FRENCH CONNECTION LES CANNONNIERS D ARSENAL C'EST DE LA DYNAMITE

FRENCH CONNECTION LES CANNONNNNNNNNNNNIERS D" ARSENAL
C"EST DE LA DYNAMITE;;;
AVEC TOUS CES FRANCAIS ET
CE FAMEUX MAILLOT ROUGE AUX MANCHES BLANCHES ON DIRAIT LE STADE DE REIMS DE NAGUERE

HIER EMMENE PAR UN EXTRAORDINAIRE NASRI ,UN VIREVOLTANT WALCOOTT AUX JAMBES DE FEU
ET UN TRES BON FABREGAS ILS ONT PULVERISE UNE PALE EQUIPE DE CHELSEA
ANCELLOTTI EST SUR LA SELLETTE ...PLUS QUE JAMAIS





28 décembre 2010
Arsenal a bien grandi
En s'imposant lundi avec autorité contre Chelsea (3-1), les Gunners ont fait oublier tous leurs échecs passés. Ils reviennent à deux points de MU.



Theo Walcott a été le grand bonhomme du match face à Chelsea avec un but et une passe décisive.
En s'imposant lundi avec autorité contre Chelsea (3-1), les Gunners ont fait oublier tous leurs échecs passés. Ils reviennent à deux points de MU.

C'est Patrice Evra qui doit être content, lui qui après la victoire de Manchester United lundi contre Sunderland (2-0) s'était déclaré «supporter d'Arsenal» dans le choc face à Chelsea. D'ordinaire si sévère avec les jeunes Gunners, le Français a cette fois dû apprécier leur maturité contre des Blues décidément pas dans leur assiette depuis plusieurs semaines. Ou pas. Car grâce à leur succès lundi dans le derby londonien (3-1), leur premier sur les six dernières confrontations, les joueurs d'Arsène Wenger reprennent leur deuxième place, à seulement deux points des Red Devils. Désormais rivaux numéro un des Mancuniens dans la course au titre, les Canonniers en savent aujourd'hui un peu plus sur leurs chances d'aller loin en Championnat cette saison. S'ils rééditent toutes les semaines cette performance, qu'ils maintiennent ce niveau de concentration, cette énergie et se montrent enfin réalistes, leur printemps s'annonce radieux.

Après la défaite à Old Trafford (0-1) et le match reporté contre Stoke City le week-end dernier, Arsène Wenger avait eu deux semaines pour réfléchir. Que devait-il faire pour mettre fin à cette terrible série contre un membre du Big Four ? Aucun but marqué en cinq rencontres face à Chelsea, cinq défaites et un nul contre Manchester depuis novembre 2008, ça ne pouvait pas continuer. Le technicien français a donc changé ses habitudes, et cinq joueurs dans son onze de départ par la même occasion. Exit Chamakh, Archavine et Squillaci notamment, place à Fabregas, Van Persie et Djourou. Sur le papier, l'équivalent avait fière allure. Sur le terrain également, les entrants n'ont pas déçu, le meilleur d'entre eux étant sans conteste Théo Walcott, véritable dynamiteur des Gunners dans son couloir droit.

Même s'il n'est pas impliqué dans le premier but de son équipe - un échange plein axe entre Wilshere et Song conclu par le Camerounais (44e) -, l'international anglais a quasiment été dans tous les bons coups. A l'affût sur une mauvaise passe en retrait d'Essien juste après la reprise, c'est par exemple lui qui permet à Fabregas d'alourdir la marque (51e). Enfin seul comme un grand, il a triplé la mise dans la foulée après un bon pressing (53e), pour inscrire son premier but depuis septembre. Malgré le retour aux affaires en face de Frank Lampard, trois mois après sa dernière titularisation, et la présence de Didier Drogba, muet pour une fois face aux Gunners, Chelsea n'a quasiment pas vu le jour (un tir cadré, un but... d'Ivanovic). A moins que ce ne soit Arsenal qui lui ait fait de l'ombre. Les temps changent.

19e journée Lundi
Arsenal 3 - 1 Chelsea

20e journée
Hier Wigan 2- 2 Arsenal
Watson (18s.p.). Arshavin(39)
Squillaci (81 csc) .Bendtner(44)

REVIENNENT BIEN

je les vois bien finir 2 ém derriere MU in touchable

oui cela semble une eventualité surtout que chelsea
est hors du coup et qu'ils bien failli encore perdre chez eux contre vila pourtant anexorique

banjo a écrit: je les vois bien finir 2 ém derriere MU in touchable

le commentateur pensait pareil hier soir que toi

Paul Le Guen · ex psg


Ou plutôt Arsenal, tout brillant qu'il fût dans son jeu, emmené par un Samir Nasri aussi virevoltant que lors de la session aller (victoire 3-0), n'est pas parvenu à plier une rencontre qu'il domina dans de belles largeurs. La meilleure attaque de Premier League n'a pas marqué. La meilleure défense de Premier League a tenu. Au générique de fin de cette soirée figuraient Wilshere (2e), qui ratait son intérieur du pied ; Walcott qui, seul dans la surface, manquait le cadre (24e) ; Fabregas, qui trouvait le poteau adverse (28e) ; Hart, qui déviait les tentatives de van Persie (61e), quand celui-ci ne butait pas sur le montant droit du gardien des Citizens (9e) ; Sagna et Zabaleta, expulsés tous deux à la 90e minute.

Le premier titre depuis 2005 est peut-être pour bientôt côté Arsenal. Encore en course sur tous les tableaux, les Gunners ont un très bon coup à jouer en League Cup ce mercredi. En demi-finale aller de l'épreuve, ils affrontent Ispwich Town, modeste 19e sur 24 en Championship, l'équivalent de la Ligue 2. Mais en ce moment, tout ne sourit pas forcément aux coéquipiers de Samir Nasri alors forcément, ils espèrent relever la tête après les deux matches nuls consécutifs, face à Manchester City (0-0) et contre Leeds United (1-1).


Ils veulent imiter Manchester United
Nicklas Bendtner qui sera peut-être titulaire, espère bien que le tirage pour le moins clément permettra à son équipe de lancer son équipe sur la voie du succès. «Pour moi, nous devons aller en finale, affirme l'attaquant danois. Ce serait alors fantastique de remporter un trophée tôt dans la saison. L'année dernière, Manchester United l'a emporté et a ensuite gagné le titre en Premier League. On espère en faire de même.» Pour cela, s'imposer ce mercredi permettrait de démarrer de la meilleure des manières.

4/4 truqué de grosse sommes dargent jouées a 0/4
uefa mene lenquete avé interpol

toutes ces nequetes tombent à l'eau mon ami
crois moi
la corruption tous mangent
et personne ne veut réellement l"arreter en france ni ailleurs

JE SERAIS A BARCELONE AU MATCH RETOUR
JE CROIS PAS POUVOIR AVOIR DE PLACE POUR CE RETOUR
SAUF SI LE BARCA ECRASE ARSENAL A LONDRES ..

Nasri apte, Diaby forfait
Remis de sa blessure à la cuisse, Nasri pourrait être titulaire pour la réception de Barcelone (20h45). Diaby est forfait.




Samir Nasri est de retour au bon moment. (EQ)
Remis de sa blessure à la cuisse, Nasri est disponible pour la réception de Barcelone mercredi soir (20h45). Il pourrait débuter la rencontre.

Samir Nasri sera bel et bien présent dans le groupe qui accueillera Barcelone mercredi soir (20h45) en huitième de finale aller de la Ligue des champions. «Nasri est dans le groupe, a confirmé Arsène Wenger. Titulaire ou non, je le déciderai demain (mercredi). Je ne prendrai aucun risque médical. Son rétablissement a été plus rapide que prévu, seulement 17 jours au lieu des 21 prévus. Il est disponible, à moi de décider.» Le meneur de jeu français était absent depuis le 30 janvier suite à une blessure à la cuisse. Thomas Rosicky, touché à l'aine le 5 février, est également disponible.

En revanche, Abou Diaby «n'est pas dans le groupe, il ressent une douleur à un mollet après le match France-Brésil» de mercredi dernier. Le milieu de terrain avait pourtant fait son retour le 27 janvier après un mois d'indisponibilité, déjà à cause d'une blessure à un mollet. A noter également l'absence de Bacary Sagna, suspendu

8es - L'immense défi d'Arsenal




Arsenal compte sur son attaquant Robin van Persie. (EQ)
Il y a un an, le FC Barcelone avait terrassé Arsenal. Les deux formations se retrouvent ce soir en 8es de finale aller (20h45). Les Gunners sont devant un défi immense. Voici les raisons d'y croire et de ne pas y croire.

L'atout van Persie : Arsenal a retrouvé son arme fatale. Régulièrement blessé, Robin van Persie a effectué son retour en début d'année et depuis les Gunners ont retrouvé une force de frappe impressionnante. Très bon pendant cinq mois, Marouane Chamakh a été totalement éclipsé par le Néerlandais, actuellement incontournable. Fine gâchette, il est un vrai finisseur et il n'a pas mis longtemps à le (re)prouver qu'il fait bien partie des meilleures attaquants du monde. Il est depuis janvier le meilleur buteur de la Premier League. Ses statistiques sont hallucinantes: le Batave a inscrit pas moins de 11 buts en 9 matches. Avec lui, Wenger peut dormir tranquille.

La bonne dynamique : Au moment d'affronter le Barça, Arsenal vit pour l'instant la période la plus faste de sa saison. Le club londonien arrive donc lancé. Deuxième en Championnat, les Gunners surfent sur une série de huit matches sans défaite toutes compétitions confondues (7 victoires et 1 nul). Et ils n'ont jamais été aussi prêts de gagner un trophée depuis 2005 puisqu'ils sont en finale de la League Cup (face à Birmingham City).Des options pour Wenger : En pleine confiance, les Gunners peuvent par ailleurs compter contrairement à l'année passée sur un groupe quasi au complet. Hormis Diaby (légèrement blessé) et Sagna (suspendu), Wenger a comme levier toutes ses forces vives. Si Nasri est de retour et devrait être en pleine possession de ses moyens au match retour, Fabregas est lui déjà à fond. Et nul doute que l'Espagnol ne voudra pas se rater lors d'un match de cette importance et face à son ancien club. Sans compter que Wenger a trouvé avec le duo Djourou-Koscielny une charnière performante et complémentaire.

Un mental un peu tendre : Ce n'est un secret pour personne, Arsenal n'est pas l'équipe capable de renverser des montagnes. C'est généralement dans les grands rendez-vous que ses limites sont les plus criantes. Sa jeunesse et son manque de charisme et de leader continuent à lui faire défaut. Et on ne va pas remettre sur le tapis l'absence d'un grand gardien. Arsenal peut facilement dérailler à cause d'un grain de sable. Le plus bel exemple date d'hier : alors qu'il menait 4-0 à la pause face à Newcastle, le château de cartes s'est effondré (4-4) suite à la sortie de Diaby, expulsé bêtement après une provocation adverse.

Le jeu sans ballon : Si Arsenal ne cesse d'être comparé au Barça, c'est grâce à l'expression de son jeu collectif, le plus souvent brillant. Les deux équipes s'appuient sur une
conservation de balles très forte. Face à une formation qui les laisse jouer, les joueurs de Wenger peuvent exprimer tout leur potentiel. A contrario, si Barcelone s'empare de la possession du ballon - ce qui était arrivé au match retour l'an passé (65% à l'aller et 68% au retour) - les Gunners risquent de terriblement souffrir. Pour eux, jouer en contre équivaut à jouer contre-nature. Être dominés et savoir gagner, c'est tout un art. Mourinho en sait quelque chose. -

Le grand défi d’Arsenal
LIGUE DES CHAMPIONS Les Gunners rêvent d’exploit face à Barcelone
"Nous voulons
montrer combien
nous sommes bons."
ARSÈNEWENGER

Lionel Messi se méfie de Theo Walcott, ici félicité par Robin van Persie et Jack Wilshere. Ces
Gunners-là ont de l’ambition et inquiètent le Barça

Et si cette fois, c’était la bonne
? À Londres, surtout
dans le nord de la mégalopole
anglaise - bastion historique
des Gunners -, on y croit dur
comme fer.
Arsenal a souvent caressé ce
doux rêve, celui de dominer Barcelone.
Mais l’équipe d’Arsène
Wenger s’est toujours cassé les
dents sur l’ogre catalan ; un dur
retour à la réalité pour une formation
pourtant souvent citée
comme celle déployant le plus
beau jeu... derrière le Barça.
Barcelone, briseur de rêve de
gloire européenne en 2006 au
Stade de France, grâce à deux
buts tardifs de Samuel Eto’o et
Juliano Belletti. Puis ce fut au
tour de Lionel Messi de donner
la leçon en avril dernier en quart
de finale de cette même compétition,
l’Argentin plantant quatre
banderilles entre les côtes
d’un Arsenal pourtant fringant
(2-2, 4-1). "Barcelone est la
meilleure équipe du monde en ce
moment, avoue Arsène Wenger.
Mais nous sommes plus forts
maintenant parce que nous
avons l’attitude qu’il faut. Nous y
croyons, nous avons la confiance
et les joueurs opérationnels.
Nous voulons montrer combien
nous sommes bons."
L’élève anglais est prêt à supplanter
le maître catalan.
Et avec les mêmes armes en
main, à l’inverse de l’Inter Milan
la saison dernière, tombeur du
Barça grâce à une défense à toute
épreuve. "Nous voulons être fidèles
à notre philosophie,
c’est-à-dire dominer dans le jeu,
passer la balle et avoir la possession
du ballon, avance le technicien
français. Si nous faisons cela,
nous avons de très bonnes
chances de battre Barcelone."
Un excès de confiance ?
Pas sûr.
Dans les rangs Blaugrana, l’inquiétude
perce alors que s’approche
le moment de pénétrer
dans l’enceinte de l’Emirates.
"Le Barça n’est pas invincible et
aller à Londres est risqué", glisse
Andrès Iniesta, alors que Leo
Messi avoue craindre Theo Walcott.
Des signes évidents de respect
de l’adversaire. De méfiance,
aussi.
Mais le Barça reste le Barça,
une formation d’extraterrestres
sur cette planète football. Arsenal
devra ainsi non seulement
être grand ce soir, mais également
le 8 mars prochain, au
Camp Nou, pour poursuivre sa
quête de couronne européenne

17 février 2011
Ça, c'est une autre histoire
Contrairement à l'an dernier en quarts de finale, Arsenal jouera le 8e retour à Barcelone après avoir réussi à battre les Catalans à Londres (2-1).



Ils avaient promis que ce ne serait pas «la même histoire» que l'an dernier, et ils ont tenu parole. Différente mais tout aussi belle, telle est l'autre histoire. Il était donc une deuxième fois un Arsenal - FC Barcelone de haut vol, avec du grand jeu, de l'attaque-contre-attaque, une possession de balle espagnole, quelques approximations londoniennes et un Leo Messi qui maudit à jamais (?) le gazon anglais. Il était une première fois, en revanche, une victoire d'Arsenal (2-1) face à la meilleure équipe d'Europe en Ligue des champions. Voilà qui est n'était plus arrivé lors de leurs cinq dernières confrontations et qui offre la promesse d'une Nouba d'enfer au Camp', le 8 mars prochain.

Par rapport à l'an dernier, un élément, et de taille, différait dans le scénario. Pep Guardiola l'avait d'ailleurs bien identifié en conférence de presse d'avant match. Un nom au générique : Robin Van Persie. Longtemps, pour le plus grand bonheur du coach barcelonais, le Néerlandais ne parut pas à la hauteur de son niveau en Championnat. Il paraissait même fâché avec sa réussite coutumière à l'approche du but de Valdes malgré les bons services de Nasri (6e) ou Wilshere (29e). Trop hésitant (58e, 65e) l'attaquant de pointe a retrouvé son efficacité en toute fin de match et l'entrée d'Archavine (69e) y est sans doute pour beaucoup. L'égalisation du Néerlandais sur un service de Clichy (78e) - décisif comme Nasri - a relancé son camp, qui a fini la rencontre aussi bien qu'il l'avait commencée avec le but de la victoire signé Archavine (83e) - encore lui.

En face, jusqu'à ces vingt dernières minutes de folie londonienne, c'était presque carton plein pour Barcelone, qui avait étalé ses atouts majeurs : son passe-passe partout (629 passes !), son pressing constant, sa défense irréprochable et son efficacité légendaire. Excepté Messi, pour qui l'Albion s'avère toujours aussi perfide : en manque de puissance (24e), hors jeu (38e) ou dans le petit filet (68e), le double FIFA Ballon d'Or n'a toujours pas marqué sur une pelouse anglaise en Ligue des champions. Mais quand Messi ne marque pas, il fait marquer, et c'est Villa qui s'y est collé, d'une frappe au ras du sol (26e).Malgré cela, la machine barcelonaise a été victime d'un deus ex machina du feu de dieu dans le dernier quart d'heure. Elle a encaissé deux fois plus de buts en dix minutes que dans ses six derniers matches et repart de l'Emirates avec sa première défaite de la saison en C1 et des questions pour Pep Guardiola. Ce dernier aura beau répéter à juste titre qu'il «n'aime pas jouer contre Arsenal», qu'il ne s'en offense pas: des millions de personnes, qui piaffent d'impatience avant le 8 mars prochain, adorent quand le Barça joue contre Arsenal

ARSENAL● Walcott manquera le Barça. Il faudrait un petit miracle
pour que l’attaquant anglais d’Arsenal, touché à la cheville mercredi
face à Stoke, puisse retrouver le terrain d’ici le match retour
des 8es de finale de la Ligue des champions, le 8 mars au Camp
Nou. Theo Walcott devrait en effet être indisponible 2 à 3 semaines
et est d’ores et déjà forfait pour la finale de la Ligue Cup, demain
face à Birmingham.

Arsenal se rassure, City assure




Nicklas Bendtner a inscrit deux buts en première période face à Leyton Orient (REUT)
Les Gunners ont relevé la tête. Trois jours après leur défaite en League Cup, les joueurs d'Arsenal n'ont fait qu'une bouchée de Leyton Orient (5-0). City passe aussi face à Villa (3-0).

Pas le temps de tergiverser. Trois jours après sa triste défaite (1-2) en finale de la League Cup face à Birmingham dimanche, Arsenal a parfaitement réagi en Cup. Opposés à Leyton Orient pour un replay (1-1 lors du premier match), les Gunners n'ont pas fait de détail face au douzième de League One, l'équivalent du National (5-0). Pour ce derby londonien, Arsène Wenger avait décidé d'aligner ses habituels remplaçants ou réservistes (Almunia, Gibbs, Squillaci, Miquel, Rosicky, Henderson pour ne citer qu'eux), histoire de donner du temps de jeu à certains et du repos à d'autres.

Bien lui a pris puisque ses joueurs, emmenés par un Nicklas Bendtner intenable, ont réalisé une prestation plus que solide. L'attaquant danois a d'ailleurs inscrit un triplé après l'ouverture du score de Marouane Chamakh. Gaël Clichy, remplaçant au coup d'envoi, a terminé le travail et emmené son équipe en quarts de finale de la Cup où Arsenal défiera Manchester United à Old Trafford.

Pas besoin de replay par contre pour Manchester City. Opposés à Aston Villa, qui lutte pour son maintien en Premier League, les Citizens se sont qualifiés logiquement (3-0). Et même si Roberto Mancini avait décidé de se passer des services de Carlos Tevez et Edin Dzeko, les Skyblues ont pu compter sur Yaya Touré, Mario Balotelli et David Silva pour assurer le spectacle. On les retrouvera en quarts face à Reading, qui a créé la surprise mardi soir en sortant Everton à Goodison Park (1-0). - T.L.-S.

L'expulsion de Van Persie a-t-elle faussé FC Barcelone-Arsenal ?
A 11 contre 11 durant toute la rencontre, les Gunners auraient-ils pu éliminer le Barça ?
OUI : 69%NON : 29%NSP : 2%
L'avis de la rédac' :
56e minute mardi au Camp Nou. Robin van Persie frappe au but alors que l'arbitre avait sifflé. Second carton jaune, synonyme d'expulsion pour l'attaquant néerlandais d'Arsenal. A ce moment-là, le tableau d'affichage indique 1-1. Pensez-vous comme Arsène Wenger - «quand on joue au foot à un certain niveau, on ne peut pas comprendre cette décision» - que cette expulsion a faussé ce huitième de finale retour de la Ligue des champions ? (

La rixe verbale entre Arsène Wenger et Kenny Dalglish à la suite de l'incroyable match nul obtenu par Liverpool à Arsenal (1-1 après 12 minutes de temps additionnel). «Je préfère ne pas répéter ce que m'a dit Arsène, a lâché l'entraîneur des Reds. Ce serait trop triste si cela était rapporté.»

Cette fois, c'est cuit

Un penalty de Van der Vaart a permis à Tottenham de recoller au score mercredi soir contre Arsenal. Le but qui ruine les espoirs de titre des Gunners.
Arsenal (3-3 à Tottenham) fait une croix sur le titre. Chelsea (3-1 contre Birmingham) lui prend même la 2e place. United garde 7 points d'avance.

C'était une occasion, certes difficile à transformer sur la pelouse de Tottenham, le grand rival du nord de Londres, mais une occasion avec un grand "O",sans doute la dernière pour espérer encore menacer le leadership de Manchester United sur la Premier League. Mais Arsenal, qui a mené 3-1 à White Hart Lane, l'a laissé passer comme d'autres avant elle. Au coeur d'une partie folle, notamment en première période où 5 des 6 buts du match ont été inscrits.

Walcott a donné l'avantage aux joueurs d'Arsène Wenger en profitant d'une ouverture parfaite de Fabregas (5e), mais pour deux minutes seulement, le temps que Van der Vaart l'imite grâce à un superbe contrôle orienté (7e). Arsenal est repassé devant grâce à un joli tir de 20 mètres de Nasri (12e), auteur de son premier but en Championnat depuis début décembre, puis a creusé l'écart grâce à Van Persie, qui s'y est pris à deux fois, de la tête puis du pied, pour tromper le gardien Szczesny de près (40e).

Mais Huddlestone a redonné l'espoir à Tottenham juste avant la mi-temps en catapultant dans le but, de 25 mètres, un mauvais dégagement de Fabregas (44e). A la 70e minute, le jeune gardien polonais a commis l'erreur de se jeter dans les pieds de Lennon qui filait dans la surface à toute vitesse. Van der Vaart s'est chargé de transformer le penalty. Arsenal perd deux points précieux dans la course au titre, toujours à sept points de United, tenu en échec (0-0) par Newcastle, mardi. La dragée est d'autant plus difficile à digérer que Chelsea lui chipe sa 2e place. Les Blues qui jouaient aussi mercredi leur match en retard de la 28e journée, ont battu (3-1) Birmingham grâce à un doublé de Malouda et un but de Kalou. Ils devancent les Gunners à la différence de but (+34 contre +32

25 avril 2011
Wenger assume tout
Arsène Wenger admet que les chances de titre d'Arsenal sont «minimes» après la défaite (1-2) à Bolton, dimanche. Et en assume la responsabilité.




Arsène Wenger semble en manque de solutions en cette fin de saison.
Arsène Wenger admet que les chances de titre d'Arsenal sont «minimes» après la défaite (1-2) à Bolton, dimanche. Et en assume la responsabilité.

Le manager d'Arsenal assume l'échec. Personnellement. Au lendemain de la défaite des Gunners dimanche à Bolton (1-2), le Français a endossé la responsabilité d'une saison que le club de Londres va sans doute finir à nouveau sans le moindre titre. «S'il y a quelqu'un à critiquer, c'est moi, a dit Wenger aux journalistes. Je compose l'équipe. Je choisi les joueurs.»



CHAMACK BENDTNER VAN PERSIE NASRI FABREGAS ARCHAVINE EN ATTAQUE
C DU LOURD POURTANT
L" OM EST MOINS BIEN LOTI

2 mai 2011
Arsenal ravive les Blues
Victorieux de Manchester United (1-0), Arsenal relance Chelsea dans la course au titre et nourrit des regrets de n'être (presque) plus concerné.





Le public de l'Emirates exulte : Robin van Persie vient de servir Aaron Ramsey pour le but qui relance le Championnat.
Victorieux de Manchester United (1-0), Arsenal relance Chelsea dans la course au titre. Et peut nourrir des regrets de n'être (presque) plus concerné.

Incapable de gagner plus d'un match lors de ses six dernières sorties (3-1 à Blackpool, 32e j.), Arsenal a provoqué dimanche un petit coup de tonnerre dans le sprint final. Les Gunners ont infligé à Manchester United sa quatrième défaite de la saison en Premier League, la deuxième à Londres après celle subie par les Red Devils sur le terrain de Chelsea (2-1, 18e j.). Chelsea, justement, devient le grand bénéficiaire du week-end en Angleterre. Au lendemain de leur victoire contre Tottenham (2-1), les champions en titre se trouvent désormais à trois longueurs de MU. Un écart infime. Un écart qu'ils auront l'occasion d'effacer dimanche prochain, à Old Trafford.

Manchester United a toujours son destin en main. Un match nul contre Chelsea peut lui suffire, s'il prend ensuite quatre points en deux matches (à Blackburn et contre Blackpool). L'équipe de Sir Alex Ferguson n'aurait pas eu autant de calculs, voire de soucis à se faire, si elle était parvenue à concrétiser sa domination durant une grande partie du match. Et notamment lors du dernier quart d'heure, pendant lequel les Red Devils ont fait le siège du camp adverse. Une semaine après la victoire arrachée contre Everton (1-0), le tableau d'affichage n'a cette fois pas été affecté par le "Fergie Time". Les Gunners y ont résisté. Ils ont aussi résisté à une part de malchance, avec la blessure de Nasri (ischio-jambiers), sorti à la pause, puis celle de Djourou en seconde période, après une entame de match fulgurante avec un pressing haut mais de la maladresse dans la dernière passe.

Les joueurs d'Arsène Wenger se sont aussi remis de leur colère suite à un penalty non sifflé pour une main de Vidic (32e), qui a enlevé le ballon devant la tête de Van Persie. Le Néerlandais s'est en quelque sorte vengé une vingtaine de minutes plus tard : alors que MU poussait et venait de se procurer plusieurs occasions franches, l'ancien de Feyenoord a servi Ramsey pour le but (1-0, 56e) qui relance le Championnat... et leur donnera sûrement des regrets après les virages ratés un peu plus tôt. Avec encore six points de moins que United, les Gunners paraissent trop loin pour être couronnés sur le fil. Mais avec cinq de plus que Man. City (4e), ils ont toutefois conforté leur place en Ligue des champions.