L" INFRANCHISSABLE MARC PLANUS

j'espere qu'il sera dans les 23 et qu'il sera titulaire à coté de GALLAS

Marc Planus n'a pas caché sa « surprise » ce mercredi. « J'étais chez mes parents, pour l'anniversaire de ma mère, au moment de l'annonce de la liste des trente joueurs, a expliqué le défenseur central bordelais sur le site officiel des Girondins. Cela a été un grand moment pour moi. »

Et comment il envisage la suite ? « J'ai déjà connu Raymond Domenech en équipe de France Espoirs, a-t-il rappelé

. Cela s'était bien passé. Je suis content de revenir. Même si c'est une présélection, ce sont toujours de bons moments. J'espère que cela se passera aussi bien qu'en Espoirs il y a quelques années. »


Marc Planus né le 7 mars 1982 à Bordeaux.
défenseur central. Taille 1m83


Champion de France de Ligue 1 : 2009 (Girondins de Bordeaux)
Vainqueur de la Coupe de la Ligue : 2007 et 2009 (Girondins de Bordeaux)
Vainqueur du Trophée des champions : 2008 et 2009 (Girondins de Bordeaux)


Formé au club des Girondins de Bordeaux, il participe à son premier match en Ligue 1 (ex-Division 1) le 9 novembre 2002, à l'occasion de la rencontre Girondins de Bordeaux - Stade rennais.

Devenu international espoir Français, il fait partie aujourd'hui des joueurs indiscutables de son club formateur grâce à ses tacles et ses interventions pleines de sang froid face aux attaquants adverses. Il a d'ailleurs remporté la Coupe de la Ligue 2007 en étant élu le meilleur joueur de la finale.

Depuis l'arrivée de Laurent Blanc au poste d'entraineur des Girondins de Bordeaux et plus encore depuis de départ de Souleymane Diawara à Marseille (été 2009), Marc Planus est devenu le défenseur central de référence de l'équipe. Son importance au sein de l'équipe est apparue lors de son absence d'un mois (consécutive à une entorse), en mars 2010, qui a vu la défense de Bordeaux devenir soudainement très friable.

Bordeaux
28 ans
0 sélection

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bienvenou a écrit:EN ESPERANT QUE POUR UNE FOIS ...APRES LES ERREURS ESCUDE RAYMOND LE GARDE DS LES 23





Planus : «Rien à perdre»
Le défenseur bordelais a accueilli sa présélection parmi les 30 joueurs retenus par Raymond Domenech avec «une joie immense, mais canalisée».

Le défenseur bordelais ne s'attendait pas du tout à être retenu par Raymond Domenech.
Le défenseur bordelais a accueilli sa présélection parmi les 30 joueurs retenus par Raymond Domenech avec «une joie immense, mais canalisée». «Ce n'est que du bonus», a-t-il poursuivi.

«Je suis très fier, c'est une agréable et belle surprise pour moi, dans la mesure où je n'avais pas été appelé avant». Retenu dans le groupe des trente présélectionnés pour la Coupe du Monde par Raymond Domenech mardi, Marc Planus s'est exprimé sur cette convocation, la première de sa carrière, mercredi soir au Haillan. «Je voulais être prêt physiquement au cas où on m'appellerait», a précisé le défenseur aquitain, qui a appris la nouvelle par la télé.

«Félicité» par Laurent Blanc et «chambré agréablement» par ses coéquipiers, lors d'un dîner collectif en ville, Planus, qui se sent «dans la peau de l'un des trente, tout simplement», a souhaité relativiser la situation. «J'ai toujours gardé l'équipe de France dans un coin de ma tête, et toujours espéré que mes performances avec Bordeaux et mon travail paieraient, a-t-il reconnu. C'est une récompense... Un petit pas, mais un pas symbolique pour moi.»

Sachant certains défenseurs un peu «plus supervisés» que d'autres, mais n'ayant pas eu connaissance de «fuites» sur la liste, le Bordelais, «encore plus motivé», s'est montré lucide. «Si l'on m'a pris dans les trente, c'est que l'on estime que mon jeu peut apporter quelque chose, a-t-il expliqué. Je sais que j'ai toujours eu un jeu un peu atypique pour un défenseur central, mais si ça peut être une solution, c'est avec grand plaisir». Soit un enthousiasme toujours modéré.

«Il y a dans le groupe des gens confirmés et habitués à l'équipe de France. Moi, j'arrive sur le tard, donc il faut prendre cela avec beaucoup de recul», a-t-il indiqué, en insistant bien sur le terme de «présélection». «L'euphorie, je l'aurais si je fais partie des vingt-trois. C'est une joie immense, mais canalisée, car certains ne feront pas partie du groupe. Je n'ai rien à perdre dans l'histoire, mais qu'à gagner. Ce n'est que du bonus pour moi.... La pression sera positive et en aucun cas négative. Je le prends comme ça.» -

Ce week-end, de nombreux joueurs de la liste des 30 étaient encore sur le pont
Marc Planus (Bordeaux) : Défait à Lens (3-4), Planus a été victime d'une contusion au genou droit qui l'a contraint à se faire remplacer à la 69e. Auparavant, il avait souffert face à Maoulida

il merite d'etre dans les 23

Retenu par Raymond Domenech dans la liste des 24 Bleus qui rejoindront Tignes mardi pour le stage de préparation à la Coupe du monde, Marc Planus a confié son «immense joie» au site officiel des Girondins de Bordeaux.

«Je suis vraiment fier, vraiment heureux, a poursuivi le défenseur central bordelais de vingt-huit ans. Il y avait un peu d'angoisse. A partir du moment où vous avez goûté à la liste des 30, vous avez très envie de vous retrouver dans les 23 ou 24 joueurs pour le stage de Tignes.»

« Je suis prêt »
Touché à un genou samedi à Lens (3-4, 38e j. de L1), Marc Planus s'est également montré très rassurant sur son état de santé. «Tout va bien, a-t-il assuré. Ce matin (lundi), j'ai pu m'entraîner normalement. J'ai également fait 40 minutes de vélo afin d'être prêt pour le stage.» Maintenant, Marc Planus veut passer à l'étape suivante: faire partie des 23 Bleus retenus pour la Coupe du monde. «C'est mon objectif, répond-il. Je serais encore plus comblé et heureux qu'aujourd'hui.»

Il s'est chauffé sans rentrer je crois

Marc Planus vit un rêve éveillé avec sa présence parmi les 23 Bleus pour le Mondial.
Planus : «Une grande fierté»




Marc Planus vit un rêve éveillé avec sa présence parmi les 23 Bleus pour le Mondial.
Assuré de faire partie des 23 joueurs qui disputeront la Coupe du monde, Marc Planus assure qu'il «prendra ce qu'il y a à prendre» de cette aventure. Qu'il joue... ou pas.

«Marc Planus, qu'avez-vous ressenti lorsque vous avez été certain de figurer dans la liste des 23 ?
Une joie immense. Je ne l'ai pas forcément montrée quand j'ai vu la liste des 30, puis celle des 24. J'attendais... Même si ça a été atténué par le fait que j'étais là depuis trois jours, que j'y avais pris goût et que je ne me voyais pas quitter le groupe, au fond de moi, ça a été une grande fierté. J'ai 28 ans, je ne suis pas certain de jouer une autre Coupe du monde dans ma carrière. C'est quelque chose d'important.

Même en sachant que vous ne partez que quatrième dans la hiérarchie des défenseurs centraux ?
Peu importe. Le but, c'est évidemment de jouer, mais tout ce que je sais, c'est que je suis heureux d'être là. Dans ce groupe, il y a de grands joueurs que j'ai adulés par le passé quand ils ont gagné la compétition, des grands joueurs que j'ai regardés à la télé. Aujourd'hui, j'en fais partie. Si je peux apporter quelque chose, je le ferai.


Le sélectionneur vous a-t-il expliqué pourquoi il vous avait préféré à d'autres joueurs comme Rami, Boumsong, Escudé...
Non ! Je suis assez timide et introverti donc ce n'est sûrement pas pour mettre l'ambiance (Rires). S'il m'a appelé, c'est qu'il a estimé que peut-être, à un moment donné, j'avais les compétences requises. Ma convocation a été un signe fort. Je n'ai pas eu besoin d'explications supplémentaires.

Avez-vous eu des garanties d'avoir du temps de jeu contre la Tunisie ou la Chine ?
Je ne me pose pas la question. Je me prépare juste à être prêt physiquement pour quand on fera appel à moi. Que ça arrive dans deux jours, dans dix jours ou dans trois semaines... Je serai juste heureux de prendre ce qu'il y a à prendre.


Après la montagne, la mer... Comment abordez-vous cette deuxième phase de préparation ?
Avec quelques degrés en plus ! (Rires) C'est différent. A Tignes, c'était très dur pendant une semaine. On a énormément travaillé physiquement pour que tout le monde arrive au même niveau. Certains avaient un peu moins joué en raison de blessures et j'en faisais partie. Ça nous a permis de resserrer le groupe, de remettre les choses à plat dès le départ. C'était un début de préparation dirigé dans le but d'être prêt du 11 juin au 11 juillet.

Vous parlez comme si vous étiez un ancien de la Maison. Avez senti à ce point qu'il y avait des choses à régler ?
Non, mais on sait qu'on est attendu au tournant. La phase de qualification a été accomplie dans la douleur. On a envie que ce groupe optimise ses qualités, que tout le monde se mette au service du collectif pour le tirer vers le haut. Ça a été une prise de conscience. On se l'est dit dès le départ.

Votre victoire contre le Costa Rica en est le résultat ?
J'ai vu un bon match de foot et des joueurs qui ont tout donné alors qu'ils étaient très éprouvés physiquement. Tout le monde a adhéré au projet proposé par le sélectionneur. Un 4-3-3, ça implique que les attaquants sur le côté défendent. Ils l'ont fait, ils se sont montrés disponibles et ils ont proposé de bonnes choses... Surtout, j'ai vu un engouement important dans cette équipe. C'était la première pierre à poser. Pour l'instant, les conditions sont bonnes pour répondre présent le 11 juin»

yes MARCO

on est maffrés
LASSANA PUIS GALLAS ET MAINTENANT PLANUS


Touché ce mercredi à l'entraînement à Saint-Pierre (La Réunion), Marc Planus souffre d'une «entorse moyenne à la cheville droite», a indiqué l'encadrement de l'équipe de France. Le défenseur central bordelais, qui a honoré sa première sélection face à la Tunisie (1-1) dimanche dernier
, devrait être forfait pour la dernière rencontre de préparation des Bleus face à la Chine vendredi (18h00) sur l'île de La Réunion

il jouera la derniere demi heure
ouffffffffffffffffff

Victime d'une entorse à la cheville droite mercredi lors d'une séance d'entraînement, Marc Planus sera finalement opérationnel pour affronter la Chine en amical vendredi (4 juin) selon Raymond Domenech : « C'est un petit truc, ce matin (jeudi) il va très bien, on va le ménager et il sera opérationnel (pour le match de vendredi) ».

La charnière centrale des Bleus en difficulté, le Bordelais Planus aura une carte à jouer aux yeux du sélectionneur pour ce troisième et dernier match de préparation en vue du Mondial sud-africain

Les 22 autres joueurs étaient en revanche bien présents sur le terrain d'entraînement du Pezula Resort, l'hôtel des Bleus.
Durant la séance, le défenseur Marc Planus s'est entraîné à part avec «ballon et footing», a indiqué l'encadrement des Bleus. Le Bordelais victime d'une entorse à la cheville droite, mercredi, mais figurait sur la feuille de match contre la Chine (0-1), vendredi

Bordeaux
Planus règle ses comptes

Après 21 ans passés à Bordeaux, Marc Planus envisage de finir sa carrière chez les Girondins, où il est sous contrat jusqu'en 2015. A 30 ans, le défenseur central a vu passer plusieurs entraîneurs dans son club et malgré des résultats en dents de scie cette saison, il apprécie Francis Gillot : «J'apprécie qu'il soit comme Laurent Blanc : ni dans l'euphorie, ni dans l'excès, explique Planus dans L'Equipe. Gueuler pour gueuler, cela ne fait peur à personne, dire "ce soir, il faut se mettre les tripes par terre", tout le monde peut le faire.»

«L'image du club en prendrait un sacré coup»

Tout le contraire, selon lui, de son prédécesseur Jean Tigana, avec qui il a connu une saison difficile en 2010-2011, saison également gâchée par de nombreuses blessures. Et là encore, Planus livre sa version : «Depuis la Coupe du monde (où il a fait partie du groupe, sans jouer, ndlr), c'est compliqué. Pour moi, tout est parti de la gestion de notre retour par le staff (avec Diarra, Carrasso,Gourcuff). Dès le premier jour et le dialogue avec Jean Tigana, on s'est demandé si la plus grosse galère n'était pas celle qui nous attendait... Si on devait raconter la saison 2010-2011, l'image du club en prendrait un sacré coup.» Désormais, Planus, qui dit vivre «une des meilleures périodes de sa carrière», compte tout donner pour son club de coeur. Et notamment dès samedi soir, à Brest