COMBIEN COUTE UN STADE DE LIGUE 1

VOILA PLANS PHOTOS COUTS
TOUT SERA ICI

Nom: Grand stade de Nice(Possible naming)
Club:OGC Nice
Inauguration:Novembre 2007
Capacité: 32 500 Places.
Prix: 90 Millions d'Euros

Implanté à Saint-Isidoire, le projet porte sur un stade en forme d?ellipse, de type «chaudron», avec des tribunes entièrement couvertes d?un velum incurvé. Il disposera d?une capacité de de 32 600 places.
Au total, 36 loges seront aménagées dans les tribunes d'honneur et de prestige. Quant à la tribune SUD, elle sera conçue d'un seul tenant, avec les premiers gradins à 1,50m de la pelouse. Parmi les autres équipements de ce futur grand stade figurent également 6.000 m2 de bureaux et commerces, plusieurs terrains annexes et un parking de 2.200 places. Un centre de formation est également prévu.
A noter par ailleurs que le projet s?inscrit dans le cadre d?une démarche HQE. 4.000 mètres carrés de panneaux photovoltaïques seront ainsi installés en véranda, permettant au stade de produire sa propre énergie électrique !
D?un montant de 90 millions d?euros, le projet sera financé à hauteur de 20 millions d?euros par la ville de Nice, le solde étant financé par le biais de prêts bancaires par le groupe de BTP. D?une durée de 16 mois, les travaux devraient débuter dès cet été pour une livraison prévue fin 2007








CELUI LA 90 M€...

60000 € C'EST CADEAU



Bollaert va changer de propriétaire

Propriétaire du Stade Félix-Bollaert depuis 2000, la ville de Lens entame ce samedi 8 janvier, en une première réunion préparatoire, une opération désengagement au profit d'un Groupement d'Intérêt Public (GIP) qui regroupe le département du Pas-de-Calais, la région Nord-Pas-de-Calais et la Communauté d'Agglomérations. Ce GIP devrait donc devenir, dès l'automne 2011, propriétaire du stade. «Seule, la ville ne serait pas en mesure de s'opposer à une OPA extérieure et agressive», s'est justifié le maire PS de la ville Guy Delcourt, qui ajoute par ailleurs : «Seulement 10 % des spectateurs du stade Bollaert viennent de Lens !» Depuis 2000, la ville de Lens louait le stade au Racing pour la somme «cadeau», dixit M. Delcourt, de 400.000 francs (à l'époque, soit environ 60.000 euros) par an

PELOUSE HORS D ETAT

Garcia : «Ca devient impossible»




L'entraîneur du LOSC, Rudi Garcia, met la pression sur sa direction pour que la pelouse du Stadium soit changée. (EQ)
Seul bémol dans la satisfaction d'ensemble après la victoire des Dogues, dimanche, contre Toulouse (2-0) : l'état de la pelouse du Stadium, jugé très préoccupant par Rudi Garcia et ses joueurs.

«La délivrance est venue tard mais elle est venue tout de même», savoure Rudi Garcia, conscient que ses joueurs supportent la pression et un statut de plus en plus assumé : «On a toujours été dans la position du chasseur avant. Cette saison, nous sommes dans la position du chassé. On sait que la pression est sur ceux qui chassent. C'est difficile de rattraper ceux qui sont devant. Personne n'a repris de points.» Dimanche dernier, les Dogues avaient pourtant été freinés dans leur élan à Auxerre (1-1). «Tout le monde pensait qu'il s'agissait peut-être d'un signe d'un coup de moins bien. Là, on a montré qu'on était bien présent.»«On disait qu'on baissait physiquement et qu'on gagnait à l'arraché», ajoute Florent Balmont. «Ça ne nous a pas dérangé mais il est dommage qu'on veuille un peu nous déstabiliser.» Quant à Mickaël Landreau, il a rendu une copie vierge pour sa 500e sortie en Ligue 1 : «On était sous pression. Le Championnat est long, on le répète. Il reste énormément de points à prendre. En deux matches, cinq points peuvent s'effacer.»

Seul bémol de taille dans l'enthouasime ambiant : l'état de la pelouse, qui ne s'est pas amélioré en dépit des dix jours écoulés depuis la réception de Nantes en Coupe de France. Alors que se profilent la réception du PSV Eindhoven en Europa Ligue puis les venues rapprochées de Lyon et Lorient (en Coupe de France), Rudi Garcia estime qu'il est urgent d'agir. Et peut-être de changer, pour la première fois depuis 1976 et l'inauguration du Stadium, l'aire de jeu

. Mais lavec la multiplication des matches,
la fenêtre de tir est étroite,
le coût important (entre 120 000 et 150 000 euros),
tandis que le Stadium appartient à LMCU, la communauté urbaine de Lille.

«Il devient impossible de jouer plusieurs rencontres d'affilée sur une telle surface. On va se poser le problème. Où ça s'améliore, ou on la changera», tonne le technicien nordiste. «Je profite qu'on ait gagné pour mettre l'accent là-dessus.» D'autant que l'état du terrain rend moins efficace le jeu vif et technique des Lillois. Sans parler de la fatigue engendrée par sa lourdeur : «Franchement, si on pouvait la changer, ce serait bien ! », confirme Florent Balmont. «On s'en sort bien mais on fait le maximum. Des fois, au lieu de faire une touche de balle, il faut contrôler. On pensait avec dix jours sans jouer que ce serait mieux mais c'est pire. Pourtant, ils (les jardiniers, NDLR) font le maximum»

L1 - 24e j.
Pas de nouvelle pelouse à Lille

La nouvelle pelouse du Stadium, initialement prévue pour la venue de Lyon le 27 février prochain, lors de la 25e journée de L1, ne verra finalement pas le jour en raison des mauvaises conditions météorologiques annoncées pour les prochains jours. «C'est bien dommage qu'on ne ne puisse pas la changer», a commenté l'entraîneur Rudi Garcia. «Ca aurait été mieux», a de son côté confirmé le défenseur Mathieu Debuchy.

Il devrait y avoir une nouvelle fenêtre pour changer la pelouse après Lorient, le 2 mars prochain, pour un coût de 120 à 150 000 euros. S'il n'a plus qu'une saison à jouer au Stadium avant de déménager dans son nouveau stade, le Losc pense tout de même à l'installation d'un système de chauffage en fin de saison, pour plus «de 400 000 euros».

TOTZL 600 000 C'est tres cher pour de la pelouse

1 mars 2011
La pelouse sera changée
La pelouse du Stadium Nord sera changée dès jeudi, au lendemain de la venue de Lorient en Coupe de France. Coût de l'opération : 150 000 euros.




Rudi Garcia s'est plaint de la pelouse du Stadium, après la victoire contre Toulouse.
Les joueurs lillois ont finalement été entendus. Après une longue attente, ces derniers vont pouvoir terminer la saison sur une nouvelle pelouse.

En mauvais état depuis plusieurs semaines, la pelouse du Stadium Nord va finalement être changée. L'opération, qui durera une semaine, débutera jeudi, au lendemain de la réception de Lorient en quart de finale de la Coupe de France. «Ça ne s'était pas fait après la réception de Toulouse en raison des conditions climatiques», explique Frédéric Paquet, le directeur général du LOSC. Cette fois, «la fenêtre météo» semble propice au changement de l'aire de jeu des Dogues, dont le jeu technique et léché a pâti ces dernières semaines des multiples mottes de terre et d'un sol devenu meuble.

«Dès jeudi, on décaisse, ajoute Frédéric Paquet. On va mettre un plaquage, enlever la pelouse et les racines. On posera les rouleaux à partir de lundi. Cet été, on procédera également à un changement total avec celui du substrat.» Coût des opérations successives : environ 150 000 euros et entre 400 000 et 450 000 euros lors de la prochaine intersaison. «On s'est mis d'accord avec LMCU (la communauté urbaine de Lille, propriétaire du Stadium Nord) pour prendre les frais en charge à 100 %.» -

Lille - Lorient : Terrain miné !
Si le match de Championnat avait offert un véritable spectacle (6-3), le Lille-Lorient de mercredi en Coupe, apparaît nettement moins alléchant




Le dernier Lille-Lorient en Championnat s'était soldé par un score fleuve : 6-3.
Si le match de Championnat avait offert un véritable spectacle, le Lille-Lorient de mercredi en Coupe, apparaît nettement moins alléchant. La faute à la pelouse de Villeneuve-d'Ascq.

L'affiche sur le papier a de quoi faire saliver tous les amoureux du football. Lille - Lorient ou le rendez-vous numéro 2 entre des équipes connues pour leur qualité de jeu et dont l'opposition en Championnat avait accouché d'un 6-3 en décembre dernier. Mais le scénario du match de mercredi, en quart de finale de la Coupe de France, pourrait bien être totalement différent. La faute à la pelouse du Stadium Nord de Villeneuve-d'Ascq, dans un état catastrophique depuis plusieurs semaines.

Si les Lillois ne cachent plus leur impatience de la voir être remplacée rapidement, Gourcuff sait qu'elle ne devrait pas augmenter les chances de son équipe déjà «largement outsider», avant le coup d'envoi : «Ce sera compliqué pour nous étant donné nos caractéristiques. Sur un terrain comme celui-là, le jeu de passes est considérablement réduit. C'est certainement aussi handicapant pour Lille, mais par rapport à nous, ils ont un peu plus d'arguments de vitesse et de vivacité qui seront primordiaux sur une pelouse comme celle-ci. Il va falloir s'adapter intelligemment, car nous ne pourrons pas changer de philosophie de jeu du jour au lendemain», explique l'entraîneur des Merlus, qui espère néanmoins que «faire quelques passes sera possible.»Lille-Lorient est également l'occasion pour le technicien breton de revenir sur les critiques dont le synthétique lorientais avait fait l'objet en début de saison : «On a beaucoup parlé de notre synthétique au mois d'août quand il y avait de belles pelouses, mais le vrai problème se pose maintenant. Dans le cas d'un club comme Rennes où la pelouse est impeccable, il n'y a pas de souci. Mais quand ce n'est pas le cas, le synthétique est une vraie solution. Depuis le début de l'année, on voit du beau football à Lorient

Football
Le stade Louis-II s’est mis à jour.Publié le lundi 11 avril 2011 à 08H54
Le Louis-II et ses 18 600 places peuvent se tourner vers l’organisation d’une compétition internationale avec un rêve : faire partie d’une manière ou d’une autre, de l’aventure Euro 2016.


Un rafraîchissement. Ou plutôt une mise à jour. Inaugurée le 25 janvier 1985, l’enceinte monégasque s’est offert des retouches qui ont conduit la LFP (Ligue de Football Professionnel) et la FFF (Fédération Française de Football) à la reclasser au mois de février, pour dix ans, dans la famille des stades de première catégorie.

Certains aménagements requis rejoignaient les « exigences » ou « recommandations » faites par l’UEFA, l’instance du foot européen avec qui Monaco travaille en étroite collaboration depuis 1998 dans le cadre de l’organisation de la Supercoupe d’Europe.

Des contrôles d’accès électroniques pour le meeting Herculis

Etalés dans le temps (depuis 2007) pour ne pas gêner l’activité du Stade, ces travaux, d’un coût d’environ 3M€, ont surtout consisté à apporter davantage de confort aux utilisateurs dans le cadre des matches de football. Pour les joueurs d’abord, avec la climatisation de la zone « foot pro » et l’agrandissement du vestiaire visiteurs.

Pour les médias, aussi. Le centre de presse (600 m²) a été rénové, une plateforme télévisée, créée. Le système de vidéo-surveillance a par ailleurs été remplacé et étendu. Il permet aujourd’hui une vue de l’ensemble des infrastructures et de la périphérie du stade. Enfin, les spectateurs, qui profitent depuis plus de deux ans de deux écrans géants, ont également vu le niveau des grilles de sécurité s’abaisser.

Et puis, finis les tourniquets et place aux bornes électroniques aux différents contrôles d’accès. Cette modernisation - qui n’impliquera pas de modification du nombre de contrôleurs - devrait bientôt être effective et sera testée à l’occasion du prochain Meeting Herculis, le 22 juillet.

Le rêve Euro 2016

« De cette manière, le stade ne vieillit pas mais grandit avec son temps, explique Marie-Cécile Moreno, directeur du stade Louis-II qui aura été le maître d’œuvre des travaux. Il n’était pas concevable de garder une enceinte de niveau 2, obsolète. L’idée, c’est aussi d’ouvrir des perspectives, de gagner en visibilité. Pourquoi ne pas accueillir une grande manifestation internationale ? Toutes ces modifications nous permettent de regarder vers l’avant ».
Et l’avenir, donc. Aujourd’hui, le Louis-II et ses 18 600 places peuvent se tourner vers l’organisation d’une compétition internationale de jeunes, par exemple.

Il a aussi un rêve : faire partie d’une manière ou d’une autre, de l’aventure Euro 2016

Mauvais cru pour les affluences

Selon les chiffres - non définitifs - fournis par la LFP, la moyenne des affluences dans les stades de Ligue 1 s'établit cette saison à 19742 spectateurs par match, soit la pire fréquentation depuis... 13 ans (19720 en 1998-1999). La moyenne repasse sous la barre des 20 000 spectateurs pour la première fois depuis la saison 2002-2003, année du retour à 20 clubs (19788). La meilleure affluence a été réalisée au stade Vélodrome lors de la première journée avec 55790 spectateurs pour OM-Caen (1-2).

Marseille reste leader des affluences à domicile (51081), devant Lyon (35266), Lens (31452), Paris (29317) et Saint-Étienne (25096). L'OM demeure également l'équipe la plus attractive dans l'Hexagone avec la première moyenne à l'extérieur (23835), devant l'OL (21886). Lille est pour sa part le premier club sur le critère du taux de remplissage à domicile. Les tribunes du stadium Nord (18000 places) ont été garnies à plus de 90% cette saison. Le champion précède Brest, Lorient et Lyon.

Dans un premier commentaire non officiel, on avance à la Ligue une explication liée à la fois aux effets de la crise économique, à la présence de clubs moins attractifs et/ou aux capacités d'accueil limitées (Arles-Avignon), et à l'actualité de la saison comme le plan sécurité au Parc des Princes (l'affluence à Paris est en baisse de 11% par rapport à la saison dernière). La relégation de Lens (3e public de France) est une mauvaise nouvelle pour la moyenne de la saison prochaine. De même que les travaux au Vélodrome qui vont réduire la capacité du premier stade de L1 de 59000 à 42000 places. Un seul nouveau stade, Nungesser II à Valenciennes, sera opérationnel en 2011-2012 (25000 places). La non-accession du Mans privera à l'inverse la L1 du MMArena, inauguré en janvier dernier (25000 places). Des trois promus - Evian, Ajaccio et Dijon - seul le dernier nommé dispose d'un stade de plus de 15000 places. Vivement 2012 : Lille jouera dans un stade de 50000 places et le PSG pourrait évoluer au Stade de France pendant les travaux au Parc...

Valenciennes inaugure son nouveau stade mardi prochain.



Francis Decourrière espère que Nungesser II sera un «enfer du Nord» pour les équipes visiteuses.
Après Le Mans (janvier 2011) et avant Le Havre (mai 2012), Valenciennes inaugure son nouveau stade mardi prochain. Avec une longueur d'avance sur les grandes enceintes de l'Euro.

«Il reste des bricoles, des gravats à nettoyer, un peu de mobilier à poser, tout sera fini vendredi.» Michel Fasquelle voit enfin le bout du chantier du stade du Hainaut qu'il a coordonné pendant trois ans. Lui-même réside dans l'agglomération de Valenciennes et contribue au financement de cette enceinte de 25 000 places dont la facture s'élève à 75 millions d'euros, entièrement à la charge de la communauté de communes et du Conseil régional. En mai dernier, le magazine Capital a calculé que le stade revient à 525 euros par foyer, l'une des additions fiscales les plus lourdes des nouveaux temples du sport. «Je donne mes 500 euros sans rechigner, réagit l'homme au casque jaune. C'est un stade construit pour 80 ans dans une région qui a beaucoup souffert de la fermeture des mines, de la sidérurgie et du textile. S'il peut donner un peu de plaisir aux gens...»

Il y a déjà un certain bonheur visuel à découvrir dans l'hypercentre cet écrin multifonction semi-enterré, "chaudron" rouge habillé d'écailles en inox, un «enfer du Nord» pour les équipes visiteuses espère Francis Decourrière, le président du club. «Un changement d'époque, une deuxième naissance pour le VAFC», prolonge Alain Dhée, le directeur général qui nous a ouvert son livre de comptes. Le club versera chaque année un loyer de 1,5 millions d'euros à l'agglomération qui percevra également 0,5 million des autres activités, «ce qui remboursera la mise de l'agglomération en vingt-cinq ans», glisse-t-il en contrepoint au chiffrage de Capital. Parallèlement, VA prévoit de doubler ses recettes "match day" (de 2,5 à 5 millions d'euros) et de doper le sponsoring (de 6 à 10 millions). Les 16 loges VIP, une nouveauté à Valenciennes, ont déjà trouvé preneurs. Le stade, le plus moderne de L1, devrait aussi aimanter davantage les diffuseurs et faire ainsi grimper les droits TV. Le match inaugural, mardi contre Dortmund, et la première sortie en Championnat contre Brest seront diffusés par Orange TV.

Les "petits" comme le Hainaut ont une longueur d'avance sur les quatre grands stades neufs format Euro 2016, Lille, Nice, Lyon et Bordeaux. Après le MMArena du Mans et Valenciennes, le prochain stade nouvelle génération à sortir de terre sera celui du Havre en mai prochain. Même capacité qu'à Valenciennes, même financement public (80 millions + 40 millions d'accès) et même concepteur, le cabinet Scau, qui compte le Stade de France parmi ses références (photo HAC). Viendra ensuite le grand stade Lille Métropole. La pose du toit prend du retard mais la livraison des 50 186 places est toujours programmées pour le début de la saison 2012-2013. Si les calendriers sont respectés, suivront Nice Stadium (35 624 places, début des travaux en août, livraison en juin 2013), le Stade des Lumières de Lyon (61 556 places, fin des enquêtes publiques en octobre, livraison sans doute différée à l'été 2014) et enfin Bordeaux, qui a choisi son stade en début de semaine (43 500 places, 185 millions en valeur 2015, année prévue de sa livraison). Hormis Lyon, les grands stades sont financés via des partenariats public privé (PPP), le constructeur (Eiffage ou Vinci selon les cas) se remboursant sur 30 ans d'exploitation. Ce qui rend incertain leur coût réel final. - J. LB.

27 juillet 2011
Vinci bâtira les Lumières
Lyon annonce son choix de Vinci pour construire son stade des Lumières. Permis de construire espéré l'an prochain.



Le site du futur stade de Lyon.
L'Olympique lyonnais a annoncé mardi le choix du constructeur du Grand Stade de Lyon. Il s'agit du géant du BTP Vinci, déjà concessionnaire du Stade de France et des stades de Bordeaux, Le Mans et Nice, dont il est aussi concepteur-constructeur. A Lyon, il ne sera pas concessionnaire mais pourrait devenir coproriétaire du futur Stade des Lumières, jusqu'à hauteur de 49%.

Cette annonce intervient alors que le projet porté par Jean-Michel Aulas est encore tributaire des oppositions locales. Le dossier a toutefois accéléré depuis la déclaration d'intérêt général prise en mai. Les enquêtes publiques visant à valider le nouveau plan local d'urbanisme viennent ainsi de s'achever et, sauf nouvel accident de parcours, le permis de contruire sera déposé «fin 2011-début 2012» pour une livraison prévisible au deuxième trimestre 2014.


L'accord OL-Vinci est dit "privé-privé", en opposition aux partenariats public-privé (PPP) à l'oeuvre pour Bordeaux, Nice ou encore Lille (Eiffage), dans lesquels le constructeur est également concessionnaire du stade, en général pour une durée de trente ans. L'OL et Vinci se donnent environ six mois pour négocier le contrat de construction du stade de 60.000 places, retenu parmi les onze enceintes qui accueilleront l'Euro 2016. La prise de participation de Vinci dans la société foncière propriétaire du stade sera précisée ultérieurement. Le montant du projet devrait s'élever à 381 millions d'euros hors taxes, un chiffre qui ne tient pas compte des hôtels, du centre de loisirs et des immeubles de bureaux prévus dans le projet et qui feront l'objet d'autres investissements privés selon le club. Le total devrait représenter un montant global de 450 millions d'euros hors taxes, la collectivité prenant en charge les accès au stade pour 180 millions d'euros.

L1 - PSG
Trop exigu, le Parc ?
Le 28/12/2011 Le PSG travaille à la rénovation du Parc des Princes, sans exclure un déménagement définitif. Réponse en juin au plus tard.


Depuis 1974, le PSG a joué 865 matches officiels sur la pelouse du Parc des Princes.
La déjà très dense actualité du Paris-SG qatarien - signature imminente de Carlo Ancelotti , arrivées de David Beckham et d'autres stars (Pato ? Kaka ? Malouda ?) - s'enrichit d'un nouveau chapitre autour de l'avenir du club au Parc des Princes. Selon nos informations, le PSG, qui planche actuellement sur un plan de rénovation de son enceinte historique (il y joue depuis 1974), n'exclut plus de quitter le XVIe arrondissement pour mettre cap au Nord, au Stade de France, voire construire son propre stade. Ce qui était a priori écarté en novembre par Nasser Al-Khelaïfi, le président du PSG (« Le Parc des Princes a toujours été et restera la plus belle maison du PSG »), ne paraît plus désormais inenvisageable. La déclaration de Leonardo, le directeur sportif du club, estimant la semaine dernière dans la Repubblica que le PSG évolue « dans un stade vieux et inadapté » repose la question : après la parenthèse des travaux prévus entre 2013 et 2015, le PSG, qui aura émigré au SDF pendant cette période, reviendra-t-il jouer dans sa « maison » ?

47 000 sièges maximum
Moins spacieux que les futurs stades de ses rivaux (Lille, Lyon et Marseille pourront accueillir entre 48 000 et 62 000 spectateurs), le Parc des Princes, même rénové, ne pourra pas contenir plus de 47 000 sièges, loin des 78 000 du Stade de France. « Le club décidera au mois de juin s'il reste au Parc , explique un acteur du dossier. Les travaux ne seront engagés que si le PSG s'engage à demeurer le club résident. » Avant cette échéance, en mars, le club aura remis à la Ville de Paris, propriétaire du stade, son projet de rénovation. En avril, ou plus sûrement en juin, le Conseil de Paris devrait se prononcer sur le bail emphytéotique adminsitratif (BEA) de 60 ans pour lequel Colony Capital (actionnaire à 29% du PSG) et Vinci sont associés et seuls en lice. « Le casse-tête du Parc »,

Ancelotti mercredi chez Delanoë
Le 09/01/2012 à 10:50

Bertrand Delanoë, le maire (PS) de Paris, a inscrit à son agenda de la semaine le déjeuner qu'il offre tous les ans aux équipes masculine et féminine du Paris-SG. Le rendez-vous est fixé à 13h00, mercredi, à l'Hôtel de Ville. Selon le Figaro , lundi, le premier citoyen parisien devrait accueillir, entre autres, Carlo Ancelotti, l'entraîneur du PSG, et Leonardo, le directeur sportif. L'occasion pour lui de rappeler son attachement à voir le PSG revenir au Parc des Princes après son exil de deux ans pour travaux au Stade de France, entre 2013 et 2015. Selon une enquête publiée par L'Equipe , le 28 décembre, le club, qui doit remettre en mars prochain un projet de rénovation du Parc des Princes à la Ville, propriétaire du stade, n'exclut pas de quitter définitivement le 16e arrondissement pour le SDF voire construire son propre stade.