CLUBS EN FAILLITE ...ATTENTION

La Ville supprime le festival des Nuits d'Istres

Istres / Publié le Vendredi 25/04/2014 à 11H55







Il y aura moins d'étoiles, cette année, dans les soirées d'été istréennes. La Ville a décidé de supprimer le festival des Nuits d'Istres, qui devait se dérouler au début du mois de juillet.

Un rendez-vous incontournable qui a su attirer, depuis sa création en 1992, des pointures. Ne serait-ce que l'an dernier, Mika, IAM, Pierre Henry et Salif Keita s'étaient produits sur la scène du Pavillon de Grignan.
D'autres manifestations estivales vont subir le même sort que les Nuits d'Istres. Ainsi, l'élection de Miss Provence, organisée par le comité officiel Miss France, deux ans d'affilée dans les arènes du Palio, a été déprogrammée, tout comme la Fête de l'eau, qui se déroule traditionnellement fin juin sur les rives de l'étang de l'Olivier.

Pas de gel des retraites de moins de 1 200 euros
Publié le Lundi 28/04/2014 à 12H41 SebOM13
éèééèééèééèééèé
lona pourquoi ne pas enlever 100 euros a ceux qui touche plus de 2000 euros je pense que c'est la meilleure solution plutôt que de prendre encore aux pauvres et oui 1200 c'est rien pour vivre dans ce système actuel

Le PSG devra-t-il réduire son train de vie ?
29/04/2014 05:32
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]

Tweet



Le président du conseil de surveillance du PSG, Nasser Al-Khelaïfi, ne craint aucune sanction devant l'UEFA. - (AFP)

Le Paris SG devra-t-il réduire son train de vie ? La réponse ne va pas tarder car les clubs sanctionnés, ou non, dans le cadre du fair-play financier de l'UEFA seront connus début mai. Le club parisien, qui a dépensé plus de 380 millions d'euros en transferts depuis qu'il est passé sous propriété des Qataris à l'été 2011, est un cas d'école. Le principe du fair-play financier (FPF) est simple : les clubs ne doivent pas dépenser plus qu'ils ne gagnent. En cas de non-respect, les sanctions vont de la simple mise en garde à l'exclusion des compétitions européennes, dont la prestigieuse Ligue des champions.
Entre ces deux extrémités, les textes de l'UEFA prévoient des sanctions qui pourraient davantage correspondre au PSG s'il est reconnu en infraction. Et certaines obligeraient le club de la capitale à réduire son train de vie. Ce serait le cas d'une interdiction d'inscrire des recrues dans les compétitions de l'UEFA, ou encore la restriction du nombre de joueurs qu'un club peut y inscrire.
" On parle avec l'UEFA "
Le point qui pourrait placer le PSG en infraction avec le FPF est que son propriétaire, Qatar Sport Investments (QSI), justifie ses revenus par un contrat de sponsoring avec l'autorité du tourisme du Qatar (QTA), sur la base d'environ 200 millions d'euros par an. L'argument défendu par QSI est que le club assure la promotion du pays. Les experts de l'Instance de contrôle financier des clubs (ICFC), organe indépendant en charge du FPF, ont dû répondre aux questions suivantes : ce sponsoring vaut-il réellement 200 millions d'euros ?
L'heure de vérité approche. Sur les 237 clubs engagés cette saison dans les compétitions européennes, 76 (non identifiés officiellement) sont dans le viseur de la chambre d'instruction de l'ICFC. La presse européenne cite fréquemment le PSG et Manchester City en tête de liste. Jusqu'ici, le PSG affirme ne pas s'inquiéter. « Je dis toujours qu'il n'y a pas de raison pour prendre des sanctions contre nous, a assuré le président du PSG Nasser Al-Khelaifi. J'ai confiance, on est bien dans le règlement, il n'y a pas de problème. On regarde, on parle avec l'UEFA, mais je suis très confiant. »
Quid de Monaco ? L'autre nouvelle puissance financière de la L1, aux mains du milliardaire russe Dmitry Rybolovlev, n'est pas pour l'heure concernée par le FPF, car elle n'est pas inscrite dans les compétitions européennes. Mais une fois l'ASM engagée en Ligue des champions la saison prochaine, l'ICFC se penchera sur son dossier au printemps 2015.

Taxes à 75% : un report pas si avantageux pour la Ligue 1

Publié le Mercredi 30/04/2014 à 13H52







Alors que les clubs pros se sentaient soulagés après l'annonce du report de la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à 1 millions d'euros par an, il semblerait que la bonne nouvelle soit en fait de courte durée. En effet, selon Les Echos, le ministère des Finances n'a accordé qu'un délai de quelques semaines pour revoir quelques points bien précis. Pour info, l'OM devrait payer aux alentours de 5 millions, comme Lille. Pour Paris on parle d'une somme de 20 millions d'euros.

L’incroyable prix de la navette maritime
Marseille / Publié le Vendredi 02/05/2014 à 10H01



C’est un incontestable succès. La navette maritime fait souvent le plein les beaux jours venus. Mais elle coûte cher, très cher, ce qui n’a pas échappé à Guy Teissier, nouveau président de la communauté urbaine.

Un aller simple Vieux-Port - Pointe Rouge c’est... 300 à sortir pour MPM. "Ce qui ne veut pas dire qu’il faut arrêter, explique un responsable. Mais peut-être faudrait-il construire nos propres bateaux plutôt que de les louer."

France/Monde - Uefa
Fair-play financier : le PSG sanctionné ?
04/05/2014 05:35
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]

Tweet



Nasser Al-Khelaïfi, président du PSG, devra dévoiler les comptes du club visé par l'UEFA. - (AFP)

Neuf clubs, sur lesquels le travail des experts du fair-play financier se poursuit, seront sanctionnés, a annoncé, samedi, un porte-parole de l'UEFA sans donner les noms de ces formations.
« Suite à la période pendant laquelle la chambre d'instruction de l'Instance de contrôle financier des clubs (ICFC) a surveillé la conformité des clubs au règlement du fair-play financier, l'UEFA confirme que sur les 237 clubs ayant participé aux compétitions de clubs de l'UEFA 2013/2014 (et qui étaient donc soumis aux exigences d'équilibre des comptes de cette saison), 76 ont été sommés de soumettre des informations supplémentaires. Sur ce groupe, l'analyse est terminée concernant 67 clubs et ne se poursuit que sur les neuf clubs restants », explique l'UEFA dans un communiqué sur son site.
L'instance européenne ajoute dans son communiqué que « de plus amples informations seront fournies une fois que ce processus sera achevé ».
Selon plusieurs sources, le Paris SG et Manchester City feraient partie de cette liste de neuf clubs.
Sanctions ou accord à l'amiable
La chambre d'instruction, qui a épluché les comptes des clubs, peut elle-même prononcer des sanctions ou conclure des règlements à l'amiable.
Les cas les plus sérieux, ou les clubs ayant rejeté une proposition de règlement à l'amiable, seront pour leur part renvoyés devant la chambre de jugement qui doit se prononcer en juin.
Avec le fair-play financier, l'UEFA entend assainir les finances des clubs de l'élite européenne, dont les pertes ont atteint jusqu'à 1,7 milliard d'euros en 2011.
Le fair-play financier ne concerne pas tous les clubs européens mais seulement ceux qualifiés pour les Coupes d'Europe.

Fair-play financier : le PSG connaît ses sanctions








Si l'UEFA ne devrait communiquer qu'en fin de semaine les sanctions prises à l'encontre des neuf clubs européens ne respectant pas les règles du fai-play financier, le PSG connaitrait d'ores et déjà la liste des punitions le concernant. C'est tout du moins ce que croit savoir L'Equipe dans son édition du jour. L'Instance de Contrôle Financier des Clubs n'ayant pas été convaincue par les 200 millions d'euros du contrat liant le club parisien avec QTA, l'office de tourisme qatarien, quatre sanctions ont ainsi été prévues par l'organe de l'UEFA: un contrôle de la masse salariale, une limitation de ses transferts, le club parisien ne pouvant dépenser plus de 60 millions, et encore, sur un seul joueur, à moins de vendre, l'impossibilité d'inscrire plus de 21 joueurs en Ligue des Champions et une amende de 60 millions d'euros à s'acquitter sur trois ans.

Feurs : Les joueurs boycottent le match contre Andrézieux


Voilà un fait très rare, qui s'est néanmoins déroulé ce samedi en fin d'après-midi. A 17 heures, l'équipe de Feurs, lanterne rouge du groupe D de CFA2, devait affronter Andrézieux. Pourtant, le match n'a jamais commencé.

Comme le rapporte Foot42, les joueurs de Feurs ont décidé de boycotter la partie, en signe de protestation, eux qui ne sont plus payés depuis quelque temps. La lanterne rouge de la poule D traverse une période très compliquée avec bon nombre de départs depuis l'été dernier. L'ASF, toujours en course pour monter en CFA, va donc récupérer quatre points précieux, en parallèle

Pôle emploi lance l'opération "48h pour l'emploi"

Aix-en-Provence Gardanne / Publié le Dimanche 01/06/2014 à 18H41







Dans un contexte global peu enchanteur, Pôle emploi veut communiquer sur ses actions entreprises dans le domaine de l’aide à la recherche d’emploi. C’est ainsi qu’aura lieu, les 4 et 5 juin prochains, l’opération "48 heures pour l’emploi".
A Aix et Gardanne, cette opération de "visibilité" passera par des visites d’entreprises par des conseillers Pôle emploi et des demandeurs d’emploi volontaires : ils partiront par petits groupes se présenter aux employeurs qui ont été informés en amont de la démarche.
L’objectif affiché ? "Faire tomber les barrières en favorisant la rencontre directe entre candidats et employeurs

L'Etoile Rouge de Belgrade privé de compétition la saison prochaine

cliquez pour agrandir

voir les photos






L'Étoile Rouge de Belgrade, champion de Serbie, ne jouera pas la Ligue des champions la saison prochaine. L'UEFA a décidé de frapper en grand coup en sanctionnant sévèrement le vainqueur de la Coupe d'Europe des clubs champions 1991, coupable de défauts de paiement. "La chambre d'instruction de l'ICFC (Instance de contrôle financier des clubs) a déterminé que le club ne respectait pas un certain nombre de clauses des règles de licences de clubs et de fair-play financier de l'UEFA. Ainsi, le Crvena zvezda (Étoile Rouge de Belgrade) a interdiction de participer à l'UEFA Champions League 2014/15 pour laquelle le club s'était qualifié sur le terrain", a déclaré l'UEFA sur son site officiel. L'association regroupant et représentant les fédérations nationales de football d'Europe veut même aller plus loin en ouvrant une procédure visant à sanctionner la Fédération serbe de football: "Une enquête à l'encontre de la Fédération serbe de football (FSS) risque d'être ouverte dans les jours à venir par l'enquêteur en chef pour violation possible des règles des licences de clubs en rapport à l'accord de la licence de ce club".

Les demandeurs
d’emploi en avril 2014
En avril 2014, le nombre de demandeurs
d’emploi en catégorie A augmente et
s’établit à 3,364 millions (+ 14.800, + 0,4 %).
Pour les inscritsà Pôle Emploi ayant ou non
travaillé dans le mois (catégories A, B et C),
l’évolution est du même ordre de grandeur
(+ 0,7 %, + 36.400).Ces chiffres reflètent, hélas,
la conjoncture observée en ce début
d’année 2014. Ils appellent, naturellement,
à lamobilisation générale pour la croissance
et l’emploi, à tous les niveaux...

Indre - La question
Ces difficultés économiques de la Berri vous ont-elles fait réfléchir avant de signer ?
11/06/2014 05:20
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]




Pascal Gastien a répondu de façon catégorique : « Ça ne m'effraie pas du tout. J'ai l'impression de travailler dans des clubs en crise depuis quinze ans. Ici, les dirigeants ne m'ont rien caché, ils vont faire le nécessaire. Il n'est plus le temps de pleurer, la solution passe par le travail. »

On ne pourra pas éviter des licenciements. »
11/06/2014 05:21
réagir(0) [url=javascript:window.print();][/url]




Thierry Schoen, président de la Berrichonne, ne l'a pas caché, sans préciser le nombre de personnes concernées : « Il y aura des licenciements parmi les salariés du club. C'est dramatique, mais on ne pourra pas faire autrement. De même, on va devoir baisser le coût de fonctionnement du centre de formation. On est dans l'obligation de prendre des décisions maintenant et même si l'on était repêché dans les prochaines semaines, il nous faudrait mettre en application ces décisions. »
Le président rappelle qu'«il y a avait 1 M€ de trou dans les caisses à notre arrivée en fonction (20 décembre 2013). La Berrichonne a vécu au dessus de ses moyens, le budget était équilibré en fonction des transferts éventuels. Dans ce cas-là, si on ne réalise pas le transfert, on ne boucle pas. Désormais, on veut que ce club ait une gestion saine, sans dépendre des aléas des transferts, comme une entreprise normale. »

SNCM : préavis de grève reconductible le 24 juin


Marseille / Publié le Samedi 14/06/2014 à 20H12






La CGT, syndicat majoritaire de la SNCM, et la CFE-CGC ont déposé un préavis de grève reconductible à partir du 24 juin, avec en filigrane la crainte d'un démantèlement de la compagnie maritime marseillaise par son principal actionnaire (66%), Transdev, qui a obtenu fin mai la nomination à sa tête de son candidat, Olivier Diehl, avec les voix de l'État (25%).

[size=36]Pauvreté: le gouvernement présente la nouvelle carte[/size]
Lu 9 fois


Le Nord ou la banlieue parisienne restent sans surprise sur la nouvelle carte de la pauvreté, publiée mardi par le gouvernement, mais des poches en zones rurales apparaissent sur cette liste de communes éligibles à des aides spécifiques de l'Etat.
La politique de la Ville, dédiée aux zones urbaines les plus fragiles, s'est construite par sédimentation et avait fini par concerner 2.500 quartiers situés dans 900 communes, dont certaines comme Biarritz ou Hendaye (Pyrénées-Atlantiques) étaient contestées.
Pour mettre un terme au saupoudrage de ses moyens, le gouvernement avait lancé il y a un an et demi une remise à plat. Et pour éviter d'être accusé de choix partisans, il a inscrit en février dans la loi un critère unique de sélection: le revenu des habitants.
Sur cette base, la ministre de la Ville Najat Vallaud-Belkacem présente mardi la liste des 1.300 quartiers, situés dans 700 communes, qui continueront de bénéficier de ces crédits.
Ont été retenues les zones où plus de la moitié de la population vit avec moins 11.250 euros par an, soit 60% du revenu médian national (avec une pondération selon le niveau de vie dans l'agglomération).
Avec ce critère, 300 communes sortent du dispositif. Un certain nombre sont dans les Pyrénées-Atlantiques, mais aussi en Seine-Maritime (Le Grand-Quevilly, Yvetot), dans les Hauts-de-Seine (Bourg-la-Reine, Sceaux, Rueil-Malmaison), le Rhône (Ecully, Caluire), en Savoie (près de Chambéry), dans la Drôme.
Dans ce dernier département, Crest est concernée. "Je regrette que cela signifie un retrait de l'engagement de l'Etat", commente le maire UMP Hervé Mariton, tout en disant "comprendre" le souhait de "concentrer les aides de l'Etat sur les quartiers les plus en difficulté".
"Le fait qu'ils sortent Saint-Martin-le-Vinoux, ça peut vouloir dire qu'on s'en est sorti, qu'on a réussi. Les efforts qui ont été consentis ont porté leurs fruits", positive de son côté le maire de cette petite commune de l'agglomération grenobloise, Yannick Ollivier.

- "Coup de pouce" -


A l'inverse, une centaine de communes font leur apparition sur cette nouvelle carte de la pauvreté, certaines en pleine zone rurale comme Dax (Landes), Foix ou Pamiers (Ariège), Guéret (Creuse), Marmande ou Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne).
Villers-Cotterêts (Aisne), où le Front national vient de remporter la mairie, y entre aussi.
"C'est la réalité de la pauvreté en France, loin d'être cantonnée aux territoires périphériques des grandes villes, qui apparaît ainsi au grand jour", commente la ministre de la Ville dans les quotidiens régionaux.
Mais ces poches isolées ne signifient pas pour autant que la pauvreté est répartie sur tout le territoire: le Pas-de-Calais compte toujours 49 communes sur les 700 les plus pauvres, le Nord 46, l'Ile-de-France plus de 150...
En Seine-Saint-Denis, où 31 villes étaient déjà aidées par la politique de la Ville, le Bourget fait son entrée. "C'est la réparation d'une injustice, estime son maire Vincent Capo-Canellas (UDI). Il y a enfin des critères objectifs pour déterminer qui doit bénéficier d'un coup de pouce." Lui se servira des nouveaux crédits pour renforcer les actions de soutien scolaire, d'accès à la culture, au sport...
Les fonds du ministère de la Ville, un peu plus de 300 millions d'euros, ne représentent pas des sommes importantes (de l'ordre de 31 euros par habitant en Seine-Saint-Denis) mais figurer sur la liste permet aussi de demander à entrer dans le programme de rénovation urbaine, lui doté de moyens très importants.
Après un premier programme entamé en 2003 qui a concerné 500 quartiers et doté de 12 milliards d'euros de subventions, l'Etat doit lancer à l'automne un second programme avec 5 milliards de fonds publics.
En bénéficieront 200 quartiers qui figurent sur la nouvelle carte de la pauvreté (disponible sur le site du ministère http://www.ville.gouv.fr/?carte-des-nouveaux-quartiers) et qui présentent les "dysfonctionnements urbains les plus importants".

Valenciennes: Vers le dépôt de bilan ?

cliquez pour agrandir

voir les photos






Relégué en Ligue 2, Valenciennes doit passer mercredi devant la DNCG, l'organe de contrôle financier des clubs professionnels. Endetté à hauteur de 7 à 8 millions d'euros, le club nordiste se trouve devant une situation difficile et la perspective d'un dépôt de bilan semble envisageable, alors qu'un investisseur, capable de renflouer les caisses, ne s'est pas encore manifesté. Ce mardi se tiendra un bureau communautaire exceptionnel, en présence des élus locaux, pour trouver une solution. Le rachat du centre de formation par Valenciennes Métropole est l'une des hypothèses avancées.

Valenciennes sauve la Berri ?
18/06/2014 05:35
réagir(0) [url=javascript:window.print();] [/url]

Tweet



Jean-Raymond Legrand, président de Valenciennes, a sans doute joué hier sa dernière carte pour sauver le club nordiste.
La situation a empiré hier dans le Nord, où le club de Valenciennes aurait déposé le bilan. Le repêchage de la Berri en Ligue 2 se précise.


Ce matin, les dirigeants de la Berrichonne rencontrent la DNCG, le gendarme financier du football français. Les Castelroussins amènent dans leurs cartons deux dossiers distincts : l'un pour présenter le budget de la future saison en National (à hauteur de 4,5 M€), division dans laquelle la Berrichonne a été reléguée sportivement ; l'autre, au cas où, doit permettre de montrer que la Berri a les reins assez solides pour envisager un repêchage en Ligue 2 avec un budget qui doublerait (aux alentours de 9 M€), notamment grâce à l'apport des droits télé représentant un apport de près de 4 M€
Devant la DNCG aujourd'hui
C'est peut-être cette dernière option qui sera retenue. Si aucune nouvelle n'est parvenue d'Orléans et Luzenac, donc la montée en L2 n'est pas encore validée, c'est du côté de Valenciennes que les choses ont bougé. Dans le mauvais sens pour VA, dans le bon pour la Berri, le malheur des uns faisant le bonheur des autres.
Selon les informations recueillies par nos confrères de La Voix du Nord et de L'Équipe, le club nordiste serait amené à déposer le bilan, devant le tribunal de commerce. C'est ce qu'aurait confié le président, Jean-Raymond Legrand, à plusieurs de ses salariés. L'actionnaire majoritaire du club du Hainaut avait réuni un tour de table autour de l'ancien président de l'Estac, Thierry Gomez. Selon Legrand, « la reprise du club ne pourrait plus se faire en raison du désengagement de la Finorpa (fonds régional de la garantie), qui aurait promis un million d'euros lors de la réunion du 28 mai dernier, à Lille, au siège de la Région ». Des supporters qui déploraient « qu'on ne trouve pas 1 M€ pour sauver Valenciennes, alors que la Région va injecter 70 M€ pour rénover Bollaert (le stade de Lens) pour l'Euro 2016… »
Les supporters valenciennois ont bien compris la gravité de la situation et se sont réunis en fin d'après-midi sur la place d'Armes de la ville avant de partir en cortège vers le siège de Valenciennes Métropole, où devait se tenir, à partir de 19 h, un bureau communautaire qui devait décider de l'avenir du club. La réunion de la dernière chance, en quelque sorte.
Devant les incertitudes du côté de Valenciennes, les dirigeants de la Berrichonne n'ont pas souhaité réagir : « On n'a pas d'informations fiables en provenance des autres clubs menacés, confiait Bruno Allègre, président délégué, hier dans l'après-midi. On va essayer de convaincre la DNCG de la solidité de notre dossier, c'est tout ce que l'on peut faire. » La DNCG devant laquelle Valenciennes est également attendu aujourd'hui.

Source : Valenciennes : Tribunal de Commerce et DNCG ce mercredi

Mercredi 18 juin, jour fatidique pour le Valenciennes FC ? Fraîchement relégué, sportivement, en Ligue 2, le club nordiste jouera gros ce jour avec un passage devant le Tribunal de Commerce à 11 heures, puis devant la DNCG dans l'après-midi.

Entre risque de dépôt de bilan et relégation administrative, l'écurie du président Legrand est en grand danger. Selon L'Equipe, pas moins de 12 millions d'euros sont à trouver. Deux repreneurs potentiels, dont l'ancien président de Troyes, Thierry Gomez, pourraient sauver le club. Verdict imminent.

Football - ligue 2
Au Nord, c'était le feuilleton
Au bord du gouffre, Valenciennes a obtenu un sursis auprès du tribunal de commerce. La Berrichonne devra donc attendre pour connaître son sort.

Costa : " Un manque de respect "
25/06/2014 05:35
réagir(0) [url=javascript:window.print();] [/url]

Tweet



La Portugaise quitte l'Auvergne, évoquant « un manque de respect et l'amateurisme du club » dans un communiqué. - (AFP)
Peu bavarde en conférence de presse pour expliquer ses raisons de quitter Clermont, Helena Costa s’est montrée plus critique dans un communiqué.

Elle a donné sa démission lundi et repartira sans indemnité vers le Portugal. « Jusqu'ici, j'ai honoré mes engagements à 100 %, mais après une discussion avec le président, j'ai décidé de partir, et c'est ma propre décision », a-t-elle tout d'abord expliqué lors d'une conférence de presse au stade du club.
La mine défaite, laconique dans ses réponses, Helena Costa n'a pas souhaité en dire plus hier matin. « C'est une question de respect », a-t-elle indiqué. A plusieurs reprises, elle a répété que « seul le président connaissait [ses] raisons » et qu'il n'y avait « qu'à lui » qu'elle devait « rendre des comptes ».
Elle critique l'amateurisme du club
Mais plus tard dans la journée, elle a levé le voile sur les vraies raisons de ce surprenant départ dans un communiqué publié sur le site du quotidien sportif portugais A Bola : « Mon départ vient d'une conjonction de facteurs que personne n'aurait pu accepter. Tout cela révèle un manque total de respect et un amateurisme du club. » Et de préciser : « Il est inadmissible qu'un entraîneur apprenne le recrutement de joueurs par le secrétariat, via une liste de joueurs soumis à des tests médicaux. Le directeur sportif, qui était en vacances, n'a répondu à aucun de mes mails ou de mes messages, tout cela à cinq jours du début de la saison… » Elle détaille également au jour le jour ce qui n'a pas été depuis son arrivée, se disant très déçue du comportement des dirigeants de Clermont.
Le président, Claude Michy, qui s'était lui exprimé hier matin, avait qualifié sa décision d'« étonnante, irrationnelle, incompréhensible ».
Pour lui, aucun élément dans leur discussion de la veille ne justifiait une démission. « C'est une femme, elles sont capables de nous faire croire un certain nombre de choses », a-t-il lâché.
« Elle a un problème de confiance qui s'est installé, mais je ne sais pas par quoi elle a été déstabilisée. […] Maintenant, c'est la suite qui compte. Le club est structuré, il y a un staff pour entraîner les joueurs. On trouvera un autre entraîneur, ou une entraîneuse », a assuré le président de Clermont, où l'entraînement a néanmoins repris hier.
Annoncée en mai à Clermont-Ferrand, l'arrivée d'Helena Costa, en remplacement de Régis Brouard, avait fait l'effet d'une bombe et donné une aura internationale à ce club auvergnat de 2^e division, jusqu'aux pages du New York Times. Agée de 36 ans, surnommée le « Mourinho en jupons », Helena Costa avait assuré le 22 mai, lors de sa présentation à la presse, qu'elle n'avait « pas peur » d'entraîner l'équipe clermontoise.

[size=36]Après le faux bond spectaculaire de sa coach portugaise, le jour de la reprise[/size]
Lu 38 fois


Helena Costa n’a rien dit en conférence de presse des réelles raisons de sa volte-face, mais a été plus virulente via un communiqué publié sur internet. Abattu la veille, le président Michy, lui, avait repris du poil de la bête et veut passer à autre chose, sans abandonner l’option féminine.


Arrivée seule au stade Montpied à bord d'une voiture du club à 9 heures, Helena Costa est apparue seule, encore, devant la presse, à 9 h 44. Neuf minutes plus tard, elle s'engouffrait dans un taxi pour quitter Clermont et ce club qu'elle n'entraînera jamais.
La Portugaise a donc achevé sa carrière éclair au Clermont Foot en moins d'une heure. Des raisons de sa volte-face, elle n'a d'abord rien dit, ou presque, avant de s'épancher via un communiqué sur sa page Facebook(voir par ailleurs) dans lequel elle dénonce un « manque total de respect et l'amateurisme du club ».
Cible principale de ses griefs : Olivier Chavanon, avec qui elle communiquait par mail ou téléphone depuis Lisbonne. Mais aussi Claude Michy, qui n'aurait pas réglé ce différend.
Autrement dit, elle a réglé ses comptes après-coup, loin des micros et caméras, en donnant une leçon de professionnalisme à un club dont elle saisissait encore assez mal le fonctionnement, sans évoquer une seconde les limites du mode de préparation qu'elle avait choisi, à distance, qui l'empêchait de marquer son territoire.
« Elle est partie. 
Qu'elle aille nager en bord 
de mer »
« Je n'ai eu aucun problème avec elle », affirmait Olivier Chavanon dans la matinée, à l'évocation de quelques fritures sur la ligne Clermont-Lisbonne, ajoutant même : « Elle a eu une forme de sagesse en faisant cette annonce avant la reprise ».

Claude Michy s'est lui aussi exprimé en deux temps. D'abord au Montpied, devant la presse, se contentant d'un « Elle part avec son secret » qui ne mangeait pas de pain.
Quelques heures plus tard, en revanche, par téléphone, en réaction au communiqué de son ex-coach, il ne mâchait plus ses mots : « On marche sur la tête. Je n'ai pas de commentaire. Elle est partie, qu'elle aille nager en bord de mer. Elle n'avait qu'à dire ce qu'elle avait à dire ce matin, quand on pouvait répondre ». Fermez le ban.
Le matin, donc, alors que les armes étaient encore rangées, Claude Michy avait ajouté : « Je ne suis pas le premier homme abandonné par une femme », sur un ton de boutade contrastant avec celui de la veille.
Lundi soir, Claude Michy était encore sonné, lorsqu'il nous avait livré son premier sentiment sur le renoncement d'Helena Costa (voir notre édition de mardi). Hier, il avait retrouvé son ton habituel, ses tics de langage teintés d'optimisme, et a clairement affiché sa volonté de reprendre la main.
« Elle n'a pas voulu me faire confiance. C'est un mauvais film, un épisode de la vie du club, mais celle-ci continue. Ce qui compte, maintenant, c'est l'avenir ». Et le choix du nouvel entraîneur. Pour toute la saison, si possibleæ

[size=33]Ligue 2. Valenciennes vers une rétrogradation[/size]
France - 25 Juin
écouter

• Les Valenciennois pourraient se retrouver en National la saison prochaine. | Photo : Ouest-France / David Ademas
  

• Facebook
   
  
• Twitter
   
  
• Google+
   
  
• 
  
• Achetez votre journal numérique
  

Le VAFC, relégué sportivement en Ligue 2 en mai dernier, a été placé en redressement judiciaire mercredi par le tribunal de commerce de Valenciennes.
Selon les règlements de la Ligue de football professionnel (LFP), une procédure de redressement judiciaire entraîne en effet la rétrogradation « dans la division immédiatement inférieure ». Soit en National dans le cas du VAFC.
La Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG), qui doit recevoir des documents complémentaires de la part du club valenciennois, a indiqué qu'elle se réunirait jeudi pour statuer sur le dossier du VAFC.
« Une procédure de redressement judiciaire contre la société VAFC » a été ouverte par le tribunal, a indiqué au sortir de l'audience un des magistrats valenciennois.
« La période d'observation est de six mois, il y a un administrateur et un mandataire judiciaire, et une nouvelle audience est fixée au 18 août », a-t-il précisé.
Le président abattu...
Le tribunal n'a pas souhaité faire de commentaires supplémentaires sur les nouveaux éléments apportés par le club nordiste, ou le paiement des salaires du mois de mai, alors que le club a été placé en cessation de paiement le 10 juin 2014.
« C'est le coeur lourd que j'informe les salariés, les supporters, les partenaires et tous les amoureux du VAFC que je n'ai eu aucune autre alternative que de confirmer ma demande d'ouverture d'une procédure de redressement judiciaire », a réagi le président valenciennois Jean-Raymond Legrand dans un communiqué.
« Je souhaiterais remercier toutes celles et tous ceux qui m'ont aidé dans la recherche de solutions pérennes pour ce club pour lequel j'ai tant donné », a-t-il ajouté.

[size=30]L1: A Lens, reprise sans entraîneur et avec un actionnaire en colère[/size]
06/07/2014 17:43
 réagir(0)[url=javascript:window.print();][/url]  




[url=javascript:void(0)]suivante[/url][url=javascript:void(0)]précédente[/url]
L'entraîneur de Lens Antoine Kombouaré lors d'une rencontre de L2 contre Bastia, le 16 mai 2014 au stade Armand Cesari à Bastia. - AFP Pascal Pochard-Casabianca
Montée refusée par la DNCG, agacement de l'actionnaire majoritaire azerbaïdjanais Hafiz Mammadov, boycott de la reprise par l'entraîneur Antoine Kombouaré, incertitudes sur les stades où il jouera: pour son retour en L1, le RC Lens connaît une préparation compliquée.

- La décision de la DNCG de maintenir le club en L2
La Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG), gendarme financier du football français, a notifié le 26 juin au RCL, promu sportivement en L1 début mai, qu'il était maintenu en Ligue 2. Une décision motivée par le manque de garanties financières. Le président Gervais Martel a toutefois affirmé n'avoir "aucune inquiétude". Selon lui, ce "contre-temps" est seulement dû au retard d'un virement de 10 millions d'euros en provenance d'Azerbaïdjan, le pays d'origine de l'actionnaire majoritaire Hafiz Mammadov. Un jour férié dans ce pays caucasien aurait empêché l'argent d'arriver en temps et en heure sur le compte du club. Ce manque de rigueur et d'anticipation serait à l'origine de ce nouvel incident avec l'intransigeante DNCG, qui avait menacé de recaler le club nordiste en National l'an dernier.
- Un actionnaire majoritaire mécontent
L'homme d'affaires azerbaïdjanais Hafiz Mammadov, qui a sauvé le club de la faillite l'été dernier en injectant 20 millions d'euros, n'a pas apprécié d'être éconduit une nouvelle fois par la DNCG. Et il l'a fait savoir par le biais d'un communiqué. "Je suis déçu et je regrette qu'une telle mesure ait été prise, alors même que j'avais fourni toutes les garanties réclamées par Gervais Martel", indique-t-il. S'il a tenu à rassurer les supporteurs lensois, affirmant qu'il "satisferait, une fois de plus, à tous les engagements demandés par la DNCG", Mammadov a promis "des changements au sein de l'encadrement du club, qui seront annoncés prochainement". La président Martel, interrogé dimanche par l'AFP, n'a pas souhaité réagir. Cette saison, l'homme d'affaires azerbaïdjanais devrait injecter 30 millions d'euros, dont les 10 déjà versés, dans le club Sang et Or. Le budget tournera autour de 45 millions d'euros.
- Le boycott de l'entraîneur Antoine Kombouaré
Les joueurs du RCL ont repris le chemin de l'entraînement en début de semaine, en l'absence d'Antoine Kombouaré. L'entraîneur lensois a en effet décidé de boycotter la reprise tant que la situation du club nordiste pour la saison prochaine n'aura pas été éclaircie par la DNCG. "Il en a décidé ainsi et je comprends sa décision, même si elle ne plaît pas au grand public, a lancé le président Gervais Martel. Même s'il a été pris en photo en train de faire du golf, je vous assure qu'il est à 150% derrière le club. On l'a tous les jours au téléphone, il parle beaucoup avec ses adjoints, qui ont finalement l'habitude de travailler de la sorte puisque cela s'est déroulé de la même façon l'an passé." Kombouaré, qui manquera le premier match amical, mardi contre Boulogne-sur-Mer (Nat), pourrait rejoindre le groupe jeudi pour partir en stage à Vittel (Vosges). Le Calédonien a d'ores et déjà annoncé qu'il quitterait le club si la DNCG le maintenait en L2.
- Incertitudes concernant les stades où le RCL va jouer ses matchs "à domicile"
Pour l'heure, la seule certitude est que Lens, dont le stade Bollaert est en travaux en vue de l'Euro-2016, va "recevoir" Paris, Marseille et Lille au Stade de France, à Saint-Denis. Pour les 16 autres matchs "à domicile", le club Sang et Or va naviguer entre le Stadium Lille Métropole de Villeneuve d'Ascq (18.000 places) et le stade du Hainaut de Valenciennes (25.000 places). Martel souhaiterait jouer 8 rencontres dans chacune des antres. Mais la Communauté d'agglomération de Valenciennes, propriétaire du Hainaut, voudrait limiter à 6 le nombre de rencontres du RCL. Le club de Valenciennes, relégué sportivement en L2 puis administrativement en National par la DNCG, en raison de graves problèmes financiers, sera entendu en appel mardi et devrait être fixé sur son sort dans la foulée. Si le VAFC est rétrogradé au niveau amateur, Lens pourrait bien disputer 8 matchs à Valenciennes.

Football : Jean-Louis Borloo sauve le club de Valenciennes en mettant 500 000 € de sa poche
18 COMMENTAIRES
Publié le 11/07/2014 à 16h20 , modifié le 11/07/2014 à 17h37 par 
SudOuest.fr, avec AFP


Retiré de la vie politique, l'ancien maire est désormais le nouveau président du club, réintégré vendredi en Ligue 2 après avoir convaincu en appel
Jean-Louis Borloo en 2011, le jour de l'inauguration du nouveau stade de foot de Valenciennes.© PHOTO 
ARCHIVES AFP/FRANCOIS LO PRESTI








J
ean-Louis Borloo est le nouveau président du club de Valenciennes, qui a été réintégré en Ligue 2 vendredi par la Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG) après son passage en appel, a déclaré Jean-Raymond Legrand, l'ancien patron du VAFC.
"J'ai démissionné hier soir, car je voulais que ce soit Jean-Louis (Borloo) le président du club devant la DNCG", a expliqué vendredi Jean-Raymond Legrand.
Mieux, Jean-Louis Borloo, ancien ministre retiré de la vie politique à cause de ses ennuis de santé, a mis 500 000 euros de sa poche, aux côtés de quatre autres investisseurs, pour sauver financièrement le club, indique "La Voix du Nord". "Il s'est démené avec une énergie folle ces quinze derniers jours pour sortir VA de l'ornière, alors que tout semblait perdu", souligne le quotidien régional.
Valenciennes, au bord du dépôt de bilan et de la disparition au terme d'une saison calamiteuse achevée à la 19e place de Ligue 1, a finalement réussi le miracle de monter un dossier solide qui a convaincu d'abord la justice civile puis les instances du football.

"En aucun cas je ne reprendrai une présidence opérationnelle, je dois me ménager" (Jean-Louis Borloo)

[size]
"En aucun cas je reprendrai une présidence opérationnelle. Je suis fatigué, je dois me ménager. J'ai embarqué avec tout le monde, je reste pour être le garant de la bonne tenue des opérations. A quelle place, je ne sais pas", a toutefois déclaré Jean-Louis Borloo vendredi.
[/size]

• "Union sacrée" pour sauver le club
  

[size]
Ce retournement de situation a été rendu possible par "l'union sacrée" autour du club nordiste, dixit le président valenciennois Jean-Raymond Legrand.
Les efforts des créanciers (les fournisseurs et le Crédit Agricole, qui a renoncé à une ardoise de plus de 6 millions d'euros) et de l'agglomération valenciennoise (rachat du centre de formation, mise à disposition et maintien de la subvention), l'arrivée de nouveaux investisseurs (à hauteur de 2,6 millions d'euros), le soutien de Jean-Louis Borloo, ancien maire de Valenciennes et ancien président du VAFC, et l'expérience des sauvetages de Luc Dayan, passé par Lens et Lille, ont finalement permis au club de réaliser un miracle qui semblait improbable il y a quelques jours.
Cette réintégration de Valenciennes ne fait pas les affaires d'Istres, 19e de L2 la saison dernière et qui avait l'espoir d'être repêché, à l'image de Châteauroux, 18e et qui a bénéficié du refus de la DNCG de valider la montée en L2 de Luzenac.
[/size]