ROD FANNI ...L"AUTRE MARTEGAL !!!!

Après trois jours de soins, Rod Fanni a
repris hier comme annoncé. Il est opérationnel
pour le match de demain contre Eskisehirspor.

Reims-OM : "On s'est fait des frayeurs" (Fanni) Publié le lundi 13 août 2012 à 13H44


Rod Fanni : "La volonté était d'attaquer au mieux le championnat. On s'est fait des frayeurs, mais la victoire a été intelligente car on a profité de leur coup de fatigue. Nous avons fait le dos rond. Il faudra rester humble, ce sera notre force cette saison."

La prolongation
de Fanni bientôt
officialisée ? C’est dans les tuyaux depuis le
premier stage, à Crans Montana.
L’OM et Rod Fanni sont
d’accord sur le principe d’une
prolongation de contrat de
deux ans, sans véritable augmentation
salariale. Le Martégal
ne disposait plus que d’une
saison de contrat à l’OM et, s’il
fut tenté par une expérience à
l’étranger, il a rapidement accepté
la proposition de son club
de coeur. Seule condition pour
officialiser la signature: le départ
de César Azpilicueta, qui
devrait être effectif dans les prochaines
heures.

LES 2 MARTEGAUX

Fanni : «Une victoire méritée»

«On a quand même eu la maitrise sauf en première partie de deuxième mi-temps où on a un peu relâché. Mais on a su rester solide en ne concédant pas d’occasions. C’est donc une victoire méritée, quand même.»

Ligue Europe : Fanni incertain contre le Sheriff5 contributions Publié le mercredi 29 août 2012 à 07H25


Victime d’un coup ayant entraîné une légère torsion du genou gauche, Rod Fanni est resté aux soins hier. Il suivra une période de repos de 48 heures.
Il est très incertain pour le barrage retour contre Tiraspol, demain.

Si Baup choisit de se passer de ses services, deux solutions s’offrent à l’entraîneur olympien : soit faire glisser Kaboré comme latéral droit, ce qui l’obligerait à aligner Abdullah-Cheyrou au milieu ; soit titulariser un joueur formé au centre. Lors des matches amicaux, Baup a essayé Mango et Azouni à ce poste.

L’INFIRMERIE
Fanni incertain contre le Sheriff
Victime d’un coup ayant entraîné
une légère torsion du genou gauche,
Rod Fanni est resté aux soins
hier. Il suivra une période de repos
de 48 heures.
Il est très incertain pour le barrage
retour contre Tiraspol, demain.
Si Baup choisit de se passer de ses
services, deux solutions s’offrent
à l’entraîneur olympien: soit faire
glisser Kaboré comme latéral
droit, ce qui l’obligerait à aligner
Abdullah-Cheyrou au milieu; soit
titulariser un joueur formé au centre.
Lors des matches amicaux,
Baup a essayé Mango et Azouni à
ce poste

Sans Fanni 29/08/2012 21:36:00

Victime d'un choc contre Montpellier, dimanche à La Mosson (victoire 1-0), Rod Fanni est forfait pour le barrage retour de la Ligue Europa, contre les Moldaves du Sheriff Tiraspol, jeudi soir au Vélodrome (victoire 2-1 de l'OM à l'aller). «Mango ou Kaboré» devraient le suppléer sur le côté droit de la défense olympienne.

L1 - OM
Fanni, plein soleil 09/09/2012 16:34:56


Rod Fanni vit un début de saison presque parfait à Marseille. Il ne lui manque... que le couloir droit.
Si Marseille flambe depuis quatre journées, c'est aussi grâce à lui. Impeccable en défense et déjà buteur, Rod Fanni réalise un début de saison remarqué.

À Marseille, la fin de l'été a beau arriver, le ciel reste dégagé. Il reste même particulièrement bleu au-dessus de Rod Fanni, auteur d'un début de saison remarqué. «Si on m'avait dit que cela se passerait comme ça, je ne l'aurais pas cru. Que cela se passe bien, oui, mais peut-être pas aussi bien. Quatre matches, c'est pas mal, mais c'est trop tôt pour tirer des conclusions», sourit le défenseur olympien. Régulièrement présent dans les équipes-types de chaque journée, classé dans le top 5 de L'Equipe des défenseurs de L1, le Martégal vit une période sans nuages. «Si on parle de nous, et de moi, c'est qu'on n'a encaissé qu'un but en Championnat et un en Coupe. Le bilan est très bon pour la défense. Je sais que je suis un cadre, encore plus aujourd'hui car il y a beaucoup de jeunes. On compte sur moi.»


On compte sur lui, oui : titulaire à chaque journée, tantôt à droite, tantôt dans l'axe, bref, toujours présent au poste de secours, l'ancien Rennais s'adapte. Avec bonne grâce, mais non sans quelques arrière-pensées : «Je l'ai toujours dit et le clame encore, je préfère jouer à droite, c'est pour ce poste que j'ai signé à l'OM. C'est l'éternelle question qu'on me pose après les matches : ''Faut arrêter d'être bon dans l'axe sinon on ne va plus te bouger ?!"» Le départ de Cesar Azpilicueta pour Chelsea, qui lui a ouvert un boulevard sur le flanc droit, a d'ailleurs pesé dans son choix de rester dans le Sud : «Cette place, je ne l'ai jamais vraiment perdue. Tantôt il était blessé, tantôt moi, et Azpi, parfois, a joué à gauche. Mais oui, j'étais balloté d'un poste à l'autre. Ça continue aujourd'hui, je le fais avec plaisir mais j'ai hâte de retrouver mon couloir.» Donc, «hâte que Souley (Diawara) revienne», plaisante-t-il.


«On prend juste le bon chemin»


S'il continue vite et bien sa rééducation, le Sénégalais reviendra dans une équipe en confiance. Rod Fanni y voit trois explications. 1) «Tout le monde adhère au discours d'Elie Baup. Il nous a beaucoup aidés dans l'humilité. On est plus solidaires. Il nous a inculqués la culture qu'il avait mise en place à Toulouse : rechercher la solidité avant tout.» 2) «Des individualités qui brillent, André-Pierre (Gignac) qui marque des buts décisifs. Quand tout le monde est à son niveau, ça aide.» 3) «Le fait que tous les projecteurs soient braqués sur le spectacle parisien nous a sûrement fait du bien. On s'est préparés avec moins de pression et sérieusement.» En plein soleil, Marseille n'oublie donc pas ses zones d'ombre : «L'an dernier, on avait recruté de bons joueurs, mais l'équipe n'a pas tourné comme elle devait. Cela ne veut pas dire qu'elle va mal tourner les années qui suivent. Ça reste une équipe de bons joueurs, et quand tous sont à leur niveau, elle peut concurrencer n'importe qui. Reste à le prouver. Ça ne fait que quatre matches. On prend juste le bon chemin.» En pleine lumière peut-être, mais le soleil ne l'aveugle pas.


Bientôt la prolongation

Quand Fanni se paie Baup...
Le 11/09/2012 | Mis à jour le 11/09/2012 19:42:00

Alors qu'Elie Baup l'avait imité en conférence de presse quelques jours plutôt, le latéral marseillais Rod Fanni a pris sa revanche ce mardi en conférence de presse en imitant à son tour son entraîneur.

Vidéo : Rod Fanni imite Elie Baup1 contribution Publié le mardi 11 septembre 2012 à 18H14

http://www.laprovence.com/actu/om-en-direct/video-rod-fanni-imite-elie-baup

Rod Fanni a pris sa petite revanche en imitant son entraîneur, Elie Baup lors de la conférence de presse de ce mardi au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus. En effet, le coach olympien avait lui aussi imité le défenseur la semaine dernière.

Rod FANNI: "Gardons la tête froide. Cinq sur
cinq, ce n’est que du bonheur. C’est bon pour
la confiance, cela nous permet de travailler
beaucoup mieux. L’ambiance est super
bonne. En seconde période, quand cela a été
plus difficile car nous avions fourni beaucoup
d’efforts, nous avons serré les rangs et nous
sommes restés solidaires."

Rod Fanni : "Ce match nous emplit de fierté.
Nous avons livré une très belle prestation,
sans concéder beaucoup d'occasions à notre
adversaire. Vraiment, c'était un match plein.
On mérite mieux le match nul. C’est presque
une victoire d'ailleurs. Égaliser a été un
grand soulagement."

Il est ainsi, Fanni...
RENCONTRE Sondébut desaison est irréprochable. Regardsurunenfant de chez nous, biendans sa tête...
J’aime le foot, mais je le
considère comme un métier. Le
milieu ne reflète pas toujours
mon regard sur la vie."


"La vraie passion du foot,
je l’ai eue au quartier: ce
n’était pas pour de l’argent,
du business, du devoir. "


Le temps façonne le regard porté
sur autrui. Prétendre tout
connaître au simple premier
contact relève de l’arrogance déplacée,
d’une suffisance indélicate. Oui,
le temps permet de découvrir les
hommes, de mûrir une opinion.
Les mois passés ont permis de
mieux découvrir Rod Fanni, Martégal
de 30 ans. Il y a la présentation sportive,
les aléas d’une carrière, les hauts
et les bas dans la compétition. Il y a
aussi l’envers du décor, la face cachée
pour le grand public, ses prises
de parole, sa façond’être dans un environnement
médiatique dont il ne
cache pas avoir fui le concept pendant
longtemps.
Sait-on ainsi l’élocution aisée du
garçon, vierge des tics verbaux
contemporains comme"voilà", "comme
je l’ai dit...", "je crois que...", "c’est
vrai que...", prétextes à des banalités
pour contenter la galerie? Sait-on encore
son contact avec autrui, son regard
jovial en toutes circonstances ?
Sait-on aussi son respect pour
l’OM, les nombreuses fois où, pour
rendre serviceauservice communication
du club, il a accepté de combler
un vide afin d’expliquer une tempête
en cours ?
La source de son enfance, ses racines
ancrées dans les entrailles de cette
belle Provence ont modelé un garçon
attachant. Sans lui ôter le caractère
nécessaire.
Au fil des ans, le gamin de Boudèmea
appris la sagesse, la diversité humaine,
sans laisser au détour d’un
chemin l’enfant de jadis: "Monéducation
m’a enseigné de bienme comporter
avec les gens, dit-il. On gagne, on
perd, on est heureux, on ne l’est pas,
les autres ne sont pas responsables. La
vie est un échange. J’ai toujours été
joyeux dans mon quotidien. Quand
les contrariétés surgissent, je positive."
La complexité est de rester simple.
"Je ne suis pas too much, s’amuse
Rod, cela ne m’intéresse pas. Je n’aime
pas les critiques, je les aime encore
moins quand elles sont distillées à
tort. J’affronte les problèmes. Je le dis,
cela a lemérite d’être clair."
L’expérience l’a aidé. Elle l’a poli
en tirant les leçons du passé, en comprenant
combien le silence est une arme
perverse, si elle n’est destructrice.
Loin de lui l’idée d’occuper l’espace
médiatique, plutôt le besoin de rétablir
les vérités.
"Je suis sociable,mais je me suis souvent
et longtemps méfié des médias, raconte-
t-il. Je n’avais pas confiance. Ne
rien dire m’a porté préjudice, car une
situation non commentée était montée
en mayonnaise. L’issue était néfaste:
on disait tout et n’importe quoi."
Rodouvre les yeux: "Les gens se permettent
plus de choses quand on ne
les connaît pas. Le contact facilite le
cours de la vie. Ça plaît ou pas, le
problème n’est pas là, chacun
est libre d’avoir une opinion,
mais, au moins, on ne te prête
pas des considérations invraisemblables."
L’échange toujours dans
un univers où chaque mot
est disséqué, chaque expression
analysée, chaque
virgule épluchée.
Malgré ce, Rod ne se défile
pas, jongle avec les
situations, assume ses
prises de position tout
en veillant. Les soirs de match, il
s’arrête sans sourciller. C’est le job ! Il
s’y prête avec professionnalisme,
avec un certain contrôle.
"Ici, les interprétations sont nombreuses.
Il n’est pas toujours évident
de parler à chaud. Il y a le ressenti,
l’envie de laisser filer des mots et je ne
le peux pas. Après une nuit de sommeil,
on se dit : ’Hier, tu es allé trop
loin dans ta tête’. Parfois, on est saisi
par des idées arrêtées pas très intelligentes
!"
Pour cette raison, il prend plaisir à
s’éloigner de cet univers: "Quand je
suis avec mon entourage, j’aime sortir
du foot, confesse Rod. À la maison,
"Jour de foot" ou un
match de Ligue des
champions, un résumé,
ça me suff
i t . J e n e
m’interdirai jamais
un moment
privilégié
avecma famille
pour regarder
une
rencontre à la
télé." Surprenant
?
"Ça f a it ri re me s proches ,
s’amuse-t-il. Parfois, je suis incapable
de dire contre qui nous jouerons trois
semaines plus tard. Moi, j’aime
m’entraîner, vivre en harmonie avec
le reste du groupe."
Mais il est toujours rattrapé par son
métier : "Ma mère est plus informéeque
moi ! Elle est mordue, achète
tous les magazines sur l’OM. C’est
amusant!Minot, elleadû venirme
voir jouer une dizaine de fois, elle
n’aimait pas le foot."
C’était le temps du quartier,
ce temps habillé de sentiments
et de vérités: "J’adore le foot,
m a i s j e l e c o n s i d è r e
aujourd’hui comme un métier.
Il est formidable, je l’avoue. Or,
je n’apprécie pas le milieu, il ne
reflète pas toujours mon regard
sur la vie."
Rod repart en enfance : "La vraie
passion du foot, je l’ai eue au quartier
: jouer jusqu’à pas d’heure,
s’arracher la jambe pour un coca, disputer
des tournois acharnés avec les
potes pour une bouteille de Québec !
Ce n’était pas pourde l’argent, dubusiness,
du devoir.
"Il n’y avait personne pour juger, dire
c’est bien ou mal. Ce n’était pas vicieux,
mais authentique."
Quand sa carrière sera terminée, il
ne s’interdira plus les tournois de 5
contre5dont il parle avecgourmandise
et nostalgie. Sans assurance de rester
dans cet univers: "Je ne me vois
pas entraîner, ou alors des jeunes.
Quand je me rends voir mes neveux
dans un tournoi, c’est rafraîchissant,
nature. Le milieu professionnel est vicieux.
Gérer unemultitude de caractères,
les états d’âme des uns et des
autres, ce n’est pas pourmoi. Si on me
manque de respect, je n’aurai pas le
tact. Et si c’est pour se battre avec ses
propres joueurs, autant laisser la place."
Pour l’heure, Rod occupe l’espace.
Avec un charme naturel...

OM: Fanni pas impressionné par Zlatan
Titulaire au poste d'arrière central dimanche lors du choc OM-PSG (2-2), le défenseur marseillais Rod Fanni a pu à cette occasion se frotter à l'attaquant suédois Zlatan Ibrahimovic. Et l'ancien Rennais n'a pas été impressionné par l'ancien joueur de l'AC Milan, pourtant auteur d'un doublé. "Pour moi, Gignac a fait mieux. On parle beaucoup de Zlatan, c'est le jeu médiatique. Au vu du match, il n'a pas été rayonnant non plus. Je trouve qu'on l'a bien tenu", explique ainsi le natif de Martigues ce lundi dans des propos relayés sur le site officiel du Phocéen.

Troyes-OM : "L'état d'alerte n'est pas décrété" Publié le lundi 22 octobre 2012 à 07H54


Voici la réaction de Rod Fanni après la défaite de l'OM à Troyes : "L'état d'alerte n'est pas décrété. Nous restons en haut du classement malgré cette défaite, même si je considère que ces points sont jetés. Mais il y a plein d'échéances qui arrivent. Comptablement, nous restons en bonne position."

CONTRE PARI CE NE SERA PAS UN MATCH AMICAL

OM: Fanni "se pose beaucoup de questions" sur l'arbitrage
Expulsé peu avant la demi-heure de jeu lors du huitième de finale perdu par Marseille à Paris mercredi (2-0) pour une faute en tant que dernier défenseur sur Guillaume Hoarau, Rod Fanni avait du mal à digérer la décision de M. Gautier: "Ma faute est hors de la surface, a-t-il indiqué après le match. Et on nous apprend en début de saison que même si on est dernier défenseur, quand on va vers l'extérieur, c'est jaune. Je me pose beaucoup de questions sur l'arbitrage ce soir. A onze contre onze, ça aurait été différent, mais ce sont des si...", a commenté le joueur sur le site de l'OM.

Rod FANNI:
"Il y a eu beaucoup
de frustration car on a
fait un bon match. Mais on n’a
pas réussiàmarquer. Je crois que
les Turcs n’ont pas tiré au but une
seule fois et on paye cher une
absence sur un corner. Après,
est-ce un mal pour un bien d’être
éliminé? Chacun a sa façon de
voir les choses. En ce qui concerne
l’ambiance, on s’est rendu compte
que c’était assez tendu dans les
tribunes, surtout lorsque les
forces de l’ordre sont rentrées sur
le bord du terrain. J’espère qu’il
n’y a pas eu trop de dégâts

Expulsé sévèrement mercredi par Clément Turpin, l'arbitre de la rencontre OM - Lyon, Rod Fanni est automatiquement suspendu pour le déplacement à Brest, demain (14 h). Selon toutes vraisemblances, la commission de discipline de la Ligue de football professionnel étudiera son cas jeudi prochain, lors de sa réunion hebdomadaire.

Après une première exclusion contre Paris, le 31 octobre en 8e de finale de la coupe de la Ligue, le Martégal se trouvait en sursis. Il devrait donc écoper d'un second match de suspension. Si ce sursis venait à être levé, comme cela semble prévu, la sanction serait exécutoire pour la réception de Lorient, le 9 décembre prochain (17 h). Un casse-tête de plus en perspective pour Élie Baup afin de composer sa défense