1)
devant 200 personnes ,


Lyon a offert un visage cohérent pour son entrée dans la Peace Cup.

L'OL a sûrement trouvé en Bastos et Cissokho les remplaçants de Florent Malouda et Eric Abidal. Recruté à prix d'or (33,5 millions deuros), ce côté gauche "new look" a montré vivacité, technique et une capacité de débordement perdue depuis deux saisons. Après une excellente première mi-temps, les deux joueurs, à court de rythme ont été remplacés par Grosso et Mounier (55e). «Il me manque certains repères, surtout défensifs, mais ça va venir, avance Cissokho. Bastos est bon techniquement. Il sait me libérer des espaces.» «Ils se sont bien trouvés» dit sobrement Claude Puel.

Comme en fin de saison dernière, Lyon a joué en 4-2-3-1. Sans Lisandro Lopez, toujours blessé, mais bientôt «à 100%», comme il l'a confirmé en zone mixte, c'est un Frédéric Piquionne assez remuant qui a joué seul en pointe. Derrière, Bastos, Govou et Ederson se sont chargés danimer lattaque. Mais la "révélation" fut Kim Kallström, pourtant susceptible de partir, selon ses propres déclarations. Placé aux côtés de Toulalan, le Suédois a été le grand maître doeuvre de l'OL : transversales parfaites, interventions précises, passes dans les intervalles. Pjanic aussi a joué juste.

C'est Claude Puel qui le dit : «On a raté quelques occasions quand Besiktas était acculé, puis on a souffert dans les dix dernières minutes sur les coups de pied arrêtés.» Lyon aurait pu gagner, mais souffre encore d'absences, légitimes à cette période. Quand Mers Nobre est rentré, la charnière composée de Mensah (rentré pour suppléer Boumsong, touché aux adducteurs) et Bodmer a tiré la langue. Bodmer, toujours aussi élégant, a bien "oublié" Nobre sur l'action

Actuellement en Espagne pour le Tournoi de la Paix, Claude Puel n'a pas caché son envie de voir un attaquant rejoindre son groupe afin de renforcer son secteur offensif, qu'il juge encore trop « juste » malgré l'arrivée de Lisandro Lopez en lieu et place de Karim Benzema. «Il est évident que l'on est un peu juste au niveau des attaquants, a déclaré l'entraîneur lyonnais en conférence de presse dimanche. Nous avons trois joueurs dans l'effectif capables de jouer avant-centre : Frédéric Piquionne, Lisandro Lopez et Yannis Tafer. Ce n'est pas une question de système mais un quatrième attaquant sera le bienvenu.»


Turn-over face à Porto

Après le décevant match nul concédé devant Besiktas (1-1) samedi soir,le coach des Gonesa décidé de remanier son onze de départ pour défier le FC Porto, lundi à Huelva (22h30). «Il est très difficile d'aligner deux matchs de ce niveau en seulement 48 heures. Nous sommes en pleine période de préparation et je me dois de veiller au temps de jeu des joueurs, a expliqué le technicien de l'OL. Le but n'est pas de blesser les joueurs. Nous allons affronter une formation de Porto qui débute son tournoi et qui n'a pas à gérer ses problèmes de fatigue. Nous allons donc procéder à de nombreux changements. On va apporter du sang neuf pour cette seconde rencontre en espérant également que les remplaçants feront pourquoi pas la différence.»

govou FAUT ECOUTER SA MERE « Comme le dit ma mère... »

Actuellement en Andalousie avec les Lyonnais pour y disputer la Peace Cup, Govou, 30 ans, dévoile également ne pas avoir pas eu de « contacts assez poussés » avec des clubs d'un plus grand standing que l'OL. « Je suis à Lyon, et je cherche quelque chose de mieux. Mais je n'aurai pas le Real Madrid, pas Barcelone. Après, je regarde la liste des grands clubs européens et je compare. Faire mieux, c'est compliqué. Mais faire moins bien, oui, c'est facile ! », certifie le vice-champion du monde 2006. « Comme le dit ma mère : "T'es heureux là, reste heureux là." »

MOUNIER PIQUIONNE TU PEUX PAS ESPERER SURVIVRE EN EUROPE AVEC CETTE ATTAQUE


Lyon est déjà éliminé
Un petit tour et puis s'en va. L'Olympique Lyonnais a cette année fait long feu en Espagne lors de la Coupe de la Paix.



L'équipe de Claude Puel s'est inclinée lundi soir à Huelva face au FC Porto (0-2) pour son deuxième match, après avoir été tenu en échec il y a quelques jours par Besiktas (1-1). Cette défaite signifie l'élimination prématurée de l'OL dans ce tournoi estival d'avant-saison. Les deux buts de Porto ont été inscrits par l'attaquant brésilien Hulk. A la 9e minute, il a marqué d'une frappe puissante de 20 mètres. Le gardien Rémy Vercoutre, remplaçant d'Hugo Lloris dans les buts, a été totalement impuissant. Puis, à un quart d'heure de la fin, Hulk est parti en contre côté gauche avant d'ajuster Vercoutre du pied gauche. Le club portugais s'est bien comporté bien qu'ayant perdu cet été Lisandro Lopez, Aly Cissokho, tous deux partis à Lyon, et Lucho Gonzalez (Marseille).

La composition lyonnaise : Vercoutre - Cissokho, Mensah, Cris, Réveillère - Pjanic, Toulalan, Makoun, Bastos - Mounier, Piquionne (Ederson, 46e).

L'Olympique lyonnais affrontera en match amical le FC Séville, jeudi à 21H30, dans la proche banlieue de Séville, a annoncé mardi l'OL. Les deux clubs ont été éliminés au premier tour de la coupe de la Paix, actuellement disputé en Andalousie. L'effectif lyonnais doit rentrer à Lyon vendredi matin.

LA ILS BROUILLENT LES PISTES

L'OL attend Rémy... et Gomis ?
Lyon pourrait avoir bouclé le recrutement de Loïc Rémy. Nice récupérerait 16 millions d'euros et Anthony Mounier, un an après avoir dépensé 8 millions pour acheter Rémy. Et l'OL pense à Gomis, l'attaquant de Saint-Etienne qui ne serait plus considéré comme instransférable par son club.

footeuse fonction de ton avatar

il serait bon à mon avis que
tu puisses developper ce sujet à ta guise ici

moi je trouve cela bien et tu aurais carte blanche

Pour son dernier test amical contre le Deportivo La Corogne dimanche à Aix-Les-Bains, l'Olympique Lyonnais pourrait afficher un tout autre visage que celui dévoilé lors de la Coupe de la Paix. En effet, la séance d'entraînement de samedi matin a donné quelques indications concernant la composition d'équipe qui pourrait débuter face à la formation espagnole. Pour sa prise de contacts avec ses nouveaux partenaires, Bafé Gomis a été associé à Lisandro Lopez sur le front de l'attaque des Gones. Derrière ce duo était disposé un milieu de terrain à quatre têtes avec Toulalan, Makoun, Govou et Bastos alors que l'arrière-garde était composée de Réveillère, Cris, Bodmer et Cissokho.

Gomis-Lisandro, ça marque ! Pour sa dernière rencontre de préparation, l'Olympique Lyonnais a concédé le nul face au Deportivo La Corogne, dimanche (2-2), à Aix-les-Bains. Mais ses deux nouveaux attaquants ont chacun inscrit leur premier but sous le maillot rhodanien.

Cueillis à froid par un penalty concédé par Hugo Lloris et transformé par Rikki (4e), les hommes de Claude Puel, en manque de réussite en première mi-temps, pensaient avoir fait le plus dur en égalisant grâce à Bafétimbi Gomis (50e), puis en prenant l'avantage après un superbe but de Lisandro Lopez (74e). Mais les Espagnols sont finalement revenus au score par Juca, sur coup-franc (88e). La rencontre a ensuite dû être stoppée avant son terme en raison d'incidents entre supporters.

La composition de départ de l'OL
Lloris - Réveillere, Cris, Bodmer, Cissokho - Govou, Makoun, Toulalan, Bastos - B. Gomis, Lisandro

LE PLUS DEPENSIER CETTE SAISON EN LIGUE 1

Après une saison vierge, Anthony Réveillère et l'OL ont soif de titres. A l'aube de l'exercice 2009-2010, le latéral lyonnais confie que les départs de Karim Benzema et de Juninho vous « nous obliger à jouer davantage en équipe ».

« Anthony Réveillère, après cinq matches de préparation, comment jugez-vous le potentiel du Lyon version 2009-2010 ?
On est encore en train de digérer la préparation physique. Mais le contenu de notre dernier match amical (2-2 face au Deportivo La Corogne) nous a rassurés. On monte en puissance. On a vraiment une belle équipe, bien armée. Quasiment tous les postes sont doublés. Le club a bien recruté et a dépensé beaucoup d'argent (72 millions d'euros). Il le fallait pour combler les départs de Karim Benzema et de Juninho.

L'an passé, le jeu lyonnais n'était-il pas trop dépendant du rendement de ces deux joueurs ?
Inconsciemment, c'est vrai qu'on avait tendance à trop se reposer sur eux. On attendait trop un exploit individuel de Karim ou un coup franc de Juni pour débloquer la situation. Leurs départs vont nous obliger à jouer davantage en équipe, à défendre et à attaquer ensemble. Ça va peut-être libérer certains joueurs.


«Bordeaux est attendu au tournant, comme on l'était auparavant»

Après une année sans titre, cette saison est-elle celle de la reconquête ?
C'est tout à fait ça ! Comme le dit le président Aulas, le club rebâtit sur le long terme en renouvelant son effectif et en misant sur la jeunesse. C'est un nouveau départ pour l'OL et pour nous, les joueurs. La saison dernière nous a redonné de l'appétit. On a les crocs.

La priorité, c'est de reconquérir le titre ?
L'objectif, c'est de regagner un ou des titres. Le Championnat, ce sera notre pain quotidien. Car gagner une Coupe d'Europe ou une Coupe nationale, c'est trop aléatoire pour en faire un réel objectif.

Laurent Blanc dit qu'au regard de leurs recrutements, Lyon et Marseille font figure de favoris...
C'est une jolie manière de mettre la pression sur ses adversaires ! La réalité, c'est que Bordeaux est attendu au tournant, comme on l'était auparavant. C'est vrai que Marseille a fait aussi un gros recrutement. Mais sur le papier, notre effectif n'a rien à envier à ceux de l'OM et des Girondins.


«Je ne veux pas être un bouche-trou»

A titre personnel, vous serez encore en concurrence avec François Clerc. Comment vivez-vous cette situation ?
Je répète ce que j'ai déjà dit : la concurrence ne me fait pas peur.

Dans ce cas, pourquoi vous définissez-vous comme un arrière droit qui peut dépanner à gauche ?
(Rires) C'est pour offrir une solution de dépannage au coach. Si on me fait jouer à gauche, ce sera uniquement en cas de blessure ou de suspension. Mais être polyvalent, ça peut me desservir. C'est pour cette raison que j'aspire à me fixer au poste de latéral droit. Je ne veux pas être un bouche-trou. Je veux m'imposer dans le « onze type ».

L'an passé, vous aviez refusé de vous faire opérer après votre rupture des ligaments croisés. Cette décision a-t-elle refroidi vos relations avec Claude Puel ?
C'est vrai que le coach était sceptique sur mon choix. En fin de saison dernière, on a donc mis les choses à plat. Je l'ai rencontré pour savoir s'il comptait sur moi ou si je devais envisager un départ. Il connaît maintenant mon état d'esprit. Il sait que je ne vais rien lâcher et que je vais me battre pour gagner ma place. Maintenant, je n'ai aucune garantie pour la saison à venir.

Avez-vous tiré un trait définitif sur l'équipe de France ?
Que je sache, je n'ai jamais écrit une lettre pour annoncer ma retraite internationale, non ? (rires) J'ai cinq sélections, je joue depuis plusieurs saisons dans l'un des plus grands clubs de France. Je suis donc sélectionnable. Mais pour cela, il faut d'abord que je joue très régulièrement et que je sois performant avec mon club. »

MOIS D AOUT CHARGE POUR L"OL
TIRAGE Voici le tirage des matches de barrage de Ligue des champions, qui se joueront les 18 et 19 août prochains, les 25 et 26 pour le retour. Les vainqueurs accèderont à la phase de poule, où ils rejoindront les 22 clubs qualifiés d'office, dont l'OM et Bordeaux ; les vaincus seront reversés en Europa Ligue.


Lyon (FRA)-Anderlecht (BEL)

Anderlecht a terminé 2e du championnat belge la saison passée, après avoir joué des barrages pour le titre face au Standard de Liège. Mais il reste le club le plus titré du plat pays, avec 29 championnats nationaux, 9 coupes de Belgique, 8 supercoupes et 1 coupe de la Ligue. Anderlecht a également brillé sur la scène européenne dans les années 70-80, avec à son palmarès deux Coupes des coupes (76, 78) et deux finales (77 et 90), ainsi qu'une Coupe de l'UEFA (83), et deux places de finaliste (70 et 84).

Lyon a rencontré Anderlecht en 2003 lors des phases de poule de C1 : victoire 1-0 à Gerland et défaite sur le même score en Belgique. Le club belge a plutôt tendance à éliminer les Français : Bordeaux à deux reprise en Coupe de l'UEFA (2002 et 2008) mais aussi Metz en 1988-1989 (1er tour de la C2) et Lens en 1983-1984 (8e de finale de la C3). Le seul club tricolore à avoir éliminé Anderlecht est le Paris-SG, lors de la saison 1992-1993 en 8es de finale de la Coupe de l'UEFA (0-0, 1-1).

tirage extremment delicat avec le retour en belgique

attentionlyonnais a une grosse desillusion
mais je crois qu'ils passeront en tous cas je l'espere

Privé de ses internationaux, Claude Puel disposait d'une douzaine de joueurs à l'entraînement lundi. L'entraîneur lyonnais a récupéré Jean-Alain Boumsong et Cesar Delgado, absents samedi dernier au Mans en raison de blessures aux adducteurs.

CA PARAIT DEJA FOU EN DEBUT DE SAISON

DES BLESSUFRES AUX ADDUCTEURS SYNONIME DE FATIGUE MUSCULAIRE A MON SENS

UN SPECIALISTE POUR REPONDRE........

Aucune surprise concernant le groupe lyonnais qui affrontera Valenciennes samedi à Gerland. César Delgado effectue son retour dans la liste de Claude Puel. Par contre, François Clerc (élongation) et Jean-Alain Boumsong (adducteurs) sont indisponibles. Ils ont rejoint Cléber Anderson (déchirure au mollet) à l'infirmerie. Lui aussi blessé, Mensah est de toute façon suspendu pour cette rencontre.

LE GROUPE : Lloris, Vercoutre - Cris, Bodmer, Réveillère, Cissokho, Grosso, Seguin - Toulalan, Källström, Makoun, Govou (cap), Ederson, Pjanic, Delgado, Mounier, Bastos - Gomis, Lisandro.

Samedi, 19h00 LES EQUIPES PROBABLES



Lyon - Valenciennes (Arbitre: M. Piccirillo)
Lyon : Leca - Réveillère, Cris, Bodmer, Cissokho - Govou, Makoun, Pjanic, Bastos - Lisandro, Gomis
Valenciennes : Leca (ou Nd'y Assembé) - Mater, Bisevac, Rafael, Tiéné - Ben Khalfallah, Cohade, Gomis, Sanchez, Danic - Samassa

LYON GAGNE PETIT ...SE RECONSTRUIT

Pour son premier match à Gerland, l'ancien Stéphanois s'est rapidement mis les supporters de l'OL dans la poche en signant l'unique et splendide but de la victoire contre Valenciennes (1-0).

Il ne pouvait pas rêver plus beau scénario. Il y a trois semaines, Bafetimbi Gomis était encore stéphanois. Recruté pour 13 millions d'euros (plus 2 de bonus) par l'ennemi régional, il avait forcément un peu d'appréhension avant de débuter au stade de Gerland contre Valenciennes. Il ne s'est pas fait prier longtemps pour convaincre ses nouveaux supporters, signant dès la 37e minute l'ouverture du score de son équipe d'une superbe tête sous la barre.

Cette fois, pas question de mimer la panthère. Gomis a célébré cette première unité au compteur lyonnais de manière plus sobre, en compagnie de Michel Bastos, son passeur décisif, puis de tous ses partenaires. «Non, désormais il n'y aura plus de panthère, confirme Gomis, qui sous-entend clairement vouloir tourner la page stéphanoise. Je ne suis plus à Saint-Etienne, mais complètement lyonnais. Il va falloir maintenant éviter de parler de Saint-Etienne.»

Très vit intégré, ses partenaires l'ont encore félicité dans le vestiaire. «Mais ce n'est qu'un but, le chemin est encore long pour parler de saison réussie, calme Gomis. Je suis là pour encore marquer.» Aligné d'entrée avec Lisandro Lopez, Gomis savoure sa bonne entente avec l'Argentin. «On se trouve bien, mais il y a encore des choses à améliorer. De façon générale, me frotter aux meilleurs joueurs du championnat me permet d'élever mon niveau.» Claude Puel, lui, savoure son recrutement «C'était Lisandro la semaine dernière au Mans, là c'est Bafé qui a été très bon dans ses remises et dans ses choix».

Avant son but, Gomis s'est procuré une belle quantité d'actions dangereuses et aurait pu finir avec un doublé ou un hat-trick. Aux Lyonnais et à Gomis de se procurer autant d'occasions mercredi contre Anderlecht, en barrage aller de Ligue des champions. «Tout le monde mesure l'importance de ce rendez-vous», insiste Gomis, comme s'il prenait rendez-vous.