ECOLOGIE ;;;la terre que nous allons laisser a nos descendants

ON VA TRAITER DE SUJETS QUI FONT PLAISIR ET D" AUTRES QUI FACHENT

ALLEZ COMME C UN JOUR FERIE
POUR VOUS REVEILLER ...ON VA PARLER RESPECT DE L"ENVIRONNEMENT ET POLLUTION

commentaires

sorgho Une "info" nécessaire, merci à La Provence de l'avoir fait, mais si pour une fois les coupables étaient recherchés et sanctionnés, quel bel article pour une prochaine édition. Hélas comme à l'habitude, les pouvoirs publics traineront les pieds jusqu'à oublier l' "info" pour découvrir dans deux ans que le taux a encore doublé.


Oula, la Cadière ne peut avoir pire haleine !!!


Consommation" des poissons de l'Huveaune ? A quel endroit ?

Chez moi, il n'y a de l'eau que quand la station d'épuration déborde, et plus haut, avant la dite station, il faut être fou pour même avoir envie de pêcher...

Cela fait des années qu'on nous promet de "nettoyer" l'Huveaune, mais on attend

Plus d'informations demain dans La Provence Vitrolles... Et pourquoi pas Marseille ? Le PCB nous menace tous...

A Port St Louis on a retrouvé entre 50 et 180 pg... dans le sang des habitants !!

CERTAINS LA PEIGNENT TELLE QU" ILS L"ONT CONNU ENFANT

CAMARGUE
Les telliniers sous haute surveillance

La brigade des Saintes-Maries-de-la-Mer a reçu le renfort de la brigade nautique de Martigues pour
procéder à de nombreux contrôles, sur et autour de la plage des Saintes

À l’approche de la saison
touristique, les gendarmes
lancent les contrôles

"On leur a fait mal. En
contrôlant les pêcheurs, les marchés,
les marayeurs et les grossistes,
nous avons montré
qu’on ne laissait pas piller le gisement
sans réagir. Et les telliniers
honnêtes ont compris que
c’est dans leur intérêt" expliquait
hier l’adjudant-chef
Etourneau, de la brigade de
gendarmerie nautique de Martigues,
venu mener, en collaboration
avec la brigade des Saintes-
Maries de la mer, une opération
de contrôle des pêcheurs
de tellines, hier matin
sur la plage Est. Lancée vers 11
heures, elle a permis de contrôler
les pêcheurs qui rentraient
d’une matinée de travail, forcément
harassante mais pas forcément
rentable, aux dires de
ceux qui constatent une nette
pénurie du précieux coquillage.
"Il y a 20 ans, quand j’ai
commencé, on pêchait une centaine
de ki l o s par jour.
Aujourd’hui, si j’en ai 20, c’est
le bout du monde. Ce sont les
pêcheurs sur échasses qui ont
tout raclé. Mais au prix où ça se
vend (entre 5 et 8 ¤/kg ndlr) et
la demande des restaurateurs,
forcément ça attire les convoitises"
dénonce Olivier pendant
qu’il tamise consciencieusement
le fruit de sa pêche. "La
réglementation impose un minimum
de 2,5 cmde long. Mais
parfois, elles sont trop larges
pour passer dans les mailles du
tamis, si bien que mêmesi le pêcheur
est de bonne foi, le fruit
de sa pêche n’est pas forcément
légal" ajoute l’adjudant-chef
Etourneau qui n’hésite pas à
mettre les mains dans les bacs
pour faire
remonter les petites tellines
que des "petits malins"
auraient cherché à dissimuler
sous les coquillages du bon calibre.
Et si quelques-unes râlent
de perdre du temps,
aucun ne se montre agressif.
"Ils rouspètent mais ont compris
que l’intérêt n’était pas de
leur coller une prune, juste de
sauvegarder la ressource et de
protéger l’environnement"
ajoute le major Ortega qui, en
bon gendarme de terrain,
connaît son petit monde.
Les telliniers s’arrêtent volontiers,
discutent de leur pêche,
voire même donne de précieuses
informations. "Ce n’est
pas ici, mais à Piémanson qu’il
faut aller. Les gars ramassent
par centaines de kilos là-bas
mais elles ne font pas plus de
2,3 cm. Je le sais, la dernière
fois, j’ai ramassé 80 kilos et
après tamisage, il m’en restait
18" lâche un autre tellinier gardois,
tout à fait en règle avec licence
et bon de transport. Au
final, 24 voitures ont été
contrôlées et une seule verbalisée
pour défaut de licence
mais la pêche était réglementaire.
"La bonne nouvelle, c’est
qu’ils ont trouvé beaucoup de
naissins (des bébés, ndlr)"
conclue le martégal. "Ce qui
veut dire que quand on les laisse
tranquilles, les tellines continuent
de se reproduire. Nous
sommes sur la bonne voie."

Des Aixois rêvent
d’un musée à Marseille

Espaces tropicaux, aquarium
grand public serviraient
aussi aux chercheurs


C’est la magie d’un pôle comme
celui de l’Arbois : à l’heure
du déjeuner, les chercheurs de
disciplines radicalement différentes
se retrouvent, croisent
leurs expériences. Entre deux
bouchées, ils refont le monde
mais préparent aussi notre société
de demain. L’un de ces déjeuners
a mis en relation Pierre
Batteau, directeur de l’Ecole
doctorale d’économie et de gestion,
Edouard Bard, climatologue
et Henry de Lumley. Même
si ce prestigieux préhistorien a
créé des musées originaux en
France, il regrette de ne pas
avoir pu réaliser à Marseille sa
Cité des Origines, qui pourtant
avait le soutien de Jacques
Chirac, alors président de la République.
Espace d’expo
et labo scientifique
L’idée germe dans le petit
groupe, vite rejoint par
Jean-Pierre Feral directeur de
la station marine d’Endoume à
Marseille, Michel Boer, directeur
de l’observatoire astronomique
de Haute-Provence,
Thierry Tatoni (directeur de
l'Imep), Nicolas Thouveny (directeur
du Cerege) de porter
un projet analogue : "J’ai été
très frappé par le nouveau
concept de musée qui se développe
en Amérique du Nord", explique
Pierre Batteau, président
de l’association pour le biopôle.
"Ce ne sont plus uniquement
des lieux où on montre au
grand public des oeuvres ou des
résultats de recherche, des squelettes
de dinosaures par exemple.
Les espaces d’exposition servent
aussi de laboratoires aux
scientifiques. Donc le grand public
voit et apprendre en même
temps" ajoute-t-il. L’idée est de
construire plusieurs dômes,
dont l’un abriterait une reconstitution
d’un espace tropical,
l’autre un aquarium avec des
poissons et des coraux, un troisième
étant dédié aux espaces
méditerranéens, un quatrième
pourquoi pas à notre galaxie.
"L’idée est de servir de vitrine
aux savoirs développés par les
scientifiques de la région en matière
d’environnement, notamment
ceux du pôle de l’Arbois,
de constituer un lieu de diffusion
de la culture scientifique,
d’intéresser des jeunes aux études
de sciences, qui connaissent
une réelle désaffection, tout en
construisant un formidable pôle
d’attractivité touristique, et
donc économique, dont notre région
manque cruellement", reprend
Pierre Batteau.
Pour lui, ce pôle devrait être
installé àMarseille, qui dispose
des espaces et du potentiel touristique
nécessaire au projet.
La période lui semble bonne.
La fusion des universités va
améliorer le dialogue entre les
scientifiques ; les collectivités
locales se sont fédérées autour
du projet Marseille capitale
européenne de la culture
2013…
Reste à trouver le nerf de la
guerre : l’argent. Un tel projet
est évalué entre 250 et 300 millions
d’euros, "qui devront surtout
venir de fonds privés", dit
Pierre Batteau

FOS
Ikea condamné pour
destruction d'espèces

Le lézard ocellé, la couleuvre
de Montpellier, le bouton d'or,
le héron cendré... seront donc
sortis victorieux de leur bras de
fer avec Ikea. C'est en se désistant
de son appel, après une
condamnation en première instance,
en mars 2010, que le
géant du meuble en kit, est désormais
définitivement condamné,
dans le dossier de la plateforme
logistique de Fos-sur-Mer,
bâtie sur un terrain commercialisé
par le Port autonome deMarseille.
Un grand projet économique,
générateur d'emplois, qui
passait aussi, selon l'accusation,
par la destruction de plusieurs
spécimens d'espèces protégées,
végétales et animales, sur le site.
Le 30 mars 2010, Jean-Louis
Baillot, le directeur d'Ikea développement,
était venu s'expliquer
devant le tribunal correctionnel
d'Aix, sur les faits de "destruction
de végétal non cultivé",
"destruction du milieu particulier
d'une espèce végétale protégée
non cultivée" et d'une "espèce
animale protégée non domestique".
Il avait, longuement, plaidé
la bonne foi: "Les espèces protégées,
on nous les signale après
le démarrage des travaux. Nous
avions fait réaliser des études
d'impact par un bureau d'études.
Et nous avons aussi sollicité
l'avis du conseil national de la
protection de la nature, le
CNPN". Le responsable du colosse
suédois avait aussi mis en
exergue une tentative de protocole
avec les associations de défense
de l'environnement.
En 2008, peu après les premiers
travaux de défrichement,
un agent de l'Office national de
la chasse et de la faune sauvage
avait, par PV, relevé la destruction
de certaines espèces. S'ensuivait
une plainte pour destruction
d'espèces protégées. Plusieurs
associations présentes
également au tribunal avaient
souligné que Ikea avait construit
son dépôt, "en toute connaissance
de cause". Pour la défense, assurée
parMe Dolfi, "Ikea comparaît
avec un réel sentiment d'injustice",
d'autant que selon lui,
la société avait pris des mesures
compensatoires, pour 1,7 million
d'euros. Une semaine après
l'audience, et les réquisitions du
procureur Pilling de 30000 euros
d'amende, lequel avait déploré
"l'imprudence et la négligence
d'Ikea", le juge Delaunay rendait
son délibéré, confrmant l'amende
et accordant 5700 euros pour
les parties civiles. "Ikea a rapidement
fait appel de cette décision,
s'offusquant ouvertement de cette
décision", selon l'association
Nacicca.
Contacté par nos soins, le port
n'a pas souhaité réagir. Pas plus
qu'Ikea qui participera la semaine
prochaine à un comité de pilotage.
Ce dernier se penchera
sur la mise en place des mesures
compensatoires, sous l'égide du
sous-préfet d'Istres

Alimentation : faites un régime pour la planète !
Publié le mardi 19 avril 2011 à 15H55


Les régimes, c’est l’activité préférée des consommateurs dès que le printemps pointe le bout de son nez. Et si cette année, au lieu des diètes à la mode, plus ou moins farfelues, vous passiez au régime méditerranéen, qui serait bon pour la santé et pour la planète . C’est le conseil de Christian Rémésy, venu en vanter les mérites à l’occasion de la réunion des partenaires du projet européen Rururbal - qui a pour but de tisser un nouveau lien entre l’urbain et le rural, à travers l’alimentation – à Aix-en-Provence, la semaine dernière.

Ce régime, qui n’a rien à voir avec une diète amaigrissante, serait même "la clé pour lutter contre l’épidémie d’obésité qui touche nos sociétés, pour le nutritionniste. Et c’est tout simple : il suffit de consommer une grande variété de produits végétaux, peu de produits animaux et pas de produits dénaturés" . Quelques règles de base qui limiteraient les risques d’être atteint de "maladies de civilisation" , comme le diabète ou l’hypertension, ou encore de cancers.

Que mettre dans son caddie ? Quel est l'impact environnemental du régime méditerranéen ? Les réponses sur wiki2d.org, le site du développement durable en Provence-Alpes-Côte d'Azur


info@wiki2d.org

Moi je trie mes déchets, surtout les papiers, journaux etc je les mets dans le conteneur prévu à cet effet.

olympien13 a écrit:Moi je trie mes déchets, surtout les papiers, journaux etc je les mets dans le conteneur prévu à cet effet.

nous ramassés par l'agglomeration
une poubelle normale
+ 1 poubelle verte pour plastiquees et conserves fers
+1 poubelle bleue papiers cartons
+ 1 poubelle grise pour le verre là qu'il faut aller porter à400 m

on se dit que c'est du boulot mais c'est bon pour la planete

bienvenou a écrit:

olympien13 a écrit:Moi je trie mes déchets, surtout les papiers, journaux etc je les mets dans le conteneur prévu à cet effet.

nous ramassés par l'agglomeration
une poubelle normale
+ 1 poubelle verte pour plastiquees et conserves fers
+1 poubelle bleue papiers cartons
+ 1 poubelle grise pour le verre là qu'il faut aller porter à400 m

on se dit que c'est du boulot mais c'est bon pour la planete

C'est pour notre planète donc après voilà chacun est + ou - sensibilisé ou fait attention à l'environnement... Si tout le monde faisait preuve de civisme, la terre serait propre...

et pourtant ces canettes par terre les bouts de plastiques en mer c'est scandaleux

olympien13 a écrit:

bienvenou a écrit:

olympien13 a écrit:Moi je trie mes déchets, surtout les papiers, journaux etc je les mets dans le conteneur prévu à cet effet.

nous ramassés par l'agglomeration
une poubelle normale
+ 1 poubelle verte pour plastiquees et conserves fers
+1 poubelle bleue papiers cartons
+ 1 poubelle grise pour le verre là qu'il faut aller porter à400 m

on se dit que c'est du boulot mais c'est bon pour la planete

C'est pour notre planète donc après voilà chacun est + ou - sensibilisé ou fait attention à l'environnement... Si tout le monde faisait preuve de civisme, la terre serait propre...

❚ Compte tenu de sa situation
géographique et des nombreuses
particularités, que représente
le projet de parc des calanques
pour la ministre de l’Écologie
?
La qualité de ce parc en fait un
lieu emblématique. Emblématique
d’un point de vue géologique,
de la richesse de sa faune,
(ses oiseaux notamment), de sa
flore, de la diversité des milieux
marins méditerranéens (ses
grottes sous-marines, ses tombants
à coraux, ses herbiers de
Posidonie), de ses nombreuses
épaves antiques... Il nous
confronte en revanche à un défi
sans précédent sur le plan environnemental
et administratif.
Car ce parc est à la fois terrestre,
marin et sujet à des usages
particuliers en raison de sa
proximité avec la ville de Marseille.
Premier parc national péri-
urbain, ses usages seront très
différents de ceux d'un parc de
montagne, par exemple.
❚ Le processus de création de
ce parc est lancé depuis plus de
10 ans maintenant. Y a-t-il urgence
à aboutir ?
J'y tiens beaucoup. Parce qu'il y
a toujours un moment où il faut
aboutir et je crois que ce moment
est arrivé. Les habitants
eux-mêmes en sont convaincus:
75% d’entre eux se sont déclarés
favorables au parc national
dans une enquête récente.
Tout le monde peut désormais
comprendre qu'un parc, c'est
une garantie pour concilier les
usages actuels et les impératifs
de préservation sur le long terme.
La question des usages est
la plus sensible. Beaucoup des
opposants n'ont qu'une seule
motivation: pouvoir continuer à
faire dans le futur parc ce qu'ils
y font aujourd'hui. En clair, ils
ont peur de la contrainte.
❚ Ont-ils raison ou tort de
craindre des restrictions plus
fortes ?
Il y a eu beaucoup d'échanges
sur la définition d’un parc tout
au long de la préparation du
projet. Le dialogue se poursuit
aujourd’hui entre le CNPN
(conseil national de la préservation
de la nature, Ndlr) et le GIP
des calanques, les associations,
les acteurs locaux, les services
de l’État... afin de faire mieux
comprendre ses enjeux. Cette
phase de dialogue n'est pas terminée.
Une 3e version de la
charte doit être validée avant la
consultation publique locale,
qui aura lieu avant l’été. Ce sera
un moment important en vue
de l'acceptation du projet.
❚ Dans son rapport d'examen
technique, le CNPN "s'interroge
sur les raisons du retrait" du
Frioul du coeur de parc et regrette
qu'il en soit ainsi...
Le CNPN est dans son rôle. Du
point de vue de la biodiversité
marine, ses arguments me paraissent
d'ailleurs incontestables.
Mais je ne peux ignorer le
caractère péri-urbain du futur
parc et ses usages actuels. C'est
tout le sens de la démarche :
trouver le bon équilibre entre
les exigences environnementales
et l'acceptabilité du projet
par une population sans laquelle
rien ne se fera.Mapréoccupation
est donc l’aboutissement
d‘un parc national pour protéger
le patrimoine environnemental
du site.
❚ Outre le CNPN, la plupart
des associations impliquées
dans le dossier regrettent fortement
que le Frioul ne soit plus en
coeur de parc et, de ce fait, craignent
pour son avenir, notamment
immobilier. Ont-ils raison
d'avoir peur ?
Le Frioul est un territoire particulier.
Il bénéficie depuis longtemps
de mesures de protections
ad hoc qui permettent
d'empêcher que l'on dégrade
son environnement. Le seul
vrai danger ne serait pas que le
Frioul soit sorti du coeur de
parc, mais qu'il n'y ait pas de
parc du tout et que le site finisse
par se dégrader irrémédiablement.
C’est cette hypothèse
que je veux écarter ; les perdants
ne seraient pas telle association
ou telle famille d'usagers,
ce serait l'ensemble des
Marseillais.
❚ Le fait qu'il soit le premier
parc péri-urbain doit-il dans votre
esprit, permettre de s'affranchir,
au moins en partie, des règles
qui prévalent dans les
autres parcs nationaux ?
Non. Et je vais être très claire
là-dessus : il ne s'agit pas d'un
parc au rabais. On ne s'affranchira
pas des règles fondamentales
des parcs. Onpourra en revanche
les adapter à cette réalité,
dans la mesure où un parc,
dont le site est déjà très fréquenté,
avec des usages très ancrés,
doit nécessairement en tenir
compte dans sa définition.
C’est ce qui a été fait. Si ma préoccupation
était exclusivement
liée à la préservation de l'environnement,
le périmètre et la
naturemêmedu parc des calanques
auraient été très différents.
Le meilleur exemple est
le Frioul. Mais je pourrais aussi
parler des zones de non-pêche,
qui ont été définies dans la
concertation avec les différents
usagers. C'est dans cet esprit
que sept pêcheurs de Cassis
pourront continuer de pêcher
dans un secteur qui a toujours
vocation à devenir une zone de
non-pêche. Et qui le deviendra
le jour où ils cesseront leur activité,
puisque les droits de pêche
s'éteindront à ce moment-là.
❚ Avoir seulement 10% du
coeur marin en zone de non-pêche,
n'est-ce pas très en deçà des
ambitions du gouvernement en
matière d'aires marines protégées?
C'est certainement trop peu et
il faudra augmenter ces surfaces.
Le CNPNdemande 20%. Aller
au-delà de 10% me semble
important. Les discussions que
conduit actuellement le préfet
vont dans ce sens.
❚ Êtes-vous toujours aussi déterminée
à créer ce parc avant la
fin 2011 ?
Plus que jamais. Il est toujours
très difficile de créer un parc,
mais il y a des motifs qui font
que l'on est particulièrement
motivé. L’environnement est extraordinaire.
Les délais sont serrés,
mais nous pouvons les tenir
et c’est l'intérêt de tous.
❚ On vous reverra donc à Marseille
avant la fin de l'année, ne
serait-ce que pour inaugurer ce
parc national ?
Ah oui ! Avec le temps que j'y
consacre, j'aurais très envie de
passer une bonne soirée à le fêter.

suite