OGCNICE //LIGUE 1 // JOUEURS ET STAFF

Abriel : "On a su éviter le piège"
Publié le lundi 28 février 2011 à 08H44


Fabrice Abriel s'est félicité du résultat de son équipe contre Nancy (1-2) hier soir au stade Marcel-Picot : "Ce soir, on a dû composer avec beaucoup de blessés. Nous avions également disputé un gros match de Ligue des champions durant la semaine. C’est toujours difficile d’enchaîner dans ces conditions. On est donc très heureux du scénario. Avoir pris les trois points est une grande satisfaction. C’est la victoire de tout un groupe. On a un objectif commun : continuer à gagner.

"En première mi-temps, on s’en est voulu d’avoir encaissé un but sur la première frappe adverse. Mais on a très bien réagi avant la pause. On a montré que l’on avait du caractère. On savait que Nancy encaissait beaucoup de buts en deuxième mi-temps et on a fait en sorte de construire notre jeu sur ces données. On a envie de rien lâcher. Même dans la difficulté, on parvient à s’imposer. Ce déplacement était un piège. On a su l’éviter."

ABRIEL Fabrice
Titularisé sur le côté droit où il avait joué quelques matches importants l’an passé, il a évolué comme un milieu avancé, pas comme un ailier, style Valbuena. Assez disponible dans le jeu court, il s’est distingué par une belle action ponctuée d’un tir en deuxième période.
Note du match 5,00

Abriel-Ayew, le lien marquant
LE FAIT DU MATCH Chaque fois que le premier est titulaire, le second marque. Cinquième et sixième cas hier...

Fabrice Abriel : "Ce soir, on a dû composer avec
beaucoup de blessés. Nous avions également disputé
un gros match de Ligue des champions durant
la semaine. C’est toujours difficile d’enchaîner
dans ces conditions. On est donc très heureux
du scénario. Avoir pris les trois points est une grande
satisfaction. C’est la victoire de tout un groupe.
On a un objectif commun: continuer à gagner.
En première mi-temps, on s’en est voulu d’avoir
encaissé un but sur la première frappe adverse.
Mais on a très bien réagi avant la pause. On a montré
que l’on avait du caractère. On savait que Nancy
encaissait beaucoup de buts en deuxième
mi-temps et on a fait en sorte de construire notre
jeu sur ces données. On a envie de rien lâcher. Même
dans la difficulté, on parvient à s’imposer. Ce
déplacement était un piège. On a su l’éviter."

◗ ABRIEL
Titularisé sur le côté droit où il avait joué quelques
matches importants l’an passé, il a évolué comme
un milieu avancé, pas comme un ailier, style Valbuena.
Assez disponible dans le jeu court, il s’est
distingué par une belle action ponctuée d’un tir en
deuxième période

Yasmina Abriel, une histoire chic
INSOLITE L’épouse de Fabrice lance, avec son mari,
un magazine de luxe gratuit. Rencontre
"C’est un projet de
femme. Un jour, on
éprouve le besoin
de s’épanouir."

Fabrice et Yasmina Abriel financent le projet : "C’est l’idée de ma femme, je lui tiens la main", dit le milieu olympien
"L’image du
footballeur est
stéréotypée, celui de sa
femme encore plus."


Quelle démarche peut-on
initier pour rendre attractifs
des gens devenus banals
par une simple ascension
sociale, une popularité ? Yasmina
Abriel, la femme du milieu de
terrain olympien, s’est posé la
question un jour où la lecture l’a
plongée dans l’ennui :
"Sur le chemin des vacances,
avec les enfants, en achetant un
magazine à l’aéroport, j’en ai eu
un peu marre de lire sans cesse
les mêmes choses. Ce matin-là,
sans avoir la moindre idée sur le
projet que nous menons à terme
aujourd’hui, je me suis interrogée
sur la façon de parler des
sportifs, des leaders autrement."
Après un an de réflexion, de
construction, de mise en place,
est né Leader Chic, un magazine
de luxe de sport, assez intime.
"Parce ce que derrière chaque
grand destin, il y a une histoire",
exprime Michel Denisot dans
l’éditorial du premier numéro.
C’est vrai. Mais combien de sportifs
éprouvent-ils la tentation de
se raconter ?
Yasmina, Fabrice et leur équipe,
au sein de laquelle Yann Guérin,
un ancien attaché de presse
de l’OM, se lancent le défi de raconter
les sportifs tels qu’on ne
les a jamais vus : "Le traitement
du sport est trop souvent ancré à
une actualité, un résultat, explique
Yasmina. Il n’y a pas toujours
la volonté de partir à la découverte
de l’homme, la femme,
le couple, de rencontrer leur personnalité."
Le couple Abriel souhaite
s’éloigner des clichés
convenus, de montrer qu’entre
la force et la raison, il y a la lecture
pour s’émouvoir de l’histoire
de l’autre. C’est aussi une affirmation
de soi : "L’image du footballeur
est stéréotypée, celui de la
femme du footballeur encore
plus, assène Yasmina. Elle fait
les magasins, dépense l’argent.
Or, elle a beaucoup à faire partager,
à proposer, à raconter."
Ce projet est avant tout le
sien. C’est celui de l’affirmation
de soi, de la découverte, de la volonté
de trouver une route : "En
quinze ans de vie commune, je
me suis cherchée, poursuit-elle.
Ce magazine est une aventure humaine,
un projet de femme. Pendant
toutes ces années, même en
s’abritant derrière un personnage,
on apprend. Un jour, on
éprouve le besoin de partager, de
s’épanouir."
Associer le sport à l’élégance
est un pari osé.
Osé car il suggère de franchir
l’intimité de sportifs, de gens du
spectacle alors que ceux-ci s’en
préservent : "Nous partons du
principe que les sportifs auront
plus de facilité à se livrer à nous,
car notre relation est différente,
dit Fabrice Abriel. Il n’y a pas la
volonté de rechercher de polémique,
la confiance est plus naturelle.
Nous gravitons dans le positif.
Le but est de partir à la recherche
d’une personnalité, des subtilités
qui caractérisent un leader réussi."
Fabrice poursuit: "Dans mon
métier, on ne marche pas sur la
lune, on ne sauve pas des vies
non plus. Il faut que chacun soit
en paix avec ça, reste accessible à
tous. Les leaders sont de partout,
dans n’importe quel secteur d’activité."
Fabrice développe le concept
mis en place : "Le chic est une attitude,
pas un raisonnement essentiellement
lié à l’argent. Être
chic, c’est quelque part être
avant-gardiste de certains projets,
de certaines idées, de découvertes.
C’est une façon d’être, être
en avance sur une mode, une
bonne adresse."
Ce produit gratuit, dont le prem
i e r numéro e s t l a n c é
aujourd’hui, sera distribué tous
les deuxmois dans les hôtels, restaurants,
clubs de sports :
"La rentabilité n’est pas fondamentale,
affirme Yasmina.
Nous sommes plus soucieux de
la visibilité. Il est plus aisé de donner
40 000 numéros que de les
vendre. C’est notre façon à nous
de rester libres."

PAS RENTRE......

bienvenou a écrit:PAS RENTRE......

oui dommage
peu utilise cette annee

c'etait pareil pour benzema
peu ut ilisé manque de confiance lui c'est pareil et hilton egalement

banjo a écrit:

bienvenou a écrit:PAS RENTRE......

oui dommage
peu utilise cette annee

est rentré timidement et n'as pas apporté grand chose
a joué 25 minutes

SOLIDARITÉ AVEC LES ENFANTS
Abriel et les 1 000 sourires

Alors qu’un 4000e enfant va être prochainement parrainé par l’association
réunionnaise "1000 sourires", Fabrice Abriel a décidé de
lui apporter son soutien. Ainsi, douze footballeurs saint-paulois
(U13), issus de quatre clubs de Division 3 (FC Bois de Nèfles,
ASC Grane Fontaine, AS Espoir Tan Rouge, et Mets la main ensemble
de Saint-Gilles Les Hauts) passeront dix jours en métropole avec, au
menu: visite de Paris et Marseille, séance d’entraînement de l’OM à
La Commanderie, match OM-Toulouse, visite du Vélodrome, mais
aussi de la Base Aérienne 701 de Salon, avec démonstration de la
Patrouille de France et l’équipe de France de voltige, participation à
des ateliers avec les marins pompiers, jeux à la patinoire, BMX…

sur le banc
pas rentré

Abriel accueille 12 jeunes footballeurs de La Réunion avec "1000 sourires"
Publié le lundi 04 avril 2011 à 17H59


Parrain de l'association 1000 Sourires, Fabrice Abriel, originaire de l'île de La Réunion, a accueilli 12 jeunes footballeurs réunionnais de Saint-Paul de la catégorie U13, ce lundi, à Marseille. Accompagnés par Ibrahim Ingar, président de l'association, les minots de la "Run", tous issus d'un milieu modeste, vont passer 11 jours en métropole. Ce midi, pour la présentation du projet, ils ont même eu droit à une visite éclair de Stéphane Mbia.

Au programme de leur séjour marseillais : découverte de la ville, visite du centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus, passage à la base aérienne de Salon avec la Patrouille de France et, point d'orgue, avec le match OM-Toulouse, ce dimanche, au stade Vélodrome.

Abriel : "Cheyrou ? Le seul gaucher qui a un pied droit !"

http://www.laprovence.com/video/Abriel%2B%253A%2B%2522Cheyrou%2B%253F%2BLe%2Bseul%2Bgaucher%2Bqui%2Ba%2Bun%2Bpied%2Bdroit%2B%2521%2522/iLyROoafzFUH/laprovence/

Présent au côté de douze jeunes footballeurs de La Réunion avec l'association "1000 sourires", hier à Marseille, Fabrice Abriel est revenu sur la victoire de l'OM à Lens et sur la bonne opération comptable. L'ancien Lorientais a aussi évoqué le but de Benoît Cheyrou, que le gaucher lui avait annoncé à la mi-temps du match, et la course au titre qui se profile au contact de Lille.

PAS TRES BON

OL-OM
Mercredi 04 Mai 2011 à 17:08

Abriel, «toujours content de gagner des titres»

C’est après deux jours de repos que les olympiens ont repris ce mercredi le chemin des terrains. Et celui des studios aussi pour Fabrice Abriel.
Il était en effet ce mercredi sur le plateau d’Un Jour à l’OM sur OMtv. Sans tabous, le Réunionnais s’est exprimé sur plusieurs sujets. Notamment sur la déception et les doutes de l’équipe au sortir de la rencontre contre Auxerre. Toutefois, il se veut rassurant quant à la reprise de l’entraînement : «Il y a une bonne concentration, on se remet à l’essentiel.»
Le milieu de terrain, qui regagne un peu de temps de jeu actuellement, avoue se sentir bien au sein de son équipe, satisfait des résultats. Pour lui qui est «toujours content de gagner des titres», «jouer le haut de tableau c’est goûter au meilleur». Et Abriel et ses collègues n’entendent pas le laisser filer : «On est déterminés à aller gagner à Lyon

rentré et joué trop peu de minutes

❚ ABRIEL
Entré à la 69e minute à la place de
Valbuena, sous les ovations du public
lorientais, l’ex-Merlu a endossé
le costume de meneur de jeu
pour les vingt dernières minutes.
Dans ce rôle, il a tiré son épingle du
jeu, plaçant sur orbite Rémy,
contré par Cappone, avant d’ajuster
un superbe centre pour ce même
Rémy dans les derniers instants.
Utile.

Note du match 5,00

AMALFITANO
C'est un joueur intéressant et qui a un avantage d'etre quand meme libre .. je pense que c'est une bonne opération.

Il peut jouer dans en soutient de l'attaquant ou bien sur le coté droit ... sa peut etre une bonne option pour nous un renfort, bon certes c'est pas un cador mais sa reste un joueur intéressant.

Valbuena je le garde encore la saison prochaine avant sa blessure il partait vraiment comme l'olympien de la saison ! Ne l'oublions pas !!! Cette blessure quand meme l'a freiné ! Je pense qu'il pourra nous apporter encore la saison prochaine et en fessant vraiment une saison pleine je pense que sa cote sera encore plus élevé sur le marché des transferts qu'à l'heure d'aujourd'hui.
Si Lucho s'en va .. je pense pas qu'Amalfitano serait la SOLUTION pour le remplacer .. un cador part arrivé d'un cador, c'est mon avis.

Si Abriel part et je pense que c'est souhaitable, il apporte plus rien, Amalfitano serait un bon remplaçant

rico60


06/06/2011 à 21h52

tres bonne nouvelle!
gratuit comment se plaindre, c est un joueur de qualité qui va de toute façon donner de la profondeur au banc, et peut etre mieux
sa polyvalence est tres interessante.
ceux qui le qualifient d abriel bis, oublient que ce dernier etait tres bon a son arrivée avant qu on ne le fasse plus jouer, donc oui effectivement il est dur pour un joueur d etre performant quand il ne joue pas souvent..
s il avait raté 4 matchs d affilé la il aurait pu etre critiqué

FABRICE ABRIEL
Poursuivre
malgré tout?

Deux ans à l’OM, et deux saisons
diamétralement opposées. Voilà le bilan
de Fabrice Abriel depuis qu’il a
quitté Lorient, à l’été 2009. Bonne
surprise lors du premier exercice, le
Réunionnais a été réduit au rang de
faire-valoir cette saison. Il n’a été titularisé
qu’à quatre reprises en
championnat pour un temps de jeu
de 577 minutes. Avec le maintien de
Deschamps au poste d’entraîneur et
l’arrivée de Morgan Amalfitano, rien
n’indique que les choses vont changer.
Abriel en est conscient, mais il
souhaiterait rester malgré tout et aller
jusqu’au terme de son bail, dans
un an.
L’hiver dernier, il avait déjà repoussé
les sollicitations du Stade Rennais.
Il a encore réaffirmé ce souhait
à quelques proches tout récemment

dans le groupe