EN AVANT GUINGAMP/ LIGUE 1

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:

JUDAS a écrit:

aladin a écrit:GUINGAMP eliminé de la CDF sur penalty à la 87 éme
je sens un malheureux NLG et un heuruex

Je vois pas de qui tu parle

ton ulcere là il s'est refermé comme une moule fraiche

Mon ulcère est un vrai baromètre quand il me souffrir c'est y a toujours une merde qui arrive
Pour en revenir a Guingamp et aux autres clubs de L2 éliminés ..5 je crois Ces éliminations donnent une chance supplémentaire de recevoir une L1 a domicile

l2 l1 le tirage est respecté pas de'inversion donc à domicile c'est une chance sur deux

Mon ulcere me parle d'un GFCOA /SCB a Ajaccio avec un arbitre du calibre de Piccirello

JUDAS a écrit:Samassa en a pris 3

Gourvennec: "Une année à 300 à l'heure"
Pas encore sauvé de la relégation, Guingamp doit encore prendre des points pour assurer son maintien. Les protégés de Jocelyn Gourvennec iront donc à Bastia, vendredi, théâtre de la 31e journée de Ligue 2, pour créer la surprise. Son entraîneur a encore de bons souvenirs dans l'île de Beauté.



Jocelyn Gourvennec veut assurer le maintien au plus vite.
Vous sortez d'un nul face à Arles-Avignon, déçu ?
Oui et non. Oui, parce quand on joue chez soi, on veut gagner, non, parce que je m'attendais à un match très compliqué. Arles-Avignon est une équipe qui verrouille tout, à cinq derrière et trois milieux récupérateurs. Je ne m'attendais pas à un match plaisir, ça ne l'a pas été. Ils ont une équipe très rigoureuse, qui ferme les espaces et contre très bien, on a le regret de s'être fait ramener au score en fin de match, mais sur la physionomie du match, ce n'était pas fabuleux, c'était difficile de bien s'exprimer, il aurait fallu être plus fort pour les faire voler en éclats. Après, c'est un point de plus vers notre objectif qui est le maintien, sachant qu'on va certainement aller le chercher sur nos matches à domicile. Après le match à Bastia, il nous restera sept matches, dont quatre au Roudourou, il faudra qu'on soit performants chez nous.

On parle de maintien, alors qu'avant la trêve, vous étiez sur le podium, que s'est-il passé ?
A mon sens, il y a trois facteurs. Le premier, c'est qu'on a plutôt des joueurs de petits gabarits, très dynamiques, et sur les terrains très gras de janvier-février-mars, on est un peu désavantagés car on manque un peu de puissance. On le voit d'ailleurs maintenant, on est nettement mieux. Le deuxième facteur, c'est que cette saison, on avait beaucoup de joueurs qui découvraient la Ligue 2, du coup, on a manqué à certains moments de maturité, la maturité qui, en Ligue 2, te permet de prendre un point sur des matches où tu n'es pas très bien. Et le troisième facteur, c'est que, comme on était très bien classés à la trêve pour un promu, dans notre environnement, il y a eu, je pense, un rêve de Ligue 1 qui a fait croire à tout le monde qu'on était un peu plus forts qu'on ne l'était réellement.

Vous vous êtes enflammés ?
Pas tout le monde, les joueurs les plus anciens dans le groupe connaissent la musique, le staff aussi, mais on n'arrêtait pas de nous en parler. On est vraiment repartis sur du positif après la descente en National, mais il faut encore consolider les fondations pour aller plus loin, ça prend un peu de temps. Vous allez me dire que Bastia y arrive très bien, mais il y a une symbiose à Bastia qui est exceptionnelle qui explique qu'ils marchent sur l'eau et que rien ne peut les arrêter.

"Deux mois sans gagner, c'est long"

Avez-vous été inquiet à un moment de ne pas trouver de solutions ?
Un peu, oui. Quand les choses ne vont pas très bien, la pire des choses est l'immobilisme, alors j'ai tenté des choses, dans mon management, mes entraînements, mes compositions d'équipe, tout en gardant une cohérence parce qu'il ne s'agissait pas de changer complètement d'axe, d'adopter un style différent où on aurait bétonné ou joué très long. Ce qui est embêtant quand on a de mauvaises séries, c'est qu'on veut que ça s'arrête. Et entre notre superbe victoire contre Nantes au mois de janvier et celle contre Lens au mois de mars, il y a eu deux mois pile, et deux mois sans gagner, c'est long.

On imagine que le succès conte Lens (3-0) le 16 mars a été synonyme de gros soulagement...
Oui, parce qu'on a retrouvé du dynamisme, de l'efficacité à tous les niveaux, et un scénario favorable, ce qui ne nous est pas souvent arrivé cette saison.

Parlons maintenant de Bastia, que pensez-vous de cette équipe promise à la Ligue 1 ?
On a été deux promus au coude à coude toute la première partie de saison, c'était très intéressant. Après Noël, ils ont continué à accélérer, ils ont gardé le tempo, sans jamais fléchir, ils ont fait la différence au niveau de la Ligue 2 parce que toutes les autres équipes ont été très irrégulières. Maintenant, il leur suffit de contrôler leurs derniers matches pour y arriver, ils ont un pied trois quarts en Ligue 1.

N'est-ce pas finalement une équipe qui vous ressemble, mélange d'anciens et de jeunes ?
Si, c'est vrai, il y a un style des joueurs assez identique dans les deux équipes. Sauf qu'eux ont réussi à rester plus solides défensivement tout au long de la saison. Nous, on l'a été pendant une longue période, et après on a pris trop de buts. A côté de ça, ils ont toujours été très efficaces sur le plan offensif, avec des joueurs de grande maturité, comme Maloulida, Suarez, Rothen, et des jeunes, comme Diallo et Khazri. Ils n'ont quasiment pas eu de pépins cette saison, ils ont tous hissé leur niveau de jeu et ont été réguliers.

Comment les contrer ?
Il faudra qu'on soit très rigoureux, très costauds derrière parce que quand ils accélèrent, ça fait mal, ils contrent à merveille. En même temps, comme c'est une équipe qui se projette pas mal, ils vont laisser des espaces, il faudra mettre beaucoup de justesse technique quand on aura le ballon pour les inquiéter, il y aura des opportunités, à nous de répondre présents.

"Bastia, ça restera ancré toute ma vie"

Vous avez joué deux saisons à Bastia, quels souvenirs en gardez-vous ?
J'ai été très très content. Quand je suis parti en 2004, le club était toujours en Ligue 1, c'était aussi une fierté, parce que ce n'est jamais anodin. Compte tenu de la réalité économique sur l'île, Bastia n'a et n'aura jamais un budget pour rivaliser avec les autres écuries de Ligue 1. Mais en faisant les choses un peu différemment, on y est arrivés et ils y arriveront encore. J'ai en outre beaucoup apprécié le club, les gens, c'étaient deux belles années, mes deux dernières années de Ligue 1, je me suis marié à Bastia, j'ai baptisé ma fille aînée à Bastia, dans la cathédrale, ça restera ancré toute ma vie.

Pour finir, évoquons l'avenir, avez-vous déjà défini des axes de travail en vue de la saison prochaine ?
C'est un peu prématuré pour en parler, on avancera quand les choses se seront décantées en Championnat, mais on essaiera de consolider le groupe actuel pour aller un peu plus loin et le faire progresser.

Dans ce groupe, quelles ont été les bonne surprises pour vous cette saison ?
Je suis satisfait de constater que nos jeunes joueurs grandissent et avancent, je pense à Gianelli Imbulla, Anthony Knockaert, Rachid Alioui, des jeunes formés au club qui sont quasiment tout le temps sur la feuille de match, Mamadou Samassa aussi même s'il joue moins en ce moment. On a également la confirmation de nos plus anciens, Planté, Cerdan, Paisley, Atik, Giresse, Mathis, des joueurs qui encadrent tout ça avec beaucoup d'humilité. Ça fait un bon mélange, et entre ces deux générations, on a des joueurs à maturité, de 24-25-26 ans, comme Bellugou, Lévêque, Diallo, Argelier. Ça donne un bon groupe qui progresse, qui vit bien.

Et vous, comment vivez-vous cette première saison en Ligue 2 ?
D'une manière assez naturelle, je prépare les matches comme je les préparais l'année dernière, c'était même plus difficile en National parce qu'on n'avait pas de marge de manoeuvre, on avait l'obligation de remonter immédiatement. Dans mon management, ça a été une année à 300 à l'heure. Là, en Ligue 2, on est un peu plus «dans le confort», parce qu'on connaît mieux les adversaires, on a l'outil vidéo sur tous les matches qui permet de mieux appréhender la compétition, et puis la remontée en Ligue 2 a apporté plus d'apaisement à Guingamp, ce qui nous permet de travailler plus sereinement.

bienvenou a écrit:

Gourvennec: "Une année à 300 à l'heure"
Pas encore sauvé de la relégation, Guingamp doit encore prendre des points pour assurer son maintien. Les protégés de Jocelyn Gourvennec iront donc à Bastia, vendredi, théâtre de la 31e journée de Ligue 2, pour créer la surprise. Son entraîneur a encore de bons souvenirs dans l'île de Beauté.



Jocelyn Gourvennec veut assurer le maintien au plus vite.
Vous sortez d'un nul face à Arles-Avignon, déçu ?
Oui et non. Oui, parce quand on joue chez soi, on veut gagner, non, parce que je m'attendais à un match très compliqué. Arles-Avignon est une équipe qui verrouille tout, à cinq derrière et trois milieux récupérateurs. Je ne m'attendais pas à un match plaisir, ça ne l'a pas été. Ils ont une équipe très rigoureuse, qui ferme les espaces et contre très bien, on a le regret de s'être fait ramener au score en fin de match, mais sur la physionomie du match, ce n'était pas fabuleux, c'était difficile de bien s'exprimer, il aurait fallu être plus fort pour les faire voler en éclats. Après, c'est un point de plus vers notre objectif qui est le maintien, sachant qu'on va certainement aller le chercher sur nos matches à domicile. Après le match à Bastia, il nous restera sept matches, dont quatre au Roudourou, il faudra qu'on soit performants chez nous.

On parle de maintien, alors qu'avant la trêve, vous étiez sur le podium, que s'est-il passé ?
A mon sens, il y a trois facteurs. Le premier, c'est qu'on a plutôt des joueurs de petits gabarits, très dynamiques, et sur les terrains très gras de janvier-février-mars, on est un peu désavantagés car on manque un peu de puissance. On le voit d'ailleurs maintenant, on est nettement mieux. Le deuxième facteur, c'est que cette saison, on avait beaucoup de joueurs qui découvraient la Ligue 2, du coup, on a manqué à certains moments de maturité, la maturité qui, en Ligue 2, te permet de prendre un point sur des matches où tu n'es pas très bien. Et le troisième facteur, c'est que, comme on était très bien classés à la trêve pour un promu, dans notre environnement, il y a eu, je pense, un rêve de Ligue 1 qui a fait croire à tout le monde qu'on était un peu plus forts qu'on ne l'était réellement.

Vous vous êtes enflammés ?
Pas tout le monde, les joueurs les plus anciens dans le groupe connaissent la musique, le staff aussi, mais on n'arrêtait pas de nous en parler. On est vraiment repartis sur du positif après la descente en National, mais il faut encore consolider les fondations pour aller plus loin, ça prend un peu de temps. Vous allez me dire que Bastia y arrive très bien, mais il y a une symbiose à Bastia qui est exceptionnelle qui explique qu'ils marchent sur l'eau et que rien ne peut les arrêter.

"Deux mois sans gagner, c'est long"

Avez-vous été inquiet à un moment de ne pas trouver de solutions ?
Un peu, oui. Quand les choses ne vont pas très bien, la pire des choses est l'immobilisme, alors j'ai tenté des choses, dans mon management, mes entraînements, mes compositions d'équipe, tout en gardant une cohérence parce qu'il ne s'agissait pas de changer complètement d'axe, d'adopter un style différent où on aurait bétonné ou joué très long. Ce qui est embêtant quand on a de mauvaises séries, c'est qu'on veut que ça s'arrête. Et entre notre superbe victoire contre Nantes au mois de janvier et celle contre Lens au mois de mars, il y a eu deux mois pile, et deux mois sans gagner, c'est long.

On imagine que le succès conte Lens (3-0) le 16 mars a été synonyme de gros soulagement...
Oui, parce qu'on a retrouvé du dynamisme, de l'efficacité à tous les niveaux, et un scénario favorable, ce qui ne nous est pas souvent arrivé cette saison.

Parlons maintenant de Bastia, que pensez-vous de cette équipe promise à la Ligue 1 ?
On a été deux promus au coude à coude toute la première partie de saison, c'était très intéressant. Après Noël, ils ont continué à accélérer, ils ont gardé le tempo, sans jamais fléchir, ils ont fait la différence au niveau de la Ligue 2 parce que toutes les autres équipes ont été très irrégulières. Maintenant, il leur suffit de contrôler leurs derniers matches pour y arriver, ils ont un pied trois quarts en Ligue 1.

N'est-ce pas finalement une équipe qui vous ressemble, mélange d'anciens et de jeunes ?
Si, c'est vrai, il y a un style des joueurs assez identique dans les deux équipes. Sauf qu'eux ont réussi à rester plus solides défensivement tout au long de la saison. Nous, on l'a été pendant une longue période, et après on a pris trop de buts. A côté de ça, ils ont toujours été très efficaces sur le plan offensif, avec des joueurs de grande maturité, comme Maloulida, Suarez, Rothen, et des jeunes, comme Diallo et Khazri. Ils n'ont quasiment pas eu de pépins cette saison, ils ont tous hissé leur niveau de jeu et ont été réguliers.

Comment les contrer ?
Il faudra qu'on soit très rigoureux, très costauds derrière parce que quand ils accélèrent, ça fait mal, ils contrent à merveille. En même temps, comme c'est une équipe qui se projette pas mal, ils vont laisser des espaces, il faudra mettre beaucoup de justesse technique quand on aura le ballon pour les inquiéter, il y aura des opportunités, à nous de répondre présents.

"Bastia, ça restera ancré toute ma vie"

Vous avez joué deux saisons à Bastia, quels souvenirs en gardez-vous ?
J'ai été très très content. Quand je suis parti en 2004, le club était toujours en Ligue 1, c'était aussi une fierté, parce que ce n'est jamais anodin. Compte tenu de la réalité économique sur l'île, Bastia n'a et n'aura jamais un budget pour rivaliser avec les autres écuries de Ligue 1. Mais en faisant les choses un peu différemment, on y est arrivés et ils y arriveront encore. J'ai en outre beaucoup apprécié le club, les gens, c'étaient deux belles années, mes deux dernières années de Ligue 1, je me suis marié à Bastia, j'ai baptisé ma fille aînée à Bastia, dans la cathédrale, ça restera ancré toute ma vie.

Pour finir, évoquons l'avenir, avez-vous déjà défini des axes de travail en vue de la saison prochaine ?
C'est un peu prématuré pour en parler, on avancera quand les choses se seront décantées en Championnat, mais on essaiera de consolider le groupe actuel pour aller un peu plus loin et le faire progresser.

Dans ce groupe, quelles ont été les bonne surprises pour vous cette saison ?
Je suis satisfait de constater que nos jeunes joueurs grandissent et avancent, je pense à Gianelli Imbulla, Anthony Knockaert, Rachid Alioui, des jeunes formés au club qui sont quasiment tout le temps sur la feuille de match, Mamadou Samassa aussi même s'il joue moins en ce moment. On a également la confirmation de nos plus anciens, Planté, Cerdan, Paisley, Atik, Giresse, Mathis, des joueurs qui encadrent tout ça avec beaucoup d'humilité. Ça fait un bon mélange, et entre ces deux générations, on a des joueurs à maturité, de 24-25-26 ans, comme Bellugou, Lévêque, Diallo, Argelier. Ça donne un bon groupe qui progresse, qui vit bien.

Et vous, comment vivez-vous cette première saison en Ligue 2 ?
D'une manière assez naturelle, je prépare les matches comme je les préparais l'année dernière, c'était même plus difficile en National parce qu'on n'avait pas de marge de manoeuvre, on avait l'obligation de remonter immédiatement. Dans mon management, ça a été une année à 300 à l'heure. Là, en Ligue 2, on est un peu plus «dans le confort», parce qu'on connaît mieux les adversaires, on a l'outil vidéo sur tous les matches qui permet de mieux appréhender la compétition, et puis la remontée en Ligue 2 a apporté plus d'apaisement à Guingamp, ce qui nous permet de travailler plus sereinement.