SPORTING CLUB BASTIA // NATIONAL

JUDAS a écrit:J'ai lu pas mal de choses pénibles sur Pacy Belli C'est la merde noire chez eux ,ils ne sont même pas sur de reprendre le championnat

oui c'est sur je suis au courant

j'espere que mon reportage de septembre 2010
https://foot-mediterraneen.forumactif.com/t813-pacy-sur-eure-le-paris-normand-au-coeur-si-tendre

n'etait pas leur oraison funebre
enfin je le souhaite reellement

Enfin un départ

Niangbo vient d'être prêté pour les six prochain mois au FC Tubize, club qui évolue actuellement en D2 belge et qui se bat pour éviter la descente en d3 belge .
Le club belge prend en charge 40 % du salaire du joueur.



http://www.lequipe.fr/Football/FootballFicheJoueur29552.html Stats de folie ,je te l'accorde

40 matchs 2 buts ca doit faire 0,05 but par match
à 68 kg il ne pese pas assez sur les defenses

bienvenou a écrit: 40 matchs 2 buts ca doit faire 0,05 but par match
à 68 kg il ne pese pas assez sur les defenses

J'ai envoyé un mail a DD.... sait on jamais

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit: 40 matchs 2 buts ca doit faire 0,05 but par match
à 68 kg il ne pese pas assez sur les defenses

J'ai envoyé un mail a DD.... sait on jamais

pour remplacer brandade 2m et 100 kg
l'om va perdre au change

Niangbo va faire un malheur au au FC Tubize

t'as raison ce gars là
il a la frite

JUDAS a écrit:
Niangbo va faire un malheur au au FC Tubize

Apparu à trois reprises cette saison en National sous les couleurs du Sporting Club de Bastia
, Guy-Roland Niangbo, arrivé sur l'Île de Beauté au cours de l'été 2008,
est en route pour l'AFC Tubize (D2 belge).
Les dirigeants bastiais et leurs homologues belges sont proches
d'un accord pour le prêt jusqu'à la fin de la saison de l'attaquant ivoirien de 24 ans
Le celébre JUDAS aurait négocié 500 000 euros pour sa participation à la la transaction ...

PREPARE UNE BOUTEILLE DE CHAMP
IL VA VENIR A BASTIA

32èmes de finale
Casoni : "Face à Marseille pour gagner"
Ancien joueur de l'Olympique de Marseille pendant six saisons, Bernard Casoni (photo) retrouvera dimanche le club phocéen en 32èmes de finale de la Coupe de France et son ancien partenaire, Didier Deschamps. Avant cette rencontre, le technicien d'Evian Thonon Gaillard a tenu à rappeler que son équipe, actuellement en tête de Ligue 2, allait tout faire pour poser des problèmes aux Marseillais, dans un match évidemment "un peu spécial" pour lui.

Dimanche soir, le Parc des Sports d'Annecy fera le plein, avec près de 13.000 spectateurs, pour vibrer lors du match de 32èmes de finale entre Evian Thonon Gaillard FC (ETGFC) et l'Olympique de Marseille. Ce rendez-vous sera notamment particulier pour l'entraîneur savoyard, Bernard Casoni. Sa carrière est intimement liée à l'OM, où il a conquis tous ses titres, dont deux de Champions de France et une Ligue des Champions en 1993. Depuis qu'il a quitté le banc phocéen en 2000, il retrouvera donc son ancienne équipe pour la première fois : "Cela me procurera évidemment un pincement au cœur. J'ai passé tellement de bons moments sous ces couleurs" explique le Cannois de naissance. Sur le banc de touche adverse, il croisera également son ancien capitaine : "Je vais en plus retrouver Didier Deschamps avec qui j'ai joué de nombreuses saisons, gagné de nombreux titres. Ce n'est que du plaisir" avoue l'ancien international aux 30 sélections.

Si ce match sera placé sous le signe de l'émotion, il sera également l'occasion pour l'ETGFC de se tester face à une des meilleures formations de l'Hexagone, et de confirmer les excellentes dispositions entrevues depuis le début de saison : "On va tout faire pour être le plus performant possible, tenter de réaliser de belles choses pour titiller les Olympiens" explique Bernard Casoni, qui a décidé pour cette rencontre de reprise et de gala d'aligner "la meilleure équipe possible, sans calcul".

Promus cette saison en L2 après un titre de Champion l'an passé en National, les Savoyards ont réussi un début de Championnat en fanfare, avec une première place à la clé à la trêve. Pour l'ancien défenseur de métier, cette bonne passe s'explique avant tout grâce à la "stabilité dont a fait preuve le club à l'intersaison. On a gardé une ossature du National, car beaucoup de joueurs ont une marge de progression intéressante. Surtout, on avait confiance en eux, dans leur potentiel". Pour encadrer ces jeunes pousses prometteuses, quelques retouches judicieuses sont venues pimenter cet effectif déjà relevé : "Il y a eu l'apport de 4 ou 5 joueurs qui se sont très vite fondus dans le collectif, aussi bien sportivement qu'humainement" affirme Bernard Casoni, avant d'ajouter que ce choc face à l'OM "tombe au très bon moment. Pour le club, la région, les joueurs, c'est une belle récompense". Avec un effectif au complet, épargné par les blessures et les suspensions, les hommes du Président Patrick Trotignon espèrent réaliser un bon coup dimanche face à l'équipe qui a fait vibrer durant de nombreuses saisons le cœur de leur actuel entraîneur.

Les bleus se ressourcent en montagne
5 janvier 2011

Partis de Ville di Petrabugnu vers 8h15 ce matin, les bastiais ont mis moins de deux heures pour rejoindre Manganu et son panorama exceptionnel, avant de prendre la route cet après-midi pour Porto-Vecchio où un stage de trois jours les attend. Ce dernier se concluera par une rencontre amicale face à l’ASPV samedi à 18h30.



Diaporama photo : http://www.sc-bastia.net/v4/?p=8155

Annoncé à Tubize (D2), Guy Niangbo pourrait finalement quitter Bastia pour l'URS Centre (D3). Sud-Presse annonce aussi que Keevin Terwagne pourrait aussi signer.

Je le sens bien rentrer a Bastia en fin de semaine
http://www.urscentre.be/Nouvelle_Gazette/Article_05-01-2011.pdf

Selon son
manager,lesCorses,engrossesdifficultés
financières, accepteraient
de le libérer. Le tout est de s’accorder
sur la prise en charge de son
contrat particulièrement lourd

c'est quoi son salaire 50 000 euros nets mensuels

juste ou je vais cet été 1 ere quinzaine de juillet

JUDAS a écrit:Les bleus se ressourcent en montagne
5 janvier 2011
Partis de Ville di Petrabugnu vers 8h15 ce matin, les bastiais ont mis moins de deux heures pour rejoindre Manganu et son panorama exceptionnel, avant de prendre la route cet après-midi pour Porto-Vecchio où un stage de trois jours les attend. Ce dernier se concluera par une rencontre amicale face à l’ASPV samedi à 18h30.

Diaporama photo : http://www.sc-bastia.net/v4/?p=8155

pour vous pas v besoin de pre,ndre l'avion pour trouver le soleil et la chaleur
le sud est si pres

aladin a écrit:juste ou je vais cet été 1 ere quinzaine de juillet

JUDAS a écrit:Les bleus se ressourcent en montagne
5 janvier 2011
Partis de Ville di Petrabugnu vers 8h15 ce matin, les bastiais ont mis moins de deux heures pour rejoindre Manganu et son panorama exceptionnel, avant de prendre la route cet après-midi pour Porto-Vecchio où un stage de trois jours les attend. Ce dernier se concluera par une rencontre amicale face à l’ASPV samedi à 18h30.

Diaporama photo : http://www.sc-bastia.net/v4/?p=8155

aladin a écrit:Selon son
manager,lesCorses,engrossesdifficultés
financières, accepteraient
de le libérer. Le tout est de s’accorder
sur la prise en charge de son
contrat particulièrement lourd

c'est quoi son salaire 50 000 euros nets mensuels

Dans les 5000 brut les belges le veulent gratuit d'un autre coté , je les comprends un peu
Au départ le salaire de Bobo la frite devait être pris en charge par les belges a 60% .

eux a 3000 ca les interessent
mais vous continuer àpayer 2000 par mois pour quelquun que vous n'avez aucun d'espoir d'avenir c'est chiant

Bastia-Rodez depuis la Balagne
6 janvier 2011

Toutes les micro-régions de l’île se mobilisent derrière leur Club. Alors, si vous êtes en Balagne et voulez assister à la rencontre face à Rodez du samedi 15 janvier prochain, c’est possible ! La Sezzione Balagna organise le déplacement en car pour le match de reprise à Armand Cesari.

Le départ est prévu d’Ile-Rousse (parking de la Poste) aux alentours de 17 heures pour un tarif de 20 euros ne comprenant pas la place de stade.
Pour ceux qui le desirent, et pour un montant de 20 euros supplémentaire, vous aurez également la possibilité d’acquérir la nouvelle écharpe du groupe de supporters Bastia 1905.
Les réservations pouvant s’effectuer via la réseau social Facebook, page « Sezzione Balagna ».

UNITI VINCEREMU

L’enfant de Porto Vecchio
6 janvier 2011

C’est donc ce samedi à 18h30 que le Sporting Club de Bastia va fouler la pelouse du Stade Claude Papi, votre site internet vous propose de revenir sur ce footballeur élu joueur Corse du siècle.

Comment essayer de faire revivre les grandes heures du football corse sans parler de l’incontournable Claude PAPI ? Corse Football a rencontré son épouse, Madeleine PAPI, et retrace en sa compagnie une partie de la vie de l’homme et du footballeur. Conversation et souvenirs…

Claude Papi est né le 16 avril 1949 à Purtivechju, sa ville, où il passera son enfance, avant de partir pour Sartè, puis Bastia pour terminer ses études.

« Claude a passé son bac à Bastia en 1968, mais sa principale préoccupation était bien sûr le football. Pourtant, il se passionnait pour tous les sports et tout particulièrement pour le cyclisme – il a même gagné une compétition cycliste amateur qui se déroulait à Purtivechju. Il en avait étonné beaucoup ! A part le sport, il se passionnait aussi pour la chasse, passe temps qu’il partageait avec son grand ami Paul MARCHIONI. Il adorait la nature et il profitait de ses longues parties de chasse pour échapper à la pression du football. » « un footballeur-né, Claude PAPI va intégrer le centre de formation du Sporting Etoile Club Bastiais en 1968, année durant laquelle il aidera le club à se hisser en Première Division. A 22 ans, le jeune Claude connaîtra donc les joies de l’élite du football français.

« Claude ne se sentait pas privilégié par le fait d’être un footballeur professionnel de Première Division. C’était simplement pour lui une passion, il avait le don du football. J’ai tout de suite vu en Claude un footballeur-né. D’un comportement assez hargneux sur un terrain, de part son tempérament de gagneur, quoiqu’il ait toujours été correct, Claude était gentil, discret et modeste dans la vie quotidienne. C’était un homme entier, vrai, qui ne mâchait pas ses mots, ce qui lui a parfois valu quelques démêlés. Mais il donnait tout pour le football, et je pense qu’il le lui rendait bien. » PAPI devient très vite un habitué des grands rendez- vous nationaux et s’installe dans l’équipe bastiaise comme un leader et un meneur de jeu incontestable. « Il n’a jamais eu la grosse tête »

Claude était une personne ouverte, qui savait gérer son succès. Un exemple : c’est lui qui, le premier, acceuillait les étrangers de l’équipe et leur faisait découvrir la Corse. Je pense particulièrement a Dragan DZAJIC, qui est resté un ami de la famille. Claude n’était pas particulièrement superstitieux. La seule chose à laquelle il tenait était son tee-shirt fétiche, avec lequel il se rendait aux entraînements. Il avait pour habitude de faire une longue sieste la veille des matchs et était particulièrement nerveux à l’idée de prendre l’avion. C’était sa principale phobie. Quand on sait le métier qu’il faisait… » PAPI va participer à la Finale de la Coupe de France en 1972, hélas perdu, contre Marseille et commence à attirer les regards des sélectionneurs des différentes équipes de France.

« Claude a effectué son service militaire au Bataillon de joinville et a été sélectionné en équipe de France Militaire. Il était très fier d’avoir porté la tunique bleue mais n’a jamais été euphorique. Pour lui, rien n’était gagné d’avance et il fallait travailler sans cesse. Il n’avait pas tout à fait tort… Il Et il n’avait vraiment pas tort, Claude. Paradoxalement, sa plus grande joie en football s’avéra être sa plus grande désillusion : PAPI sera sélectionné pour la première fois en équipe de France le 21 novembre 1973, au Parc des Princes, face au Danemark. Il rentrera en 2ème mi-temps à la place de Ravier, et la France l’emportera 3-0, trois buts en seconde période. Tout le monde croit alors que PAPI, après avoir éclairé l’entrejeu des bleus face au Danemark, a gagné ses galons de titulaire au sein de l’équipe de France. On déchantera bien vite en ne lisant pas son nom sur la feuille du match suivant contre la Roumanie.

Qu’importe ! Claude travaille encore et toujours, mais les mauvais résultats de l’équipe bastiaise à cette époque ne jouent pas en sa faveur. Malgré cela, l’équipe de France s’ouvre de nouveau à PAPI : ce sera une nouvelle fois au Parc des Princes, contre la Hongrie. Il entrera en 2ème mi-temps à la place de Jean-Noël Huck, et la France gagne encore durant la seconde période par 2 à 0. Mais il sera une nouvelle fois déçu, le sélectionneur l’oubliant pour le match suivant.

« Claude a été très marqué par ces deux matchs. il me répétait qu’il avait eu l’impression d’avoir bien joué pour l’équipe, et se demandait sans cesse pourquoi on ne luifaisait pas confiance. »

Pourtant, Claude PAPI, du fait de ses exploits européens avec ses camarades bastiais, sera convoqué par Michel Hidalgo au stage de préparation de l’équipe de France pour le Mundial argentin de 1978 et il fera partie des 22 sélectionnés français en partance pour Buenos Aires.

« Claude était très heureux. Il n’avait pas joué les deux premiers match du Mundial (défaite de la France contre l’Italie ei l’Argentine NDLR), mais il était tout de même ravi de faire partie du groupe.

Claude sera tout de même déçu par Michel Hidalgo : lui promettant de lui donner sa chance contre la Hongrie pour le troisième match, Claude avait débuté cette partie comme titulaire, et la France menait à la mi-temps par 3 buts à 0.

Pourtant, PAPI regardera la suite du match du banc des remplaçants, Hidalgo ayant préféré aligner Michel Platini en milieu de terrain. Le score n’évoluera pas et, à la fin du match, Claude savait qu’il ne rejouerait jamais plus en Equipe de France. « Il en voulait beaucoup à Michel Hidalgo. Je suis sûr que si on lui avait donné une vraie chance… Surtout quand on voit la carrière exemplaire qu’a réalisé Platini par la suite. » C’est vrai ! Il n’y avait que Platini qui pouvait empêcher Claude d’avoir la carrière qu’il méritait en équipe de France. Le Corse, héros de la Coupe d’Europe de 1978, le capitaine courageux, n’avait pas plu à l’équipe de France. Pourquoi ? Sûrement de par sa fidélité infaillible envers le SECB. « Le SECB c’était tout pour Claude.

Il est vrai qu’il a, surtout en 1978, reçu des sollicitations de nombreux clubs – en France, le FC Nantes voulait s’attacher ses services, mais aussi à l’étranger avec des propositions de clubs suisses. Il avait pourtant refusé, mais avait quand même longuement réfléchi aux propositions d’un club prestigieux : le Cosmos de New-York ! Une offre bien alléchante, tant au niveau sportif que financier, et très honorable pour Claude. Mais la vie aux USA ne l’avait pas franchement convaincu.

Il préférait de loin les Aiguilles de BAVELLA aux gratte-ciel new-yorkais ! Claude PAPI ne partira pas aux USA. Claude PAPI restera fidèle au SECB. Il y terminera sa carrière en 1981, ne participant même pas, pour cause de blessure, à la victoire des bastiais en Finale de la Coupe de France contre le Saint-Etienne de… Platini. Oui, le football est bien un éternel recommencement. Le stade de Purtivechju porte aujourd’hui fièrement son nom, comme si sa ville voulait qu’il y laisse à jamais son empreinte.

» Zitelli corsi, ùn vi scurdate mai : Claude PAPI era u più grande ghjucadore di a so èpica ! «

Article paru dans Corse Football n°2, septembre 1994.


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<b><a href="https://www.dailymotion.com/video/xev7b7_s-e-c-bastia-claude-papi_sport">S(e)c Bastia - Claude Papi

C'est bien que les joueurs soient habillés avec leur equipement pour le repas

j'ai assité à un repas de ''club'' sans vouloir le citer
ca me faisiat bizarre que chacun ait une tenue differente
ca faisait pas pro du tout

AS Porto Vecchio / SC Bastia - Amical

https://www.dailymotion.com/video/xghg9h_as-porto-vecchio-sc-bastia-amical_sport#from=embed

bon galop d'entrainement AS Porto Vecchio //Sporting Club de Bastia (0-3)