CITOYENS CITOYENNES AVEZ VOUS MAL A VOTRE SERVICE PUBLIC !!!!!

Cantonales au dessus d’un volcan ?

Jeudi 14 avril 2011
Salle 6217
à l'Assemblée Nationale

Les résultats des élections cantonales laissent apparaître une situation particulièrement préoccupante pour la démocratie　: 55,68% d’abstention et 19,2% de moyenne pour les candidats FN. 2023 cantons, 2023 situations différentes qui révèlent néanmoins la situation d’un France en état de stress économique et social, de crise morale et politique.

A l’invitation d’Arnaud MONTEBOURG, Président du Conseil Général de Saône et Loire et Député, deux tables rondes permettront d’y voir plus clair et de dégager quelques lignes d’interprétation de ces scrutins cantonaux.
　
17h00 : Table ronde n°1 : Chroniques cantonales, des candidats racontent leurs campagnes
Plusieurs semaines de campagne, des situations géographiques et sociales différentes et partout la même impression　: la France est en crise. Des candidats, d’horizons divers, viennent témoigner de ce qu’ils ont vu et vécu au cours des semaines précédant le scrutin.
Alexandre Tunc (Marne)
Patrick Viverge (Jura)
Mickael Vallet (Charente-Maritime)

18h30 : Table ronde n°2 : La France en état d’insurrection douce ?

Trois observateurs avisés – un politiste, un journaliste et un spécialiste de l’opinion – échangeront sur ce que révèlent ces élections cantonales. Percée de l’extrême droite, abstention massive, nombreux sont les symptômes d’une crise politique et morale du pays…Laurent Bouvet, Professeur de science politique à l’Université de Nice Sophia Antipolis, responsable de l’Observatoire de la Social-démocratie à la Fondation Jean Jaurès
Eric Dupin, journaliste, auteur de Voyages en France (mars 2010)
Stéphane Rozes, politologue, spécialiste des mouvements d’opinion, Président de CAP

Cher ami contribuable,

Savez-vous que la France détient le record du monde du nombre d'élus par habitant ?
>
> Ils sont déjà plus de 600 000 !
> (250 000 en Allemagne avec 20 millions d'habitants de plus qu'en France)
> 600 000 à dépenser à tout va.

http://www.contribuables.org/

Plus 2 millions de fonctionnaires!!!!!!!!!!!!!!!! Impressionnant non ???????????????
Dès qu'il s'agit d'argent public, on a l'impression que toutes les folies sont permises.
> Alors dites STOP !

Pensez à nous renvoyer votre pétition signée
> le plus rapidement possible



Une dette de plus de 1 500 milliards qui s'alourdit à chaque instant !
Plus de 30 ans de budgets en déficit.
L'argent public continue à couler à flots...

1000 euros par an pour des groupes qui font des milliards de benefs c'est rien

SALAIRES ● Critiques sur la
"prime dividendes". L'idée défendue
par le gouvernement d'une
prime exceptionnelle de 1000¤
pour les salariés des entreprises
distribuant des dividendes a été
vivement critiquée, hier. "Je
crains que, là, on n'ait vraiment
affaire à une mesure profondément
anti-PME, anti-TPE", a déclaré
la présidente duMedef.
Bernard Thibault, de la CGT, a
dénoncé une forme de "compensation
dans la communication
politique" en référence à la réforme
de l'impôt de solidarité sur la
fortune.

J'voudrais bien ! Mais j'peux point ...

C'est pas l'age, mais l'pouvoir de ne plus pouvoir comme au temps ou j'm'appelais FRANCE ...
... ->http://lexpansion.lexpress.fr/economie/mon-pouvoir-d-achat-n-arrete-pas-de-baisser_252476.html <-

Vive la Mondialisation !

voilà je viens de comprendre que je fais partie des 10 pauvres qui sont ds le bar
à la seule difference c'est que bill gates ne frequente pas mon bar et que je ne le verrai jamais de pres

domenico belli a écrit:J'voudrais bien ! Mais j'peux point ...

C'est pas l'age, mais l'pouvoir de ne plus pouvoir comme au temps ou j'm'appelais FRANCE ...
... ->http://lexpansion.lexpress.fr/economie/mon-pouvoir-d-achat-n-arrete-pas-de-baisser_252476.html <-

Vive la Mondialisation !

"Les gabians sont les éboueurs de la ville"
Le CEEP (Conservatoire-études des écosystèmes de Provence)
ne doit pas souvent lever le nez en l’air ! Il n’y a qu’à compter sur
les toits de la ville le nombre de gabians qui nous pourrissent la
vie par leurs cris, leurs fientes. Pour se nourrir, pas de problème,
ils trouvent ce qu’il leur faut dans les rues grâce à nos chers cantonniers
qui ignorent ce que propreté veut dire. Les containers
mal fermés pleins jusqu’en haut sont leur cantine. En gros, ce
sont les éboueurs de la ville. On se demande où on vit !
Marie-Jo Volto
"La poulet à l’amende, nouvelle recette"
Une justice française tendre avec les voyous, trop douce avec
les policiers. Inacceptable. Pathétique aussi les associations des
droits de l’Homme qui crient à la bavure à la moindre occasion,
appellent à manifester au nom du sempiternel racisme. D’entendre
certains ajouter : "C’est prévu dans son métier". Pourquoi ne
pas inventer la recette "le flic à l’amande"? Pardon, le policier à
l’amende, cela n’a pas le même goût !"
Martine Liske-Roubaud (14e)
"Le port, un État dans l’État"
Guy Teissier (maire 9e/10e) a raison, le port se comporte comme
un État dans l’État. Cette passerelle est minable et nous a
coûté la peau des fesses. Inadmissible !

SOCIAL
Les syndicats
font coup
double

En temps normal, elles déploient
les banderoles le seul
1ermai. Mais cette année, les organisations
syndicales ont décidé
de faire coup double. À l’appel
de la CGT, CFDT, FSU, UNSA
et Solidaires, une première manifestation
aura lieu le 28 avril
(10h30 bas de la Canebière). Elle
visera à défendre "les conditions
de travail et à reconnaître la pénibilité
". Hier, lors d’une conférence
de presse, Patrick Pieroni
(CFDT) tirait la sonnette d’alarme:
"Dans les grosses boîtes désormais,
on est réduit à l’état d’esclavage.
On n’a jamais eu autant de
dépressions, de congés maladies,
de tentatives de suicide." Alain
Barlatier (FSU) insistait : "Il y a
une vraie dégradation des conditions
de travail dans les services
publics. Nous devons faire reconnaître
la question du stress."
Trois jours après le rassemblement
du 28 avril, c’est le traditionnel
cortège du 1er mai
(10h30 Vieux Port) qui s’emparera
du centre ville. Une manifestation
sur fond de "solidarité internationale
du monde du travail"
où les syndicats auront une pensée
pour "les peuples des pays
arabes qui se soulèvent pour la dignité
et la liberté."
Éric Chesnais (CGT) en profita,
hier, pour revenir sur une actualité
douloureuse, les vagues
migratoires en provenance d’Italie
: "Les gouvernements essayent
de faire peur avec l’immigration.
Mais ceux qui viennent ici ne le
font pas par plaisir mais pour vivre.
Tous les sans-papiers doivent
être régularisés

LE DEBAT Sarkozy" SUR LA LAICITE PERSONNE N"EN VEUT
La "prime Sarkozy" qui fâche PERSONNE N"EN VEUT NON PLUS
LES RADARS Sarkozy PERSONNE N"EN VEUT NON PLUS
EN REALITE ...
ON SAIT CE QUE PERSONNE NE VEUT PLUS






Prime : les patrons n'en veulent pas non plus
Pour les patrons, la prime est un coût pour l'entreprise et empiète sur leur liberté.





Prime : les patrons n'en veulent pas non plus
Ni syndicat, ni patronat. La prime versée aux salariés dans des entreprises de plus de 50 personnes dont les dividendes augmentent, annoncée par le gouvernement mercredi, ne plait à aucun des partenaires sociaux. Du côté des patrons, on trouve la mesure chère et contraignante.

"Nous avons tous la préoccupation du pouvoir d'achat, au quotidien dans nos entreprises ", a assuré sur Europe 1 jeudi, Etienne Bernard, président du comité TPE (très petites entreprises), PME (petites et moyennes entreprises) et ETI (entreprises de taille intermédiaire) du Medef. Mais il a estimé que la prime était une « mauvaise mesure ».

Pour lui, "les entreprises qui sont visées [par la prime] sont les entreprises qui ont traversé la crise et sont encore en vie. Elles n'ont pas distribué de dividendes pendant la crise, sont maintenant en redémarrage et utilisent les dividendes plus souvent qu'on ne croit pour rembourser des emprunts (…) ou satisfaire des actionnaires-risques".

Etienne Bernard a rappelé que, selon lui, les PME sont les entreprises "qui nous manquent en France, elles ne grandissent pas parce qu'elles ont un problème d'actionnaires". Par ailleurs, il a jugé que c'était une erreur d'estimer que dans ces entreprises, "la distribution de dividendes est un signe de richesse", mais qu'il s'agissait plutôt d'un "signe de dynamisme".

Pouvoir d'achat et compétitivité

La CGPME a, de son côté, fait part d'un sentiment plus mitigé. Si la mesure est une "bonne nouvelle" pour les entreprises de moins de 50 salariés, ce n'est pas le cas pour les autres.

L'organisation, qui représente les patrons de petites et moyennes entreprises, a estimé ainsi que "la possibilité, sans caractère obligatoire, de distribuer une prime exonérée de charges dans les entreprises de moins de 50 salariés est une bonne nouvelle". Cela revient "à augmenter le pouvoir d'achat des salariés sans entamer la compétitivité", s'est félicité la CGPME.

Mais la CGPME aurait souhaité que cette liberté de verser ou non la prime soit appliquée "à l'ensemble des PME, jusqu'à 250 salariés". En obligeant les entreprises qui voient leurs dividendes augmenter à verser la prime, la mesure "empiète sur la liberté de gestion du chef d'entreprise".

La confédération a également regretté "qu'on crée un nouvel effet de seuil entre les moins de 50 salariés et les plus de 50".

ca fait 16 ans que c'est les mêmes et là ils vont faire un plan
c'est quand meme un comble de foutage de gueule à par de faire des plans ;;
nous on veut voir des réalisations

Jacques Chirac (1995-2002, 2002-2007) et Nicolas Sarkozy (Depuis le 16 mai 2007, élu pour un mandat de cinq ans)

Titulaire actuel Nicolas Sarkozy depuis le 16 mai 2007

Les internautes contre l'inscription de la tauromachie au patrimoine immatériel
mardi 26 avril 2011 à 14H25
Depuis vendredi, la tauromachie est inscrite sur la liste du Patrimoine immatériel français. La France devient ainsi le premier pays taurin au monde à effectuer cette démarche, conduite par l'Observatoire des Cultures taurines.
Selon 64% des internautes ayant participé à notre vote sur le sujet, cela est anormal
. 33% des votants sont au contraire favorables à cette décision.
3% ne se prononcent pas.

bienvenou a écrit:

A trois journées de la fin du Championnat, la tension s'est accrue au Bayern Munich : hors de lui, Bastian Schweinsteiger s'en est pris à Robben et à un journaliste.

Finir une saison sans gagner de titre est rare au Bayern Munich. Ne pas se qualifier pour la campagne suivante de Ligue des champions, encore plus. C'est pourtant ce qui menace le club bavarois, 4e de Bundesliga à trois journées de la fin, et certainement ce qui accroît les tensions au sein du groupe. Pour preuve, jeudi, la colère de Bastian Schweinsteiger en conférence de presse.Le milieu international et vice-capitaine du Bayern, qui ne réussit pas une grande saison, s'en est pris à un journaliste : «Ce que tu écris, c'est de la plaisanterie, tu ne comprends rien, tu devrais me traiter avec plus de respect», a-t-il lâché, avant de l'insulter et de le menacer, puis de quitter la salle. Probablement calmé par l'attaché de presse du club, Schweinsteiger a évoqué le match contre Schalke 04, samedi, avant de lancer une nouvelle pique, cette fois à destination d'Arjen Robben, qu'il n'a pas nommé. «Je ne suis pas un petit chef. Quand je dis quelque chose, tout le monde m'écoute dans le vestiaire», a-t-il affirmé en référence aux propos du Néerlandais au cours de la semaine. Robben avait fait part de ses regrets quant au départ de Van Bommel, et le vide qu'il a laissé