ILS FONT HONNEUR A LA NATURE HUMAINE

Le jour où Varian Fry fit de
Marseille la voie de la liberté
Grâce à lui, des centaines
d’intellectuels purent
échapper aux nazis


Pendant la guerre, sa "couverture" de
journaliste a fait de Fry l’homme idéal




Le jeune Américain tiré à quatre
épingles qui arrive à la gare
Saint-Charles le 14 août 1940 a
l’étoffe d’un héros. Longtemps,
il glissera dans sa poche cette citation
de son compatriote Ralph
Waldo Emerson: "Il y a des
hommes pour qui une crise
a l’allure gracieuse et
aimée d’une mariée".
L’épisode qui fit de Varian
Fry un homme hors
du commun,se situe au
cours des années sombres
de la guerre. Il eut pour cadre
Marseille.
Officiellement, Varian
Fry, journaliste aux
États-Unis, arrive dans le
sud de la France comme
reporter. Il a 32 ans. Cinq
ans auparavant, il a été le
témoin à Berlin d’une scène
révoltante. Il a vu deux
jeunes nazis s’avancer
vers un homme attablé à
un café et lui clouer la
main d’un coup de poignard,
sous prétexte qu’il
était juif. Au moment de la
débâcle française, le jeune
journaliste fréquente sur
la côte Est des États-Unis
la bourgeoisie libérale,
horrifiée par les persécutions
nazies et soucieuse
d’aider les intellectuels pourchassés.
Une petite association
"Emergency Rescue Committee"
(ERC) ou Comité de sauvetage
d’Urgence) s’est créée. Elle
demande à Fry de partir pour la
France. Sa mission sera d’évacuer
outre-Atlantique les membres
de l’intelligentsia que le régime
de Vichy pourrait mettre
en danger. L’article 19 de la
convention d’armistice prévoit
en effet que "le gouvernement
français est tenu de livrer sur demande
tous les ressortissants désignés
par le gouvernement du
Reich".
Sa "couverture" de journaliste
fait de Fry l’homme idéal.
Son attrait pour les arts , son respect
pour les intellectuels et
son dégoût pour l’Allemagne
nazie, font le reste. Varian Fry
quitte les États-Unis avec une
liste bien précise de 200 noms.
Il doit rester un mois à Marseille,
située en zone libre. Il y
séjournera 13 mois et ira bien
au-delà de sa mission, portant
secours à environ 2000 personnes.
Célèbres et anonymes,
juifs ou non.
En arrivant à Marseille, Fry
s’installe à l’hôtel Splendide,
boulevard d’Athènes. C’est là,
dans une petite chambre, qu’il
commence à constituer son réseau.
Puis au 18 bd Garibaldi. À
ses côtés, Mary Jane Gold, riche
héritière américaine qui entretient
une liaison avec un truand
marseillais, le futur acteur Charles
Fawcett, des réfugiés étrangers,
et des Françaiscomme Dan
i e l B e n e d i t e ou J e a n
Gemälhing qui rejoindront La
résistance ... et un tout jeune
avocat nommé Gaston Defferre.
Le groupe loue une maison
dans la banlieue de la Pomme:
la villa Air- Bel. André Breton,
René Char, Bellmer , Herold, Itkine,
Lam, Masson... tuent le
temps en attendant d’obtenir
un visa, de vrais ou de faux
papiers, et fuir la France
via Marseille pour rejoindre
l’Amérique. C’est dans
cette villa que les surréalistes
créent le fameux jeu de
Marseille. L’anthropologue
Claude Lévi- Strauss,
Hanna Arendt, Chagall,
Marcel Duchamp, Anna
Seghers, Jacques Schiffrin,
mais aussi des centaines
d’anonymes lui doivent la
vie.
Varian Fry et son réseau
f u r e n t s i ac t i f s que
d’autres associations humanitaires
américaines
en prirent ombrage . Aux
États-Unis, les membres
de l’ERC n’apprécièrent
pas non plus son action
clandestine. Et pour le
consul américain à Marseille,
Varian Fry devient
gênant. Il devra quitter le
territoire français en septembre
1941. Héros méconnu
et oublié, la France ne le
distingua qu’en 1967. Il reçut le
grade de chevalier de la Légion
d’Honneur. Mais en 1995, il sera
le premier et le seul Américain
à être reconnu comme Juste
parmi les Nations au mémorial
de la Shoah à Jérusalem.
En 1999, la place située devant
le consulat américain à
Marseille est renommée "Place
Varian Fry".
Unlong-métrage intitulé "Varian
Fry à Marseille" sortira aux
États-Unis en 2011

MARSEILLE
L’épicier italien
qui crève l’écran
Rafaele est passé dans "Zone interdite




Le commerce de Rafaele, Les saveurs du Vésuve, a changé de visage
depuis son passage à l’émission Zone interdite, consacrée à la cité
phocéenne, le 4août dernier, sur M6. Les produits qu’il vend sont les
mêmes: charcuterie, antipastis, pâtes fraîches… Mais la clientèle a
presque doublé dans la trattoria de ce Napolitain, située dans le 13e
arrondissement. Rafaele est parvenu à séduire les téléspectateurs
avec son petit coin d’Italie aux mille et une saveurs et son authenticité.
L’épicier est ravi, l’affluence de clients l’a même obligé à retourner
en Italie en semaine pour ravitailler son magasin. Arrivé à Marseille il
y a 18 ans, le commerçant a adopté la ville, qu’il compare à Naples
pour son atmosphère et ses paysages.

Foot 2 Respect inculque les valeurs du
sport sur le sable de La Romaniquette

À tour de rôle, une cinquantaine de jeunes ont participé aux matchs aux côtés des professionnels du
FC Istres Ouest Provence




Port-Saint-Louis et Fos en
juillet et hier c’était sur la plage
de La Romaniquette que s’est
déroulée la première opération
Foot 2 Respect du mois
d’août. Un cadre idéal pour
s’adonner au sport et inculquer
des valeurs.
Une cinquantaine de jeunes
des centres sociaux du territoire
de l’intercommunalité y ont
participé. Lancé il y a quelques
années, Foot 2 Respect leur
permet de jouer à des matchs
amateurs aux côtés de professionnels.
Cet après-midi là, Florian
Lejeune et Julian Palmieri
du FC Istres Ouest Provence
étaient présents.
"Depuis quatre ans, nous participons
régulièrement à cette
opération, explique Julian Palmieri.
On transmet les valeurs
liées au respect et à l’éthique.
Tout ce que nous n’avons pas
eu pendant la coupe du monde."
Ils le font sur leur temps libre
mais "c’est loin d’être une
corvée", ajoute Florian Lejeune
avant de reprendre position
sur le terrain.
Pour l’heure son équipe mène
au score. Mais malgré la chaleur,
l’équipe adverse n’était
pas prête à laisser tomber.
Tout l’après-midi, les passes et
les buts se sont succédé.
Foot 2 Respect est une action
conjointe de Ouest Provence,
de la Maison des citoyens
et des centres sociaux.
La Direction de la citoyenneté
et de la cohésion sociale coordonne
les relations entre les
centres sociaux et l’opération

DE CARRY À CARRO


Leçon d’écocitoyenneté
pour les plaisanciers

Pendant près d’une heure, les plaisanciers
et les ambassadeurs de la campagne Écogestes
ont pu apprendre les uns des autres




À la fin de l’échange avec les ambassadeurs, Julie et Justine
hissent le pavillon écogestes



La campagne Écogestes existe
depuis l’été 2003 sur la
côte entre Martigues et
Carry. Elle a pour but de sensibiliser
les plaisanciers à l’impact
qu’ils peuvent avoir sur le milieu
marin.Depuis une petite décennie,
le nombre de plaisanciers "a
connu une évolution significative.

"Je mouille en zone
sableuse pour
préserver la
posidonie."MATHIEU


Avant, les gens connaissaient
peut-être mieux le milieu marin",
analyse Marie Morin employée
au parc marin de la côte
bleue. C’est donc une éducation
à l’écosystème que s’en vont faire
dix fois par été Marie et Sébastien.
Un engagement moral
Le petit semi-rigide du parc
marin avec ses deux ambassadeurs
Écogestes accostent un
voilier de six personnes d’une
vingtaine d’années. Déjà l’année
dernière ils avaient été sensibilisés
par le même dispositif.
Peu importe, ce sera l’occasion
de remettre à jour quelques
connaissances et de faire le bilan
des leçons retirées. Mathieu
le capitaine commence par mettre
en valeur ses bonnes résolutions.
"Regardez, j’ai jeté mon ancre
dans une zone sableuse pour
éviter d’abîmer la posidonie". La
posidonie ? Une plante aquatique
que fragilise les ancres des
bateaux. Une leçon apprise l’année
dernière. "Quand on m’a expliqué
qu’elle pousse d’un centimètre
par an, je me suis rendu
compte des dégâts que je faisais
quand je remontais mon ancre",
s e s o u v i e n t M a t h i e u .
Aujourd’hui ses pratiques ont
changé pour préserver cette espèce,
clé de voûte de la biodiversité
marine.
La présence des ambassadeurs
aiguise le soif de connaissance.
Romain et Pierre débattent. "Il
faudrait des panneaux dans les
ports pour que tout lemonde soit
au courant". "Arrête c’est moi qui
étais écolo en premier", rétorque
le second. Julie, plus calme, demande:
"Pourquoi il n’y a pas de
poubelles pour faire le tri des ordures
ni parfois de poubelles tout
court ?"
C’est aussi l’objectif des sorties
Écogestes : échanger avec les
plaisanciers, écouter leurs demandes,
voir leurs habitudes et
leur en proposer d’autres. À la
fin de la discussion, les ambassadeurs
repartent et les vacanciers
du Lombard 41 hissent le pavillon
Écogestes que leur a laissé
Marie. Dans l’engagement moral
que Mathieu a pris, celui de
trier ses ordures et d’éponger sa
cuve avant la vidange. Mais il
était déjà un bon élève. "Mieux
que la génération de mes parents
où tout et n’importe quoi était
fait" nous glisse-t-il

Un aïoli pour soutenir
la lutte contre le cancer


Le Lions Club de la Côte bleue a reversé 1500 euros au centre de
recherche marseillais Paoli-Calmettes




La soirée "aïoli dansante" fera
dorénavant partie des moments
forts du Lions Club de La
Côte bleue, présidé par Anne-
Mary Pellier, avec son festival
des jeunes musiciens et son
salon des vins et des produits
du terroir.
Plus de 200 personnes ont
ainsi participé au Théâtre de
Verdure à cette première soirée,
animée par David, autour
d’un excellent aïoli.
Lors de cette soirée, en présence
notamment de Jean Montagnac,
premier adjoint, Anne-
Mary Pellier, la présidente
du club, a remis un chèque de
1500 euros à Claude Smadja, du
centre de recherche Paoli Calmettes.
Après avoir remercié le Lions
Club de la Côte bleue, Claude
Smadja a tenu à souligner que
"depuis 1981, l’institut Paoli-
Calmettes, centre régional de
lutte contre le cancer s’est engagé
dans la greffe de moelle osseuse.
Aujourd’hui, la guérison de
nouveaux cancers est possible.
Des efforts restent indispensables
pour accroître le nombre de
malades qui accèdent à une thérapie
sophistiquée et pour
ouvrir la voie à de nouvelles guérisons.
L’institut Paoli-Calmettes
s’est engagé dans la mise en
place de l’unité de transplantation
et de thérapie cellulaire
(u2T) que le professeur E. Donnall
Thomas, Prix Nobel de Médecine,
a accepté de parrainer.
Un défi médical et des objectifs
ambitieux. La transplantation
et la thérapie cellulaire connaissent
aujourd’hui un degré d’efficacité
thérapeutique qui nous
conduit à la ranger en bonne
place parmi les priorités de l’Institut
Paoli-Calmettes. Ce projet
stratégique, sur lequel s’appuiera
une bonne partie de l’activité
des quinze prochaines années
de notre établissement, doublera
la capacité de l’unité actuelle
et devrait permettre de multiplier
par deux le nombre de patients
greffes."
Rendez-vous est d’ores et déjà
pris pour l’été prochain et la
seconde édition de la soirée aïoli-
dansante.

MARIANNE QUEL BEAU PRENOM

LA VACANCIÈRE
"Un petit
coin de
paradis"


Marianne aime s’installer
sur la plage de la boucle
botanique à Carro.

En vacances à Carro, Marianne
préfère s’installer sur la
plage de la boucle botanique
plutôt que sur la "petite plage",
à côté du port de pêche.
"Je viens de région parisienne,
explique Marianne. Je ne
connaissais pas du tout le
coin. Cette plage, c’est un ami
qui l’a découverte en se promenant.
Il m’en a parlé, et je
l’ai tout de suite adoptée !"
"C’est un vrai petit coin de
paradis, poursuit-elle. Il n’y a
jamais personne. Les enfants
peuvent se baigner tranquillement
dans la petite crique et
c’est plus facile pour moi de
les surveiller. En plus, ils ont
toute la place qu’ils souhaitent
pour s’amuser sur la plage
de sable." Margot, la petite
dernière de 18 mois, a
d’ailleurs sorti seau et pelle
pour faire des pâtés.

HOMMAGE A LA BAC
MARSEILLE
Les tee-shirts qui déshabillent
les voitures de la Bac
Ils dévoilent
l’immatriculation des
voitures banalisées
Vendus 15 ¤ l’unité,
dont la recette
servirait à financer
un groupe de rap


L’affaire a débuté le 15 août dernier,
lors d’une patrouille de la
compagnie de sécurisation,
dans les quartiers Nord. Deux
jeunes gens sont contrôlés par
les fonctionnaires. Ils arborent
fièrement le même tee-shirt.
En se rapprochant, les policiers
n’en croient pas leurs yeux: à
côté du slogan "Arah! La Bac!",
le cri poussé dans les cités
quand la police débarque, ils
distinguent aussi sur l’imprimé
la reproduction d’une calandre
de Ford Mondéo. En y regardant
encore d’un peu plus
près, ils déchiffrent une plaque
minéralogique, avec les trois
lettres et le 13 qui correspondent
à la plupart des véhicules
utilisés par la Bac. Les deux garçons
rajoutent qu’ils ont acheté
les vêtements à la cité Font
Vert (14e), où ils précisent
qu’un "type les vend dans une
cave".
Même s’il ne s’agit pas d’un
délit caractérisé, les policiers
alertent leurs supérieurs, qui
entament les investigations.
D’autres cas similaires leur ont
été signalés.
L’enquête prend un tour nouveau
samedi, après la tentative
d’arrestation d’un présumé trafiquant
de drogue, dans la cité
Font Vert. A 11h du matin, un
équipage de la Bac Nord, après
une course-poursuite avec une
Renault Clio, perd la trace du
conducteur, qui abandonne sa
voiture, mais réussit à prendre
le large. A l’intérieur, ils découvrent
600 grammes de résine
de cannabis, ainsi qu’un sac de
sport, où sont rangés une cinquantaine
de ces tee-shirts qui
permettent de mieux reconnaître
les policiers.
Cette fois, une enquête est
ouverte par le Groupe des violences
urbaines, afin d’identifier
celui qui commercialise
ces vêtements d’un genre nouveau.
Hier, il n’avait toujours
pas été interpellé. Les enquêteurs
se heurtent à un problème
central. Il n’existe pas vraiment
d’infraction permettant
de poursuivre le suspect. Le
fait de diffuser ce type de propos
sur ces tee-shirts ne semble
pas constituer un délit. Le
seul qui pourrait être retenu serait
celui de "travail illégal". Selon
nos informations, ces
tee-shirts seraient en effet vendus
15 ¤ l’unité, qui serviraient
à financer un groupe de rap.
Du côté de la Bac, on n’est
pas vraiment dupe. Dans les cités,
les numéros d’immatriculation
de leurs véhicules sont
connus depuis bien longtemps
par les trafiquants. Pour cet enquêteur,
il s’agirait presque
d’un hommage: "Pour moi, cela
veut dire qu’on les embête
vraiment. C’est comme la reconnaissance
du travail du service."

RIEN QUE DE LES REGARDER
JE PRENDS PLUS MES CACHETS

"Bones" : l'épisode des soeurs
Deschanel
Pour la première fois, Zooey et Emily Deschanel sont réunies dans la série

Emily Deschanel donne la réplique à sa soeur, Zooey Deschanel, dans l'épisode diffusé à 21 h 25 ce soir sur M6. Zooey interprète Margaret, la cousine
de Brennan (Emily).



Zooey Deschanel est née le 17 janvier
1980 à Los Angeles. Comme
son nom l'indique, la jeune
femme a des origines françaises,
son grand-père paternel ayant
vécu à Lyon. Elle débute en tant
qu'actrice en 1998 dans la série
"Les Dessous de Véronica".

La cinquième saison inédite
de "Bones" offre une
surprise de taille à ses fans.
Dans l'épisode 10, intitulé "Noël
en famille", Emily Deschanel (34
ans) donne pour la première fois
la réplique à sa soeur Zooey (30
ans), elle aussi actrice.
Caler les emplois du temps
Il en aura fallu du temps pour
réunir les soeurs Deschanel sur
un même plateau. C'est simple,
avant "Bones", cela ne s'était jamais
produit. Zooey confie : "Cela
faisait à peu près deux ans que
l'on avait envie de tourner un épisode
ensemble, mais il était compliqué
de faire coïncider nos emplois
du temps". Il faut dire que, si
Emily, l'aînée, est de tous les plans
dans la série de la Fox, sa soeur ne
chôme pas. Celle qui doit son
nom à l'héroïne d'un roman de
J.D. Salinger mène de front une
carrière au cinéma ("500 Jours ensemble"
ou encore "Yes Man",
avec Jim Carrey) et une autre dans
la musique.
Elle compose et interprète
Moitié du groupe She & Him,
la jeune artiste écrit et compose
les titres qu'elle interprète sur
scène. Elle rencontre un certain
succès d'estime jusqu'en France,
notamment au sein d'un public
branché. "Nous aimons avoir chacune
notre propre espace", confie
Zooey, tout en précisant que l'une
comme l'autre restent attentives à
leurs carrières respectives.
Des parents dans le cinéma
Chez les Deschanel, le cinéma
est définitivement une histoire de
famille. Leur mère, Mary Jo Deschanel,
était comédienne; et leur
père, Caleb Deschanel, a été
nommé aux Oscars en sa qualité
de directeur de la photographie. Il
a même réalisé un épisode de la
saison 2 de "Bones". Enfant, seule
Zooey affirmait vouloir devenir
comédienne. Emily, elle,
s'imaginait architecte. Mais difficile
d'échapper à son destin.
"J'ai commencé le théâtre au
lycée. J'ai tellement aimé ça que
j'ai changé d'avis." Aujourd'hui,
les deux comédiennes reconnaissent
s'être vraiment amusées à se
donner la réplique. Dans cet inédit,
Zooey incarne la cousine de
Bones, invitée pour les fêtes de
Noël. Petite astuce des scénaristes
: la fin de l'épisode est ouverte,
ce qui permet à Zooey de revenir
faire un petit coucou à sa
soeur quand bon lui plaira

INTELLIGENT SIMPLE ET FRANC..
TROIS QUALITES IMMENSES QUI VONT PARFAITEMENT ENSEMBLES
ET QUI LE RESUMENT TOUT A FAIT


Laurent Fignon et sa future épouse Valérie
Laurent Fignon s'est marié avec elle à la mairie de Bagnères nous lui transmettons nos condoléances

L'hommage est unanime
«C'est un frère que je perds», explique Alain Gallopin,
qui fut le masseur-soigneur de Laurent Fignon. Le monde du cyclisme est très ému.




Alain Gallopin pleure la disparition de Laurent Fignon, dont il fut le kiné, notamment en 1992.
Alain Gallopin (directeur sportif, ancien kiné de Fignon) : «C'est un frère que je perds aujourd'hui (mardi). J'ai vu jusqu'à la fin un combattant. Hier (lundi) matin, on sentait encore qu'il se battait, il demandait des renseignements sur le traitement. Ensuite, son état s'est détérioré, il a décroché. Ce matin (mardi), on sentait que c'était fini. Hier (lundi) après-midi, il était encore conscient. Il savait qui était là, il parlait surtout par signes. Tout le monde s'était préparé (à sa mort) parce que depuis un an et demi, beaucoup de traitements ont été essayés qui ne marchaient pas. Il avait été hospitalisé après des complications pulmonaires il y a une quinzaine de jours. Ca devenait de plus en plus compliqué. Il a été noble jusqu'au bout, comme il l'a toujours été. Il a donné tout ce qu'il pouvait. Quand il m'avait annoncé son cancer il y a un an et demi, il m'avait dit ''De toute façon, je n'ai pas peur de mourir".

»Laurent Jalabert (ancien coureur et consultant sur France Télévisions) : «Quand on sait qu'une personne est atteinte d'une maladie qui n'est pas facile à soigner, on craint toujours qu'elle ne s'en sorte pas. Mais, là, ça m'a choqué, ça m'a bouleversé parce que, honnêtement, je pensais après le Tour qu'il était sur la bonne voie. Je l'ai cotoyé comme coureur cycliste, et j'ai pu me rendre compte que c'était un immense champion. Après j'ai eu la chance de cotoyer Laurent ces quatre dernières années à France Télévisions et d'apprécier ses qualités humaines»

Greg LeMond (triple vainqueur du Tour de France) : «Pour moi, il était vraiment un homme unique. Je suis un peu choqué. C'est un mec qui ne parlait pas beaucoup, un homme privé, mais aussi un homme qui avait une forte tête. J'aimais bien, il était honnête avec lui-même. Pour moi, il était un des meilleurs coureurs des 35, 40 dernières années. En 1989, moi, sur le podium, je me sentais mal pour lui.»

Christian Prudhomme (directeur du Tour de France) : «C'était une grande figure du cyclisme français. Je mêlerai autant le palmarès que l'homme. Il a marqué par sa carrière, ses succès et sa défaite historique en 1989 qui est réductrice par rapport à son palmarès: deux Tours de France (1983, 1984), deux Milan-Sanremo (1988, 1989), une Flèche Wallonne (1986), un titre national (1984)... C'était aussi un caractère, avec un franc-parler qui ne s'est pas démenti pendant trente ans, quand il était coureur et ensuite en tant qu'organisateur ou consultant. Il n'hésitait pas à dire les choses. Il a incarné un cyclisme offensif, fait d'attaques variées et incessantes avec un côté chevaleresque. Dès qu'il est passé pro, on l'a remarqué avec ses cheveux blonds, ses lunettes rondes, sa réputation d'intellectuel... C'est quelqu'un qui avait du charisme.»Richard Virenque (ancien coureur cycliste) : «Il a totalement marqué son époque par rapport aux performances qu'il a pu faire dans sa carrière, dans le Tour de France et dans d'autres courses. Il a marqué l'histoire du vélo grâce au charisme qu'il pouvait avoir, sa queue de cheval, sa façon de faire, sa façon de s'exprimer... C'était un coureur atypique. Il avait «une gueule». En plus des résultats, de son style, sa façon de s'exprimer, Fignon était une personnalité dans le monde du cyclisme. C'est quelqu'un qu'on ne pouvait que respecter par rapport à ce qu'il a fait dans le cyclisme et ce qu'il a apporté au cyclisme français.»

Cyrille Guimard (ancien directeur sportif de Laurent Fignon) : «Il y a beaucoup d'émotion. Il a une place à part sur le plan sportif et sur le plan humain. J'ai partagé avec Laurent de grandes victoires mais aussi de grandes défaites qui n'étaient pas logiques. C'était quelqu'un d'une grande fidélité. En 1985, quand la régie Renault décide de nous abandonner, il est resté fidèle et s'est battu avec moi pour trouver un nouveau partenaire. On a partagé beaucoup de choses. Plusieurs coureurs ont été très importants pour moi. Il fait partie de ceux-là au même titre que Bernard Hinault. C'était un homme d'une grande sensibilité, très timide, un peu complexé. Il se protégeait derrière une forme d'arrogance qui le rendait impopulaire. En 1989, sa défaite l'a rendu beaucoup plus populaire et attachant à cause de cela. Aujourd'hui, pour moi, cela n'a plus d'importance car il n'est plus là...»

ILS FONT HONNEUR A LA NATURE HUMAINE ET PAR LA MEME REMPLISSENT LEUR PORTEFEUILLE


Zinedine Zidane, l’icône
française intemporelle

MAL AU VENTRE
FAITES COMME MATERRAZZI
PRENEZ LE COUP DE BOULE DE ZIZOU ..ET CA IRA MIEUX



Generali Assurances, Volvic,
Adidas, Danone, Dior, Pétrolane,
Grand Optical, Ford, Dior,
Leader Price... N’en jetez plus, la
coupe est pleine ! Annuellement,
Zinedine Zidane perçoit près de
7millions d’euros en contrats publicitaires.
Lorsqu’il jouait encore,
ce pactole représentait près
de 45% de ses revenus globaux.
Rendu célèbre par son doublé de
la tête en finale de la coupe du
monde 1998, "Zizou", icône planétaire,
amasse les contrats publicitaires
comme il a accumulé
les passes décisives sur un terrain.
À ce jour, le Marseillais est
le footballeur français de tous les
temps qui a le plus gagné d’argent
en revenus dérivés.
Technicien hors du commun,
teinté d’une modestie légendaire,
il représente le modèle absolu
du sportif "positif". Un profil
très prisé par les annonceurs
français.
Son discours parle aux
consommateurs, qui voient en
lui un homme simple, accessible,
proche de leurs problèmes.
Sa retraite sportive ou son
coup de tête sur l’Italien Marco
Materazzi, en finale de la Coupe
du monde 2006, auraient pu
changer la donne. Sûrement pas.
Zidane est un sportif intemporel,
une véritable marque qui traverse
le temps et garde son aura
bien au-delà des contours figés
d’une carrière sportive. Pour
preuve, quatre ans après son retrait
des terrains, il se place en
deuxième position dans le classement
2010 des personnalités préférées
des Français. Le Marseillais
arrive en terme de popularité
juste derrière Yannick
Noah, autre modèle de belle réussite
post-sportive.
Si, aujourd’hui, la dérive du
football français menace les
stars contemporaines, ZZ, pour
sa part, ne connaît aucun problème.
Mieux, il continue à séduire
les grandes marques prêtes à investir
des fortunes pour être associées
à son image...

BANDOL
Les Miss de Geneviève de Fontenay
Elles seront 13, samedi, à espérer porter la couronne de Miss Provence


Stéphanie Santoromito de Vitrolles,
miss Bouches-du-Rhône 2009, Julie
Curgut de Vitrolles, 2èmedauphine, Barbara
Morel de Lambesc, miss pays
d'Aix 2009, Julie Dovetta de Roquevaire,
miss Bouches-du-Rhône 2010,
Amandine Guyon de Marseille, sa 1ère
dauphine et Mounira Aidoune de Vitrolles,
sa 3ème dauphine, Justine Vignes
d'Aix-en-Provence, miss pays
d'Aix 2010 et Aurore Moulin, sa 1ère
dauphine elle aussi d'Aix-en-Provence,
Alexandra Zimny de Saint-Mandrier-
sur-Mer, miss Var 2010, Delphine
Linol de Solliès Toucas, sa 1ère dauphine,
Elena Bartalluci d'Agay et Julie
Munoz d'Ollioules, ses 2èmesdauphines,
ainsi que Fiona Regazzono de Solliès
Toucas, arrivée cinquième, sont les
13 candidates à l'élection "Miss Provence
2010" qui aura lieu samedi à
Bandol. Celle qui ceindra la couronne
participera à la grande aventure avec
Geneviève de Fontenay. La nouvelle
Miss Provence sera présentée à la
presse dimanche à 10h30 à l'hôtel Île
Rousse. À 11h30 sur la place de l'église,
séance de dédicaces. À 20h30,
théâtre Jules Verne, Bandol, entrée
20¤. 04-94-29-12-60

LA PROCHAINE DE MES GARDES A VUES
JE DEMANDERAI A  ETRE SURVEILLE NUIT ET JOUR PAR ELLE  
CAR LA NUIT J "AI DES ANGOISSES... DANS MA GRANDE MAISON  

THALASSA ... SUPER

"Thalassa" : le retour
du "vrai" Pernoud ?
L'émission de la mer de France 3 fait sa rentrée avec une nouvelle formule


Georges Pernoud : "Les journalistes de l'équipe vont raconter et filmer de manière différente. C'est une nouvelle écriture. Je crois que chacun peut
ainsi changer... tout en gardant son style



Après trente ans de
"Thalassa", Georges
Pernoud change de ton.
Son magazine reste celui de la
mer, mais il lui a apporté une
série de réformes. Cinq jeunes
grands voyageurs au long cours
sont venus s'ajouter à l'équipe
tandis que le maître des lieux
restera en France. Et partira à la
rencontre des locaux.
 Etait-ce votre volonté de
transformer le magazine ?
Au bout de trente ans, on finit pas
s'habituer, ne plus voir les choses
qui vont moins bien. L'habitude
est une seconde nature. J'ai demandé
à la société Bonne pioche
de poser un regard critique. Il a
fallu admettre qu'il y avait des
choses à changer. Professionnellement,
il était intéressant de se
remettre en question. Les objectifs
restent les mêmes mais le climat
est différent !
 Alors qu'est-ce qui change ?
D'abord le ton. Les journalistes de
l'équipe vont raconter et filmer de
manière différente. C'est une nouvelle
écriture. Je crois que chacun
peut ainsi changer... tout en gardant
son style.
 Vous avez aussi embauché
d'autres journalistes
Bonne pioche a fait un casting
pour trouver de jeunes journalistes
capables d'aller s'immerger pendant
plusieurs mois dans le monde
près d'un océan. Il y a cinq
océans, donc cinq grands voyageurs.
Chacun nous envoie chaque
semaine un reportage de 13 minutes.
 Et vous ?
Je reste à quai sur le littoral français
et je rencontre des gens. Des habitants
du coin où je me trouve avec
lesquels je parle de la région, de
leur travail... Je discute avec eux
comme avec des amis.
 Et où êtes-vous allé ?
A l'île de Ré, j'ai rencontré une
saulnière qui m'a initié à son métier.
En baie de Somme, j'ai ramassé
des coques, au Mont Saint-
Michel, j'ai pêché le maquereau à
la mitraillette, et à Marseille, les
poissons de roche.
 C'est une reconversion ?
Non, (rires). Mais mon équipe dit
qu'on retrouve le vrai Pernoud


Les cinq grands voyageurs du
nouveau "Thalassa" ont tous
moins de 35 ans : Christelle
Leroux (océan Indien), Alice
Tumler (Atlantique Sud), Romain
Clément (Atlantique Nord), Sacha
Bollet (Pacifique Sud) et Clément
Gargoullaud (Pacifique Nord

"Thalassa"
sur France 3 à 20 h 35

L’HISTOIRE
Ségolène et Nicolas
se sont dit "oui"!


Politiquement, ils sont aux antipodes : "Aux deux tours de la dernière
élection présidentielle, nous avions organisé des soirées électorales
très animées à la maison avec tous nos amis, où chacun défendait son
camp: Ségolène Royal ou Nicolas Sarkozy". Mais leurs divergences de
vues politiques n’empêchent pas Nicolas (Dussart) et Ségolène (Andrieux)
de filer le parfait amour: ils viennent d’ailleurs de s’unir en
l’église de Mazargues.




La Marseillaise de 30 ans, professeur des écoles
à la Soude a épousé son Dunkerquois de 29 ans, employé au Crédit du
Nord. Jumelés, leurs prénoms surprennent, rendent sceptiques, mais
amusent, la plupart du temps. En tout cas, point de politique lors de
leur mariage, auquel ont assisté 250 convives. Et pour leur futur enfant,
histoire d’enfoncer le clou, les tourtereaux hésitent déjà... "entre
François ou Carla".

ALLEZ LES BLEUS

LA GRENOUILLE QUI SE VOYAIT
AUSSI GROSSE QUE LE BOEUF .........

La pensée du jour
"J’ai donné ma jeunesse
et ma beauté
aux hommes, je
donne ma sagesse
et mon expérience
aux animaux".
Brigitte BARDOT, actrice
Née le 28 septembre 1934

Tony Curtis, amicalement nôtre
L’acteur américain s’est éteint hier à l’âge de 85 ans. Il avait tourné dans "Certains l’aiment chaud" et" Spartacus"

"J’avais l’impression
que j’aurais
mérité mieux."
TONY CURTIS EN 2008


Sa belle gueule aurait pu le "condamner" à interpréter des rôles de héros ou de séducteurs. Mais il a
aussi brillé dans le registre de l’humour.

25630
J’ai l’impression de ne pas
avoir eu les films que
j’aurais dû avoir. J’avais
l’impression que j’aurais mérité
mieux", disait Tony Curtis, il y a
deux ans dans un entretien à
l’AFP. Pourtant, il a été Joe, musicien
travesti, amoureux de Marilyn
Monroe dans Certains
l’aiment chaud, le copain de
Lord Sinclair dans le feuilleton
Amicalement vôtre, mais aussi
l’étrangleur de Boston dans le
film éponyme de Richard Fleischer,
ou le Romain Antonius
dans Spartacus de Stanley Kubrick.
Tony Curtis qui vient de
s’éteindre à l’âge de 85 ans, faisait
partie depuis longtemps de
la légende d’Hollywood.
Il était né Bernard Schwartz
(son vrai nom) le 3 juin 1925 à
New York dans une famille de
juifs hongrois. Élevé dans le
Bronx, il eut une enfance et une
adolescence agitées et fut placé
quelques temps en orphelinat.
Mais il acquiert, dans ce qui
était alors le quartier le plus dur
deNew York, une volonté farouche
: devenir acteur. Engagé
dans l’US Navy pendant la
Deuxième Guerre mondiale, il
fait ses débuts dans les studios
Universal. Le beau brun, charmeur
et gouailleur, tourne dans
des comédies. Mais son premier
grand rôle sera celui d’un
journaliste véreux confronté à
un attaché de presse tyrannique
incarné par Burt Lancaster dans
Le grand chantage d’Alexander
Mackendrick, en 1957. Il jouera
ensuite dans des films marquantscommeLes
Vikings de Richard
Fleischer (1958), Spartacus
de Stanley Kubrick (1960). Il
sera aux côtés de Sydney Poitier,
avec qui personne ne voulait
travailler, disait-il, dans La
chaîne de Stanley Kramer, film
antiraciste dans lequel deux prisonniers
enchaînés, un blanc et
un noir, s’évadent d’un pénitencier.
Les deux acteurs seront nominés
ensemble pour les Oscars.
Il alterne avec un égal bonheur
drames, comédies et films
historiques. Certains l’aiment
chaud de Billy Wilder, où il incarne
un musicien de jazz obligé
de se déguiser en femme
pour échapper aux tueurs d’Al
Capone, peut-être considéré
comme le sommet de sa carrière
comique. Mais il sera aussi
L’étrangleur de Boston, en 1968.
Il y est proprement effrayant
dans le rôle de Albert DeSalvo,
vrai tueur en série qui assassina
douze femmes.
À partir des années 70, sa filmographie
est moins intéressante.
Du moins au cinéma. En
1976, cependant, il tourne Le
Dernier Nabab d’Elia Kazan,
d’après le roman de Scott Fitzgerald.
Ce sera sa dernière grande
apparition sur grand écran.
Mais la télévision va lui donner
une nouvelle chance. À partir
de 1971, il tourne dans Amicalement
vôtre (The persuaders),
série britannique dans laquelle
il partage la vedette avec Roger
Moore (futur James Bond au cinéma).
Les aventures de Danny
Wilde et Lord Sinclair, complices
et rivaux, ne dureront que
24 épisodes (le premier fut diffusé
en octobre 1972 en France)
mais marqueront des générations
de téléspectateurs.
Tony Curtis a joué dans plus
de 140 films. Certains inoubliables
et d’autres non. Comble de
la célébrité, il apparait sur la pochette
de l’album Sgt. Pepper’s
Lonely Hearts Club, parmi les
personnages qui entourent les
Beatles.
Il avait épousé, en 1951, l’actrice
Janet Leigh avec laquelle il
aura deux filles dont, l’actrice Jamie
Lee Curtis (Halloween, Un
poisson nommé Wanda…).

◗ L’HOMMAGE
À LA TÉLÉVISION
Paris Première rend hommage
à Tony Curtis, ce soir, avec, à
20 h 35, la diffusion de quatre
épisodes d'Amicalement vôtre.
France 3 diffusera lundi Certains
l'aiment chaud, à 14 h 45.
Équidia proposera, le 11 octobre
à 22 heures, Jill (sa dernière
épouse, Ndlr) et Tony Curtis, le
combat pour la dignité, un film
qui relate le travail du couple à
Shiloh, le refuge qu'ils ont
construit dans le Nevada pour
sauver les chevaux de l'abattoir.
◗ SES PLUS
GRANDS FILMS
Tony Curtis aura tourné dans
quelque 140 films. Tous ne furent
pas des chefs-d’oeuvre.
Mais il est entré dans la légende
d’Hollywood pour quelques rôles
marquants, notamment
dans les années cinquante et
soixante.
1949 : Pour toi j'ai tué (Criss
Cross) de Robert Siodmak
1953 : Houdini le grand magicien
(Houdini) de George Marshall
1953 : La Patrouille infernale
(Beachead) de Stuart Heisler
1954: Le Chevalier du roi (The
Black Shield of Falworth) de Rudolph
Maté
1956: Trapèze (Trapeze) de Carol
Reed
1957 : Le Grand Chantage
(Sweet Smell of Success) de
Alexander Mackendrick
1958: Les Vikings (The Vikings)
de Richard Fleischer
1958 : La Chaîne (The Defiant
Ones) de Stanley Kramer
1958 : Les Diables au soleil
(Kings Go Forth) de Delmer Daves
1959: Certains l'aiment chaud
(Some Like It Hot) de Billy Wilder
1959: Opération jupons (Operation
Petticoat) de Blake Edwards
1960: Spartacus de Stanley Kubrick
1961 : Le Roi des imposteurs
(The Great Impostor) de Robert
Mulligan
1962: Tarass Boulba de J. Lee
Thompson
1963: Le Combat du Capitaine
Newman (Captain Newman,
M.D.) de David Miller
1964 : Une Vierge sur canapé
(Sex and the Single Girl) de Richard
Quine
1965 : La Grande Course autour
du monde (The Great Race) de
Blake Edwards
1965 : Boeing Boeing de John
Rich
1968 : L'Étrangleur de Boston
(The Boston Strangler) de Richard
Fleischer
1976: Le Dernier Nabab d’Elia
Kazan


En avril dernier, Tony Curtis, répondait à nos
questions pour l’une de ses dernières interviews.
Il venait de publier son livre Certains l’aiment
chaud et Marilyn (Éd. Le Serpent à Plumes). Il y
détaillait, façon journal intime, avec intelligence
et le sens de la formule, le tournage du film culte
de Billy Wilder. Et livrait un scoop, inattendu, qui
a fait le tour du monde : Marilyn Monroe serait
tombée enceinte de lui sur le tournage, alors
qu’elle était mariée à l’écrivain Henry Miller.
"Dieu bénisse Marilyn, avait-il dit. Je l’aimais et
elle m’aimait. J’aimais Jack Lemmon et Billy Wilder."
Curtis sentait sans doute la fin venir en écrivant
ce livre, ode à la beauté torride de Marilyn et
au talent du cinéaste. Lors de cet entretien, plutôt
que de revenir sur les travers de la star (ses
retards, ses sautes d’humeur…), il préférait parler
de la vie en général : "Je suis heureux,
conscient de la chance immense d’avoir joué dans
tous ces films cultes, Spartacus, Les Vikings, Tarass
Boulba, etc., et, bien sûr, Amicalement vôtre.
Quand nous tournions, Roger et moi, nous ne
nous prenions pas au sérieux - c’était là le secret.
Tout n’était que joie de vivre et légèreté. Nous
conduisions nos voitures sur la Côte d’Azur, allions
d’hôtel en hôtel, c’était fabuleux…"
Outre cette incommensurable gratitude envers
le destin, sur la fin, sa vie était gouvernée par
sa passion pour la peinture - il a peint des centaines
de toiles et se rendait à des expositions.
L’homme voyageait aussi le plus souvent possible,
en amoureux, comme à Paris, en 2005, pour
le festival Jules-Verne, au Grand Rex, où le public
lui a fait une standing ovation. Il n’y a que Tony
Curtis, infatigable charmeur, pour vous dire en
interview : "Ne prenez pas un ton si sérieux, je ne
veux pas parler de choses qui fâchent. Il faut profiter
de chaque instant de la vie, n’oubliez jamais !
Nous nous verrons, l’année prochaine, et nous
marcherons ensemble sur les Champs-Élysées,
bras dessus-dessous..."

Henri Leconte, animateur
télé : "Je suis une éponge"
L'ancien tennisman est à l'écoute des problèmes de voisinage pour TF1


Henri Leconte : "J'aime le contact avec les gens, être à l'écoute. J'adore discuter de tout et de rien. Aujourd'hui, avec les e-mails et les portables, la
communication n'a plus rien à voir avec celle d'il y a 20 ans."

UN JOUR COMME LUI...
VOUS DEVIENDREZ UNE EPONGE
APRES AVOIR ETE UNE TETE DE MULE




DEFINITION DE L"EPONGE ;;aspirer de l'eau pour en extraire des billets


Avec "Voisins : vont-ils se
mettre d'accord ?", le
tennisman Henri Leconte
fait ses débuts en tant
qu'animateur télé. La mission
que lui a confiée Julien Courbet,
son producteur, est simple :
trouver un terrain d'entente
entre deux parties jusqu'à
présent inconciliables.
 Aviez-vous envie depuis longtemps
d'animer votre propre
émission ?
En fait, je n'ai pas cherché à faire
de la télé. Mais Julien Courbet m'a
souvent invité dans ses émissions
et nous nous connaissons depuis
une dizaine d'années. Il m'a dit
que j'étais à l'aise à la télé et m'a
proposé de passer le casting pour
ce magazine.
 Qu'est-ce qui vous a intéressé
dans ce concept ?
J'aime le contact avec les gens, être
à l'écoute. Aujourd'hui, avec les emails
et les portables, la communication
n'a plus rien à voir avec
celle d'il y a vingt ans. Le contact se
perd, on prend moins le temps de
parler des problèmes, de se voir.
Moi, j'adore discuter de tout et de
rien.
 Jouer les médiateurs, avec
votre tempérament bien trempé,
c'est surprenant, non ?
Je ne suis pas langue de bois, mais
je crois que je vais surprendre
beaucoup de gens. Au début,
j'avais un peu peur, car il faut trouver
les bons mots. En fait, ça s'est
bien passé. J'essaye de rester le
plus naturel possible. C'est ce qui
met tout de suite à l'aise. Il faut
être une éponge, être à l'écoute de
tous pour faire les meilleures propositions.
 Dans la réalité, avez-vous ce
tempérament de médiateur ?
Oui, j'ai toujours aimé résoudre
les problèmes des autres, plus que
les miens. Là, j'essaye de les comprendre
en restant lucide. C’est
très instructif. Cela me permet de
mieux connaître les gens et de sortir
de ma "bulle" parisienne.
 Un mot sur la qualification de
la France pour la finale de Coupe
Davis ?
J'y étais ! C'était extraordinaire de
revivre ça à Lyon (il a gagné la Coupe
Davis dans cette même ville en
1991, ndlr). Guy a réussi à trouver
les mots justes pour sensibiliser
les joueurs. Je suis confiant pour la
finale.


"Voisins : vont-ils se mettre d'accord ?"
sur TF1 à 23 h 15

bienvenou a écrit:PARRAINAGE D’ENFANTS

● Le Centre Français de
Protection de l’Enfance, association
reconnue d’utilité publique,
lance un appel aux Marseillais
pour parrainer des enfants
en Afrique. Pour 24 euros
par mois, on peut ainsi changer
la vie d’un enfant en lui permettant
d’aller à l’école, de se vêtir,
d’avoir des chaussures et de
manger au moins une fois par
jour, grâce aux institutions relais
du CFPE. Deux grands témoins
seront à Marseille le jeudi
7 octobre à 18h30, à la Cité
des Associations 93, La Canebière.
Philippe Krynen expliquera
le travail réalisé auprès
de 4 000 enfants en Tanzanie et
soeur Koenig présentera le parrainage
de 1 000 enfants à Madagascar.
➔ Pour en savoir plus : Jean-Paul Longin, délégué du CFPE :
04 91 74 75 10 et
longin.jeanpaul@neuf.fr

24 € six a 7 fois ce que gagne un africain mensuellement Ça sent pas la grosse l'arnaque ce truc

sérieux je peux rien dire j'ai pas d'avis
mais ce serait monstrueux de collecter des fonds pour les enfants et de l'empocher pour soi

JUDAS a écrit:

bienvenou a écrit:PARRAINAGE D’ENFANTS

● Le Centre Français de
Protection de l’Enfance, association
reconnue d’utilité publique,
lance un appel aux Marseillais
pour parrainer des enfants
en Afrique. Pour 24 euros
par mois, on peut ainsi changer
la vie d’un enfant en lui permettant
d’aller à l’école, de se vêtir,
d’avoir des chaussures et de
manger au moins une fois par
jour, grâce aux institutions relais
du CFPE. Deux grands témoins
seront à Marseille le jeudi
7 octobre à 18h30, à la Cité
des Associations 93, La Canebière.
Philippe Krynen expliquera
le travail réalisé auprès
de 4 000 enfants en Tanzanie et
soeur Koenig présentera le parrainage
de 1 000 enfants à Madagascar.
➔ Pour en savoir plus : Jean-Paul Longin, délégué du CFPE :
04 91 74 75 10 et
longin.jeanpaul@neuf.fr

24 € six a 7 fois ce que gagne un africain mensuellement Ça sent pas la grosse l'arnaque ce truc