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Re: INFOS CORSICA
faudra qur tu leur telephone moi je ne peu pas d'ici
JUDAS a écrit:Pas sur que les saucissonné ne soit pas hallal ,Corse Matin n'a pas parlé de la provenance du produitaladin a écrit:SAUCISSONNER PAR DES CORSES
ILS DOIVENT PS ETRE HALAL ALORS JE POURRAIS PAS EN MANGER
aladin a écrit:
OUI QUELS SALOPS
CES RICHES DE SE FAIRE BAILLONER PLEIN DE SANG ROUGE
LE JOUR OU LE MINISTRE SE PROMENE EN GANTS BLANCS COMME DS PAGNOL
JUDAS a écrit:Non !!aladin a écrit:J"aurais pu ( du )mettre cet article
dans voir la corse ...AUTREMENT![]()
Le pb est que ce genre d'article n'est qu'a décharge
Les gens en lisant ca vont encore penser " Ouais quels salops ces Corses s'attaquaient a des poves vieux , ils ont pas honte"
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aladin- Messages : 115038
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Re: INFOS CORSICA
Bastia : attentat contre les bureaux de Corse-Matin.Publié le jeudi 26 mai 2011 à 10H27 - 2 Une (ou deux selon les témoins) charges ont explosé vers 1 heure devant les bureaux de l'agence bastiaise du journal Corse-Matin, rue César Campinchi. Les dégâts sont minimes mais un incendie a suivi, détruisant essentiellement les boîtes aux lettres. Les pompiers sont intervenus rapidement tandis que la police judiciaire s'est saisie de l'enquête. Depuis ce matin, la rédaction reçoit des messages de soutien d'habitants mais aussi d'hommes politiques de tous bords. Corse-Matin a déjà été la cible d'attentats à Bastia mais aussi Ajaccio, notamment au milieu des années 90.
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Re: INFOS CORSICA
Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés

Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés

Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire
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Re: INFOS CORSICA
Une villa partiellement détruite à l'explosif Publié le mardi 14 juin 2011 à 09H50
Une explosion a très gravement endommagé une résidence secondaire appartenant à des Italiens à Moncale (Haute-Corse), près de Calenzana selon CorseMatin.com. La gendarmerie de Calvi est saisie des premières constatations.
Une explosion a très gravement endommagé une résidence secondaire appartenant à des Italiens à Moncale (Haute-Corse), près de Calenzana selon CorseMatin.com. La gendarmerie de Calvi est saisie des premières constatations.
bienvenou- Admin
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Re: INFOS CORSICA
Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire

Le nombreux de traine savates de tous bord qui ont pris attache en Corse

Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra

Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires

Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence

Donc si vous récupérez vos indigents professionnels tes pourcentages ne tiennent plus la route

De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo

JUDAS- Messages : 7590
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Re: INFOS CORSICA
ben si vous en voulez plus
de ces indigents de metropole
vous les embarquez ds le prochain daniele casanova
JUDAS a écrit:Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
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Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra![]()
Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires![]()
Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence![]()
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De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo![]()
bienvenou- Admin
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Re: INFOS CORSICA
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ben si vous en voulez plus
de ces indigents de metropole
vous les embarquez ds le prochain daniele casanovaJUDAS a écrit:Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire![]()
Le nombreux de traine savates de tous bord qui ont pris attache en Corse![]()
Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra![]()
Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires![]()
Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence![]()
Donc si vous récupérez vos indigents professionnels tes pourcentages ne tiennent plus la route![]()
De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo![]()



JUDAS- Messages : 7590
Date d'inscription : 03/08/2009
Re: INFOS CORSICA
la seule question que je mepose alors
pourquoi sont ils venus ..
si c'est sans travail ..
JUDAS a écrit:Pas aussi simplebienvenou a écrit:
ben si vous en voulez plus
de ces indigents de metropole
vous les embarquez ds le prochain daniele casanovaJUDAS a écrit:Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire![]()
Le nombreux de traine savates de tous bord qui ont pris attache en Corse![]()
Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra![]()
Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires![]()
Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence![]()
Donc si vous récupérez vos indigents professionnels tes pourcentages ne tiennent plus la route![]()
De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo![]()
Tu crois qu'un gars qui a vécu dans une cité pourri ou milieu de la merde va lâcher un appart ou une petite maison au soleil et tout ce qui va avoir pour retourner croupir sur le continent
Ils sont tout sauf con
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bienvenou- Admin
- Messages : 170618
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Re: INFOS CORSICA
Pourquoi quand ils débarquent sur le territoire français c'est pour travailler ?bienvenou a écrit:
la seule question que je mepose alors
pourquoi sont ils venus ..
si c'est sans travail ..JUDAS a écrit:Pas aussi simplebienvenou a écrit:
ben si vous en voulez plus
de ces indigents de metropole
vous les embarquez ds le prochain daniele casanovaJUDAS a écrit:Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire![]()
Le nombreux de traine savates de tous bord qui ont pris attache en Corse![]()
Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra![]()
Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires![]()
Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence![]()
Donc si vous récupérez vos indigents professionnels tes pourcentages ne tiennent plus la route![]()
De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo![]()
Tu crois qu'un gars qui a vécu dans une cité pourri ou milieu de la merde va lâcher un appart ou une petite maison au soleil et tout ce qui va avoir pour retourner croupir sur le continent
Ils sont tout sauf con
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Quitte a glandé autant le faire dans un endroit sympa non !!!!! avec la nature tout autour ,la plage a moins de 100 M ,l’école a 150 m avec le soleil et la douceur de vivre ......tranquille quoi

Imagine si toi tu pouvais avoir la même chose sans trop te fouler ....tu reprendrais le bateau pour laisser croupir dans une cité de continent ?
Si j'y pense, je te prendrais en fofo le dernier projet erilia a l'entrée de Moriani


JUDAS- Messages : 7590
Date d'inscription : 03/08/2009
Re: INFOS CORSICA
JUDAS a écrit:Pourquoi quand ils débarquent sur le territoire français c'est pour travailler ?bienvenou a écrit:
la seule question que je mepose alors
pourquoi sont ils venus ..
si c'est sans travail ..JUDAS a écrit:Pas aussi simplebienvenou a écrit:
ben si vous en voulez plus
de ces indigents de metropole
vous les embarquez ds le prochain daniele casanovaJUDAS a écrit:Ce que ton infos très française ( c'est plus pire ailleurs) ne met pas en avantaladin a écrit:Corse - Société
1Enquête : l'île face aux chiffres préoccupants de la précarité.Publié le vendredi 03 juin 2011 à 07H02
La carte des régions des jeunes de-scolarisés
Il fut un temps où en Corse les familles n'avaient d'autres recours que de vivre en autarcie. En clair, elles ne pouvaient compter que sur elles-mêmes. Elles cultivaient leur jardin, élevaient des animaux, engrangeaient tout ce que la nature pouvait leur donner. La Corse d'alors était rude et les aides sociales n'existaient pas. Tout était compensé par une solidarité exemplaire. Les personnes les plus défavorisées avaient toujours le gîte et le couvert. L'île a connu depuis de profondes mutations. Chômage, précarité, drogue, violence : elle n'est épargnée par les maux qui gangrènent notre société et l'on assiste parfois à des comportements qui font se demander si cette entraide légendaire existe encore.
Vue de l'extérieur, la Corse donnerait plutôt l'image d'une région où la vie est douce et facile. Si elle est sans doute rose pour certains, pour d'autres elle est le plus souvent teintée de gris. Même si l'on sait que des difficultés aujourd'hui existent, (l'activité grandissante des associations caritatives et des structures sociales oeuvrant au quotidien en témoigne), l'enquête sur Les populations vulnérables en Corse, qui vient d'être publiée par la Direction régionale de la jeunesse et des sports et de la cohésion sociale et la direction régionale de l'Insee nous ramène à une réalité que nous étions bien loin d'imaginer.
Réalisée dans le cadre de la « plate-forme d'observation régionale sanitaire et sociale » qui s'est donnée pour mission de « favoriser le partage des données, d'informations et d'études entre les principaux partenaires locaux et d'apporter à chaque acteur politique, institutionnel ou associatif des outils pouvant étayer et enrichir ses actions et réflexions », cette publication aborde la précarité dans l'île.
Le préfet de région, Patrick Strzoda, souligne que « ce document propose un nouvel éclairage sur la structure de populations insulaires dites « fragiles ». Pauvreté économique, difficulté d'insertion, d'intégration, dépendance, isolement, sont évoqués, croisant facteurs sociaux, économiques et physiques.
Sept groupes ont été identifiés : personnes âgées, familles monoparentales, immigrés, populations des ZUS (zones urbaines sensibles), jeunes déscolarisés, personnes handicapées et personnes en grande difficulté sociale.
Quatre populations apparaissent surreprésentées dans l'île au regard des chiffres nationaux : les personnes âgées, les familles monoparentales, les jeunes non-insérés et les immigrés.
Dépendance et faibles ressources
Avec 26 % de personnes de plus de 60 ans, la Corse est parmi les quatre régions françaises les plus âgées.
Ce tableau met en exergue le vieillissement de la population insulaire : si les tendances démographiques perdurent, en 2040, un insulaire sur trois sera âgé de plus de 65 ans et un sur huit de plus de 80 ans. Des personnes âgées particulièrement touchées par la précarité avec un taux de bénéficiaires d'allocations supplémentaires vieillesse et de solidarité trois fois plus important que sur le Continent (soit 17,8 % contre 5 %). Face à la dépendance, les chiffres sont également supérieurs à la moyenne nationale, avec en ce qui concerne les aides sociales accordées dans ce cadre (ACTP, APA, ASH, PCH...)*, 254 % de bénéficiaires contre 95 %.
Pour ce qui est de l'isolement des personnes âgées, elles sont toutefois moins nombreuses à vivre seules. Ainsi 32,5 % des personnes de plus de 75 ans habitent avec leurs proches, soit 7 % de plus que sur le Continent.
Des chiffres révélateurs d'une famille qui change
Autre constat, en Corse, comme ailleurs, les familles monoparentales sont de plus en plus nombreuses. Elles représentent à elles seules 26, 5 % des familles insulaires.
Ainsi près de 16 000 enfants vivent avec un seul de leurs parents. La majorité d'entre eux partage leur quotidien avec leur mère, la garde leur étant plus facilement accordée lors du divorce.
Plus exposés à la précarité, ces foyers sont également marqués par la pauvreté. Leur niveau de vie médian est de 17 % inférieur à la moyenne régionale.
Cette rupture de l'équilibre familial est sans doute l'un des facteurs qui favorisent la déscolarisation.
Une déscolarisation inquiétante chez les jeunes
Seulement 60,2 % des jeunes de 18 à 21 ans, sont scolarisés.
Lorsqu'on mesure la fonction de socialisation occupée par l'école, on ne peut que s'interroger sur la place que ces jeunes déscolarisés pourront avoir dans la société. Entraînant de ce fait, une insertion difficile.
Si ce n'est à Corte...cité universitaire, les autres villes affichent des chiffres là encore assez préoccupants, avec une part de jeunes de 15 à 29 ans « non insérés » (ni en emploi, ni scolarisés) qui oscille entre 17 et 23 % selon les communes.
Les zones urbaines sensibles font également l'objet d'un focus qui donne des indications intéressantes. Ainsi 19 000 personnes (soit 1 habitant sur 5) vivent en ZUS à Ajaccio et 11 000 à Bastia, (soit un quart des habitants).
15 000 personnes bénéficient de la CMU-C
Autre « population vulnérable » apparaissant dans cette enquête, les immigrés qui sont au nombre de 27 400 (soit 9 % de la population) avec une communauté marocaine qui reste majoritaire et une forte augmentation de Portugais. Si cette étude montre, par ailleurs, une forte hausse du nombre de personnes handicapées percevant des aides sociales, en revanche elle révèle une faible prise en charge avec un taux d'équipement inférieur à la moyenne nationale.
Pour ce qui est des personnes en grande difficulté sociale, il faut savoir que 15 000 d'entre elles bénéficient de la CMU-C*, une tendance à la baisse aussi bien au niveau régional que national. Paradoxalement, malgré un taux de pauvreté parmi les plus élevés de France, le nombre de ces bénéficiaires n'est pas plus important en Corse.
L'état des lieux qui a été dressé est pour le moins préoccupant. Il démontre l'importance de cette fracture sociale, il s'agit maintenant de savoir comment elle peut être réduite plus encore.
ACTP : allocation compensatrice pour tierce personne
APA : allocation personnalisée d'autonomie
ASH : prestation accordée si les revenus de la personne âgée et l'aide financière de ses enfants ne lui permettent pas de couvrir en totalité des frais d'hébergement en maison de retraite
PCH : prestation de compensation du handicap pour les personnes âgées et handicapées
CMU : couverture maladie universelle complémentaire![]()
Le nombreux de traine savates de tous bord qui ont pris attache en Corse![]()
Quelques exemples en haute corse:
La rue Droite a Bastia va t'y promener ...tu comprendra![]()
Le foyer de Volpaja de Furiani qui a quadruplé ses pensionnaires![]()
Les permanences de la CAF : Quand e suis arrivé il y a un an , la CAF avait deux jours de permanences a Moriani au pire tu avais une dizaine de personnes pour 2 agents CAF en moins d'un an pour 3 agents tu a une quarantaine de personnes a chaque demi journée de permanence![]()
Donc si vous récupérez vos indigents professionnels tes pourcentages ne tiennent plus la route![]()
De plus comme d'habitude,tes compatriotes ont droit aux superbes logements sociaux flambant neuf face a la mer a Sainte Lucie de Moriani alors que mes compatriotes peu argenté doivent se loger dans les villages a plus de 5 kms de la plage ....en gros vous reproduisez (ca va peter !!!) les mêmes conneries que sur le continent .....Bravo![]()
Tu crois qu'un gars qui a vécu dans une cité pourri ou milieu de la merde va lâcher un appart ou une petite maison au soleil et tout ce qui va avoir pour retourner croupir sur le continent
Ils sont tout sauf con
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Quitte a glandé autant le faire dans un endroit sympa non !!!!! avec la nature tout autour ,la plage a moins de 100 M ,l’école a 150 m avec le soleil et la douceur de vivre ......tranquille quoi![]()
Imagine si toi tu pouvais avoir la même chose sans trop te fouler ....tu reprendrais le bateau pour laisser croupir dans une cité de continent ?
Si j'y pense, je te prendrais en fofo le dernier projet erilia a l'entrée de MorianiTu va halluciné
![]()
c'est sur vivre à sarcelles ou à bastia
j'hesites un max
ok j'attends de voir ca
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Re: INFOS CORSICA
Tu vois ce qui me gène le plus dans ce genre de déclaration a 2 €
C'est juste le fait que tu n'as aucunes vraie base de comparaison l'avant et l'après
Pire cette nouvelle pauvreté mais en péril les insulaires en difficulté pour les mêmes raisons que sur le continent le logement (priorité aux familles nombreuses) plus de gens a loger moins de logements et le prix des loyers qui explosent .
le journaleux te ponds un article plein de % et de "oui avant cela ne se passait pas comme ca chez eux mais maintenant ca a changer .....
Surtout que pour vérifier ses chiffres et la population concernée ce scriveur de baveux n'a pas d’adressé a la CAF.


le journaleux te ponds un article plein de % et de "oui avant cela ne se passait pas comme ca chez eux mais maintenant ca a changer .....
Surtout que pour vérifier ses chiffres et la population concernée ce scriveur de baveux n'a pas d’adressé a la CAF.

JUDAS- Messages : 7590
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Re: INFOS CORSICA
LE JOURNALEU s'appele rina uzan de l'insee
JUDAS a écrit:Tu vois ce qui me gène le plus dans ce genre de déclaration a 2 €C'est juste le fait que tu n'as aucunes vraie base de comparaison l'avant et l'après
Pire cette nouvelle pauvreté mais en péril les insulaires en difficulté pour les mêmes raisons que sur le continent le logement (priorité aux familles nombreuses) plus de gens a loger moins de logements et le prix des loyers qui explosent .
le journaleux te ponds un article plein de % et de "oui avant cela ne se passait pas comme ca chez eux mais maintenant ca a changer .....
Surtout que pour vérifier ses chiffres et la population concernée ce scriveur de baveux n'a pas d’adressé a la CAF.![]()
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Re: INFOS CORSICA
Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage
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Re: INFOS CORSICA
Rien entendubienvenou a écrit:Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage

JUDAS- Messages : 7590
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Re: INFOS CORSICA
JUDAS a écrit:Rien entendubienvenou a écrit:Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage![]()
les bastiais sont dure d'oreille concernant les actes de preservation de l'identité corse
suremnt que le saucisson corse bouche les oreilles
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Re: INFOS CORSICA
Je presse un longue série de saucissonnagebienvenou a écrit:JUDAS a écrit:Rien entendubienvenou a écrit:Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage![]()
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suremnt que le saucisson corse bouche les oreilles



JUDAS- Messages : 7590
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Re: INFOS CORSICA
c'est clair qu'il ne peut pas rentrer
dans les oreilles continentales

JUDAS a écrit:Je presse un longue série de saucissonnagebienvenou a écrit:JUDAS a écrit:Rien entendubienvenou a écrit:Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage![]()
les bastiais sont dure d'oreille concernant les actes de preservation de l'identité corse
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Re: INFOS CORSICA
Ho!!! il y en a qui mérite de ce le prendre ailleurs le saucissonaladin a écrit:
c'est clair qu'il ne peut pas rentrer
dans les oreilles continentalesJUDAS a écrit:Je presse un longue série de saucissonnagebienvenou a écrit:JUDAS a écrit:Rien entendubienvenou a écrit:Importants dégâts après une explosion dans un domaine touristique Publié le dimanche 26 juin 2011 à 11H32
Selon Corse-Matin, l'explosion d'une charge contre un bâtiment dans un domaine touristique à Santa-Maria-Poggio, en Haute-Corse, aurait provoqué d'importants dégâts sans faire de blessé dans la nuit de samedi à dimanche. La déflagration a été entendue par les riverains vers minuit et demi, qui ont alerté la gendarmerie. Le domaine est situé près de la plage![]()
les bastiais sont dure d'oreille concernant les actes de preservation de l'identité corse
suremnt que le saucisson corse bouche les oreilles![]()
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Tiens une petite histoire pour rire

Un promoteur italien commence a vendre( sur plan) les appartements d'un petit ensemble immobilier sur la plaine orientale



Je sais par des amis que ce promoteur préfère vendre (plus cher)a des italiens et pour ce faire a un partenariat avec une banque Italienne qui ne cautionne pas les prêts français (c'est voulu !!)


Je conseil au rital en question de bien relire son contrat d'assurance parce que il risque de faire boum mais pour dans le sens ou il le croit


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Re: INFOS CORSICA

C'est toi qui pose les bombes

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Re: INFOS CORSICA
Non moi je compte les pointsaladin a écrit:BOUM OUILLE
C'est toi qui pose les bombes![]()

JUDAS- Messages : 7590
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Re: INFOS CORSICA
JUDAS a écrit:Non moi je compte les pointsaladin a écrit:BOUM OUILLE
C'est toi qui pose les bombes![]()
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INFO TOP SECRETE A DESTINATION DES RG CONTINENTAUX
mais pour réduire les frais de deplacements tu pars avec eux dans la camionnette
aladin- Messages : 115038
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Re: INFOS CORSICA
Une forte secousse sismique a fait trembler la Corse.Publié le vendredi 08 juillet 2011 à 08H01 - 10
C’est à 100 km au large de la côte ouest de la Corse que se trouve l’épicentre du séisme.
séisme L’île a été traversée hier, peu avant 21h30, par un épisode sismique dont l’épicentre se situe à 100 km à l’ouest d’Ajaccio. La magnitude relevée au large était de 5.2
. La Corse a tremblé hier soir. Du Cap jusqu’à Ajaccio, en passant par le centre et la plaine orientale, le temps a suspendu son vol dans de nombreuses habitations aux alentours de 21h30. Une brève mais intense secousse tellurique a été ressentie dans l’ensemble de l’île, sans toutefois provoquer de dégâts notables selon les informations disponibles en fin de soirée.
Le bureau central sismologique français, qui assure une veille depuis Strasbourg, a répercuté dès hier les données fournies par le laboratoire de détection et de géophysique du commissariat à l’énergie atomique (CEA). Cette secousse,dont l’épicentre est situé à 100 km à l’ouest d’Ajaccio, en pleine mer, s’est produite à 21h21.
Elle a été ressentie dans un vaste secteur, comprenant la Corse, les Bouches-du-Rhône et la région Paca. Soit une distance d’au moins 300 km par rapport à son point d’origine, qui s’explique par une magnitude élevée de 5.2 sur l’échelle ouverte de Richter.
Un événement sérieux à l’échelle française, puisque seulement une secousse sismique de cette intensité est enregistrée environ tous les deux ans sur le territoire national. Et peut avoir des conséquences particulièrement graves lorsque l’épicentre se situe en pleine terre.
Ainsi, la secousse qui a fait trembler la ville de Lorca, au sud-est de l’Espagne, le 11 mai dernier, était d’une magnitude de 5.1. On avait alors recensé neuf morts, une dizaine de blessés et quelque 20000 personnes jetées hors de chez elles. Fort heureusement, l’épisode qui a affecté la Corse hier s’est produit au large et à une distance suffisante pour être très largement amoindri lorsqu’il a touché les rivages insulaires.
Il n’en reste pas moins que la zone concernée par cette secousse semble être entrée dans une forme d’activité ces cinq derniers jours. Le 2 juillet dernier, le bureau central sismologique français avait déjà enregistré une alerte sismique de magnitude 4.0 dans le même secteur, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Ajaccio. Elle n’avait pas alors été ressentie en Corse.
Il n’en reste pas moins que l’île fait partie des territoires où le risque est considéré comme « très faible », selon la nouvelle carte de zonage sismique française entrée en vigueur en mai dernier.
Une information susceptible de rassurer les nombreuses personnes inquiètes ayant composé le 18 dans les minutes qui ont suivi la secousse. Selon la préfecture de région, qui a lancé un appel au calme sur diverses chaînes de télévision dès hier soir, aucune réplique majeure n’était attendue. Pour leur part, les spécialistes du bureau central sismologique français lançaient un autre type d’appel.
Les témoignages - sérieux - des particuliers ayant ressenti la secousse sont en effet les bienvenus sur le site www.franceseisme.fr. Ils permettront ainsi d’aider à calibrer à l’avenir le risque sismique régional.
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C’est à 100 km au large de la côte ouest de la Corse que se trouve l’épicentre du séisme.
séisme L’île a été traversée hier, peu avant 21h30, par un épisode sismique dont l’épicentre se situe à 100 km à l’ouest d’Ajaccio. La magnitude relevée au large était de 5.2
. La Corse a tremblé hier soir. Du Cap jusqu’à Ajaccio, en passant par le centre et la plaine orientale, le temps a suspendu son vol dans de nombreuses habitations aux alentours de 21h30. Une brève mais intense secousse tellurique a été ressentie dans l’ensemble de l’île, sans toutefois provoquer de dégâts notables selon les informations disponibles en fin de soirée.
Le bureau central sismologique français, qui assure une veille depuis Strasbourg, a répercuté dès hier les données fournies par le laboratoire de détection et de géophysique du commissariat à l’énergie atomique (CEA). Cette secousse,dont l’épicentre est situé à 100 km à l’ouest d’Ajaccio, en pleine mer, s’est produite à 21h21.
Elle a été ressentie dans un vaste secteur, comprenant la Corse, les Bouches-du-Rhône et la région Paca. Soit une distance d’au moins 300 km par rapport à son point d’origine, qui s’explique par une magnitude élevée de 5.2 sur l’échelle ouverte de Richter.
Un événement sérieux à l’échelle française, puisque seulement une secousse sismique de cette intensité est enregistrée environ tous les deux ans sur le territoire national. Et peut avoir des conséquences particulièrement graves lorsque l’épicentre se situe en pleine terre.
Ainsi, la secousse qui a fait trembler la ville de Lorca, au sud-est de l’Espagne, le 11 mai dernier, était d’une magnitude de 5.1. On avait alors recensé neuf morts, une dizaine de blessés et quelque 20000 personnes jetées hors de chez elles. Fort heureusement, l’épisode qui a affecté la Corse hier s’est produit au large et à une distance suffisante pour être très largement amoindri lorsqu’il a touché les rivages insulaires.
Il n’en reste pas moins que la zone concernée par cette secousse semble être entrée dans une forme d’activité ces cinq derniers jours. Le 2 juillet dernier, le bureau central sismologique français avait déjà enregistré une alerte sismique de magnitude 4.0 dans le même secteur, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Ajaccio. Elle n’avait pas alors été ressentie en Corse.
Il n’en reste pas moins que l’île fait partie des territoires où le risque est considéré comme « très faible », selon la nouvelle carte de zonage sismique française entrée en vigueur en mai dernier.
Une information susceptible de rassurer les nombreuses personnes inquiètes ayant composé le 18 dans les minutes qui ont suivi la secousse. Selon la préfecture de région, qui a lancé un appel au calme sur diverses chaînes de télévision dès hier soir, aucune réplique majeure n’était attendue. Pour leur part, les spécialistes du bureau central sismologique français lançaient un autre type d’appel.
Les témoignages - sérieux - des particuliers ayant ressenti la secousse sont en effet les bienvenus sur le site www.franceseisme.fr. Ils permettront ainsi d’aider à calibrer à l’avenir le risque sismique régional.
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Re: INFOS CORSICA
De fortes précipitations attendues mercredi en PACA et en Corse
Un épisode pluvio-orageux est attendu mercredi en région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA), ainsi qu'en Corse, où de "fortes intensités de pluie et parfois de la grêle" sont prévues localement, a annoncé mardi Météo France, qui a placé huit départements en vigilance jaune.
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AFP/Archives
Les intempéries débuteront mercredi à partir de 04h00 du matin et devraient durer jusqu'à 17h00.
Les départements concernés sont les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var, le Vaucluse, la Corse du Sud et la Haute-Corse.
"On prévoit sous les orages de l'ordre de 10/20 à 20/40 mm assez fréquemment, localement 40/60mm", informe mardi soir le Centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) Méditerranée dans un communiqué.
"Ces cumuls seront parfois atteints en un laps de temps de très court, de 1 à 3 heures", ajoute-t-il, en précisant que "le risque d'orages intenses sera probablement plus durable et plus important en PACA qu'en Corse".
Sur son site internet, Météo France souligne que "des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux (ex. mistral, orage d'été, montée des eaux...) sont en effet prévus".
L'organisme conseille notamment la vigilance en cas d'activités "sensibles au risque météorologique ou exposées aux crues
Un épisode pluvio-orageux est attendu mercredi en région Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA), ainsi qu'en Corse, où de "fortes intensités de pluie et parfois de la grêle" sont prévues localement, a annoncé mardi Météo France, qui a placé huit départements en vigilance jaune.
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Les intempéries débuteront mercredi à partir de 04h00 du matin et devraient durer jusqu'à 17h00.
Les départements concernés sont les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes, les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, le Var, le Vaucluse, la Corse du Sud et la Haute-Corse.
"On prévoit sous les orages de l'ordre de 10/20 à 20/40 mm assez fréquemment, localement 40/60mm", informe mardi soir le Centre régional d'information et de coordination routières (CRICR) Méditerranée dans un communiqué.
"Ces cumuls seront parfois atteints en un laps de temps de très court, de 1 à 3 heures", ajoute-t-il, en précisant que "le risque d'orages intenses sera probablement plus durable et plus important en PACA qu'en Corse".
Sur son site internet, Météo France souligne que "des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux (ex. mistral, orage d'été, montée des eaux...) sont en effet prévus".
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