CHRISTOPHE JALLET

Christophe Jallet pendant la trêve internationale. Malgré deux séances d'entraînement par jour, le latéral droit du Paris Saint-Germain a abordé tous les sujets du moment et, notamment, l'équipe de France. «J'ai été blessé au mauvais moment, a confié l'ancien joueur de Niort et Lorient. J'étais convoqué pour le match en Norvège, mais j'ai dû déclarer forfait. Là, Sagna était blessé mais Blanc a rappelé Réveillère. J'espère que ma chance n'est pas passée.» A 26 ans, Jallet reste plus jeune que ses «rivaux» (Réveillère a 30 ans, Fanni 28 et Sagna 27) pour un poste où les candidats ne sont pas légion en France.

Laurent Blanc justifie ses choix pour l'Euro.
Pour le poste de latéral droit, Christophe Jallet ne pouvait pas concurrencer Mathieu Debuchy et Anthony Réveillère ?
Jallet a fait une très bonne saison, surtout la deuxième partie, qui fut très performante. Debuchy a marqué des points précieux en Allemagne. Il apporte beaucoup offensivement mais il doit être plus présent défensivement. Anthony, lui, est toujours là quand on fait appel à lui que ce soit à droite ou à gauche. Il donne toujours satisfaction. Il est plein d'entrain. C'est important pour le groupe d'avoir des joueurs comme ça.

Bleus
Jallet : «Saisir ma chance»
Le 09/08/2012 | Mis à jour le 09/08/2012 13:51:18

Appelé pour la première fois en équipe de France, jeudi par le nouveau sélectionneur Didier Deschamps, en vue du match amical face à l'Uruguay le 15 août, Christophe Jallet a fait part de sa satisfaction, quelques minutes plus tard, sur le site officiel de son club, le PSG : «J'avais toujours dit que le jour où je serai appelé, ce serait en récompense du travail fourni. Je le prends avec beaucoup de plaisir. J'espère que ça se passera bien et qu'il y en aura d'autre. C'est un nouveau sélectionneur, donc une chance pour tout le monde de se montrer. Il y a pas mal de nouveaux et de revenants. Dans la vie, quand on a sa chance, il faut essayer de la saisir. »

REPRIS PAR DESCHAMPS

A FUSIONNER

Christophe Jallet : «C'est allé très vite»
Didier Deschamps avait prévu de le faire rentrer à la mi-temps. La blessure de Mathieu Debuchy dès la 28e minute a contraint le sélectionneur à changer ses plans. «C'est allé très vite, raconte Christophe Jallet. Je n'ai pas eu le temps de gamberger, je n'ai même pas eu une minute pour m'échauffer». Plutôt une bonne chose au final. «Le film du match, j'ai dû le faire 500 fois avant, mais il faut rester le plus naturel possible. Quand tu te poses trop de questions, c'est là que tu fais n'importe quoi. A un moment, il faut se lancer, sans trembler». Même s'il reconnaît volontiers que cela fait un peu cliché, le défenseur du Paris-SG a déjà «envie de revenir». «Le but, c'est de ne pas y aller qu'une fois. A moi de tout faire en club pour reporter ce maillot parce que c'est quelque chose de grand».

16/08/2012 - 08:44

France-Jallet: "Le but, c'est d'y revenir"
Christophe Jallet a porté pour la première fois de sa carrière le maillot de l'équipe de France contre l'Uruguay (0-0), mercredi soir au Havre. Une sensation particulière pour le latéral droit du PSG, qui a remplacé Mathieu Debuchy en début de rencontre. "Il ne faut pas se poser de questions. Si l'on s'en pose trop, c'est le meilleur moyen de se planter, a-t-il expliqué après le match. Il faut rester simple, naturel et ne pas se prendre la tête. Le film du match, je me le suis fait cent fois dans ma tête avant d'entrer sur le terrain et, le but, c'était de le refaire sur la pelouse. Je me suis lâché. En tout cas, j'ai pris beaucoup de plaisir. [...] C'est une grande émotion d'entendre La Marseillaise avec ce maillot. C'est fort. Ce sera l'un des grands moments de ma vie. Ça touche ! Maintenant, le but, c'est d'y revenir. C'est un peu ce que tout le monde dit mais c'est vrai: quand on y a goûté une fois, ça donne forcément envie d'y retourner."

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Défenseurs : Christophe Jallet (Paris-SG),

Christophe Jallet

A 28 ans, le capitaine du PSG s'est finalement fait une place chez les Bleus. Il devrait néanmoins être la doublure de Debuchy quand celui-ci sera rétabli, à moins qu'une opportunité de se montrer plus tôt que prévu lui soit donnée, un peu comme contre l'Uruguay.

Un moment magique»
Le 12/09/2012 | Mis à jour le 12/09/2012 02:15:17


Christophe Jallet a marqué son premier but en équipe de France.

Un mois après leur première sélection face à l'Uruguay (0-0), Etienne Capoue et Christophe Jallet ont tous les deux marqué mardi soir face à la Biélorussie (3-1). «Son premier but en sélection, on s'en rappelle», souligne Didier Deschamps.

Les mêmes mots leur viennent à la bouche. Etienne Capoue et Christophe Jallet ont tous les deux ressenti «une grosse émotion» mardi soir face à la Biélorussie (3-1). Le premier a ouvert le score pour les Bleus. Le second a doublé la mise sur un centre qui s'est logé sous la barre de Veremko. «Il a travaillé ça toute la semaine à l'entraînement», rigole Didier Deschamps. «Je veux centrer. Bien heureusement, le ballon a décidé d'aller ailleurs, confie le latéral droit. Personne ne s'en plaindra, en tout cas, pas moi. Ce sont des moments intimes et magnifiques. Il faut les savourer même si, dans le foot, on revient vite à la réalité».


«Marquer devant ma famille au Stade de France, c'est un moment magique que je n'oublierai jamais, souligne pour sa part Capoue. Le but est allé tellement vite : Franck (Ribéry) fait un super travail. Je me suis super appliqué parce qu'il fallait récompenser ses efforts. Quand je marque, je pense à tout le monde, ma famille, mes amis... J'étais vraiment fier». Si le milieu de Toulouse a, par ailleurs, paru emprunté sur la pelouse, «il a fait des choses intéressantes», le défend Deschamps. «Il n'est pas là pour être numéro 10, et il n'a pas 50 sélections au compteur non plus. Entre sa première sélection face à l'Uruguay au mois d'août, et son but important pour nous, je ne vais pas trop lui en demander. Il a des qualités, il a été récompensé. Son premier but en sélection, on s'en rappelle».


Jallet : «J'avais un peu d'appréhension»
Pour l'un comme pour l'autre, ces deux réalisations témoignent d'une intégration réussie. Avant l'arrivée de Deschamps à la tête des Bleus, ni Capoue, ni Jallet n'avaient été appelés en sélection. «Il y a une grosse différence, souligne Capoue. Il y a des joueurs qui jouent la Ligue des champions, qui la gagnent, je me dois d'être au niveau. Je suis un débutant au niveau des sélections, mais mes équipiers m'ont mis à l'aise». Jallet confirme : «Je pense qu'il est très facile de rentrer dans le groupe, il y a une très bonne ambiance, on est bien accueilli... J'avais un peu d'appréhension, mais ça se passe bien sur et en dehors du terrain. Ça aide. Il y a une belle aventure à faire.» Ils aimeraient bien en faire partie jusqu'au bout.

Jallet : «Je viens de nulle part»
Le 13/09/2012 | Mis à jour le 13/09/2012 17:20:14


Christophe Jallet s'est distingué mardi contre la Biélorussie en marquant un joli but. (
Christophe Jallet, le latéral droit du PSG, raconte ses dix jours avec les Bleus. Et le plaisir du chemin parcouru depuis ses débuts.

« Christophe Jallet, qu'est-ce qu'il se passe sur le but que vous marquez contre la Biélorussie (3-1) ?
Je vois Karim au second poteau, je veux lui mettre et puis, idéalement, le ballon n'arrive pas dans ses pieds mais sous la barre du gardien (Il sourit).

C'est donc un geste raté ?
Oui, totalement ! Il y a des soirs où le ballon file dans les tribunes, et on se fait siffler, et des soirs, où il va au fond...

Avez-vous ressenti un peu d'appréhension pour ce qui était votre première titularisation ?
Pas vraiment. Je me suis lancé, sans me poser de questions. On avait un avantage, celui d'avoir assez souvent le ballon. C'est plus facile d'assurer ses premières passes dans le camp adverse.

Vous avez beaucoup centré et plutôt bien...
C'est pour cela que le sélectionneur a choisi de me titulariser, il m'avait demandé de jouer assez haut, de combiner avec Karim (Benzema) et de mettre le ballon le plus rapidement possible devant le but. C'est ce que j'ai essayé de faire. Parfois tu as des consignes, et tu n'arrives pas à les respecter.


En club, les choses vont changer avec l'arrivée du Néerlandais Grégory Van Der Wiel (24 ans) qui sera votre concurrent direct (il a signé pour 4 ans au PSG le 3 septembre)...
Je le vis bien. Pour l'instant, ça va. Ce ne sera pas la guerre mais chacun doit se battre pour avoir sa place en club et en équipe de France. Ce sera une pression supplémentaire. Il ne faut pas se relâcher. Je suis dans un grand club, et un grand club a beaucoup de joueurs.

Comment s'est passé ce premier long stage (les Bleus se sont retrouvés à Clairefontaine le 3 septembre) ?
Franchement, très bien. C'est un groupe dans lequel il est facile d'entrer. J'avais un peu d'appréhension, elle s'est vite dissipée. Ce groupe te met rapidement en confiance. Je pense ne pas être quelqu'un de compliqué. Tout le monde parle avec tout le monde.

Ce groupe n'a pourtant pas l'image d'un groupe facile ?
C'est une image erronée. Je l'avais aussi, c'est pour cela que j'avais un peu d'appréhension. J'ai été agréablement surpris.


«Le père d'Etienne (Capoue), c'est lui qui m'a dit d'être plus méchant»
Quand vous avez posé votre sac à Clairefontaine, avez-vous vu défiler votre carrière ?
Oui. Et ça va m'aider à conserver les pieds sur terre. On se revoit dix ans plus tôt, signer son contrat pro, jouer en L2, puis descendre en National (*). Je viens de nulle part. C'est la réalité.

Finalement, les mots de Carlo Ancelotti, votre entraîneur au PSG, qui avaient dit que vous méritiez votre place en sélection ont trouvé un écho.
(Il se marre). Oui, d'ailleurs, il m'a chambré en me disant que ses déclarations avaient finalement été entendues. On a souvent discuté de ça. Sous Laurent Blanc, l'entraîneur venait me voir pour me dire qu'il était désolé, que ses compliments ne servaient à rien. Je n'oublierai jamais. C'était élogieux.


Pour revenir à votre but contre les Biélorusses, qu'avez-vous ressenti après ?
C'était un peu la folie, la confusion des sentiments. De l'étonnement, une explosion de joie intérieure. C'est difficile à décrire. C'est une somme d'émotions qui nous tombent dessus, on a envie de tout casser, envie de pleurer, on est fier de soi, de rendre les gens heureux.

Vous avez été formé à Niort comme Etienne Capoue, qui a aussi marqué son premier but en sélection mardi soir. Vous souvenez-vous de l'avoir côtoyé ?
Si je m'en souviens ? Evidemment. Son père, Jacques, c'était mon entraîneur en moins de 15 ans, c'est lui qui m'a dit d'être plus méchant dans le foot. J'étais un jeune branleur, j'arrivais de ma campagne, je pensais tout savoir. Il m'a fait comprendre plein de choses. Etienne, c'était un gosse. J'ai beaucoup de souvenirs.»

Jallet, l’anti-Beckham
PSG Le latéral international est auxantipodes de la pléiadede starsqui composent l’effectif deCarlo Ancelotti

Créé le 27/03/2013 - 01:28
Jallet: "J'anticipe sur une transversale ratée..."
Mardi soir, au Stade de France, l'équipe de France a concédé la défaite (0-1) face à l'Espagne, en match comptant pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2014, groupe I. Et Christophe Jallet, pris à défaut par Monreal sur le but, reconnaît culpabiliser. "La tactique mise en place a été bonne, nous sommes parvenus à les empêcher de s’infiltrer entre les lignes et ils ont rarement réussi à déborder. Pour ma part, je m’en veux forcément sur le but puisque j’anticipe sur une transversale qui est finalement ratée et qui me prend à contre-pied, explique le latéral du Paris Saint-Germain. J’aurai dû m’arrêter plutôt que de continuer dans mon élan et derrière, Monreal centre fort et ça fait but… Je ne peux que m’en vouloir".

PSG-Jallet: "On ne peut être que fier..."
Le PSG a été grand ce mercredi, au Camp Nou, où malgré son match nul (1-1), comme lors du match aller au Parc (2-2), et son élimination en quart de finale de la Ligue des Champions, le club de la capitale a su toucher du doigt son rêve en ouvrant le score par Pastore. En vain. Pourtant, Christophe Jallet voulait positiver ce résultat et la manière dont son équipe a su relever le défi catalan : "On a eu une grosse débauche d’énergie ce soir, on a mis beaucoup de volonté, soulignait le latéral au micro de Canal+. Ce qui a fait la différence c’est qu’on n’a pas eu peur d’eux et on a su imposer notre jeu, en faisant ressortir proprement le ballon. On leur a posé des soucis tout de suite, même eux ont eu très peur ce soir.On les a sentis fébriles, et ensuite on réussit à prendre l’avantage, mais on prend ce but qui nous élimine…On ne peut être que fier de ce qu’on a réalisé, sur la double confrontation, on n’a pas à rougir. On a fait des choses extraordinaires sur le terrain et dans la cohésion.On peut être satisfaits d’avoir rivalisé avec la meilleure équipe du monde. (...) On a montré qu’on avait des ambitions en France et au niveau européen, j’espère qu’on saura le démontrer dans les années à venir. C’est une fierté pour tout le monde d’avoir participé à cet évènement. J’espère que l’année prochaine on repartira en champions." Lire aussi : Paris sort la tête haute

La concurrence n'inquiète pas JalletLe PSG cherche à recruter un latéral droit de classe mondiale (Daniel Alvès ?) pour la sasion prochaine, mais cela n'émeut pas Christophe Jallet, qui a pourtant de quoi s'inquiéter pour son futur temps de jeu. « Ce n’est pas la première fois que je serai confronté à ce genre de problème, a-t-il répondu ce vendredi en conférence de presse, lui qui a dû faire face à la concurrence avec Grégory van der Wiel. C’est dans l’intérêt du club d’avoir la meilleure équipe possible. C’est un chantier et on y sera tous confrontés au quotidien. Ça ne peut d’ailleurs être qu’un facteur de progression. Et si cela permet de ramener des titres supplémentaires, il n’y a aucun souci.»

«Debuchy et Sagna sont clairement devant moi»
Jeudi, le défenseur du PSG n'a pas eu la joie d'être retenu par Didier Deschamps pour la tournée de l'équipe de France en juin en Amérique du Sud. Mais là aussi, l'ancien Lorientais se veut réaliste et philosophe. « Debuchy et Sagna sont clairement devant moi. La dernière fois, ils étaient blessés et j’ai été sélectionné avec grand plaisir. Aujourd’hui, il n’y a pas de déception. On arrive au bout d’une saison qui a été longue et cela permettra de recharger les accus et de repartir de plus belle pour la saison prochaine.»

PSG-Jallet: "Faire au moins aussi bien que la saison passée"

Christophe Jallet s'est confié sur le site officiel du PSG, vendredi, alors que les Parisiens ont débuté leur premier stage de préparation en Autriche sous les ordres de Laurent Blanc. Et l'ancien Lorientais n'a aucune intention de changer de club pendant cette intersaison: "Il me reste deux ans de contrat et il n’y a aucune raison qui fasse que j’aie envie de partir. Je suis très bien à Paris et j’espère y gagner de nombreux trophées dans les années à venir." Et d'ajouter à propos des objectifs du champion de France 2013: "On a réalisé quelque chose de très beau la saison passée. Les attentes sont toujours supérieures d’une saison à l’autre. Il faudra donc faire au moins aussi bien. Nous espérons tous faire mieux puisque les coupes nationales nous restent un peu en travers de la gorge, car on est passé bêtement à côté (éliminations en quarts de finale de la Coupe de France et de la Coupe de la Ligue, à chaque fois après la séance des tirs-au-but, ndlr). Nous aurons d’autres opportunités de briller cette saison, en championnat ou dans les coupes. A nous de montrer que l’on a toujours faim."

PSG-Jallet: "On peut encore mieux faire"

Champion sortant, le PSG entamera la défense de son titre vendredi soir à Montpellier. Loin d'être rassasiés, les joueurs de la capitale entendent bien ajouter des trophées à leur collection cette saison, à l'image d'un Christophe Jallet qui a placé la barre haut. "Nos objectifs sont ceux de tous compétiteurs, à savoir faire mieux que la saison précédente. Par exemple dans les coupes nationales ou en Ligue des champions. On peut encore mieux faire, a déclaré le latéral droit sur le site officiel du club. Avoir le titre et l’agrémenter d’une coupe, ce serait parfait !"

PSG-Blanc: "Jallet ? On va le revoir"
Publié le 25 septembre 2013 à 07h34


S’il a perdu sa place de titulaire au profit de Gregory van Der Wiel après le match nul concédé face à Ajaccio lors de la deuxième journée (1-1), Christophe Jallet pourrait retrouver le terrain mercredi soir à l’occasion du déplacement du PSG à Valenciennes. "C’est un garçon qui s’accroche et on va le revoir, a confié Laurent Blanc, relate Le Parisien, évoquant également la concurrence entre les deux arrières droits. La hiérarchie est établie après quelques matchs et, pour l’instant, on organise une rotation. C’est à eux de saisir la chance qui leur est offerte, ensuite nous choisirons définitivement. Mais si je ne me trompe pas, les deux arrières droits ont déjà très largement tourné l’année dernière."

PSG: Jallet exclut un départ cet hiver

S'il a perdu sa place de titulaire dans le couloir droit de la défense parisienne au profit de Gregory van der Wiel, Christophe Jallet n'a pas l'intention de demander un prêt au mercato d'hiver, même si son temps de jeu insuffisant risque de le priver de la prochaine Coupe du monde 2014 avec les Bleus. "Les départs au mercato d’hiver sont rarement de grandes réussites, explique l'ancien Lorientais sur France Bleu. Je suis dans l'optique de passer ma saison à Paris et d'obtenir plus de temps de jeu pour prétendre à l'équipe de France, même si c'est secondaire. Je pense avant tout à me défoncer à l’entrainement pour jouer avec le PSG."

PSG: Hernie discale pour Jallet

Saison noire pour Christophe Jallet. Devenu la doublure de Grégory van der Wiel lors de la première partie d’exercice, le latéral droit du PSG souffre d’une hernie discale. Touché au dos depuis la reprise de l’entraînement à Doha, l’ancien Lorientais a passé une IRM mercredi qui a révélé cette blessure. Le staff doit attendre 48 heures avant d'envisager une opération, indique RMC. A noter que Maxwell, qui souffre des côtes, pourrait être ménagé contre le Real Madrid, jeudi en amical.

Jallet opéré mercredi

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Victime d'une hernie discale, le latéral parisien Christophe Jallet va être opéré mercredi. Il sera éloigné des terrains de un mois et demi à deux mois.

PSG: Jallet, out encore deux semaines ?

Selon RMC, le latéral droit du PSG Christophe Jallet, opéré d’une hernie discale au début du mois de janvier, devrait faire son retour à la compétition d’ici une quinzaine de jours. L’international français sera présent, ce jeudi, au centre d’entraînement du Paris Saint-Germain pour continuer son programme de reprise.

PSG: Jallet avec la CFA ?

Christophe Jallet voit le bout du tunnel. Opéré d’une hernie discale début janvier, le latéral droit du PSG a repris l’entraînement "sans problème" mercredi, indique RMC. L’international français pourrait faire partie du groupe qui se déplacera à Toulouse, dimanche (14h), ou reprendre avec l’équipe réserve en CFA. Le club de la capitale n'a pas encore communiqué sur ce retour.

PSG-Jallet: "Pas été exceptionnel"
Christophe Jallet a commenté la victoire du PSG face au Bayer Leverkusen (2-1) ce mercredi soir en huitième de finale retour de la Ligue des champions, un succès synonyme de qualification pour les quarts de finale après la démonstration du match aller (4-0). "On a fait le job. Malgré une mauvaise première période, où il y a eu trop de déchet même si on n’a pas forcément été mis en danger, on a bien géré, a expliqué le latéral droit devant les caméras de Canal Plus, lui qui a été mis en difficulté et a concédé un penalty, stoppé par Sirigu dans la foulée. On aurait quand même aimé être meilleur dans la conservation du ballon et le jeu fourni. On n’a pas été exceptionnel ce soir."

Jallet veut rester au PSG
27/03 17h13 - Football, L1

Interrogé en conférence de presse sur une éventuelle prolongation au Paris SG, Christophe Jallet a confié qu’il n’y pensait pas dans l’immédiat mais que son ambition première était de rester parisien : «Aujourd’hui non. Demain non plus... (rires) Avant la fin de saison peut-être. Mon souhait ? J’ai envie que l’aventure se prolonge le plus longtemps possible. Actuellement, la question de la prolongation ne se pose pas forcément. Je suis là et très content. Pourvu que ça dure.»