UN EX-CHAMPION BIEN GIRON... F C G BORDEAUX

COMBIEN POUR GRENOBLE DANS LA VALISE RETOUR
3 ... 4 ...5 OU 6

A MOINS QUE LES INTERNATIONAUX ...AIENT UN RETOUR FATIGUE

Les équipes probables

Bordeaux - Grenoble (Arbitre : M. Ennjimi)
Bordeaux : C. Carrasso - Jurietti, Ciani, Planus, Trémoulinas - Diarra - Plasil (ou Gouffran), Gourcuff, Wendel - Chamakh, Cavenaghi.

Grenoble : Viviani - Mainfroi (ou Vitakic), Jemmali, Paillot, Robin - Dieuze, Romao - Feghouli, Batlles, Courtois - Ljuboja.

Densifier le milieu
Laurent Blanc n'a que l'embarras du choix pour bâtir une équipe compétitive contre la Juventus Turin, mardi soir. Parti en Italie avec 21 joueurs (Sertic et Traoré sont restés en Gironde), le technicien cévenol devrait, comme la saison passée en Ligue des champions, utiliser son prudent 4-2-3-1. De retour de suspension, Mathieu Chalmé sera titulaire sur le côté droit de la défense. Si, à gauche, la présence de Benoît Trémoulinas parait également acquise, l'axe central détient sa zone d'ombre. Ils sont trois (Ciani, Planus et Henrique) pour deux places.

Laurent Blanc va-t-il titulariser Mickaël Ciani alors que l'ancien Lorientais n'a jamais joué un seul match de Ligue des champions ? Au vu de ses bonnes prestations en Championnat, c'est probable. La seconde place devrait alors se jouer entre Planus et Henrique. En L1, c'est Planus qui est aligné.

Face à une formation turinoise redoutable en Serie A depuis le début de saison, le coach bordelais cherchera à densifier son milieu de terrain, ce qui devrait profiter à Fernando. Le Brésilien devrait former le duo de récupérateurs avec Alou Diarra. Devant eux, le trio Plasil-Gourcuff-Wendel aura la charge d'alimenter Chamakh, la seule pointe. Peu en réussite depuis le début de saison, Cavenaghi devrait encore ronger son frein sur le banc.

C. Carrasso - Chalmé, Ciani, Planus ou Henrique, Trémoulinas - Fernando, A. Diarra - Plasil, Gourcuff, Wendel - Chamakh

CLASSIC A L EXTERIEUR...

commentaire d'un supporter je suis de son avis

rachel.asse le 16 septembre à 07:17
bon resultat de Bordeaux ! on attends le prochain match avec impatience !! esperons qu'il soit diffuser sur une chaine nationale, Bordeaux est quand même champion de France et ses matchs de coupe sont retransmis sur foot + c abuser !!

payer pour voir le champion c'est une anomalie

MOI J AI PAS TROUVE EXTRAORDINAIRE CE MATCH...

CHACUN SES GOUTS

J AI DORMI LA 2 EME MITEMPS ...
BORDEAUX - RENNES : 1-0

Laurent Blanc (entraîneur de Bordeaux): «Beau match, avec deux équipes qui cherchent à jouer au ballon. La 1re mi-temps s'est passée très rapidement, cela veut dire qu'il y avait des phases de jeu intéressantes. On a rencontré une belle équipe, certainement la meilleure depuis le début de saison. On a pris beaucoup de plaisir à regarder ce match et quand il y a la victoire à la fin, c'est encore meilleur. En 1re mi-temps, il y a eu des occasions des deux côtés, on est arrivé à en concrétiser une. Rennes aurait pu marquer aussi. Après, il y a eu une certaine égalité dans le jeu et on a une occasion très nette de David Bellion avec une belle parade de Douchez. C'était indécis, on avait l'impression que Rennes pouvait égaliser et que l'on pouvait marquer ce deuxième but. On a réussi une bonne entame de match mais il fallait de faire le même match que contre Grenoble. Le match de Ligue des champions contre Haïfa était dans un coin de la tête, donc là, il y a un net progrès au niveau du collectif. Dans l'animation, c'est très bon. Je retiens aussi que cela fait cinq matches sans prendre de buts, et ce qui est encourageant, c'est que l'on peut défendre encore mieux, il y a une marge de progression».

Wendel (milieu de terrain de Bordeaux) : «Pour mon but, je suis content, mais le plus important c'est les trois points de la victoire. On est tombé ce soir sur une bonne équipe, qui nous a posé des problèmes. Les Rennais sont costauds, mais nous on essaie toujours de jouer notre jeu. Mon but est à 70% celui de Trémoulinas. Ce soir, nous n'avions pas plus de pression que d'habitude. On sait qu'on joue bien en ce moment. On a pris conscience qu'on a un bon effectif, des qualités. Chacun fait des efforts et quand l'équipe a des problèmes, tout le monde participe défensivement. Maintenant il faut récupérer et c'est pourquoi le coach a fait tourner l'effectif, moi j'ai eu une semaine difficile avec fièvre, mal de gorge et fatigue. Il faut se préserver pour mercredi (en Ligue des champions, contre le Maccabi Haïfa, ndlr), où tout le monde doit être à 100%».

Bordeaux a gagné, Bordeaux est leader. Rien d’extraordinaire. Et pourtant c’était Rennes. On nous avait dit que ce serait compliqué, on nous avait dit que Rennes, c’était quand même quelque chose. Oui certainement, mais Bordeaux c’est de loin la meilleure équipe de ce championnat. Pourquoi je sens comme l’obligation de le répéter à chaque fois ? En fait, j’ai la sensation que Bordeaux joue à sa main. Pourtant, il est rare, dans un match, de voir Bordeaux ne pas concéder sur une période plus ou moins longue aussi bien possession de balle qu’occasions de buts. (En seconde période, Rennes n’aura même pas profité des temps faibles bordelais). Mais c’est comme si les Girondins géraient ça aussi. La prise de risque inhérente à leur jeu oblige à se découvrir, c’est une part de risque assumée par Bordeaux. En gros pour déséquilibrer l’autre, il faut parfois perdre son propre équilibre. Mais l’essentiel est quand même ce que fait Bordeaux quand il attaque. Gourcuff devait être absent ? C’est ce qu’on annonçait et au final il nous a tout de même offert des gestes de classe internationale. Le mouvement Gourcuff/Chamakh conclu par une frappe au dessus du Marocain était une pure merveille. Le premier but est aussi à ranger au rayon « beau mouvement collectif ». La passe de Planus, qui casse le dos à la défense rennaise, le centre impeccable de Trémoulinas, la tête de Wendel : parfait !

Au final, Bordeaux a remporté un petit match, loin du choc attendu. La faute au champion ou à Rennes ? Je dirais qu’avant un match de LDC, Bordeaux n’avait aucune raison d’aller se cramer, alors si le «challenger» n’est pas capable de faire plus… C’est un peu curieux l’impression qu’a laissé Rennes. A force de ne pas assez en parler, d’être accusé d’en faire trop sur le « gros 4 », je me demande si on n’en a pas trop fait sur cette équipe. Sur ce qu’elle a montré ce soir, cette formation ne me semble pas avoir les moyens d’aller dans le trio de tête.

Bordeaux : un statut à assumer
Ne pas perdre le bénéfice du nul face à la Juventus

Intraitable leader de L1, Bordeaux entend confirmer sa nouvelle dimension à l'échelle du Vieux continent et la belle impression laissée à Turin en ouverture de la Ligue des champions. Mais attention, le Maccabi Haïfa, dernier du Groupe A réussit généralement bien face aux clubs français. Et puis la victoire dimanche contre Rennes (1-0) a laissé des traces sur les organismes (Fernando, Michaël Ciani et Yoan Gouffran touchés).

Reste que le potentiel des Girondins paraît constituer une réelle garanti. Solides et ambitieux il y a quinze jours contre la Juventus (1-1), les coéquipiers d'Alou Diarra semblent en outre avoir franchi un palier en ce début d'automne... «On est plus costaud défensivement, on a davantage d'automatismes» explique le milieu défensif Alou Diarra. «Le groupe progresse de match en match notamment dans la constance. On manque encore de lucidité parfois pour conclure. Mais on sent de la solidité et de l'assurance».

Le potentiel des Girondins est intrinsèquement supérieur à celui de son adversaire du soir et la confiance est énorme (plus de six mois sans défaite) quand celui du Maccabi est entamé par le récent passage du Bayern Munich (0-3) en ouverture de l'épreuve reine continentale.

Haïfa, leader lui aussi en Israël (4 matches, 4 victoires) était au repos ce week-end pour cause de Yom Kippour. Tout à l'heure, l'équipe israélienne, qui récupère le Brésilien Tiago Dutra, remis d'une blessure au genou gauche, et le milieu colombien John Giero Culma, suspendu face au Bayern, jouera déjà sa dernière carte dans une compétition qu'elle retrouve après sept ans d'absence. Et elle se remémorera les exploits des aînés: en 1998 contre le Paris SG en 16e de la Coupe des coupes (1-1, 3-2), puis contre Auxerre en phase de poules de Coupe UEFA 2006 (3-1).

Quoiqu'il en soit, Bordeaux, qui avait su faire respecter la hiérarchie la saison dernière face à l'équipe roumaine de Cluj, l'adversaire supposé le plus faible de leur groupe (1-0 et 2-1), «a un statut à assumer», selon Diarra et -doit gagner pour ne pas perdre le bénéfice du déplacement à Turin.

«C'est un adversaire que l'on ne connaît pas... mais lui ne nous connait pas non plus» avance Yoann Gourcuff. «Il est à notre portée, j'espère simplement que l'on affichera l'état d'esprit qui est le nôtre depuis plusieurs mois. Il est sûr que si nous gagnons ce match, nous affirmeronsd nos ambitions dans cette compétition».

LE CHAMPION DOIT REAGIR APRES 2 DEFAITES D AFFILEE

OUFFFFFFFFFF FRANCKY N EST PAS LA

Mardi, Laurent Blanc avait également affirmé que son équipe défendait mal, qu'elle était trop attirée par le but adverse. Il doit désormais se réjouir du talent offensif de ses deux défenseurs centraux. Mickael Ciani et Marc Planus ont été les deux buteurs d'un match renversant. Car avant de devenir un des deux héros du match avec une splendide talonnade convertie en but, Ciani a connu la mésaventure de marquer contre son camp après seulement neuf minutes de jeu en déviant un corner de Müller. Cette entame catastrophe aurait pu enterrer l'homme décisif contre Haïfa (1-0). Cela a, au contraire, décuplé sa détermination.

Bordeaux possède une défense en or, et ce n'est pas du luxe à l'heure où Chamakh et Cavenaghi ont perdu leur instinct de buteurs. Avant la pause, Planus, au combat avec Altintop, a donné l'avantage à des Bordelais revenus de loin. Dans ses tâches défensifs, Planus a par ailleurs été intraitable face à la montagne Toni (54e) et au malin Klose (63e). Emballant en début de partie, le Bayern s'est vite éteint, à l'image de son meneur de jeu Thomas Muller, expulsé après seulement une demi-heure. A dix contre onze, les Bavarois ont souffert même si Toni a failli égaliser (71e, tête sur le poteau). Avant cela, Bordeaux a eu l'occasion de se mettre à l'abri. Mais Gourcuff, qui a osé une ''panenka'' (66e), et Jussiê (88e) ont manqué leur penalty. Il était écrit que les défenseurs bordelais seraient seuls les héros de ce match. -

Gourcuff a «manqué d'humilité»
Bordeaux s'est tiré du guêpier du Bayern Munich (2-1), mercredi soir en Ligue des champions, grâce à deux buts inscrits par ses défenseurs centraux (Ciani et Planus). Pas véritablement un hasard à l'heure où les attaquant girondins ont perdu leur efficacité. « Aux défenseurs, il ne leur est pas interdit de marquer, a rétorqué Laurent Blanc. Et je sais de quoi je parle. Ce qui est paradoxal, c'est qu'on aurait pu marquer sur des actions de jeu et sur penalty. Bon, deux défenseurs ont marqué, c'est bien. On a des porblèmes d'attaque alors que l'on se crée beaucoup d'occasions. Juste, on arrive pas à les concrétiser. » Double buteur, Ciani a réussi son intégration. Il a totalement remplacé Souleymane Diawara. « Il nous apporte ce pour quoi on est allé le chercher, a expliqué le technicien cévenol. C'est un bon défenseur, avec de la densité physique. Il est dangereux sur coup de pied arrêtés. Mais c'est toute ma défense qui m'a donné entièrement satisfaction. »

En revanche, Gourcuf a selon Blanc « manqué d'humilité » sur le penalty. Sa Panenka n'a pas fait mouche. Elle aurait permis à Bordeaux de se mettre à l'abri et de s'éviter du stress. « Mais s'il marque, tout le monde trouve ça génial... », a relativisé Blanc. Pour le reste, le technicien a apprécié la prestation de son meneur. « Il revient de blessure et il manquait un peu de volume de jeu. Mais il fait bien jouer les autres, c'est un leader technique. Quand vous l'avez-vous avec vous, techniquement, vous êtes assurés d'un gros niveau. » Les deux penalties manqués ne vont pas permettre aux Girondins de soigner leur goal average, c'est la fausse note de la soirée. Blanc : « Outre le fait que cela nous aurait permis de vivre fin de match tranquille, la différence de but peut avoir son importance à la fin. Mais que voulez-vous faire. Ce n'est jamais facile de marquer un penalty. »

Après Gourcuff, c'est Jussiê qui a manqué le sien. Une véritable malédiction. Pourtant, Blanc y croyait. « Jussiê, c'est un vrai spécialiste. Quand il s'est élancé, j'étais sûr qu'il marquerait à 99,99 %. Il ne faut pas oublier qu'il y a un contexte. Et qu'entre le moment entre la faute et le tir, il s'est passé du temps. Vous vous posez des questions, ça gamberge dans votre tête.

PROBABLES

Bordeaux - Monaco (Arbitre: Philippe Malige)

Bordeaux : Carrasso - Chalmé, Ciani, Planus, Trémoulinas - Diarra - Plasil, Gourcuff, Wendel - Gouffran (ou Cavenaghi), Chamakh

Monaco : Ruffier - Lolo, Mongongu, Puygrenier, D. Traoré - Nkoulou, D. Perez - Alonso, Coutadeur, Nenê - Gakpé (ou Park)