UN ZESTE D "HUMOUR DANS UNE MER DE ...BONHEUR

Nice: le coup de force des marins de la SNCM.Publié le jeudi 17 février 2011 à 07H23 - 11
Les marins ont exprimé leur mécontentement dans le bruit et la couleur, mais en gardant leur sang-froid.


Venus de Marseille, 150 marins ont tenté de rencontrer le président du conseil général. Ils protestent contre la réduction des liaisons Nice-Corse par leur compagnie
Un feu de détresse qui illumine l’entrée du Centre administratif de Nice. Le symbole d’un désarroi. Celui qu’ont exprimé hier une centaine de marins marseillais CGT de la Société nationale maritime Corse Méditerranée (SNCM) venus « réclamer des comptes » au président du conseil général des Alpes-Maritimes, Eric Ciotti.

Peine perdue, car celui-ci, comme on le lira en page suivante, n’a pas souhaité les recevoir.

Une centaine d’emplois menacés

Pourquoi ces marins ont-ils fait le déplacement depuis Marseille ? Quelles sont leurs revendications et dans quel but sont-ils venus les « exporter » à Nice ? Le secrétaire général des marins marseillais CGT, Frédéric Alpozzo, le détaille : « Nous sommes en grève depuis le 31 janvier à la suite de la décision de la direction de la SNCM, dans le cadre de la réduction de ses coûts, de vendre navire à grande vitesse Liamone qui dessert la Corse au départ du port de Nice. Et de ne pas le remplacer. Cela prive non seulement notre compagnie de cette desserte NGV laissée à la concurrence, mais cela engendre des conséquences lourdes au plan social : 35 postes de travail sont supprimés. Ce qui représente entre 80 et 100 emplois physiques. On a en effet deux équipes qui tournent à plein-temps et une autre de soutien à terre. »

Le secrétaire général des marins CGT rappelle que ces dernières années, le NGV Liamone commençait ses rotations (84 au total) début avril pour terminer en septembre : « On faisait donc en hors saison, c’est-à-dire d’avril à juin, cinq jours par semaine de traversée entre Nice et la Corse pour desservir Bastia et Ajaccio, mais également les ports de Calvi et d’Ile Rousse. Désormais seul le Monte d’Oro viendra faire un toucher sur Nice le samedi et le dimanche, et en semaine, plus aucun autre bateau de la SNCM ne desservira la Corse au départ de Nice. Il y a donc suppression d’un service public, ce qui porte atteinte à la continuité territoriale. »

Les raisons qui ont poussé les Marseillais à venir en terrain niçois ? « Tout simplement parce que la direction de la SNCM nous a dit qu’elle ne pouvait pas programmer le NGV à cause des contraintes imposées par le président du conseil général des Alpes-Maritimes. »

Désireux de clarifier la situation, les syndicalistes n’ont pu rencontrer Eric Ciotti. Déçu, leur secrétaire général s’est dit prêt « à revenir massivement à Nice et à planter des tentes devant l’entrée du conseil général ».

Les représentants des protestataires ont tout de même pu pénétrer dans l’enceinte du Cadam en fin de matinée. La dizaine de policiers qui leur en interdisait l’accès, tout comme aux usagers fortement dépités, les ont laissés rencontrer les conseillers généraux de gauche qui leur ont exprimé leur entier soutien, à travers notamment les voix des communistes Noël Albin, Francis Tujague, et Jacques Victor.

Le chant du coq

La délégation était accompagnée par le patron départemental de la CGT des Alpes-Maritimes, Didier Turini très déterminé lui aussi : « C’est regrettable que le Conseil général ne s’estime pas concerné par la diminution des activités, mais c’est une fois encore le signe de la pauvreté du dialogue social dans ce département. On est choqués des motifs invoqués en conseil portuaire. La pollution et notamment le bruit. Les riverains du port me font penser à ces gens qui partent à la campagne et qui font des pétitions lorsqu’elles entendent le coq ! »

fadolli13
17/02/2011 à 21h02 | 2

Ben Ali au plus mal...Mais chez qui MAM va t-elle passer ses vacances ?

Un incident de niveau 2 à la centrale du Tricastin
6 contributions Publié le vendredi 18 février 2011 à 07H30



EDF et l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) ont signalé, hier, un incident de niveau 2 à la centrale du Tricastin, dont les groupes électrogènes de secours présentaient un défaut lié à "l'usure prématurée" de pièces mécaniques appelées "coussinets".

L'échelle Ines (International nuclear event scale) compte huit échelons (de 0 à 7). Le niveau 2 est attribué aux incidents ayant un impact sur la "défense en profondeur" avec défaillances importantes des dispositions de sécurité. EDF affirme dans son communiqué qu'elle a commencé samedi dernier à "remplacer tous les coussinets concernés par des pièces neuves".

FAUDRA QUE JE POSE LA QUESTION A ALADINE ......

IL TIRE AU CANON SUR SON PEUPLE
ET ENSUITE LE MENACE

INSTALLE DEPUIS 40 ANS DANS SA DICTATURE
DE PLUS L"ELYSEE LE RECEVAIT
COMME UN MONARQUE ..LAMENTABLE DES DEUX COTES


EN DIRECT: Kadhafi face à l'insurrection
18H00 - Purge "maison par maison" - Kadhafi menace de "purger la Libye maison par maison" pour mater la révolte, peu avant de clôturer une intervention télévisée de plus d'une heure, ponctuée par des silences et des bégaiements.

"Tous les jeunes doivent créer demain les comités de défense de la révolution: ils protégeront les routes, les ponts, les aéroports (...). Nous allons leur montrer ce qu'est une révolution populaire".
17H42 - Riposte à la "Tiananmen" - Kadhafi menace les rebelles d'une riposte similaire à la répression chinoise contre des civils sur la place Tiananmen à Pékin en 1989. Il fait aussi référence à "Falloujah", ville d'Irak qui fut le théâtre d'une répression sanglante en 2004 par l'armée américaine contre des insurgés irakiens.
17H35 - Appel aux partisans - Kadhafi appelle ses partisans à manifester à partir de mercredi
17H25 - Menace de mort - Les manifestants armés sont passibles de la "peine de mort", rappelle Kadhafi, en lisant un passage de son manifeste politique, le Livre vert.
17H20 - KADHAFI ORDONNE A L'ARMEE ET A LA POLICE DE REPRENDRE LA SITUATION EN MAIN
17H15 - Horrifié par les violences - "Je suis horrifié par le déchaînement

Sans blague, Gérald Dahan
devient un vrai Marseillais
Le célèbre humoriste a décidé de venir habiter dans sa ville "de coeur"
"J’ai appris à connaître
les Goudes, la Pointe
Rouge, les calanques

Qu’on ne s’y trompe pas: Gérald Dahan et son ami le député socialiste Henri Jibrayel sont en pleine
forme! Grâce au second, le premier a trouvé
son petit nid douillet dans les quartiers sud

Bonnet de ski enfoncé sur
le crâne et lunettes de soleil
XXL, Gérald Dahan,
souriant mais timide, comme la
plupart des humoristes, tente de
passer inaperçu à la sandwicherie
de la place Castellane où il
s’est posé. C’était compter sans
la gouaille de son ami, le volubile
député socialiste Henri Jibrayel,
qui interpelle fièrement un jeune
client de la table voisine : "Tu
le reconnais ? Eh ouique tu le reconnais!
T’es content qu’il vienne
s’installer à Marseille ?". Et l’élu
d’en rajouter une louche : "Depuis
qu’on est arrivés, tout lemonde
s’arrête et vient nous saluer.
C’est fou la popularité qu’à Gérald
!". Une popularité qui devrait
croître rapidement dans la
cité phocéenne, sa ville "de
coeur". En effet, comme il n’y a
pas d’amour, seulement des
preuves d’amour, l’ancien protégé
de Laurent Ruquier vient de
passer aux actes : l’achat d’un coquet
logement à la Cadenelle.
"J’ai essayé de le faire venir à l’Estaque.
Mais pour des raisons de
commodité, il a préféré le huitième
arrondissement" regrette
Henri Jibrayel, qui a sympathisé
avec Gérald Dahan par l’intermédiaire
de la belle-mère de l’artiste,
la socialiste Marie-Line Reynaud.
"Ça a été très vite. Je signe le
bail cette semaine, se félicite Gérald
Dahan. Et pas pour l’acquisition
d’une résidence secondaire,
non, mais pour une installation
marseillaise en bonne et due forme:
" J’ai déjà annoncé la nouvelle
à mes deux filles que j’ai souvent
emmenées ici en vacances.
Elles étaient ravies", confie le natif
de Cognac. "Pour tout vous dire,
je ne me suis jamais senti chez
moi à Paris et comme je n’ai plus
ma chronique sur Inter, je n’ai
plus l’obligation d’y rester entre
deux tournées. Maintenant, avec
internet, on peut très bien faire
son métier en dehors de la capitale".
Pourquoi Marseillecomme
nouvel ancrage ? "Déjà, il faut savoir
que j’ai commencé dans un
cabaret tenu par une Marseillaise
aux côtés d’Elie Kakou...", se rappelle
Gérald Dahan. "J’ai donc rapidement
été mis dans l’ambiance.
Et puis au fil des années, je me
suis aperçu que les gens dont je
me sentais le plus proche étaient
tous Marseillais...". Une proximité
qu’il explique par ses origines :
"Mes parents sont des pieds-noirs
du Maroc et de Tunisie. Forcément,
je me sens proche de la
mentalité méditerranéenne". Ses
multiples passages sur scène
dans la cité phocéenne auront fini
de le convaincre. "J’ai appris à
connaître les Goudes, la Pointe
Rouge, les calanques... Je suis devenu
fan de l’OM et de son histoire
incroyable. Dans l’ensemble, il
y a une grande qualité de vie ici".
Sinon, l’imitateur qui s’est fait
connaître en piégeant Nicolas
Sarkozy et Ségolène Royal compte-
t-il récidiver avec des élus de
sa nouvelle ville ? "Non, rigole-
t-il, j’ai changé de créneau". À
leur place, on se méfierait quand
même...


Un projet de
festival rire et rap
À peine arrivé, Gérald Dahan caresse
déjà le projet de s’investir
dans sa nouvelle ville : "J’ai envie
d’être un acteur de la culture
marseillaise avec un concept
que j’ai déjà testé à Cognac, ma
ville natale, et qui a eu un grand
succès populaire", pose l’imitateur.
Et de préciser : "en gros,
j’aimerais monter un festival
qui mélange rire et rap. Sur scène,
les têtes d’affiches serviront
avant tout à la découverte de
jeunes talents". Déjà, sont évoqués
les noms de Jamel et de
Grand Corps Malade... À suivre

Un projet de
festival rire et rap

Stade Vélodrome: ils ne
paieront pas!
C’est bien connu : avant de grosses
opérations immobilières, des particuliers
déposent des recours et freinent
ainsi le projet. Leur objectif parfois
est de... récolter de l’argent du
promoteur. "Et après, ils lèvent l’obstacle,
explique un responsable d’une
des sociétés qui doivent construire
les logements autour du stade Vélodrome
(d’ici à 2014). Mais je peux
vous assurer que nous, nous ne paierons
pas !"

Dernière minute - Toulon: les clients du pressing Proppy récupèrent leurs vêtements huit mois après.Publié le mardi 22 février 2011
Devant le magasin fermé, les clients font la liste de ce qu'ils avaient déposé en avril dernier, des vêtements certes mais dont certains ont une grande valeur sentimentale.


Les clients du pressing Proppy au Mourillon ont enfin retrouvé les vêtements qu'ils avaient confié a l'établissement en juin dernier. Une partie des clients avait fait appel aux avocats pour faire mandater un huissier et ouvrir les portes de l'établissement fermé sans raison. Une autre partie des clients, qui s'était réunie au sein d'un collectif, a également pu récupérer ses biens. En effet le repreneur du commerce, présent, a accédé à cette demande. Précisant que la boutique serait encore ouverte cette semaine avant de fermer pour travaux.

IL FAUDRA QUE TOUS LES POMPIERS DU MONDE LES RECHERCHENT

OU DE PAYER UNE RANCON A LEURS RAVISSUERS DANS LA BROUSSE
ET COMME NOTRE DIPLOMATIE EST BANCALE ENCORE UNE HISTOIRE A LA CON......................

LA BAGUETTE COUTAIT DEUX FRANCS ...

LA EN 2014 OU AVANT ELLE VA COUTE 1 EURO SOIT 326 % DE SON PRIX NAGUERE ...
ET VOTRE SALAIRE EN 10 ANS A TIL PRIS CETTE TANGENTE

Barbara Morel et Geneviève de Fontenay attaquées à l'oeuf au salon de l'agriculture
10 contributions Publié le jeudi 24 février 2011 à 16H54
Geneviève de Fontenay et sa Miss Nationale se prennent un œuf sur la tête... sur tv28.fr

LES OEUFS ARRIVENT A PARTIR DE 4 MINUTES 20

https://www.youtube.com/watch?v=Mi1rCFarsq0&feature=player_embedded

En visite au salon de l'agriculture, à Paris, la Miss Nationale Barbara Morel (aussi appelée "Miss de Fontenay") a été la cible d'un lancer d'oeuf alors qu'elle posait pour les photographes à côté de la dame au chapeau. Plus de peur que de mal pour l'Aixoise qui s'en tire... avec quelques taches sur ses vêtements


rien de mechant chapeau pointu turlututu

yougos100 il y a 4 heures
@LouisTheFunest je dit idem pour la technique :p

ALEX3916 il y a 7 heures
@introid038 C'est bon c'est pas comme si c'était une grenade non plus...

Smaiin92 il y a 8 heures
Le pire, c'est si elle l'avait pris dans l'oeil... une connerie débile qui aurait pu coûter très cher...

introid038 il y a 9 heures
Joli lancer pour la technique je mets 10/10

Qu'est ce qu'on s'en fout qu'elle se prenne un oeuf ? N'allez jamais dans les baptêmes d'étudiants ou à un carnaval alors vous risqueriez de vous salir.


LouisTheFunest il y a 9 heures
ROFLROFL

giftasp il y a 10 heures
c'est dégue la pauvre ! faut vraiment être con pour faire ça

thierrykssis il y a 10 heures
un abruti qui lance un oeuf ..pathetique

"On nous apprend le respect toute la journée"
Il y a 2 mois, Michel traînait son ennui à la
cité des Iris. "J’étais dehors toute la journée,
et je commençais à faire des bêtises", raconte
ce grand jeune homme de 19 ans, qu’un 2e
échec en BEP compta a laissé sans école,
sans travail, sans horaires, sans projet d’avenir.
Michel, on le retrouve ce matin-là en uniforme
bleu marine, la cravate impeccablement
nouée pour le salut au drapeau. Après
seulement 8 semaines d’internat, il se dit
"déjà changé" et "déterminé à continuer" :
"Même ma mère, elle me reconnaît plus
quand elle me voit faire le ménage dans ma
chambre le week-end! Dès mon arrivée ici,
j’ai coupé avecmavie d’avant, j’ai arrêté toutes
mes fréquentations, j’ai décidé que c’était
à moi... de décider."
La discipline qui règne au centre, les réveils
à 6 heures, les colles à la moindre entorse
au règlement, "bien sûr, c’est dur. Ce matin,
j’ai été exclu du cours pour 30 secondes
de retard. Beaucoup d’élèves craquent. Mais
ici au moins, on connaît le tarif : quand tu es
puni, tu n’as pas l’impression de subir une
injustice. Ce qu’on apprend toute la journée,
c’est le respect. Et le respect, ça va dans les
deux sens".
Tenté au départ par un engagement dans
l’Armée comme éducateur sportif Michel
hésite encore : "Ici, j’ai découvert les métiers
de la maçonnerie." Pour Alessia aussi, le
changement d’orientation s’annonce radical.
Cette jeune Montpelliéraine de 18 ans a
décroché de l’école en fin de 3e : "On m’avait
orientée en BEP d’esthétique, mais ça ne me
plaisait pas". À l’Epide de Marseille depuis 2
mois, elle rêve de devenir... géomètre. Lors
d’une rencontre avec la fédération du BTP,
elle a déjà trouvé son "parrain" : un salarié à
la retraite qui lui parle du métier, et a promis
de l’aider dans ses démarches

Camille voit la vie en rose manga
Imprégnée de l’esprit desBDjaponaises, elle en a adopté le look. Elle fera le plein ce week-end à la Japan expo Sud


Camille a adopté le look lolita manga depuis deux ans. "Y’a de la couleur, de la dentelle, des petits
noeuds, c’est beau", résume cette timide étudiante en CAP photographie à Tarascon"

Si un employeur me
refuse à cause de mon
look, tant mieux s’il ne
m’embauche pas !"

La culture manga? "Ça ne
s’explique pas vraiment,
ça fait partie de moi, je sais
juste que, pour le moment, je ne
peux pas m’en passer." À 18 ans,
Camille voit la vie en rose et pas
qu’un peu. Deux ans que ça dure.
"Avant, j’ai eumapériode gothique
manga, toute en noir."
Directement inspirée de l’esprit
lolita cher aux bandes dessinées
japonaises qu’elle dévore
depuis l’âge de 12 ans, son look
ne passe pas inaperçu. Rose, Camille
l’est de la tête aux pieds:
cheveux, vêtements, chaussures,
sac, portable, chouchou,
tout chez elle a la couleur d’un
bonbon acidulé.Mêmeses boissons
vitaminées sont roses. Piercing
et crinière rasée au bas de
la nuque viennent compléter la
panoplie. "Ça, c’est juste parce
que j’avais trop chaud, l’été."
On se retourne sur elle dans
la rue ? "Et alors, c’est pas grave",
souffle-t-elle timidement.
Camille se moque du regard
des autres sans pour autant vivre
dans une bulle. Étudiante
en CAP photographie à Tarascon,
elle assume sa passion,
à l’aise dans ses bottes à lacets
et petits noeuds venus tout
droit de Chine ("80 ¤, frais de
port compris"), commandés sur
e-bay.
Avec la bénédiction des ses
parents (elle est fille unique)
qui ont "l’esprit très ouvert" et
s’amusent de cet art de vivre.
"J’ai été accro au manga tout de
suite, c’était le premier tome de
Love Hina qu’une amie m’avait
prêté. Ce qui a de différentpar
rapport à tout ce que j’ai lu
auparavant ? Je suis vraiment
dedans, j’ai l’impression d’être
un des personnages, de faire
corps avec eux. Après, on en veut
toujours plus. On se les échange
et une bonne partie de l’argent
de poche passe dans l’achat de
nouveaux tomes."
Dans le manga, tout est exagéré,
les sentiments, les expressions,
"et c’est ça qui m’amuse.
Moi et mes copines, on ne lit que
les histoires de filles cucul".
Mais attention, rien à voir avec
la douce Candy, qui a bercé notre
enfance les mercredis
après-midi. "Ça, c’est ringard.
Le dessin est naïf, les traits et les
couleurs ont beaucoup évolué
au fil des années. Franchement,
je préfère Sweet Lolita." Sa première
Japan expo, c’était il y a
trois ans, à Paris, flanquée de
ses deux meilleures amies. La
prochaine, ce sera ce weekend,
au parc Chanot de Marseille.
"Il y a des dizaines d’exposants,
des vêtements, et surtout
il y a plein de gens comme moi.
On se retrouve entre nous et on
se fait des câlins. Si, si, c’est vrai.
Des fans de l’esprit manga se baladent
dans les allées avec des
panneaux ’Free hugs’ et on se
tombe dans les bras."
Pas question pour autant de
céder aux sirènes du cosplay (lire
ci-contre), cette pratique qui
consiste à se déguiser comme
son héros préféré et à se mettre
en scène, seul ou en groupe.
Ses adeptes seront également
au rendez-vous à Chanot. "Ça,
c’est pas mon truc. Moi, je fais
ça pour m’amuser. Leurs faux
combats, je trouve que ça va
trop loin. Ce sont des adultes enfants."
Camille, elle, veut grandir.
Plus tard, elle sera photographe
artistique. Et pas question
de mettre ses dentelles roses au
placard pour avoir plus de chance
d’être embauchée. "Si ça doit
être un frein, hé bien ça en sera
un. Je ne peux pas vivre en étant
habillée d’une façon qui ne me
plaît pas. Si un employeurme refuse
à cause de ça, tant mieux
s’il ne m’embauche pas." On ne
voit bien qu’avec le coeur. Et ça,
c’est pas du manga.


"Amusons-nous tous ensemble
!", telle est la devise de l’association
l’Aoi Sora Cosplay de Marseille.
Aoi Sora ? Traduisez "ciel
bleu", directement inspiré d’une
chanson du célèbre manga Naruto.
Quant au cosplay, c’est l’art
de se déguiser façon manga et de
se mettre en scène. En mars
2010, au lendemain de la deuxième
édition de la Japan expo Sud,
Aio Sora team voit le jour à l’initiative
de Marius. Avec pour principal
but de rassembler les fans
de BD japonaises de Marseille
qui "cosplayaient dans leur coin
ou ne pouvaient pas pratiquer
leur passion pleinement". En
quelques semaines, les fans, débutants
ou confirmés, affluent.
Marius décide de passer la vitesse
supérieure et d’opter pour le
statut associatif, qui permet une
plus large palette d’activités.
"Le cosplay est un loisir créatif
très épanouissant, soutient-il.
Nous voulons montrer à tous que
pratiquer le cosplay, c’est du pur
bonheur, loin des préjugés que
l’on peut avoir." Démonstration
à partir de cet après-midi et tout
au long du week-end à Chanot, à
Marseille. L’association y tiendra
pour la première fois un atelier,
où les visiteurs pourront notamment
assister à la fabrication des
costumes.

VIEUX TEXTES qui vont devenir des livres de chevet
ou à boire comme du petit lait au pdj

Depuis un certain temps le microcosme politique UMP bruisse autour de Rachida Dati qui a réussi à faire l’unanimité contre elle. Sa façon d’exhiber sa proximité avec le président déchaîne critiques et jalousie. Et certains ministres (Rama Yade entre autres) ne cachent plus leur irritation qui s’ajoute à celle des magistrats.



Cela commencerait-il à sentir le roussi pour Rachida Dati ?
Son image personnelle continue de se dégrader, la révélation de sa liaison avec l’un des grands patrons du CAC 40,(la Garde des Sceaux, qui fréquente depuis plusieurs années Henri Proglio, le trés sarkoziste patron de Véolia, héritière de la sulfureuse Compagnie Générale des Eaux) n’aidera probablement pas à conforter la légende de petite fille pauvre, juste travailleuse et méritante (allez savoir pourquoi, d’ailleurs…).
Les journalistes people continueront sans doute à examiner une biographie officielle qui comporte quelques incohérences, mais ce n’est pas l’objet de cet article.

C’est surtout la gestion calamiteuse de son ministère qui a fait quasiment l’unanimité contre elle. On se souvient des démissions en série de ses plus proches collaborateurs, de l’annonce récente d’une franchise sur l’aide juridictionnelle démentie par F. Coppée, de la brutalité de la féminisation des procureurs sans aucunement tenir compte des situations personnelles des magistrats encore en activité. Mais c’est évidemment la mise en place de la nouvelle carte judiciaire qui soulève un tollé, y compris dans les rangs de la majorité. Outre les critiques résumées dans mon article précédent, il apparaît de plus en plus que suppressions et maintiens de tribunaux d’instance se font au gré d’accointances politiques, violemment dénoncées par A. Montebourg dans son intervention visible ici.

Mais un certain nombre d’informations révélées par des sources diverses indiquent qu’il y a, semble-t-il, une volonté particulière du pouvoir, de protéger R. Dati.

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Sarkoléon Ier: the song remains the same !
Filed under: 21 - Mensonges de Sarko — iledere @ 11:04
Léon Blum disait qu’un homme politique est condamné à se répéter ou se contredire. Osons croire qu’il soit aussi en capacité d’inventer, d’imaginer et d’anticiper. Dans le cas de notre superministre des affaires intérieures, nous devrons nous habituer à ce qu’il se répète.

Hier soir, il nous a rappelé que le problème des banlieues était liée à la voyoucratie. Je pensais que la voyoucratie en France s’appelait Pasqua, Chirac, Forgeard, Bernard, Tchurk, Jaffré, Messier, Zacharias, Gautier-Sauvagnac, etc. J’en passe et des bien pires. Eh bien non, la voyoucratie, ce sont ces jeunes d’origine immigrée qui trafiquent dans les banlieues françaises. Avec 40% de chômage dans ses zones de “non-droit”, rappelons que la nature humaine a horreur du vide.

Il nous a aussi rappelé que les problèmes de croissance et de pouvoir d’achat en France étaient liés aux 35 heures. Il a oublié de nous parler du glissement de 10 points de PIB des revenus des salariés vers les rémunération du capital (EBE).

Il a oublié de nous rappeler que tous nos problèmes étaient dû à mai 68. Quand il organise un dîner de cons, Sarkozy invite tous les Français à table à manger de la bouillie. Eh bien nous socialistes, de sa bouillie “intellectuelle”, nous n’en voulons pas !

par Denis Szalkowski pour le blog de la section socialiste de Brionne

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29 novembre 2007
De par l’avis négatif du comité Théodule
Filed under: 09 - Evènement — iledere @ 8:14
Comment et par qui ce pays est-il dirigé ? Démonstration Mardi 27 à l’assemblée :

Députés : représentant du parlement, élu par le peuple
Membre de l’Assemblée Nationale, le député appartient au pouvoir législatif qui est le pouvoir qui vote et édicte la Loi au sens large…

Cet après midi dans l’hémicycle, au détour du débat sur la loi « consommation » :

M. Lionel Tardy – Par l’amendement 156 rectifié, nous demandons au Gouvernement pourquoi le décret d’application de la loi du 2 août 2005 visant à déterminer les conditions dans lesquelles sont définies les catégories d’acheteurs pouvant donner lieu à des différences de tarification n’a pas été pris. Deux ans pour prendre un décret, cela paraît bien long ! Au surplus, un décret est-il vraiment indispensable ? Le fournisseur ne peut-il déterminer librement, sous sa responsabilité, les conditions selon lesquelles il détermine ses catégories d’acheteurs ?

M. Michel Raison, rapporteur – Défavorable, mais je suis curieux d’entendre la réponse du Gouvernement sur les motifs qui justifient le retard pris par ce décret.

M. Luc Chatel, secrétaire d’État – Le décret dont vous parlez n’a pas été pris suite à un avis défavorable de la commission d’examen des pratiques commerciales – CEPC –, rendu en juin dernier.

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Décidément, au SΔrkΘhstan™ la nausée abonde
Filed under: 09 - Evènement — iledere @ 8:14

C’est l’AFP qui nous l’annonce ce soir : « La ministre française de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie a annoncé aujourd’hui à Rome que la France est prête à accueillir des chrétiens d’Irak, lors d’une réception à l’ambassade de France auprès du Saint-Siège en l’honneur du nouveau cardinal André Vingt-Trois. »

La France, république laïque ?
Déjà, apprendre qu’un ministre de la république s’envoie du champagne et des petits fours à la gloire de la cardinalisation d’un quidam dont la république devrait n’avoir que faire, je ne vous cache pas que ça a tendance à me hérisser légèrement le poil sur l’épiderme : Mais dans notre république (pourtant) laïque, le Ministre des Cultes se croit visiblement investi d’une mission de promotion de la religion. Loin de veiller à la séparation de l’Église et de l’État, MAM préfère s’attaquer à la loi de 1905 et s’afficher avec tous les religieux de l’hexagone. Jusques à Rome où notre ministre a donc cru bon d’aller rendre hommage à André Vingt-Trois (je-pose-cinq-et-je-retiens-deux.)

Ensuite, découvrir que le droit d’asile français ne s’appuierait plus sur les frontières des pays mais sur les communautés religieuses, voilà qui ne peut que nous étonner. A quand un droit d’asile basé sur la couleur de peau ? Il est vrai que depuis quelques jours nous savons; grâce à Alex Türk, sénateur UMP et président de la CNIL, que les statistiques ethniques voulues par Brice Hortepen™ sont en réalité une avancée pour la recherche médicale : « En matière dermatologique, par exemple, c’est important de savoir si la personne est noire ou blanche, tout le monde sait que les peaux ne réagissent pas de la même manière… » déclare t-il sans rire. Incroyable mais vrai. Et nous qui craignions pour les droits de l’homme… alors que la CNIL et ses amis ne voulaient que le bonheur des hommes à la peau sensible. Quand je pense qu’une bande de khmers rouges guevaristes, dont je suis, accuse Hortepen™ de traquer les clandestins alors que ce bienfaiteur ne veut que leur bien en leur évitant tout risque de mélanome… Ce gouvernement est décidément mal compris.

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Comments (2)
28 novembre 2007
Denis Gautier-Sauvagnac enfin en garde à vue… Bienvenue au club…
Filed under: 09 - Evènement — iledere @ 18:36
Le grand argentier du MEDEF en garde à vue pour cracher le morceau dans l’affaire de la Caisse Noire du gang des patrons.

Garde à vue prolongée pour Denis Gautier-Sauvagnac
Nous avions évoqué cette sulfureuse affaire sur laquelle la justice ne semblaient pas pressée de se pencher…

C’est chose faite et DGS a été mis en garde à vue. Le contraire aurait été surprenant. Selon le magazine Marianne de samedi Nicolas Sarkozy et Thierry Breton, tous deux ministres des finances entre 2004 et 2005, étaient au parfum quant à l’existence de la fameuse caisse noire du MEDEF et de son grand argentier Denis Gautier-Sauvagnac. Le principe de tolérance zéro s’appliquant avant tout aux plus humbles (question d’exemplarité), ces deux grands serviteurs de l’Etat n’ont pris aucune mesure, préférant s’asseoir sur le dossier. L’argent des amis influents n’a pas d’odeurs.
Anne Parisot et « l’inconscient collectif du patronnat » n’en demandaient ni plus, ni moins

Quand on parle de dopage,
on pense immédiatement
au cyclisme. Mais Jean-Pierre
de Mondenard évoque un
sujet quelque peu tabou: le
dopage dans le foot, avec notamment
un long chapitre
sur l’OM de Bernard Tapie
des années 80.



Les Italiens,
Ronaldo, Zidane et même
les arbitres ne sont pas épargnés.
Édifiant.
➔ Dopage dans le football, la Loi du
silence par Jean-Pierre de Mondenard.
éditions Jean-Claude Gawsewitch.
379 pages. 19,90¤.

Malheureusement ce n'est pas un fake

pas mal fait
utopique mais bien reflechi par nos cerveaux parisiens