ILS FONT HONNEUR A LA NATURE HUMAINE

Samu social a besoin d'aide pour abreuver les SDF


Marseille / Publié le jeudi 25 juillet 2013 à 20H12

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René Giancarli, responsable du Samu social municipal, est confronté aux conséquences des très fortes chaleurs, aujourd'hui. Avec ses équipes, il doit amener à boire à des centaines de SDF qui souffrent des très fortes chaleurs qui règnent sur Marseille. "Nous distribuons environ 2 000 litres d'eau par jour en bouteille. Il nous faut passer à la vitesse supérieure."
En clair, il manque de bidons, de jerrycans, de nourrices alimentaires de cinq, dix ou vingt litres pour une distribution plus efficaces. "Nous sommes prêts à aller les chercher chez les personnes ou les entreprises qui veulent bien nous les donner, reprend René Giancarli. Bien entendu, si les détenteurs de jerrycans sont prêts à les amener au samu social, ils seront les bienvenus."
Car il faut savoir que les SDF ne boivent pas - et ce n'est pas simple dans une ville où les points d'eaux sont rares - ils risquent leur vie. Les décès sont plus nombreux en été qu'en hivrer.  
Pour contacter le samu social, appeler le 04 95 04 58 50, 10, bd Ferdinand de Lesseps, Marseille 15e

Montpellier : la Boussole, un collectif désorienté
LUCY MOREAU
30/07/2013, 11 h 20 | Mis à jour le 30/07/2013, 11 h 22





Le collectif vient de lancer un appel aux dons. (ARCHIVES)
L’article 140 du 29 juillet 1998 prévoit que "l’égal accès de tous, tout au long de la vie, à la culture, à la pratique sportive, aux vacances et aux loisirs constitue un objectif national".
Unir les sans-abri grâce au football. 



C’est pour donner sens à cette loi que le collectif la Boussole, composé de 7 associations (soit en tout 11 salariés), s’est crée en 2008. Dans ce cadre, le collectif participe depuis deux ans au déroulement de la Homeless world cup. Cette coupe du monde des sans-abri a été fondée en 2001, par Mel Young, dans le but d’unir les sans-abri via la langue internationale du football.
La pratique sportive est "un socle commun qui aide ces personnes à croire en eux, pour qu’il puisse avancer en prenant conscience de leur détermination, c’est pourquoi la Homeless world cup constitue un réel tremplin social", déclare Eléonore Angles, éducatrice spécialisée membre du collectif la Boussole.
Un coût de 30 000 €
Seulement, participer à cette coupe, qui a lieu cette année en Pologne, a un coût : 30 000 €. Cette somme est prévue pour l’hébergement, le transport, la nourriture, les terrains, et l’équipement de 10 joueurs sélectionnés, un entraîneur, deux entraîneurs adjoints et un travailleur social.
Le bus qui doit les mener au but ultime est attendu le 7 août. Néanmoins, ce bus a besoin d’essence pour rouler vers la victoire, et les subventions avancées pour le moment ne suffisent pas.
C’est pourquoi un appel aux dons est lancé par le collectif via e-mail à cette adresse : laboussoledusud@gmail.com.

TFC-Arles le 5 septembre pour les sinistrés des inondations



Le 5 septembre prochain, Toulouse, pensionnaire de Ligue 1, et Arles-Avignon, club de Ligue 2, se rencontreront à Saint-Gaudens (Haute-Garonne) dans un match au profit des sinistrés du sud de la Haute-Garonne touchés par les inondations du 18 juin. Une première évaluation des dégâts avait estimé à 35 millions d'euros le montant des dégâts toutes catégories confondues

Hasards de l'amitié...

Il s'appelait DESIRE , c'était un pauvre fermier écossais.
> Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.
Il laissa tomber ses outils, y courut et y trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.
... Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.
Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.
Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.
- Je veux vous récompenser, dit le noble.
Vous avez sauvé la vie de mon fils!
- Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.
Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.
- C'est votre fils? demanda le noble.
- Oui, répondit fièrement le fermier.
- Alors, je vous propose un marché.
Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils.
Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux serons fiers.
Et le fermier accepta.
Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale,
il fut diplômé de l'Ecole de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres.
Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier.
Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.
Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.
Qui lui sauva la vie, cette fois ?... La pénicilline.
Comment s'appelait le noble ?
Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.

Quelqu'un a dit un jour :
" Tout ce qui s'en va, revient... "
Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent.
Aime comme si tu n'avais jamais été blessé.
Danse comme si personne ne te regardait.
Chante comme si personne ne t'écoutait.
Vis comme si le Ciel était sur la Terre.Afficher la suite


Je n’aime plus · · =100003935447512&p[1]=1723495064458325&profile_id=1765493746&share_source_type=unknown]Partager · il y a 12 heures ·

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  Jean Olivier Legrand Info ou légende ??
  il y a 12 heures via mobile · J’aime
  
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  Dominique Bellin Il me semble que c'est une histoire vécue ! Je te confirme dans la semaine ... Je contacte mon informateur . Bises à la famille mon JO!
  il y a 12 heures · J’aime
  
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  Dominique Bellin LEGENDE ! Alexander Fleming a nié la légende sur le financement de ses études par le père de Winston Churchill. Celui-ci aurait payé l'éducation de Fleming après que le père de celui-ci eut sauvé de la mort le jeune Winston : selon la biographie due à Kevin Brown, l'Homme de la pénicilline : Alexander Fleming et la Révolution des antibiotiques, Alexander Fleming disait qu'il s'agissait « d'une bien belle fable ».
  

Elie Emsellme moi j'ai envie de croire la 1 ere histoire !

Médaillés pour acte de courage et dévouement
Avignon / Publié le mercredi 28 août 2013 à 17H36


Le 5 juillet dernier, Brice Petit et Gilles Freziere ont sauvé de la noyade une femme qui se trouvait à bord de son véhicule dans le Rhône, sur l'île de la Barthelasse. Sans hésiter, après avoir prévenu les secours, ils avaient plongé dans le fleuve et, en cassant la vitre de la voiture avec une pierre, avaient réussi à en extirper la victime. Celle-ci, inanimée, avait de l'eau jusqu'au menton. Pour leur geste héroïque, ils recevront vendredi en préfecture la médaille de bronze pour acte de courage et de dévouement.

Une grande surprise pour les 80 ans de Just Fontaine
Publié le 30/08/2013 à 07:30 | 5
anniversaire

L'anniversaire surprise de Just Fontaine, qui a fêté ses 80 ans hier soir au Stadium, entouré de sa famille./Photo DDM Michel Viala



Just Fontaine a soufflé ses 80 bougies. Hier soir, une surprise lui était réservée au Stadium, où une assemblée a accueilli la légende pour lui souhaiter un bon anniversaire.
«Des gens sont nés toulousains, moi j’ai choisi de l’être». Just Fontaine, meilleur buteur de l’histoire des coupes du monde, a fêté ses 80 ans au Stadium hier soir, une fête surprise, dans son jardin, dans un stade qu’il a vu grandir, dans sa ville de cœur. «Je pensais venir à une remise de médaille pour mon petit-fils», s’exclame l’ancien buteur, tout ému devant une assemblée qui s’était donné le mot. Une fois l’effet de surprise passé, «Justo» est revenu lui-même, faisant rire son entourage dès ses premiers mots. Dans l’espace affaire du Stadium, une trentaine de personnes était venue lui rendre hommage, dont Pierre Cohen, maire de la ville, Éric Laffont, directeur des relations extérieures du groupe Dépêche du Midi, Jean-Claude Couailles, président du district de football de Haute-Garonne Midi Toulousain. Parmi les autres invités, qui n’ont pas pu être présents, Michel Platini, Noël Le Graet, président de la fédération française de football ou encore Jean-Pierre Caillot, le président du Stade de Reims ont laissé un message vidéo au héros de la soirée. Après un film d’une dizaine de minutes, retraçant sa carrière, Justo a fait le show, au travers d’anecdotes croustillantes. Comme lorsqu’un vacancier avec qui il échange quelques ballons sur la plage, pendant la coupe du monde au Mexique, sans le reconnaître, lui promet une grande carrière, ou encore quand un Toulousain, un soir, lors d’un dîner, le félicite pour ses soi-disant essais inscrits lors d’un match de rugby.
Toujours en forme, la légende du football mondial a amusé la galerie toute la soirée, entre histoires drôles et souvenirs glorieux. Dans un coin de la réception, tout en haut des tribunes, Justo, en compagnie de son épouse confiait : «c’est ici même que je l’ai rencontré, à côté du Stadium, au bord des terrains, et aujourd’hui on est encore là ensemble, c’est beau.» Souriant, Justo, légende vivante du football mondial, s’est baladé accompagné de ses petits-enfants, qui ont aidé à préparer la surprise : «de toute façon lui, il a mal tourné, raconte le grand-père, il est devenu gardien de but.» Une énième feinte pour le génial buteur qu’il a été, et qui continue aujourd’hui encore à marquer les esprits, mais en dehors des terrains.

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Un buteur historique
Auteur d’une formidable carrière, c’est lors de la Coupe du monde 1 958 en Suède que «Justo» a marqué le football de son empreinte. En 6 matches, l’avant-centre français a réussi la performance d’inscrire 13 buts. Un exploit qui ne sera probablement jamais égalé.

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Euro de basket: la France réussit l'exploit

Publié le samedi 21 septembre 2013 à 00H31

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  La France, énorme de coeur, a réussi à renverser l'Espagne (75-72 a.p.), la nation qui depuis sept ans terrorisait l'Europe et lui avait fait vivre ses pires souffrances, pour retrouver la finale de l'Euro-2013 messieurs de basket, vendredi à Ljubljana.
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
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  La France, énorme de coeur, a réussi à renverser l'Espagne (75-72 a.p.), la nation qui depuis sept ans terrorisait l'Europe et lui avait fait vivre ses pires souffrances, pour retrouver la finale de l'Euro-2013 messieurs de basket, vendredi à Ljubljana.
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
  
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  Le Français Tony Parker lors de la demi-finale de l'Euro de basket contre l'Espagne le 20 septembre 2013 à Ljubljana
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
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  Le Français Tony Parker lors de la demi-finale de l'Euro de basket contre l'Espagne le 20 septembre 2013 à Ljubljana
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
  
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  Le Français Tony Parker (à gauche) avec l'Espagnol Victor Claver lors de la demi-finale de l'Euro de basket le 20 septembre 2013 à Ljubljana
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
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  Le Français Tony Parker (à gauche) avec l'Espagnol Victor Claver lors de la demi-finale de l'Euro de basket le 20 septembre 2013 à Ljubljana
  Photo - AFP - Andrej Isakovic
  
  

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Ljubljana (AFP) - La France, énorme de coeur, a réussi à renverser l'Espagne (75-72 a.p.), la nation qui depuis sept ans terrorisait l'Europe et lui avait fait vivre ses pires souffrances, pour retrouver la finale de l'Euro-2013 messieurs de basket, vendredi à Ljubljana.
Ils l'ont fait, enfin ! Les Bleus, admirables de cohésion et d'abnégation, ont tordu le cou à la malédiction qui les accompagnait face à cette prodigieuse équipe espagnole, championne du monde en 2006, championne d'Europe en 2009 et 2011, et vice-championne olympique en 2008 et 2012.
Le scénario, invraisemblable, ajoute encore à leur joie. Déboussolés pendant vingt minutes, les Bleus, avec une défense acharnée, une adresse revenue et un Tony Parker insaisissable (32 points) ont miraculeusement retrouvé leur jeu pour arracher une prolongation inespérée.
Puis les Espagnols, habituellement si sereins ont perdu leur maîtrise d'eux-mêmes, accumulant les pertes de balles et tirs ratés. Le meneur des Spurs, jamais si à l'aise que dans ce genre d'atmosphère, s'est alors chargé de les punir, bien aidé de tous ses coéquipiers très solides mentalement.
Mais si l'exploit est sensationnel, il reste encore à décrocher ce premier titre attendu depuis si longtemps par le basket français. Car il n'est pas question désormais de se contenter de l'argent européen, déjà ramené en 1949 et 2011.

Neuvième médaille

"On veut l'or, il ne faut pas se tromper d'objectif, battre l'Espagne c'est bien, mais ce n'est pas fini", a prévenu Parker.
Déjà assurés de remporter une neuvième médaille dans un grand tournoi, les Bleus devront rééditer le même genre de performance dimanche (21h00) face à la Lituanie, beaucoup trop forte pour une équipe de Croatie un peu tendre (77-62).
Les Français ont déjà eu à tâter du bâton lituanien en phase de poules. Les géants baltes les avaient mis à la torture (76-62). Mais leur motivation était encore un peu chancelante en ce début d'Euro.
Avec cette finale, la génération menée par Tony Parker, lequel dispute son septième Euro, confirme sa régularité au plus haut niveau. Il ne lui reste plus qu'à conquérir ce titre qui la rendrait à jamais inclassable.
En venant à bout de cette Espagne qui leur avait barré la route à l'Euro-2009 et 2011, et aux JO-2012 (quart), ils ont prouvé qu'ils avaient définitivement atteint l'âge mûr, eux qui avaient souvent manqué de maîtrise par le passé.
Pour passer, les Bleus ont dû livrer la bataille de leur vie, tant l'Espagne, a la victoire chevillée au corps. L'équipe alignée en Slovénie est sans doute moins douée offensivement que celles qui l'ont précédée. Alors, elle a reporté son attention sur la défense.
Cette défense, la meilleure de l'Euro jusque-là (61,1 points de moyenne encaissés), a tétanisé les Bleus, qui ont fourni une horrible prestation offensive en première période avec seulement 20 points inscrits, dont... 14 pour le seul Parker.

14 points de retard

Le meneur des Spurs a été le seul, avec un Diaw maladroit, à essayer de perforer ce maillage défensif parfaitement tissé. Les autres, les jeunes, à l'image d'Alexis Ajinça, sont apparus trop timorés, comme étouffés sous le poids de l'enjeu.
Quand à Nicolas Batum, ses deux fautes rapides l'ont empêché d'avoir une quelconque influence pendant les vingt premières minutes. Avec 14 points de retard à la pause (20-34), les Bleus étaient dans une situation presque désespérée.
Mais les Espagnols commençaient alors à leur tour à avoir du mal à scorer sur la zone française. Les Français se libéraient. Antoine Diot puis Mickaël Gelabale, par deux fois, trouvaient à leur tour la mire à trois points et le match pouvaient vraiment commencer (44-46, 30e).
Après trente minutes très tenues, on basculait alors dans l'irrationnel. Les deux se équipes mettaient à artiller à trois points à tout va. Rudy Fernandez faisait énormément de mal aux Bleus, mais ceux-ci s'accrochaient.
La France perdait Gelabale, apparemment touché à une cheville. Les trois dernières minutes étaient ébouriffantes de suspense, la tension phénoménale. La France basculait devant sur un trois points de Parker (64-63, 38e), mais la prolongation pointait son nez.
Les Espagnols partaient devant, mais comme dans tout ce match, les Bleus revenaient. Parker se faisait balancer en contre-attaque et donnait 4 points d'avance aux siens (71-67) à 41 secondes de la fin. Sur la ligne des lancers francs, les Bleus parvenaient tant bien que mal à conserver cette avance.

E-Topie transforme Aix capitale de l'art numérique

Aix-en-Provence / Publié le mardi 08 octobre 2013 à 20H17



Photo Karin Andersen
"Angelus Novissimus" une pièce de théâtre qui mêlera vrais acteurs et mondes virtuels au Bois de l'Aune.



Parcours d’expositions, concerts, live audiovisuels et spectacles vivants, performances, balades urbaines, curiosité, robotique, pièce de théâtre mêlant acteurs réels et mondes virtuels… Du 10 octobre au 10 novembre, "E-topie" de MP 2013 proposera un programme fleuve autour des nouvelles technologies à Aix.
L'événement rallie sous sa bannière la 9e édition du festival Gamerz à l’École supérieure d’art, à l'Arcade Paca et au théâtre du Bois de l'Aune ainsi que "Chroniques des Mondes Possibles" que Seconde Nature pilote dans ses propres murs, à la Fondation Vasarely, au Museum d'Histoire Naturelle et au centre chorégraphique du Pavillon Noir.
Retrouvez l'intégralité du programme de E-Topie sur http://www.festival-gamerz.com et sur http://www.secondenature.org

SOLIDARITÉ● Unis-Cité
Méditerranée. L’association recherche
96 jeunes à Marseille
de 18 à 25 ans qui souhaitent
s'engager en Service civique en
PACA, pendant9mois (octobre
2012 à juin 2013) à temps plein,
sur des projets en équipe. Sur
Marseille, les missions proposées
couvrent diverses thématiques.
Les Mediaterre : les volontaires
amènent l'écologie dans
les quartiers. A travers l'organisation
d'activités, ils vont à la
rencontre des familles et proposent
l'adoption d'éco-gestes
afin d'optimiser leur consommation
énergétique tout en favorisant
le lien social. Plus d'informations
sur www.lesmediaterre.
com- Solidarité intergénérationnelle
et embellissement
de l'habitat : les volontaires
vont à la rencontre de personnes
âgées en situationdeprécarité
sociale et physique et leur
apportent joie de vivre par leur
présence et de petits aménagements
simples permettant
d'améliorer la qualité de vie
dans leur logement. Handicap :
accompagnement de personnes
en situationde handicap
afin de leur favoriser l'accès
lors d'évènements ou sur des
sites culturels et de loisirs.

Les stars chaussent les crampons pour Yanis
La Ciotat / Publié le Mercredi 23/10/2013 à 19H10

Demain soir, à partir de 18h, au stade Bouissou à La Ciotat, des personnalités du sport - Fabien Barthez, Marcel Dib, Olivier Panis, Maxime Mermoz - et de la musique - David Hallyday - participeront à un match caritatif pour aider Yanis, un petit Marseillais âgé de 6 ans qui souffre d'insuffisance cérébrale et musculaire.

La Fondation pour l'enfance Julie Tonelli est à l'initiative de cette rencontre avec l'aide de la Ville aussi. Elle espère réunir des fonds pour aider la famille car une méthode "Biofeedback" existe en Allemagne. Celle-ci peut améliorer l'état de santé de Yanis. Le public est donc invité à venir nombreux assister au match et soutenir l'association "Pouryanis".

/ Foot

MATCH CARITATIF
Des stars, de la générosité et de l'émotion pour Yanis

La Ciotat / Publié le Vendredi 25/10/2013 à 05H10

Comme au bon vieux temps de l'ESLC, le stade Bouissou a fait le plein hier

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  Autour du jeune Yanis, les stars de cette rencontre du coeur qui a fait le plein à La Ciotat : Patrice Eyraud, Olivier Panis, Frédéric Meyrieu et David Halliday.
  reportage photos frédéric speich
  
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  Autour du jeune Yanis, les stars de cette rencontre du coeur qui a fait le plein à La Ciotat : Patrice Eyraud, Olivier Panis, Frédéric Meyrieu et David Halliday. reportage photos frédéric speich
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  
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  David Hallyday à la tête des All star drivers, Alain Bernard en conversation avec Maurice Serrus, président de l'ES La Ciotat et Fabien Barthez en séance autographes.
  

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Une tribune pleine (800 spectateurs), on n'avait pas vu ça au stade Bouissou à La Ciotat depuis belle lurette. C'est l'une des grandes satisfactions de cette rencontre caritative entre l'équipe de l'Etoile sportive de La Ciotat et les All stars drivers. Un match au profit de l'association "Pour Yanis" qui vient en aide à ce petit Marseillais de 6 ans atteint d'une insuffisance cérébrale et musculaire qui nécessite des soins coûteux et non remboursés.
Accompagné de son papa Farouk, taxi dans la cité phocéenne, et de sa maman Stéphanie, Yanis a été au centre de toutes les sollicitudes. Et le public a été généreux versant dans les deux urnes prévues à cet effet, qui des chèques, qui des billets et même pour les plus jeunes quelques piécettes. "Je tiens à remercier tout le monde, soulignait très ému le papa, et aussi à rendre hommage à l'association Julie Tonelli pour l'enfance qui nous soutient".
Maurice Serrus, président de l'Etoile sportive, Xavier Tassaro, directeur sportif du club et Mickaël Elbeze, parrain de l'association "Pour Yanis" ont vraiment eu une bonne idée en mettant sur pied cette rencontre. Les vacances scolaires et la finale du GT Tour ce week-end au circuit Paul Ricard au Castellet ont permis la réussite de cette soirée avec la venue de nombreux pilotes renforcés par d'anciens pros. Un champion du monde (Fabien Barthez), un champion olympique (Alain Bernard), une star du show-bizz (David Hallyday), il n'en fallait pas plus.
Tout le monde a joué le jeu. David Hallyday s'est prêté de bonne grâce aux demandes de photos. Sur le terrain, en revanche, ce n'était pas vraiment ça. "Je fais attention, j'ai un rendez-vous important ce week-end." Alain Bernard a surtout joué de sa taille mais le champion olympique de Pékin sur 100 m nage libre est plus à l'aise dans l'eau que balle au pied. Les plus en vue : Frédéric Meyrieu et Patrice Eyraud. Si les ans pèsent un peu sur le physique des deux ex-Olympiens, la technique est toujours là.
Le public attendait Fabien Barthez. Il est arrivé en retard, il n'a pas joué mais a gagné à l'applaudimètre et n'a pas arrêté de signer des autographes à tous les bambins. Le match lui-même et le score sont anecdotiques. Les joueurs de La Ciotat ont gagné face à une équipe des All Stars qui a évolué à 13 joueurs en fin de match. Il y a eu des buts, certains très beaux, mais il y a eu surtout de la générosité. C'était l'essentiel.

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Il existe une autre association qui collecte des dons pour un enfant atteint de la même pathologie que Yanis, habitant Aix et s'appelant lui aussi... Yanis. Cette autre association s'appelle "De l'espoir pour Yanis" et a déjà organisé des rencontres sportives et autres manifestations pour permettre à l'enfant d'aller suivre un traitement aux États-Unis. Un match de football, avec notamment Jean-Pierre Papin, est d'ailleurs programmé pour 2014, mais il s'agit bien de deux causes différentes.

FORMATION● Centre départementaldes
Bouches-du-Rhônede formationdesportifs et
moniteursensauvetage secourisme.BNMPS/PAE3 (Brevet
national moniteur des premiers secours) : du 31 octobre au 3
novembre et du 5 au 9 novembre. Examen le vendredi 9 novembre.
Recyclage moniteur SST (formation continue des formateurs
SST) : du 12 au 14 décembre. Les cours de natation et aquagym ont
lieu tout au long de l’année.
➔ Renseignement et inscriptions: CFMS 13, 33, av. Elléon, La Valbarelle Heckel, bt M4 (11e),
0491 44 86 10, 06 07 47 25 88, www.cfms13.com — CFMS13@free.fr

Albi. Quand le charpentier popote pour ses ouvriers

Publié le 02/11/2013 à 03:50, Mis à jour le 02/11/2013 à 07:37 | 13

Original

Midi, les ouvriers sont revenus des chantiers, c'est l'heure du repas chez Bourdoncle./Photo DDM, J-M.Lamboley.



Paul Bourdoncle et sa fille Émilie gèrent leur entreprise de charpente bois et couverture. Tous les jours ils préparent aussi le repas de midi pour les employés.
Il est un peu plus de midi à l’atelier de l’entreprise Paul Bourdoncle à Puygouzon. Le patron et sa fille Émilie ont quitté le bureau, les factures, les devis, le téléphone et poussé la porte de la petite cuisine juste à côté où depuis le matin mijote le menu du jour. «Aujourd’hui, détaille Paul tout en dressant la table dans la salle à manger, c’est lentilles en salade, poulet au citron et porto, carottes rissolées au cumin, fromage et petits sablés». Mais pas le temps de trop s’éterniser, les premiers ouvriers arrivent. Ils s’installent autour de la table.
Depuis près de trois ans ça se passe comme ça chez Bourdoncle à Puygouzon. Les ouvriers charpentiers couvreurs rentrent à l’atelier à midi pour prendre leur repas.
Tout est parti d’une remontrance de l’Urssaf par rapport à la prime de panier-repas versée par Paul Bourdoncle à ses salariés. «On a des chantiers un peu partout, certains ouvriers pouvaient rentrer chez eux à midi, d’autres pas, bref la gestion était très compliquée. Moi je donnais la prime à tous mais ce n’était pas légal».
Meilleur que la gamelle
Pour régler la question, l’idée de nourrir directement les employés n’a pas mis bien longtemps à mûrir d’autant que Paul a quelques prédispositions derrière les fourneaux. «C’est vrai que j’aime bien cuisiner, dit-il, la première année, j’ai donné, maintenant c’est ma fille qui fait les 3/4 du boulot» . «J’ai appris sur le tas, confirme Émilie, au début je n’y connaissais rien, maintenant je m’y suis mise». Et visiblement la formule du repas à l’atelier plaît. «C’est nettement meilleur que la gamelle», relève cet ouvrier. «C’est vendeur comme concept, ajoute son collègue, quand on cherche un travail savoir qu’on n’a plus besoin de se préparer à manger la veille, c’est génial et ça me va très bien. En plus c’est convivial, on se retrouve tous, on discute de choses et d’autres. Je ne connais pas un autre artisan qui fasse comme ça».

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repères
Le chiffre : 12
Salariés>Bourdoncle. C’est le nombre de salariés de l’entreprise Bourdoncle à Puygouzon.

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Du frais tous les jours
Préparer des repas pour une quinzaine de personnes (12 employés plus le patron et sa fille) nécessite une certaine logistique. «En général on prévoit la veille, le menu du lendemain, explique Paul Bourdoncle, c’est une question d’organisation, de plus en plus c’est Émilie qui s’occupe de faire les courses». «Pour la viande et le pain, on a des fournisseurs attitrés, ajoute Émilie, les légumes viennent des marchands de primeurs». Comme tous les aliments sont cuisinés au jour le jour, pas besoin de grands frigos, en cas de restes, ils finissent à la poubelle.