MONTPELLIER HERAULT // LIGUE 1

Oui je vois ça ! lol

olympien13 a écrit:Oui je vois ça ! lol

et j'essaie toujours de garder ce mot mediterranéeen en tete
sinon tu mets des centaiines d'articles et tu derives... vers l'etranger ou je ne sais ou

L'étranger on s'en fou un peu mdr nos championnats français sont bien plus serrés et interessants avec du suspens aussi en L1 qu'en CFA ou qu'en DH

Moi à l'étranger seuls le Barça, le FC Porto, le Bayern et l'Inter Milan m'interessent vraiment.

D'ailleurs j'ai cree des sujets etrangers
mais je pense que je vais plutot les archiver
et garder les joueurs francais qui jouent ds ces clubs

Oui ça serait mieux...

Ainsi le forum sera plus centré sur le thème privilégié : le foot méditerranéen et amateur .

olympien13 a écrit:Oui ça serait mieux...

Ainsi le forum sera plus centré sur le thème privilégié : le foot méditerranéen et amateur .

oui d'ailleurs je mets peu d'infos

en avril je le restruturerais dans ce sens

Oué ça en a besoin mdr c'est un peu le bazar si je peux me permettre

on peut pas tout faire...

Non c'est sur tu en fais deja beaucoup...

olympien13 a écrit:Non c'est sur tu en fais deja beaucoup...

ouais mais ces temps je me suis un peu relaché
l'hiver

là j'ai besoin de vitamines ..et du soleil

C'est pour ça que tu vas en Espagne !

olympien13 a écrit:C'est pour ça que tu vas en Espagne !

oui besoin de chaleur ... humaine
d'ailleurs je serais peu present les 4 prochains jours et totalement absent deamin

Moi aussi les prochains jours...

Le MHSC fête les femmes lors de la réception de Lens
Posté le 08 mars 2011 | par Onze34 Montpellier



é
A l’occasion de la journée de la femme, le Montpellier Hérault SC a souhaité mettre en valeur une association de femmes qui aide les femmes victimes d’un cancer. Il s’agit de l’association montpelliéraine Etincelle qui œuvre pour offrir aux femmes malades une parenthèse d’écoute et de partage.
80 « Etincelles » devraient être présentes au Stade de La Mosson samedi 19 mars pour la réception du RC Lens. Le coup d’envoi sera donné par la Présidente de l’Association, Madame Betty Mercier et une joueuse de l’équipe féminine du Montpellier Hérault SC. Un clip réalisé par l’association Etincelle sera diffusée sur l’écran géant du Stade.
Le Montpellier Hérault SC souhaite une bonne fête à toutes ses supportrices !

AH LES FEMMES .....DE MONTPELLIER
TROP BELLES

FootballMontpellier défie le PSG à 21 h au Parc des Princes

Publié à 15 h 55 - Un nouveau faux pas éloignerait sensiblement le MHSC du Top 5.

Six semaines avant la finale de la Coupe de la Ligue, les Montpelliérains ont pris hier la direction de la capitale. Du Parc des Princes, ce soir en championnat, au Stade de France, le 23 avril, il n’y a qu’un pas. Et si les frissons ne seront pas exactement les mêmes, d’une soirée à l’autre, les enjeux, eux, se rejoignent dans un même sentiment d’ambition.

C’est une évidence pour les Héraultais, le plus court chemin pour l’Europe passe aujourd’hui par Saint-Denis. La route est plus tortueuse en championnat où, 6e mais relégué à 6 points du PSG, 5e, son adversaire du soir, Montpellier abat une de ses dernières cartes pour accrocher encore quelque chose.

Pas
tout à fait une finale, mais un vrai sommet. « C’est un tournant », admet Joris Marveaux (lire par ailleurs). Qui peut remettre le MHSC « sur les bons rails » ou le reléguer à neuf points et le condamner de manière quasi irrémédiable à regarder derrière plutôt que devant...

« Si on rentre bredouille, ce sera évidemment plus compliqué ensuite, relaye Girard. Mais je n’y vais pas avec cet état d’esprit. On veut aller chercher quelque chose pour rester concerné. »

L’entraîneur montpelliérain a lui aussi fait ses calculs : une victoire ramènerait le MHSC à trois points de Parisiens battus à Auxerre le week-end dernier et en déplacement à Marseille lors de la prochaine journée...

À Paris, il reconduira le système en 4-2-3-1 et l’équipe qui lui a donné satisfaction dans le contenu, malgré la défaite face à Rennes (0-1). Seul Estrada, en méforme et suspendu (comme Spahic et Kabze), disparaît, remplacé par Pitau, qui reprendra le brassard de capitaine.

Girard se méfie d’une équipe parisienne qui a parfaitement ciblé ses priorités dans cette semaine européenne en laissant Giuly, Hoarau et Jallet au repos face à Benfica jeudi (défaite 2-1). Et qui disposera de tout son effectif, hormis Luyindula, touché à la cheville. « Ça veut dire qu’ils nous prennent très au sérieux », dit encore Girard. Après le match, ce serait encore mieux qu’avant...

ET PARIS N A TOUJOURS PAS BATTU LE MHSC SA BETE NOIRE



L1 - Montpellier n'a «rien lâché»

René Girard se dit fier de ses joueurs après le nul arraché contre Paris en infériorité numérique.
Héroïques à dix contre onze en deuxième période, les joueurs de René Girard n'ont rien lâché à Paris, dans le sillage d'Olivier Giroud, euphorique.

Son dernier but en Championnat remontait au mois de novembre. Ça commençait à faire long... «Non, ce n'est pas une revanche personnelle, a cependant martelé Olivier Giroud. Ce n'était pas facile, mais je n'ai jamais douté, je savais que j'allais remarquer.» Et pour mieux marquer...les esprits, l'ancien Tourangeau a choisi le Parc des Princes pour signer son retour sur le devant de la scène. Avec un retentissant doublé. «Inscrire deux buts au Parc des Princes que je découvrais, c'est vrai que c'est assez excitant, reconnaissait l'ancien meilleur attaquant de L2. Ce soir (dimanche soir), on a retrouvé des vertus de générosité, de solidarité. A 0-2 contre nous à la mi-temps, ce n'était pourtant pas facile...»

A quelques mètres de là, face aux caméras, René Girard louait justement cet état d'esprit exemplaire affiché par son équipe, réduite pourtant à dix dès la 48e minute. «A la mi-temps, j'avais expliqué aux garçons que si l'on parvenait à réduire la marque assez vite, on pourrait faire douter les Parisiens. C'est ce qui s'est passé, même si, physiquement, on a eu du mal à finir le match. Cela fait deux ans que j'ai un groupe exceptionnel. Ce soir, les joueurs ont encore prouvé qu'ils avaient du caractère. Ils n'ont rien lâché et ils ont mérité ce résultat.» Un résultat qui consolide la sixième place de Montpellier et n'enterre pas totalement ses ambitions européennes de fin de saison. «On va essayer de s'accrocher, confirme Olivier Giroud. De continuer à enquiquiner les cinq premiers. On est toujours vivants.» «On ne lâchera rien», promet René Girard, rappelant au passage, dans un grand sourire, que dans un mois Montpellier revient à Paris pour jouer la finale de la Coupe de la Ligu

Parc des Princes. Mi-temps: 2-0. Arbitre: Ruddy Buquet.
Buts- PSG : Hoarau (11), Yanga-Mbiwa (13 csc).
Montpellier : Giroud (47, 58).
Avertissements - PSG: Erding (14), Makelele (52), Armand
(64), Jallet (80). Montpellier : Belhanda (12), Jeunechamp
(34, 49), El Kaoutari (40), Bocaly (90).
Expulsion - Montpellier : Jeunechamp (49).
Paris SG: Edel - Jallet, Sakho, Armand, Tiéné - Clément (Bodmer,
77), Makelele (cap), Giuly, Nenê (Maurice, 81) - Hoarau,
Erding (Bahebeck, 77). Entraîneur : Antoine Kombouaré.
Montpellier : Jourdren - Bocaly, Yanga-Mbiwa, El Kaoutari,
Jeunechamp - Pitau (cap), J. Marveaux - S. Camara (Stambouli,
54), Belhanda, Utaka - Giroud (Saihi, 77).
Entraîneur: René Girard

René Girard a estimé que le nul décroché par Montpellier sur le terrain du PSG (2-2) était le fruit d'«une réaction d'équipe».


René Girard (entraîneur de Montpellier) : «Je suis fier depuis quelque temps de mon équipe, mais ce soir encore plus, parce que mené 0-2, on pouvait s'attendre au pire. Et même à dix, on a été très présent. C'est une réaction d'équipe, ce soir j'ai retrouvé véritablement mon équipe dans le collectif et dans l'envie. C'est peut-être un sentiment d'injustice qui les a fait se révolter. Mené 2-0, passe décisive de M. Buquet, on pouvait se poser des questions, mais on s'est créé des occasions dans le dernier quart d'heure. On s'est aperçu qu'en deuxième mi-temps, les Parisiens piochaient, ils ont beaucoup de matches, c'est un Championnat éprouvant. On sort d'une série un peu compliquée mais on est là. Même si ça en emmerde certains, on est là.»

En match de clôture de la 27e journée de Ligue 1, le PSG a laissé échapper deux points précieux dans la course au titre contre Montpellier (2-2), dimanche soir, au Parc des Princes.

Les Parisiens ont pourtant rapidement mené 2-0 grâce à des buts de Hoarau (11e) et de Yanga-Mbiwa contre-son-camp (13e), mais Montpellier, malgré l’expulsion de Jeunechamp (48e), est revenu en seconde période grâce à un doublé de Giroud (47e, 59e). Le PSG reste donc 5e, à trois points de Lyon et Marseille, et à sept points du leader lillois, tandis que le MHSC garde sa 6e place, à six longueurs des Parisiens

«Aller le plus loin possible»
René Girard, qui vient de prolonger, croit son «groupe en devenir» capable de «passer un autre cap».




René Girard est désormais lié à Montpellier jusqu\'en 2013.
René Girard, qui vient de prolonger à Montpellier, actuel 6e de L1, croit son «groupe en devenir» capable de «passer un autre cap».

Désormais lié au Montpellier Hérault jusqu'en 2013, René Girard peut préparer l'avenir sereinement. Depuis sa prise de fonctions, à l'été 2009, l'entraîneur présente un bilan positif, avec, à son actif, une qualification pour la Ligue Europa la saison dernière et une finale de la Coupe de la Ligue à jouer le 23 avril contre Marseille. «Au départ les objectifs étaient simples : se maintenir puis finir en haut du tableau», se souvient le principal intéressé.

Montpellier a donc mûri sous les ordres d'un homme qui a choisi de s'adapter au club, plutôt que d'imposer sa philosophie. «Je ne faisais pas partie de la maison : c'était à moi de me fondre dans le club», reconnaît-il. Les relations avec son président Louis Nicollin, souvent orageuses ? «Je n'ai jamais eu de problème avec le président : il est le patron, je fais mon boulot, assure-t-il. Si je le sentais pas, je ne serais pas resté au club. La meilleure des réponses, c'est que je prolonge deux ans : tout le monde est en osmose.»

Girard ne cache pas son ambition : «J'ai un groupe en devenir, dont on n'a pas tiré le maximum. Je veux aller le plus loin possible. Demain, on pourra essayer de passer un autre cap». A 56 ans, le coach du MHSC n'a pas vraiment l'intention de changer de personnage. Même s'il reconnait qu'il n'a «pas toujours fait des choses bien», il ajoute aussitôt : «Ma carrière, je l'ai faite aussi grâce à mon caractère, bon ou mauvais (...) Aujourd'hui, j'ai cinquante-six balais, j'assume mes responsabilités, mais je n'ai pas envie de m'emmerder pour du superficiel».

Montpellier : Fin de saison pour J.Martin
Le milieu de terrain de Montpellier Jonas Martin sera indisponible jusqu’à la fin de la saison en raison d’une blessure à la cheville.
Le site officiel de Montpellier annonce mercredi l’indisponibilité de Jonas Martin jusqu’à la fin de la saison. Il a subi une opération de la cheville

il a souvent des resultat qd il entraine
Aller le plus loin possible»
René Girard, qui vient de prolonger, croit son «groupe en devenir» capable de «passer un autre cap». jusqu\'en 2013.

ancien joueur pro qui a fait une belle carriere avec les selections espoirs
un top

FootballMontpellier, la fureur de vivre


Ligue 1 : 27e journée - Toujours sixième après son match nul au Parc des Princes (2-2). Mené 2-0 et réduit à dix, le MHSC a ramené de Paris un point qui récompense d’abord un mental hors norme. Dans un mélange d’autorité et de paternalisme, René Girard a pris l’habitude, depuis bientôt deux ans, d’évoquer ses joueurs en parlant de « ses garçons ». Dimanche soir, dans les entrailles du Parc des Princes encore tout retourné par l’invraisemblable scénario offert par des Montpelliérains révoltés puis survoltés, l’entraîneur héraultais a trouvé d’autres mots. « J’ai retrouvé mes hommes », a cette fois salué le technicien, dans une forme d’hommage général à son groupe.

C’est vrai, les partenaires d’un Romain Pitau à l’abattage gigantesque en deuxième mi-temps, aux côtés d’un Joris Marveaux

exactement au diapason, ont certainement grandi dans la bataille livrée face au PSG et aux événements contraires. À vrai dire, ils se sont surtout grandis eux-mêmes, dans le sillage d’un Belhanda inspiré, au terme d’une rencontre qui en dit long, quand même, sur les tripes de cette équipe et sur son mental inoxydable.

« Les événements nous ont donné une force supplémentaire »
Garry Bocaly, défenseur de Montpellier

« Marquer un doublé ici, alors que je découvrais le Parc, c’est très excitant », soulignait un Olivier Giroud ressuscité au nom des autres, bourreau des Parisiens après l’avoir déjà été deux mois plus tôt en Coupe de la Ligue. Mais ce que je retiendrai surtout, c’est la force de caractère et la solidarité qu’on a affichées. »

Du “contre” involontaire de l’arbitre, à l’origine de l’ouverture du score d’Hoarau, à l’expulsion de Jeunechamp en début de deuxième période, en passant par le but malheureux contre son camp de Yanga-Mbiwa, les coups du sort, à tort ou à raison, ont nourri chez les Montpelliérains un puissant sentiment de persécution et initié une révolte salvatrice. « Sur le premier but, ce sont des choses qui arrivent, mais on était quand même un peu fâché contre l’arbitre parce que ça nous fait très mal », souligne Giroud. « Les événements nous ont donné une force supplémentaire », dit Bocaly.

« À un moment donné, on était énervé par tout ça », explique Camara, précieux dimanche dans sa capacité à garder les ballons quand tout tanguait autour. « Ça nous a dispersés en première période et “reboosté” en deuxième », dit encore l’attaquant, pour expliquer, entre autre, le changement d’attitude et de physionomie après la pause.

Scellé dans l’intimité du vestiaire

Car c’est une évidence aussi, dans le cours de ce match chaotique, la mi-temps a fait du bien à des Montpelliérains comme sonnés jusque-là. Et si révolte il y a eu, elle s’est aussi nourrie des mots qui se sont dits dans l’intimité du vestiaire. On pourra tout dire du caractère sanguin, voire volcanique du MHSC version René Girard, qui aura cette fois coûté un carton rouge et quelques matches de suspension à Cyril Jeunechamp.

L’entraîneur montpelliérain est aussi un formidable meneur d’hommes qui a trouvé les paroles justes. Lesquelles ? « On s’est bien, bien parlé à la mi-temps », glisse, dans un sourire, l’un des cadres, Joris Marveaux. En gros, « qu’il fallait moins se découvrir parce qu’en prenant un troisième but, ça aurait été plié, mais qu’il fallait surtout essayer de marquer vite pour les faire douter. » Il fallait être fort, alors, pour convaincre ses joueurs que l’exploit était encore possible. Et fort, ensuite, de voir ces derniers le réaliser dans les termes exactement prévus.

« Depuis deux ans, j’ai un groupe exceptionnel », savoure Girard. Un groupe qui ne lâche rien. Pas plus la L1 que la Coupe de la Ligue avant. Sa deuxième mi-temps, dimanche, est de ce point de vue une mise au point cinglante de ses ambitions, alors que tout invitait à laisser filer... Pas le style de la maison. « On est toujours vivant, lâche Giroud. Beaucoup disaient qu’un mini-championnat à cinq était en train de se dessiner, mais nous, on va essayer de jouer les trouble-fête jusqu’au bout. » René Girard ne le dit (presque) pas autrement : « On sort d’une série de matches contre Lille, Sochaux, Rennes, Paris SG. On est toujours là. Et tant pis si ça en emmerde certains... »