LE NOYAU DUR

LE NOYAU DUR
LORSQUE L" ON MANGE UN FRUIT BIEN MUR DELICIEUX
en savourant la CHAIR ONCTUEUSE ON JETTE LE NOYAU DUR APRES





MAIS LOLO LUI GARDE LE NOYAU

Un «noyau» se dessine
Laurent Blanc a affirmé mercredi qu'«un noyau se dessine» chez les Bleus. A l'issue des trois derniers matches, certains y ont gagné leurs places.


Diaby, A. Diarra, Rami, Mexès : une partie du «noyau» Blanc.



Mercredi, en conférence de presse, Laurent Blanc a affirmé qu'«un noyau se dessine» actuellement en équipe de France. A l'issue des trois derniers matches, certains y ont gagné leurs places.

C'était le mot en vogue lors des dernières conférences de presse. «La» question qui revenait à l'envi à chaque rendez-vous entre Laurent Blanc et les médias : le sélectionneur avait-il trouvé son «noyau» ? Ce socle sur lequel bâtir les fondations d'une nouvelle équipe de France, affranchie des fers de Knysna ? Après France-Roumanie, le sélectionneur avait étrenné son sens de la métaphore : «au départ, cette équipe n'avait pas de noyau ni même un pépin de melon. Aujourd'hui, on peut dire qu'on a un noyau de cerise, en attendant la pêche ou l'abricot.» Mercredi, il est donc revenu sur les fruits de son labeur, encore loin d'être mûrs : «Il grossit, on l'arrose (rires). Tous les joueurs nous ont donné satisfaction dans le comportement. Certains ont eu la chance de plus jouer, donc d'être performants. Un noyau se dessine.»

«Noyau» de ce noyau, si l'on peut se permettre, le capitaine : depuis trois matches, Laurent Blanc a confié le brassard à son ancien milieu de terrain à Bordeaux, Alou Diarra, qui semble l'avoir trouvé pleinement à sa taille. «Il a marqué des points, parce que c'est un joueur qui en a envie, a déclaré le sélectionneur mercredi. Le fait de porter le brassard le réconforte et l'épanouit. Il fera certainement partie des deux ou trois dans la réflexion finale». Réflexion finale qui devrait, au plus tard, se poursuivre jusqu'à la fin des éliminatoires de l'Euro 2012. En défense, l'inviolabilité actuelle des Bleus (depuis trois matches) ne doit pas prêter à l'angélisme : si Hugo Lloris, titulaire de l'ère Blanc, ou encore le tandem Mexès - Rami bénéficient de la confiance du sélectionneur, les performances de Clichy et Sagna n'ont pas encore convaincu. Anthony Réveillère, sur les deux derniers matches, s'est positionné en candidat sérieux sur le flanc droit. Reste à voir ce que cette défense va opposer à des candidats tels que l'Angleterre (17 novembre) et le Brésil (9 février), en matches amicaux.

Au milieu de terrain, un Abou Diaby au sommet de sa forme paraît lui aussi indiscutable aux côtés d'Alou Diarra, quel que soit le système de jeu. Yoann Gourcuff a effectué un retour en Bleu tonitruant après sa suspension, avec deux buts et une passe décisive en trois jours, quand Samir Nasri reste une option sérieuse. En attaque, enfin, Karim Benzema a fait oublier son retard d'entrée de stage pour démontrer un dévouement à la cause bleue qui a payé (buteur face à la Bosnie et le Luxembourg). Mathieu Valbuena, Yann M'Vila, Dimitri Payet ou encore Loïc Rémy ont, eux, à chaque fois répondu présent. «Le problème, c'est que jusqu'au mois de mars, on n'a plus vraiment de travail ensemble, soupire Laurent Blanc. On va les observer en club, ce serait bien qu'ils soient titulaires, on aura peut-être plus de certitudes en mars».


OK LOLO CET HIVER TOI TU OBSERVES LE NOYAU
MOI JE REGARDE LES FRUITS ET LA VENDEUSE ......

Le sélectionneur de l'équipe de France, Laurent Blanc, dévoilera, le mercredi 10 novembre à 14 heures au siège de la Fédération française de football (FFF) à Paris, la liste des joueurs retenus pour affronter l'Angleterre en amical le mercredi 17 novembre à Wembley

presque surs

Gardien : Lloris ;mandanda ;carrasso
Défenseurs : Réveillère, Rami, Mexès, Clichy ;
Milieux de terrain : M'vila, A. Diarra (cap.)Valbuena, Nasri, Malouda ;Gourcuff
Attaquant : Benzema;remy ;payet

c'est deja le noyau dur

ce sera pratiquement les meme 23
que contre la roumanie









.

EQUIPE PROBABLE

1
LLORIS
(18 sél.)

12
ABIDAL
(50 sél.)
4
RAMI
(5 sél.)
5
MEXÈS
(18 sél.)
ou 3. SAKHO
(0 sél.)
13
RÉVEILLÈRE
(8 sél.)
15
MALOUDA
(61 sél., 5 buts)
17
M’VILA
(4 sél.)
18
A. DIARRA
8 (29 sél.)
GOURCUFF
(24 sél., 3 buts)
11
NASRI
(18 sél., 2 buts)
10
BENZEMA
(31 sél., 10 buts)



REMPLAÇANTS:
16. MANDANDA
23. CARRASSO
3. SAKHO
2. SAGNA
19. KABOUL
22. ClICHY
6. CABAYE
20. VALBUENA
14. PAYET
7. RÉMY
9. HOARAU
21. GAMEIRO

V ictioire de la france 2 a 1 but benzema et f gameiro

ce serait une belle perf de l'equipe à lolo

banjo a écrit: V ictioire de la france 2 a 1 but benzema et f gameiro

derbomber le 18 novembre à 18:50
heureusement que blanc passait par là pour sortir de l'ornière le bus et l' équipe de FR qui était dedans par la faute du chauffeur(un certain raymond D). Maintenant on est sur la bonne route,le GPS fonctionne, le plein est fait et la voie est dégagée.
Pourvu que cela dure


Titi vert 38 le 18 novembre à 18:41
Ca prouve une fois de plus que RD était vraiment mauvais ... Merci Laurent pour cette bonne prestation hier soir, surtout contre les Anglais !

LLORIS MEXES RAMI SAGNA
MVILA GOURCUFF RIBERY EVRA
BENZEMA NASRI

LE NOYAU DUR ..

Ils prennent de l'importance
Mis à jour le 08/10/2011 à 23:27

Laurent Blanc s'est dit satisfait des prestations de Samir Nasri, Yohan Cabaye et Loïc Rémy contre l'Albanie (3-0). Confirmation attendue mardi.
Samir Nasri a réussi 116 passes contre l'Albanie.
Nasri la rédemption ?
L'opération séduction lancée par Samir Nasri mercredi devant la presse, avait marqué une rupture avec l'attitude négative affichée lors des derniers rassemblements. La prestation livrée vendredi soir par le milieu de Manchester City à droite, puis dans l'axe, a confirmé qu'il semblait dans de bien meilleures dispositions. En plus de s'être arraché pour offrir à Loïc Rémy le second but tricolore, l'ancien Gunner a su allier prises de risques, disponibilité, jeu court/long. Et il n'a cette fois pas rechigné à défendre. L'avis de Laurent Blanc : «Il faut toujours dire la vérité aux joueurs. Au moins, ils savent ce que vous pensez. Cette semaine, il a été exemplaire et comme par hasard, il a fait un très bon match hier ( vendredi ). Il a cette faculté importante dans le foot actuel de pouvoir éliminer. Quand vous avez des gens qui techniquement vous rassure, résiste, dribble, donne la passe, c'est plus facile. On le savait capable de ça, il l'a montré. S'il pouvait enchaîner plusieurs fois, ce serait bien. On est toujours plus exigeant avec les gens doués. On attend énormément d'eux à chaque fois».

Cabaye la révélation


A Bucarest, le mois dernier, Yohan Cabaye faisait partie des joueurs qui avaient marqué des points dans l'esprit du sélectionneur. Sur sa lancée, le milieu de terrain de Newcastle a de nouveau montré qu'il se sentait de plus en plus à l'aise au sein de cette équipe de France. Même s'il a parfois semblé confondre vitesse et précipitation, l'ancien Lillois s'est montré particulièrement actif aussi bien dans le pressing que dans l'organisation du jeu tricolore. Seul bémol : sa sortie sur blessure à la 47e suite à un coup reçu sur la cheville. L'avis de Laurent Blanc : «Yohann est un train de devenir un joueur important. Il est très bon techniquement, intelligent dans ses déplacements, et intéressant dans le repli défensif. Est-ce qu'on pourra compter sur lui pour la Bosnie ? Je l'espère...»

Rémy la confirmation
De l'avis général, Loïc Rémy a pris une nouvelle dimension cette saison, que ce soit en club ou en sélection. Buteur en amical contre le Chili (1-1) au mois d'août, l'attaquant marseillais a récidivé vendredi soir, après avoir délivré une passe décisive à Florent Malouda. Son jeu de tête, sa vitesse, la qualité de ses appels et son efficacité en font un titulaire en puissance contre la sélection de Safet Susic. Atout non négligeable : il peut évoluer aussi bien à droite que dans l'axe. L'avis de Laurent Blanc : «Loïc a été très bon, mais quand il est aligné, ses prestations sont souvent satisfaisantes. Bon, il a eu un peu de déchets, mais c'est un garçon qui est en train de franchir un palier. Il est intéressant parce que sa vitesse pose problème aux défenses adverses. Il peut jouer à plusieurs postes. Il offre des solutions

Deschamps: "Il y a un noyau dur"

Didier Deschamps n'a pas souhaité livrer la composition de l'équipe qui va rencontrer l'Australie vendredi au Parc des princes. Le sélectionneur national avait sous-entendu cette semaine à Clairefontaine qu'il n'alignerait pas deux fois la même équipe lors des duels face à l'Australie et la Finlande, il a apporté cette précision: "J’ai la possibilité d'effectuer 6 changements et de donner du temps de jeu à plusieurs joueurs, ça entre dans ma réflexion. Ce ne seront pas deux équipes identiques mais il n'y aura pas 11 joueurs différents. Il y a un noyau dur à conserver."

Deschamps : «L'adversaire est là...»
A la veille du barrage aller entre l'Ukraine et la France, Didier Deschamps en a dit le moins possible sur ses intentions. «L'idée directrice, ce sera de ne pas débuter le match en pensant uniquement à défendre», a-t-il simplement déclaré, jeudi.










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Au jeu du qui en dira le moins, Mikhaïl Ivanovitch Fomenko pouvait difficilement être battu. Cela n’a pas empêché Hugo Lloris et Didier Deschamps de tenter tour à tour de soutenir la comparaison avec le sélectionneur ukrainien. A trois reprises, le portier des Bleus a été interrogé sur la différence entre le barrage qu’il avait disputé en 2009 face à l’Irlande et celui à venir face à l’Ukraine. Il a à chaque fois répété que «chaque match avait son histoire» et qu’il y avait eu «beaucoup de changements» au sein de l’effectif tricolore. Coutumier de la langue de bois, l’ancien Lyonnais était dans le registre auquel il nous a habitués depuis que sa présence aux conférences de presse de veille de match a été institutionnalisée. Dans le cas de Deschamps, c’est une première.

«Il y a plusieurs formules avec leurs avantages et leurs inconvénients»
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A la décharge du sélectionneur, il avait déjà fait passer l’essentiel de son message lundi lors du premier jour du rassemblement. Entre temps, ses joueurs se sont bien entraînés deux fois à huis clos - et même trois si l’on tient compte de la dernière séance effectuée jeudi soir au stade Olympique de Kiev -, mais si ce n’est pour dire que «ça s’est bien passé», le technicien n’a pas voulu s’aventurer sur le sujet. Il y aurait pourtant eu matière… Alors que son équipe a donné satisfaction en 4-2-3-1 lors de ses trois dernières rencontres, l’entraînement de mercredi a relancé l’hypothèse d’un 4-3-3 face à l’Ukraine. «Je n’ai pas envie de rentrer dans le détail, a-t-il évacué. L’adversaire est là et peut s’adapter à ce qu’on fera. Il y a plusieurs formules avec leurs avantages et leurs inconvénients. L’idée directrice, ce sera de ne pas débuter le match en pensant uniquement à défendre.»

«Si je l'avais estimé en méforme (Valbuena, ndlr), je ne l'aurais pas pris (...) S'il est là, c'est que je compte sur lui.» Relance de notre part : «Est-ce la méforme de Valbuena qui pourrait vous conduire à changer de système ?» Réponse du technicien : «Si je l’avais estimé en méforme, je ne l’aurais pas pris (…) S’il est là, c’est que je compte sur lui.» Pourquoi, alors, ne pas avoir profité de ces deux journées au calme pour travailler un seul système, d’autant que Deschamps avait affirmé dès l’annonce de sa liste avoir une idée précise du onze qu’il souhaitait voir débuter vendredi ? «Ça, vous n’êtes pas censé le savoir puisque c’était à huis clos (ironique).» Même si certains signes d’exaspération ont pu laisser penser le contraire, «il n’y pas à être tendu, a encore affirmé le technicien. Il y a un enjeu qui est là : la qualification pour la Coupe du monde. La première manche, c’est vendredi à 20h45. Avant, ça ne sert à rien d’imaginer. C’est à ce moment-là qu’il faudra être prêt.»

Deschamps a déjà coché une vingtaine de noms

Depuis que l'équipe de France a validé son billet pour la Coupe du monde, au prix d'un match retour plein contre l'Ukraine après sa défaite à Kiev, ils sont nombreux à rêver du Brésil. Didier Deschamps n'aura cependant droit qu'à 23 joueurs. Comment choisir ? "Mes choix répondront à une préoccupation: bâtir le groupe le plus apte à aller le plus loin possible. J'ai toujours dit que la porte n'était pas fermée. Mais pour qu'un joueur entre, il faut qu'un joueur sorte", répond le sélectionneur des Bleus, interrogé ce jeudi dans les colonnes de L'Equipe. Autant dire qu'il ne sera pas facile pour ceux qui n'étaient pas de l'aventure collective ces derniers mois de gagner leur place. Et qu'on devrait en savoir plus sur la liste possible en mars, à l'occasion du match amical contre les Pays-Bas. "J'ai une ligne et je m'y tiens, a précisé l'ancien entraîneur de Marseille. Ceux qui seront là auront une forte probabilité d'être au Brésil. J'ai dû faire beaucoup de changements, souvent contraint et forcé par les blessures, les suspensions. Un noyau existe. Pour une vingtaine d'entre eux, c'est clair. A condition que leur niveau de performance et leur temps de jeu en club soient satisfaisants. Il faut que les joueurs jouent mais pas trop dans l'idéal. La fraîcheur est un élément déterminant."