QUE VONT FAIRE NOS FRANCAIS EN COUPES D "EUROPE ?????

C1 - PSG
Beckham et Gameiro titulaires ?

Après la victoire (2-1) décrochée à l'aller, en terre espagnole, le Paris Saint-Germain pourrait se présenter avec David Beckham et Kevin Gameiro dans son onze de départ, face à Valence en 8e de finale retour de la Ligue des champions. Zlatan Ibrahimovic est suspendu. Thiago Silva effectue son retour dans la défense parisienne.
Les équipes probables :

Paris-SG: Sirigu - Jallet, Silva, Sakho, Maxwell - Lucas, Beckham (ou Motta), Matuidi, Pastore - Gameiro, Lavezzi

Valence: Guaita (ou Diego Alves)- Joao Pereira, Victor Ruiz, Mathieu, Cissokho- Albelda (ou Parejo), Tino Costa - Feghouli, Canales (ou Banega), Guardado - Soldado

Paris présent au rendez-vous
Ezequiel Lavezzi a enlevé une belle épine des pieds parisiens. Publié le 6 mars 2013 à 22h44
Tenu en échec par Valence au Parc des Princes mercredi (1-1), le Paris Saint-Germain a néanmoins obtenu son sésame pour les quarts de finale de la Ligue des champions. La victoire des Parisiens au match aller (1-2) a fait la différence car la confrontation retour leur a donné des sueurs froides.

Il était évident qu’un tel Paris ne pouvait que se faire peur. Déterminés à ne pas jouer, et bien aidés en ça par la faiblesse générale des Valencians, les joueurs de Carlo Ancelotti ont tremblé (1-1) mais se sont qualifiés. Bien sûr, c’est la seule chose qui compte. Mais le PSG devra aussi se servir de cette rencontre pour ne pas commettre deux fois la même erreur. En quarts, les Parisiens feront forcément face à une équipe plus forte que Valence (à moins, peut-être, de tomber sur le vainqueur de Schalke-Galatasaray), voire beaucoup plus forte.

Ancelotti avait décidé de renforcer son milieu de terrain au coup d’envoi, en ressortant des cartons le système en 4-3-3 de l’an dernier. Thiago Motta et Clément Chantôme prenaient place avec Matuidi, et David Beckham restait donc cloué sur le banc, au grand dam de la montagne de journalistes accrédités sans grand rapport avec le sport. L’état d’esprit de Kevin Gameiro est à souligner, lui qui a été également sacrifié sur l’autel de ce changement tactique, mais a amené l’égalisation de Lavezzi au cœur de la seconde période. Paris mettait alors fin à une période de doute de 11 minutes, entre la 55e et la 66e, suite à l’ouverture du score de Jonas.

Ancelotti: "Pas comme le Barça ou le Real"
Dans une charnière centrale qui était bien composée de Thiago Silva et Alex, le n°7 espagnol s’est enfoncé comme à la parade. Certainement pas attaqué par Gregory van der Wiel – qui a dû remplacer Christophe Jallet, blessé, en première période - il a décoché une frappe de mule venue tromper un Salvatore Sirigu très tranquille jusqu’alors (0-1, 55e). Sans doute un peu trop, comme l’ensemble d’un PSG qui a constamment eu du mal à trouver la bonne carburation. Si Ancelotti a vite réagi après le but en remplaçant Thiago Motta par Gameiro, ses joueurs n’ont jamais enlevé leurs fesses de l’entre-deux chaises. Le cinquième but de Lavezzi cette saison en C1 (tous sur les 4 derniers matches) a fait un bien fou, mais Paris n’était plus à l’abri d’une prolongation.

Cette victoire 2-1 de l’aller aurait été beaucoup plus simple à gérer avec un 3-0, qu’il y avait moyen d’obtenir il y a trois semaines. Mais la fin de match difficile de Mestalla a eu des conséquences, celle de Parisiens sans cesse avec le frein à main. Blaise Matuidi a encore joué le taulier, et Zlatan Ibrahimovic a quand même manqué. Ce sera nettement plus embêtant pour le quart de finale aller que pour ce huitième retour, où aucune vraie occasion n’a été à dénombrer au-delà des deux buts. Thiago Silva parlait d’une "concentration maximum" en Ligue des champions, mais il faudra surtout un niveau maximum. Ancelotti, lui, précisait que le PSG était "encore dans trois compétitions, pas comme le Barça ou le Real". Mais Paris n’est toujours pas le Real, encore moins le Barça.

PSG-Ancelotti: "Je n'ai plus de mots pour Matuidi"
Carlo Ancelotti a tenu à féliciter son équipe mercredi, après le match nul du PSG synonyme de qualification face à Valence (1-1) en 8e de finale retour de Ligue des champions: "Depuis le début, on a toujours dit que personne ne savait ce qu'on pouvait faire. Jusque-là, c'est très bien. Je suis heureux, car seulement quatre équipes peuvent encore jouer sur tous les tableaux en Europe: le Bayern, la Juventus, Porto et le PSG. On a parfois été critiqués, à raison, mais on a fait un très bon travail. Je suis content, et je veux remercier les joueurs." L'entraîneur italien est aussi revenu sur la performance de Blaise Matuidi, encore infatigable: "Je n'ai plus de mots pour lui, il est fantastique. C'est sûrement un des meilleurs milieux d’Europe en ce moment."

Foot - Ligue Europa - Bordeaux :
«Il a appuyé où ça fait mal»Le coup de gueule poussé par Jean-Louis Triaud n'a pour l'instant pas porté ses fruits. A Lille, dimanche, Bordeaux a concédé sa 4e défaite d'affilée en L1. Avant d'affronter Benfica, jeudi en 8e de finale aller de la Ligue Europa (21h05), Lamine Sané revient sur les critiques de son président.Lamine Sané reconnaît que les Girondins «manquent de caractère» avant le 8e de finale aller de Ligue Europa face à Benfica.
«Un effectif de poules mouillées» ?Avant la défaite à Lille (1-2), dimanche, Jean-Louis Triaud n’a pas mâché ses mots. «J’ai tendance à penser que nous avons un effectif de poules mouillées, de mauviettes. Ils sont incapables de se sublimer ou ils ne peuvent pas le faire deux matches d’affilée.»

L’avis de Lamine Sané : «C’est le président, il dit ce qu’il pense. Je trouve ça sévère, mais il appuie là où fait mal. On ne va pas se mentir, l’équipe manque de caractère. Dans les moments difficiles, il n’y a pas de leader capable d’entraîner les autres. A la mi-temps à Lille, on a pourtant essayé de se parler. Se parler, c’est bien beau, mais si derrière, on n’assure pas… Qui peut remplir ce rôle ? On a des anciens, des joueurs expérimentés. Je m’inclus dedans.»
Une équipe sans attaquant ?Dans l’entretien accordé à notre quotidien, c’est un point que Jean-Louis Triaud occulte totalement. Mais en perdant Jussiê, et surtout son meilleur buteur Yoann Gouffran cet hiver, Bordeaux s’est considérablement amoindri offensivement. Si les Girondins pourront compter sur Diego Rolan, remis de son entorse de la cheville droite, face à Benfica, l’Uruguayen n’a pas montré grand-chose lors de ses deux premières apparitions. Quant à Cheikh Diabaté (forfait à Lisbonne) et David Bellion, ils se montrent encore trop intermittents et inefficaces pour tirer Bordeaux vers le haut.

L’avis de Lamine Sané : «On a perdu des joueurs importants, mais ça, le président ne le dira pas (sourires). Voilà, on est pris sur le fait accompli (sic). A nous d’assumer et de relever la tête, tout en sachant qu’on a un effectif restreint. Aujourd’hui, les gens nous disent qu’on n’a pas d’attaquants parce que le foot, ça se juge aussi sur des stats. Quand ils marqueront, les commentaires changeront».
La Ligue Europa, un faux débat ?Ce que Lamine Sané redoutait est en train de se réaliser. A vouloir jouer à fond le Championnat, la Ligue Europa et la Coupe de France, Bordeaux a «perdu des plumes». Pour Jean-Louis Triaud, l’idée reçue selon laquelle la C3 serait «consommatrice d’énergie» n’est toutefois «pas un argument». «Hormis pour le gardien, il y en a beaucoup entre quinze et vingt-six, vingt-sept matches, fait remarquer le dirigeant. Ce ne sont pas des chiffres ahurissants».

L’avis de Lamine Sané : «Aujourd’hui, on prend les matches un par un. On aurait bien aimé se qualifier pour une Coupe d’Europe via le Championnat, mais ça va être très difficile. Il va falloir faire un choix, viser un objectif précis : soit le Championnat, soit la Ligue Europa. On verra après le match retour, tout en sachant qu’il nous reste aussi la Coupe de France pour décrocher une qualification européenne. A nous d’aborder ce match avec le même état d’esprit que face au Dynamo Kiev. On part outsider

à 14:38:00 | Mis à jour le 05/03/2013 14:45:18
Foot - Ligue Europa - Bordeaux :
Avec Rolan, sans Diabaté Victime d'une entorse de la cheville droite face à Lyon (0-4) le 17 février dernier, Diego Rolan effectue son retour dans le groupe de Bordeaux qui va défier Benfica jeudi (21h05) en huitièmes de finale aller de la Ligue Europa. Mariano revient également pour ce déplacement au Portugal. Malade, Cheick Diabaté est en revanche forfait, comme Landry Nguemo et Henri Saivet.
Le groupe de BordeauxCarrasso, Keita – Marange, Sané, Poundjé, Henrique, Planus, Trémoulinas, Faubert, Mariano – Traoré, Plasil, Biyogo-Poko, Obraniak, Sertic, Ben Khalfallah – Maurice-Belay, Rolan, Bellion

Bordeaux n'est pas payé
Les Bordelais ont livré un bon match face à Benfica. le 7 mars 2013 à 23h16
Bordeaux s'est incliné ce jeudi sur la pelouse de Benfica (1-0), en 8e de finale aller de la Ligue Europa. Mais les Bordelais méritaient un meilleur sort au regard de leur bonne prestation. La qualification reste encore possible.

Certes, Bordeaux a perdu sur la pelouse de Benfica (1-0) ce jeudi en 8e de finale aller de la Ligue Europa. Mais les Girondins ont de bonnes raisons d’entretenir l’espoir d’une qualification. En tenant tête tout le match au leader du championnat portugais, l’équipe de Francis Gillot a montré un bien meilleur visage que celui entrevu en Ligue 1 ces derniers temps (quatre défaites d’affilée). Il ne lui a manqué qu’un but pour être justement récompensée et aborder le match retour en position favorable. Mais la frappe de Rodrigo et le coup de billard avec la main de Carrasso changent complètement la donne de cette double-confrontation.

Pour voir les quarts de finale, Bordeaux devra marquer deux buts de plus que Benfica la semaine prochaine à Chaban-Delmas. Même si les Portugais ont fixé leur championnat national, dont ils sont leaders avec deux points d’avance sur le FC Porto, comme priorité n°1 de leur fin de saison, ils ne devraient certainement pas lâcher une qualification qui leur tend les bras. Benfica entretiendrait alors sa réputation de coupeur de têtes de clubs français en Ligue Europa puisqu’il a éliminé Marseille (2010) et deux fois le Paris Saint-Germain (2007 et 2011), à chaque fois au stade des 8e de finale.

Le public lisboète siffle son équipe
Bordeaux n’a pas encore rejoint l’OM et le PSG dans le cimetière lisboète. Avec plus de précision dans le dernier geste et plus de réussite, les Bordelais auraient même pu accrocher un bon résultat nul. Après un début de rencontre encourageant, Bordeaux s’est retrouvé mené au score dès la 21e minute. Rodrigo, à l’entrée de la surface, décochait une frappe du gauche puissante, le ballon s’écrasait d’abord sur la barre transversale avant de rebondir sur la main de Carrasso et filer dans le but (1-0, 21e).

Ce coup du sort aurait pu mettre un sérieux coup derrière la tête des Girondins. Au lieu de cela, ils ont continué à produire du jeu et à s’approcher dangereusement du but d’Artur, le gardien portugais. Mais Obraniak (44e), Plasil (65e), Traoré (70e) et Ben Khalfallah (89e) manquaient de justesse dans la conclusion de leurs actions. En face, les joueurs de Jorge Jesus se contentaient de ce résultat. Pas le public qui sifflait son équipe à la fin du match. Sans doute conscient que Bordeaux garde encore de l’espoir.

le 12/03/2013 - 23:56
Galatasaray-Drogba: "J'aimerais jouer le PSG"
Arrivé en janvier dernier sur les rives du Bosphore, Didier Drogba va disputer les quarts de finale de la Ligue des champions avec Galatasaray, qui a éliminé Schalke 04 mardi soir (1-1, 3-2). Revenu sur cette qualification
L'Ivoirien a également cité le nom d'un adversaire qu'il aimerait bien rencontrer au prochain tour: "On aurait mérité mieux au match aller. Mais nous avions frappé le poteau et ensuite concédé un résultat nul. Nous savions qu'ici, il fallait être audacieux. Et nous l'avons fait en inscrivant trois buts. Comme quoi, le jeu offensif paye toujours... Maintenant, j'aimerais jouer le PSG en quarts, car, à Paris, il y a une forte communauté turque. Nous jouerions un peu à domicile, comme ici à Schalke." Une affiche qui pourrait en effet être savoureuse.
Créé le 12/03/2013 - 23:40
AC Milan-Niang: "Ce n'est pas une honte"
Balayé par le Barça mardi soir (0-4), l'AC Milan quitte la Ligue des champions tête basse, alors qu'il s'était imposé à l'aller (2-0). Une grande déception pour le jeune français Mbaye Niang, qui reconnaît toutefois la supériorité des Catalans. "Le Barça a eu la balle la majeure partie du temps et nous, on courait partout et n'importe où. On a essayé de se ressaisir en deuxième période mais le Barça a mis une pression encore plus forte. À 0-2, c'est plus difficile on ne pouvait plus trop défendre. On avait l'impression que les Barcelonais jouaient à 22 alors qu'ils ne sont que 11. Ce n'est pas une honte, on a été sortis par la meilleure équipe du monde", a ainsi confié ce dernier
L'ancien Caennais est également revenu sur son tir sur le poteau peu avant la pause: "Je n'ai pas cogité, j'ai attendu que le gardien parte d'un côté pour tirer de l'autre. J'ai fait le bon geste, ce sont des choses qui arrivent. J'espère marquer la prochaine fois."

L'Angleterre rayée des quarts
Après l'élimination d'Arsenal, sorti par le Bayern Munich ce mercredi soir (2-0, 1-3),
l'Angleterre n'aura aucun club en quarts de finale de la Ligue des champions.
Une première depuis 1996. Le tenant du titre, Chelsea, avait quitté la compétition dès le premier tour cet automne,
tout comme Manchester City. Manchester United a quant à lui été éliminé la semaine dernière par le Real Madrid (1-2,1-0)

les 8 qualifiés
Real Madrid -Dortmund - Juventus - PSG
FC Barcelone - Galatasaray-Malaga - Bayern Munich

on peut donner 2 groupes
les favoris Real Madrid - FC Barcelone - Bayern Munich

les outsiders Dortmund - Juventus - PSG - Galatasaray-Malaga

Bordeaux-Benfica : les compos probables

Retrouvez les compositions probables de Bordeaux et du Benfica Lisbonne, qui s'affrontent jeudi lors des huitièmes de finale retour de la Ligue Europa (21h05
Bordeaux : Carrasso - Mariano, Henrique, Sané, Trémoulinas - Poko, Plasil - Saivet, Obraniak, Maurice-Belay - Diabaté

Benfica : Artur - Almeida (ou Maxi), Jardel, Roderick, Melgarejo - Gaitan (ou Salvio), Perez (ou Martins), Matic, John - Aimar (ou Lima), Rodrigo

Un tirage au sort excitant

Le tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des champions aura lieu ce vendredi (12 heures, à suivre en direct sur notre site Internet), à Nyon. Le Paris Saint-Germain, seul représentant français, peut tomber sur des poids lourds européens (Real, Barça, Bayern), ou être relativement bien loti (Malaga, Galatasaray).
Les huit clubs en lice :
- Paris Saint-Germain (FRA)
- Malaga (ESP)
- FC Barcelone (ESP)
- Real Madrid (ESP)
- Borussia Dortmund (ALL)
- Bayern Munich (ALL)
- Galatasaray (TUR)
- Juventus Turin (ITA)

Les quarts de finale se disputeront en matches aller (mardi 2 etmercredi 3 avril) et retour (mardi 9 etmercredi 10 avril).

Voici le programme des quarts de finale de la C1 :
Malaga - Borussia Dortmund
Real Madrid - Galatasaray
Paris Saint-Germain - FC Barcelone
Bayern Munich - Juventus Turin


Le Barça pour le PSG !

Le tirage au sort de la Ligue des champions a livré son verdict pour le Paris Saint-Germain. Le club de la capitale française affrontera le FC Barcelone en quarts de finale de la C1. Le match aller se disputera au Parc des Princes, le retour au Camp Nou. Pour rappel, Zlatan Ibrahimovic, le buteur du PSG passé par le Barça lors de la saison 2009-2010, est suspendu pour la première des deux rencontres.

Ligue Europa: Les Français de Newcastle face au Benfica
Tombeur de Bordeaux en huitième de finale jeudi, le Benfica retrouvera d'autres Français en quarts de finale puisque les Portugais affronteront Newcastle et sa colonie de joueurs français. Le match aller aura lieu au Stade de la Luz. Le tirage au sort a également réservé des affiches entre Chelsea et le Rubin Kazan, Tottenham et Bâle et entre Fenerbahce et la Lazio. Les rencontres auront lieu les 4 et 11 avril prochains.

Brèves Football
Créé le 17/03/2013 - 23:46
ASSE-Galtier: "Il fallait le faire !"
Dimanche, à Geofroy-Guichard, Saint-Etienne aura, une fois encore, été à la hauteur de son troisième rendez-vous de la saison avec un leader parisien défait au Parc à l’aller (1-2), éliminé en Coupe de la Ligue (0-0, 5 t.a.b à 4) et donc tenu en échec lors de ce match retour, dans le Chaudron (2-2). Un triptyque qui impose le respect. "Il fallait le faire !, notait à l’issue de la rencontre un Christophe Galtier, dont la bise échangée avec Carlo Ancelotti avant le coup d’envoi, donnait déjà une idée du respect gagné par le technicien stéphanois et ses joueurs auprès des stars parisiennes. L'entraîneur stéphanois se félicitait de la manière dont ses joueurs avaient su refaire leur retard de deux buts : "Nous n'étions pas dedans durant les vingt premières minutes. Mais à partir du moment où nous avons commencé à jouer, notre jeu s'est mis en place et nous nous sommes procurés plusieurs occasions. Les joueurs se sont bien battus et ils ont été récompensés, c'est bien pour eux !" Cette ASSE, désormais invaincue depuis quatorze matches et quatrième du classement, n’avait jamais été aussi bien placée dans la hiérarchie depuis trente ans. Lire aussi : Paris reste vert

Créé le 17/03/2013 - 23:38
PSG-Sirigu: "Je condamne l'arbitre…"
A l’image de David Beckham et Zlatan Ibrahimovic, qui dès le coup de sifflet final, s’empressaient de réclamer des comptes à un M. Gautier mutique, Salvatore Sirigu digérait mal ce dimanche, à l’issue du match nul (2-2) enregistré par le PSG sur le terrain de l’AS Saint-Etienne, un arbitrage plus que contestable. D’autant plus regrettable que le portier reconnaissait le premier la qualité des débats au micro de Canal+ : "Je pense que les deux équipes ont montré un beau visage ce soir", soulignait l’Italien, avant d’ajouter : "Nous sommes vraiment déçus du résultat final car je pense que l'on pouvait gagner aujourd'hui." Puis de pointer l’action du second but stéphanois entachée d’une grossière faute de Brandao sur Thiago Silva : "Les rapports avec les arbitres, c'est très grave..., lâchait le dernier rempart parisien. Saint-Etienne a eu un joueur à la jambe cassée il y a peu et sur le deuxième but, Thiago Silva aurait pu connaître pareille mésaventure... Je condamne l'arbitre ainsi que l'arbitre de touche qui n'ont rien vu alors que c'était flagrant".

5 commentaires C1 (F)
Lyon fonce en demies

Large vainqueur du FC Malmö (5-0) au match aller, l'Olympique Lyonnais a validé sereinement son billet pour les demi-finales de la Ligue des champions, ce jeudi, en décrochant un nouveau succès (3-0) en Suède. Servi dans l'espace par Camille Abily, Lotta Schelin a rapidement ouvert le score (15e). Après la pause, Megan Rapinoe, profitant d'un bon décalage d'Eugénie le Sommer, a offert deux buts d'avance aux visiteuses grâce à une splendide frappe instantanée du pied droit. Même si le ballon ne semblait pas avoir franchi la ligne (53e)...

L'Américaine a inscrit au passage le 30e but de l'OL en C1, cette saison. En fin de rencontre, les Rhodaniennes, , supérieures dans tous les compartiments du jeu, ont encore corsé la note grâce à Wendy Renard, venue couper le coup franc de Sonia Bompastor (3-0). Doubles tenantes du titre, les joueuses de Patrice Lair affronteront Juvisy dans le dernier carré, les 13 et 20 avril, dans une demi-finale 100% française. Avec l'ambition de réaliser un triplé inédit. Dans l'autre affiche, les Anglaises d'Arsenal défieront les Allemandes de Wolfsburg.

Valls préfère le Barça au PSG

Manuel Valls supportera le Barça, mardi, au Parc des Princes.Publié le 31 mars 2013 à 17h41
Né à Barcelone, naturalisé Français à l’âge de 20 ans, Manuel Valls ne s’en cache pas: mardi, lors du quart de finale aller de la Ligue des champions qui opposera le PSG au Barça, son cœur sera blaugrana ! Une confession faite par le ministre de l’Intérieur au Journal du Dimanche.

A la question "Qui supportez-vous, mardi, lors du quart de finale aller de la Ligue des champions entre le PSG et le Barça", Manuel Valls répond sans hésitation: "Barcelone. C'est mon club, un club qui dépasse les frontières. Qui n'est pas supporter du jeu du Barça, de Messi, Iniesta…? Malgré les titres, il y a dans cette équipe une joie de jouer et de gagner qu'on ne retrouve pas partout." Né dans la cité catalane en 1962, naturalisé Français il y a de cela trente ans, le ministre de l’Intérieur l’affirme dans les colonnes du Journal du Dimanche: "Le Barça représente quelque chose de très fort, cela va au-delà du foot…"

Le Camp Nou, où les Parisiens se rendront huit jours après le premier acte au Parc des Princes, le 10 avril, l’intéressé en connaît les moindres recoins. "J'y suis allé très jeune tous les étés. C'était un spectacle sportif, avec Cruyff et Neeskens, le titre de 1974… Et le seul endroit de revendication pendant la dictature de Franco, qui était en train d'agoniser." Symbole ultime, enfin, de son attachement au club blaugrana, c’est un autre Manuel Valls, "un cousin germain de mon père", qui aurait composé le fameux hymne du Barça.

"Je resterai calme dans les tribunes, c'est promis, souffle celui qui sera aux premières loges mardi soir Et si le PSG fait un beau match et l'emporte, tant mieux! Ce sera la promesse d'un retour très ouvert au Camp Nou. C'est l'occasion d'avoir une des plus belles affiches qu'on ait jamais eues en Ligue des champions, à Paris en tout cas. Avec un PSG qui retrouve la capacité de briller au plus haut niveau et l'équipe qui pratique le plus beau jeu au monde.

PSG: Alex préfère Thiago Silva à Sakho Publié le 31 mars 2013 à 21h00
A deux jours de la visite du FC Barcelone dans le cadre des quarts de finale de la Ligue des champions, Alex, le défenseur du PSG, est revenu sur son entente avec Thiago Silva aux dépens de Mamadou Sakho, dimanche au micro de Canal +. "La seule différence, c’est la communication. C’est plus facile avec Thiago car nous sommes Brésiliens tous les deux. Mais Sakho est un grand joueur. Je n’ai pas de préférence, mais la communication est meilleure avec Thiago. Nous parlons beaucoup, c’est plus facile", a expliqué l'intéressé. Pour contenir Messi, l’ancien de Chelsea pense qu'il en va de "la responsabilité des milieux de terrain" et que "Matuidi est le plus à même de le marquer".

Barça: Piqué tacle Ibrahimovic et le PSG
A deux jours du quart de finale aller entre le Paris Saint-Germain et le FC Barcelone mardi au Parc des Princes, Gerard Piqué, le défenseur central international espagnol, a lancé les hostilités au cours d'un entretien exclusif accordé au Canal Football Club, l'émission dominicale de Canal+. "C’est une équipe qui a renouvelé son effectif. Sont arrivés Zlatan, Thiago Silva… Ils ont dépensé beaucoup d’argent mais pour gagner des titres il faut former une équipe. Ça ne sert à rien d’avoir plein d’étoiles", a-t-il dit à propos du PSG avant de revenir sur le passage éclair de Zlatan Ibrahimovic à Barcelone: "Je ne crois pas qu’il n’était pas fait pour cette équipe. En début de saison ici, il avait marqué beaucoup de buts. C’était une décision de l’entraineur. Pep Guardiola préférait un autre attaquant et Zlatan s’est vu comme un second rôle, pas comme l’acteur principal, et ça ne lui a pas plu. Il n’a pas obtenu ce qu’il voulait." Les retrouvailles entre les deux hommes promettent d'être explosives...

PSG-Ancelotti: "J'ai un bon feeling"
Interrogé ce lundi soir en conférence de presse avant le quart de finale aller de Ligue des champions, mardi à 20h45, entre le PSG et le FC Barcelone, Carlo Ancelotti, l'entraîneur italien du club de la capitale, se veut ambitieux et a un bon pressentiment, comme lors du match décisif contre Porto en phase de poules. "J’ai le même bon feeling. Tout le monde connaît la difficulté de ce match, mais il sera fantastique à jouer. Pour la première année, on est en quarts de finale, c’est très bon, tous les joueurs doivent être contents", a-t-il lâché, avant de préciser : "Ce sera le match le plus difficile, il sera très important pour notre saison, je veux voir un PSG courageux, avec de la personnalité. Peut-être que mon équipe n’aura pas beaucoup la possession de balle, mais quand elle l’aura, j’espère qu’elle aura de bonnes idées pour attaquer, marquer et gagner."

Indice UEFA: La France gagne un rang
Ce n'est pas encore la panacée mais la France se porte légèrement mieux sur la scène européenne. En attendant le quart de finale aller de la Ligue des champions entre le PSG et le FC Barcelone au Parc des Princes ce mardi, le classement à l'indice UEFA permet aux clubs français de gagner un rang par rapport à la saison passée. Sixièmes à l'issue du précédent exercice, les clubs français, grâce notamment au bon parcours du club de la capitale en C1 et des Girondins de Bordeaux en Ligue Europa, pointent désormais au 5e rang devant le Portugal. Ce classement permet à l'instance européenne de déterminer le nombre de places à attribuer pour chaque championnat dans les compétitions européennes. Aujourd'hui obligé de passer par un tour préliminaire avant, éventuellement, de disputer le tour de barrages de la C1, le 3e du championnat de France pourra peut-être gagner un tour en cas de classement identique, voire mieux, en 203-2014. Actuellement, l'Espagne domine l'Angleterre et l'Allemagne alors que l'Italie pointe au 4e rang

PSG-Ibrahimovic: "Le match se jouera sur la possession"
Interrogé ce lundi au Parc des princes sur le quart de finale aller de la Ligue des champions face au Barça, Zlatan Ibrahimovic s'est réjoui à l'idée de le jouer, avant d'estimer que la possession de balle serait la clé: "Ce sera un match compliqué, on joue contre une des meilleurs équipes et un meilleur joueur de tous les temps. Tout le monde connaît Barcelone. Le match se jouera sur la possession de balle, on jouera à la maison, il faudra jouer notre chance à fond. L'objectif est de trouver des solutions pour gêner le maximum cette équipe de Barcelone. On verra ce qui se passe, mais le plus important, c'est la possession de balle." Eliminé l'année dernière avec l'AC Milan par l'équipe catalane au même stade de la compétition, le Suédois a refusé de faire le parallèle: "Je joue dans une nouvelle équipe, avec de nouveaux coéquipiers, j'attends avec impatience ce match mais ce sera très différent. Le Barça a la même équipe depuis de nombreuses années, elle gagne beaucoup chaque saison, au PSG, tout est encore nouveau, l'équipe est jeune, elle avance petit à petit. Ce match n'aura rien n’est comparable."