MARCELO BIELSA COACH A POIGNES

Bielsa
unpremier titre
augoût acide Six mois ! Il n'aura fallu que six petits
mois à Marcelo Bielsa pour obtenir un
titre avec l'OM. On savait qu'il était
doué l'Argentin. Mais là, chapeau ! Son
travail a déjà porté ses fruits avec le…
prix Citron.
Le prix Citron ? Une récompense décernée
par France Football et attribuée
à la personnalité la plus antipathique
du PAF. Dans ce Paysage "Autorisé" du
foot français, El Loco serait donc le plus
mauvais élève…
Et comment ! Quel désagréable personnage
ceBielsa qui a décidé, par équité,
de n’accorder aucune interview individuelle
afin de ne pas favoriser un journaliste
par rapport à un autre.
Quel vilain garçon ce Marcelo, qui
donne la compo de son équipe bien souvent
24heures avant tous ses camarades,
répond à toutes les questions des
journalistes, quitte à entrer dans sa philosophie
de jeu et sa tactique durant
des conf’ de presse à rallonge.
Quel sacré provocateur cet Argentin
qui, par respect ou timidité, s’efforce
toujours de ne jamais croiser le regard
de son interlocuteur. Au risque de susciter
les railleries.
Quel méchant coach "El Loco" qui
n’hésite pas à "balancer" sur son club
et même son président si ça lui chante...
faisant ainsi le bonheur de la presse
qui en fait ses gros titres.
Quel homme de mauvaise foi cet entraîneur
qui, même en cas de fautes
grossières contre son équipe, s’est toujours
refusé à formuler la moindre critique
envers le corps arbitral.
Quel sale type ce désormais Marseillais
qui occupe une partie de ses loisirs
en allant à la Timone à la rencontre
d’enfants malades, multipliant les attentions
et assurant le personnel de
l’hôpital qu’il sera toujours à leur service.
Non, Bielsa ne mérite pas ce prix au
goût acide. Il est peut-être anticonformiste
et parfois déroutant. Mais c’est
un personnage entier et exotique . Pas
un citron. Un fruit de la passion.

"Il est anecdotique de finir
premier (à mi-parcours, ndlr)
mais gagner est indispensable"
MARCELO BIELSA

[size=36]Bielsa : «Une récompense»[/size]

Publié le 21/12/2014 à 03:49, Mis à jour le 21/12/2014 à 07:01

Ligue 1 - Le coach de l'OM qui reçoit Lille, se verrait bien champion d'automne

Avant le dernier match de l'année contre Lille aujourd'hui, Marcelo Bielsa balaie l'actualité phocéenne.
[size]
«Peut-on parler de fatigue après la prestation de votre équipe à Monaco ?
Vous dites que mon équipe est fatiguée. Moi, je remarque qu'aucune équipe n'a autant courue que Marseille depuis le début du championnat. Certains ensuite disent que nous avons moins pressé à Monaco, là aussi, c'est faux. Le gardien de Monaco a systématiquement balancé les ballons dans notre camp. Dans ces circonstances, un pressing est impossible car nous ne jouons pas dans le camp adverse.
Le manque de réalisme n'est-il pas aussi une expression de fatigue ?
C'est tout à fait vrai, mais totalement inexact vis-à-vis de la forme actuelle de mon équipe. Il suffit de regarder nos occasions de but pour s'en faire une idée. Vous parlez de fatigue sans tenir compte du rendement individuel des joueurs et sans tenir compte de la possibilité ou non de faire un pressing. Maintenant, si vous persuadez un joueur qu'il est fatigué, il le sera et si le public le lit ou l'entend, il aura tendance à le croire.
Vous avez rencontré Zinédine Zidane récemment, que retenez-vous ?
Zinédine Zidane est un monument vivant du football. C'est plus une statue qu'un être humain, à mes yeux. Sa grandeur provoque une certaine fascination de ma part.
Contre Lille, aurez-vous en tête l'idée d'être champion d'automne ?
Ce serait avant tout une récompense pour les joueurs qui ont consentis des efforts pour cela. Si nous voulons finir champion d'automne, nous savons ce que nous devons faire face à Lille : gagner. Dans notre position, si être champion d'automne reste anecdotique, gagner est indispensable.»
[/size]

[size=36]Bielsa : «Une récompense»[/size]

Publié le 21/12/2014 à 03:49, Mis à jour le 21/12/2014 à 07:01

Ligue 1 - Le coach de l'OM qui reçoit Lille, se verrait bien champion d'automne

Avant le dernier match de l'année contre Lille aujourd'hui, Marcelo Bielsa balaie l'actualité phocéenne.
«Peut-on parler de fatigue après la prestation de votre équipe à Monaco ?
Vous dites que mon équipe est fatiguée. Moi, je remarque qu'aucune équipe n'a autant courue que Marseille depuis le début du championnat. Certains ensuite disent que nous avons moins pressé à Monaco, là aussi, c'est faux. Le gardien de Monaco a systématiquement balancé les ballons dans notre camp. Dans ces circonstances, un pressing est impossible car nous ne jouons pas dans le camp adverse.
Le manque de réalisme n'est-il pas aussi une expression de fatigue ?
C'est tout à fait vrai, mais totalement inexact vis-à-vis de la forme actuelle de mon équipe. Il suffit de regarder nos occasions de but pour s'en faire une idée. Vous parlez de fatigue sans tenir compte du rendement individuel des joueurs et sans tenir compte de la possibilité ou non de faire un pressing. Maintenant, si vous persuadez un joueur qu'il est fatigué, il le sera et si le public le lit ou l'entend, il aura tendance à le croire.
Vous avez rencontré Zinédine Zidane récemment, que retenez-vous ?
Zinédine Zidane est un monument vivant du football. C'est plus une statue qu'un être humain, à mes yeux. Sa grandeur provoque une certaine fascination de ma part.
Contre Lille, aurez-vous en tête l'idée d'être champion d'automne ?
Ce serait avant tout une récompense pour les joueurs qui ont consentis des efforts pour cela. Si nous voulons finir champion d'automne, nous savons ce que nous devons faire face à Lille : gagner. Dans notre position, si être champion d'automne reste anecdotique, gagner est indispensable.»

---

[size]

Décidément, le PSG n'y arrive plus

Pataud et sans éclat. Paris a bouclé l'année civile sur un 0-0 face au Montpellier-Hérault, qui risque fort de lui faire perdre le titre officieux de champion d'automne détenu depuis 3 ans.
Avec ce petit point engrangé, le club de la capitale reste en effet derrière Marseille à la différence de buts (+19 contre +20), et seul un revers de l'OM face à Lille – par 2 buts d'écart –rendrait au PSG le titre honorifique de champion de la phase aller.
Il s'agit du 3e match de la saison où le Paris-SG ne marque pas, le 1er à domicile. La situation n'est évidemment pas alarmante, puisque les Franciliens demeurent en lice sur les 4 tableaux et qu'ils se sont tout de même heurtés à une très bonne défense de Montpellier autour de Hilton.
Mais ce nouvel échec conclut de manière terne un mois de décembre marqué par les 2 premières défaites de la saison (1-3 à Barcelone en C1 et 0-1 à Guingamp en Championnat), un jeu guère impressionnant et finalement pas vraiment d'écart de niveau par rapport à ses concurrents. Pas de quoi rassurer Laurent Blanc…
Les joueurs semblaient déjà penser aux vacances. Ou alors, s'ils étaient pleinement concentrés, le problème est plus grave : une incapacité à emballer le match et menacer l'adversaire, un peu comme chez l'AC Ajaccio (L2) en Coupe de la Ligue mercredi (3-1). Pourtant, il y avait un gouffre, sur le papier : les titulaires suspendu (Verratti) et ménagés (Sirigu, van der Wiel, Maxwell, Thiago Silva, Thiago Motta et Ibrahimovic) étaient là…[/size]

[size=30]Ligue 1: Bielsa, le geek qui fait du foot une science[/size]
28/12/2014 18:30


suivanteprécédente

GPS, capteurs pour mesurer l'accélération, contrôle vidéo: la "méthode Bielsa", qui a fait de l'OM un séduisant champion d'automne en L1, s'appuie sur les dernières technologies d'aide à la performance, loin de l'image un peu vieux jeu des longues causeries tactiques.

La trêve touche bientôt à sa fin et les joueurs marseillais reprendront l'entraînement lundi. C'est devenu une habitude: à chaque séance, ils enfilent une sorte de brassière plutôt inélégante, mais qui renferme un monstre de technologie.
GPS, gyromètre, accéléromètre... "Ce boîtier mesure leurs déplacements, leurs mouvements, l'intensité de leurs efforts", explique à l'AFP Paul Boanas, à la tête de la section Europe de l'entreprise Catapult Sports, qui fournit, pour 2.700 euros pièce, ce boîtier à l'OM. "Cela permet par exemple de voir le temps passé en l'air à chaque saut, ou les plongeons des gardiens..."
L'OM, comme l'AC Milan, la sélection suédoise de football ou encore, en rugby, l'ASM Clermont ou le RC Toulon, selon l'entreprise, stocke ensuite ces données pour mesurer le niveau de forme ou l'apport dans le jeu de ses joueurs.
Résistance physique
"Cela permet de contrôler les zones de jeu, mais aussi de vérifier le niveau de forme de joueurs, de s'assurer qu'ils ne donnent pas trop à l'entraînement pour ne pas arriver fatigués au match, ou encore de tirer la sonnette d'alarme en cas de blessure, si la charge de travail est trop élevée", poursuit M. Boanas.
La capacité de résistance physique est une donnée essentielle dans le football moderne, et davantage encore dans le système de jeu mis en place par Marcelo Bielsa, fait de possession, de répétitions d'efforts et d'agressivité sur le porteur de balle.
"Aucune équipe n'a autant couru que Marseille depuis le début du championnat", a récemment souligné l'Argentin. Les statistiques de la LFP font valoir une autre réalité: sur ses 19 matches de la phase aller, l'OM a toujours eu plus le ballon que son adversaire (PSG compris), avec une moyenne de 56,7% de possession, qui monte à 59,6% sur les cinq derniers matches.
Pour permettre une telle débauche d'énergie, les joueurs effectuent un gros travail de foncier. Début décembre, Florian Thauvin expliquait ses performances en demi-teinte du début de saison par un problème physique: son corps "n'était pas prêt pour encaisser tous les efforts" demandé par Bielsa, et il lui a fallu "un peu de temps" pour s'adapter.
Rationaliser les efforts
C'est à cette fin que l'OM a recruté en juin, à la demande de Marcelo Bielsa, le Belge Jan Van Winckel au poste de préparateur physique. Passé par le club saoudien d'Al-Ahli, cet universitaire est l'auteur d'un livre sur l'application des connaissances scientifiques dans le football (Fitness in soccer) et cofondateur de Topsportslab, une entreprise spécialisée en gestion de la performance.
Et sans qu'il soit possible d'établir de causalité directe, force est de constater que l'OM est passé entre les gouttes de pépins physiques majeurs, contrairement à d'autres formations de Ligue 1.
Cette solidité de l'effectif est aussi la conséquence d'une rationalisation des efforts: c'est le rôle de la vidéo. "Concernant l'analyse vidéo, Marcelo Bielsa est arrivé avec ses propres méthodologies et logiciels", explique à l'AFP Thomas Schmider, PDG de Prozone-Amisco, partenaire de longue date de l'OM et qui se sert de la vidéo pour compiler les statistiques en matches.
Comme les joueurs ne sont pas autorisés à porter de GPS en match, ce sont des caméras qui enregistrent leurs déplacements et leur rapidité de mouvement. Des images compilées puis revisionnées, par les joueurs et par Bielsa, pour corriger erreurs de placements ou de choix offensifs.
"Il revoit tous les matches", avait expliqué André-Pierre Gignac mi-décembre. "Ce qu'on n'a pas fait lors du match précédent, on va le refaire à l'entraînement, et le refaire jusqu'à ce que ça rentre."

"A lo loco
se vive mejor"
Par Alexandre JACQUIN
Jamais un entraîneur n’a autant fait chavirer
le coeur des amoureux de l’OM. De prime
abord, Marcelo Bielsa n’a pourtant rien
d’un séducteur. Du lundi au dimanche, de
La Commanderie au stade Vélodrome, de
l’Intercontinental Hôtel Dieu, où il a ses habitudes,
à l’Ouest du littoral varois, où il a
pris un pied-à-terre, l’Argentin reste fidèle
à lui-même. Un survêtement (bleu, de préférence),
une paire de lunettes (de vue), deux
montres (une à chaque poignet, histoire de
savoir l’heure qu’il est à Rosario, sa ville natale)
et le voilà paré pour décoller. Direction
la planète Mars(eille), où des fidèles
toujours plus nombreux lui vouent un culte,
auquel aucun autre coach n’a eu droit auparavant.
Pas même le légendaire Raymond
Goethals, alias "Raymond-la-science",
champion d’Europe (1993) et triple champion
de France (1991, 1992 et 1993).
Le palmarès olympien de l’ex-sélectionneur
de l’Albiceleste est pourtant vierge, le
titre de champion d’automne n’étant que
symbolique. Alors, comment ce "Fada" pas
comme les autres a-t-il pu mettre tant
d’aficionados dans sa poche et transformer
les sceptiques en fanatiques si rapidement?
En ramenant le débat au terrain,
tout simplement. L’exigeant public du Vel’
rêvait de victoires, de buts, de jeu, de
spectacle… Il est servi comme un roi.
On dit que l’OM rend fou? Bielsa l’était
déjà. Dans son précédent club, l’Athletic Bilbao,
où sa magie a opéré de 2011 à 2013, un
chant lui avait d’ailleurs été dédié par les
supporters basques. "A lo loco se vive mejor",
entonnaient ces derniers. Traduisez :
"En étant fou, on vit beaucoup mieux".
Les qu’en-dira-t-on? Le Sud-Américain ne
s’en préoccupe même pas. Dans son monde,
seuls comptent le résultat et la manière
dont son groupe progresse. Ça tombe bien,
c’est justement pour cela que Vincent Labrune
a fait appel à lui.
Hermétique aux secousses d’une maison
blanche qui a fait perdre la tête à plus d’un
dirigeant, l’entraîneur préféré des Marseillais
avance sans se laisser perturber.
Dans la cité phocéenne, il est un illuminé du
ballon rond parmi tant d’autres. Sauf que
grâce à lui, des dizaines de milliers de passionnés
qui avaient perdu foi en l’OM, ont
retrouvé le sourire. Avant de lui souhaiter
une bonne année 2015, commençons donc
par l’essentiel : "Gracias, señor Bielsa

OM : Valbuena regrette Bielsa


cfOM en direct - Région en direct

nMercredi 31/12/2014 à 14H04 o Marseille



Chargement ...








Mathieu Valbuena semble épanoui en Russie. Le milieu de terrain international a rejoint le Dinamo Moscou lors du mercato estival cette année après 8 saisons passées à l'OM. "Le petit" a accordé une interview au site de L'Equipe ce mercredi dans laquelle il reconnaît avoir un seul regret : celui de ne pas avoir évolué sous les ordres de Marcelo Bielsa.

"L’effectif est le même et pourtant, il est méconnaissable par rapport à l’an dernier. Un nouvel entraîneur est arrivé, il a insufflé une nouvelle mentalité. Le changement a été total et tout le monde s’est remis au boulot. Ça me laisse quand même une pointe de regret par rapport à l’an dernier, avoue Mathieu Valbuena.

On ne va pas refaire le film de la saison, mais c’était un peu du gâchis. J’aurais bien aimé travailler sous les ordres de Marcelo Bielsa. C’est un grand entraîneur avec des méthodes qui peuvent paraître dures, mais on voit bien ce qu’il apporte aux joueurs. Lorsqu’on s’était entretenu, notre discussion avait été sincère. J’aurais voulu travailler avec lui, ça aurait été sympa, mais j’ai fait le choix de partir. Aucun regret."

[size=40]Bielsa : «Beaucoup d'enthousiasme»
Marcelo Bielsa, l'entraîneur de l'OM, a assuré vendredi que «l'état d'esprit et (l'état) physique» de ses joueurs sont excellents, à deux jours du 32e de finale de Coupe de France contre Grenoble (dimanche 20h45).

[/size][size]TweeterPartagerPartager

[/size][size]TweeterPartagerPartager


a+a-imprimerRSS

Marcelo Bielsa et l'OM démarrent l'année 2015 face à Grenoble. (L'Equipe)

[/size]

«La semaine de repos vous a-t-elle fait du bien? 
Ça a été une pause nécessaire qui nous a fait du bien, en effet.

Dans quel état est le groupe avant de jouer son premier match de l’année 2015?
Bien. L’état d’esprit et l’état physique sont excellents. Mes joueurs ont beaucoup d’enthousiasme.

«Tous les matches officiels sont importants»

La Coupe de France est-elle importante?
Tous les matches officiels sont importants.

Si vous êtes éliminés, il ne va rester que le Championnat à jouer…
En effet, mais tous mes joueurs auront le même nombre de chances de jouer, même si les compétitions sont différentes.

Allez-vous aligner votre équipe type contre Grenoble?
Je vais essayer de faire jouer la meilleure équipe, tout en prenant en compte les futures absences de Nicolas Nkoulou et André Ayew à la CAN. Je n’ai pas encore arrêté ma décision sur ma composition.



[size]La bonne prestation de Michy Batshuayi contre Lille peut-elle vous amener à changer votre schéma de jeu?
Non, je ne changerai pas mon système de jeu. Michy a été très bon dans la position de Payet. Ce dernier a été un des meilleurs joueurs en début de Championnat. Les deux options sont possibles et sont bonnes.

Que pouvez-vous dire sur le jeu de Grenoble?
C’est une formation qui a une bonne attaque, habile techniquement, qui tente toujours de jouer. Elle a de la jeunesse et de l’expérience de façon équilibrée.

Un match de rugby va se jouer la veille de votre 32e de finale de Coupe de France au Stade des Alpes...
C’est une réalité qu’il faut assumer. La pelouse va souffrir de cette rencontre, mais je ne considère pas cela comme un problème, car ça va être une difficulté pour les deux équipes.

Le mercato ? «Recruter s'il y a des départs»

Florian Thauvin va retrouver son club formateur. Comment trouvez-vous sa première partie de saison?
C’est un joueur avec beaucoup de potentiel et une grande capacité à déséquilibrer l’adversaire. J’imagine qu’avec le temps, il va devenir un des meilleurs joueurs français. Il pourra ensuite devenir un des meilleurs du monde.

Il n’y a que deux joueurs qui vont partir à la CAN. Est-ce que ça change quelque chose pour le mercato?
Je me suis exprimé sur le mercato en septembre. Ce sujet est désormais clos.

Un prêt de Doria est-il envisageable ?
La décision du club est de recruter de nouveaux joueurs s’il y a des départs. C’est la seule information que j’ai.»

Rédaction
[/size]