ERIC ABIDAL

ABIDAL ENCORE CONVOQUÉ
Le défenseur de l'AS Monaco FC Eric Abidal a été convoqué par le selectionneur de l'Equipe de France Didier Deschamps pour affronter la Géorgie et la Biélorussie dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du Monde les 6 et 10 septembre.

Ribéry: "Voir Abidal comme ça, c'est génial"

Salué pour ses performances avec Monaco et lors du match amical de l'équipe de France en août dernier face à la Belgique (0-0), le retour d'Eric Abidal réjouit également ses coéquipiers chez les Bleus, comme Franck Ribéry, qui s'est exprimé à ce sujet ce mardi à Clairefontaine: "Abidal est un cadre, c’est un ancien joueur, il a beaucoup d’expérience. Lui aussi a connu une expérience très difficile, et le voir jouer comme cela avec Monaco et en équipe de France, c’est génial."

Abidal : «Au jour le jour»
Avant le déplacement de l'équipe de France en Géorgie, vendredi en éliminatoires de la Coupe du monde 2014, Eric Abidal a accepté de nous accorder un long entretien. Le défenseur de Monaco revient notamment sur sa greffe du foie, qui l'a tenu éloigné des terrains pendant 402 jours. Première des deux parties de l'interview.

Eric Abidal ne savait pas si le match amical contre l'Allemagne, en février 2012, serait le dernier de sa carrière. (L'Equipe)











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«Eric Abidal, votre retour en équipe de France il y a un mois face à la Belgique avait suscité beaucoup de commentaires. Désormais, plus personne ne s’étonne de vous voir en sélection.
Après ce que j’ai vécu, il peut toujours y avoir des critiques, mais comme l’a dit le sélectionneur, j’ai fait une bonne préparation. A partir du moment où je joue et où j’enchaîne les bonnes prestations, il n’y a pas de souci.

Peut-on dire que vous avez vaincu la maladie ou avez-vous toujours quelques appréhensions, la peur de rechuter ?
Oui, Tito Vilanova l’a vécu aussi. Tu vis au jour le jour. Tu peux être en pleine forme et tout d’un coup avoir une tumeur. Aujourd’hui, je profite de tous mes moments en famille, avec mes amis et sur le terrain. Tout peut aller tellement vite…

Avant le match contre l'Allemagne en février 2012, il savait qu'il allait subir une nouvelle greffe du foie. «C'était confidentiel. On a simulé une pubalgie» Face à l’Allemagne, au mois de février 2012, saviez-vous déjà que vous alliez devoir subir une greffe du foie ?
Oui, mais c’était confidentiel. Quand je suis rentré de sélection, on a simulé une pubalgie parce qu’il fallait prendre le temps de l’annoncer. J’ai pris la décision avec Pep Guardiola de pouvoir le dire à l’équipe. Ensuite, je crois que c’est Puyol qui l’a annoncé aux journalistes en conférence de presse.

Comment avez-vous vécu ce match ? En vous disant que c’était peut-être le dernier ?
Exactement. Même si ça restait un match amical, je voulais finir sur une bonne note en Bleu. Laurent Blanc aussi était fier d’avoir gagné ce match. Il connaissait ma situation.

Avez-vous douté de votre capacité à retrouver votre meilleur niveau ?
Non. Ça a été difficile. Je me suis battu pour revenir. Et aujourd’hui, je me bats pour garder le niveau. Après, si mon corps et ma santé ne me le permettent plus, j’arrêterai sans doute. Mais aujourd’hui, ce n’est pas le cas.


A quel moment le fait de redevenir un footballeur a-t-il été à nouveau un objectif ?
C’est venu petit à petit. J’ai d’abord pensé à me soigner. Après, c’était important pour moi de faire du sport, mais pas forcément au haut niveau. Je m’entraînais au jour le jour. Il y en a certains où j’étais moins bien et d’autres où ça allait mieux. En tout cas, je n’ai jamais oublié le football.

Et retrouver l’équipe de France, y avez-vous pensé immédiatement après votre match de préparation avec Monaco face à Tottenham ?
Non. A partir du moment où tu peux prétendre à être sélectionnable, il faut y croire. Mais avant ça, non. Quand ça s’est fini avec le Barça, je ne pouvais pas dire que je pensais à l’équipe de France. Je pensais d’abord à retrouver un club.

Knysna ? Il a dit les choses «aux personnes concernées»

Votre équipier à Monaco, Jérémy Toulalan, lui, se dit trop «marqué» par Knysna pour revenir en équipe de France…
Chaque joueur est différent. Jérémy s’est exprimé. Je ne peux pas débattre à sa place. Mais ça peut être compréhensible.

Il a affirmé que tout n’a pas été dit sur Knysna. Craignez-vous qu’un jour, de nouvelles révélations éclatent au grand jour ?
Non. Chacun a vécu cette expérience à sa manière. Certains sont passés par la presse. D’autres ont vu directement avec la Fédé. Ça a été mon cas et je n’ai pas eu de sanction. J’ai su oublier, même si ça a marqué les esprits. C’est une page à tourner.

En quittant l’Afrique du Sud, vous aviez déclaré que vous diriez vraiment ce qui s’est passé…
Ouais, mais il faut savoir à qui les dire, ces choses. Pour moi, c’était plutôt aux personnes concernées, à savoir l’entraîneur et la Fédération.

Retrouvez la seconde partie de cet entretien demain

«Dans le négatif, il faut toujours chercher le positif» Avez-vous regretté de ne pas avoir disputé le dernier match de poule face à l’Afrique du Sud ?
J’en ai parlé avec la Fédé, ça a été un choix. Je ne suis pas un individualiste, je pense à l’équipe. Mon discours, je ne vais pas dire qu’il a plu, mais il a été convaincant. Toutes les personnes qui comprennent le foot savent que c’est important de ne pas pénaliser l’équipe.

Qu’on en reparle, trois ans plus tard, qu’est-ce que cela vous inspire ?
Dans le foot, c’est toujours bien de rabâcher les mauvaises choses… On les garde davantage à l’esprit que les bonnes, malheureusement… Mais dans le négatif, il faut toujours chercher le positif. Et s’en servir».

Abidal : «Si Guardiola avait été là...»
La fin de son aventure à Barcelone, son retour en équipe de France, son positionnement, le Mondial... Eric Abidal n'élude aucun sujet. Deuxième partie de notre entretien avec le défenseur de l'ASM avant Georgie-France.

Eric Abidal lors de ses retrouvailles à Clairefontaine avec son ami Franck Ribéry, dont il évoque les débuts en Bleus lorsqu'il parle de la «fougue» des nouveaux. (L'Equipe)











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«Eric Abidal, vous attendiez-vous à devoir quitter le Barça cet été ?
Le problème, c’est que j’étais en fin de contrat. Dans ces cas-là, soit ton contrat est renouvelé, soit ça s’arrête. J’étais préparé aux deux situations. Ça a été compliqué et difficile à accepter, mais tu n’as pas le choix. L’aventure avec Barcelone s’est finie, mais je suis très content d’en avoir commencé une autre avec Monaco.

«Ce qui a été difficile à comprendre, c'est le discours du Barça lors de ma dernière conférence de presse» Il a malgré tout fallu convaincre Monaco que vous étiez en bonne santé…
Ce qui a été difficile à comprendre, c’est le discours du Barça lors de ma dernière conférence de presse. En affirmant que c’était un choix professionnel, ça a mis le doute aux autres clubs. Ce n’était même pas une histoire d’argent. La preuve, c’est que tous les mois où j’étais malade, le club ne m’a pas payé. Aujourd’hui, j’ai la chance d’avoir la confiance de l’entraîneur et du président de Monaco. Je touche du bois, tout va bien. Mais c’est vrai que j’ai eu une période de doute.

La fin de l’histoire au Barça aurait-elle pu être différente si Guardiola était resté ?
Certainement. C’est une personne qui m’apprécie énormément et avec qui je suis toujours en contact. C’est un très grand entraîneur, c’est lui qui m’a donné ma chance. S’il avait toujours été là, j’aurais peut-être pu continuer.

«Un équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle»

Pourquoi avoir privilégié la France ?
Je vais avoir 34 ans. J’ai une femme, des enfants. J’ai essayé de trouver l’équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle. Et puis, j’avais envie de redonner à Monaco ce que Monaco m’avait apporté.

Saviez-vous que ce serait pour jouer dans l’axe et non dans le couloir gauche ?
Oui. L’avantage avec moi, c’est que le coach sait que je peux jouer aux deux postes. Mais il y a des jeunes sur le côté. A mon âge, c’est plus facile de jouer dans l’axe.

En sélection, c’est un poste qui ne vous a pas toujours réussi…
Quand on a l’habitude de jouer à gauche en club et qu’on vous met dans l’axe en sélection, ce n’est pas évident d’avoir tout de suite des repères. Cette saison, ça sera certainement plus facile pour moi. C’est un poste qui demande d’être très concentré, de contrôler le jeu. C’est énormément de responsabilités parce que si tu fais une boulette, l’attaquant peut se retrouver en un contre un. Mais j’aime ça.

«Je fais le lien entre les jeunes et les plus anciens. C'est un rôle que j'adore» Votre retour en Bleu signifie-t-il que derrière, la relève n’est pas encore prête ?
Non, non, ça ne veut rien dire. Je me rappelle de Ribéry qui était arrivé en équipe de France au Mondial 2006. Il avait explosé tout de suite. Peu importe l’âge ou l’expérience, la fougue peut faire la différence. Les jeunes ont énormément de talent. La preuve avec Geoffrey (Kondogbia).

Quel rôle tenez-vous auprès des jeunes ?
Ce n’est pas parce que tu n’as pas le brassard que tu ne dois pas encadrer. Je fais le lien entre les jeunes et les plus anciens. C’est un rôle que j’adore.

Vous n’avez pas débuté les qualifications. Cela n’a pas été trop difficile de prendre le train en marche ?
A mon âge, c’est plus facile. Si tu arrives à 20 ans et qu’on te donne des responsabilités sur un match très chaud, c’est compliqué à gérer. Face à la Belgique (en amical le 14 août), avec Laurent (Koscielny), on n’a pas eu beaucoup de temps. On s’est beaucoup parlé pour créer des automatismes très vite. Même si tu joues le match présent, tu penses malgré tout au futur. Et le futur, c’est maintenant.

«On peut toujours espérer un faux-pas de l'Espagne, mais (...) il faut déjà faire ce qu'il faut de notre côté» Comment jugez-vous cette équipe qui a dégringolé à la 23e place du classement FIFA ?
Le classement, ça ne veut rien dire. C’est comme en Championnat. Le premier peut perdre contre le dernier. Il faut laisser du temps même si on n’en a pas énormément. Mais je ne doute pas de la qualité du groupe.

Une non-qualification au Mondial, vous y pensez ?
Aujourd’hui, on a les cartes en main. A nous de bien les jouer. Pour aller en Afrique du Sud, ça s’était joué sur les barrages. Ça avait été dur, mais on était passé. L’objectif, c’est de gagner les trois derniers matches. On peut toujours espérer un faux-pas de l’Espagne, mais pour qu’il nous soit éventuellement profitable, il faut déjà faire ce qu’il faut de notre côté.»

Créé le 09/09/2013 - 11:50
Barcelone-Rosell: "Abidal nous a appelés"

Intervenu sur la chaîne de télévision espagnole TV3, Sandro Rosell, le président du Barça, est revenu sur les propos d'Eric Abidal, qui avait récemment confié ne pas avoir été payé par le Barça lorsqu'il était malade. "On ne doit pas un seul euro à Abidal, on lui a tout versé. Tout. Je ne comprends pas ce qui s'est passé avec lui, même si je crois qu'il a appelé et affirmé que ses propos avaient mal été interprétés", a réagi le patron de la maison catalane

Joueurs
Rodriguez, Abidal, Rivière : Ranieri fait le point
Dans un entretien à L'Equipe, Claudio Ranieri a notamment évoqué le cas individuel de trois de ses joueurs : le Colombien James Rodriguez, pour l'instant relégué sur le banc, le capitaine Eric Abidal et la surprise du début de saison Emmanuel Rivière.

Abidal, « un monstre »
J'avais parlé de lui avec Guardiola, il m'a dit "prends-le et tu me remercieras en décembre". Je l'ai appelé pour lui dire merci après deux semaines. C'est un monstre. Dans le caractère, physiquement, à tous les niveaux. Il est le premier arrivé à l'entraînement et, quand on a fini, il continue. Sur le plan physique, il n'y a pas de problème actuellement. Ce sera peut-être le cas en mars ou avril, mais pas maintenant.

Monaco/Lorient J+1 Share on facebookShare on googleShare on twitterMore Sharing Services
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Les autres sollicités durant la trêve ont au moins eu des déplacements et rencontres supplémentaires. « Personnellement, je suis très fatigué, mentalement et physiquement, les voyages m'ont épuisé. Je ne triche pas, je suis le premier à dire que je n'en peux plus », a avoué Eric Abidal, qui n'a pas été ménagé depuis le début de saison.

Ainsi, la reprise interviendra mercredi pour les internationaux, quand le groupe sera de retour à La Turbie mardi. « J'en ai parlé avec l'entraîneur et les préparateurs physiques, ils savent à quel point c'est important pour la tête et les jambes de pouvoir couper. Il ne faut pas qu'on se grille », a ajouté Abidal.

Abidal: "Alves m'a proposé son foie"
Eric Abidal est un footballeur heureux. Remis de la greffe du foie, il brille de nouveau sur les pelouses de Ligue 1. Si son cousin lui a fait le don d'organe dont il avait besoin, le défenseur international tricolore a reconnu sur Radio Catalunya que Dani Alves, lui avait fait la même proposition: "Mon histoire avec Dani va bien au-delà du numéro 22 (le maillot qu'Abidal portait et qu'Alves a récupéré cette saison). Quand j'ai dû me faire opérer, il voulait me donner don foie. Logiquement, cela n'a pas pu se faire car c'est un footballeur pro. Notre relation va plus loin qu'une simple amitié." Abidal a par ailleurs confirmé qu'à la fin de sa carrière il reviendra bien au Barça pour devenir directeur des écoles de formation au niveau mondial.

Abidal : « Il y avait beaucoup de fatigue »
Ligue 1 / 15/09/2013 - 20h10 / Par Samy K.



       

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Moins en vue cet après-midi contre Lorient (1-0), le capitaine Eric Abidal n'a pas caché la fatigue suite aux déplacement en sélection, que ça soit la sienne ou celle de certains partenaires. Le défenseur reste néanmoins satisfait du résultat obtenu contre la formation bretonne à une semaine du choc à Paris...
Cette rencontre a semblé délicate à gérer sur le plan physique pour les internationaux monégasques...
C'est sûr que cela n'a pas été évident, notamment avec la chaleur et le retour de sélection. J'avais annoncé avant le match à l'équipe que ce serait très compliqué, qu'il faudrait rester concentré. Il fallait essayer de pouvoir se mettre à l'abri très tôt. Il ne faut pas retenir la manière mais seulement l'importance des trois points. On a débuté fort car, à domicile, il est important de mettre rapidement la pression sur l'adversaire. Quand le pressing est intense, la qualité technique adverse n'est pas toujours au top. C'était la volonté de l'entraîneur d'aller les chercher et de passer par les côtés. On l'a bien fait vingt minutes. Après, cela a été plus compliqué: fatigue, manque de concentration, de justesse technique, perte de ballon. Après notre premier but, le plus dur n'était pas fait. Il fallait se mettre à l'abri avec un deuxième but. Mais on a été mis en danger jusqu'à la dernière minute. Chance pour nous, on a été solide.
Le fait de gagner dans la difficulté permet-il de démontrer que vous devenez une grande équipe ?
Cela démontre la solidarité du groupe. Le match n'était pas évident. A la fin de la rencontre, j'ai dit dans les vestiaires qui si on met une autre équipe à notre place, cela se termine certainement par un autre résultat. Il faut être content de cette victoire. Il y avait beaucoup de fatigue, surtout mentale. Il faudra bien récupérer avant d'aller à Paris. L'entraîneur est assez intelligent, il a donné deux jours de repos aux internationaux. Il est important pour la tête et les jambes de pouvoir couper. A titre personnel, je ressors très, très fatigué de l'enchaînement des matches. Il ne faut pas tricher, annoncer si l'on est fatigué, même si c'est un match au Parc. Je suis le premier à dire si je n'en peux plus. C'est chose faite (rires). Ce sont plus les voyages que les matches qui m'ont fatigué. Il faut penser "esprit équipe", c'est ce qui marche depuis le début de la saison.
Ce type de prestation ne sera pas suffisante contre Paris...
Contre une équipe différente de Lorient, le résultat peut être tout autre, mais on peut être satisfait. On frappe un grand coup encore. Après Marseille, il fallait faire un bon résultat à la maison, chose faite. On avance. Maintenant, il faut bien travailler cette semaine pour arriver avec énormément de fraîcheur au Parc, où on se déplacera pour gagner. Mais si on fait un mauvais résultat, je ne pense pas que ce sera la crise. Aller là-bas en leader, cela met moins de pression. On est capable de faire un grand coup. On a déjà marqué les esprits jusqu'à présent.

Paris SG/Monaco J-4
Abidal : « On aura moins de pression » que le PSG

Eric Abidal : "Garder le même état d'esprit"
par Yannick Pelayo
© Photo : ASM FC - Stéphane Senaux
De retour à l'entraînement ce jeudi, le capitaine asémiste se confie sur l'équipe de France, les barrages pour la Coupe du Monde 2014 et le prochain match à Sochaux.

Eric, comment te sens-tu après une semaine et demi passée avec l'équipe de France ?
Je me sens très bien. Je suis en pleine forme, j'ai les jambes et je suis content d'avoir gagné ces deux matchs contre l'Australie et la Finlande. C'est comme toujours, avec les victoires on sent moins la fatigue.
La France va disputer les barrages de qualification pour la Coupe du Monde, dans quel état d'esprit appréhendes-tu cette échéance capitale ?
C'est un peu notre Champions League. C'est une demi-finale avec matchs aller/retour, celui qui passe est qualifié pour la finale qui se déroulera au Brésil.
Alors que le tirage au sort des barrages sera effectué lundi prochain, Danijel Subasic a déclaré ne pas souhaiter rencontrer la France avec la Croatie, tandis que Joao Moutinho nous a confié que deux nations comme le Portugal et la France doivent être présentes au Brésil. Quel est ton avis sur ce sujet ?
Comme Joao, je pense que c'est important d'avoir de grandes équipes pour une grande compétition comme le Mondial. Après, concernant ces barrages peu importe l'adversaire, l'important c'est de se qualifier et de participer à ce grand rendez-vous brésilien.
Tu as retrouvé le Centre d'Entraînement de La Turbie ce jeudi après-midi, avec quelles sensations ?
De bonnes sensations, comme d'habitude. Il y a une très bonne ambiance dans le groupe, nous avons réalisé un bon entraînement, et surtout une bonne récupération pour moi avant la grosse séance de ce vendredi. C'est toujours un plaisir de retrouver ses coéquipiers après quelques jours d'absence.
Dimanche vous vous rendez à Sochaux, comment abordes-tu cette rencontre ?
Cela va être un match compliqué, surtout à l'extérieur contre une équipe sochalienne qui a de la qualité, mais pas énormément de réussite depuis le début de saison. Il ne faut surtout pas la prendre à la légère, nous devons garder le même état d'esprit que lors des derniers matchs, avec le même objectif de tout donner pour la gagne.

Rien de grave» pour Abidal








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Annoncé titulaire (et capitaine) sur la feuille de match de Monaco à Sochaux, dimanche après-midi, Eric Abidal a dû renoncer au dernier moment à participer, en raison d'une douleur au quadriceps.

Ça n'est rien de grave, a rassuré le défenseur central de Monaco et de l'équipe de France au micro de Canal+. Déjà hier (samedi), j'avais cette douleur au quadriceps et on n'a pas voulu prendre de risque. Il vaut mieux perdre trois jours que trois semaines.»

Eric Abidal était bien présent lors de l'échauffement asémiste au Stade Bonal. Le capitaine avait tenu à effectuer un essai malgré une petite douleur à un quadriceps ressentie la veille à l'entraînement. Il s'est résigné à déclarer forfait.

Une décision prise en accord avec les staffs technique et médical, au regard du grand nombre de matchs disputés par le défenseur central depuis le début de saison, mais aussi des échéances qui attendent l'AS Monaco FC avec trois matchs la semaine prochaine face à Lyon, Reims (Coupe de la Ligue) et Lille.

Monaco-Abidal: "Lille est difficile à bouger"
Revenu à hauteur du Paris Saint-Germain ce week-end grâce à son succès face à Lyon (2-1), l'AS Monaco s'apprête à vivre un choc dimanche soir. Les Asémistes se rendront à Lille, pour le compte de la 12e journée de Ligue 1. Un déplacement chez les 3e du classement qui s'annonce délicat pour l'actuel dauphin du PSG. Eric Abidal en est bien conscient. "Lille est très costaud. Ça fait longtemps que les joueurs jouent ensemble. A l’époque ça jouait la Champions League et c’était déjà bien rodé. J’ai regardé leur dernier match. C’est une équipe très difficile à bouger. Maintenant il faut être concentré. Si on joue comme on a joué notre deuxième mi-temps hier c’est sûr que ça va être compliqué pour nous. Il faut prendre le temps de bien le préparer pour espérer aller faire un résultat là-bas", a déclaré le capitaine monégasque, lundi, en conférence de presse, dans des propos relayés par le site officiel du club de la Principauté. Mais avant d'affronter le Losc, les hommes de Claudio Ranieri se déplaceront à Reims, mercredi, à l'occasion des 16e de finale de la Coupe de la Ligue.

Éric Abidal : "Lille, une rencontre particulière pour moi"
par Simon Rémoussin
© Photo : Stéphane Senaux
L'AS Monaco FC se déplace à Lille pour la douzième journée de Ligue 1.

Éric Abidal : "Je n'ai passé seulement que deux saisons à Lille et ça a été pour moi deux saisons extraordinaires. Avec un coach qui me faisait confiance et des supporters énormes. C'est une rencontre particulière pour moi. J'espère que ça va être un bon match, un beau spectacle pour tout le monde et une victoire de l'ASM FC au bout."
"Lille est une équipe très costaud. Cela fait longtemps que les joueurs jouent ensemble. C'est une équipe très difficile à bouger. On va prendre le temps de bien préparer cette rencontre et espérer faire un bon résultat là-bas."

Abidal y croit







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Dans une interview diffusée dans le Canal Football Club ce dimanche, Eric Abidal a déclaré croire «dur comme fer» aux chances de voir l'équipe de France triompher à la Coupe du monde 2014 au Brésil. «On l’a démontré sur le dernier match : cette rage de vaincre que l’on a pu avoir, avec les joueurs de qualité que l’on a - à 100% - on est capables de faire quelque chose de grand», a justifié le défenseur de Monaco, qui a aussi expliqué avoir été «comme un gamin» après la qualification des Bleus.

Abidal est ensuite revenu sur son retour sur les terrains, qui a nécessité «énormément de boulot». «Quand tu n’as pas assez de force pour faire 100 mètres, pour monter sur une terrasse, l’effort est colossal», a-t-il confié avant de conclure : «Je ne sais pas si j’ai retrouvé mon niveau, mais en tout cas je me sens bien dans mes pompes».

Abidal y croit







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Dans une interview diffusée dans le Canal Football Club ce dimanche, Eric Abidal a déclaré croire «dur comme fer» aux chances de voir l'équipe de France triompher à la Coupe du monde 2014 au Brésil. «On l’a démontré sur le dernier match : cette rage de vaincre que l’on a pu avoir, avec les joueurs de qualité que l’on a - à 100% - on est capables de faire quelque chose de grand», a justifié le défenseur de Monaco, qui a aussi expliqué avoir été «comme un gamin» après la qualification des Bleus.

Abidal est ensuite revenu sur son retour sur les terrains, qui a nécessité «énormément de boulot». «Quand tu n’as pas assez de force pour faire 100 mètres, pour monter sur une terrasse, l’effort est colossal», a-t-il confié avant de conclure : «Je ne sais pas si j’ai retrouvé mon niveau, mais en tout cas je me sens bien dans mes pompes».

PSG: Thiago Silva admire Abidal

Considéré par beaucoup comme le meilleur défenseur du monde actuellement, Thiago Silva a donné un autre nom, dimanche dans le Canal Football Club, lorsqu'il a été interrogé sur la question. "Aujourd’hui c’est Abidal, a ainsi lancé le défenseur brésilien sur Canal +. En plus d’être un mec bien, il fait toujours la différence dans le jeu. J’admire beaucoup sa tranquillité dans le jeu. Je cherche à faire comme lui: rester tranquille." L'international auriverde craint d'ailleurs beaucoup l'équipe de France en prévision du Mondial 2014 organisé l'été prochain dans son pays d'origine, malgré la qualification poussive des Tricolores: "La phase qualificative a été très compliquée. En 93, le Brésil avait eu une énorme pression pour battre l’Uruguay avant de remporter le mondial en 94. Alors la France a de grandes chances de gagner la Coupe du Monde, mais bien sûr le Brésil va tout faire pour éviter ça !"

Abidal : «Le Mondial est un objectif»

Le défenseur central de Monaco, Eric Abidal, qui a retrouvé l'équipe de France cette saison après avoir été greffé du foie, a souligné mercredi en conférence de presse que disputer «le Mondial est un objectif, je ne l'ai jamais caché. C'est pour cela que je me suis battu». L'ex-défenseur barcelonais a cependant reconnu que son avenir en Bleu n'était pas certain et passait par «de bonnes prestations en club». «Ensuite, c'est le sélectionneur qui décide, qui fait son groupe», a-t-il poursuivi en précisant: «Si je ne suis pas dans le groupe, je souhaiterai à l'équipe de France d'aller en finale» de la compétition.

Abidal, 66 sélections en Bleu, a disputé 17 rencontres, toutes en tant que titulaire, avec Monaco cette saison, ainsi que 6 rencontres en équipe de France.

19/01/2014 08:20:07

Foot Ligue 1 Monaco Abidal a besoin de (se) rassurer
Alors que Monaco doit se relancer à Toulouse ce dimanche (17h00) après une défaite et un nul en Championnat, son capitaine et défenseur Eric Abidal semble plus fragile ces derniers temps.

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Après un début de saison encourageant, Eric Abidal apparaît moins fringant depuis quelques semaines. (L'Equipe)




Obnubilé par l’idée de retrouver le goût de la compétition, Eric Abidal a d’abord montré qu’il pouvait enchaîner des matches. Depuis le début de saison, il a été plus souvent impressionnant ou compétitif que pas assez avec Monaco. C’était tout sauf une évidence l’été dernier pour un joueur de 33 ans qui avait été à l’écart de la compétition à Barcelone durant treize mois, entre mars 2012 et avril 2013, après avoir subi une opération d’une tumeur au foie en mars 2011 puis une greffe en avril 2012. Mais ces derniers temps, le capitaine monégasque est moins souverain. A Montpellier, lors de la dernière journée de Championnat, il a été pris de vitesse sur un dribble de Cabella, ce qui a coûté un penalty à son équipe synonyme d’égalisation montpelliéraine (1-1, le 10 janvier). A Vannes, en Coupe de France (3-2, le 5 janvier), il aurait sans doute pu mieux intervenir sur le deuxième but vannetais et rattraper une défaillance d’Isimat-Mirin. Avant la trêve, contre Valenciennes (1-2, le 20 décembre), il avait malencontreusement marqué contre son camp sur le premier but nordiste et avait été feinté par Dossevi dans l’action du deuxième, un contre.

«Dans l'équipe, il peut arriver que deux ou trois joueurs soient moins bien, mais si le collectif est là, ça peut ne pas se voir». Abidal semble donc moins vaillant et avoir moins de facilités dans les duels et les relances, après une série de cinq matches sans encaisser de but à laquelle il n’était pas étranger. «Je ne le vois pas très différent, observe toutefois l’ex-coach de Rennes et consultant Canal+ Frédéric Antonetti. Il s’est fait prendre par Cabella, comme beaucoup. Il y a peut-être eu deux ou trois incidents dans la lecture du jeu, en sachant que désormais il est plus un joueur de lecture de jeu et d’anticipation que de duels, comme Carvalho, et peut-être y prête-t-on plus attention parce que l’équipe est moins bien, mais je n’ai pas vu de contre-performance flagrante.»

En conférence de presse, vendredi, Claudio Ranieri l’a également défendu «C'est toute l’équipe, pas seulement un joueur. Dans l’équipe, il peut arriver que deux ou trois joueurs soient moins bien, mais si le collectif est là, ça peut ne pas se voir. Je ne pense pas qu’Eric soit en difficulté, c’est un moment comme les autres». Et de pousuivre : «Je protège tous mes joueurs. Eric, c’est le capitaine, c’est un grand joueur. Il joue bien 90 % du match. Le jour où un joueur ne jouera bien que 80 % des matches, je ne le protégerai plus.» Touché au genou contre Montpellier, Abidal tiendra sa place à Toulouse ce dimanche après-midi avant de manquer le 16e de finale de Coupe de France mercredi à Lyon contre Chasselay (CFA) pour cause de suspension. Il connaît peut-être un contrecoup physique après une première partie de saison très dense avec l’équipe de France en plus. Même s’il a manqué le barrage retour face à l’Ukraine,  il devrait malgré tout faire partie des quatre défenseurs centraux pour la Coupe du monde au Brésil (avec Varane, Sakho et Koscielny). S’il ne faiblit pas d’ici là…

Abidal : «Tout reste possible»
«Très content» du résultat du choc entre Monaco et le PSG dimanche (1-1), Eric Abidal veut «se servir de ce match nul pour avancer». Tout en rappelant que «l'objectif, c'est de jouer la Ligue des champions» l'an prochain.

http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Abidal-tout-reste-possible/439998

Eric Abidal, quelle analyse faites-vous de ce match face au PSG ?
Il y a eu un bon match de notre part, comme des Parisiens. On s’est créés des occasions et on a su les mettre en danger. Au final, cela s’est joué à pas grand-chose. A la fin, la partie aurait pu basculer dans le mauvais sens. Mais je suis très content de ce résultat, on n’était pas favori. Mais on a démontré que sur un match on pouvait rivaliser avec le PSG.

Avez-vous des regrets ?
On peut en avoir. On a eu des occasions. On aurait pu faire davantage la différence. Mais on n’est jamais à l’abri contre le PSG. C’est une équipe qui marque quasiment à tous les matches. Elle l’a encore prouvé sur coups de pied arrêtés.

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A qui profite ce nul ?
Certainement aux équipes qui sont derrière nous. Elles grappillent des points. Mais, l’important pour nous ce soir était de ne pas se faire décrocher par Paris. On reste à cinq points et tout reste possible. Il faut se servir de ce match nul pour avancer.

«Redevenir grand comme l'AS Monaco à une certaine époque.» Le titre est-il envisageable ?
L’objectif, c’est de jouer la Ligue des champions en fin de saison. On a fait deux bons résultats contre le PSG. Il faut retenir les bonnes choses et rectifier les moins bonnes.

Monaco est-elle déjà une grande équipe ?
Par rapport à la saison dernière, c’est une équipe de L2 qui monte en L1. On a prouvé pas mal de choses depuis le début de saison. De là à dire que l’on est très grand, je ne sais pas… L’objectif est de redevenir grand comme l’AS Monaco à une certaine  époque.»

Ranieri: "Abidal, un choix de ma part"

Après la victoire à Bastia (2-0), samedi en Ligue 1, Claudio Ranieri a écarté Eric Abidal pour lui "donner un peu de repos", alors qu'il avait déjà été ménagé contre Nice, mercredi en Coupe de France. "C’était un choix de ma part parce qu’Isimat-Mirin a fait un bon match contre Nice. Il (Abidal) a fait tous les matches et j’ai beaucoup de bons joueurs. Isimat-Mirin, c’est un bon joueur. Je ne sais pas si c’est pour un seul match ou plus longtemps", a expliqué le coach italien, rapporte RMC. L’international français a accepté cette décision. "C’est un joueur très intelligent et un homme très intelligent", a attesté Ranieri.

Abidal a pris une claque
dimanche 16 février 2014 BASTIA
de notre envoyé spécial RÉGIS TESTELIN

Éric Abidal (à gauche) discute avant la rencontre avec l'attaquant de Bastia, Toifilou Maoulida. (Photo Michel Maestracci/Icon Sport)









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Apte à jouer, le capitaine de l'AS Monaco ne figurait pas sur la feuille de match, hier à Bastia. Claudio Ranieri, son entraîneur, dit ne pas avoir encore décidé s'il l'alignera vendredi contre Reims.

ILS Y ONT tous droit et il n'est pas sûr que cela les amuse beaucoup. Après James Rodriguez, dressé aux joies du banc de touche pendant deux mois, l'été dernier, après Radamel Falcao, remplacé à l'heure de jeu à Nantes (1-0, le 24 novembre) en prime time par Anthony Martial, et après Joao Moutinho qui, contre toute attente, était resté assis pendant quatre-vingt-dix minutes à Toulouse...

Monaco: Abidal aurait pu rejoindre le Bayern Munich
Dans un entretien accordé la radio RAC1, Eric Abidal est revenu sur sa carrière et notamment sur l'après Barcelone, quand il s'est retrouvé sans contrat et avec une proposition de la part Pep Guardiola pour le rejoindre au Bayern Munich. "Pep me l'a proposé car il savait que je n'avais pas de contrat et aussi car il savait que je connaissais bien Ribéry, mais ce n'était pas facile. Mon idée était de boucler la boucle avec Monaco, là où j'ai commencé", a expliqué l'ancien Barcelonais. Et le défenseur français de revenir également sur son départ du club catalan: "Je ne me suis pas senti trahi, car ils ne m'ont jamais dit que je resterai", avant de continuer sur le sujet : "J'ai toujours été positif. Je sais que dans la vie on n'obtient pas toujours ce que l'on veut, ça a été six années exceptionnelles". Pour "Abi", son passage au Barça restera un grand moment de sa carrière avec un souvenir en particulier. "Soulever la Ligue des Champions, et avec le brassard de capitaine, ce fut le plus beau moment de ma vie", a confié l'ancien numéro 22 du FCB. Pour son après carrière Abidal se voit d'ailleurs retourner dans la capitale catalane: "C'est compliqué de savoir ce qu'on fera après le football, mais j'aimerais retourner au Barça et en particulier à la formation". Pour ce qui est de l'avenir plus proche le défenseur de 34 ans sera peut-être au Camp Nou dimanche pour "remercier le Camp Nou pour tout l'amour qui lui a été donné".

État grippal pour Abidal

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Absent ce jeudi matin à l'entraînement, le défenseur et capitaine monégasque Eric Abidal présente un état grippal selon le communiqué délivré par le club. Il est incertain pour le déplacement à Saint-Étienne, samedi (17h00). Claudio Ranieri ne sait pas si son défenseur pourra s'entraîner normalement vendredi. En revanche, le technicien italien de Monaco se réjouit de la montée en puissance d'Aymen Abdennour qui est repris le chemin des terrains après une lésion à un genou.