ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
CENTRE-VILLE
Du "collet" marseillais
au "collé" hongrois
La technique du "collage" va-t-elle supplanter la vieille
technique marseillaise née à Félix-Pyat (3e)?
C’est un habitué du vol par ruse.
Et ses cibles préférées : les
clients de banque piégés au distributeur
automatique de
billets.
Dimanche, en début de soirée,
vers 19h30, ce Hongrois âgé
de 57 ans a testé un dérivé de la
fameuse et juteuse technique dite
"du collet marseillais" née il y
a plus de vingt ans au coeur de la
cité Félix-Pyat (3e). Au "collet
marseillais", donc, le malfaiteur
décidait d’ajouter le savoir-faire
hongrois. Soit une bonne dose
de colle étalée sur une baguette
qu’il plaçait soigneusement
dans la fente qui libère les
billets. Lorsqu’un retrait était effectué,
le client ne voyait pas
son argent et, pensant à une
panne, quittait les lieux. L’escroc
n’avait alors plus qu’à désceller
sa baguette pour récupérer
les billets qui étaient restés...
collés ! Mais ce fameux dimanche
soir, l’utilisateur du DAB de
la banque HSBC de la rue
Saint-Ferréol (1er) a eu du mal à
s’asseoir sur les 500 ¤ qu’il voulait
retirer. Examinant l’appareil
minutieusement, il constatait
l’étrange présence de colle.
Soupçonneux, il préférait donc
prévenir la police. Il n’aura pas
fallu longtemps pour voir s’approcher
le voleur de l’appareil
qui tentait de décoller sa baguette...
Preuve irréfutable de son
implication, pas moins de dix tubes
de Super Glue étaient retrouvés
sur lui. Il a été écroué
Du "collet" marseillais
au "collé" hongrois
La technique du "collage" va-t-elle supplanter la vieille
technique marseillaise née à Félix-Pyat (3e)?
C’est un habitué du vol par ruse.
Et ses cibles préférées : les
clients de banque piégés au distributeur
automatique de
billets.
Dimanche, en début de soirée,
vers 19h30, ce Hongrois âgé
de 57 ans a testé un dérivé de la
fameuse et juteuse technique dite
"du collet marseillais" née il y
a plus de vingt ans au coeur de la
cité Félix-Pyat (3e). Au "collet
marseillais", donc, le malfaiteur
décidait d’ajouter le savoir-faire
hongrois. Soit une bonne dose
de colle étalée sur une baguette
qu’il plaçait soigneusement
dans la fente qui libère les
billets. Lorsqu’un retrait était effectué,
le client ne voyait pas
son argent et, pensant à une
panne, quittait les lieux. L’escroc
n’avait alors plus qu’à désceller
sa baguette pour récupérer
les billets qui étaient restés...
collés ! Mais ce fameux dimanche
soir, l’utilisateur du DAB de
la banque HSBC de la rue
Saint-Ferréol (1er) a eu du mal à
s’asseoir sur les 500 ¤ qu’il voulait
retirer. Examinant l’appareil
minutieusement, il constatait
l’étrange présence de colle.
Soupçonneux, il préférait donc
prévenir la police. Il n’aura pas
fallu longtemps pour voir s’approcher
le voleur de l’appareil
qui tentait de décoller sa baguette...
Preuve irréfutable de son
implication, pas moins de dix tubes
de Super Glue étaient retrouvés
sur lui. Il a été écroué
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
ANGELA N'EST PLUS EN"" DETTE A DETTE ""AVEC NIKOS
LA PHOTO DE FAMILLE s'est aggrandi ils font maintenant menage à trois
mais cette nouvelle situation n'est pas plus confortable
car ils ont l'air crispés sur le bateau ivre de l'europe
Sommet Merkel-Sarkozy-Monti: l'Allemagne ne cède rien sur le rôle de la BCE
L'Allemagne n'a rien cédé, lors d'un sommet avec Paris et Rome jeudi à Strasbourg, sur le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) face à la crise de la dette, malgré les pressions de la France qui juge vitale une plus forte implication de l'institut monétaire.
Les trois premières économies de l'Union monétaire sont déterminées à "tout faire pour soutenir et garantir la pérennité de l'euro", a déclaré le président français Nicolas Sarkozy à l'issue de cette réunion dans la grande ville de l'est de la France avec la chancelière allemande Angela Merkel et le chef du gouvernement italien Mario Monti.
Il a assuré que le trio envisageait "les mêmes remèdes" pour enrayer la propagation de la crise.
Pourtant, le débat n'a pas été tranché sur le point le plus épineux, au coeur d'un bras de fer entre Paris et Berlin: une intervention plus déterminée de la BCE pour acheter de la dette des pays en difficulté, à l'instar de ce que fait la Réserve fédérale américaine.
"Nous avons tous trois indiqué que dans le respect de l'indépendance de cette institution, il fallait s'abstenir de demandes positives ou négatives" à la BCE, a résumé Nicolas Sarkozy, faisant marche arrière sur ce point qui lui tenait pourtant à coeur. "Nous avons indiqué tous les trois notre confiance à la BCE et à ses dirigeants", a-t-il ajouté.
Il a reconnu qu'il s'agissait d'un "compromis", mais "un compromis positif". "J'essaie de comprendre les lignes rouges de l'Allemagne et elle de comprendre les lignes rouges de la France", s'est justifié le président français.
Dans son entourage, on se réjouissait néanmoins de ce que la position exprimée à Strasbourg permette à la BCE d'intervenir de son plein gré sans que cela suscite des critiques de Berlin.
Les places financières européennes se sont montrées déçues, clôturant presque toutes dans le rouge alors qu'elles avaient ouvert sur un rebond.
La France avait fait monter la pression pour réclamer une implication accrue de l'institut de Francfort.
"Ce qui ne va pas, c'est la confiance. C'est ça qu'il faut rétablir. Je pense - j'espère que la réflexion avancera - que la BCE devrait jouer un rôle essentiel pour rétablir cette confiance", plaidait encore jeudi matin le numéro deux du gouvernement français Alain Juppé.
Mais l'Allemagne s'y refuse catégoriquement par crainte que cela favorise l'inflation et le laxisme budgétaire.
En revanche, la dirigeante de la première économie européenne a obtenu l'aval de la France à une révision des traités européens, une solution qui suscitait les réserves de Nicolas Sarkozy il y encore peu de temps.
Paris et Berlin ont annoncé qu'ils feraient, avant le sommet européen du 9 décembre, des "propositions de modification des traités pour améliorer la gouvernance de la zone euro pour plus d'intégration et de convergence". Ils ont souhaité que Rome s'y associe.
Angela Merkel est allée plus loin, affirmant que cette révision des textes devait permettre d'aboutir à une "union fiscale", une expression reprise par Mario Monti, mais jamais par Nicolas Sarkozy.
Côté français, la concession sur les traités est considérée comme une "monnaie d'échange" pour obtenir en contrepartie un changement de la position allemande sur la BCE. "Il faut que Merkel bouge, et vite, sur la BCE sinon on court à la catastrophe", continue-t-on d'affirmer de source française, précisant que Paris veut "mettre la pression maximale" sur Berlin.
Mais la chancelière a mis les points sur les "i": "le président français vient de souligner que la BCE est indépendante et donc les modifications éventuelles de traité ne concernent pas la BCE".
De la même manière, elle a fermé la porte à une proposition d'euro-obligations pour mutualiser les dettes européennes, remise sur la table par Bruxelles. "Les eurobonds feraient que les différences de taux (entre les pays européens) seraient nivelées et ce ne serait donc pas un bon signal" car cela masquerait les disparités entre économies, a tranché Angela Merkel.
Nicolas Sarkozy a fini par une mise en garde aux autres pays de l'Union européenne. "S'il y avait des refus" sur la réforme des traités "nous aurions une autre stratégie", éventuellement via des "accords intergouvernementaux", ce qui pourrait exclure les Etats récalcitrants, a-t-il prévenu.
Après les tensions de l'ère Berlusconi, le sommet de Strasbourg était aussi l'occasion pour le couple franco-allemand d'apporter son "soutien" à l'Italie de Mario Monti, confrontée à la défiance des marchés.
Le nouveau président du Conseil italien a invité à Rome ses deux partenaires et les a rassurés sur sa détermination à redresser les finances de son pays surendetté.
"L'objectif de l'équilibre budgétaire en 2013 n'est pas remis en cause", a dû concéder Mario Monti, alors qu'il avait laissé planer un doute ces derniers jours.
La bonne santé économique de l'Italie conditionne celle du reste de la zone euro, avec la France en première ligne. Deux des trois grandes agences de notation viennent de lancer un avertissement à Paris: si la crise s'aggrave, son fameux "triple A" qui lui permet d'emprunter à bas coût serait menacé. "Ca poserait un problème pour tout le monde, pas simplement pour la France", a estimé Nicolas Sarkozy
LA PHOTO DE FAMILLE s'est aggrandi ils font maintenant menage à trois
mais cette nouvelle situation n'est pas plus confortable
car ils ont l'air crispés sur le bateau ivre de l'europe
Sommet Merkel-Sarkozy-Monti: l'Allemagne ne cède rien sur le rôle de la BCE
L'Allemagne n'a rien cédé, lors d'un sommet avec Paris et Rome jeudi à Strasbourg, sur le rôle de la Banque centrale européenne (BCE) face à la crise de la dette, malgré les pressions de la France qui juge vitale une plus forte implication de l'institut monétaire.
Les trois premières économies de l'Union monétaire sont déterminées à "tout faire pour soutenir et garantir la pérennité de l'euro", a déclaré le président français Nicolas Sarkozy à l'issue de cette réunion dans la grande ville de l'est de la France avec la chancelière allemande Angela Merkel et le chef du gouvernement italien Mario Monti.
Il a assuré que le trio envisageait "les mêmes remèdes" pour enrayer la propagation de la crise.
Pourtant, le débat n'a pas été tranché sur le point le plus épineux, au coeur d'un bras de fer entre Paris et Berlin: une intervention plus déterminée de la BCE pour acheter de la dette des pays en difficulté, à l'instar de ce que fait la Réserve fédérale américaine.
"Nous avons tous trois indiqué que dans le respect de l'indépendance de cette institution, il fallait s'abstenir de demandes positives ou négatives" à la BCE, a résumé Nicolas Sarkozy, faisant marche arrière sur ce point qui lui tenait pourtant à coeur. "Nous avons indiqué tous les trois notre confiance à la BCE et à ses dirigeants", a-t-il ajouté.
Il a reconnu qu'il s'agissait d'un "compromis", mais "un compromis positif". "J'essaie de comprendre les lignes rouges de l'Allemagne et elle de comprendre les lignes rouges de la France", s'est justifié le président français.
Dans son entourage, on se réjouissait néanmoins de ce que la position exprimée à Strasbourg permette à la BCE d'intervenir de son plein gré sans que cela suscite des critiques de Berlin.
Les places financières européennes se sont montrées déçues, clôturant presque toutes dans le rouge alors qu'elles avaient ouvert sur un rebond.
La France avait fait monter la pression pour réclamer une implication accrue de l'institut de Francfort.
"Ce qui ne va pas, c'est la confiance. C'est ça qu'il faut rétablir. Je pense - j'espère que la réflexion avancera - que la BCE devrait jouer un rôle essentiel pour rétablir cette confiance", plaidait encore jeudi matin le numéro deux du gouvernement français Alain Juppé.
Mais l'Allemagne s'y refuse catégoriquement par crainte que cela favorise l'inflation et le laxisme budgétaire.
En revanche, la dirigeante de la première économie européenne a obtenu l'aval de la France à une révision des traités européens, une solution qui suscitait les réserves de Nicolas Sarkozy il y encore peu de temps.
Paris et Berlin ont annoncé qu'ils feraient, avant le sommet européen du 9 décembre, des "propositions de modification des traités pour améliorer la gouvernance de la zone euro pour plus d'intégration et de convergence". Ils ont souhaité que Rome s'y associe.
Angela Merkel est allée plus loin, affirmant que cette révision des textes devait permettre d'aboutir à une "union fiscale", une expression reprise par Mario Monti, mais jamais par Nicolas Sarkozy.
Côté français, la concession sur les traités est considérée comme une "monnaie d'échange" pour obtenir en contrepartie un changement de la position allemande sur la BCE. "Il faut que Merkel bouge, et vite, sur la BCE sinon on court à la catastrophe", continue-t-on d'affirmer de source française, précisant que Paris veut "mettre la pression maximale" sur Berlin.
Mais la chancelière a mis les points sur les "i": "le président français vient de souligner que la BCE est indépendante et donc les modifications éventuelles de traité ne concernent pas la BCE".
De la même manière, elle a fermé la porte à une proposition d'euro-obligations pour mutualiser les dettes européennes, remise sur la table par Bruxelles. "Les eurobonds feraient que les différences de taux (entre les pays européens) seraient nivelées et ce ne serait donc pas un bon signal" car cela masquerait les disparités entre économies, a tranché Angela Merkel.
Nicolas Sarkozy a fini par une mise en garde aux autres pays de l'Union européenne. "S'il y avait des refus" sur la réforme des traités "nous aurions une autre stratégie", éventuellement via des "accords intergouvernementaux", ce qui pourrait exclure les Etats récalcitrants, a-t-il prévenu.
Après les tensions de l'ère Berlusconi, le sommet de Strasbourg était aussi l'occasion pour le couple franco-allemand d'apporter son "soutien" à l'Italie de Mario Monti, confrontée à la défiance des marchés.
Le nouveau président du Conseil italien a invité à Rome ses deux partenaires et les a rassurés sur sa détermination à redresser les finances de son pays surendetté.
"L'objectif de l'équilibre budgétaire en 2013 n'est pas remis en cause", a dû concéder Mario Monti, alors qu'il avait laissé planer un doute ces derniers jours.
La bonne santé économique de l'Italie conditionne celle du reste de la zone euro, avec la France en première ligne. Deux des trois grandes agences de notation viennent de lancer un avertissement à Paris: si la crise s'aggrave, son fameux "triple A" qui lui permet d'emprunter à bas coût serait menacé. "Ca poserait un problème pour tout le monde, pas simplement pour la France", a estimé Nicolas Sarkozy
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Le couple Merkel-Sarkozy adopte l’Italien Monti hier à Strasbourg
un incident mécanique :
Angela Merkel est arrivée de Berlin avec une vingtaine de minutes de retard....
et c'est nicolas qui a été obigé de donner le biberon
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Angela Merkel est arrivée de Berlin avec une vingtaine de minutes de retard....
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
LE PLAISIR DU REGARD
à tous les diabetiques
regardez profondement cette tarte TATIN et
savourez là avec les yeux
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Pour accueillir les touristes, la France doit mieux faire
Le secrétaire d'Etat au Tourisme Frédéric Lefebvre a dévoilé mardi les résultats d'une étude sur la qualité de l'accueil des touristes en France, première destination touristique mondiale, en tirant un pénible constat: elle a des points forts mais la liste de ses faiblesses est beaucoup trop longue.
"Il y a de véritables raisons d'être satisfaits. Mais le constat qualitatif montre qu'il y a des améliorations à apporter", a résumé M. Lefebvre en présentant cette étude comparative commandée par ses services et réalisée entre mai et fin août en France, en Espagne, en Allemagne, en Autriche et au Royaume-Uni, par l'institut TCI Research basé à Bruxelles.
"Les touristes saluent globalement la richesse de notre offre (matérielle) et la diversité de notre patrimoine, là-dessus il y a unanimité", a-t-il noté. L'étude relève la force du patrimoine historique, les beaux paysages et parcs de loisirs, l'offre de shopping fournie...
"Mais d'une manière générale, la qualité de l'accueil est l'un des principaux soucis", a ajouté le secrétaire d'Etat.
L'une des pires appréciations revient au service des taxis. Le bât blesse également concernant la vie nocturne ou les temps d'attente lors des visites et loisirs. La qualité du "premier contact" lors de l'accueil des touristes est jugée insuffisante.
"L'accueil dans les magasins pose aussi problème", tout comme le manque d'ouvertures de commerces le dimanche dont se plaignent les tours-opérateurs, a dit M. Lefebvre.
Il a plaidé pour "une utilisation de la marge de manoeuvre donnée aux élus" sur les ouvertures dominicales: "Ce seraient des centaines de milliers de visiteurs qui visiteraient plus longtemps notre pays" et dépenseraient donc davantage, "un enjeu capital pour la compétitivité du tourisme en France" et pour "regagner notre place par rapport à l'Espagne".
"Un pays au-dessus de la moyenne"
La France, première destination touristique mondiale avec quelque 80 millions de visiteurs annuels, n'occupe plus que la troisième place derrière les Etats-Unis et l'Espagne en termes de recettes touristiques.
"L'un des principaux motifs de critiques" des touristes est le prix élevé des activités, a noté M. Lefebvre, mais on pourra selon lui "difficilement" agir sur ce levier. C'est pourquoi il prône d'"améliorer la qualité, comme ça le rapport qualité/prix augmentera".
Il a invité à poursuivre les pistes lancées ces derniers mois avec des acteurs comme les aéroports, les agences de voyage, Air France, ou encore la SNCF: accueil renforcé dans les sites clés, meilleure lisibilité de la "marque France" avec notamment un logo commun appelé "Rendez-vous en France", promotion du patrimoine vivant avec des événements comme "la Fête de la gastronomie", inaugurée en septembre...
M. Lefebvre a appelé à "faire de l'accueil des touristes une priorité".
"Car l'étude conduit à un constat frappant: les Français ne sont pas les meilleurs défenseurs de leurs atouts", dit-il.
Or "nous n'avons pas le droit de ne pas réussir ce défi que nous nous sommes fixé: faire de notre pays un pays au-dessus de la moyenne (...) On ne regagnera pas la première place qu'on avait en Europe si on ne fait pas tous ces efforts", a ajouté M. Lefebvre.
Et de rappeler la taille de l'enjeu: "Le tourisme français représente 7,1% du PIB "et même 9,1% en incluant l'impact indirect, c'est un secteur qui avec 41 milliards d'euros pèse plus que l'énergie ou l'automobile".
"Les conclusions de l'étude ne sont pas étonnantes", commente Laurent Chiron, directeur commercial de VIParis, qui gère une dizaine de sites de congrès et salons, dont le Palais des Congrès à Paris. "Le vrai problème, c'est qu'il faut absolument fédérer les acteurs", dans un contexte de concurrence "évidente", dit-il à l'AFP: "pour un congrès, on peut choisir Paris mais aussi Copenhague, Stockholm
Le secrétaire d'Etat au Tourisme Frédéric Lefebvre a dévoilé mardi les résultats d'une étude sur la qualité de l'accueil des touristes en France, première destination touristique mondiale, en tirant un pénible constat: elle a des points forts mais la liste de ses faiblesses est beaucoup trop longue.
"Il y a de véritables raisons d'être satisfaits. Mais le constat qualitatif montre qu'il y a des améliorations à apporter", a résumé M. Lefebvre en présentant cette étude comparative commandée par ses services et réalisée entre mai et fin août en France, en Espagne, en Allemagne, en Autriche et au Royaume-Uni, par l'institut TCI Research basé à Bruxelles.
"Les touristes saluent globalement la richesse de notre offre (matérielle) et la diversité de notre patrimoine, là-dessus il y a unanimité", a-t-il noté. L'étude relève la force du patrimoine historique, les beaux paysages et parcs de loisirs, l'offre de shopping fournie...
"Mais d'une manière générale, la qualité de l'accueil est l'un des principaux soucis", a ajouté le secrétaire d'Etat.
L'une des pires appréciations revient au service des taxis. Le bât blesse également concernant la vie nocturne ou les temps d'attente lors des visites et loisirs. La qualité du "premier contact" lors de l'accueil des touristes est jugée insuffisante.
"L'accueil dans les magasins pose aussi problème", tout comme le manque d'ouvertures de commerces le dimanche dont se plaignent les tours-opérateurs, a dit M. Lefebvre.
Il a plaidé pour "une utilisation de la marge de manoeuvre donnée aux élus" sur les ouvertures dominicales: "Ce seraient des centaines de milliers de visiteurs qui visiteraient plus longtemps notre pays" et dépenseraient donc davantage, "un enjeu capital pour la compétitivité du tourisme en France" et pour "regagner notre place par rapport à l'Espagne".
"Un pays au-dessus de la moyenne"
La France, première destination touristique mondiale avec quelque 80 millions de visiteurs annuels, n'occupe plus que la troisième place derrière les Etats-Unis et l'Espagne en termes de recettes touristiques.
"L'un des principaux motifs de critiques" des touristes est le prix élevé des activités, a noté M. Lefebvre, mais on pourra selon lui "difficilement" agir sur ce levier. C'est pourquoi il prône d'"améliorer la qualité, comme ça le rapport qualité/prix augmentera".
Il a invité à poursuivre les pistes lancées ces derniers mois avec des acteurs comme les aéroports, les agences de voyage, Air France, ou encore la SNCF: accueil renforcé dans les sites clés, meilleure lisibilité de la "marque France" avec notamment un logo commun appelé "Rendez-vous en France", promotion du patrimoine vivant avec des événements comme "la Fête de la gastronomie", inaugurée en septembre...
M. Lefebvre a appelé à "faire de l'accueil des touristes une priorité".
"Car l'étude conduit à un constat frappant: les Français ne sont pas les meilleurs défenseurs de leurs atouts", dit-il.
Or "nous n'avons pas le droit de ne pas réussir ce défi que nous nous sommes fixé: faire de notre pays un pays au-dessus de la moyenne (...) On ne regagnera pas la première place qu'on avait en Europe si on ne fait pas tous ces efforts", a ajouté M. Lefebvre.
Et de rappeler la taille de l'enjeu: "Le tourisme français représente 7,1% du PIB "et même 9,1% en incluant l'impact indirect, c'est un secteur qui avec 41 milliards d'euros pèse plus que l'énergie ou l'automobile".
"Les conclusions de l'étude ne sont pas étonnantes", commente Laurent Chiron, directeur commercial de VIParis, qui gère une dizaine de sites de congrès et salons, dont le Palais des Congrès à Paris. "Le vrai problème, c'est qu'il faut absolument fédérer les acteurs", dans un contexte de concurrence "évidente", dit-il à l'AFP: "pour un congrès, on peut choisir Paris mais aussi Copenhague, Stockholm
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Il y a 10 heures
Je voyage pas mal, et lorsqu' après un vol de 14heures je touche le sol français, je sais que je vais devoir affronter la mauvaise humeur ambiante dès mon arrivée! ça commence à l'aéroport, puis dans le bus AF ou le taxi... je sais aussi que je vais être choquée par la saleté, de Roissy à Paris la route est bordée d'immondices, les espaces verts ne sont plus entretenus depuis des années, on fauche de temps en temps c'est tout, quelle image....j'en ai honte.
Je voyage pas mal, et lorsqu' après un vol de 14heures je touche le sol français, je sais que je vais devoir affronter la mauvaise humeur ambiante dès mon arrivée! ça commence à l'aéroport, puis dans le bus AF ou le taxi... je sais aussi que je vais être choquée par la saleté, de Roissy à Paris la route est bordée d'immondices, les espaces verts ne sont plus entretenus depuis des années, on fauche de temps en temps c'est tout, quelle image....j'en ai honte.
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
tcheky et son pere vivaient ds le meme immeuble que moi
son pere le voyant prendre des cours de theatre était catastrophé qu'il ne suivent plus ses etudes
son pere ouvrier
tcheky karyo est devenu un second role de cinema avec des cachets tres importants
son pere le voyant prendre des cours de theatre était catastrophé qu'il ne suivent plus ses etudes
son pere ouvrier
tcheky karyo est devenu un second role de cinema avec des cachets tres importants
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Journée portes ouvertes au commissariat Publié le samedi 03 décembre 2011 à 14H40
Photo R.L.
Jusqu'à 17h, les Ciotadens sont invités à visiter le nouveau commissariat de la ville (58, avenue Victor Giraud). Plusieurs démonstrations sont programmées notamment de la brigade canine (à 15h) ou de la brigade anti-criminalité (à 16h).
Ce matin, le GIPN a inauguré cette journée portes ouvertes en présence du maire, du député et du directeur départemental de la Sécurité publique. Police municipale, brigade nautique, police scientifique, entre autres, y tiennent des stands d'informations
Photo R.L.
Jusqu'à 17h, les Ciotadens sont invités à visiter le nouveau commissariat de la ville (58, avenue Victor Giraud). Plusieurs démonstrations sont programmées notamment de la brigade canine (à 15h) ou de la brigade anti-criminalité (à 16h).
Ce matin, le GIPN a inauguré cette journée portes ouvertes en présence du maire, du député et du directeur départemental de la Sécurité publique. Police municipale, brigade nautique, police scientifique, entre autres, y tiennent des stands d'informations
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
A la gendarmerie avec deux obus dans son panier Publié le dimanche 04 décembre 2011 à 16H16
En voyant arriver cet habitant d'Aubignan hier matin vers 10 heures à la brigade de Beaumes-de-Venise, les gendarmes auraient presque pu se demander si sa cueillette avait été bonne... L'homme portait en effet sous le bras un panier contenant deux drôles d'engins, à savoir deux obus, l'un mesurant trente centimètres, l'autre douze centimètres. Ce monsieur aurait expliqué les avoir trouvés dans son garage...
Les gendarmes ont décidé de positionner les deux obus dans une caisse contenant du sable avant de les mettre en sécurité dans l'attente de la venue, ce lundi, d'une équipe spécialisée de démineurs chargée de prendre en charge ce type d'engin que l'on trouve traditionnellement plutôt dans les champs que dans les
En voyant arriver cet habitant d'Aubignan hier matin vers 10 heures à la brigade de Beaumes-de-Venise, les gendarmes auraient presque pu se demander si sa cueillette avait été bonne... L'homme portait en effet sous le bras un panier contenant deux drôles d'engins, à savoir deux obus, l'un mesurant trente centimètres, l'autre douze centimètres. Ce monsieur aurait expliqué les avoir trouvés dans son garage...
Les gendarmes ont décidé de positionner les deux obus dans une caisse contenant du sable avant de les mettre en sécurité dans l'attente de la venue, ce lundi, d'une équipe spécialisée de démineurs chargée de prendre en charge ce type d'engin que l'on trouve traditionnellement plutôt dans les champs que dans les
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
ne cherchez plus ca y est vous êtes sauvés
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Re: ANNONCES ..PERDU ...TROUVE ...A VENDRE ...A ACHETER
Plus d'un tiers des Français pour un retour au franc, selon un sondage
Plus d'un tiers des Français (36%) est favorable à un retour au franc, et 45% estiment que l'euro est un handicap pour l'économie française, selon un sondage Ipsos/Logica réalisé pour l'association Lire la société, publié dans Le Monde daté de mardi.
Environ 36% des Français souhaitent que, dans les années qui viennent, la France sorte de la zone euro et repasse au franc, mais 60% souhaitent que la France reste dans la zone euro, tandis que 4% ne se prononcent pas, précise l'enquête.
L'euro est "plutôt un handicap" pour l'économie française en général, estiment 45% des personnes interrogées, mais "plutôt un atout" pour 34% d'entre eux. Environ 16% pensent que l'euro est "ni un atout ni un handicap", tandis que 5% ne se prononcent pas.
L'euro est "plutôt un handicap" pour faire face à la crise économique et financière actuelle des dettes publiques, estiment encore 44% des Français, mais elle est "plutôt un atout" pour 33% d'entre eux, et "ni un atout ni un handicap" pour 18% de Français, tandis que 5% ne se prononcent pas.
La monnaie unique est encore "plutôt un handicap" pour le pouvoir d'achat, estime une large majorité de Français (62%). Elle est "ni un atout ni un handicap" pour 20% d'entre eux, et "plutôt un atout" pour 17%, tandis que 1% ne se prononce pas.
En revanche l'euro est "plutôt un atout" pour l'économie des pays membres de la zone euro, estiment 42% des Français, mais "plutôt un handicap" selon 34% d'entre eux. La monnaie unique est "ni un atout ni un handicap" pour 19% d'entre eux, tandis que 5% ne se prononcent pas.
Les Français sont autant à considérer que l'euro est plutôt un atout (38%) et plutôt un handicap (38%) pour le commerce extérieur de la France. La monnaie unique est "ni un atout ni un handicap" pour 18% d'entre eux, tandis que 6% ne se prononcent pas.
A l'avenir, il faudrait "renforcer les pouvoirs de l'Union européenne en matière de politique budgétaire et fiscale", estiment 49% des Français, alors que 37% considèrent qu'il faudrait plutôt "laisser plus de latitude aux Etats membres de l'Union européenne pour leur politique budgétaire".
Environ 11% ne se prononcent pas et 3% ne sont ni pour l'une ou l'autre des solutions.
Ce sondage Ipsos/Logica Business Consulting a été réalisé par téléphone du 18 au 19 novembre auprès de 941 personnes représentatives des Français de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
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