INDEPENDANCE QUAND TU NOUS TIENS !!!!!!!!!!!!!!!

23/05/2012 à 15:36
Le Parlement européen approuve la taxe sur les transactions financières
Le Parlement européen a adopté mercredi à une très large majorité la création d'une taxe sur les transactions financières (TTF), espérant ainsi envoyer un "message fort" à destination des Etats de l'Union européenne qui s'y opposent.


La résolution commune du Parlement --dont l'avis n'est que consultatif sur le sujet-- a été adoptée par 487 voix (152 contre et 46 abstentions).

L'enjeu, selon le rapporteur du texte, l'eurodéputée socialiste grecque Anni Podimata, était d'envoyer "un message fort au Conseil (qui représente les 27 Etats de l'UE, ndlr), à l'heure où il tient un sommet informel sur la croissance".

Le Parlement, qui milite de longue date pour l'instauration d'une telle taxe, a approuvé en l'amendant une proposition de la Commission européenne présentée en septembre 2011.

Le projet de la Commission prévoit l'instauration d'une taxe sur les transactions financières dans toute l'UE, au taux de 0,1% pour les actions et les obligations et de 0,01% sur les autres produits financiers.

Elle pourrait générer jusqu'à 57 milliards d'euros, si elle est appliquée dans toute l'UE, selon l'exposé des motifs de la résolution.

La question de l'affectation des recettes n'a pas été tranchée: elles pourraient servir à renforcer les ressources propres de l'UE, financer des projets spécifiques ou abonder les budgets nationaux.

Neuf pays, dont l'Allemagne et la France, défendent son instauration. Mais d'autres comme la Grande-Bretagne y sont opposés car ils craignent qu'elle ne favorise la délocalisation d'activités financières.

La résolution du Parlement reprend la base de taxation proposée par la Commission, en élargissant l'assiette aux transactions de devises, et en imposant tous les échanges de produits émis dans un pays soumis à la taxe, même lorsqu'ils ont lieu à l'étranger.

La résolution propose aussi qu'en cas de blocage de certains Etats, la TTF puisse être mise en oeuvre dans une partie seulement de l'UE, suivant le mécanisme de la coopération renforcée.

Le sujet reviendra sur la table des ministres européens des Finances le 22 juin à l'occasion d'une réunion prévue à Luxembourg, a affirmé devant les députés la représentante de la présidence danoise de l'UE, Margrethe Vestager.

Les principaux groupes politiques du Parlement se sont félicités de l'adoption de la résolution.

"Alors que se tient en ce moment même à Bruxelles un sommet informel des dirigeants européens consacré à la relance, l'adoption à Strasbourg d'un rapport sur la taxe sur les transactions financières représente un signal extrêmement fort !", a souligné l'écologiste belge Isabelle Durant, vice-présidente du Parlement et membre de la commission du Budget.

"Ce rapport envoie un message très clair au Conseil: cette taxe bénéficie d'un large soutien de notre assemblée et des citoyens. (...) J'encourage le Conseil à prendre cette proposition très au sérieux et à faire preuve de responsabilité", avait déclaré lors des débats la Finnoise Sirpa Pietikäinen au nom des conservateurs (PPE).

Pour le Français Alain Lamassoure (UMP), l'affectation d'une partie du produit de la taxe au budget de l'Union devrait permettre aux Etats qui l'appliqueront de "réduire d'autant leur contribution, tant pis pour les autres".

Selon le dernier sondage Eurobaromètre, deux tiers des Européens sont favorables à la taxe. Elle pourrait entrer en vigueur fin 2014 selon la Commission

Moody's maintient le triple A de la France mais jugera la politique économique
L'agence de notation Moody's a laissé jeudi inchangée la note de la France, Aaa avec perspective négative, indiquant qu'elle se donne quelques mois pour évaluer la politique économique du gouvernement dans un environnement économique difficile en zone euro.

Pour Moody's, le président François Hollande a montré sa détermination à relancer l'économie, mais le chemin pour y parvenir reste incertain. Le Aaa est la meilleure note possible chez Moody's.

Compte tenu des incertitudes liées à la crise en zone euro, "durant la seconde partie de l'année, et en particulier après les élections législatives à venir, Moody's attend que l'actuel gouvernement donne une image plus claire de son programme", selon l'agence de notation.

Pour elle, les objectifs de moyen terme de M. Hollande, tant sur la consolidation budgétaire que la croissance, sont quasi similaires à ceux du président sortant, Nicolas Sarkozy. Toutefois, M. Hollande compte davantage sur l'augmentation des recettes que son prédécesseur, relève l'agence.

Moody's avait attribué une perspective négative au triple A de la France à la mi-février, ce qui signifie que l'agence envisage d'abaisser la note "à moyen terme".

voir (0) lire (3) 24 mai 15:40
Moody's maintient le triple A de la France mais jugera la politique économique
24 mai 11:06
Sommet européen: François Hollande réussit à imposer le sujet des euro-obligations
24 mai 15:43
Moody's maintient son triple A pour la France
Dans son communiqué publié jeudi, Moody's détaille les événements qui pourraient l'amener soit à dégrader la France, soit à relever la perspective à stable.

Selon Moody's, la perte du tripe A interviendrait si le gouvernement ne parvenait pas à mettre en place les mesures budgétaires et économiques nécessaires pour réduire la dette.

L'agence rappelle qu'au sein des pays qu'elle note triple A, la France figure parmi les plus fragiles sur le critère de la dette.

Toute aggravation sensible de la crise de la zone euro et l'éventualité d'un sauvetage des banques françaises est également un facteur pouvant conduire à une dégradation.

En revanche, la France pourrait récupérer sa perspective stable si elle fait des efforts sur sa dette et si la crise européenne se fait moins ressentir.

Au lendemain du second tour de l'élection présidentielle, les concurrentes de Moody's n'avaient pas non plus changé leur note attribuée à la France.

Standard & Poor's, qui avait retiré en janvier le AAA à la France, avait indiqué que l'élection de M. Hollande n'avait pas d'impact immédiat et Fitch avait confirmé qu'elle ne se prononcerait pas sur la perspective d'évolution du AAA (sous perspective négative) avant 2013.


la prédiction sarkozyste fait long feu! ça va mettre du plomb dans les arguments avancés par l'UMP en vue des législatives.
De bellavie34 : Orange Actu - Le jeudi 24 mai 2012 à 16H00
0 commentaire Ce n'est que justice !
Cette agence de notation reconnaît enfin en Hollande un homme de valeur !

Parité : un nouveau billet de Patrick Besson crée la polémique
«La parité ça fait un peu partouze straight». Quand Patrick Besson choisit d'évoquer la nomination de 17 femmes et 17 hommes au gouvernement, il n'y va pas avec le dos de la cuillère. Son billet, paru dans «Le Point» ce jeudi, crée la polémique sur fond de propos sexistes. Après sa chronique controversée sur l'accent d'Eva Joly en décembre dernier, l'écrivain-journaliste s'en prend par ailleurs à une autre écologiste, la ministre du Logement Cécile Duflot, dont il moque le style.


Avant les épouses des ministres étaient tranquilles : il n'y avait presque que des hommes dans le gouvernement. Maintenant, elles ont du souci à se faire, surtout avec les canons dont s'est entouré Jean-Marc Ayrault», écrit Patrick Besson, avant de délivrer, pour quelques-unes de ces nouvelles ministres, des qualificatifs clichés. Fleur Pellerin ? «la geisha intellectuelle». Christiane Taubira ? «le tanagra guyanais». Delphine Batho ? «l'associative hitchkockienne». Yamina Benguigui ? «la shéhérazade cinématographique». Aurélie Filippetti ? «La séductrice culturelle»... Pour finir, le chroniqueur tacle violemment le style de la ministre du Logement : «Il ne manquerait pas grand chose à Cécile Duflot pour être au niveau de ses consœurs du gouvernement. Un nouveau couturier ? Ce n'est pas le tout de trier les ordures, il faut faire pareil avec les vêtements».

«Sexisme odieux», «honteux et consternant», s'emportent plusieurs internautes sur Twitter. «Patrick Besson illustre en quelques mots la misogynie affligeante de certains hommes (de droite/de pouvoir ?)», tranche Florent. «Le point godwin du machisme vient d'être franchi par Patrick Besson», estime une autre. «Dans ce paragraphe sexiste, on notera que Patrick Besson traite l'asiatique de geisha et la noire d'animal», relève un troisième.

Une internaute, Samarkandya, choisit elle de s'adresser au magazine Le Point : «@LePoint Triez vos ordures avant de publier des papiers comme celui de Patrick Besson».

En intitulant son billet «Pourquoi attendre avant de se fâcher avec le nouveau pouvoir ?», Patrick Besson avait, semble t-il, une idée derrière la tête...

Duel UMP-FN au tribunal Publié le vendredi 25 mai 2012 à 08H54


Hier, Bénédicte Martin, candidate UMP aux législatives dans la 4e circonscription du Vaucluse était poursuivie devant le tribunal correctionnel de Carpentras par Marie-Claude Bompard, la maire de Bollène, pour des faits de diffamation.

En novembre dernier, la conseillère régionale UMP et David Alessi, élu d'opposition bollénois, avaient diffusé un tract sur internet et pointé "les dépenses à caractère familial" des époux Bompard en s'appuyant sur le rapport de la Chambre régionale des comptes. "L'achat de cigares et de cigarettes à l'étranger", "de parfums" ou encore "de séjour en Autriche", tous réalisés avec l'indemnité de représentation du maire orangeois.

Mais qui était visée ? La maire de Bollène en sa qualité d'élue ou l'épouse du maire d'Orange ? Il faudra aussi établir si ces propos et bien sûr, ceux qui les ont allégués, étaient de bonne foi. Les magistrats rendront leur délibéré le 12 juillet.

Mise à jour : vendredi 25 mai 2012 10:17
Discriminations contre les habitants d'Outre-mer: Lurel approuve Baudis
Le ministre des Outre-mer, Victorin Lurel, a accueilli vendredi "très favorablement" la dénonciation par le Défenseur des droits, Dominique Baudis, de pratiques discriminatoires à l'égard des habitants des outre-mer en matière de prêts bancaires et de cautions immobilières.
"Dans sa recommandation, le Défenseur des droits procède à un juste rappel aux lois et aux règlements interdisant de telles pratiques qui sont régulièrement dénoncées par les associations ultramarines", déclare le ministre dans un communiqué.

"La lutte contre les discriminations figure parmi les priorités du ministre des Outre-mer qui souhaite que soit confortée, en la matière, l'action de la Délégation interministérielle pour l'égalité des chances des Français d'Outre-Mer. Cette Délégation a vocation à travailler en lien encore plus étroit avec le Défenseur des droits afin de saisir les juridictions compétentes pour obtenir des sanctions exemplaires", conclut le communiqué.

Le Défenseur des droits, Dominique Baudis, a exigé jeudi que soit mis fin à "un certain nombre de pratiques discriminantes à l'égard des habitants des départements d'Outre-mer".

Dans une "recommandation" en ligne sur son site (www.defenseurdesdroits.fr), le Défenseur des droits dit avoir été alerté à plusieurs reprises au cours des derniers mois "sur des cas de refus de prêts bancaires ou de refus de cautions immobilières en raison de la domiciliation ultra-marine des intéressés".

Après enquête, il a conclu à une "discrimination en raison de l'origine et à une atteinte au principe d'égalité de traitement" entre résidents métropolitains et résidents ultra-marins.

Pour les législatives, Fillon et Copé mettent en sourdine leur rivalité
Après des déclarations fracassantes, les rivaux de l'UMP Jean-François Copé et François Fillon se sont appliqués samedi à mettre en sourdine leur rivalité, conscients de l'impact négatif d'une guerre des chefs sur l'électorat de droite, à quinze jours des législatives.



"Unité et rassemblement": inlassablement, tous les chefs de file de l'UMP ont martelé samedi, lors d'un séminaire sur les législatives devant quelque 500 cadres et candidats, leur volonté de voir leur famille éviter de se déchirer à la veille d'une échéance déterminante pour son avenir.

Les déclarations de François Fillon, expliquant cette semaine dans une interview qu'il n'y avait "plus de leader naturel" à l'UMP "depuis le départ de Nicolas Sarkozy", avaient mis le feu aux poudres parmi les dirigeants et les candidats de l'ex-parti présidentiel.

A l'UMP, on a souligné que ces propos avaient également soulevé une vague de protestations parmi les militants et les électeurs par mail et courrier. Mais on a aussi indiqué que ces reproches visaient l'ensemble de la direction du parti: "Qu'est-ce-que vous faites à Paris? Arrêtez de déconner."

"L'objet de ce séminaire, c'est de montrer que l'on avance dans le bon ordre, qu'on est tous sur la même ligne, que l'on va passer maintenant dans la phase active des législatives en mettant le paquet dans les semaines qui viennent", a résumé Jean-François Copé, avant l'ouverture des débats.

Exercice pratique, le patron de l'UMP a commencé dans son discours par calmer le jeu vis-à-vis de son rival.

"François Fillon a parfaitement raison sur le leadership, c'est une évidence. Personne ne comprendrait que l'un d'entre nous revendique je ne sais quel grade supérieur aux autres. Cela n'a aucun sens. Nous sommes les uns et les autres dans cette collégialité", a-t-il expliqué, en renvoyant au congrès le soin de trancher entre les ambitions.

"2017 sera en 2017"

Le patron de l'UMP a dans le même temps rendu un vibrant hommage à l'action de Nicolas Sarkozy, dont il s'est dit prêt à défendre "le bilan, l'action et la personne", se positionnant ainsi comme son héritier.

Il a appelé le parti à être rassemblé, vigilant vis-à-vis de la gauche, et constructif sur son projet. Il a souhaité "une mise à jour idéologique" de la ligne de l'UMP pour permettre au spectre le plus large, des centristes jusqu'à la droite populaire, de s'exprimer.

Il a enfin voulu activer le recrutement de nouveaux candidats dans la perspective de 2014 (élections municipales et territoriales).

Scrutée par des dizaines de journalistes, l'arrivée de François Fillon dans la salle du séminaire a été chaleureusement applaudie par les cadres du parti. L'ancien Premier ministre s'est assis au premier rang, à côté de Jean-François Copé. Les deux hommes, sourire figé devant les photographes, n'ont pas échangé un regard. A leur côté se trouvaient notamment les anciens Premiers ministres Alain Juppé et Jean-Pierre Raffarin.

A la tribune, François Fillon n'a pas dit un mot sur la polémique qui agite le parti. "Je m'engage avec vous comme un militant parmi les militants", a-t-il expliqué, avant de prononcer un discours très politique, où il s'en est pris notamment à François Hollande.

Alain Juppé a pour sa part exhorté ses amis "à ne pas se tromper de calendrier". "2017 sera en 2017 et il faudra organiser des primaires ouvertes pour désigner notre candidat. Avant, il y a octobre 2012 (date du congrès du parti, ndlr) et il y aura une compétition, mais l'objectif du congrès sera de préparer l'unité dans la diversité", a-t-il prévenu.

Le maire de Bordeaux s'est abstenu de répondre à un cadre du parti qui avait proposé, pour résoudre la crise de leadership du mouvement, la candidature d'un "sage, droit dans ses bottes et qui est le meilleur d'entre nous".

.

Classement des communes Ce tableau liste les communes de France de 30 000 habitants et plus en 2009 sur la base du décret n° 2011-1994 du 27 décembre 2011 authentifiant les chiffres des populations de métropole, des départements d'outre-mer, de Saint-Barthélemy, de Saint-Martin et de Saint-Pierre-et-Miquelon[6].



# Ville Département Région 1968[7] 1975[7] 1982[7] 1990[7] 1999[7],[8] 2006[9],[10] 2009[11],[12]
01 Paris Paris Île-de-France 2 590 771 2 299 830 2 176 243 2 152 423 2 125 246 2 181 371 2 234 105
02 Marseille Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 889 029 908 600 874 436 800 550 798 430 839 045 850 602
03 Lyon Rhône Rhône-Alpes 527 800 456 716 413 095 415 487 445 452 472 305 479 803
04 Toulouse Haute-Garonne Midi-Pyrénées 370 796 373 796 347 995 358 688 390 350 437 715 440 204
05 Nice Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 322 442 344 481 337 085 342 439 342 738 347 060 340 735
06 Nantes Loire-Atlantique Pays de la Loire 260 244 256 693 240 539 244 995 270 251 282 853 282 047
07 Strasbourg Bas-Rhin Alsace 249 396 253 384 248 712 252 338 264 115 272 975 271 708
08 Montpellier Hérault Languedoc-Roussillon 161 910 191 354 197 231 207 996 225 392 251 634 255 080
09 Bordeaux Gironde Aquitaine 266 662 223 131 208 159 210 336 215 363 232 260 236 725
10 Lille[13] Nord Nord-Pas-de-Calais 238 554 219 204 196 705 198 691 212 566 226 014 226 827
11 Rennes Ille-et-Vilaine Bretagne 180 943 198 305 194 656 197 536 206 229 209 613 206 604
12 Reims Marne Champagne-Ardenne 154 534 178 381 177 234 180 620 187 206 183 837 180 842
13 Le Havre Seine-Maritime Haute-Normandie 207 150 217 882 199 388 195 854 190 905 182 580 177 259
14 Saint-Étienne Loire Rhône-Alpes 223 223 220 181 204 955 199 396 180 210 177 480 171 961
15 Toulon Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 174 746 181 801 179 423 167 619 160 639 167 816 165 514
16 Grenoble Isère Rhône-Alpes 161 616 166 037 156 637 150 758 153 317 156 107 155 632
17 Dijon Côte-d'Or Bourgogne 145 357 151 705 140 942 146 703 149 867 151 504 152 110
18 Angers Maine-et-Loire Pays de la Loire 128 557 137 591 136 038 141 404 151 279 152 337 147 305
19 Saint-Denis La Réunion La Réunion 85 444 103 512 109 072 121 999 131 557 138 314 145 209
20 Villeurbanne Rhône Rhône-Alpes 119 879 116 535 115 960 116 872 124 215 136 473 144 751
21 Le Mans Sarthe Pays de la Loire 143 246 152 285 147 697 145 502 146 105 144 016 142 281
22 Aix-en-Provence Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 89 566 110 659 121 327 123 842 134 222 142 534 141 895
23 Brest Finistère Bretagne 154 023 166 826 156 060 147 956 149 634 144 548 141 315
24 Nîmes Gard Languedoc-Roussillon 123 292 127 933 124 220 128 471 133 424 144 092 140 747
25 Limoges Haute-Vienne Limousin 133 019 143 725 140 400 133 464 133 968 136 539 139 216
26 Clermont-Ferrand Puy-de-Dôme Auvergne 148 759 156 763 147 224 136 181 137 140 138 992 138 588
27 Tours Indre-et-Loire Centre 128 120 140 686 132 209 129 509 132 820 136 942 135 218
28 Amiens Somme Picardie 117 888 131 476 131 332 131 872 135 501 136 105 133 998
29 Metz Moselle Lorraine 107 537 111 869 114 232 119 594 123 776 124 435 121 841
30 Perpignan Pyrénées-Orientales Languedoc-Roussillon 102 191 106 426 111 669 105 953 105 115 115 326 117 905
31 Besançon Doubs Franche-Comté 113 220 120 315 113 283 113 828 117 733 117 080 117 392
32 Orléans Loiret Centre 95 828 106 246 102 710 105 111 113 126 113 130 113 224
33 Boulogne-Billancourt Hauts-de-Seine Île-de-France 109 008 103 578 102 582 101 743 106 367 110 251 113 085
34 Mulhouse Haut-Rhin Alsace 116 336 117 013 112 157 108 357 110 359 110 514 111 156
35 Rouen Seine-Maritime Haute-Normandie 120 471 114 834 101 945 102 723 106 592 107 904 110 688
36 Caen Calvados Basse-Normandie 110 262 119 640 114 068 112 846 113 987 110 399 109 312
37 Nancy Meurthe-et-Moselle Lorraine 123 428 107 902 96 317 99 351 103 605 105 468 106 318
38 Saint-Denis Seine-Saint-Denis Île-de-France 99 268 96 132 90 829 89 988 85 832 97 875 105 749
39 Saint-Paul La Réunion La Réunion 43 129 52 554 58 412 71 669 87 712 99 291 103 498
40 Montreuil Seine-Saint-Denis Île-de-France 95 698 96 587 93 368 94 754 90 674 101 587 103 192
41 Argenteuil Val-d'Oise Île-de-France 90 480 102 530 95 347 93 096 93 961 102 683 102 844
42 Roubaix Nord Nord-Pas-de-Calais 114 547 109 553 101 602 97 746 96 984 97 952 95 028
43 Dunkerque[14] Nord Nord-Pas-de-Calais 96 547 99 776 100 404 98 237 97 964 94 960 92 923
44 Tourcoing Nord Nord-Pas-de-Calais 98 755 102 239 96 908 93 765 93 540 92 357 92 389
45 Nanterre Hauts-de-Seine Île-de-France 90 332 95 002 88 578 84 565 84 281 88 316 89 966
46 Avignon Vaucluse Provence-Alpes-Côte d’Azur 86 096 90 786 89 132 86 939 85 935 92 454 89 592
47 Créteil Val-de-Marne Île-de-France 49 197 59 023 71 693 82 088 82 154 88 939 89 359
48 Poitiers Vienne Poitou-Charentes 71 129 81 313 79 350 78 894 83 448 88 776 88 795
49 Fort-de-France Martinique Martinique 96 943 98 807 99 844 100 080 94 049 90 347 88 440
50 Courbevoie Hauts-de-Seine Île-de-France 58 118 54 488 59 830 65 389 69 694 84 415 86 945
51 Versailles Yvelines Île-de-France 90 829 94 145 91 494 87 789 85 726 87 549 86 477
52 Vitry-sur-Seine Val-de-Marne Île-de-France 77 846 87 316 85 263 82 400 78 908 82 902 85 380
53 Colombes Hauts-de-Seine Île-de-France 80 357 83 390 78 777 78 513 76 757 82 026 84 572
54 Pau Pyrénées-Atlantiques Aquitaine 74 005 83 498 83 790 82 157 78 732 83 903 82 763
55 Aulnay-sous-Bois Seine-Saint-Denis Île-de-France 61 521 78 137 75 996 82 314 80 021 81 600 82 525
56 Asnières-sur-Seine Hauts-de-Seine Île-de-France 80 113 75 431 71 077 71 850 75 837 82 351 81 603
57 Rueil-Malmaison Hauts-de-Seine Île-de-France 60 804 62 727 63 412 66 401 73 469 77 625 79 065
58 Saint-Pierre La Réunion La Réunion 40 355 46 060 50 082 58 846 68 915 74 480 77 146
59 Antibes Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 47 547 55 960 62 859 70 005 72 412 75 820 75 553
60 Saint-Maur-des-Fossés Val-de-Marne Île-de-France 77 251 80 920 80 811 77 206 73 069 75 214 75 251
61 Champigny-sur-Marne Val-de-Marne Île-de-France 70 419 80 291 76 176 79 486 74 237 74 863 75 090
62 La Rochelle Charente-Maritime Poitou-Charentes 73 362 79 757 75 840 71 094 76 584 77 196 74 707
63 Aubervilliers Seine-Saint-Denis Île-de-France 73 695 72 976 67 719 67 557 63 136 73 506 74 701
64 Calais Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais 74 624 78 820 76 527 75 309 77 333 74 888 74 336
65 Cannes Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 67 187 70 527 72 259 68 676 67 304 70 610 73 372
66 Le Tampon La Réunion La Réunion 31 378 36 107 40 545 47 593 60 323 69 849 72 658
67 Béziers Hérault Languedoc-Roussillon 80 481 84 029 76 647 70 996 69 153 72 245 70 957
68 Colmar Haut-Rhin Alsace 59 506 64 771 62 483 63 498 65 136 65 713 67 214
69 Bourges Cher Centre 70 814 77 300 76 432 75 609 72 480 70 828 66 786
70 Drancy Seine-Saint-Denis Île-de-France 68 467 64 430 60 183 60 707 62 263 66 063 66 670
71 Mérignac Gironde Aquitaine 45 951 50 652 51 306 57 273 61 992 65 469 66 488
72 Saint-Nazaire Loire-Atlantique Pays de la Loire 63 289 69 251 68 348 64 812 65 874 68 838 66 348
73 Valence Drôme Rhône-Alpes 62 358 68 604 66 356 63 437 64 260 65 263 64 367
74 Ajaccio Corse-du-Sud Corse 43 438 49 065 54 089 58 949 52 880 63 723 64 306
75 Issy-les-Moulineaux Hauts-de-Seine Île-de-France 50 512 47 625 45 835 46 194 52 647 61 471 64 027
76 Villeneuve-d'Ascq Nord Nord-Pas-de-Calais 26 178 36 769 59 527 65 320 65 042 61 151 63 844
77 Levallois-Perret Hauts-de-Seine Île-de-France 58 941 52 523 53 500 47 548 54 700 62 851 63 436
78 Noisy-le-Grand Seine-Saint-Denis Île-de-France 25 440 26 662 40 585 54 032 58 217 61 341 63 405
79 Quimper Finistère Bretagne 52 496 55 977 56 907 59 437 63 238 64 902 63 387
80 La Seyne-sur-Mer Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 43 783 51 155 57 659 59 968 60 188 56 768 61 514
81 Antony Hauts-de-Seine Île-de-France 56 638 57 540 54 610 57 771 59 855 60 552 61 393
82 Troyes Aube Champagne-Ardenne 74 896 72 165 63 579 59 255 60 958 61 344 61 188
83 Neuilly-sur-Seine Hauts-de-Seine Île-de-France 70 995 65 983 64 170 61 768 59 848 61 471 60 501
84 Sarcelles Val-d'Oise Île-de-France 51 674 55 007 53 630 56 833 57 871 58 654 59 421
85 Les Abymes Guadeloupe Guadeloupe 39 911 53 605 56 165 62 605 63 054 60 053 58 836
86 Vénissieux Rhône Rhône-Alpes 47 613 74 347 64 804 60 444 56 061 57 179 58 643
87 Clichy Hauts-de-Seine Île-de-France 52 477 47 764 46 895 48 030 50 179 57 162 58 200
88 Lorient Morbihan Bretagne 66 444 69 769 62 554 59 271 59 189 58 547 57 812
89 Pessac Gironde Aquitaine 36 986 51 360 50 267 51 055 56 143 57 187 57 593
90 Ivry-sur-Seine Val-de-Marne Île-de-France 60 455 62 856 55 699 53 619 50 972 55 608 57 254
91 Cergy Val-d'Oise Île-de-France 2 895 8 896 19 357 48 226 54 781 56 873 57 247
92 Cayenne Guyane Guyane française 24 518 30 461 38 091 41 067 50 594 58 004 57 047
93 Niort Deux-Sèvres Poitou-Charentes 55 984 62 267 58 203 57 012 56 663 58 066 56 878
94 Chambéry Savoie Rhône-Alpes 51 056 54 415 53 427 54 120 55 786 57 543 56 476
95 Montauban Tarn-et-Garonne Midi-Pyrénées 45 872 48 028 50 682 51 224 51 855 53 941 56 126
96 Saint-Quentin Aisne Picardie 64 196 67 243 63 567 60 644 59 066 56 792 55 971
97 Villejuif Val-de-Marne Île-de-France 51 120 55 606 52 448 48 405 47 384 50 571 55 250
98 Hyères Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 34 875 36 123 38 999 48 043 51 417 55 007 54 686
99 Beauvais Oise Picardie 46 859 54 089 52 365 54 190 55 392 55 481 54 461
100 Cholet Maine-et-Loire Pays de la Loire 42 620 52 976 55 524 55 132 54 204 54 632 54 121
101 Épinay-sur-Seine Seine-Saint-Denis Île-de-France 41 774 46 578 50 314 48 762 46 409 51 598 53 577
102 Bondy Seine-Saint-Denis Île-de-France 51 652 48 333 44 301 46 676 46 826 53 311 53 448
103 Fontenay-sous-Bois Val-de-Marne Île-de-France 38 962 46 475 52 627 51 868 50 921 51 727 53 258
104 Arles Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 45 774 50 059 50 500 52 058 50 513 51 970 52 979
105 Saint-André La Réunion La Réunion 22 094 25 231 30 075 35 049 43 174 51 817 52 939
106 Vannes Morbihan Bretagne 36 576 40 359 42 178 45 644 51 759 53 079 52 683
107 Chelles Seine-et-Marne Île-de-France 33 281 36 516 41 838 45 365 45 399 48 616 52 636
108 Maisons-Alfort Val-de-Marne Île-de-France 53 149 54 156 51 065 53 375 51 103 53 233 52 619
109 Clamart Hauts-de-Seine Île-de-France 54 906 52 952 48 353 47 227 48 572 50 655 52 569
110 Évry Essonne Île-de-France 7 113 15 354 29 471 45 531 49 437 52 651 52 403
111 La Roche-sur-Yon Vendée Pays de la Loire 36 067 44 713 45 098 45 219 49 262 50 717 52 234
112 Fréjus Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 23 629 28 851 31 662 41 486 46 801 51 537 52 203
113 Pantin Seine-Saint-Denis Île-de-France 47 607 42 739 43 553 47 303 49 919 53 577 52 161
114 Grasse Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 30 907 34 579 37 673 41 388 43 874 48 801 52 019
115 Saint-Louis La Réunion La Réunion 26 663 30 291 31 785 37 420 43 519 49 455 51 460
116 Sartrouville Yvelines Île-de-France 40 277 42 253 46 197 50 329 50 219 51 600 51 459
117 Narbonne Aude Languedoc-Roussillon 38 441 39 342 41 565 45 849 46 510 50 776 51 227
118 Évreux Eure Haute-Normandie 42 550 47 412 46 045 49 103 51 198 51 239 51 193
119 Laval Mayenne Pays de la Loire 45 674 51 544 50 360 50 473 50 947 51 233 51 182
120 Le Blanc-Mesnil Seine-Saint-Denis Île-de-France 48 487 49 107 47 037 46 956 46 936 51 109 51 106
121 Annecy Haute-Savoie Rhône-Alpes 54 484 53 262 49 965 49 644 50 348 51 023 50 254
122 Belfort Territoire de Belfort Franche-Comté 53 214 54 615 51 206 50 125 50 417 50 863 50 199
123 Sevran Seine-Saint-Denis Île-de-France 20 253 34 221 41 809 48 478 47 063 51 106 50 021
124 Charleville-Mézières Ardennes Champagne-Ardenne 55 545 60 176 58 667 57 008 55 490 51 997 49 975
125 Meaux Seine-et-Marne Île-de-France 30 214 42 243 45 005 48 305 49 421 48 842 49 612
126 Brive-la-Gaillarde Corrèze Limousin 46 530 51 828 51 511 49 765 49 127 50 009 49 231
127 Albi Tarn Midi-Pyrénées 42 930 46 162 45 947 46 790 46 274 48 712 48 858
128 Vincennes Val-de-Marne Île-de-France 49 143 44 261 42 870 42 267 43 595 47 488 48 689
129 Bobigny Seine-Saint-Denis Île-de-France 39 453 43 125 42 723 44 659 44 079 47 806 48 503
130 Montrouge Hauts-de-Seine Île-de-France 44 922 40 304 38 517 38 106 37 733 45 178 48 410
131 Cagnes-sur-Mer Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 22 110 29 538 35 214 40 902 43 942 48 313 48 024
132 Carcassonne Aude Languedoc-Roussillon 43 616 42 154 41 153 43 470 43 950 46 639 47 854
133 Saint-Malo Ille-et-Vilaine Bretagne 42 297 45 030 46 347 48 057 50 675 49 661 47 045
134 Martigues Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 27 945 38 373 42 037 42 678 43 493 46 318 46 625
135 Aubagne Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 27 938 33 595 38 561 41 100 42 638 44 682 46 588
136 Saint-Ouen Seine-Saint-Denis Île-de-France 48 886 43 588 43 606 42 343 39 722 42 950 46 510
137 Châteauroux Indre Centre 49 138 53 429 51 942 50 969 49 632 47 559 46 386
138 Châlons-en-Champagne Marne Champagne-Ardenne 50 764 52 275 51 137 48 423 47 338 46 184 46 236
139 Suresnes Hauts-de-Seine Île-de-France 40 616 37 537 35 187 35 998 39 697 46 437 46 053
140 Blois Loir-et-Cher Centre 42 264 49 778 47 243 49 318 49 171 48 487 46 013
141 Saint-Brieuc Côtes-d'Armor Bretagne 50 281 52 559 48 563 44 752 46 087 46 437 46 013
142 Chalon-sur-Saône Saône-et-Loire Bourgogne 50 589 58 187 56 194 54 575 50 124 46 534 45 504
143 Bayonne Pyrénées-Atlantiques Aquitaine 42 743 42 938 41 381 40 051 40 078 44 406 44 900
144 Puteaux Hauts-de-Seine Île-de-France 37 946 35 514 36 117 42 756 40 780 42 981 44 892
145 Meudon Hauts-de-Seine Île-de-France 50 623 52 806 48 450 45 339 43 663 44 745 44 717
146 Alfortville Val-de-Marne Île-de-France 35 023 38 057 36 231 36 119 36 232 42 743 44 278
147 Tarbes Hautes-Pyrénées Midi-Pyrénées 55 375 54 897 51 422 47 566 46 275 45 433 43 686
148 Bastia Haute-Corse Corse 38 746 42 810 44 020 37 845 37 884 43 577 43 545
149 Boulogne-sur-Mer Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais 49 288 48 440 47 653 43 678 44 859 44 273 43 310
150 Mantes-la-Jolie Yvelines Île-de-France 26 062 42 465 43 564 45 087 43 672 41 930 43 128
151 Saint-Herblain Loire-Atlantique Pays de la Loire 17 568 39 867 41 958 42 774 43 726 43 901 43 119
152 Sète Hérault Languedoc-Roussillon 40 476 39 258 39 545 41 510 39 542 43 008 42 796
153 Castres Tarn Midi-Pyrénées 40 457 45 978 45 578 44 812 43 496 43 141 42 701
154 Valenciennes Nord Nord-Pas-de-Calais 46 626 42 473 40 275 38 441 41 278 42 426 42 649
155 Douai Nord Nord-Pas-de-Calais 49 187 45 239 42 576 42 175 42 796 42 766 42 461
156 Istres Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 13 404 18 129 28 561 35 163 38 993 42 090 42 460
157 Corbeil-Essonnes Essonne Île-de-France 32 192 38 859 37 846 40 345 39 378 40 929 42 456
158 Salon-de-Provence Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 30 722 34 576 34 846 34 054 37 129 40 147 42 440
159 Angoulême Charente Poitou-Charentes 47 822 47 221 46 197 42 876 43 171 42 096 42 242
160 Arras Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais 49 180 46 483 41 736 38 983 40 590 42 015 42 049
161 Saint-Priest Rhône Rhône-Alpes 20 419 36 734 42 677 41 876 40 974 40 746 41 751
162 Wattrelos Nord Nord-Pas-de-Calais 43 754 45 440 44 626 43 675 42 753 42 852 41 750
163 Le Cannet Alpes-Maritimes Provence-Alpes-Côte d’Azur 23 231 33 892 37 411 41 842 42 158 42 531 41 725
164 Thionville Moselle Lorraine 40 254 43 020 40 573 39 712 40 907 41 127 41 564
165 Alès Gard Languedoc-Roussillon 42 818 44 245 43 268 41 037 39 346 40 949 41 432
166 Gennevilliers Hauts-de-Seine Île-de-France 46 074 50 290 45 396 44 818 42 513 43 054 41 400
167 Livry-Gargan Seine-Saint-Denis Île-de-France 32 063 32 917 32 778 35 387 37 288 41 556 41 206
168 Caluire-et-Cuire Rhône Rhône-Alpes 37 603 43 041 41 931 41 311 41 233 41 418 41 149
169 Saint-Germain-en-Laye Yvelines Île-de-France 38 308 37 509 38 499 39 926 38 423 41 312 40 945
170 Rosny-sous-Bois Seine-Saint-Denis Île-de-France 30 705 35 784 36 970 37 489 39 105 41 174 40 867
171 Compiègne Oise Picardie 29 700 37 699 40 384 41 896 41 254 42 036 40 860
172 Talence Gironde Aquitaine 29 161 34 127 34 692 34 485 37 210 40 920 40 793
173 Massy Essonne Île-de-France 37 055 41 344 40 135 38 574 37 712 40 183 40 523
174 Vaulx-en-Velin Rhône Rhône-Alpes 20 726 37 866 44 160 44 174 39 154 40 300 40 339
175 Garges-lès-Gonesse Val-d'Oise Île-de-France 27 312 37 927 40 182 42 144 40 058 39 672 40 215
176 Bourg-en-Bresse Ain Rhône-Alpes 37 887 42 181 41 098 40 972 40 666 40 156 39 586
177 Choisy-le-Roi Val-de-Marne Île-de-France 41 440 38 705 35 476 34 068 34 336 36 198 39 400
178 Melun Seine-et-Marne Île-de-France 34 524 37 712 35 005 35 319 35 695 37 663 39 400
179 Noisy-le-Sec Seine-Saint-Denis Île-de-France 34 079 37 734 36 880 36 309 37 312 38 587 39 270
180 Gap Hautes-Alpes Provence-Alpes-Côte d’Azur 24 571 28 233 30 676 33 444 36 262 37 332 39 243
181 Le Lamentin Martinique Martinique 18 553 23 145 26 367 30 028 35 460 39 847 39 162
182 Chartres Eure-et-Loir Centre 34 469 38 928 37 119 39 595 40 361 40 022 39 122
183 Cherbourg-Octeville Manche Basse-Normandie 47 708 48 513 46 993 45 341 42 318 40 838 39 003
184 Montluçon Allier Auvergne 57 871 56 468 49 912 44 248 41 362 39 889 38 978
185 Bron Rhône Rhône-Alpes 41 619 44 563 40 638 39 683 37 369 38 919 38 827
186 Marcq-en-Barœul Nord Nord-Pas-de-Calais 35 136 36 126 35 278 36 601 37 177 38 939 38 819
187 Gagny Seine-Saint-Denis Île-de-France 35 780 36 772 34 861 36 059 36 715 37 729 38 765
188 Le Port La Réunion La Réunion 19 768 25 068 30 131 34 692 38 412 38 148 38 609
189 Bagneux Hauts-de-Seine Île-de-France 42 006 40 674 40 385 36 364 37 252 38 936 38 495
190 Rezé Loire-Atlantique Pays de la Loire 33 509 35 730 33 562 33 262 35 478 37 333 38 214
191 Poissy Yvelines Île-de-France 33 613 37 497 36 389 36 745 35 841 35 860 37 816
192 La Courneuve Seine-Saint-Denis Île-de-France 43 318 37 958 33 537 34 139 35 310 37 034 37 700
193 Anglet Pyrénées-Atlantiques Aquitaine 21 190 25 245 29 821 33 041 35 263 37 646 37 661
194 Saint-Laurent-du-Maroni Guyane Guyane française 5 031 5 055 6 971 13 616 19 211 33 707 37 524
195 Nevers Nièvre Bourgogne 42 422 45 480 43 013 41 968 40 932 38 496 37 470
196 Savigny-sur-Orge Essonne Île-de-France 31 956 34 478 32 502 33 295 36 258 37 259 37 092
197 Roanne Loire Rhône-Alpes 53 385 55 198 48 708 41 759 38 896 36 126 36 866
198 Auxerre Yonne Bourgogne 36 063 38 342 38 741 38 819 37 790 37 419 36 702
199 Draguignan Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 18 376 21 448 26 667 30 183 32 829 37 088 36 601
200 Vitrolles Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 5 050 13 413 22 725 35 397 36 784 37 690 36 117
201 Joué-lès-Tours Indre-et-Loire Centre 17 826 27 450 34 704 36 798 36 517 36 233 36 000
202 Saint-Chamond Loire Rhône-Alpes 37 728 40 250 40 267 38 878 37 378 35 608 35 891
203 Saint-Joseph La Réunion La Réunion 22 361 23 653 23 307 25 630 30 293 33 509 35 846
204 Lens Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais 41 874 40 199 38 244 35 017 36 206 35 583 35 830
205 Villepinte Seine-Saint-Denis Île-de-France 12 103 17 465 23 745 30 303 33 782 35 592 35 740
206 Saint-Martin-d'Hères Isère Rhône-Alpes 33 605 38 052 35 188 34 341 35 777 35 217 35 669
207 Échirolles Isère Rhône-Alpes 15 429 33 288 37 360 34 435 32 806 35 687 35 657
208 Montélimar Drôme Rhône-Alpes 26 748 28 058 29 161 29 982 31 344 33 924 35 495
209 Conflans-Sainte-Honorine Yvelines Île-de-France 26 304 31 066 28 977 31 467 33 327 33 671 35 335
210 Pontault-Combault Seine-et-Marne Île-de-France 9 282 16 761 19 037 26 804 32 886 34 546 35 252
211 Tremblay-en-France Seine-Saint-Denis Île-de-France 18 482 26 846 29 644 31 385 33 885 35 340 35 036
212 Six-Fours-les-Plages Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 15 118 20 090 25 526 28 957 32 742 34 325 34 919
213 Villefranche-sur-Saône Rhône Rhône-Alpes 26 338 30 341 28 881 29 542 30 647 34 188 34 686
214 Saint-Benoît La Réunion La Réunion 19 492 21 658 23 541 26 187 31 560 33 187 34 682
215 Haguenau Bas-Rhin Alsace 22 944 25 147 26 629 27 675 32 242 34 891 34 648
216 Creil Oise Picardie 32 544 32 509 34 709 31 956 30 675 33 479 34 327
217 Colomiers Haute-Garonne Midi-Pyrénées 10 584 20 126 23 326 26 979 28 538 32 110 34 306
218 Saint-Raphaël Var Provence-Alpes-Côte d’Azur 17 844 21 080 24 118 26 616 30 671 33 804 34 269
219 Marignane Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 20 044 26 477 31 109 32 325 34 006 32 921 34 226
220 Mâcon Saône-et-Loire Bourgogne 34 227 39 344 38 404 37 275 34 469 34 171 34 136
221 Sainte-Geneviève-des-Bois Essonne Île-de-France 23 684 31 859 30 439 31 286 32 125 34 024 34 053
222 Stains Seine-Saint-Denis Île-de-France 32 169 35 545 36 079 34 879 32 839 34 670 33 951
223 Agen Lot-et-Garonne Aquitaine 34 949 34 039 31 593 30 553 30 170 33 728 33 920
224 Bagnolet Seine-Saint-Denis Île-de-France 34 054 35 906 32 557 32 600 32 511 34 069 33 839
225 La Ciotat Bouches-du-Rhône Provence-Alpes-Côte d’Azur 23 916 32 721 31 727 30 620 31 630 32 126 33 812
226 Montigny-le-Bretonneux Yvelines Île-de-France 937 1 550 14 093 31 687 35 216 33 968 33 691
227 Romans-sur-Isère Drôme Rhône-Alpes 31 545 33 030 33 152 32 734 32 667 33 138 33 664
228 Thonon-les-Bains Haute-Savoie Rhône-Alpes 20 700 24 454 24 844 28 401 28 927 31 213 33 516
229 Franconville Val-d'Oise Île-de-France 16 205 24 231 32 948 33 802 33 497 32 988 33 276
230 Neuilly-sur-Marne Seine-Saint-Denis Île-de-France 22 543 30 168 31 195 31 461 32 754 33 352 33 157
231 Épinal Vosges Lorraine 36 856 39 604 37 818 36 732 35 794 34 014 32 845
232 Châtellerault Vienne Poitou-Charentes 35 793 37 080 35 838 34 678 34 126 34 402 32 718
233 Dieppe Seine-Maritime Haute-Normandie 39 025 39 466 35 957 35 894 34 653 33 618 32 670
234 Cambrai Nord Nord-Pas-de-Calais 37 584 39 049 35 272 33 092 33 738 32 594 32 518
235 Châtillon Hauts-de-Seine Île-de-France 24 640 26 574 24 834 26 411 28 622 32 077 32 448
236 Châtenay-Malabry Hauts-de-Seine Île-de-France 27 484 30 497 28 580 29 197 30 621 31 873 32 386
237 Le Perreux-sur-Marne Val-de-Marne Île-de-France 29 099 28 333 27 647 28 477 30 080 32 067 32 194
238 Liévin Pas-de-Calais Nord-Pas-de-Calais 35 853 33 070 33 096 33 623 33 427 32 565 32 009
239 Maubeuge Nord Nord-Pas-de-Calais 32 028 35 399 36 061 34 989 33 546 32 699 31 970
240 Viry-Châtillon Essonne Île-de-France 27 045 32 411 30 224 30 580 30 257 31 252 31 630
241 Les Mureaux Yvelines Île-de-France 21 733 28 165 31 619 33 089 31 739 32 634 31 490
242 Annemasse Haute-Savoie Rhône-Alpes 17 166 23 384 26 204 27 669 27 253 28 572 31 293
243 Schiltigheim Bas-Rhin Alsace 29 198 30 144 29 574 29 155 30 841 31 239 31 148
244 Houilles Yvelines Île-de-France 29 338 30 345 29 537 29 650 29 634 30 835 31 020
245 Villeneuve-Saint-Georges Val-de-Marne Île-de-France 30 467 31 664 28 119 26 952 28 361 30 450 31 013
246 Goussainville Val-d'Oise Île-de-France 16 197 25 182 23 543 24 812 27 356 30 142 30 990
246 Malakoff Hauts-de-Seine Île-de-France 36 198 34 121 32 553 30 959 29 402 30 509 30 988
247 Vandœuvre-lès-Nancy Meurthe-et-Moselle Lorraine 19 686 33 909 33 682 34 105 32 048 31 447 30 968
248 Nogent-sur-Marne Val-de-Marne Île-de-France 26 238 25 634 24 630 25 248 28 191 30 632 30 956
249 Plaisir Yvelines Île-de-France 6 869 21 259 22 593 25 877 31 045 31 539 30 709
250 Dreux Eure-et-Loir Centre 29 409 33 102 33 379 35 230 31 849 32 723 30 690
251 Athis-Mons Essonne Île-de-France 27 638 30 735 28 494 29 121 29 427 30 615 30 644
252 Saint-Leu La Réunion La Réunion 16 870 17 396 18 207 20 931 25 310 28 969 30 504
253 Mont-de-Marsan Landes Aquitaine 24 444 26 166 27 326 28 328 29 489 30 230 30 418
254 Sainte-Marie La Réunion La Réunion 14 367 16 566 17 251 20 158 26 582 30 596 30 367
255 Palaiseau Essonne Île-de-France 23 343 28 716 28 369 28 395 28 965 30 339 30 311

École: laFCPE prône une "coéducation"
"Il faut en finir
avec l’opposition
systématique entre
parents et enseignants
La première fédération de parents
d'élèves, la FCPE, a plaidé,
lors de la clôture hier de son
congrès annuel, pour une "coéducation"
des enfants que se
partageraient parents et enseignants.
"Il faut en finir avec
l’opposition systématique entre
parents et enseignants. Il faut enfin
mettre réellement en oeuvre
la coéducation. Bien sûr, il faudra
associer les jeunes eux-mêmes",
a déclaré le président de
la FCPE, Jean-Jacques Hazan,
dans son discours de clôture du
66e congrès de son organisation,
qui s'est tenu tout le week-end
de Pentecôte aux Sables d'Olonne
(Vendée).
Jean-Jacques Hazan a prôné,
selon un communiqué de la FCPE,
la création d'"une nouvelle
alliance entre parents et enseignants
(...) un nouveau pacte
pour construire une école
meilleure pour un avenir collectif
meilleur".
Devant le congrès, la ministre
déléguée à la réussite éducative
George Pau-Langevin est allée
dans le même sens: soulignant
que le "projet global" du gouvernement
est de "refonder l'école
de la République", elle a ajouté,
selon un communiqué, que
"tous les acteurs de la communauté
éducative seront consultés
et bien entendu les parents d'élèves,
qui doivent être les artisans
de la mise en place d’une véritable
coéducation". "L'école de la
République vient de vivre des années
difficiles" (suppressions de
postes, restrictions budgétaires...),
et "nous avons une véritable
dette éducative au même titre
que nous avons une dette financière",
a-t-elle lancé.
La première fédération de parents
d'élèves s’est également
associée dans une déclaration
aux syndicats étudiant Unef et
lycéen UNL dans le but de
constituer "un pôle des usagers
de l'école". Pour son congrès
2012, la FCPE avait également
convié samedi le nouveau ministre
de l’Éducation nationale,
Vincent Peillon, quiaété chaleureusement
accueilli et applaudi
lorsqu’il a assuré qu’il serait
"toujours et d'abord le ministre
des élèves".
La priorité que François Hollande
a donnée à l’Éducation et
sa promesse d'une grande "loi
d e p r o g r a m m a t i o n e t
d’orientation" avec 60000 créations
de postes à la clé pendant
le quinquennat ont séduit des
parents.

Le frère de Roselyne Bachelot soutient le FN sur l'ex-circonscription de sa soeur


L'ancienne ministre des Solidarités Roselyne Bachelot-

Le frère de Roselyne Bachelot et ex-membre de l'UMP, Jean-Yves Narquin, a apporté son soutien au candidat du Front National, Gaëtan Dirand, dans la 1e circonscription du Maine-et-Loire, où son père puis sa soeur ont été élus depuis plus de 40 ans, a-t-on appris mercredi auprès des responsables départementaux du FN.

"Nous bâtissons aujourd'hui l'opposition à la gauche et la future majorité de demain (...). Vous souhaitez l'union de la droite? Alors votez massivement pour un homme de conviction, Gaëtan Dirand, qui vous représentera dignement", affirme Jean-Yves Narquin dans un communiqué, relayé sur le site internet de la fédération de Maine-et-Loire du FN, dont Gaëtan Dirand est le secrétaire départemental.

Élue pour la première fois sur cette circonscription en 1988, Roselyne Bachelot y avait succédé à son père, Jean Narquin, député gaulliste du Maine-et-Loire durant vingt ans.

En janvier dernier, elle avait annoncé son intention de ne pas briguer de nouveau mandat, adoubant son suppléant Paul Jeanneteau qui a pris sa place à l'Assemblée nationale après son entrée au gouvernement en 2007.

Maire de Villedieu-le-Château, une petite commune du Loir-et-Cher, Jean-Yves Narquin, qui fut l'attaché parlementaire de son père, sera candidat dans la 3e circonscription de ce département, avec le soutien du Front National, sous l'étiquette Rassemblement Républicain.

Il avait été exclu de l'UMP à la suite d'une première candidature dissidente aux législatives de 20

mercredi 30 mai 2012 17:05 | Par AFPKarachi: ouverture d'une information judiciaire pour blessures involontaires
Le parquet de Paris a ouvert mercredi une information judiciaire contre X pour blessures involontaires dans l'attentat de Karachi en 2002 après une plainte des blessés visant des manquements à la sécurité de la Direction des constructions navales (DCN).
Six salariés de la DCN rescapés de l'attentat de Karachi qui a coûté la vie à 15 personnes dont 11 salariés de la DCN avaient déjà déposé, en octobre 2011, une plainte simple contre leur employeur pour des manquements graves à la sécurité.

Faute d'obtenir la désignation d'un juge d'instruction, ils ont déposé, en mars, une plainte avec constitution de partie civile. Le parquet a annoncé mercredi dans un communiqué avoir requis l'ouverture d'une instruction pour "blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail supérieure à trois mois".

Ces six blessés reprochent notamment à leur employeur de n'avoir pas tenu compte des menaces d'attentats "explicites contre la France" au Pakistan à l'époque.

Ils ont été entendus en janvier par les policiers de la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne.

Une autre information judiciaire est déjà en cours, menée par le juge antiterroriste Marc Trévidic, sur les circonstances de l'attentat de 2002. En février, les rescapés français avaient demandé que le juge Trévidic instruise également leur plainte visant la DCN.

Me Marie Dosé, avocate de l'un des blessés, Gilles Sanson, a réitéré mercredi auprès de l'AFP sa demande que les deux enquêtes soient jointes pour éviter "un morcellement supplémentaire inutile de ce dossier". Une enquête est également conduite sur le volet financier de l'affaire par les juges Renaud van Ruymbeke et Roger le Loire.

Pour Me Dosé, "Il est essentiel que les magistrats instructeurs en charge du volet terroriste de l'attentat puissent instruire sur les mesures de sécurité mises en place sur le site au moment de l'attentat".

Dans le cadre de le l'enquête menée par le juge Trévidic, la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) a entendu les douze salariés de la DCN qui ont survécu.

"Il est essentiel aux yeux des blessés, attachés à avoir une vérité globale, de savoir qui sont les auteurs et commanditaires de l'attentat mais aussi de comprendre comment les manquement criants de leur employeur à la sécurité ont pu leur faciliter la tâche", a réagi auprès de l'AFP Me Thibault de Montbrial, également avocat de blessés.

Dans leur plainte, les blessés reprochent en particulier à leur employeur de n'avoir pas tenu compte des menaces d'attentats "explicites contre la France" au Pakistan à l'époque.

Sur ces menaces, les blessés mettent ainsi en avant le témoignage d'un membre du service de coopération technique international de police qui avait expliqué avoir appris le 10 avril 2002 par deux sources pakistanaises que des attentats étaient en préparation contre des occidentaux.

Selon les plaignants, aucun changement n'a alors été apporté au dispositif de sécurité des salariés de la DCN.

.

jeudi 31 mai 2012 17:01 | Par AFPCécile Duflot, ministre du Logement, confirme le doublement du plafond du Livret A
La ministre du Logement Cécile Duflot a confirmé jeudi que le plafond des dépôts sur le Livret A, actuellement de 15.300 euros, sera doublé pour permettre la construction de plus de logements sociaux mais n'a pas donné de date pour sa mise en oeuvre.
"L'engagement du président de la République de doubler le plafond du Livret A sera mis en oeuvre et permettra de dégager des ressources supplémentaires pour financer la construction de logements sociaux et intermédiaires" même si la France est "dans une situation financière tendue", a déclaré Mme Duflot lors de l'assemblée générale des Entreprises sociales pour l'habitat (ESH, ex-sociétés anonymes HLM).

Le Livret A, qui permet une épargne totalement défiscalisée, est actuellement plafonné, depuis 1991, à 15.300 euros et bénéficie d'une rémunération de 2,25%. Son encours, centralisé par la Caisse des dépôts et utilisé pour financer principalement le logement social, atteignait 226,6 milliards d'euros à fin avril.

Seulement 9% des détenteurs de Livret A, mais possédant 50% des encours, atteignent actuellement le plafond du Livret A.

Sur les quatre premiers mois de 2012, l'encours du Livret A a augmenté de près de 10 milliards d'euros (9,69), soit nettement plus (8,91) que sur la même période de 2011. Le record historique date de 2008, année de l'ouverture de la distribution du Livret A à l'ensemble des banques, avec 18,7 milliards.

Le début d'année en fanfare du Livret A intervient alors que le précédent gouvernement a pourtant dérogé, début février, à l'application automatique de la formule de calcul de son taux, le maintenant à 2,25% alors qu'il aurait dû remonter à 2,75%.

"L'objectif est de réaliser chaque année 150.000 logements sociaux", a affirmé Mme Duflot dont c'était le premier discours officiel comme ministre du Logement. En 2011 110.00 logements sociaux ont été financés.

Pour aider à parvenir à cet objectif ambitieux, Mme Duflot, qui a rappelé qu'elle connaissait bien le secteur pour avoir longtemps travaillé dans un organisme collecteur du 1% logement, a annoncé que le prélèvement de 245 millions d'euros par an imposé par l'Etat sur la trésorerie des 800 organismes HLM "sera supprimé".

"Cette ponction est injuste et contre-productive", avait auparavant affirmé Michel Ceyrac, président des ESH.

"C'est avec satisfaction et soulagement que le Mouvement HLM a accueilli les déclarations de Mme Duflot relatives à la suppression du prélèvement de 245 millions d'euros par an sur 3 ans sur la trésorerie des organismes", s'est félicité l'Union sociale pour l'habitat (USH qui regroupe l'ensemble des organismes HLM) dans un communiqué.

Mme Duflot a par ailleurs confirmé "l'engagement fort sur la mobilisation du foncier public et de ses établissements publics pour réaliser des logements à un coût abordable".

Le sénateur PS de Savoie Thierry Repentin, par ailleurs président de l'USH, a annoncé à l'AFP le dépôt d'un projet de loi permettant de mettre gratuitement des terrains appartenant à l'Etat ou à des organismes publics à la disposition des collectivités locales pour y construire des logements.

La ministre du Logement a par ailleurs indiqué que serait engagé "la rénovation thermique d'un million de logements par an". L'entourage de Mme Duflot a précisé que les aides pour améliorer l'efficacité thermique concerneraient 600.000 logements anciens et 400.000 neufs.

Enfin, Me Duflot a assuré que le gouvernement ferait bien passer l'obligation pour les communes de plus de 3.500 habitants d'atteindre un quota de logements sociaux de 20% à 25%.

.

Rachat de l'OM : Pape Diouf dément en bloc le vendredi 01 juin 2012 à 16H01


La polémique enfle, la rumeur brûle toutes les lèvres. Et pourtant, il n'y a pas de quoi fouetter un chat. Depuis quelques jours, un bruit de couloir relayé par Bakchich fait état d'un projet imminent de reprise de l'OM. Pape Diouf, l'ancien président de l'OM, et Charles Villeneuve, éphémère dirigeant du PSG, seraient occupés à fignoler ce plan ambitieux de rachat avec des appuis qataris.

La raison invoquée est l'envie des investisseurs du Qatar, notamment impliqués au PSG, de ne pas uniquement se concentrer sur le club de la capitale, au risque d'écraser et d'annihiler toute concurrence.

Ce qui serait bien évidemment dommageable pour l'ensemble du foot français. Contacté en fin de matinée, Diouf a réfuté catégoriquement, arguant qu'il avait d'autres préoccupations et qu'aucun de ses projets, à l'heure actuelle, ne s'inscrivait dans le domaine du football. CQFD

Retour à la retraite à 60 ans: 70% des français plutôt favorables, selon un sondage
Quelque 70% des Français sont "plutôt favorables" à un retour partiel à la retraite à 60 ans pour les salariés ayant commencé à travailler à 18 ans et ayant cotisé 41 annuités, selon un sondage réalisé par l'Ifop pour Sud-Ouest Dimanche et publié samedi.

A la question: vous savez que le gouvernement envisage un retour partiel à la retraite à 60 ans. Cette mesure ne concernera que les salariés ayant commencé à travailler à 18 ans et ayant cotisé 41 annuités. Elle serait financée par une hausse des cotisations retraites de tous les salariés et employeurs de 0,1% par an pendant 5 ans.

Personnellement, êtes-vous plutôt favorable ou plutôt opposé à cette mesure? 70% des personnes interrogées ont répondu "plutôt favorables", 29% "plutôt opposées" et 1% ne se prononce pas.

"Si le consensus est donc assez large à propos de cet aménagement de la réforme, on retrouve néanmoins des positionnements très divergents selon les électorats.

A gauche, 93% des électeurs de François Hollande soutiennent cette mesure quand l'adhésion n'est que de 42% parmi les électeurs de Nicolas Sarkozy", souligne l'Ifop.


"Si ce retour partiel est approuvé par une large majorité des électeurs de Jean-Luc Mélenchon (78%), une proportion non négligeable - 21% - y est opposée", note l'institut. Enfin, les électeurs de Marine Le Pen y sont "plutôt favorables" à 66%.

L'enquête a été réalisée du 31 mai au 1er juin 2012 par téléphone auprès d'un échantillon de 1005 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de l'interviewé) après stratification par région et catégorie d'agglomération.

Fête du vélo : circulation et stationnement perturbés demain le samedi 02 juin 2012 à 15H20


A l'occasion de la Fête du vélo demain, la circulation et le stationnement sont modifiés dans diverses voies à Marseille.

De ce soir 18h à demain midi, le stationnement sera interdit place de la Joliette. Les emplacements réservés aux taxis devront rester libres.

De ce soir 20h à demain 18h, le stationnement sera interdit : corniche Kennedy côté mer, entre le "Marégraphe" et la promenade Georges Pompidou et côté impair, entre le n°397 et le n°399.

Demain de 10h à 12h30, la circulation sera neutralisée le temps du passage des cyclistes dans les voies suivantes :
parc du 26e centenaire, boulevard Vincent Delpuech, avenue Jules Cantini, boulevard Baille, cours Lieutaud, Canebière, allées Léon Gambetta, boulevard d'Athènes, tunnel Saint-Charles, avenue du général Leclerc, place Marceau, avenue Camille Pelletan, rue de Forbin, rue Vincent Leblanc, rue Plumier, rue de la République, place de
la Joliette, quai de la Joliette, avenue Vaudoyer, quai du Port, quai des Belges, quai de Rive Neuve, boulevard Charles Livon, corniche Kennedy.

Demain de 11h à midi, la circulation sera interdite le temps du passage de la parade dans le tunnel Saint-Charles.

dimanche 3 juin 2012 21:08 | Par AFP

Euro: Moscovici n'exclut pas une sortie de la Grèce si elle renonce à ses engagements
Le ministre des Finances Pierre Moscovici a estimé dimanche que la question d'une sortie de la Grèce de la zone euro "se posera sans doute", si le pays revient sur ses engagements à l'austérité pris auprès de l'UE et du FMI en cas d'arrivée au pouvoir de la gauche radicale.

"La question se posera sans doute (...) Elle pourrait se poser", a déclaré M. Moscovici, "si les Grecs eux-mêmes ne respectent pas leur engagement" à l'issue du scrutin du 17 juin".

"Nous souhaitons vraiment que la Grèce reste dans la zone euro", a-t-il toutefois insisté lors du Grand jury RTL/Le Monde/LCI.

Le ministre des Finances était interrogé sur des déclarations du chef de la gauche radicale grecque Syriza, Alexis Tsipras, qui a affirmé vendredi vouloir "annuler" le mémorandum imposant à la Grèce des mesures de rigueur en contrepartie du soutien de l'UE et du FMI s'il remportait les législatives.

"Ca pose problème. Si les Grecs eux-mêmes ne respectent pas leur engagement, là on se trouverait dans une situation qui serait infiniment plus compliquée", a souligné Pierre Moscovici.

Même si ce "choix" appartient aux Grecs, a-t-il relevé, il serait selon lui "hautement préférable que sorte des élections grecques un gouvernement qui soit pro-européen et pro-euro".

Comme on lui demandait si ses services travaillaient sur un scénario de sortie d'Athènes de l'euro, le ministre a admis qu'il "y a peut-être ici ou là des réflexions, c'est possible" mais insisté: "il ne doit pas y avoir de scénario qui soit travaillé de cette sorte là".

Pierre Moscovici a assuré qu'il n'essayait pas "d'anticiper" cette situation mais plutôt de "l'éviter". Travailler sur un plan de sortie ordonnée de la Grèce ne serait, selon lui, "pas raisonnable du tout".

La Grèce, a-t-il fait valoir, doit rester dans l'union monétaire parce qu'il s'agit d'une "zone intégrée, parce que nous ne voulons pas qu'il y ait d'effet domino et parce que nous avons déjà engagé énormément d'argent, 150 milliards d'euros".

Le Syriza a quadruplé son score de 2009, s'imposant comme deuxième force politique du pays pour son rejet de l'austérité lors du scrutin du 6 mai, qui n'a accouché d'aucun gouvernement.

Il était au coude à coude dans la plupart des sondages avec le parti conservateur Nouvelle-Démocratie (ND) vendredi, à deux semaines du nouveau scrutin législatif.

Dans un entretien accordé à l'AFP le 22 mai, Pierre Moscovici avait mis en garde contre tout scénario de sortie de la Grèce de la zone euro.

"Une sortie de la Grèce provoquerait une contagion de la crise dont l'ampleur n'est pas prévisible et peut-être pas maîtrisable", avait-il averti, estimant qu'il fallait "tout faire pour qu'il y ait, après les élections du 17 juin, un gouvernement grec favorable à la zone euro et qui s'engage à faire le nécessaire pour rester dans la zone euro".

.

31/05/2012 08:31 | La Dépêche du Midi
L'engagement
éditorial

Faire reculer le chômage : c'est donc la priorité. Jean-Marc Ayrault l'a redit hier en lisant les mauvais chiffres que nous livrent les dernières statistiques. ça fait plusieurs décennies que les gouvernements décrètent ainsi l'urgence de sauver les emplois à défaut d'en créer, mais, inexorablement, saute aux yeux la cruelle impuissance de la politique à redresser les courbes. Cette sorte de fatalité ne doit pourtant pas décourager les bonnes volontés qui se présentent aux postes de responsabilités, et Jean-Marc Ayrault, à son tour, comme ceux qui l'ont précédé, réaffirme sa propre (bonne) volonté de partir au combat. Reste à savoir comment.

Sans dénoncer un « héritage caché » qu'aurait légué l'ancienne majorité, et notamment le recours massif à de « contrats aidés » pour maquiller les chiffres, sans se lamenter trop longtemps sur ces plans sociaux qui auraient été retardés à dessein durant la campagne électorale, le gouvernement doit de toute façon affronter une nouvelle houle de licenciements. On lui pardonnera sans doute les mauvais chiffres qui viennent de tomber puisque personne, pas même Jean-François Copé, ne peut les lui imputer, mais c'est la dernière fois. Désormais, la gauche a pris les affaires en main, elle est donc responsable de la suite - et on voit mal par quel miracle, sur ce terrain miné de longue date, pourrait s'accomplir le « changement maintenant ». Il faudra sans aucun doute attendre. Mais combien de temps ? En matière d'emploi, les Français sont à juste titre impatients.

Or, la vague des plans sociaux - pour lesquels la CGT recense 45000 emplois menacés - n'est pas une menace lointaine. Elle commence à déferler, des emplois sont d'ores et déjà détruits, et aucune région de France n'est vraiment épargnée.

Dans ce contexte de crise, qui s'aggrave et touche peu ou prou tous les pays d'Europe, la France bénéficie paradoxalement de la candeur politique de sa nouvelle majorité. Jean-Marc Ayrault arrive « tout neuf », affichant un « sérieux budgétaire » à toute épreuve, mais bien décidé à relancer coûte que coûte la croissance - cette indispensable alliée dans la bataille de l'emploi. Quelques-uns de ses ministres parcourent d'ailleurs le pays, comme chez Fralib par exemple, tentent de rassurer et parfois y parviennent, mais on devine que, dans les usines menacées, la confiance reste à conquérir, et qu'elle ne le sera qu'à travers des résultats concrets.

En ouvrant la première page de son dialogue social - la plus facile, car elle promet une concertation dans la durée - Jean-Marc Ayrault a pris date avec des partenaires sociaux qui désormais lui rappelleront sa priorité pour l'emploi. C'est un engagement périlleux. À lui de ne pas les décevoir.

ENTRE HUMAIN ET FINANCES
ENTRE BONHEUR ET PROFIT
POUR MOI LE CHOIX EST VITE FAIT ..............
QUE CEUX QUI PENSENT QU"AU FRIC PASSENT LEUR CHEMIN
FAITES BON VOYAGE AVEC VOTRE CONSCIENCE

mardi 5 juin 2012 17:32 | Par AFPHollande continue d'imposer sa marque, sous le signe de la sobriété
Un mois après son élection, François Hollande, dont la photo officielle a été dévoilée lundi, impose progressivement sa volonté de sobriété à la présidence, avec le désir toujours constant de se démarquer de son prédécesseur Nicolas Sarkozy.

Selon un tableau de bord Paris-Match Ifop publié mardi, 70% des Français trouvent que François Hollande - qui avait fait campagne sur le thème de la "normalité" et continue à communiquer largement sur ce thème - renouvelle la fonction présidentielle.

"Par petites touches, on a un président qui par sa manière de fonctionner, s'impose en totale rupture par rapport à l'ère Nicolas Sarkozy", commente pour l'AFP Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop.

"Pour lui, c'est extrêmement important de trancher par rapport à son prédécesseur", renchérit le politologue Gérard Grunberg (Sciences-Po).

Le mandat a commencé avec la diminution de 30% du salaire du président et des membres du gouvernement et la réduction de 10% de la dotation financière des cabinets ministériels. Il s'est poursuivi avec un déplacement en train pour se rendre à un sommet européen à Bruxelles et une interview à France 2 depuis les studios de la chaîne et non depuis l'Elysée.

Dernier geste en date: la photographie officielle. Prise par le photographe et réalisateur Raymond Depardon, 70 ans, elle montre le président de la République dans une posture moins solennelle que celle de M. Sarkozy, posant dans les jardins de l'Elysée et non devant une bibliothèque, le décor choisi par la plupart de ses prédécesseurs.

M. Hollande a aussi décidé de réintégrer les gendarmes au côté des policiers dans sa protection rapprochée (le Groupe de sécurité de la présidence de la République, GSPR). Rupture avec les années Sarkozy, où les gendarmes avaient été écartés sans ménagement ? "Non, c'est avant tout un retour à la tradition républicaine", répond à l'AFP Aquilino Morelle, conseiller politique du président.

Préférera-t-il le train à l'avion lors de ses prochains déplacements? "Il n'y a pas de règle", réplique M. Morelle. "Cela dépendra de l'endroit où il va, du jour où il part. La solution la plus simple sera privilégiée".

En outre, comme promis durant la campagne, les sondages commandés par l'Elysée seront abandonnés et il n'y aura pas de conseillers officieux, assure l'entourage du chef de l'Etat, soulignant qu'une étude sur le "fonctionnement" de l'Elysée est en cours.

Par ailleurs, lors d'une réunion avec ses 40 collaborateurs vendredi dernier, M. Hollande, selon une source élyséenne, a longuement rappelé sa conception des rapports entre l'Elysée et Matignon: un "président qui donne les grandes orientations" et "un Premier ministre qui gouverne" conformément à l'article 20 de la Constitution.

Enfin, selon une source à l'Elysée, M. Hollande devrait "rester dans son appartement du XVe arrondissement".

Sur d'autres points cependant, la continuité avec les anciens locataires de l'Elysée devrait prévaloir. M. Hollande va conserver la Lanterne, pavillon de chasse jouxtant le parc du château de Versailles, qui était réservé à l'usage du chef du gouvernement jusqu'à ce que Nicolas Sarkozy décide de le garder.

Il ne renouera pas non plus avec la traditionnelle "garden party" du 14 juillet,
supprimée en 2010 par l'ex-président Nicos Sarko pour cause de crise économique, a affirmé mardi une source à l'Elysée.

Fera-t-il cependant un "discours sur le sens à donner à la direction du pays" ce jour-là, comme il l'affirmait dans une interview au Journal du Dimanche du 15 avril lorsqu'il était encore candidat ?. Le programme du 14 juillet 2012 n'était pas encore arrêté mardi.

.

116e

C’est la place occupée parl’Ukraine au classement mondial
de la liberté de la presse établi par Reporters sans frontières.
La Pologne, co-organisatrice de l’Euro, est en revanche
classée 24e soit 14 places demieux, que... la France (38e).MERCI SARKO-HADOPI
179 pays font partie de ce classement
dont la Finlande et la Norvège occupent les deux premières
places et la Corée du Nordet l’Erythrée les deux dernières.

Estrosi renonce à interdire le centre-ville aux voitures polluantes mercredi 06 juin 2012 à 14H43

Alors que Nice était candidate pour expérimenter l'interdiction des vieilles voitures, les plus polluantes, dans le centre-ville, le maire UMP Christian Estrosi a annoncé avoir renoncé
son meilleur chauffeur désorienté étant en vacances ces temps ci

Une étude aurait dû débuter en juillet
pour une interdiction mise en application fin 2013.

Amiante: les victimes n'auront pas à rembourser leur indemnisation, selon le ministère
Les victimes de l'amiante condamnées à rembourser
une partie de leurs indemnités par l'ancienne souverainté defaillante du cerveau
qui traquait les ptis


vont bénéficier d'une "remise gracieuse" et "n'auront pas à rembourser" leur indemnisation, a-t-on appris vendredi auprès du ministère des Affaires sociales, une nouvelle qui a réjoui les associations.


La ministre, Marisol Touraine, a demandé au Fiva (fonds d'indemnisation des victimes de l'amiante) "qui est sous son autorité, de procéder à une remise gracieuse", a précisé un porte-parole jointe par l'AFP.

Interrogée au micro de RTL à Orbigny (Indre-et-Loire), département où elle est candidate socialiste pour les législatives, Mme Touraine a annoncé que "ces personnes vont faire l'objet d'une remise de dépense, de frais".

"Quel que soit le jugement, qu'il ne m'appartient pas de contester sur le plan juridique, ces personnes, je le dis, n'auront pas à rembourser les sommes qui leur sont demandées", a-t-elle dit. "C'est un souci de justice et c'est dans ce sens-là que nous avons construit cette position avec le fonds d'indemnisation des victimes".

"On ne peut pas se résoudre à ce que des gens qui ont été victimes de l'amiante soient maintenant victimes d'un processus de justice, qui sans doute est fondé en droit, mais qui en équité, en justice, en humanité, pose des difficultés", a-t-elle insisté.

La cour d'appel de Douai a condamné 57 victimes à rembourser au Fiva, organisme placé sous tutelle du ministre de la Santé, une partie importante de leurs indemnités. La cour d'appel avait rendu à l'automne une décision qui poussait à revoir à la baisse l'indemnisation de victimes de l'amiante, et qui devait contraindre certaines d'entre elles à rembourser des rentes déjà perçues.

"Les personnes qui n'ont pas encore été l'objet d'un jugement ne sont pas en situation de difficulté", a par ailleurs souligné Mme Touraine.

Contacté par l'AFP, Pierre Pluta, le président de l'Andeva (association nationale de défense des victimes de l'amiante) s'est dit "bien entendu, content d'entendre cela".

Dans un communiqué, l'Andeva et la Fnath (association des accidentés de la vie), se sont réjoui de ces annonces.

Quelque 900.000 travailleurs sont potentiellement exposés à cette fibre cancérigène, qui devrait être responsable de 100.000 morts d'ici à 2025, selon les autorités sanitaires.

Les plus exposés sont les salariés des chantiers de désamiantage, soit entre 2.000 et 5.000 personnes.

.

Prenez 5 minutes pour agir !


Elie,


Les prochaines semaines vont être fondamentales : alors que l’UNEDIC annonce 420.000 chômeurs supplémentaires d’ici fin 2013, nul ne sait encore quel sera le contenu réel du sommet social de juillet et des négociations qui suivront. Nul ne sait non plus ce que la France va mettre sur la table pour sortir de la crise de la Zone euro.

Sur ces 2 questions, sommet social et avenir de l'Europe, notre collectif commence à être entendu grâce à votre mobilisation. Ces derniers jours les grands médias s'intéressent de plus en plus à notre démarche et à nos solutions : de l’Expansion à l’Humanité, de I télé à Arte, France 5 ou France Inter.

Par ailleurs nous avons des contacts intéressants à l’Élysée comme à Matignon, et avec des responsables syndicaux.
Il y a des portes qui s’ouvrent mais nous devons aussi faire face à de grosses zones d’inertie et à des oppositions.

Des décisions fondamentales seront prises dans les jours qui suivent le 2ème tour des législatives. Il est important qu’on puisse annoncer à ce moment là que Roosevelt 2012 a passé le cap symbolique des 100.000 signataires.

Nous sommes déjà 60.000 et des groupes de citoyens s'organisent dans toutes les régions mais c'est maintenant qu'il faut accélérer. Alors, s’il vous plaît, prenez 5 minutes ce week-end pour envoyer un email ou appeler toutes celles et ceux qui pourront être intéressés parmi vos amis, votre famille ou vos collègues de travail.

Ne vous dites pas que d’autres vont le faire à votre place. Faites-le vous-même s’il vous plaît. Pour de vrai !
Convaincre 2 ou 3 personnes dans les prochains jours ? Chacun(e) de nous en est capable. Alors au travail !

Bien amicalement,
Pour le collectif, Stéphane Hessel, Bruno Gaccio et Pierre Larrouturou

Législatives : tickets de parking dans l'urne pour protester contre les horodateurs Publié le lundi 11 juin 2012 à 20H37


Hier, dans le bureau n°1 de l'hôtel de ville d'Ajaccio, à l'occasion du premier tour des élections législatives, des électeurs se sont déplacés pour y déposer, non pas des bulletins de vote traditionnels, mais... des tickets de parking, rapporte le site de Corse-Matin.

La polémique sur les horodateurs, installés dans tout le centre-ville depuis début février, a donc refait surface par le biais de ce scrutin.

jeudi 14 juin 2012 06:11 |
Crise: Hollande attendu à Rome pour sortir du seul tête-à-tête franco-allemand
François Hollande est attendu jeudi à Rome où il cherchera avec Mario Monti les moyens de relancer la croissance en Europe, signe d'une volonté de sortir du tête-à-tête franco-allemand pour freiner la crise financière dans la zone euro, sous pression croissante des marchés.
En un peu plus d'une semaine, le président français effectuera deux voyages à Rome puisque il est aussi convié le 22 juin par le chef du gouvernement italien à un sommet à quatre -avec la chancelière allemande Angela Merkel et le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy-, premier round avant un sommet de l'Union européenne à Bruxelles les 28 et 29 juin.

Ces deux voyages sont le signe que Paris veut "profiter de l'expérience" de l'ex-commissaire européen, et est attentif à "élargir le cercle", à "sortir du seul tête-à-tête" avec Berlin, souligne-t-on de source diplomatique.

Les deux hommes, qui se sont déjà rencontrés à Camp David et Chicago (Etats-Unis) le mois dernier, "veulent travailler, faire des propositions communes", même s'il ne s'agit en aucun cas de "contrer" la chancelière allemande, insiste-t-on tant à Paris qu'à Rome.

De fait, les convergences entre le président socialiste et M. Monti, qui dirige un gouvernement technique mais est considéré comme plus proche du centre-droit, sont nombreuses. Tous deux mettent clairement l'accent sur la nécessité de relancer la croissance en Europe.

M. Hollande prône des "mesures immédiates" en ce sens. M. Monti, qui a imposé aux Italiens une sévère cure d'austérité, soutient que "sans croissance, la discipline budgétaire est insoutenable". Tous deux plaident pour l'instauration d'euro-obligations, emprunts qui permettraient de mutualiser les risques et protéger les pays fragiles des attaques spéculatives. L'Allemagne s'y oppose.

Ils prônent aussi une union bancaire, avec une supervision "intégrée".

Sur d'autres remèdes à la crise, M. Monti, que certains experts présentent comme un "pont" entre Paris et Berlin, est toutefois plus proche de la position allemande.

L'ex-commissaire à la concurrence, fervent avocat de l'approfondissement du marché intérieur européen, plaide par exemple pour plus de libéralisations, notamment dans les secteurs de l'énergie et des transports. La France y est traditionnellement rétive, soucieuse de protéger ses entreprises publiques comme EDF ou la SNCF.

Quant à la taxe sur les transactions financières, défendue par la France, elle a le soutien de l'Italie qui estime toutefois comme l'Allemagne qu'elle ne peut être adoptée de manière unilatérale. Pour le gouvernement Monti, il conviendrait de l'appliquer en même temps dans les pays du G20, ou à défaut dans les 27 membres de l'UE, voire au moins au sein du noyau des 17 pays de la zone euro.

Outre l'Europe, les deux dirigeants évoqueront les relations bilatérales, désormais au beau fixe, après une période orageuse entre leurs prédécesseurs, Nicolas Sarkozy et Silvio Berlusconi. Oubliés la défiance affichée quasi-ouvertement à l'égard du Cavaliere, les tensions sur l'accueil des immigrés tunisiens, les querelles sur l'appétit des groupes français pour les joyaux de l'économie italienne.

Le dernier point de friction a été réglé avec l'accord en février sur la prise de contrôle de la firme énergétique italienne Edison par le groupe public français d'électricité EDF.

Les deux hommes prépareront aussi leur traditionnel sommet bilatéral, prévu à l'automne à Paris, et évoqueront les questions de politique étrangère: la Syrie et l'Iran, sur lesquels ils sont sur la même longueur d'onde, l'Afghanistan où l'Italie -contrairement à la France- poursuit son engagement militaire. Egalement au programme des discussions: la coopération méditerranéenne et la lutte contre les groupes islamistes dans le Sahel.

Leur entretien de deux heures (de 14H00 à 16H00 GMT) sera suivi d'une conférence de presse commune. Une rencontre est prévue dans la foulée avec le président Giorgio Napolitano, qui sera également suivie d'un point de presse puis d'un dîner au Quirinal, siège de la présidence italienne