EN AFRIQUE LES FRANCAIS SONT EN CAN ....

On attend l'avion pour rentrer» 1


Toujours au village olympique de Cabinda, dans l'attente de l'arrivée d'un avion affrété par le gouvernement togolais pour rapatrier sa délégation au pays, l'attaquant des Eperviers

J'ai peur qu'il arrive encore quelque chose. Quelque chose d'encore plus grave. Je pense qu'on sous-estime la force de frappe de ce groupe, qui peut disposer d'armes de longue portée, se cacher dans la forêt et tirer directement sur le stade de Cabinda. Ça fait peur.

Le Togolais Thomas Dossevi.

Au terme d'un match au scénario incroyable, le Mali, pourtant mené 4-0, a décroché le point du match nul en inscrivant quatre buts dans le dernier quart d'heure (4-4) de la rencontre. Epoustouflant !

L'espace de 90 minutes, l'Angola et le Mali ont fait abstraction de la tragédie née de l'attaque du bus togolais, vendredi, par des indépendantistes.

Pour ce match d'ouverture de la 27e Coupe d'Afrique, le contexte dramatique après le décès de deux membres de la délégation togolaise ne se prêtait pour le moins pas à la fête tant attendue par les supporters angolais

. Et malgré le retrait des Eperviers de la CAN 2010, le jeu a bel et bien repris ses droits à l'Estadio da Cidadela de Luanda. Devant leur public, les Antilopes Noires sont d'ailleurs passés à quelques secondes de la première grosse sensation de cette compétition...

Huit buts en ouverture !
En encaissant quatre buts dans le dernier quart d'heure de la rencontre, les Angolais ont laissé échapper un match qui leur tendait largement les bras. Pourtant transcendé par son public, les Palancas Negras avaient assuré l'essentiel en inscrivant quatre buts par l'intermédiaire de Flavio (36e, 42e), Gilberto (66e s.p.) et Manucho (74e s.p.), tout en ne laissant pas la moindre chance à son adversaire de sortir la tête de l'eau. Mais sous l'impulsion de Seydou Keita (79e, 90e + 3), entré à la demi-heure de jeu et auteur d'un doublé, de Kanouté (88e) et de Yatabaré (90e + 4), les Aigles maliens ont effectué un retour qui force l'admiration. Avec huit réalisations pour ce match d'ouverture, la CAN a (enfin) laissé place au jeu. Il était temps...

EN 2 JOURS PAS UN SEUL MATCH TELEVISE
ALORS QUE J"AI PRES DE 400 CHAINES //BRAVO

HIER ...ON COMMENCE A OUBLIER UN PEU LES PERIPETIES INITIALES
POUR REPARLER FOOT

Les Ecureuils du Bénin sont tombés de très haut mardi soir. Opposés au Mozambique, adversaire a priori facile, pour leur entrée dans la compétition, les coéquipiers de Stéphane Sessegnon n'ont pas pu faire mieux que match nul (2-2). Ils laissent ainsi la première place du groupe C à l'Egypte, vainqueur un peu plus tôt du Nigeria (3-1).

Le Parisien et ses compatriotes avaient pourtant parfaitement débuté la rencontre en ouvrant rapidement le score sur penalty par Omotoyossi (1-0), avant que Khan, contre son camp, permette aux Ecureuils de faire le break (2-0, 21e). Mais ces deux noisettes n'ont pas suffi. Car les joueurs du Mozambique sont finalement parvenus à revenir. D'abord grâce à Miro Lombo d'une belle tête sur corner puis grâce à Goncalves Lumo, bénéficiant d'une touche rapidement jouée et d'un repli défensif béninois un peu aléatoire (2-2, 55e).


Ils ne se sont pas fait pigeonner. Menés rapidement au score après l'ouverture du score d'Obasi (0-1, 12e), les Egyptiens double tenants du titre, ont finalement parfaitement prient leur envol dans la compétition en dominant le Nigeria (3-1). Eux que l'on disait affaiblis après leur élimination par l'Algérie pour le Mondial 2010, ont montré qu'ils étaient encore capables de belles choses. Comme cette contre-attaque éclair conclue magnifiquement par Meteab qui, en évitant la sortie du gardien, remit les deux équipes à égalité (1-1, 34e). Ce but redonna de l'entrain aux Pharaons qui prirent le contrôle de la partie.

Taye Taiwo relance...l'Egypte

Leur technique et leur jeu tout en mouvement furent alors bien plus dévastateurs que les charges physiques des coéquipiers de Taye Taiwo, titulaire pour l'occasion au poste de latéral gauche. Ainsi, Zidan et Meteab se mirent en chasse. Ils tentèrent plusieurs fois leur chance (23e, 41e, 60e, 63e). Sans succès. C'est un troisième larron qui réussit à battre le portier des Super Eagles. Et pas n'importe lequel, Ahmed Assan, grande figure du club égyptien d'Al Alhy, inscrivit le deuxième but d'un tir malheureusement détourné par le défenseur marseillais d'une équipe du Nigeria qui battit de l'aile. La ballade pharaonienne ne s'arrêta pas là, puisque à quelques minutes de la fin, Naguy acheva les Nigérians d'un tir éclair (3-1, 87e). Avec cette précieuse victoire, les Pharaons, qui auraient dû concéder deux penalties pour deux mains dont une volontaire, se placent idéalement dans le groupe C avant d'affronter le Mozambique. Pour les Super Eagles, par contre, la chasse aux points débutent.

LES SURPRISES AFFLUENT A LA CAN

ATTENTION PAUL.............

Le milieu de terrain malien Seydou Keïta ne manque pas d'humour. A une question concernant le match de jeudi contre l'Algérie, il a déclaré : «Pour battre l'Algérie, il faudrait que celle-ci joue comme elle l'a fait contre le Malawi (0-0), que le Mali joue comme il l'a fait durant les quinze dernières minutes contre l'Angola (4-4 après avoir été mené 4-0). Et enfin que l'arbitre n'offre pas deux penalties à l'Algérie comme ce fut le cas avec l'Angola».

GROUPE A DU PAYS ORGANISATEUR/
Après la précieuse victoire de l'Algérie sur le Mali (1-0), lors de la 2e journée de la Coupe d'Afrique des nations, Rabah Saâdane le sélectionneur des Fennecs, a expliqué sur le site de la Confédération africaine que ce succès constituait «la réponse parfaite à toutes les critiques» qu'ont essuyées les Fennecs après leur débâcle face au Malawi (0-3). «Je n'ai pas mis de pression sur mon équipe. Je leur ai dit de se donner à fond et de se faire plaisir», a ajouté le technicien algérien.


Dans un stade du 11 novembre en folie, l'Angola a dominé le Malawi (2-0), grâce à des buts signés Flavio et Manucho. Avec ce succès, le pays organisateur de la CAN s'empare de la tête du groupe A.

Avec l'Angola, le spectacle est au rendez-vous. Sur le terrain mais aussi dans les tribunes. Alors que la grande majorité des rencontres de cette CAN se disputent dans des stades qui sonnent creux, ceux des Palancas Negras se jouent dans une ambiance indescriptible. Il faut dire que la bande à Kali évolue à domicile (forcément ça aide) mais, surtout, elle propose un football offensif et attrayant depuis le début de cette Coupe d'Afrique des nations et cela mérite d'être souligné.

Les Antilopes à toute vitesse
Après une première période globalement dominée, sans toutefois trouver l'ouverture, les Antilopes Noires ont enclenché la vitesse supérieure après le repos. Deux buts inscrits en cinq minutes par les deux stars angolaises, l'excellent Flavio (48e), meilleur buteur de la CAN - malheureusement sorti sur blessure -, puis l'ancien Mancunien Manucho (53e), et l'affaire était dans le sac. Pourtant, à 2-0, les joueurs locaux ont forcément repensé à la fin de match incroyable vécue face au Mali (4-4), dimanche dernier. Mais il faut croire qu'ils ont retenu la leçon. Même si on les a senti fébriles, voire paniqués par instants, les hommes du Portugais José Manuel sont parvenus à fermer la boutique pour décrocher leur premier succès dans la compétition et envisager la suite du tournoi avec optimisme.

Une dernière journée décisive
Rien n'est fait dans ce groupe A, où les quatre sélections peuvent encore se qualifier pour les quarts de finale. L'Angola, en tête de la poule, est en position de force avant de défier l'Algérie, 3e à un point, lundi prochain (17h00). Un nul suffit aux Angolais pour passer. Dans le même temps, le Malawi, actuel 2e à égalité avec les Fennecs, tentera au minimum de conserver son rang lors de la dernière journée face au Mali (4e) qui, lui, se trouve dans l'obligation de s'imposer pour espérer faire partie des huit meilleures nations du continent

CAN-2010: la Côte d'Ivoire a son destin en mains face au Ghana



La Côte d'Ivoire, accrochée par le Burkina Faso lundi (0-0), se doit de gagner vendredi à Cabinda face à un autre mondialiste, le Ghana, pour accéder aux quarts de finale de la CAN-2010, sous peine de voir son destin suspendu au résultat du dernier match du groupe B.
Le Ghana, affaibli par de nombreuses absences (Appiah, Mensah, Muntari, Annan) mais qui devrait pouvoir compter sur Essien, a, lui, l'occasion de frapper un grand coup d'entrée: une victoire suffit au Blacks Stars pour décrocher leur ticket.
En raison du retrait du Togo, qui a réduit le groupe à trois équipes, le choc de vendredi entre deux prétendants au sacre marque à la fois l'entrée en lice du Ghana et le dernier match de poules de la Côte d'Ivoire. Les coéquipiers de Didier Drogba suivront ensuite Ghana-Burkina
soit en tremblant, soit le coeur tranquille.
Pour les Eléphants, qui ont dominé les Etalons mais n'ont pas trouvé l'ouverture, la donne est en effet assez simple: une victoire et ils sont qualifiés. Un nul ou une défaite et ils devront ensuite prier, calculette à la main.
Entre une équipe quasi-obligée de gagner et une autre relativement inexpérimentée et misant sur la fougue de ses jeunes, il y a du coup de fortes chances d'assister à un match débridé.
"On ne verra si on est prêt que vendredi, a expliqué le sélectionneur Ghanéen Milovan Rajevac. Cette confrontation entre une équipe très jeune et une autre très expérimentée sera très intéressante. Nous, on veut gagner la compétition mais cela dépendra aussi de la chance, des blessés et si les jeunes se mettent au niveau".
L'autre clé du match devrait également résider dans le duel à distance que se livreront les deux coéquipiers de Chelsea. Décevant contre le Burkina, l'attaquant Didier Drogba aura en effet à coeur de se racheter tandis que le relayeur Michael Essien, arrivé tardivement après avoir été blessé début décembre, n'a pas vraiment pu s'entraîner.
"Contre un Ghana plus joueur que le Burkina, si notre jeu est en place, on aura l'occasion de faire quelque chose de bien", voulait d'ailleurs croire l'Ivoirien Faé .
Cette semaine, les deux équipes ont donc préparé la rencontre dans des conditions complètement différentes.
Pendant que les Ghanéens étalaient leur bonne humeur lors des séances, se permettant même de répéter leur chorégraphie en cas de but, Vahid Halilhodzic, qui devrait pouvoir compter sur Tiene un moment fiévreux, n'a eu de cesse de répéter à ses Eléphants, sérieux et appliqués, de ne "pas paniquer".
Après la défaite du Cameroun mercredi (0-1), une incroyable élimination de la bande à Drogba serait un deuxième coup de tonnerre et un rude accroc au prestige de cette CAN.

En battant le Ghana (3-1), malgré l'expulsion d'Eboué à la 55e, la Côte d'Ivoire s'empare du premier billet pour les quarts de finale de la Coupe d'Afrique des nations. Mardi, les Black Stars devront battre le Burkina Faso pour continuer l'aventure. (Photo Reuters)


«Ce serait un drame national si on ne se qualifiait pas.» Avant d'affronter le Ghana, Vahid Halilhodzic avait mis la pression à ses joueurs. Tenue en échec par le Burkina Faso (0-0), mardi, la Côte d'Ivoire ne devait en effet pas se louper face à un autre mondialiste qui faisait, lui, son entrée dans la compétition, forfait du Togo oblige. Dans une première période assez équilibrée, les Eléphants se montraient d'abord dangereux sur des tentatives lointaines signées Zokora (18e, 20e) avant d'ouvrir la marque sur une superbe action en triangle. Gervinho donne à Yaya Touré qui décale à droite pour Kalou, auteur d'un caviar pour... Gervinho qui marquait de près (1-0, 22e). Le gardien ivoirien, Copa Barry, en profitait pour déployer une bandelette de soutien : «Haïtiens & Togolais on pense à vous».


Eboué pète un câble

Pas forcément maître du jeu, la Côte d'Ivoire d'un pâlichon Didier Drogba allait se faire quelques belles frayeurs. Sur un joli enchaînement, Kwadwo Asamoah obligeait Barry à une belle parade (39e). Puis en seconde période, c'est Amoah qui faisait passer un frisson chez la délégation ivoirienne en trouvant le poteau sur une volée du gauche (57e). Une action qui intervenait juste après l'expulsion d'Emmanuel Eboué, coupable d'un tacle aussi incompréhensible que dangereux. Mais c'est finalement au moment où on s'y attendait le moins que les Ivoiriens allaient faire le break sur un sublime coup franc du Valenciennois Tiéné (66e). En fin de match, Didier Drogba, pourtant très discret, mettait définitivement ses coéquipiers à l'abri d'une belle tête après un remarquable travail de Kader Keita. La réduction du score sur penalty de Gyan Asamoah dans le temps additionnel restera anecdotique.





Vahid Halilhodzic (sélectionneur de la Côte d'Ivoire): «Je dois féliciter mes joueurs pour leur match héroïque. Avoir marqué deux buts à dix contre cette belle équipe, c'est une référence. Ce n'était pas facile car nous étions dans l'obligation de gagner. La pression était énorme sur moi. Mais même à dix, on a su contrôler le match. Une grande équipe est en train de naître. Aujourd'hui, j'avais dit aux gars qu'il nous fallait choisir la route entre le ciel et l'enfer, car une nation comme la Côte d'Ivoire ne nous aurait pas pardonné de ne pas gagner. Par contre, je ne comprends pas l'arbitrage et je ne suis pas content du tout de ça. Je vais en discuter avec mes dirigeants. Les joueurs étaient un peu crispés. Quand il y a de la pression, les joueurs ne peuvent pas se relâcher. Yaya était plus haut pour donner du soutien à notre attaquant et le 1er but est exactement ce que nous avions travaillé.

Maintenant, on va un peu se reposer car avec cette chaleur et ce terrain sablonneux, ce n'est pas facile. On dépense une énergie exceptionnelle. On verra si on est 1er ou 2e à la fin mais on est qualifié. On va essayer d'organiser un match car dix jours sans, ça ne me va pas trop. Je n'avais pas prévu cette situation. Contre l'Angola, l'Algérie ou le Mali, ce sera une belle équipe en quart, avec des joueurs de grande classe. Mais cette victoire va donner beaucoup de confiance aux joueurs. On est venu là pour aller au bout et on ne pense pas encore à notre adversaire. Personnellement, je préfèrerais rester là car on connaît l'environnement.»

ANCIEN ARTICLE PREHISTORIQUE INTERNET .......... 3 JOURS

C VA ETRE DUR POUR L "ALGERIE....

ILS ONT LA COTE MAIS ILS VOIENT RIEN...

CETTE COTE D"IVOIRE EST LE CHAMPION DES MATCHS
GAGNES PAR AVANCE ???

UN SENTIMENT BIEN FRANCAIS ......LA CULTURE DU MOINDRE EFFORT
OU PLUTOT VENDRE LA PEAU DE LOURS AVANT DE L"AVOIR VU

Victorieuse (3-2) après prolongation face à la Côte d'Ivoire, favorite de la compétition, au terme d'un match renversant, l'Algérie se qualifie pour les demi-finales. Elle pourrait retrouver l'Egypte, un peu plus de deux mois après l'avoir éliminée du Mondial après deux matches houleux.

L'histoire de cette équipe d'Algérie semble aussi complexe que prévisible. Elle qui a dû batailler deux fois face à l'Egypte il y a plus de deux mois, pour décrocher sa première qualification pour une Coupe du monde depuis 1986, s'est sortie de son groupe A en marquant seulement un but, s'est retrouvée au meilleure moment, face au grand favori de la compétition. Comme en demi-finale face à l'Egypte il y a deux ans (1-4), les Elephants ont craqué défensivement. Et cette fois-ci, au pire moment du match, après avoir menés deux fois au score. Juste avant la pause, sur un but de Matmour (40e), alors qu'ils menaient 1-0 depuis la 4e minute grâce à Kalou (4e). Puis dans le temps additionnel (90e+2), sur un but inespéré de Bougherra, trois minutes seulement après un deuxième but fabuleux de Kader Keita, tout juste entré en jeu, d'une frappe énorme du gauche en pleine lucarne (89e).

Drogba passe à côté. Il ne gagnera sans doute jamais la CAN
Deux coups de bambou sur la tête que les Ivoiriens n'ont pas pu digéré, craquant finalement en début de prolongation (92e) sur une tête à bout portant de Bouazza, à peine entré en jeu. Et encore une fois, le marquage du jeune Souleymane Bamba, curieusement titularisé malgré son manque d'expérience, s'est montré douteux. Pour ainsi dire, cette Côte d'Ivoire, jamais vraiment entrée dans sa compétition suite à l'attentat dont ont été victimes les Togolais dans sa phase de poules, ne méritait finalement pas plus que l'Algérie d'atteindre le dernier carré. Et ce même si un but a été injustement refusé à Kolo Touré à la 120e minute pour un hors jeu imaginaire. Didier Drogba, passé complètement à côté de son match, et plus généralement de sa compétition, n'y est aussi pas étranger. Ce grand attaquant ne gagnera, a priori, jamais cette Coupe d'Afrique des nations. Des joueurs d'envergure comme Kolo Touré ou Didier Zokora non plus.

Une revanche de feu entre l'Egypte et l'Algérie ?
Les jeunes et fougueux algériens, bien aidés en fin de match par l'arbitre seychellois, Eddy Maillet, qui avait officié à Khartoum lors du fameux Egypte-Algérie (0-1) qui les avait envoyé au Mondial, les en ont empêché. Conflit de génération, sans doute. Eux peuvent toujours regarder devant : 20 ans pile poil après leur seul et unique sacre à la CAN 1990 peuvent y croire. Même s'il faudra peut-être jouer une revanche de feu face à l'Egypte, si elle se défait du Cameroun lundi à Benguela (17h)

Vieux-Port : la fête après la victoire de l'Algérie
Marseille - lundi 25 janvier 2010

La fête après la victoire des Fennecs qui ont éliminé la Côte-d’Ivoire en quart de finale de la Coupe d’Afrique des nations (Can).

LE NIGERIA PASSE EN FORCE
Le Nigeria a attendu les tirs au but pour éliminer la Zambie (0-0, 5 tab 4)
et se qualifier pour les demi-finales. Il y affrontera le Ghana jeudi 28


l'autre demi finale est Egypte /Algerie qui ont eliminés deux des grands favoris Cote d'ivoire et Cameroun

Juste après l'élimination de son équipe, face au Nigéria en quart de finale de la CAN (0-0, 4 tab à 5), le sélectionneur français de la Zambie, Hervé Renard, a perdu toute notion son self control en conférence de presse. Ce dernier a menacé et insulté en anglais un journaliste zambien, dont le journal le critiquait «tous les jours pour vendre du papier», selon lui.

«Tu es un mec de merde, a-t-il vociféré. Tu es le seul Zambien heureux ce soir ! Je t'attends après, face à face, viens me voir après si tu as les couilles ! Je t'attends ! Appelez la sécurité avant qu'il sorte de cette salle !» Présent en début d'intervention au premier rang de la salle, le journaliste s'est ensuite retranché tout au fond en gardant le silence, après que Renard a retenu son poing, faisant mine de vouloir le frapper

Si on calcule bien tous les coachs francais ont été eliminés C'etait le dernier en course
LES FRANCAIS NE SONT PLUS EN CAN ............