LES DIRIGEANTS

ZOOM SUR Le staff de l’Olympique de Marseille

ILS VEILLENT À TOUT

À Port-du-Crouesty, les Olympiens sont encadrés par un
staff de 19 personnes, dont la mission est de veiller à toutpendant leur préparation.



De gauche à droite : José Anigo(directeur sportif), Rani Berbachi (sécurité), GuyCazadamont (directeur de la sécurité), Alexandre Rosée(responsable de la relation presse-joueurs), Samir Berbachi (sécurité), Jérôme Palestri (kiné), Michel
Chatron (intendance), Olivier Peruzzi (intendance), Louis Vassallucci (coordinateur sportif), Elie Di Russo (responsable équipements), Guy Stephan (entraîneur adjoint), Dr Christophe Baudot (responsable de la cellule
médicale), Jean-Georges Cellier (kiné), Didier Deschamps (entraîneur principal), Nicolas Déhon (entraîneur des gardiens), Alain Soultanian (kiné), Christophe Manouvrier (préparateur physique), Antonio Pintus (préparateur physique),
Christophe Dumandel (cameraman rattaché à l’équipe). Absent sur la photo, le Dr Sylvain Blanchard

L’INFO
Double casquette pour Cédric Dufoix
comme il a pas de cheveux c'est pas mal 2 casquettes surtout en automne avec le mistral


Nommé secrétaire général au début
de l’année 2010, Cédric Dufoix assumera
dorénavant une deuxième
fonction au sein du club : il en reprend
la direction de la communication.
Pendant plusieurs mois, la direction
olympienne a longtemps
prospecté, sondé de nombreuses
personnalités voire des journalistes
parisiens travaillant dans des bi-hebdomadaires
spécialisés, des Marseillais
encore en activité ou sorti de
la profession, des responsables
d’autres clubs encore.




Elle a finalement privilégié la solution
interne, peut-être en raison des
limites financières actuelles du club

3100 places pour l’OM à Chelsea
LIGUE DES CHAMPIONS 2900 billets pour les supporters et 200 en tribune VIP seront alloués au club marseillais



Cédrix Dufoix, Antoine Veyrat, José Anigo et Louis Vassallucci : les choses sérieuses commencent pour les préparatifs
La Ligue des champions,
c’est demain. Ou presque.
Deux matches de championnat,
demain à Bordeaux,
puis le 11 septembre contre Monaco,
et on y est. Heureusement,
l’OM démarre à domicile,
ce qui lui laisse un mois tout
rond pour préparer son déplacement
à Chelsea et plus encore
pour Zilina et Moscou.
Heureusement aussi, contrairement
aux gens de Zilina qui
découvrent la coupe d’Europe
les yeux grands ouverts, l’OM,
et notamment Louis Vassalucci,
est rodé pour tout ce qui est
organisation, contacts avec les
dirigeants des autres clubs,
comme cela s’est fait hier à Monaco;
avec un bémol toutefois,
car cet "atelier" de travail a été
différent des autres années et
beaucoup moins approfondi.
Le Spartak et ses "20
millions" de supporters
"Habituellement, cette réunion
permet aux clubs de s’entendre
sur les équipements, explique
le coordinateur sportif
olympien. Nous définissons ensemble
les couleurs que nous
porterons les uns contre les
autres. Là, cet aspect a été occulté
; c’est l’UEFA qui décidera et
nous enverra ses directives en début
de semaine prochaine.
"Nos couleurs sont, dans l’ordre,
noir, blanc, et bleu ; nous ne
savons donc pas encore dans
quelle tenue nous débuterons face
au Spartak."
L’OM pourrait jouer en noir
("le maillot de cirque" comme
l’a surnommé un international
olympien d’un certain standing)
contre Moscou et à Zilina,
en blanc à Chelsea.
La première étape dans l’organisation,
sera un voyage à
Londres, lundi et mardi, de
Louis Vassalucci, avec Guy Cazadamont
et Christophe Villeneuve,
l’agent de voyage.
L’OM aura 2 900 billets pour
ses supporters, Chelsea appliquant
la règle de la réciprocité.
Pour les VIP, le quota sera limité
à 200 places. "Le club anglais
a déjà vendu l’intégralité de ses
packs Europe pour cette catégorie
de places", précise Louis Vassalucci.
Deuxième étape : la venue
des dirigeants du Spartak Moscou,
mercredi prochain à Marseille.
Étonnamment, ils ont demandé
l’intégralité des billets de la
tribune réservée aux supporters
adverses (qui porte les initiales
MA, ce qui nous plaît
quand elle est vide). "Les dirigeants
russes m’ont dit qu’ils
comptaient 20 millions de supporters
en Europe, alors..."
Zilina : une piste
de 1000m
Le problème sera de réguler
le flot s’ils ne viennent pas tous
de Moscou.
L’OM v o u l a i t envoyer
Jean-Philippe Durand pour
voir le match du Spartak de ce
week-end, mais même avec un
visa difficile à obtenir, il ne sera
pas possible d’arriver à temps à
Grozny, demain à 14h pour le
coup d’envoi. La Tchétchénie,
région pour le moins troublée,
on n’y entre pas tout à fait comme
dans un moulin...
Enfin, restera le cas Zilina,
qui s’annonce compliqué, car
la piste de l’aéroport ne fait que
mille mètres. C’est bien pour
faire atterrir des avions en papier,
mais pas des gros porteurs.
Il faudra donc se poser à
Bratislava (200 km) ou Trnava
(60 km).
À Zilina, il n’y a que deux hôtels,
ce qui limite là aussi le
choix de l’OM.

LIGUE DES CHAMPIONS
Quatre jours pour ôter les maux de tête


Dès demain,
Louis Vassallucci, le coordinateur sportif de l’OM, accompagné
de Guy Cazadamont, directeur de la sécurité (tous les
deux ci-contre en compagnie de Guy Stephan), et Christophe Villeneuve,
le voyagiste de l’équipe, embarqueront pour un voyage de
quatre jours.



Ils commenceront leur périple par Londres afin de régler
les formalités du déplacement à Chelsea pour la deuxième journée
de la Ligue à champions. Aucun souci ne semble se dessiner.
Ils enchaîneront dès mardi par des repérages en Slovaquie, lesquels
sont la cause de plusieurs maux de tête ! Pour s’y rendre, ils se poseront
à Vienne, en Autriche, distante de 280 kilomètres de Zilina, la
ville du nord-ouest slovaque où l’OM évoluera le 3 novembre. Le but
de ce crochet par l’Est de l’Europe est multiple : trouver un hôtel
convenable, mais surtout arrêter un aéroport d’accueil peu éloigné
de Zilina. Les premiers renseignements n’ont pas satisfait l’ensemble
du staff : Bratislava se situe à 203km, Trnva à 158, mais la piste
d’atterrissage n’est pas aux normes. Bratislava en République Tchèque
reste assez éloigné, à 117 kilomètres. En espérant que la rencontre
soit plus simple..

Direction la Russie pour l'encadrement de l'OM lundi 04 octobre 2010 à 07H33


En vue de planifier le déplacement de l'OM à Moscou le 23 novembre, pour la 5e journée (groupe F) de la Ligue des champions, le directeur de la sécurité et de l'organisation Guy Cazadamont et le coordinateur sportif Louis Vassallucci seront à partir d'aujourd'hui dans la capitale russe.

Ils seront accompagnés de Christophe Villeneuve, le voyagiste du club. Durant quarante-huit heures, leur objectif sera de se mettre d'accord avec leurs homologues du Spartak en vue de faciliter les conditions d'accueil de l'équipe, mais aussi des supporters. Le nombre de places y sera ici déterminé

nous les avons rencontré au pied de l'avion à marignane

apparememnt je me suis trompé de dossier en realité
pour la photo c'est

FAITES GAFFE LES MECS
EN GUISE DE SECURITE ..UNE CEINTURE DE CHASTETE C PLUS SUR
LA CONFIANCE C BIEN
LE CONTROLE C MIEUX
ME DISAIT UN DE MES TRESORIERS D UNE ASSOCIATION


Sana et Guy se sont dit oui. Le directeur de la sécurité et de
l’organisation de l’OM, Guy Cazadamont, a épousé hier Sana, à l’église
de La Barben. La Provence adresse toutes ses félicitations au jeune
couple, qui nage dans un bonheur... olympien

ON CHERCHE LES RESPONSABLES


LES PHRASES
"L’hôtel que nous avons
pris à Paris n’a pas été
un choix judicieux."
"Tout ce qui est fait
dans l’urgence n’est pas
propice à la concentration."
"Être professionnel et
compétiteur, c’est faire
abstraction d’un contexte
particulier."
DIDIER DESCHAMPS

!"

Deschamps-Anigo : peuvent-ils continuer comme ça ?1945 contributions Publié le lundi 24 octobre 2011 à 07H03

La cohabitation entre les deux hommes peut difficilement durer dans le climat actuel.


Pour Didier Deschamps "chacun sait ce qui se passe."

Photo Cyril Sollier


Cette fois, au moins, c'est clair. Depuis des années, on nous servait, à l'OM, la version d'un club sans clan ni courant ; un monde idéal où l'on se tapait sur l'épaule dans un élan de fraternité sincère. Nous tenons à vous rassurer tout de suite : nous n'y avions jamais cru. Aussi, la première rafale de mots signée Deschamps vendredi dernier (1), suivie du tir nourri de José Anigo le lendemain (2), après le succès obtenu devant l'AC Ajaccio (2-0), ne nous ont étonnés qu'à moitié. Après tant d'années de désamour masqué, les deux hommes en question n'en étaient plus à un jour près et ils auraient très bien pu continuer à vivre leurs tensions à l'abri des oreilles extérieures quelque temps encore.

Mais chacun a donc fini par sortir de ses gonds. Le décor en trompe-l'oeil est tombé. Repoussée une première fois (à l'été 2006), la prise de fonctions de Deschamps (trois ans plus tard) n'a jamais fait franchement l'unanimité au club en raison de certains principes de management (reconfiguration du staff, méthodes jugées trop directives, soutiens extérieurs...). Avec les piteux résultats en championnat, sa situation est carrément devenue critique et certains leaders d'associations de supporters ne se sont pas gênés pour la rendre encore plus éprouvante après la défaite face à Arsenal (0-1), au Vélodrome, la semaine dernière.

La tête de Deschamps a ainsi été réclamée dans les virages. Une revendication brutale prolongée par un silence général et pesant lors de la venue d'Ajaccio, samedi. Très fragilisé, Deschamps a pu voir dans cette ambiance délétère l'intervention d'Anigo, un dirigeant en charge notamment des relations avec les groupes de supporters. L'entraîneur olympien l'a laissé sous-entendre, vendredi, en conférence de presse (1) et le directeur sportif de l'OM s'est fermement élevé contre ce type d'allusions, samedi (3).

La veille au soir, à l'issue du point-presse d'avant-match, tous deux s'étaient franchement expliqués à La Commanderie. La sortie médiatique d'Anigo, le lendemain, fut en quelque sorte le condensé des propos adressés à Deschamps en tête-à-tête. Vincent Labrune va devoir intervenir sans attendre dans un conflit qui aura inévitablement des répercussions au sein du club. Car aujourd'hui, la question est de savoir si Anigo et Deschamps peuvent cohabiter ou faire semblant de continuer à oeuvrer communément. À notre sens, la réponse est non.

Retrouvez l'intégralité de l'article aujourd'hui dans La Provence des Sports

(1) "Chacun sait ce qui se passe", avait-il répondu à la question : "Au club, est-ce que tout le monde tire dans le même sens ?"

(2) "Je trouve idiot de distiller des petites phrases. Cela relève de l'irresponsabilité et de la connerie."

(3) "Au cours de toutes les réunions de supporters, et en présence du président, je m'efforce de calmer le jeu."

Christophe Manouvrier,
très apprécié des joueurs,
retrouve son poste de préparateur
physique auprès des pros.
Une place qu’il occupait notamment
en 2010, l’année du titre
de champion de France. Laurent
Spinosi - absent hier - est
également de retour dans le
staff de l’équipe première pour
coacher les gardiens. L’ex-entraîneur
de la réserve, Michel
Flos, réintègre le club au sein
de la cellule de recrutement.
D’autres remaniements dans la
maisonolympienne sont également
attendus aucoursdes prochains
jours

NANAR LE ROI DE (LA ) PROVENCE

OM: "Labrune avait un peu la pétoche", selon Dassier

Ancien président de l’Olympique de Marseille entre 2009 et 2011, Jean-Claude Dassier revient sur son expérience et ses relations conflictuelles avec Vincent Labrune, actuel président de l’OM, dans son livre Connivences, paru aux éditions Michel-Laffont. Invité sur France Info, le journaliste et homme de télévision a précisé son propos. "C’est d’abord un malentendu. (…) Il me dit : « Il faut y aller, il faut y aller, tu vas être un formidable président… » Je pense que c’est parce qu’il avait un peu la pétoche, il faut être franc, après avoir asphyxié Pape Diouf d’aller lui-même faire un tour à Marseille avec les responsabilités que ça implique. Il a eu la bonne idée de m’y envoyer, j’ai peut-être eu tort d’accepter, mais franchement, je ne regrette rien. (…) Ça s’est tellement bien passé que c’est devenu impardonnable. Les gens se sont dit : « Il arrive, les mains dans les poches, il n’a aucun a priori, aucune légitimité, il fait quatre titres en deux ans. » Bon, ben, c’est impardonnable. Ça a suscité quelques réactions, c’est dommage. On était copains avec Labrune et ce n’est pas terminé : ils ne m’ont pas payé ma dernière année de contrat et il y a une procédure d’arbitrage. Tout ça n’est pas convenable. (…) Quand vous avez un contrat, vous le respectez. Pour ne pas le respecter, on a inventé que je ne m’entendais pas avec Deschamps. On a vu la suite, il est parti avec pertes et fracas trois mois après mon départ."

Transferts à l'OM : la police enquête sur la police

Marseille / Publié le Mardi 22/10/2013 à 17H10





Des investigations "techniques" ont eu lieu aujourd'hui dans les locaux de la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) de Marseille, dans le cadre d'une information judiciaire pour "violation du secret de l'instruction" concernant une enquête sur des extorsions de fonds en marge de transferts à l'OM. Le juge Christophe Perruaux et des policiers de la "police des polices" se sont rendus dans les locaux de la brigade financière pour procéder à divers repérages et investigations.