NICOLAS NKOULOU

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Nicolas Nkoulou est devenu une pièce maîtresse de la défense olympienne.

Nkoulou : "Deschamps ne me lâche pas !"

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Devenu incontournable en défense centrale aux côtés de Diawara, Nicolas Nkoulou enchaîne les prestations de haut rang. Le Camerounais fait un petit bilan de cette très bonne période pour lui. Interview.

Nicolas, avec ta blessure au genou, tu n'as pas pris de risques contre Nice...

Nicolas Nkoulou : "Non, je ne vais pas forcer plus. Je vais de mieux en mieux, même si c'est vrai, j'ai encore une petite gêne. Je fais tout pour être disponible."

Il y a beaucoup d'éloges te concernant en ce moment...

N.N. : "Oui, ça fait du bien. Maintenant, je ne dois pas m'enflammer. Je garde la tête sur les épaules, je continue de bosser en espérant aller le plus haut."

À l'OM, tu es plus exposé médiatiquement qu'à Monaco ?

N.N. : "C'est vrai que Marseille c'est différent de Monaco. Tu as plus de monde, plus de médias... C'est super, ça fait partie des grands clubs."

Deschamps te conseille sur ça ?

N.N. : "Bien sûr, il m'apporte beaucoup. C'est quelqu'un qui n'arrête pas d'être derrière moi, quand je fais de bonnes choses et de moins bonnes."

Justement, il disait qu'il fallait que tu gommes ta petite erreur par match...

N.N. : "Oui, je dois gommer ça, c'est clair. On aspire à être parfait quand on travaille. C'est vrai que ça peut arriver, mais je fais tout pour que tout aille au mieux."

Vous vous êtes fixé un objectif jusqu'à la trêve ?

N.N. : "Non, on se dit vraiment qu'il faut prendre match après match. On n'a pas d'objectif, sinon celui de gagner les matchs, et on verra ce que ça va donner à la trêve. On fera le bilan à ce moment-là."

Collectivement, le match face à Nice a été laborieux...

N.N. : "Oui, c'était très compliqué. Avec l'état du terrain, ce n'était vraiment pas facile. Mais le plus important, c'était vraiment de prendre les trois points, quelle que soit la manière. On avait fait une bonne entame, mais au fil du match, on s'est laissé aller. On était moins concentré, moins serein. Le coach nous a remonté les bretelles à la pause, ça nous a permis de mieux entamer la deuxième mi-temps."

Sélections
10/11/11 16:26

N’Koulou revient sur Marseille selon son sélectionneur

Appelé avec le Cameroun pour jouer la LG Cup Africa à Marrakech du 11 au 15 novembre, Nicolas N’Koulou est blessé. C’est ce qu’a constaté le sélectionneur Denis Lavagne qui a annoncé à la presse : «N'Koulou et Chedjou (le Lillois) vont repartir. Ils ont fait l’effort pour venir prendre contact et faire constater leur blessure. Ils seront mieux soignés dans leur club.»

OM : le groupe promardi 15 novembre 2011 à 10H55


l'entraînement du groupe professionnel de l'OM ce matin :

Nicolas Nkoulou est resté encore aux soins et devrait reprendre le travail collectif demain.

◗ NKOULOU
Sérieux et appliqué,mêmes’il méritait
un carton jaune pour un geste
d’antijeu, il a tenu la baraque en première
période en gagnant onze ballons.
À l’image de la formation marseillaise,
il a baissé de pied au retour
des vestiaires sans pour autant
refuser le combat. Bien au contraire.

Montpellier-OM : l'Olympien du match, c'est Nkoulou
dimanche 20 novembre 2011 à 18H27


Nicolas Nkoulou est actuellement le meilleur Olympien du match Montpellier-OM (1-0) selon les votes des internautes. Le défenseur a obtenu la note (basse) de 4,80/10 (6/10 pour les journalistes de La Provence, qui ont pour leur part désigné Cheyrou et André Ayew hommes du match avec 6,5/10). Derrière suivent l'attaquant martégal André-Pierre Gignac, qui a failli marquer hier soir (4,54, contre 5,50 pour les journalistes) et Steve Mandanda (4,48 pour les Provençaunautes, 6 pour les journalistes).

Enfin, c'est assez logiquement Souleymane Diawara qui ferme la marche après son but contre son camp, avec un tout petit 2,67/10 (4/10 pour les journalistes).

N'Koulou "ému" par son titre d'Olympien du mois Parmigiani par

https://www.dailymotion.com/video/xmf1ea_n-koulou-emu-par-son-titre-d-olympien-du-mois-parmigiani_sport#rel-page-under-6

NKOULOU Nicolas


Son match habituel, avec une pression comparable aux soirées européennes qu’il sait déjà gérer à merveille. Il est toujours là où il faut quand il faut. Et il a même ajouté une incursion offensive sur corner.
Note du match 7,54

"Je me suis bien adapté
grâce à ma façon
d’être hors du terrain."


"La culture de mon
pays m’aide beaucoup
à m’en sortir."

À vous voir évoluer dans les
rangs olympiens, on a le sentiment
que vous avez toujours joué
dans cette équipe.
Je dirais plutôt que je suis en pleine
progression et ce que je fais est
déjà bien. C’est ce qui me donne
davantage de motivation encore
pour la suite, justement.
z Certes, mais vous êtes entré
dans cette équipe avec une certaine
aisance. Vous dirigez la
manoeuvre au côté de Souleymane
Diawara avec une vraie autorité.
Cela peut-il vous étonner même?
Cela ne m’étonne pas, car je fais
énormément de sacrifices aux entraînements.
Ça paye par la suite.
On me l’a toujours dit : quand on
bosse, on a forcément quelque
chose en retour.
z Votre situation personnelle
n’est cependant pas banale. On ne
peut pas ainsi passer de Monaco
- où vous vous débattiez au bas de
la L1 la saison dernière - à l’OM
- où la pression populaire et médiatique
est permanente - sans
être confronté à des changements
radicaux. Pourtant, vous avez
franchi le cap sans transition...
C’est vrai, l’OM, on sait ce que ça
r e p r é s e n t e e n m a t i è r e
d’effervescence. Monaco, ce n’est
évidemment pas pareil. Il n’y a
pas photo.
Mais à l’OM, j’ai rapidement pris
mes repères dans le groupe. J’ai
vite compris ce qu’il fallait faire :
ce club implique une exigence
particulière et des résultats
constants. On a aussi un guide
(Didier Deschamps) qui nous inculque
la culture de la gagne.
Il fallait donc se mettre au pas.
z Vous avez également réussi à
vous adapter au coeur d’une défense
systématiquement remaniée
en début de saison en raison des
méformes (Diawara) et des blessures
(Mbia)...
Si j’y suis parvenu, c’est grâce à
ma façon de vivre hors du terrain,
en particulier. Je suis facile à vivre.
Je ne me prends pas la tête. Je
m’entends bien avec tout le monde,
et ce, d’autant plus que j’ai été
parfaitement accueilli au club.
Je suis bien encadré et je suis soutenu
par les bonnes personnes.
z D’où vous viennent cette maturité
et cette sérénité sur le terrain
comme en dehors?
(Il sourit) Ce n’est pas évident
de se juger soi-même ! On me dit
effectivement que je suis calme et
pondéré. J’aime bien, ça ! (rires).
Maintenant, il va falloir que je
continue dans ce sens. En tout
cas, ce caractère, cette attitude et
cette façon d’être, je les dois à mes
parents.
z C’est donc votre éducation familiale
qui a forgé votre personnalité...
J’ai beaucoup hérité de mes parents,
effectivement. Grâce à eux,
je suis quelqu’un d’épanoui,
aujourd’hui.
z Que vous ont-ils transmis en
particulier ?
Le respect du prochain et de la vie
en groupe. Celui des consignes
aussi.
z Vous avez grandi au Cameroun.
Ces racines vous ont-elles
permis de devenir celui que vous
êtes, aujourd’hui ?
J’ai énormément puisé dans la
culture de mon pays pour me
construire. Ça m’aide beaucoup à
m’en sortir, ici, en France. Pour
nous, en Afrique, ce n’est pas évident;
on a toujours besoin de soutien.
Mais, personnellement, les
valeurs que m’ont transmis mes
parents me permettent de
m’auto-gérer.
z Ce calme, c’est votre force, en
définitive...
Oui, c’est un tout. Mon passé,
mon enfance ont posé de solides
bases.
z Footballistiquement, vous
vous êtes donc aussi affirmé. Où
avez-vous puisé votre science tactique,
votre sens du placement et
votre technique générale ?
Mes débuts à la Kadji Sport Académy
(un centre de détection et de
formation au Cameroun, ndlr)
ont beaucoup compté. Ensuite,
j’ai continué à progresser à
l’AS Monaco, mon club formateur.
Là-bas, j’ai beaucoup appris
aussi en évoluant aux côtés de Dario
Simic (entre 2008 et 2010).
Il en a été de même avec l’équipe
nationale du Cameroun, auprès
de Rigobert Song.
z Que retenez-vous de la Kadji
Sport Académy ?
Pour moi, ce fut une porte ouverte
sur un avenir prometteur et
l’espoir de devenir professionnel.
z Jusqu’ici, la saison a été plutôt
compliquée. Comment
avez-vous vécu ces épreuves ?
Ce n’était pas évident. Mais j’ai le
petit avantage d’avoir également
vécu ça, déjà, à Monaco. J’ai passé
une saison dernière vraiment
éprouvante.
z Même si une crise à Monaco
n’a rien de comparable avec une
crise à l’OM...
C’est sûr, ce n’est pas pareil. Mais
sur le plan sportif, les situations
sont autant compliquées à gérer.
De toute façon, en ce qui concerne
la pression, je suis blindé avec
l’équipe du Cameroun. Les Lions
Indomptables, c’est un peu comme
l’OM ! Il y a beaucoup de monde
derrière nous et on a donc toujours
l’obligation d’être performants.
C’est simple, quand on gagne,
on est des héros ; quand on
perd, on est une cible.
z La pression sera extrêmement
forte, aussi, dans le Signal
Iduna Park, l’antre du Borussia.
Vous seriez allé à Dortmund,
l’esprit libéré, si vous aviez accompli
ce qu’il fallait devant
l’Olympiakos...
C’est clair, on a beaucoup de regrets.
On avait notre sort entre les
mains. Il va falloir maintenant gagner
pour être sûr de décrocher
notre qualification.
z Quand rien ne marche,
êtes-vous, alors, conscients de
passer au travers ?
Oh, oui, on s’en rend compte !
On est des grands garçons. Personnellement,
ça ne sert à rien de me
dire que je joue mal; je le sais.
z Alors que vous aviez votre qualification
en main, redoutez-vous
de tout perdre, aujourd’hui ?
C’est effectivement rageant, mais
ce n’est surtout pas le moment
d’avoir peur. Bien au contraire, il
va falloir aller chercher au plus
profond de soi pour tout donner.
z Personnellement, vous avez
découvert la Ligue des champions.
Avez-vous beaucoup appris
encore?
Cela n’a rien à voir avec le championnat.
On est systématiquement
confrontés à des joueurs de
très haut niveau. C’est un privilège.

Dortmund-OM : "On va savourer et attendre de savoir qui on rencontrera" (Nkoulou)8 contributions Publié le mercredi 07 décembre 2011 à 11H30


Voici la réaction de Nicolas Nkoulou après la victoire de l'OM sur Dortmund hier soir en Ligue des champions : "On a pris un coup sur la tête quand on a été menés 2 à 0. La réduction du score de Loïc Rémy nous a redonné espoir. On a accompli ensuite une grosse 2e période. Pour l'instant, on ne se projette pas encore vers les 8es de finale. L'essentiel est d'avoir réussi l'exploit. On va savourer et attendre de savoir qui on rencontrera par la suite. À 2-0, on a toujours gardé espoir. Mais on a su se remobiliser. On a beaucoup attendu, on a laissé faire. Ce n'était pas normal. Mais on a su relever la tête."

Nicolas Nkoulou : "On a eu des temps forts qu'on
n'a pas su concrétiser. On a un peu péché sur le
plan physique en fin de match, les deux jours de
repos qui arrivent vont nous faire du bien. Bordeaux
était venu prendre un point, c'est ainsi, il
faut l'accepter. Mais ce n'est en aucun cas un coup
d'arrêt, il ne faut pas trop s'attarder sur ce résultat."


❚ NKOULOU
Sa lecture du jeu et son sens de
l’anticipation ont, une nouvelle fois,
fait merveille. Le Camerounais, infranchissable
dans les un-contreun,
sait aussi dégager en touche
quand la situation l’impose. C’est
toujours mieux qu’une mauvaise relance.

❚ NKOULOU
Il a gratt?beaucoup de ballons, mais
il a aussi souvent couru derri?e les
Lorientais en premi?e p?iode. En
seconde, ce qui lui pendait au nez
est arriv? car il s’est fait enrhumer
par Emeghara sur le but (78).

Mardi 20 Décembre 2011 à 11:01

N'Koulou : L'OM est "capable d'agir"

A plusieurs reprises cette saison, l'OM a attendu d'être mené pour montrer son vrai visage. Une habitude que le défenseur Nicolas N'Koulou veut mettre au placard. "Cela fait un moment que ça dure, on est toujours en train de réagir. Mais nous allons prendre les choses en main et démontrer à Nancy que nous sommes capables d’agir. C’est difficile à expliquer, mais il y a ces enchaînements de matches qui nous valent de faire des entrées de rencontres timides. Après nous essayons souvent de dérouler à la fin, mais ce n’est pas évident. "

Morose, lunatique et dépassé par les événements,
Javier Clemente n’a pas laissé un
souvenir impérissable de son bref passage
à Marseille, il y a onze ans. Aujourd’hui, l’OM
peut néanmoins lui rendre grâce. L’Espagnol a en
effet réussi l’exploit de fédérer tous les Camerounais
contre lui. Résultat: les Lions indomptables
qu’il dirigeait depuis l’été 2010 ne sont pas parvenus
à composter leur billet pour le Gabon et la Guinée
Équatoriale, où se déroulera la CAN 2012, du
21 janvier au 12 février. Une douche froide pour
Stéphane Mbia et Nicolas Nkoulou; un soulagement
pour Didier Deschamps qui pourra compter
avec les deux hommes pour composer une charnière
amputée de Souleymane Diawara
sélectionné avec le Sénégal.

◗ NKOULOU
Il était à l’aise quand sur une couverture
de Traoré, il a glissé, perdu le
ballon et ouvert un large champ à
Hamouma. Sans conséquence. Le
reste a été comme d’habitude: irréprochable.
Le carton jaune reçu l’est
pour avoir demandé à l’arbitre
d’avertir un Caennais pour une
main: c’est sanctionnable et a été
sanctionné.

Nicolas Nkoulou : "Rester en course dans toutes
les compétitions est motivant pour le groupe. Il
n'y a pas eu de déconcentration, même si notre
entame n'a pas été heureuse. Ce n'est pas le fait
d'avoir été informé du tirage contre Bourg-Peronnas
qui nous a endormi, car on pensait seulement
au Havre. Pour le reste, jouer 120 minutes n'aura
pas d'incidence avant d'aller à Rennes, car nous
avons une semaine pour récupérer."

◗ NKOULOU
Son apparition sur le terrain
n’était pas au programme de la soirée,
mais la blessure de Mbia a
contrarié les plans de Deschamps.
Nicolas a fait le job en étant dans le
bain en coupant tout de suite à bon
escient unballon en profondeur

LA CAN

"Le Cameroun est
dans mon sang

"Ne pas disputer la CAN est une grande déception
pour moi, d’autant que je suis promu
capitaine de la sélection du temps de la suspension
de Samuel Eto’o. Je comprends que
les clubs ne soient pas contents de voir leurs
joueurs partir en pleine saison, mais ce n’est
pas notre faute si le calendrier est ainsi fait.
C’est aux présidents des Fédérations de trouver
des solutions. Mais moi, je ne refuserai jamais
la sélection. C’est lamême envie qu’a un
Français de jouer l’Euro! Jeme sens obligé de
défendre les couleurs du Cameroun, c’est une
fierté et un devoir. On ne choisit pas où on est
né; leCameroun est dansmon sang".

LE RENOUVEAU OLYMPIEN ET LES AMBITIONS
"Monpalmarès est encore vide..."

"En l’espace de quelques jours, on perd à
Montpellier puis contre l’Olympiakos. On
n’avait qu’à faire un match nul pour nous qualifier
et à force de nous focaliser sur ce résultat,
on n’a pas cherché à aller chercher la victoire...
En une semaine, on avait presque tout perdu;
on avait touché le fond. D’un autre côté, on ne
pouvait pas aller plus bas, alors, il fallait tout
mettre en oeuvre pour faire revenir le soleil.
"Cela s’est passé entre joueurs, mais également
au fond de chacun d’entre nous. La prise
de conscience, avant d’être collective, devait
être individuelle. Et c’est cet assemblage de forces
qui nous a permis de nous relever. Quelque
part, vivre cette période difficile a soudé le groupe.
Il s’est passé quelque chose. Aujourd’hui, le
vestiaire vit beaucoup mieux qu’en début de saison.
Que ce soit sur le terrain ou en dehors, ça
rigole bien, il y a une bonne ambiance. Ce qui
n’était pas toujours le cas en début de saison...
"Aujourd’hui, on est encore en course dans
les quatre tableaux. Mais on n’y pense pas vraiment.
En fait, inconsciemment, on prend les
matches comme ils se présentent, sans se mettre
plus de pression que ça. Le bon côté des choses,
c’est que l’accumulation des rencontres
permet de donner du temps de jeu à tout le
monde et, ainsi, tout le groupe se sent concerné.
Chacun veut bien faire et on a tous l’envie
de gagner. Surtout moi, qui n’ai encore jamais
glané le moindre titre*!Mon palmarès est encore
vide et j’ai une grande envie de le remplir de
trophées! En ce sens, je n’ai aucune préférence.
Quand on n’a rien gagné, n’importe quelle compétition
dans laquelle on est engagé est importante.
Après, les objectifs du club passent en
premier. Et s’il y a des choix à faire, on s’y pliera.
Mais pourquoi pas non plus gagner la Ligue
des champions? Après tout, il n’est pas interdit
de rêver et cela reste du domaine du possible !
"La Ligue des champions, ça reste vraiment
la plus belle compétition au niveau des clubs.
C’était un immense plaisir pour moi de la découvrir
et mon plus grand souhait aujourd’hui
est de la jouer le plus souvent possible pour
continuer à m’améliorer, grandir et, plus tard,
devenir un grand joueur. J’ai vu quelques bouts
de matches de l’Inter ; ils sont plutôt bien en ce
moment. Mais nous aussi. Le Marseille de maintenant
n’a plus rien à voir avec celui du début
de saison."
* Nicolas Nkoulou était suspendu lors du Trophée des
champions contre Lille, le 27 juillet dernier.

❚ NKOULOU
Le meilleur en défense, mais sans dégager
la même autorité qu’à l’accoutumée en
première période. Son sauvetage, à la reprise,
sur une frappe de Kembo, est toutefois
capital et il a préfiguré l’ensemble
d’une seconde moitié de match à son niveau
habituel