EN AFRIQUE LES FRANCAIS SONT EN CAN ....

Les egyptiens pratiquent un beau foot ball

JUDAS a écrit:Les egyptiens pratiquent un beau foot ball

C EST EUX QUI ONT UNE RIGUEUR EUROPEENNE...
A L"INSTAR DES AUTRES AFRICAINS

A deux jours de l'explosive demi-finale de la CAN contre l'Egypte, l'Algérie s'est entraînée mardi sans son milieu de terrain Karim Ziani, menagé « par précaution» à la suite d'une légère élongation. Les examens médicaux effectués n'auraient rien révélé d'anormal, et le staff des Fennecs s'est dit optimiste quant à sa participation au match de jeudi.

Les autres joueurs se sont entraînés normalement, y compris le gardien Chaouchi, qui avait dû temporairement porter une minerve à la suite d'un choc avec Drogba en quart de finale contre la Côte d'Ivoire (3-2 a.p.).

Saâdane : « Nous aurons un avantage » 27/01/2010 17:59
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Le sélectionneur de l'Algérie, Rabah Saâdane, observe dans son équipe « une force de caractère très intéressante » et confie que « la différence se fera sur un rien du tout » contre l'Egypte, jeudi, en demi-finale de la CAN 2010 à Benguela. (Photo Presse-Sports)

« A quel genre de match vous attendez-vous ?
C'est une demi-finale, donc ce sera un gros match. Les deux équipes sont en très grande forme, et l'Egypte n'a encore perdu aucun match. Ce sera un match très tactique, parce que la fatigue va entrer en ligne de compte : les deux équipes ont joué 120 minutes en quarts de finale. Cela va se jouer sur la récupération, sur les blessures...

Justement, où en est Karim Ziani, victime d'une élongation ?
On a fait une échographie qui n'a révélé rien de méchant. Il est toujours en soins. Il va faire un test aujourd'hui, et on verra demain.

Sur quoi peut se jouer ce match ?
Ce sera la quatrième confrontation de la saison, les deux équipes se connaissent donc parfaitement. Ce sera un match très serré. La différence se fera sur un rien du tout, comme un coup de pied arrêté, une erreur défensive... Les deux équipes sont très proches.

Mais l'Algérie s'est qualifiée pour le Mondial, au détriment de l'Egypte. Aura-t-elle un avantage psychologique ?
C'est certain que nous aurons un avantage psychologique. Mais peut-être que pour les Egyptiens, il y aura un air de revanche : ils vont vouloir prouver qu'ils sont meilleurs et qu'ils méritaient d'aller à la Coupe du monde.

L'Egypte est-elle plus forte qu'en 2008 ?
Oui, elle est plus forte, parce qu'il y a des joueurs qui arrivent en forme dans la compétition, et parce qu'elle a su injecter des jeunes qui s'avèrent de grands talents, comme Geddo.

Quelles sont les individualités que vous redoutez ?
Il y a surtout le capitaine, Hassan, qui est leur pièce maîtresse. Il y a aussi l'attaquant Meteab qui revient en forme, et les deux latéraux qui sont très bons, surtout celui de droite. Et puis ils ont une bonne aptitude défensive, beaucoup de cohésion.

Quel est l'état d'esprit de l'équipe d'Algérie ?
Il est très bon. Comme on a voyagé hier, ç'a été très lourd et très difficile, extrêmement fatigant. Ca a duré toute la journée, avec les bagages, nous avons accumulé de la fatigue. Ici en Angola, ça met du temps... Alors que l'Egypte n'a pas bougé. C'est un avantage d'être tête de série. Nous, on revient de loin. On a déjà fait preuve de caractère, on l'a démontré après le premier match (perdu 3-0 contre le Malawi, Ndlr) en battant le Mali (1-0). On a été mené deux fois par la Côte d'Ivoire, et on revient. C'est une force de caractère très intéressante. »

Les Ghanéens seront en finale de la CAN 2010 après une prestation intelligente
et solide face à des Nigérians empruntés

le but à la 21e de A.Gyan aura suffi
pour donner la victoire au GHANA sur le NIGERIA 1 A 0

Sur un corner d'Asamoah qu'il avait lui-même provoqué,
Gyan LE RENNAIS coupe la trajectoire du ballon reprenant de la tête au premier poteau. Enyeama est battu.

Vainqueur dans la confusion de l'Algérie (4-0), l'Egypte affrontera le Ghana en finale de la CAN. L'affrontement attendu a été faussé après l'expulsion du défenseur algérien Halliche et un penalty accordé aux Pharaons.


Pharaons égyptiens, victorieux des Fennecs algériens (4-0). Des Egyptiens dont on imagine déjà les rêves d'un triplé inédit. Vainqueur de la compétition à six reprises, l'Egypte tentera de confirmer ses deux derniers sacres de 2006 et 2008 mais la façon avec laquelle elle s'est hissée en finale laisse un goût franchement amer. D'inachevé. On attendait davantage des retrouvailles entre les deux équipes qui s'étaient expliqué en barrage pour gagner le droit de disputer la Coupe du monde. Tout le monde s'en souvient, cela avait été très chaud. Mais l'Algérie avait conquis à la loyale son billet pour l'Afrique du Sud. Jeudi soir, elle peut légitimement en vouloir aux arbitres de l'affiche tant attendue, véritable finale avant la lettre.


Penalty juste mais expulsion sévère
Car la rencontre a été faussée par les maîtres du jeu dont la mauvaise appréciation a fait basculer les débats. En premier lieu, Monsieur Kodjia qui a expulsé injustement le défenseur algérien Halliche pour deux cartons jaunes. Le premier était extrêmement sévère tandis que le second, donné quelques instants plus tard et consécutif à une faute dans la surface et donc à un penalty, pouvait se comprendre. La conjonction des deux avertissements apparaît très sévère, ce que n'est pas ce penalty. C'est le règlement, faute dans la surface équivaut à la sentence et il y avait faute. Mais ce « peno » transformé par Hosny aurait dû être retiré puisque le milieu offensif égyptien a marqué un temps d'arrêt dans sa course d'élan avant de battre Chaouchi dont la colère après-coup était compréhensible. Dès cette 39e minute, la fête était gâchée. Les Algériens n'allaient pas s'en remettre.

Les Fennecs terminent à huit

Nation la plus forte sur les deux dernières Coupes d'Afrique, l'Egypte n'avait pas besoin de ça pour rallier à nouveau la finale. En supériorité numérique, les Pharaons ont corsé l'addition par un superbe but de Zidan qui, après un crochet du doit a enchaîné une frappe magistrale du gauche se logeant en pleine lucarne (65e). Quatre minutes plus tôt, Yebda aurait égalisé sur coup franc sans un superbe arrêt d'El-Hadary. Les Egyptiens ont profité de leur avantage numérique pour enfoncer l'Algérie sur deux autres buts de Abdul-Shafi (81e) et Naguy (90e+3) alors qu'en face, démobilisés en seconde période, les Algériens ont aussi eu le tort de craquer. Belhadj, pour avoir « découpé » Al-Muhammadi (70e), et Chaouchi, pour une faute sur un attaquant adverse (87e), ont vu rouge et laissé leurs partenaires terminer la partie à huit. L'Egypte était peut-être la meilleure des deux équipes et peut-être la meilleure d'Afrique - elle devra le prouver face au Ghana - mais avant le tournant du match, c'était loin d'être évident. Les Algériens pourront toujours se consoler en se disant qu'à la différence de leur vainqueur du soir, ils joueront le prochain Mondial. Mais on doute que ce soit suffisant après pareille déculottée dans de telles conditions.





Rabah Saâdane (sélectionneur de l'Algérie) : « L'arbitre a expulsé gratuitement notre meilleur défenseur, c'était bien planifié avant. Il faut voir la réalité: le match, c'est l'arbitre qui l'a fait basculer, c'est clair et net (interrogé sur un éventuel recours). Ce n'est pas nécessaire, il faut s'arrêter là. L'essentiel est d'avancer. (Le match de la 3e place) Je vais faire tourner. (Au sujet du bilan de la CAN) Il est très positif. C'est une grande expérience pour tout le monde. On a fait beaucoup de progrès sur le plan collectif, mais il nous reste beaucoup à faire. On joue un total de six matches, c'est une bonne chose pour faire progresser une équipe qui est jeune et qui a de l'avenir. »

Chaouki Gharib (adjoint du sélectionneur de l'Egypte) : « On a joué cinq matches dont trois contre des équipes qualifiées pour la Coupe du monde, et on a gagné ces trois matches, en marquant dix buts. C'est grâce à notre stratégie, on sait comment négocier les matches et comment faire avec l'adversaire. Le match conte l'Algérie s'est très bien passé sur le terrain, on remercie l'organisation et la police de Benguela pour tout ce qu'ils ont fait pour nous. On souhaite bonne chance à l'Algérie en Coupe du monde parce qu'elle représentera le monde arabe en Afrique du Sud. Nous sommes des frères, et ce n'est pas pour un match de foot qu'on va couper nos relations avec des pays frères. On a dit dès le départ: nous sommes champions, nous sommes venus pour défendre notre titre et uniquement pour ça. L'équipe du Ghana est très forte, et elle ira en Coupe du monde. L'arbitrage ? Nous ne sommes pas qualifiés justement à cause d'une erreur d'arbitrage. Dans le foot, il y a des erreurs de l'arbitre. Mais je ne veux pas juger l'arbitre. L'équipe d'Egypte a fait un excellent match pour le foot africain. »

Karim Matmour (attaquant de l'Algérie) : « On ressent une grande frustration. Quoi qu'on fasse, on nous mettait encore des bâtons dans les roues. Pourtant même à 10 contre 11 on sentait qu'on pouvait revenir. Ca faisait vingt ans que l'Algérie ne s'était pas retrouvée en demi-finale d'une CAN. On sentait qu'on pouvait faire quelque chose. Le bilan est plutôt positif, mais nous, en tant que joueurs, on ne peut pas se contenter de ça. On est jeunes, on sait que dans l'avenir on pourra faire quelque chose ».

Madjid Bougherra (défenseur de l'Algérie) : « On a eu deux adversaires ce soir: l'Egypte et l'arbitre. Le premier but, c'est un penalty litigieux avec un carton rouge immédiatement. On a tenu, j'étais très confiant en début de deuxième mi-temps, mais avec deux autres cartons rouges ça devenait difficile. On reste fiers, les gens ne nous attendaient pas en demi-finale. On est une jeune équipe qui va encore progresser. Et c'est nous qui allons au Mondial ».

Imad Meteeb (attaquant de l'Egypte) : « On a été plus chanceux que lors du précédent match. Si on gagne avec quatre buts, c'est dû aux trois expulsions, avec une telle supériorité numérique, ça devenait plus facile ».

Des Pharaons éternels
L'équipe Égypte est entrée dans l'histoire, dimanche après-midi à Luanda, en s'adjugeant une troisième Coupe d'Afrique des Nations Orange d'affilée après être venue à bout du Ghana par la plus petite des marges (1-0). Une performance jamais réalisée jusqu'à présent et qui consacre les Pharaons comme la meilleure formation du continent africain.


L'Égypte de Fathi a terrassé le Ghana d'Asamoah . Ils l'ont fait. Déjà double tenante du titre, l'Égypte a remporté pour la troisième fois consécutive la Coupe d'Afrique des Nations Orange en s'imposant face au Ghana (1-0), dimanche à Luanda, lors de la finale de cette 27e édition. Un exploit pharaonique pour la troupe d'Hassan Shehata qui inscrit son nom sur le trophée pour la septième fois en tout. Une domination continentale qui fait également entrer les Égyptiens dans l'histoire.

La première période ne donne pourtant pas l'envie de se réjouir. Que ce soit dans le camp des double champions en titre ou dans celui des Ghanéens. Sans doute bloqués par l'enjeu, les vingt-deux acteurs n'offrent que peu d'occasions de s'enflammer aux supporters pourtant venus en nombre pour garnir les travées du stade national du 11 novembre. Seule véritable opportunité de prendre l'avantage durant cette première partie du match : une frappe du gauche de Kwadwo Asamoah aux 25 mètres qui n'inquiète cependant pas vraiment Essam El-Hadary qui capte facilement le cuir après un rebond (24e).

Gedo, le joueur providentiel

A la pause, le score est toujours nul et vierge et l'impression générale est loin d'être positive. Au retour des vestiaires, les Black Stars reviennent sur la pelouse avec l'intention de forcer la décision. Et logiquement, les partenaires d'Andre Ayew vont prendre les choses en main. Asamoah Gyan se met notamment en évidence en se procurant plusieurs bonnes situations. L'attaquant du Stade Rennais bute d'abord sur le portier adverse sur coup franc (53e) avant de voir le cadre se dérober à deux reprises (63e et 74e). La domination est ghanéenne et les Pharaons souffrent, notamment sur le plan physique.

C'était sans compter sur l'homme providentiel de l'Égypte durant cette CAN 2010. Mohamed Nagui dit Gedo est le véritable détonateur de cette compétition. Jamais titulaire durant le tournoi, le milieu de terrain d'Eletehad pointe pourtant en tête du classement des buteurs. Et il va encore s'illustrer en entrant en jeu à vingt minutes de la fin... Sollicitant un une-deux avec Mohamed Zidan, Gedo se retrouve sur la gauche de la surface de réparation avant d'ajuster Richard Kingson du droit à la manière d'un Thierry Henry (1-0, 85e). La messe est dite et le Ghana ne reviendra pas malgré des ultimes tentatives de Badu (90e) et Addo (90e+3).

Avec cinq buts au total, Gedo aura été sans contestation possible LE joueur de cette CAN pour l'Égypte. Une équipe qui laissera sa trace dans l'histoire du football africain malgré une finale où elle aura plus subie qu'autre chose. Voilà un paradoxe qui rappelle également que les Pharaons ne seront pas au rendez-vous de la Coupe du Monde en Afrique du Sud alors que le Ghana tentera certainement d'y oublier cette finale continentale perdue.

GERETS LE FRANCO BELGE

ET SI LA COTE D"IVOIRE L""ENGAGE
ON A VA CHANGER CE TITRE


"""LES FRANCAIS SONT EN CAN EN AFRIQUE
ET LE REMPLACER

PAR

EN AFRIQUE LES BELGES...ONT LA FRITE

Afrique: Ballon d'or africain - Ca ne tourne pas rond à la CAF
Rabi Mitbkèta
14 Mars 2010


La Confédération africaine de football a attribué le 12 mars dernier à Accra, le ballon d'or africain 2009 à l'Ivoirien Didier Drogba. L'attaquant de Chelsea et capitaine des Eléphants vient en tête devant Samuel Eto'o et Michael Essien. Un sacre qui surprend aussi bien son lauréat que le monde sportif. En effet, l'attaquant de Chelsea, lui, avait dit qu'il votait pour Samuel.

S'il pensait le Camerounais plus méritant que lui, c'est au vu du parcours de ce dernier l'an passé. En 2009, Eto'o, il faut le reconnaître, a été le meilleur : vainqueur de la champions league avec à la clé un but en final, champion d'Espagne avec le Barça, vainqueur de la copa del Rey, vainqueur de la supercoupe d'Espagne, 2e meilleur buteur du championnat d'Espagne et, enfin, 40 buts inscrits sur l'ensemble de la saison. Or, lors de la même saison, le parcours de l'Ivoirien a été perturbé par des blessures et n'a gagné que la coupe d'Angleterre.

Malgré tout, les 44 fédérations votantes ont attribué, contre toute attente, 92 points à Drogba, 69 points à Samuel Eto'o et 43 à Michael Essien. Selon le règlement de la CAF, le lauréat est choisi sur la base de sa performance, ses résultats sportifs, son charisme, son influence et sa popularité. Au vu de tous ces critères et à moins d'être subjectif, Drogba dépasserait difficilement Eto'o dont le calme et le respect font école. A moins que le sociétaire de Chelsea ne soit élu pour sa brillante mi-saison dans son club en 2010. Là, c'est tout faux car le trophée est censé être décerné au meilleur en 2009.

L'autre explication plus plausible, c'est que la CAF et Issa Hayatou veulent tout simplement se racheter après les cafouillages de 2007 où ils ont opté pour le Malien Frédéric Kanouté à la place de ce même Drogba. Mais en voulant corriger une injustice, on en a créé une encore ; et c'est parti pour les approximations.

Et puis selon l'article 4 du règlement des « CAF awards », la présence du lauréat à la cérémonie est irrévocable. Alors bonnes gents, pourquoi l'Ivoirien n'a-t-il pas été déchu de son titre (comme en 2008) puisqu'il était absent le 12 mars dernier à Accra ?

C'est la preuve que cette CAF se cherche sinon comment peut-on comprendre que l'Algérie soit distinguée meilleure équipe nationale à côté des Black Stars qui se sont hissés à la finale de la CAN 2010 avec des joueurs juniors qui ont eux-mêmes été champions du monde de leur catégorie ? Hayatou est tout simplement fatigué, la CAF aussi .

NOUS ON LEUR PREND LEUR MUSIC
LEURS MINERAUX
ON LES COLONISE ET ON LEUR VEND DES ARMES

MON TITRE : EN AFRIQUE LES FRANCAIS SONT EN CAN ....OUAIS BOF ...

LA FRANCE .
..UN BEAU PAYS AU NIVEAU GEOGRAPHIQUE CERTES ..
.MAIS CERTAINES MOEURS ET COUTUMES
SONT QUAND MEME A CORRIGER ....VOIRE A ERADIQUER