CITOYENS CITOYENNES AVEZ VOUS MAL A VOTRE SERVICE PUBLIC !!!!!

CERTAINS ....A SE CROIRE PLUS INTELLIGENT QUE LES ANES
Le plus grand attelage d’ânes
du monde sur La Canebière!

Demain, on pourra voir
les ânes d’André à la
foire d’Auriol


Affectueux, intelligent et, il est vrai, un peu caractériel, l’âne est
la passion d’André Camoin

Atteler 60 ânes sur La Canebière
: c’est à ce drôle de
record que va s’attaquer
en septembre l’association "Les
Ânes de Château-Gombert" et
en particulier son enthousiaste
vice-président, André Camoin.
"Le record précédent c’est 52
ânes. De mon côté, je possède
une vingtaine de bêtes. Il va falloir
que mes amis des groupes
Saint-Eloi de la région m’en prêtent".
André Camoin, employé
de mairie gombertois à la retraite,
s’est passionné pour les ânes
très tôt. Il ne passe plus un jour
sans aller les voir, les bichonner
et les nourrir. Il en parle avec affection
comme on parle d’animaux
de compagnie.: "C’est très
affectueux, caractériel et en même
temps très intelligent, un
âne".
C’est pour soutenir cette initiative
aussi surprenante
qu’amusante, que la Ville de
Marseille a voté, lors de son dernier
conseil municipal, une subvention
à l’association de 8000¤
euros pour l’ensemble de ses besoins
en communication ainsi
que pour l’organisation de ce record.
"J’ai déjà à mon actif un record
du monde de chevaux
lourds à Trets avec 120 bêtes ! Je
vais essayer de l’améliorer à Châtreaurenard.
Ce genre de record,
ça me fait plaisir et ça attire les
visiteurs. On a l’occasion de faire
voir notre travail", ajoute l’éleveur.
A Château-Gombert, l’association
est née il y a trois ans.
Elle a pour objet de promouvoir
l’âne au travers de manifestations
publiques ou défilés dans
la tradition provençale, tant à
Marseille que dans les communes
environnantes. "Forte de
163 adhérents, l’association
contribue par la démonstration
de ces attelages à la mise en valeur
de l’animal, lequel
aujourd’hui encore est à même
d’assurer sa part de travail. Il est
facile à dresser, à l’attelage, à la
monte et il est encore présent
aux côtés de quelques bergers
pour accompagner les transhumances,
bien adapté au terrain
sec, c’est un débroussailleur assidu
qui peut entretenir des pare-
feu", s’enthousiasme André.
Les efforts menés par tous les acteurs
de cette profession au
cours de ces dernières années
ont permis de recenser et d’évaluer
environ 800 sujets détenus
par une centaine d’éleveurs
dont quelques bergers provençaux
transhumants. C’est dire
que l’âne tient toujours fièrement
sa place dans le patrimoine
culturel provençal. Par
ailleurs, son caractère, son pied
sûr et sa conformation en font
un excellent ran donneurmême
en terrain accidenté.
Demain, les ânes d’André Camoin
seront à la foire d’Auriol ;
l’association organise aussi une
journée pédestre le 9mai et une
journée de l ’ â n e à Château-
Gombert; elle participera
cet l’été à près de 25 défilés de la
Saint-Eloi.

C EST CLAIR QU UN LOUP EN PHOTO SUR INTERNET C EST BEAU

MAIS A COTE DE TA MAISON DE TES ENFANTS DE TA BERGERIE ET DE TES BETES D E'LEVAGE
C PAS DU TOUT PAREIL




Sur la piste du loup dans les
alpages qui se désertifient


Jamais sorti de notre mémoire collective, de
nos peurs de conte de fées, le loup, revenu depuis
douze ans dans les Alpes, est toujours
l’objet de toutes les polémiques. Certains contre
tous, les preuves génétiques montrant qu’il est venu
d’Italie, racontent toujours qu’il a été réintroduit
par les hommes, D’autres, notamment les éleveurs
qu’il menace toute une économie rurale et
qu’ils n’ont pas à subir les dégâts d’un "animal protégé
par l’Europe". Une Europe qui a versé pour les
attaques quelque 900000 euros l’année dernière.
Alors, ce bel animal qui parcourt des dizaines de
kilomètres en une nuit et dont chaque meute a un
territoire d’au moins 200 km² occupe depuis mars
dernier Ludovic Hanot, un chasseur, ancien soldat
en Afghanistan, qui a été condamné à
500 euros pour avoir tué une louve sur les hauteurs
d’Esparron (Hautes-Alpes).
Nombre d’éleveurs sont venus symboliquement
le soutenir lors du procès mais certains reconnaissaient
qu’il n’était pas forcément l’emblème
de leur cause. La semaine dernière, une louve
capturée dans le parc du Mercantour a été équipée
d’un collier GPS. Après une première capture
en 2009 avec la même opération. Pour déterminer
précisément les déplacements de cet animal et ses
contacts avec des troupeaux. Car les professionnels
de l’Office national de la chasse et de la faune
sauvage que nous avons suivis dans le massif du
Grand Coyer le disent :même si les analyses génétiques
leur donnent une fiche d’identité de chaque
loup dont ils recueillent des indices de présence,
une partie de sa vie leur reste inconnue. "Parfois,
une meute disparaît. Nous ne savons si elle est
partie ailleurs ou si les individus sont morts", dit
l’un d’eux.
On situe entre 45 et 60 le nombre de loups dans
les Alpes, entre 120 et 150 sur toute la France.
Beaucoup de bruit pour si peu, pourrait-on croire.
Pourtant, le loup, avec les vieilles peurs, révèle un
malaise profond, comme nous l’explique le
sous-préfet de Barcelonnette, Jean-Marc Bassaget
et un éleveur (voir ci-dessous). En fait, il investit de
plus en plus, en descendant vers les plaines varoises,
la Montagne de Lure ou la Sainte-Baume, des
lieux certes rudes mais où la main de l’homme, les
efforts quotidiens des éleveurs, avaient dessiné le
paysage. Il reprend sa place dans les terres en friches
redevenues forêt. Son cri, finalement, est aussi
celui de la souffrance d’éleveurs et d’agriculteurs.
Ils se sentent les oubliés de notre société qui
perd ses racines et ses paysans. Ph.L.
Il parle encore une fois de
ses bovins et Marcel Jiacomet
lance d’une voix timide : "Vous
pouvez dire que je cherche une
partenaire ?" Qui du jeune loup
qui hante le massif ou du dernier
éleveur de l’Argenton, un
hameau du Fugeret (Alpes-
de-Haute-Provence) est le
plus solitaire ? Cet homme accroché
à une terre entre châtaigneraie
et pâtures d’altitude au
bout de kilomètres de chemin
de terre, rêve encore d’un foyer
heureux dans sa montagne. Cela
malgré un divorce et la mort
brutale de sa deuxième épouse.
Et il le dit sans ambages, il ne
veut pas être le dernier des Jiacomet
à l’Argenton. Et le loup,
c’est pour lui "la goutte qui fait
déborder le vase" d’une vie
d’âpreté et de labeur. "Je ne retrouve
pas plusieurs de mes brebis,
explique-t-il. C’est lui, c’est
sûr. Ce n’est pas possible de
maintenir l’élevage en montagne
avec le loup. Ma terre, mes
bêtes, je ne veux pas que la bête
me les prenne. L’un de mes ancêtres
avait tué le dernier en 1884,
ce n’est pas pour rien. Je ne crois
pas qu’il soit revenu d’Italie comme
on le dit. Pour moi, les premiers
se sont échappés d’un enclos.
En tout cas, notre système
d’élevage ne nous permet pas de
cohabiter."
Et c’est vrai que dans ce hameau
de l’Argenton , où les chevaux,
les ânes, les bovins, les
chèvres et les brebis paissent
en liberté au milieu de quelques
carcasses de voiture, Marcel
ne peut protéger seul tout
son cheptel. "J’ai eu une attaque
à moins de cent mètres de
ma maison, le loup préférera
toujours mes chèvres aux maigres
chamois", assure-t-il en
montrant un champ en contrebas,
près d’une chapelle qu’il
fait volontiers visiter. Le "dernier
des Mohicans" d’Argenton
symbolise la situation de ces
éleveurs qui maintiennent une
activité agricole sur les hauteurs
de notre région. Seul, il entretient
un espace qu’arbres et
sous-bois reconquerraient vite
sans lui.
"Il faut tout faire pour sauver
le pastoralisme, aider les éleveurs
pour qu’ils puissent continuer
à faire de l’élevage en milieu
ouvert, martèle André Pesce,
le maire du Fugeret. Ce sont
eux qui entretiennent la montagne,
nos hameaux. Regardez Cabrières,
en contrebas de l’Argenton,
quand le dernier éleveur est
parti, les ronces sont rentrées
dans les maisons. Le loup est
une menace pour l’économie,
un mode de vie. Quand il y a
quatre mille moutons en pâture
dans le massif du Grand Goyer,
il y a plus d’un kilomètre entre
la tête et la queue d’un troupeau.
Vous pouvez mettre
autant de patous (chiens de défense,
ndlr) que vous voulez, cela
ne protège pas les bêtes d’une
attaque. Je suis pour des tirs de
régulation car le loup est de plus
en plus présent." Marcel approuve
en caressant un petit ânon
aussi chevelu qu’un chanteur
rasta. Ph.L.
Jean-Marc Bassaget, sous-préfet
de Barcelonnette est le "Monsieur
loup" dans le département
des Alpes-de-Haute-Provence. Il
instruit avec les responsables de
la Direction départementale des
territoires les dossiers d’indemnisation
après les attaques présumées
de loup. Au contact des éleveurs.
il parle d’un "malaise bien
plus profond que cristallise cet
animal".
Pouvez-vous vraiment faire
cohabiter loup et élevage ?
Dans les zones montagneuses, de
pâture traditionnelle, lorsque les
troupeaux sont bien protégés,
avec des patous, des clôtures,
des mesures d’effarouchement,
c’est possible. Il y a une baisse
des attaques quand ces mesures
sont prises et nous avons mis en
place des aides. En 2009, nous
avons instruit 90 dossiers d’indemnisation
pour 381 victimes
dans les troupeaux. Il y en avait
eu 383 en 2008. Si le loup est une
espèce protégée et que sa protection
doit être assurée, il ne faut
pas minimiser l’impact d’une attaque.
C’est un véritable traumatisme
pour un éleveur. Cependant,
alors que nous avions autorisé en
2009 des tirs d’effarouchement
pour les éleveurs, nous n’avons
eu que trois demandes. Je reconnais
que le problème naît
aujourd’hui dans les nouveaux
territoires que colonise le loup.
Par exemple lorsqu’il apparaît
dans la Montagne de Lure, vers
Canjuers, où les zones boisées
sont plus difficiles à sécuriser, où
les éleveurs le découvrent plus
ou moins et sont moins équipés.
Q u e l l e s s o n t l e s
indemnisations pourune bête
tuée par un loup?
Il y a des barèmes très précis
pour les différents animaux d’élevage,
selon l’âge, le fait qu’il
s’agisse d’une mère qui va mettre
bas. Pour donner un exemple, cela
va de 40 à 390 euros pour les
ovins et cela peut aller jusqu’à
1620 euros pour un bovin labellisé.
Mais l’argent versé aux éleveurs
n’est qu’un aspect. En fait,
lorsqu’on se retrouve autour
d’une table avec les éleveurs, je
m’aperçois que le loup révèle,
cristallise un malaise bien plus
profond.


Présentdepuis12 ansdanslesAlpes,leloupatoujourssesopposants mais il révèle surtoutlesproblèmes de l’élevage


Jean-Marc Bassaget, sous-préfet
de Barcelonnette est le "Monsieur
loup" dans le département
des Alpes-de-Haute-Provence. Il
instruit avec les responsables de
la Direction départementale des
territoires les dossiers d’indemnisation
après les attaques présumées
de loup. Au contact des éleveurs.
il parle d’un "malaise bien
plus profond que cristallise cet
animal".
Pouvez-vous vraiment faire
cohabiter loup et élevage ?
Dans les zones montagneuses, de
pâture traditionnelle, lorsque les
troupeaux sont bien protégés,
avec des patous, des clôtures,
des mesures d’effarouchement,
c’est possible. Il y a une baisse
des attaques quand ces mesures
sont prises et nous avons mis en
place des aides. En 2009, nous
avons instruit 90 dossiers d’indemnisation
pour 381 victimes
dans les troupeaux. Il y en avait
eu 383 en 2008. Si le loup est une
espèce protégée et que sa protection
doit être assurée, il ne faut
pas minimiser l’impact d’une attaque.
C’est un véritable traumatisme
pour un éleveur. Cependant,
alors que nous avions autorisé en
2009 des tirs d’effarouchement
pour les éleveurs, nous n’avons
eu que trois demandes. Je reconnais
que le problème naît
aujourd’hui dans les nouveaux
territoires que colonise le loup.
Par exemple lorsqu’il apparaît
dans la Montagne de Lure, vers
Canjuers, où les zones boisées
sont plus difficiles à sécuriser, où
les éleveurs le découvrent plus
ou moins et sont moins équipés.
Q u e l l e s s o n t l e s
indemnisations pourune bête
tuée par un loup?
Il y a des barèmes très précis
pour les différents animaux d’élevage,
selon l’âge, le fait qu’il
s’agisse d’une mère qui va mettre
bas. Pour donner un exemple, cela
va de 40 à 390 euros pour les
ovins et cela peut aller jusqu’à
1620 euros pour un bovin labellisé.
Mais l’argent versé aux éleveurs
n’est qu’un aspect. En fait,
lorsqu’on se retrouve autour
d’une table avec les éleveurs, je
m’aperçois que le loup révèle,
cristallise un malaise bien plus
profond.
Vous voulez dire que le loup a
bon dos ?
Non, sans négliger les mesures
de protection des troupeaux, il
faut être beaucoup plus largement
à l’écoute des éleveurs. Ils
voient leur activité menacée par
la baisse des surfaces agricoles,
ils s’inquiètent pour la vente de
leurs bêtes, le cours de la viande
et ils se demandent quel sera leur
avenir. La plupart d’entre eux ont
poussé leurs enfants à faire des
études et cela leur fait mal
aujourd’hui de voir qu’ils ne leur
succéderont pas sur leurs terres.
Or l’élevage et le pastoralisme
ont un vrai rôle dans notre région.
Ils préservent le paysage,
un terroir.
Recueillipar Ph.L.
Sur la piste du loup dans les
alpages qui se désertifient
Présentdepuis12 ansdanslesAlpes,leloupatoujourssesopposants mais il révèle surtoutlesproblèmes de l’élevage
"Quand le dernier
éleveur partira, les
ronces rentreront dans
les maisons"
"J’ai eu des attaques à moins de cent mètres de ma maison. Seul dans ma montagne, je ne peux protéger
mes bovins, mes brebis et mes chevaux du loup", assure Marcel Jiacomet. /

Vous voulez dire que le loup a
bon dos ?
Non, sans négliger les mesures
de protection des troupeaux, il
faut être beaucoup plus largement
à l’écoute des éleveurs. Ils
voient leur activité menacée par
la baisse des surfaces agricoles,
ils s’inquiètent pour la vente de
leurs bêtes, le cours de la viande
et ils se demandent quel sera leur
avenir. La plupart d’entre eux ont
poussé leurs enfants à faire des
études et cela leur fait mal
aujourd’hui de voir qu’ils ne leur
succéderont pas sur leurs terres.
Or l’élevage et le pastoralisme
ont un vrai rôle dans notre région.
Ils préservent le paysage,
un terroir.
Recueillipar Ph.L.
Sur la piste du loup dans les
alpages qui se désertifient

ET """SI LA RUMEUR ETAIT FAUSSE""""
A OPPOSER A """""IL N "Y A PAS DE FUMEE SANS FEU""""

TOUT UN DILEMNE

INSOLITE. En slip au tribunal de police 35 réactions |

« A force de se prendre des PV à tous les coins de rue, les automobilistes parisiens se retrouvent… en slip! » Voilà le message, un peu potache, qu’Alexandre a voulu faire passer en se présentant au guichet tribunal de police simplement vêtu d’un caleçon et d’un tee-shirt. Une impressionnante pile de relance d’huissiers à la main, le jeune homme espérait pouvoir négocier l’indulgence des fonctionnaires à propos de ses derniers PV en date.



« Je suis sur Paris depuis un an et j’ai déjà payé pour plus de 1 200 € de PV. Avec un salaire de 900 € et un loyer de 700 €, je ne m’en sors plus », a-t-il tenté d’expliquer. La patrouille de police (5 fonctionnaires), réquisitionnée pour l’occasion, ne l’a pas entendu de cette oreille. Après un contrôle d’identité, Alexandre a été invité à sortir pour revenir contester ses PV ultérieurement… dans une tenue plus appropriée.

bienvenou a écrit:Jeux
On mesure la pauvreté d’un
pays au nombre de jeux de hasard
qu’il offre à ses habitants.
Et à ce petit jeu, la France est en train de se placer en tête de
peloton après l’autorisation, par nos parlementaires, des jeux en ligne.
Problèmes familiaux, développement
de la petite et moyenne délinquance, sans
compter les nombreux piratages et les escroqueries en tout
genre qui nous pendent au nez grâce à ce nouveau dispositif
surtout fait pour endetter un peu plus les gens tout en les faisant
rêver.

ET CA CONTINUE
SOYEZ PRUDENTS ...CACHEZ VOTRE CARTE BANCAIRE

Bien evidemment
c'est tellement plus facile de dépouiller les pauvres sans défense
que de prendre à ses amis riches

PENDANT QUE LES MINISTRES SE DEPLACENT EN JET PRIVE ..
.A 116 500 EUROS LE VOYAGE...





SUR FOND DE CRISE ECONOMIQUE ....

LES CHOMEURS EN VERRONT DE TOUTES LES COULEURS
DU NOIR AU BLANC C DU PAREIL AU MEME








POUR LES ASPERGES ...RIEN N "EST MOINS SUR

PEDRETTI TROUVE QUE SON EQUIPE NE JOUE PAS BIEN ET CA SE VOIT


Malgré ce beau succès, on ne sent pas une euphorie débordante chez vous et dans l'équipe ?
Pour quoi faire ? Dans cinq matches, on peut se retrouver sixièmes de L1. Donc ça ne sert à rien. Il faut surtout rester concentrés sur ce qu'on a à faire. D'autant que nous avons des matches compliqués qui s'annoncent, à Toulouse, la venue de Marseille, puis à Lyon. Il faudra répondre présent. L'Europe, comme je l'ai déjà dit, on n'en parle pas encore. Il y a six équipes pour cinq places, et pour le moment on reste collés à l'OM. Mais nous ne sommes pas à l'abri de faux-pas avec ces matches compliqués qui s'annoncent.

On sent malgré tout quelques craintes dans votre discours ?
Ce n'est pas parce qu'on a gagné 4-1 qu'il faut se croire arrivés. Il y a beaucoup de choses perfectibles chez nous. On l'a vu ce soir. A 3-0, on s'arrête de jouer, et on prend un but un peu bête. Je suis content du résultat, mais il y a encore beaucoup de choses à régler. Je pense qu'on a manqué encore un peu d'expérience pour mieux gérer le match en deuxième mi-temps, et c'est ce qui est encore un peu frustran

MARRE DE CE VOLCAN ISLANDAIS

ON PEUT PLUS PRNDRE L'AVION EN FRANCE C' EST UN COMBLE

UNE RUMEUR LAISSERAIT ENTENDRE
QUE LE PERE NOEL ISLANDAIS SERAIT LA CAUSE DE TOUT CA
TRES FATIGUE IL NE VEUT PAS AMENER SES CADEAUX A NOEL

IL A PROVOQUE LA COLERE DU VOLCAN
QUI CRACHERAIT SES FLAMMES
JUSQU"AU MOIS DE DESCENDRES .......

Retraites (2)
Rechercher l'équilibre ou
l'égalité sur les retraites revient
à remettre en cause les
avantages exorbitants dont les
fonctionnaires bénéficient par
rapport aux salariés des entreprises
privées.

Exemple : un conducteur de TGV qui part à
la retraite à 50 ans avec quasiment 100% de sa rémunération,
soit 75000 euros annuels,
fait grève depuis 10 jours ! Le
véritable défi auquel les partenaires
sociaux sont confrontés
aujourd'hui est de rétablir
l'équité entre les régimes des
uns et des autres, sachant que
souvent les caisses du privé
sont mises à contribution
pour financer les avantages du
public !

MEDOR MON CHIEN ME PRIE D "INSERER
DEJA QUE MES PATRONS PARTENT EN VACANCES SANS ME PRENDRE

ET QUE C LA VOISINE QUI S "OCCUPE DE MON AFFECTION LE SOIR

EN PLUS LE GOUVERNEMENT
VOUDRAIT REDUIRE LA TAILLE DE MA NICHE

LA C LE COMBLE LA GOUTTE QUI FAIT DEBORDER LE VASE

Le gouvernement va
réduire les niches fiscales
Objectif : réduire le déficit public.
Le gouvernement cherche
jusqu’à 6 milliards d'euros
d'économies en réductions de
niches fiscales dès l'an prochain,
a déclaré hier le ministre
du Budget. Sur France Info,
François Baroin a confirmé que
la baisse minimale envisagée
pour 2011 était de 4 milliards
d'euros, ce qui constitue selon
lui "déjà un gros effort". La France
s'est engagée vis-à-vis de ses
partenaires européens à enclencher
dès 2011 une dynamique
de réduction rapide de son déficit
public pour le rapprocher à
court terme de la limite de 3%
du PIB. En 2010, le ministre prévoit
un déficit de 8%.
L'outil privilégié est la réduction
des niches fiscales et sociales,
des dispositions dérogatoires
qui amputent les comptes
publics de plusieurs dizaines de
milliards d'euros par an. Dans
son programme de stabilité
transmis à la Commission européenne,
la France a promis de
réduire ces niches de 2 milliards
d'euros par an pendant trois
ans à partir de 2011. Mais la disparition
des recettes de la taxe
carbone, un projet finalement
retoqué, conduit le gouvernement
à devoir trouver 2 milliards
d'euros d'économies supplémentaires
dès 2011.
Pour 2011, "entre 4 et 6 (milliards
d'euros), globalement,
c'est ça la marge de manoeuvre
et on discutera avec le Parlement
là-dessus", a déclaré François
Baroin, en précisant que
"les arbitrages seront rendus
dans quelques semaines".
Une nouvelle étape de la
conférence sur le déficit ouverte
par le président Nicolas Sarkozy
aura lieu le 20 mai et de nouvelles
annonces sont attendues à
cette occasion.

Le café Zaman est au cœur de l'affaire Ribéry.
Jérôme Jessel, grand reporter à VSD, est l'auteur d'ouvrages sur les dessous du foot tels que Sexus footballisticus (éditions Danger public) ou La Face cachée du foot business (Flammarion) coécrit avec Patrick Mendelewitsch.


Avez-vous été étonné des révélations faites dans le cadre de l'affaire Ribéry ?

Non, ce sont des choses qui ont cours dans le monde du football. Cette consommation frénétique de jeunes femmes, prostituées ou non, est une constante. Ce sont des jeunes gens qui ont entre 20 et 30 ans, des sportifs de haut niveau en pleine possession de leur force physique, qui ont une libido plus développée que la moyenne.

S'y ajoute – mais je ne dis pas que c'est le cas ici, ou que c'est toujours le cas – le rôle que peut jouer le dopage. Dans mon livre Sexus footballisticus, je révèle le cas d'un sportif de haut niveau qui avait besoin d'honorer sa femme neuf fois par jour : il avait développé une hypersexualité parce qu'il était dopé...

Est-ce que cette affaire ne montre pas aussi le rôle joué par l'entourage des joueurs ? L'enquête menée par la brigade de répression du proxénétisme met en lumière le rôle d'un intermédiaire entre les clients et les prostituées...

Bien sûr : les footballeurs sont des gens qui ont beaucoup d'argent et qui sont des consommateurs effrénées avec de nombreux besoins : ils veulent la montre, la voiture, l'appartement et, de la même manière, les filles... Comme ils ont ces besoins, on leur propose ces services : la demande crée l'offre.

On a l'impression d'un système préétabli...

C'est institutionnalisé. On sait que les footballeurs aiment bien aller voir les filles, donc on leur permet de le faire. Pour eux, ces amours tarifées permettent une plus grande confidentialité : pas d'enfants dans le dos, pas de chantage. Et puis, pour certains dirigeants, le fait d'avoir affaire à des réseaux bien déterminés, ça permet de contrôler, de savoir où ils sont, d'éviter qu'ils partent la fleur au fusil...

Là, l'affaire éclate au grand jour parce que c'est une mineure et il y a une judiciarisation. Si ç'avait été une prostituée majeure, il n'y aurait pas eu d'affaire.

Les clubs ne portent-ils pas une part des responsabilité dans cette dérive ?

Bien sûr, les dirigeants sont au courant. Les journalistes observateurs sont au courant. Alors comment les dirigeants ne seraient-ils pas au courant ?

Pensez-vous que le grand public ait été étonné par ces révélations ?

Oui, ça peut constituer une surprise. Contrairement à une rock star, ils ne doivent pas consommer de drogue et sont tenus d'avoir une vie saine et d'être exemplaire. En tout cas, ce sont les valeurs que veut véhiculer le sport. Mais il ne faut pas leur donner un rôle plus important que celui qu'ils peuvent assumer.

Surtout que nous, médias, et je m'englobe dedans, nous avons une responsabilité collective car nous avons élevé ces footballeurs au rang de demi-dieux, alors que ce ne sont que des hommes avec leur grandeur et leurs travers. Résultat, ils se sentent comme des demi-dieux. Chaque matin, on leur dit qu'ils sont les meilleurs, les plus beaux. Ils ont beaucoup d'argent, peu d'éducation, se sentent tout-puissants... C'est un cocktail explosif.

Quelle suite aura, selon vous, cette affaire ?

Dans ce type d'affaire, la grille intéressante c'est l'impact sur la performance sportive. Regardez Thierry Henry : en plein divorce, il voit ses performances sportives décliner. Il le reconnaît lui-même. Pour Ribéry, on peut imaginer que ça va lui être difficile de faire le vide et de retrouver le niveau qui est le sien. Il est quand même la cible d'une enquête et est soumis à une immense pression médiatique. C'est quand même la star des Bleus.

TÉLÉ ● Des chômeurs s’invitent
sur le plateau de Guillaume
Durand. Une dizaine de personnes
appartenant à une coordination
de collectifs de chômeurs
se sont introduites sur le
plateau de l'émission L'Objet
du scandale, diffusée en direct
hier soir sur France 2 dont Frédéric
Mitterrand, le ministre de
la Culture, était l'invité. Après
avoir déployé des banderoles,
les manifestants ont insisté
pour lire un texte appelant à
une "grève des chômeurs"
pour le 3 mai.

FRED MITTERAND LE NEVEU A DE SUITE OFFERT SON CORPS AUX MANIFESTANTS

BEL EXEMPLE pour L" AMOUR DES HOMMES .............
àl'heure de notre édition nous ne savons pas s'ils ont consommé sur place

Toujours plus de mécontents du Président. Nicolas
Sarkozy regagne un point dans un sondage Ifop à paraître dans le
Journal du Dimanche, après être tombé le mois dernier à son plus
bas niveau de popularité depuis son élection. Le chef de l'État obtient
un score de 31% de satisfaits contre 30% en mars, quand il avait
perdu six points à la suite de la défaite de la droite aux élections régionales.
Mais la proportion de mécontents augmente toutefois de trois
points à 68%, du jamais vu depuis le début du quinquennat. Le Premier
ministre François Fillon est à 50%, il gagne un point.
apparemment il aurait besoin d'une bouée de sauvetage

LA PLANETE FOOT C PAREIL CORRUPTION PARIS TRUQUES SALAIRES INDECENTS ..

Ses planètes ne tournent pas rond
La Marseillaise Claire Moutou étudie des planètes découvertes récemment, dont la rotation est inversée





Le tableau derrière le bureau
de Claire Moutou est
noirci de chiffres, de lettres
et de symboles étranges.
Ni hiéroglyphes ni symboles
mayas, ils formalisent les
calculs de cette astrophysicienne
du Laboratoire d’astronomie
de Marseille (Lam) spécialisée
dans les exoplanètes - planètes
situées en dehors du système
solaire, découvertes il y a
une quinzaine d’années à l’observatoire
de Haute-Provence.
En ce moment, Claire Moutou
s’arrache les cheveux. Car il
y a quelques semaines, des astrophysiciens
-dont un doctorant
du Lam - ont découvert
dans l’univers des exoplanètes
qui ne tournent pas rond. "On
s’attend à ce qu’une planète ou
une exoplanète tourne dans le
même sens que son étoile et
dans le plan de son équateur",
explique Claire Moutou.
Or, un télescope installé au
Chili et mis en oeuvre par l’observatoire
de Genève et l’université
écossaise de Saint-Andrews
a trouvé, à un millier
d’années-lumière de la Terre,
des exoplanètes aux comportements
étranges. Certaines tournent
en sens inverse de leur "soleil",
alors que l’orbite d’autres
passe au-dessus des pôles et
non au-dessus de l’équateur.
Une constatation qui remet
en cause certaines théories astrophysiques.
Dont celle expliquant
la formation des planètes.
"La théorie disait que les
planètes géantes se forment
dans les disques de matière des
astres, le plus loin possible du
coeur de l’étoile, explique Claire
Moutou. Or, on a vu, parmi ces
exoplanètes, des objets 300fois
plus lourd que la Terre et 10fois
plus gros qui tournent autour
de leur étoile en quelques jours,
alors que Jupiter, qui a à peu
près les mêmes caractéristiques,
tourne autour du Soleil en...
12ans".
Ces découvertes remettent
aussi en cause "les théories du
fonctionnement de notre système
solaire, que l’on croyait
pourtant bien connaître", reprend
Claire Moutou. C’est en
effet un principe du raisonnement
scientifique. Lorsque certains
phénomènes ne sont pas
explicables par une théorie, cela
ne veut pas dire qu’elle est
forcément fausse. Einstein n’a
pas invalidé Newton, dont la
théorie sert toujours, par exemple
aux ingénieurs de la SNCF,
pour faire rouler les trains. Le
degré de précision est suffisant.
En revanche, il faut utiliser
la relativité pour faire fonctionner
un GPS, sinon l’appareil
a de fortes chances de nous
envoyer dans un mur. "Ces exoplanètes
ne nous disent pas que
la théorie actuelle est fausse, reprend
Claire Moutou. Elles
nous disent qu’il doit exister
une meilleure théorie, capable
d’expliquer en même temps un
plus grand nombre de phénomènes".
Saisie d’une inspiration, Claire
Moutou reprend sa craie et
inscrit de nouveaux signes cabalistiques
au tableau. Ainsi
avance la science.

Retraite
Je suis fracassé par ce que je
lis : un retraité de 50 ans de la
SNCF touche 2 200 ¤ plus les
privilèges ! Un ouvrier qui a travaillé 42 ans comme tuyauteur
touche en moyenne 1 200 à
1500¤ par mois. Ah! Sûrement
les fonctionnaires ne veulent pas comparer, ils touchent
1000¤ de plus à la retraite, et
ils n’ont pas travaillé pendant
42 ans. J’ai 74 ans, je suis énervé de lire tout cela et de voir à
la télévision ces milliers de pauvres
gens qui attendent un
train pour rentrer chez eux.
Jean,Fos

CARTON ROUGE CANAL PLUS


Boulogne, Grenoble, Nancy, Le Mans et Lorient ne seront
pas passés cette saison le dimanche à 21 heures)."


PROGRAMMATION
Canal + lance un Jour
de Foot exceptionnel


S’estimant lésé par la Ligue
en raison d’un calendrier illisible
(lire par ailleurs), Canal + n’en a
pas moins les idées claires. Ainsi,
si la chaîne cryptée est incapable
de proposer à ses six millions
d’abonnés les affiches que sont
Auxerre-OM et OM-Rennes, sans
doute décisives pour le titre de
champion de France, elle a mis
en place un dispositif inédit avec
un Jour de Foot axé uniquement
sur le match de demain soir !
Ainsi, à 23 h 15, le diffuseur
principal de la Ligue 1 proposera
une émission de 30minutes, dont
un résumé grand format de près
d’un quart d’heure, agrémenté
de nombreuses réactions depuis
le stade de L’Abbé-Deschamps. Et si Canal + met les petits plats
dans les grands, elle assume ses choix d’avoir diffusé OM-Nice ou
OM-Saint-Étienne, quitte à "sacrifier" les matches de l’OM contre
Auxerre et Rennes. "Nous donnons nos programmes deux à trois
semaines avant les rencontres en cherchant les affiches les plus
sexys et les plus fédératrices, indique-t-on à la chaîne. En début de
saison, nous bloquons dix grands rendez-vous et avons un quota,
via le dernier appel d’offres, de douze rencontres avec la même
équipe en dehors des quatre multiplex. En revanche, nous n’avons
plus l’obligation de retransmettre au moins une fois chaque club
(ndlr : Boulogne, Grenoble, Nancy, Le Mans et Lorient ne seront
pas passés cette saison le dimanche à 21 heures)."

La Belgique interdit le port du voile intégral musulman
Sans gouvernement et plongée dans une grave crise politique, la Belgique est néanmoins devenue jeudi le premier pays occidental à interdire le port du voile islamique intégral dans tout l'espace public, avant la France qui prévoit de présenter un texte en mai.



AFP

Pour une fois unanimes, quelle que soit leur couleur politique ou leur appartenance linguistique, les députés belges ont voté par 136 voix sur 138 députés présents un texte interdisant le port du voile, non seulement dans tous les services publics, mais aussi dans l'intégralité de l'espace public y compris la rue. Il y a eu deux abstentions.

"L'image de notre pays à l'étranger est de plus en plus incompréhensible mais, au moins, par rapport à l'unanimité qui va s'exprimer au sein de ce Parlement sur ce vote interdisant la burqa et le niqab dans notre pays, il y a un élément de fierté à être Belge", s'était félicité avant le vote le député libéral Denis Ducarme.

"Nous sommes le premier pays à faire sauter le verrou qui a mis bon nombre de femmes en esclavage et nous espérons être suivis par la France, la Suisse, l'Italie, les Pays-Bas, les pays qui réfléchissent", a-t-il ajouté.

"Qu'un pays, un tout petit pays, un peu difficile à gérer, ait pris une initiative comme celle-là, les aidera peut-être à aller plus loin", a-t-il dit.

Seule une toute petite partie de la communauté musulmane est concernée, le port du voile intégral étant un phénomène marginal en Belgique.

Le texte ne parle pas explicitement de burqa ou de niqab; il prévoit que les personnes qui "se présenteront dans l'espace public le visage masqué ou dissimulé, en tout ou en partie, par un vêtement de manière telle qu'ils ne soient plus identifiables" seront punis d'une amende et/ou d'une peine de prison de un à sept jours.

L'espace public désigne l'ensemble des rues, chemins, jardins publics, terrains de sports ou "bâtiments destinés à l'usage du public où des services peuvent lui être rendus".

Des exceptions sont toutefois prévues pour les événements festifs comme les carnavals, s'ils ont été autorisés par décision municipale.

Certains experts ont émis des doutes sur l'utilité de cette loi. Ils ont fait remarquer que des règlements de police interdisant de cacher son visage sont déjà en vigueur dans la plupart des communes belges concernées.

Depuis un an et demi, des femmes portant un voile intégral sont régulièrement verbalisées. En 2009, 29 procès-verbaux ont été dressés par la police sur l’ensemble de la région de Bruxelles-Capitale pour port de la burqa dans un lieu public.

Selon les députés, les textes jusqu'à présent en vigueur, remontaient à l’entre-deux-guerres; ils visaient à l’origine à lutter contre les gangs pratiquant des braquages et n'étaient plus adaptés à la situation.

Deux arguments principaux ont été avancés par les législateurs: la question de la sécurité - il faut que chacun soit identifiable en tous lieux - et celle de la "dignité de la femme" et du respect des "principes démocratiques fondamentaux".

Le voile intégral est "une prison mobile" relevant d'une "pratique moyenâgeuse", a estimé le libéral flamand Bart Somers. "C'est la manifestation la plus visible d'autres atteintes aux droits humains", a renchéri son collègue démocrate-chrétien Georges Dallemagne.

La chambre haute du Parlement belge, le Sénat, devra également se prononcer sur le texte. Ce qui, compte tenu de la crise politique, pourrait prendre du temps.

En France, le gouvernement va aussi présenter à l'assemblée nationale début juillet un projet de loi visant à l'interdiction générale du port du voile islamique intégral dans tout l'espace public.


Cela me semble relever de la pure logique devant la montée de la violence
afin de preserver notre sécurité
après il faut laisser les personnes faire leur religion come il l'entende ou la perçoive

Girard ne regrette rien
Dans un milieu souvent «faux-cul», René Girard fait partie de ceux qui disent tout haut ce que d'autres pensent tout bas.


René Girard croit toujours à une place dans le top 5 en fin de saison.
René Girard le revendique : dans un milieu souvent «faux-cul», il fait partie de ceux qui disent tout haut ce que d'autres pensent tout bas. Il se confie avant la réception de Lyon, dimanche.

«René Girard, Montpellier n'a toujours pas renoué avec le succès, mais on vous sent malgré tout plus calme depuis deux semaines. Est-ce seulement une impression ?
Je ne sais pas, peut-être que j'avais des raisons de ne pas être très content... Dans l'ensemble, ça a été une saison paisible, très calme. De temps en temps, on dit ce qu'on pense. Ça ne nous empêche pas de faire notre bonhomme de chemin.

Au Mans, êtes-vous allé un peu trop loin ?
Je n'ai rien calculé, c'était sur le moment... Il s'est passé ce qui s'est passé, mais si j'ai été expulsé, ce n'est pas par rapport à cet accrochage, c'est à cause de l'intervention de M. Jeandupeux qui a demandé à M. Chapron de le faire. A un moment donné, il ne faut pas non plus se foutre de la gueule du monde. Moi, entraîneur, c'est mon boulot. Je ne suis pas derrière quelqu'un à me cacher. Ce qu'il a fait, c'est une honte pour la profession. Ça ne me fait pas rire du tout.

Avez-vous eu l'occasion de vous expliquer avec lui ?
On est convoqué prochainement. Je m'expliquerai de cet incident avec les personnes concernées.


L'image donnée ce soir-là a-t-elle pu jouer sur votre comportement par la suite, notamment vis à vis de l'arbitrage qui ne vous a pas gâté ?
Non, simplement je ne vais pas passer ma vie à me plaindre. Moi, je constate. On me dit que ce sont des faits de jeu, c'est comme ça. Je ne rechangerai pas le monde. Jusqu'à maintenant, ces erreurs, on ne les avait pas trop ressenties. Là, c'est différent, on est un peu moins bien, on est attentif à plein de choses... On aurait pu avoir 4 points de plus, mais je ne vais pas non plus tomber dans la réflexion de dire qu'on nous en veut. Ces quatre points, on ira les rechercher lors des quatre dernières journées.

Ces points perdus vous laissent-ils des regrets ?
Non, pas du tout. Pourquoi ? Le championnat n'est pas fini, on n'est pas enterré. S'il y a des regrets, ça sera le 15 mai. Là, on a encore une belle carte à jouer.

Hormis l'arbitrage, la mauvaise passe actuelle est-elle également due au fait que vous n'ayez finalement pas réussi à protéger suffisamment votre vestiaire ?
Je ne vois pas pourquoi vous dites ça.

Parce que lorsque Michel Mézy déclare que vous jouez le titre, on est en droit de penser que vous vous êtes finalement pris au jeu...
Quand on est dedans, on se prend forcément au jeu, mais avec humilité. Dans la vie, il faut être réaliste sur ce qu'on peut faire ou pas. C'est vrai qu'à un moment donné, on n'a pas su garder notre ligne de conduite. Si nous, on joue le titre, que doivent se dire Marseille, Auxerre, Lille, Lyon et Bordeaux ? Moi, je fais plutôt partie de ceux qui agissent plutôt que de ceux qui parlent. Je tenais à ce que mes garçons ne s'égarent pas. Ce n'est pas un manque d'ambition.

Pensez-vous comme votre président, Louis Nicollin, que vous terminerez la saison à la sixième place ?
Aujourd'hui, je regarde simplement le classement. On est devant Bordeaux et Lyon, Lille n'est qu'un point devant nous... Sans tirer de plan sur la comète, on a notre destin entre nos mains. Je suis sûr que dans un coin de sa tête, le président a l'espoir que ça se passe mieux que ça. Les joueurs, eux, en ont envie. Même si on n'est pas arrivé, je ne vois pas pourquoi on n'y croirait pas ?»

LE BUZZ DE LA SEMAINE

"Dissoudre un groupe de supporters ? Une mesure inefficace"
dimanche 02 mai 2010 à 09H17

Après la dissolution de sept groupes de supporters de foot, dont Brigade Sud de Nice, vous avez été nombreux à réagir. Nous avons demande à Patrick Mignon, sociologue du sport à l'Insep de répondre à vos commentaires et d'y apporter son éclairage.

- Levanneur : la bonne mesure aurait été d'interdire à vie de stade avec obligation de pointer dans un commissariat a chaque match... Une association, ça se dissout et ça se recrée en un rien de temps…

Patrick Mignon : L’interdiction de stade est de plus en plus pratiquée en France, pas obligatoirement avec un contrôle au commissariat. Mais de toutes façons, ces interdictions n’ont de sens que s’il y a une politique plus globale de gestion des supporters. Tant que ce sont des mesures prises au compte-gouttes, cela manque de cohérence.

Une gestion globale implique toute une série de mesures. Du répressif mais aussi du préventif : des actions socio-éducatives tournées vers les jeunes mais aussi du politique, c’est-à-dire l’implication des supporters dans la vie du club… Comme cela se fait beaucoup à Marseille d’ailleurs.

- Arrah : A part s'interdire toute possibilité de dialogue avec les dits groupes, de créer des indépendants complètement livrés à eux-mêmes, et qui plus est libéré du poids que représentait pour eux la menace d'une dissolution de leur groupe respectif, cela va servir à quoi tout ça ?

P. M. : Je suis d’accord. Cela ne sert à rien de dissoudre des bandes ou des associations. Cela peut même avoir un effet pervers. Car une association, malgré tout ce qu’on peut lui reprocher, joue un rôle organisationnel, canalisateur des tribunes. Par exemple, quand les Boulogne Boys ont été dissous il y a deux ans, les anciens membres ont rejoint d’autres groupes et la situation ne s’est pas améliorée.
Comme souvent, le gouvernement veut montrer qu’il est dans l’action. Mais sans travail sur le terrain, ce type de mesures ne sert à rien.

- Romuald : Le foot, sport populaire, favorise hélas les nationalismes de clocher et l'ultra violence puisque les matches ou plutôt les périodes avant et après matches permettent à de nombreux frustrés d'y trouver un exutoire.

P. M. : Bien sûr que le foot est lié à l’esprit de clocher, à l’expression de l’esprit machiste et nationaliste… comme tous les sports collectifs. Sauf que c’est le sport le plus populaire en France. Il suffit de compter : combien de matches de foot par week-end et combien de matches de rugby ? Et s’il n’y avait pas le foot, il y aurait les bals du samedi soir.

Attention toutefois aux amalgames : ne mélangeons pas les hooligans et les supporters qui vont se retrouver impliqués dans un accrochage à la sortie d’un match. Tous les gars qui sautent derrière une banderole n’ont pas un couteau caché dans le t-shirt dans l’espoir d’en découdre.

Les supporters qui vont poser problème sont généralement jeunes : entre 15 et 20/33 ans, âge de stabilisation dans la vie avec mise en couple, travail… Il n’y a pas vraiment de profil sociologique type mais plutôt des caractéristiques psychologiques : une histoire individuelle dans laquelle la violence a joué un rôle.

- Codytiti : Et si c'était le foot dans l'ensemble qu'il faudrait dissoudre, je pense que l'on règlerai beaucoup de problèmes. Avec Zizou un soir d'une finale qui met un coup de boule devant des milliards de téléspectateurs. Des joueurs qui cassent volontairement des chevilles à l'exemple de Ribery envers Lissandro. Des joueurs lors de contestation toujours en train d'insulter le corps arbitral.

P. M. : Le coup de tête de Zizou a estomaqué des milliers de téléspectateurs mais il n’a pas provoqué des émeutes dans les tribunes. Mais soyons cohérent, s'il y a un problème de violence aujourd’hui dans le foot, cela concerne tout le monde : arbitres, clubs, dirigeants, supporters, police… Et il faut que toutes ces parties se mettent d’accord sur des règles. Par exemple, si insulte à l’arbitre, expulsion directe.

Je ne crois pas qu’il y ait un lien direct entre un tacle agressif et la violence après un match. Mais cela aura sûrement une influence sur le gamin qui a l’impression que l’insulte ou l’agression physique est un mode de résolution "normale" d’un conflit.

Déjà, il ya des progrès : le foot est moins violent aujourd’hui qu’il y a quelques années. Les clubs font très attention et dégainent l’arme juridique quand une agression va mettre à terre l’un de leurs joueurs. Car derrière, leur joueur peut perdre de sa valeur, et eux, perdre de l’argent.

- Floriano : On cite souvent l'exemple de l'Angleterre mais il faut savoir que la violence est toujours là, elle s'est tout simplement déplacée dans les divisions d'honneur. Mais c'est moins médiatisé, voilà...

P. M. : C’est vrai qu'en Angleterre, la 1ère ligue et la 1ère division connaissent moins de problèmes mais la violence n'a pas disparu. Ce serait utopique de croire cela. Les bagarres ont toujours lieu, mais dans les rues ou les pubs, ou encore lors des déplacements. En France, hors ligue 1, les statistiques montrent que 2% des rencontres sont entachées de violence, souvent entre joueurs ou contre l’arbitre, moins entre supporters.

On revient à ce que je disais précédemment : il faut un plan global qui inclut de la formation. Parce qu’un bon match, c’est un bon arbitre, mais aussi des dirigeants et entraîneurs capables de maîtriser leurs tribunes et de ne pas mettre huile sur le feu.

- Vtt13 : Heureux de voir qu'il n'y a pas de clubs marseillais dans le lot, que ça les incite à être exemplaires. Y a t-il une spécificité marseillaise ?

P.M. : Je pense que Marseille a été sauvé par... Paris qui a focalisé les problèmes. On a tapé sur ceux qui étaient visibles ces derniers temps. Depuis un an - excepté les matches contre Paris justement -, Marseille s’est acheté une conduite. Cela s’explique peut-être aussi par les relations fortes qui existent entre club et supporters. La dissolution d’une association y serait plus compliquée".

C EST VERITABLEMENT HONTEUX
COMME UN TYPE QUI EMMENE SONENTREPRISE VERS PRES
D UN MILLIARD DE PERTES PUBLIQUES DONC NOS SOUS A NOUS
COMME PEUT IL AVOIR UNE PRIME DE 1 MILLION D EUROS EN PRIMES

DE QUI SE MOQUE T ON
CE QUI DOUBLERAIT SON SALAIRE
HONTE A NOS DIRIGEANTS

Gallois (EADS) renonce à son
bonus. La grève pour l’augmentation
des salaires qui a touché
Airbus, la semaine dernière, a sans doute joué. Louis Gallois,
président exécutif d’EADS, a renoncé pour la 2eannée consécutive
à la part variable de sa
rémunération au titre de 2009, une décision qui le prive d’un
"bonus" d’un peu plus d’un million
d’euros, face aux difficultés financières que connaît l’entreprise
(763 millions d’euros de pertes en 2009). Louis Gallois
touchera tout de même 900000¤ de rémunération fixe

UN FROID POLAIRE
LES SAINTS DE GLACE
MOI J"AI LES SEINS GLACES
5 MAI 2010


LE VENT LE FROID

UN PARKING QUI S "APPELE LA TASSE ET QUI LA BOIT.......BRRRRRRRRRRRRRRRRRRR