SPRINT FINAL DE LA COUPE DE FRANCE

Coupe de France. Déjà des centaines de personnes devant la billetterie
Rennes - 09h45

• Les premiers supporters étaient devant la billetterie dès minuit. | Twitter
  

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La billetterie grand public pour la finale de la Coupe de France ouvre ce vendredi, dès 12h, stade de la route de Lorient. Mais déjà des centaines de personnes font la queue.

Les billets seront vendus dans la limite d'un par personne et des places disponibles. Les billets proposés à la vente pour la finale au Stade de France vont de 25 € à 95 €. 
Dès minuit, les premiers supporters ont installé leur campement pour être certains de décrocher le précieux sésame.

Stade Rennais F.C.        ✔ @staderennais
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La file d'attente est longue pour l'ouverture à 12h de la billetterie Grand Public de la @CDF_Football. #MaFinaleSRFC
10:01 AM - 25 Avr 2014
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Erwan @LcErwan
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Prêt pour la nuit !!! Merci @staderennais stade pour votre magnifique gestion. #MaFinaleSRFC
12:05 AM - 25 Avr 2014
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Coupe de France. Il n'y a plus de place à Rennes !
Rennes - 25 Avril

• Tous les billets mis en vente par le Stade Rennais pour la finale de la coupe de France ont été vendus. | Ouest-France
  

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Les billets pour la finale de la coupe de France mis en vente par le Stade Rennais sont partis en moins de quatre heures.

Les billets pour le grand public ont tous été vendus ce vendredi à la billetterie du Stade Rennais. Certains aficionados n'ont pas hésité à s'installer aux abords du stade dès 22 h, hier soir, pour être sûr d'obtenir leur sésame.
Il faudra attendre lundi matin pour acheter une place. Rendez-vous à 7h exclusivement sur le site internet de la Fédération française de football, à raison de quatre billets maximum par acheteur

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Coupe de France. Le nouveau maillot du Stade Rennais pour la finale !
Rennes - 25 Avril - 0

Le nouveau maillot du Stade Rennais dévoilé par OuestFranceFR

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Le Stade Rennais a dévoilé son nouveau maillot pour la saison 2014-2015 qui sera inauguré pour la finale samedi prochain.

Ce vendredi, le Stade Rennais a dévoilé son nouveau maillot qu'il arborera pour la saison 2014-2015 et lors de la finale de la coupe de France. Finie la domination du rouge ; le noir retrouve de la couleur ! Un maillot proche de celui de la saison 2005-2006

André Lequin @AndLeq_
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Je le trouve classe ce nouveau maillot, en espérant qu'il porte chance pour la finale ! #SRFC #MaFinaleSRFC #SRFCEAG
3:52 PM - 25 Avr 2014 Lessay, Manche, France

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Coupe de France. Les billets en vente uniquement sur internet
Guingamp - 27 Avril

• Il ne sera pas utile de faire la queue pour acheter des billets pour la finale de la Coupe de France... | Ouest-France
  

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Les billets pour la Coupe de France du 3 mai, entre Rennes et Guingamp, seront en vente uniquement sur le site de la Fédération française de football.

Inutile de passer une partie de la nuit aux abords de la billetterie du stade du Roudourou à Guingamp, pour acheter des billets pour la Coupe de France du samedi 3 mai prochain, entre Rennes et En Avant.
C'est officiel : les billets seront en vente uniquement sur le site de la Fédération française de football, dès demain lundi 28 avril, à partir de 7 h. La vente est limitée à quatre billets par acheteur sur le site : www.fff.fr

850km à vélo à partir de Luchon pour soutenir Guingamp !

Publié le 28/04/2014 à 08:50

Insolite

/ Photo Twitter




Un jeune habitant de Bagnères-de-Luchon est parti samedi à midi pour rallier à vélo le Stade de France et soutenir l'En-Avant Guingamp en finale de la Coupe de France !
Julien Neumann, 23 ans, s'était lancé le pari de parcourir les 850km qui séparent la ville thermale des Pyrénées de Saint-Denis en cas de qualification de son équipe favorite.
«J'avais lancé ce pari dès le 16e de finale contre Concarneau. Maintenant que le club est en finale, il faut y aller ! », a déclaré le cycliste, peu de temps avant de prendre le départ, une semaine avant la finale prévue samedi prochain.
Originaire du Sud-Ouest, Julien Neumann a passé la majeure partie de ses vacances dans la ville des Côtes-d'Armor.
«J'y ai découvert une super-ambiance, avec un esprit de football de clocher. C'est très familial», a-t-il dit pour expliquer son amour de Guingamp.
En juillet dernier, Julien avait déjà effectué à vélo le trajet entre Luchon et Guingamp pour célébrer la montée du club en Ligue 1.
Cette fois, il sera accompagné de son père durant tout le parcours. «Si des gens veulent me suivre à vélo sur une ou plusieurs étapes, qu'ils n'hésitent pas à me rejoindre», a lancé le fringant supporter.
Samedi, 21 heures (France 2),
finale de la Coupe de France :
Rennes-Guingamp.

La finale à guichets fermés

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La finale de la Coupe de France mettant aux prises Rennes et Guingamp samedi prochain se disputera à guichets fermés. Les deux finalistes ont obtenu chacun un quota de 20 000 places

Rennes-Guingamp : deux villes, deux styles, une finale

Publié le 02/05/2014 à 03:51

COUPE DE FRANCE. Finale. Dans une opposition 100% bretonne, l'EAG affrontera son voisin un brin revanchard depuis 2009

Comme en 2009, alors qu'ils étaient en Ligue 2, les Guingampais espèrent l'emporter contre une équipe de Rennes qui n'a pas encore mathématiquement obtenu son maintien en championnat./ Photo AFP




Demain, en finale de la Coupe de France vont s'affronter deux clubs bretons. Les ruraux face aux citadins. Décryptage de cet affrontement pas comme les autres.
Les différences sont nombreuses entre Guingamp, deuxième plus petit budget de l'élite ancré dans un territoire rural, et Rennes, puissant club de la capitale bretonne. Les deux clubs s'affrontent de nouveau samedi en finale de la Coupe de France, cinq ans après leur dernière confrontation au Stade de France.
À l'ouest, Guingamp, bourg de 7.280 âmes au sein d'une agglomération de 22.000 habitants des Côtes d'Armor, le département breton le plus rural. Son club, l'En Avant, promu en Ligue 1 en 2013 possède un tout petit budget : seulement 22 millions d'euros.
À l'est, Rennes, capitale de la Bretagne, ville de 210.000 habitants au cœur d'une agglomération qui en fait le double. Son Stade Rennais, dans l'élite depuis 20 ans, aux structures bien plus développées, est la propriété du milliardaire François Pinault et possède un budget de 44 millions d'euros.
Depuis 2009, une rivalité nouvelle est née suite à la fameuse finale de Coupe de France, remportée par l'En Avant, alors en Ligue 2, face à Rennes (2-1).
De plus, cette même rivalité n'a cessé de s'accroître depuis la remontée de Guingamp en première division l'an passé.
«Paysans ? C'est du bluff»
Cette opposition entre ruraux et citadins repose aussi sur des réalités socio-économiques, soulignée par la banderole «Bienvenue en ville» par laquelle les Guingampais avaient été accueillis à Rennes lors de leur premier match dans l'élite.
Depuis, ils n'hésitent pas à chanter dans leur antre du Roudourou «les paysans sont de retour». Quitte à en jouer ?
«Guingamp n'est pas le club qui sort d'on ne sait où, si petit qu'on veut bien nous faire croire. Il est bien installé dans le foot français. Leur image de paysans ? Cela me fait sourire, c'est du bluff», lance le capitaine rennais Romain Danzé.
Si l'on en revient aux origines, Guingamp est une ville un peu bourgeoise malgré la proximité d'espaces vraiment ruraux.
Et, avant l'arrivée à la présidence de Bertrand Desplat (en 2011), l'En Avant ne misait pas autant sur son image très bretonne du club, de la ville et de la région centre Bretagne. «Cette Bretagne rurale qui veut vivre économiquement et se distinguer au sein de l'axe Rennes-Vannes-Nantes», explique Georges Cadiou, auteur de «La grande Bretagne du football».
«Pas de favori»
«Paysans ? Il faut savoir se moquer de nous-mêmes, en ce sens, c'est de la communication» explique Desplat.
«Mais on revendique cette appartenance à un territoire différent. Les joueurs n'en viennent pas forcément, mais quand ils arrivent, on les imprègne des valeurs du club, et d'un territoire authentique.»
De son côté, sur le plan sportif, le coach rennais, Philippe Montanier préfère passer outre.
Il explique : «C'est le quinzième contre le sixième du championnat, il n'y a pas de favori d'autant qu'une finale se joue sur un match.»
Si l'opposition est donc un poil caricaturale, les deux clubs sont bien différents. Les Rennais voudront de leur côté prendre leur revanche sur cette fameuse finale remportée à leurs dépens par les «paysans» alors pensionnaires de Ligue 2.
Quant aux Guingampais, ils auront pour objectif de rééditer leur performance majuscule de 2009, qui, du coup, les avaient propulsés en Ligue Europe, afin de s'adjuger à nouveau une Coupe de France qui leur tient à cœur alors que leur maintien en Ligue 1 n'est pas encore assuré.

Rennes-Montanier: "La fête de la Bretagne"








Le Stade Rennais en découdra avec son voisin breton, Guingamp, samedi, au stade de France, dans le cadre de la finale de la Coupe de France. "Il y aura une énorme ambiance. Ce sera la fête de la Bretagne. C'est quelque chose d'extraordinaire, a commenté Philippe Montanier, l'entraîneur rennais, sur le site officiel de son club. C'est banalisé, car il y a déjà eu il y a cinq ans la même finale. Ce sont deux clubs rivaux, mais il y a un grand respect entre les deux. Ce sera une belle fête du football. Il faudra assimiler l'ambiance puis l'éliminer, car la vérité sera sur le terrain".

Guingamp a tous les atouts
Plus petit budget de la L1, Guingamp semble pourtant être le favori de la finale de la Coupe de France 21h00) face à son voisin de Rennes. Voici pourquoi.

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Mathis (au fond) et Danzé ont disputé la finale 2009 qui a vu l'EAG gagner 2-1. (L'Equipe)




Guingamp est dans une bonne dynamique

Au fond du trou après sa défaite à Bordeaux en L1 (1-5), Guingamp a remporté un match capital pour le maintien contre Valenciennes (1-0). «C'était important de gagner avant la finale de Coupe, on va pouvoir se concentrer dessus et donner le maximum pour remporter ce titre», s’était alors réjoui Mustapha Yatabaré. Seizième avec quatre points d’avance sur la zone rouge, l’EAG s’est tourné sereinement vers le grand rendez-vous de sa saison. Un match à Saint-Denis que les Bretons se sont offerts en éliminant Monaco, le favori de la compétition, lors du tour précédent (3-1, a.p.)



L'EAG déroule contre Rennes

La dernière intersaison avait annoncé la couleur. Opposé à Rennes en amical début août, Guingamp avait bien résisté en obtenant le match nul (1-1). Mathis avait répondu à l’ouverture du score de Diallo. Lorsque les matches ont compté en Ligue 1, l’EAG a su hausser son niveau de jeu face à son voisin notamment grâce à un Yatabaré en réussite. Début octobre, les hommes de Jocelyn Gourvennec ont gagné 2-0 face à des Rouge et Noir réduits à dix après l’expulsion d’Oliveira. Même score lors du retour à la Route de Lorient début mars, malgré un début de match compliqué pour Guingamp. «C’est une équipe très forte sur les coups de pied arrêtés», prévient le Rennais Sylvain Armand.



2009 est encore frais

Il y a cinq ans, Guingamp battait Rennes en finale de la Coupe de France (2-1). Auteurs de l’ouverture du score grâce à Bocanegra, les Rouge et Noir avaient vu Eduardo égalisé puis mettre le but qui allait offrir le titre à l’EAG. Déjà présent à l’époque, Lionel Mathis est désormais le capitaine guingampais. L’ascendant psychologique des siens sur les équipiers de Romain Danzé, lui aussi sur le terrain en 2009, pourrait peser même si Philippe Montanier s'en défendait cette semaine : «Je ne pense pas qu’elle soit présente dans la tête des joueurs. Il y a juste Romain Danzé qui a vécu cela. Chez les supporters il y a certainement un esprit de revanche, mais pour les joueurs non». Avant de se raviser, un peu, dès vendredi : «Oui, ils ont quand même un ascendant psychologique. (...) Peut-être qu'ils se sentent en confiance.»

Revanche bretonne à Saint-Denis
Cinq après sa finale de Coupe de France perdue, Rennes vient prendre sa revanche au Stade de France samedi (21h00) face à une équipe de Guingamp qui lui tient la dragée haute cette saison.

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Romain Danzé avait perdu la finale de la Coupe de France en 2009 contre Lionel Mathis. (L'Equipe)




De l’eau a coulé sous les ponts bretons, en cinq ans. Mais dans les mémoires rennaises, elle n’a pas emporté avec elle le triste souvenir d’une finale promise et pourtant bel et bien perdue. 2009-2014, l’endroit sera le même, les couleur rouge et noir habilleront encore les travées et les joues des supporters, mais d’autres hommes joueront le duel. Et c’est tant mieux, assure l’entraîneur rennais Philippe Montanier. «Ces échecs, tous ne les ont pas vécus dans leur chair. Dont moi. Présenté comme ça, on ne peut pas faire pire. 43 ans pour Rennes sans gagner la Coupe, on ne peut pas faire pire, on ne peut que faire mieux. On connaît l’histoire du club, mais on ne l’a pas tous vécue.»  Dans ses rangs, seul son capitaine Romain Danzé a connu la blessure. Dans le camp d’en face, Lionel Mathis s'en rappelle, l’œil qui brille. Quelques mots lui suffisent. Une impression de grandeur, à l’image de l’enceinte : «Une joie immense, une énorme communion avec le public».



Gourvennec : «2009, c'était 2009...» Cinq ans après, donc, la revanche, et le retour de la Fest-Noz à Saint-Denis. Un événement, il n’y a pas d’autre mot. «Une telle affiche qui revient après cinq ans, avec deux clubs qui ne sont pas programmés pour une telle finale, c’est exceptionnel pour notre région. Que l’on soit guingampais, rennais, mais aussi morbihanais ou finistérien…, se félicite l’entraîneur de l’EAG Jocelyn Gourvennec. On a accompli un beau parcours jusqu’à présent, avec des matches pas faciles, notamment contre des équipes hiérarchiquement inférieures, puis un exploit à domicile contre Monaco pour s’offrir le Stade de France. Cette finale 100% breizh nous rend très heureux, mais cette effervescence n’est pas pour nous.» Derrière l’agitation des bannières bretonnes et la chaleur qui s’annonce dans l’enceinte dyonisienne, en effet, la froideur des chiffres : celle de deux équipes qui se tiennent au Championnat (15e et 16e) et qui n’ont pas assuré leur maintien.
 
Sans doute la pression est-elle plus forte dans le camp rennais. Parce que 2009, forcément, parce que 2013 aussi (la finale de la Coupe de la Ligue perdue contre Saint-Etienne), parce que plus rien depuis 1971 et la deuxième Coupe de France de son histoire. Et cette saison 2013-2014 qui n’a pas apporté la satisfaction espérée, dont le blason serait quelque peu redoré par une victoire samedi soir. Sans doute l’avantage psychologique est-il, par ricochet, plus visible dans le camp guingampais. Parce que deux victoires en Ligue 1 cette saison, parce que 2009, aussi. «Mais 2009, c’était 2009, objecte Jocelyn Gourvennec. Guingamp avait créé la surprise. Ce sont deux groupes différents. Il y aura peut-être un peu de crispation chez les Rennais.» Et chez leurs supporters, sûrement, un vif espoir que ce ne soit pas toujours la même eau qui coule.

Coupe de France: Guingamp-Rennes, l'heure de la revanche
03/05/2014 08:49
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Les joueurs de Guingamp écoutent les consignes de leur entraîneur Jocelyn Gourvennec, le 2 mai 2014 au Stade de France - AFP Franck Fife
Cinq ans après l'historique victoire de Guingamp face à Rennes en finale de la Coupe de France, les deux clubs se retrouvent au Stade de France pour une nouvelle opposition 100% bretonne, samedi (21h00).

9 mai 2009. Cette date reste gravée dans les mémoires des supporteurs rennais et guingampais, les premiers encore traumatisés d'avoir laissé échapper un trophée qui leur tendait les bras après avoir ouvert le score (1-2), les seconds jubilant toujours en souvenir du plus grand exploit d'En Avant, alors en L2.
Le Stade Rennais se retrouve donc face à son pire cauchemar et a une nouvelle occasion de remporter un titre majeur attendu depuis 1971 et sa deuxième Coupe de France.
"Le poids de l'attente ? On le sent depuis qu'on a battu Lille (en quarts): on n'avait pas encore disputé les demies que beaucoup de monde nous parlait de la finale et d'une éventuelle revanche", explique Sylvain Armand.
Rennes fait cependant profil bas, échaudé par 2009 et l'échec en finale de la Coupe de la Ligue 2013 contre Saint-Étienne (0-1).
A en croire Philippe Montanier, il n'aura même aucune pression, "au contraire": "On n'a rien à perdre car si on ne gagne pas on va continuer à dire que le Stade Rennais va en finale et ne gagne pas" a avancé l'entraîneur, comme pour évacuer la pression dont avaient "été victimes" les Rennais en 2009, selon leur président Frédéric de Saint-Sernin.
"Rien à perdre, c'est un grand mot. Mais on a plus à gagner car on rentrerait dans l'histoire du club. On prendrait une revanche sur tout", estime Armand.
- 'Complètement différent cette année' -
 
Même si Rennes n'a toujours pas assuré son maintien au bout d'une saison annoncée de transition avec l'arrivée sur le banc de Montanier, il arrive dans de meilleures dispositions qu'en 2009 et 2013 dans un Stade de France habillé de rouge et de noir, les couleurs des deux clubs.
En 2009 régnait un conflit larvé entre Guy Lacombe, qui allait quitter le club, et ses dirigeants; en 2013, Rennes se présentait à Saint-Denis privé de victoire depuis plus de deux mois. Et Frédéric Antonetti, qui s'apprêtait aussi à partir, avait présenté les Rennais comme "les tocards de la finale".
"En 2009 et en 2013 on arrivait en fin de cycle. Et le climat au sein du club n'était pas non plus très clair. C'est complètement différent cette année", témoigne le capitaine Romain Danzé, seul rescapé de la finale 2009 avec Lionel Mathis, son homologue de Guingamp.
En Avant, déjà finaliste de la Coupe de France en 1997, entretient aussi une histoire particulière avec cette compétition qui lui a d'abord permis de se faire connaître du grand public en 1972-73 lorsque le club, alors en 5e division, avait éliminé quatre équipes de D2 avant de chuter en 8e de finale.
Depuis cette épopée, qui avait inspiré au réalisateur Jean-Jacques Annaud le film "Coup de tête", Guingamp, aujourd'hui aussi à la lutte pour le maintien en L1, s'est installé dans le paysage professionnel français.
Vitrine d'un bourg des Côtes-d'Armor de 7.280 habitants, il est resté ce club à part qui lutte avec les plus gros budgets, comme Monaco, terrassé en demi-finale (3-1 a.p.). Les Rennais ont déjà payé pour le savoir.

Coupe de France. La Bretagne en route pour la finale [Direct]
France - 02 Mai
écouter

• C'est Sylvain Armand, et non pas Romain Danzé, qui s'est présenté à la conférence de presse avec Philippe Montanier. | Crédit photo : Jérôme Fouquet
  
• Romain Danzé et Lionel Mathis, les capitaines de Rennes et Guingamp. | Crédit photo : Ouest-France
  

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Ce samedi, le Stade Rennais affronte l'En Avant de Guingamp au Stade de France. Qui va remporter la Coupe ? Comment va se dérouler la fête ? Suivez cet événement en direct ! ROUGEmemoire @ROUGEmemoire
Pour revivre des moments comme celui-là un lendemain de succès, allez le Stade Rennais FC ! #SRFCEAG http://pbs.twimg.com/media/BmsZcqzIcAAFgqT.jpg

Temps parfait pour une finale de rêve !! #srfc #EnRoutePourLaFinale http://pbs.twimg.com/media/BmsN7JIIcAAL31Z.jpg



ToubibFR @ToubibFR
Va y avoir des vendeurs de crêpes au stades de france. #SRFCEAG http://pbs.twimg.com/media/BmsaDmuIEAEfOrR.jpg

Moment magique, convivial et très chaleureux hier soir à l'hôtel des Guingampais. Le staff de la JSF Nanterre (champion de France de Pro A de Basket) est venu saluer et échanger leurs homologues de l'EAG. Un grand moment entre deux très grands entraîneurs, Jocelyn Gourvennec et Pascal Donnadieu. Nanterre jouera sa finale de coupe le 11 mai. Allez Guingamp et Allez Nanterre !!

 
Pari gagné



Un grand coup de chapeau à Julien Neumann pour son pari gagné de rallier Luchon au Stade de France. Il a rejoint l'enceinte vendredi en fin d'après-midi.


La dernière étape de son périple : bit.ly

Julien Neumann à son arrivée au Stade de France

Bonjour et bienvenue dans ce direct. Bonne route à tous ceux qui vont rejoindre le Stade de France aujourd'hui.





Le Jollec Arnaud @arnaudlejollec


Maillot : Check. Écharpe : Check. Drapeau : Check Billets : Check... PARIS NOUS VOILÀ ! #srfc #MaFinaleSRFC #SRFCEAG http://pbs.twimg.com/media/BmryxT8IEAAvVH5.jpg

Jour J

COUPE DE FRANCE. Finale. Comme en 2009, Guingamp et Rennes se retrouvent ce soir pour en découdre à Saint-Denis.

En 1986, Thibault Giresse avait 5 ans et son père, Alain, gagnait la Coupe de France avec Bordeaux./Photo AFP




La Bretagne, ça vous gagne. Dès ce soir, au Stade de France (21h sur France 2), Rennes et Guingamp tenteront de se départager. Vengeance pour l'un. Encore pour l'autre.
Cinq ans après l'historique victoire de Guingamp face à Rennes en finale de la Coupe de France, les deux clubs se retrouvent au Stade de France et toute la Bretagne avec.
9 mai 2009. Cette date reste gravée dans les mémoires des supporters rennais et guingampais. Less premiers encore traumatisés d'avoir laissé échapper un trophée qui leur tendait les bras (1-2). Les seconds jubilant toujours en souvenir du plus grand exploit de l'En Avant, alors en Ligue 2.
Le Stade Rennais se retrouve donc face à son pire cauchemar et a une nouvelle occasion de remporter un titre majeur attendu depuis 1971 et sa deuxième Coupe de France.
Les Rennais minimisent la pression
«On n'avait pas encore disputé les demies que beaucoup de monde nous parlait de la finale et d'une éventuelle revanche», explique Sylvain Armand. Rennes fait profil bas, échaudé par 2009 et l'échec en finale de la Coupe de la Ligue 2013 contre Saint-Étienne (0-1).
À en croire Philippe Montanier, il n'aura même aucune pression, «au contraire» : «On n'a rien à perdre car si on ne gagne pas, on va continuer à dire que le Stade Rennais va en finale et ne gagne pas» a avancé l'entraîneur, comme pour évacuer la pression dont avaient «été victimes» les Rennais en 2009, selon leur président Frédéric de Saint-Sernin.
«Rien à perdre, c'est un grand mot. Mais on a plus à gagner car on rentrerait dans l'histoire du club. On prendrait une revanche sur tout», estime encore Armand.
Même si Rennes n'a toujours pas assuré son maintien au bout d'une saison annoncée de transition, il arrive dans de meilleures dispositions qu'en 2009 et 2013 dans un Stade de France habillé de rouge et de noir, les couleurs des deux clubs.
En 2009 régnait un conflit larvé entre Guy Lacombe, qui allait quitter le club, et ses dirigeants. En 2013, Rennes se présentait à Saint-Denis privé de victoire depuis plus de deux mois. Et Frédéric Antonetti, qui s'apprêtait aussi à partir, avait présenté les Rennais comme «les tocards de la finale». «À cette époque, le climat au sein du club n'était pas très clair. C'est complètement différent cette année», témoigne le capitaine Romain Danzé, seul rescapé de la finale 2009 avec Lionel Mathis, son homologue de Guingamp.
L'EAG en terre connue
En Avant, déjà finaliste de la Coupe de France en 1997, entretient aussi une histoire particulière avec cette compétition qui lui a d'abord permis de se faire connaître du grand public en 1972-73 lorsque le club, alors en 5e division, avait éliminé quatre équipes de D2 avant de chuter en 8e de finale.
Depuis cette épopée, Guingamp, aujourd'hui aussi à la lutte pour le maintien en Ligue 1, s'est installé dans le paysage professionnel français.
Vitrine d'un bourg des Côtes-d'Armor de 7.280 habitants, il est resté ce club à part qui lutte avec les plus gros budgets, comme Monaco, terrassé en demi-finale (3-1 a.p.). Les Rennais ont déjà payé pour le savoir.
> Équipes probables :
RENNES : Costil - Danzé (cap.), Kana-Biyik, Armand, S. Moreira - A. Doucouré, Konradsen, Makoun (ou Pajot) - Grosicki, Toivonen, Alessandrini.
GUINGAMP : Ma. Samassa - Martins-Pereira, Kerbrat, Sorbon, Lévêque - Beauvue, Mathis (cap.), Sankharé, Giresse - Mandanne (ou Alioui), Mu. Yatabaré

La fête pour l’EA Guingamp

Coupe de France
03/05/2014

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Dans cette finale de Coupe de France 100% bretonne, l’EA Guingamp s’est imposé face au Stade Rennais (2-0) grâce des buts de Martins Pereira et Yatabaré.
Stade Rennais FC
-
EA Guingamp
 : 0-2
Tout comme en 2009, cette finale de la 98^e édition de la Coupe de France opposait le Stade Rennais à l’En Avant de Guingamp. Après une première demi-heure mieux maîtrisée par les Guingampais, les hommes de Jocelyn Gourvennec ouvraient le score. Suite à une tête de Mandanne, Costil repoussait du poing. Martins Pereira reprenait en pleine course reprenait sans se poser de question et catapultait le bon au fond des filets (0-1, 37^e). A la pause, Philippe Montanier demandait certainement à ses joueurs de se rebeller, mais Guingamp doublait la mise après moins de deux minutes de jeu en seconde période. Sur un centre de Langil, Yatabaré, totalement délaissé, ne laissait aucune chance à Costil et marquait de la tête son huitième but dans la compétition (0-2, 46^e). Dix minutes plus tard, il fallait un exploit de Costil de nouveau devant Yatabaré pour éviter le pire aux Rennais (55^e).
Malgré les entrées conjuguées de NTep et Oliveira, les Rennais ne parvenaient pas à être dangereux comme sur ce tir de Oliveira (82^e) et une dernière frappe de Kana-Biyik captée par Samassa (90^e+2). Après quatre minutes d’arrêt de jeu, M. Chapron sifflait la fin du match et les Guingampais pouvaient laisser éclater leur joie. Ils représenteront la Bretagne la saison prochaine en UEFA Europa League.
Feuille de match :
Stade Rennais - EA Guingamp 0-2 (mi-temps : 0-1)
Buts :
EA Guingamp : Martins Pereira (36^e) et Yatabaré (46^e)
Les équipes :
Stade Rennais : Costil - Danzé (cap.), Kana-Biyik, Armand, S. Moreira - A. Doucouré, Konradsen (Oliveira 62e), Makoun (Pajot 68e) - Grosicki (Ntep 52e), Toivonen, Alessandrini
EA Guingamp : Ma. Samassa - Martins-Pereira, Kerbrat, Sorbon, Lévêque - Beauvue (Atik 83^e), Mathis (cap.), Sankharé, Langil (Giresse 79^e) - Mandanne (Diallo 69^e), Mu. Yatabaré

Coupe de France: et à la fin c'est Rennes qui perd...

Publié le 04/05/2014 à 07:13

Hier soir, Guingamp a battu le Stade Rennais (2-0) en finale comme en 2009

Yatabaré a inscrit son 8 e but de la compét' sur un centre de Langil./ AFP




Et de deux ! Hier soir, au Stade de France, Guingamp s'est joué de Rennes pour remporter la deuxième Coupe de France de son histoire, 5 ans après contre le même adversaire. Une 3e finale en revanche car l'EAG était arrivé jusque-là en 1997 mais Nice l'avait emporté 4 tirs au but à 3 (1-1 ap).
Hier soir, les hommes de Philippe Montanier n'ont quasiment jamais existé. D'entrée de jeu, les Guingampais ont mis le pied sur le ballon pour ne plus le lâcher.
Dans la première demi-heure, Yatabaré est la clé de l'animation offensive. Toutes les actions passent par lui et Langil, préféré à Giresse dans le onze de départ, qui ne cesse de centrer. Mais l'attaquant franco malien est bien cerné par Kana-Biyik et Armand. Puis Costil anticipe bien ses derniers mouvements.
Rennes n'arrive pas à évoluer plus haut ni mettre de rythme dans le jeu. Les joueurs manquent cruellement de confiance et ne se projettent pas vers l'avant. Pire, ils font preuve d'une fébrilité évidente dans la conservation comme la récupération du ballon.
Pereira lance le sprint
Romain Alessandrini est le seul Rennais à tenter des choses, des débordements notamment. Mais il se fait rapidement reprendre par le bloc guingampais. Puis ce qui devait arriver arriva. À force de passer par les côtés et de centrer, l'EAG concrétise par Martins Pereira d'un extérieur du pied droit, alors que Costil venait de repousser une tête de Mandanne (0-1, 37e).
Déterminés à tuer le match rapidement avant la mi-temps, les Guingampais confirment leur intention quasi instantanément après le retour des vestiaires. Langil, encore lui, distille un centre millimétré pour Yatabaré qui, bien seul dans la surface, trompe Costil d'une tête piquée (0-2, 46e). L'attaquant devient ainsi le meilleur buteur de la compétition avec 8 réalisations. Philippe Montanier tente le tout pour le tout et procède à trois changements offensifs mais pas mis en danger malgré cela, Jocelyn Gourvennec produit l'effet inverse en cadenassant son milieu de terrain avec les entrées de Diallo, Atik et Giresse (qui imite son père 28 ans après). Au coup de sifflet final, L'EAG exulte. Rennes n'aura finalement jamais battu Guingamp cette année. Ni en championnat, ni en Coupe.
Fiche
Rennes 0 - Guingamp 2
MT : 0-1. Stade de France, 80.000 spectateurs. Arbitre : M. Tony CHAPRON.
Pour Guingamp : Martins Pereira (37), Yatabaré (46).
RENNES : Costil - Danzé (cap.), Kana-Biyik, Armand, Moreira - Doucouré, Konradsen (Oliveira, 62), Makoun (Pajot, 68) - Grosicki (Ntep, 52), Toivonen, Alessandrini.
Entraîneur : Philippe MONTANIER.
GUINGAMP : Samassa - Martins Pereira, Kerbrat, Sorbon, Lévèque - Beauvue (Atik, 84), Sankharé, Mathis (cap.), Langil (Giresse, 79) - Mandanne (Diallo, 69), Yatabaré.
Entraîneur : Jocelyn GOURVENNEC.