DISTRICT DE PROVENCE

LaFootGolfCuparriveàMarseille
Le Golf de la Salette à la Valentine (11e arrondissement
deMarseille) s’apprête à recevoir une compétition
pour le moins particulière demain : la FootGolf
Cup. Le principe ? Réussir des parcours de
golf, mais en tirant dans un ballon de football.
Original… Avec des parrains de marque comme
Sylvain Wiltord, Vincent Guérin ou encore
Jean-Pierre Papin, la compétition organisée par
l’Association Française de FootGolf a commencé
depuisdébutmars, avec une épreuve en région parisienne.
Des étapes sont encore prévues à Lyon,
Nice, St-Etienne, Tours ou encore Lille, pour arriver
à la grande finale nationale de Paris au mois
d’octobre. À noter que la compétition est organisée
en deux parties, une individuelle et une par
équipes, et les gagnants sont automatiquement
qualifiés pour la grande finale nationale.

ThomasFernandez invité
auDistrictde Provence
La prochaine réunion de l’amicale des Éducateurs
aura lieu lundi 7 avril à partir de 18 h, au siège du
District de Provence.
À cette occasion, Thomas Fernandez, le directeur
du centre de formation de l’OM, effectuera un exposé
sur la formationdu jeune footballeur enFrance
et en Espagne.

Journéenationaledesdébutants
Comme chaque année, le District de Provence organise
la JournéeNationale des Débutants. La FFF
a fixé au week-end du 14 et 15 juin cette journée
fédérale, événement réservé aux jeunes joueurs licenciés,
des U6 aux U9

FOOTGOLFCUP
Aujourd’hui
augolfde La Salette
Réussir un parcours de golf, en
tirant dans un ballon de football!
Voici le concept pour le
moins original de la FootGolf
Cup qui débarque aujourd’hui
au golf de La Salette, dans le 11e
arrondissement. Avec des parrains
de marque comme
Jean-Pierre Papin, Sylvain Wiltord
ou Vincent Guérin, cette
compétition propose une
épreuve individuelle et un
concours par équipes, avant la
grande finale nationale en octobre
à Paris.

Karim ZIANI (AA Vot Service, première division) : "Un grand projet pour le quartier..."
Malgré la présence de nombreux clubs comme le GS Consolat, la JSA Saint Antoine et tant d’autres, les quartiers Nord de Marseille ne sont pas représentés par un club d’élite, à la fois chez les jeunes et les séniors. Devenir ce grand club est le projet de la future AS Busserine, qui sera présidée par Karim Ziani, l’une des chevilles ouvrières de l’actuel AA Vot Service...


AA Vot Service est au coeur d'un superbe projet


"Les statuts sont prêts, le dossier a été validé par le district de Provence et se trouve en attente de décision à la Fédération Française de Football. Dès le début de la prochaine saison, ce projet d’envergure aura pour but de construire un club digne des compétences qui existent dans nos quartiers, un club référent. Aujourd’hui, nos meilleurs footballeurs sont obligés de traverser la ville pour trouver un club à la hauteur de leur potentiel." explique Karim Ziani, futur président d’un club qui sera le fruit d’une fusion entre le FC Busserine, AA Vot Service et l’ASC Trois Cités.
Plusieurs axes dans ce projet. Un volet social tout d’abord, comme l’explique Karim Ziani. "Les quartiers Nord souffrent d’une mauvaise image, du manque de repères de beaucoup de nos jeunes, d’une forme d’abandon qui a trop duré. Notre volonté est de donner de meilleures chances aux jeunes du quartier, de les accompagner en termes de comportement, d’implication à l’école, d’hygiène de vie."

Un projet de fusion appuyé par le district...


Sujet complexe mais Ô combien vital, dans une république qui prône l’égalité, mais qui ne parvient pas à trouver de réponses éducatives.
Pour porter ce type de projet, il est nécessaire de développer des structures et des infrastructures de qualité. "Pour le projet de fusion, nous avons été accompagnés de façon remarquable par le district de Provence et son président, Michel Gau. Nous avons reçu conseils et soutien, de façon à réussir. Un grand merci au district, tout comme à tous les bénévoles et partenaires qui nous font exister. Du côté des infrastructures, le stade de La Busserine est en pleine réfection et permettra au futur club de recevoir ses joueurs sur un synthétique flambant neuf. Nous solliciterons également des créneaux à Fontainieu et à Weygand." complète Karim Ziani.
Reste le volet sportif. Les séniors d’AA Vot Service sont aujourd’hui premiers en première division, après avoir récemment battu la belle équipe de l’ES La Ciotat (3-0), dans un duel pour la première place.
Les Marseillais pourraient donc évoluer en PHB dès la saison prochaine, tandis que la réserve a encore des chances d’accéder à la première division.

"Devenir une plaque tournante de la vie sportive et sociale…"
Le groupe sénior, dirigé par Ali, et chapeauté par Bouba Abdallah, se porte donc très bien. A compter de la saison prochaine, c’est un joueur actuel d’AA Vot Service qui officiera sur le banc.
Bien connu dans le foot provençal, Wendjelé Banack, plus connu sous le prénom d’Aldo, apportera son vécu de la Ligue 2 (ES Troyes) et d’un long parcours avec l’US Endoume. Ouendjilé Banack, dont le prénom signifie "mort sur la route" en Camerounais, est donc bien vivant sur le terrain, pour le football et la future AS Busserine.
Les jeunes ne seront pas en reste bien sûr, avec la création d’une école de foot. "Nous souhaitons devenir une plaque tournante de la vie sportive et sociale de nos quartiers." conclut Karim Ziani.

Emmanuel Joly

AA Vot Service
Campagne Picon bat. F2 - 218 chemin de Sainte Marthe
13014 Marseille
Courriel : fcbusserine@gmail.com


Classement 1ère division (Photo : FFF)

THOMAS FERNANDEZ EN PROVENCE

Directeur du centre de formation et entraîneur des U19 DH de l'Olympique de Marseille, Thomas Fernandez sera l'invité de l'Amicale des Educateurs de Provence, le lundi 7 avril (18h00) au District de Provence (74 rue Raymond Teisseire, Marseille 8ème). Le débat portera sur la formation du jeune footballeur en France et en Espagne, en particulier à l'Athletic Bilbao.

VACANCES, LES STADES FERMENT
Voici la liste transmise par le District de Provence des fermetures des terrains durant la période des vacances de Pâques.
22 terrains fermés
Stade ANTOINE TERRADES du 21 AVRIL au 04 MAI 2014
Stade GUSTAVE GANAY du 21 AVRIL au 04 MAI 2014
Stade St TRONC DIDIER *1* du 21 AVRIL au 04 MAI 2014
Stade St TRONC DIDIER *2* du 21 AVRIL au 04 MAI 2014
Stade CLAUDE PRAYET*1* les 26 et 27 AVRIL et les 03 et 04 MAI 2014
Stade CLAUDE PRAYET*1* les 26 et 27 AVRIL et les 03 et 04 MAI 2014
Stade BOIS LUZY les 03 MAI et 04 MAI 2014
Stade JEAN DATO du 21 AVRIL au 04 MAI 2014
Stade DE LA FOURRAGERE les 26 et 27 AVRIL et les 03 et 04 MAI 2014
Stade EGISTE MORINI du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade MALPASSE du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade MALLET du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade FELIX WEYGAND*1* du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade FELIX WEYGAND*2* du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade AMEDEE MAGNAN du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade HENRI LUCCHESI du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade CANET FLORIDE du 22 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade OASIS du 21 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade HERMITAGE du 21 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade JOSEPH BOYADJIAN du 21 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade LA CABUCELLE(SPAT) du 21 AVRIL au 28 AVRIL 2014
Stade RENAISSANCE du 21 AVRIL au 28 AVRIL 2014

ThomasFernandez invité
auDistrictde Provence lundi
La prochaine réunion de l’amicale des Éducateurs
aura lieu lundi à partir de 18 h, au siège du District
de Provence.
À cette occasion, Thomas Fernandez, le directeur
du centre de formation de l’OM, effectuera un exposé
sur la formationdu jeune footballeur enFrance
et en Espagne.

Journéenationaledesdébutants
Comme chaque année, le District de Provence organise
la JournéeNationale des Débutants. La FFF
a fixé au week-end du 14 et 15 juin cette journée
fédérale, événement réservé aux jeunes joueurs licenciés,
des U6 aux U9

RECRUTEMENTS
ETDÉTECTIONS
JSPennes-Mirabeau
-U19: le mardi à 18h45 stade Basile-
Boli.
-U17: le mardi à 18h45 stade Basile-
Boli.
-U15: le mercredi à 18h45, stade
Fernand-Sumeire.
- U13 : le mardi à 18h, stade
Jean-Giono.
-U11: le lundi à 18h, stade Fernand-
Sumeire.
Smuc
Le club a ouvert une école de
football pour les filles
de 6 à 13 ans. Entraînements au
stade Jean-Bouin ou au stade
Flotte les mercredis de 14h à
16h.
➔ Renseignements :
Sandra006 82 16 00 04.
ASTimone
Pour la saison prochaine, le club
recrute des joueurs dans toutes
les catégories d’U11 à U19 ainsi
que des dirigeants éducateurs.
➔ Renseignements :
004 91 22 26 74 (bureau

Le club de football plus jeune que jamais


Puyloubier / Publié le Lundi 07/04/2014 à 05H17



Le président Barthélemy Iasio et Bastien Martinez.
/





Le plus ancien club de Puyloubier : le Stade Saint-Serrois, est plus jeune que jamais malgré ses 93 ans. Élu président depuis le 1er octobre 2013, Barthélémy Iasio est heureux d'annoncer que "100 licenciés sont inscrits au club, dont, bientôt, une dizaine d'enfants à l'école de foot, 60 jeunes et l'équipe de séniors/vétérans composés de 40 joueurs. 100% puyloubiérens !". Consécration suprême, toutes les trois catégories du SSSP participeront l'année prochaine au championnat du district de Provence. Un autre bonheur pour le président est la présence au club, de Bastien Martinez, un enfant du village, âgé aujourd'hui de 23 ans, qui a été sélectionné trois fois en équipe de France dans la catégorie "mal entendant". Il assure au sein du club l'entraînement des gardiens de but. Avec Bastien, sept autres entraîneurs font profiter les jeunes de leur expérience. Ce sont : Sébastien Leccia, David Mangin, Jean-Jacques Porte, Loïc Régnier, Sylvain Durigneux, Mathias Gautier et Romain Gillibert. Barthélémy Iasio tient à remercier la municipalité qui cette année a pourvu le club d'un nouveau lieu d'accueil pour les joueurs, de tribunes et d'un nouveau local technique ainsi que d'un système d'arrosage de la pelouse. Il associe au dynamisme du club, tous les parents et leur disponibilité.
Attention, tous les enfants désirant rejoindre le club peuvent le faire en téléphonant au 06 71 23 06 30 Agenda. Juin : tournoi international à Lausanne. Du 13 au 15 juin : matches amicaux à Barcelone, pour les seniors et les vétérans. Des stages d'été (dates non fixées à ce jour). Septembre : anniversaire du SSSP.

Lundi 7 avril 2014 à 18h00:
Conférence de presse pour le lancement de la 5ème édition de la Champion's Cup au Palais des Congrés (Rond Point du Prado) pour nos U 11 coachés par Laurent et Karim, rdv à 17h30 au métro Dromel.

FOOTBALL
La Champion's Cup s'agrandit


Marseille / Publié le Mardi 08/04/2014 à 05H05

Pour cette 5e édition, 128 équipes, dont 6 venues du Var et de la Côte d'Azur, seront au rendez-vous les 26 et 27 avril, puis le 10 mai au stade Vélodrome pour la finale






Gignac, Gignac, Gignac, Gignac..." Quand il a fait son entrée sur la scène du Palais des Congrès de Marseille, hier soir, André-Pierre Gignac a été joyeusement accueilli par les jeunes footballeurs provençaux venus assister à la conférence de presse de lancement de la 5e édition de la Champion's Cup.
Parrain de choix et de prestige du plus grand rassemblement de joueurs U11 de la région, "APG" a lancé comme il se doit ce qui est devenu un événement incontournable de la fin de saison de foot amateur.
"Moi, quand j'étais petit, j'ai eu la chance de fouler la pelouse du stade Turcan, à Martigues. Vous, vous allez avoir la chance de jouer sur celle du Vélodrome, a déclaré l'attaquant olympien. Je suis très content d'être votre parrain. J'espère que l'on verra beaucoup de buts." Et il n'est pas le seul. Car pour cette 5e édition, Jean-Christophe Marquet, l'organisateur, a tenu à mettre en place un partenariat avec l'association "Maryse pour la vie". Ainsi, pour chaque but marqué lors de la Champion's Cup, 5€ seront reversés à cette structure qui oeuvre en faveur du don d'organe. Mais ce ne sera pas la seule nouveauté. Contrairement aux quatre premières éditions, où 72 clubs étaient représentés, l'édition 2014 verra s'affronter 128 équipes, dont 6 venues des Districts du Var et de la Côte d'Azur. Preuve que la Champion's Cup est désormais une référence dans la région.
En présence des élus et des partenaires, Jean-Christophe Marquet a rappelé hier les valeurs essentielles qui ont fait la réputation de ce magnifique tournoi : "le respect et le fair-play avant tout".
Ce qui n'enlèvera rien à l'intérêt sportif. Car comme cela avait été le cas l'année dernière, le vainqueur de la Champion's Cup, le 10 mai, aura le privilège de représenter la France pour la finale nationale de la Danone Nations Cup, le lendemain, toujours au Vélodrome. Avec peut-être, au bout du compte, une finale mondiale à disputer au... Brésil ! Mais avant cela, il faudra évidemment passer par les phases qualificatives. Rendez-vous donc les 26 et 27 avril, au stade de La Pomme et Alexis-Caujolle.

Une place pour le Brésil45
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«C’est un rêve absolu pour les enfants, nous a expliqué Christophe Dugarry, l’un des parrains de cet évènement. Jouer au Vélodrome face à de grosses équipes et pourquoi pas partir au Brésil, juste après la Coupe du monde, c’est quelque chose d’inoubliable pour eux. Au bout, il y a un titre qui équivaut à un titre de champion du monde dans sa catégorie. Quand j’étais en minimes, il y avait l’équivalent qui existait, je l’ai joué, avec mon petit club à côté de Bordeaux, Lormont. On s’était qualifiés, on était montés à Paris. Cela rappelle beaucoup de bons souvenirs.» La saison passée, c’est Lens qui avait été sacré à Wembley.

Arbitres
Jeudi 10 Avril 2014
"LA COMMISSION NE NOUS AVANTAGE PAS"
Dans le cadre de notre dossier "Arbitres", Pierre Martienq (D1, PHA) nous éclaire un peu plus sur ce qui peut se passer en Commission de Discipline : un juge doit prendre en compte le rapport de la police. C'est idem pour nous. Si un rapport est bien écrit et que l'arbitre a une certaine crédibilité, la commission est censée le croire. Si on ne fait pas confiance à l'arbitre, comment fait on pour juger les affaires? On va croire les clubs? Certains, une défaite leur fait dire que l'arbitre a été mauvais. La Commission est dépendante dans ses décisions. Ils ne nous avantagent pas et il arrive qu'ils nous déjugent.

Arbitres
Vendredi 11 Avril 2014
ILS ONT LA PAROLE !
Cette semaine on a a décidé de donner la parole à l'homme en noir. Pour ce dossier, nous avons fait appel à trois arbitres du District, Mohamed Arabtani, Pierre Martinenq et Mickaël Torregrossa. Modeste, ouvert, franc, les trois hommes nous partagent leur point de vue sur leur profession. Entretien. 
La formation
Avant de pouvoir aller plus loin, il est important de partir de la base, c'est-à-dire la formation des arbitres. Un point qui est expliqué par Pierre Martinenq, arbitre de PHA. 
Lorsqu'on souhaite devenir arbitre, on s'inscrit à une formation. Il y a plusieurs sessions, au bout dun certain nombre, il y a un examen écrit. Il faut avoir la moyenne pour pouvoir continuer. Après ça, un arbitre est contrôlé deux ou trois fois par un examinateur et si il a des notes corrects, il aura un statut de "stagiaire" avant de devenir plus tard un "titulaire". Au départ, on commence à arbitrer dans les petites catégories. On est seul, ce n'est pas facile. Et petit à petit on monte dans la hiérarchie, jusqu'à finir par arbitrer à trois. Depuis 10 ans, une catégorisation des arbitres existe au sein du District de Provence. Il y a quatre niveau, D1 se sont les arbitres de PHA, D2 ceux de PHB, D3 la Première Division et D4, les arbitres de touches en Première Disivion. 
Le niveau
C'est un point très largément contesté par les entraîneurs ou les joueurs. Le niveau des arbitres est mis en avant tous les week-ends ou presque. Pour Mickaël Torregrossa, la différence entre un arbitre de PHA et de Première Division s'explique dans sa formation. 
"Un fossé entre les arbitres de PHA et de PHB"
Globalement, les arbitres du district ont un bon niveaux et cela va nettement en s'améliorant avec plus de contrôle des arbitres avec donc plus de conseils. Mais ce qu'il faut aussi savoir c'est que les arbitres qui sont pour la plus part D3 ou D4 ont commencé l'arbitrage en sénior, du coup ils n'ont pas eu réellement de suivi ce qui fait qu'ils arbitrent comme ils savent faire et sans autres "formations" ou conseils que la formation de départ quand ils ont obtenu leur licence d'arbitre. Après, il y a le niveau et la mentalité du niveau ou l'arbitre évolue. Et tous les niveaux ne sont pas simple à arbitrer, du fait soit d'un niveau de jeu assez bas soit d'une mentalité qui n'a pas sa place sur un terrain de foot.
Un avis que rejoint Mohamed Arabtani tout en mettant en avant la qualité des arbitres de PHA grâce à la formation.
Maintenant, la formation est plus difficile, avec des contrôles, des testes physiques. Ils ont gagné en qualité en PHA. Mais à l'exception de trois ou quatre arbitres aucun arbitre de D2 n'est capable d'officier en PHA. Il y a tout de même un fossé qui est remarqué par les clubs. Quand un arbitre de PHA descend faire une pige en PHB, les clubs s'aperçoivent tout de suite de la différence. Il faut tout de même noter que nous sommes le seul District qui gère sa PHA. Les autres District se sont des arbitres de Ligue. 
La nouvelle génération
Petit à petit une nouvelle génération prend place sur les terrains. Une génération qui manque de communication selon Mohamed Arabtani. 
"Une génération talentueuse mais avec peu de relationnel"
On passe petit à petit à des arbitres jeunes, talentueux mais avec peu de relationnel. Ils sont surs de leur qualité, de leur talent. Mais ils n'ont pas la mentalité pour avoir un certain affect vis-à-vis des clubs. C'est une génération aussi où certains n'ont pas joué au football du coup ils n'ont pas assez de recul sur le milieu. Mais les clubs doivent bien comprendre une chose, petit à petit, il ne va y avoir que ce genre d'arbitre. 
Mickaël Torregrossa se veut beaucoup plus rassurant à ce sujet. 
Depuis peu, une nouvelle politique est mise en place pour intégrer les jeunes arbitres "prometteur" en senior qui a court ou moyen terme seront la nouvelle élite de l'arbitrage provençal. Cela permet une autre vision de l'arbitrage et aussi de renforcer la compétences des arbitres provençaux. 
Les toutes nouvelles générations d'arbitre sont mieux suivis qu'avant. Du coup la qualité de l'arbitrage va en augmentant. Sans pour autant dénigrer les anciens qui ont un passé dans l'arbitrage et donc un très bon niveau.  
Abus de pouvoir ?
C'est un reproche que qu'un dirigeant ou un joueur peut faire à un arbitre. Que ça soit sur le terrain ou devant la Commission cette question se pose. Pierre Martinenq y répond. 
"Il faut respecter les arbitres, on n'a aucune raison d'être sévère"
Sur le terrain je privilégie la communication, il ne faut pas être fermé au dialogue. A partir du moment où on est courtoie avec moi, c'est normal que je le sois. Se tromper, ça arrive à tout le monde. Il faut respecter les arbitres, on n'a aucune raison d'être sévère pour rien. Chacun doit mettre de l'eau dans son vin sinon les années à venir vont être difficiles. Concernant la Commission, elle n'avantage pas les arbitres. Un juge doit prendre en compte le rapport de la police. C'est idem pour nous. Si un rapport est bien écrit et que l'arbitre a une certaine crédibilité, la commission est censée le croire. Si on ne fait pas confiance à l'arbitre, comment fait on pour juger les affaires? On va croire les clubs? Certains, une défaite leur fait dire que l'arbitre a été mauvais. La Commission est indépendante dans ses décisions. Ils ne nous avantagent pas et il arrive qu'ils nous déjugent quand les rapports fournis ne reflètent pas les faits réels ou ne conviennent pas aux pièces fournies au dossier d'instruction. 
Pour Mickaël Torregrossa, l'abus de pouvoir est parfois inconsient, mais il admet qu'il peut exister. 
On a parfois tendance à en abuser sans s'en rendre compte, et cela se voit surtout chez les jeunes arbitres à qui on confie un pouvoir sans donner les clés de celui-ci. Je pense que c'est dû à un mauvais suivi chez les jeunes arbitres qui apprennent seul à gérer des situations délicates et/ou des comportements d'entraineurs qui ne recherchent uniquement que le résultat et donc à gagner des matches aux détriments des aspects humains et éducatifs. Certains éducateurs jouent leur rôle d'éducateur à merveille, que se soit d'un point de vue de leur comportement auprès de leurs joueurs et aussi auprès des arbitres, ils n'hésitent pas à conseiller les jeunes arbitres à gérer certaines situations dans le fait de faire progresser l'arbitre dans son arbitrage; malheureusement certains aussi ne sont là que pour assouvir leur soif de victoire et sont donc prêt à dénigrer l'arbitre de par leur comportement. Par exemple, certains entraineur donnent raison à leurs joueurs quand ils insultent un arbitre ou tout simplement ils montrent le mauvaise exemple en insultant à leur tour l'arbitre. Et c'est avec des personnes comme ça que l'arbitre abuse de son pouvoir.
Plus qu'un métier, une passion
Le mot de la fin pour Mickaël Torregrossa, qui rappelle que l'arbitre est aussi là pour prendre un maximum de plaisir sur le terrain : nous exerçons tout simplement notre passion de la meilleure des façons possibles.  Nous jouons parfaitement notre rôle en étant le plus impartial possible et ce même si certains joueurs ou éducateurs prétendent le contraire. Nous venons arbitrer le week-end parce que nous aimons ça et non pas pour avantager une équipe ou un joueur. Nous restons le plus juste et le plus neutre possible dans nos décisions.

CONSTAT
Ah, ces petits arrangements de fin de saison...


Marseille / Publié le Samedi 12/04/2014 à 05H54

À l'approche du sprint final, certaines rencontres sont jouées d'avance






À partir de maintenant, c'est celui qui aura le meilleur carnet d'adresses qui s'en sortira !" Cette phrase, entendue à l'issue d'une rencontre de football amateur le week-end dernier, illustre parfaitement l'un des principaux fléaux du monde du ballon rond : les matches arrangés. Ou truqués, c'est selon. Mais "arrangés" apparaît comme le terme le plus approprié tant le mode de fonctionnement ressemble à des petits arrangements entre amis. Ainsi, il n'est pas rare, au fur et à mesure que la fin de saison approche, de voir deux clubs se mettre d'accord sur le vainqueur de telle ou telle rencontre dans telle catégorie, et inversement dans un match opposant les deux mêmes clubs, mais dans une catégorie différente.
"On se rend service mutuellement, reconnaît un président de club. C'est vrai que ce n'est pas génial au niveau de la morale ou de l'éthique, mais ça fait partie du jeu... Puis, si on ne le fait pas, les autres le feront et on sera marron (sic)". Comprendre, on sera le dindon de la farce. Celui qui n'accédera pas à l'étage supérieur ou celui qui sera rétrogradé à l'échelon inférieur.
"C'est une honte !"
Alors, quels sont les procédés utilisés ? Et, y a-t-il une manière d'y remédier efficacement ? "C'est très difficile de lutter contre ce mal qui gangrène le football à tous les niveaux, répond Michel Gau, le président du District de Provence. Parfois, les clubs se mettent même d'accord lors des matches aller !"
De quelle façon ? Le mode opératoire diffère selon les catégories. Chez les jeunes, il s'agit le plus souvent d'un "arrangement" entre les présidents, souvent amis de longues dates, qui préviennent ensuite leurs éducateurs - si tant est que l'on puisse les appeler ainsi à partir du moment où ils acceptent ce genre de pratique. À eux ensuite de faire en sorte que le résultat du match soit le "bon".
Et là, tout est permis : un attaquant qui joue gardien de but, certains joueurs de l'équipe "2" ou "3" qui se retrouvent subitement en équipe "1", ou inversement évidemment quand il s'agit de renforcer une équipe inférieure afin, par exemple, de la faire monter. "C'est juste scandaleux, regrette un parent. Demander à des minots de perdre volontairement ou faire en sorte qu'ils perdent en diminuant l'équipe... C'est une honte ! Quel exemple donné aux enfants !"
Que dire alors des pratiques utilisées chez les seniors."Une fois, raconte un joueur, le président de l'équipe adverse est venu nous promettre les primes réservées à ses joueurs si on les laissait gagner... Forcément, on a levé le pied, puisqu'elles étaient plus importantes que nos primes normales."
Sauf que certains joueurs, pas toujours au courant ou tout simplement contre ce système, refusent de "lâcher" une rencontre, ce qui occasionne des scènes plutôt cocasses en plein milieu d'un match, avec des blessés imaginaires, des gardiens héroïques qui se font "pourrir" par toute l'équipe ou encore des défenseurs qui s'arrêtent en pleine course avec des phrases du genre "allez, c'est bon, je ne vais pas courir pour rien..." C'est vrai. Tout comme ça ne sert à rien de "se donner à 100 %", selon la formule consacrée, durant toute la saison, si c'est pour finalement ne pas le faire jusqu'au bout.
Nul doute que l'exercice 2013/2014 n'échappera pas à la règle. Sorte de chronique d'une fin de saison annoncée...

DISTRICTDEPROVENCE
Tirageausortde lacoupede Provence
Le tirage au sort des quarts et des demi-finales de
la coupe de Provence auront lieu le mardi 22 avril,
à 18h au siège de l’instance départementale.
Tiragesausort
des coupes
deJeunes
Les tirages au sort des
coupes de Jeunes
(Pons, Pollack, Crémieux,
Garau, Laggiard)
auront lieu le
jeudi 24 avril à 14h30
(Garau et Laggiard) et
le mardi 29 avril à
14h30 (Pons, Pollack,
Crémieux).

DOSSIER
Agents, un univers impitoyable


Marseille / Publié le Lundi 14/04/2014 à 05H35

Alors qu'une école va bientôt ouvrir à Marseille, plongée dans le monde des impresarios de footballeurs






Mamoudou Konate est un passionné de ballon rond et a toujours vécu grâce au football. Formé au Havre, il n'a pas réussi à embrasser une carrière de joueur professionnel, quand bien même il a brièvement côtoyé un certain Franck Ribéry lorsqu'il évoluait à Boulogne-sur-Mer, en National. Descendu dans le sud de la France, il vit depuis dix ans à Toulon et joue désormais "pour le plaisir" au Lavandou, pensionnaire de PHA dans le District du Var. À 32 ans, Mamoudou Konate s'est fixé un nouvel objectif : devenir agent de joueur de football.
"C'est un métier qui m'attire car il pourrait me permettre de rester dans le milieu du foot, explique-t-il. En fait, j'aimerais offrir aux jeunes joueurs ce que je n'ai pas eu la chance d'avoir : quelqu'un qui serait là pour les conseiller, les encadrer..."
Pour cela, Mamoudou s'est inscrit à l'École des agents de joueurs de football (EAJF), qui va ouvrir ses portes à Marseille à partir du mois de juin (lire par ailleurs). Il n'est pas le seul et ils seront environ 60 en avril 2015 à tenter leur chance pour obtenir la licence d'agent, délivrée uniquement par la Fédération française de football (FFF).
Ce précieux sésame, accordé au compte-gouttes, donne droit à ses détenteurs d'exercer légalement un métier qui fait rêver depuis de très nombreuses années. Et pourtant... La réalité est loin d'être idyllique.
"Il y a 339 agents licenciés en France, mais il n'y en a même pas une centaine qui en vit réellement, assure Jean Lapeyre, directeur général adjoint de la FFF. En général, ils ont gardé une autre activité à côté (lire ci-dessous).
Loïc Ravenel, collaborateur scientifique au Centre International d'études du Sport (CIES) qui a publié une étude sur les agents en février 2012, va également en ce sens. "Le marché des agents est très concentré. On a recensé 2 600 agents en Europe et 83, soit 3 % d'entre eux, ont sous contrat la moitié des joueurs, explique-t-il. Plus vous avez un portefeuille important, plus vous serez influent ou aurez de l'entregent." Une sorte de cercle vertueux pour les uns et de cauchemar pour les autres. D'où l'importance d'avoir un vaste réseau, de bonnes connaissances mais aussi une solide formation.
Des profils très différents
"Notre objectif est d'introduire des agents compétents sur le marché, assure Sidney Broutinovski, le fondateur et directeur général de l'EAJF. Je ne dis pas que tous les agents licenciés sont irréprochables, mais il y en a beaucoup qui travaillent très bien et qui sont pris pour cible quand certains "faux agents" font un peu n'importe quoi."
L'été dernier, le cas du boucher "tonton Adil" dans le cadre du transfert de Florian Thauvin a ainsi beaucoup fait parler. Depuis, l'attaquant olympien a rejoint un agent licencié, Fabrice Picot. Il n'est pas rare, non plus, de voir des personnes non licenciées exercer pour un impresario en règle (lire ci-dessous). "Avoir la licence est une obligation légale, rappelle Jean Lapeyre. Mais il est impossible de chiffrer le nombre de managers sans licence. Ceux qui obtiennent la licence dans un pays qui n'appartient pas à l'UE ne peuvent pas avoir d'équivalence et sont donc dans l'illégalité."
Une situation qui ne semble pas préoccuper les intéressés, souvent plus attirés par la fin et les commissions que par les moyens utilisés pour y parvenir. "Les profils des candidats au concours sont différents, détaille encore Jean Lapeyre. Il y a les gens du milieu (ex-joueur ou éducateur), une frange importante de diplômés (droit, école de commerce...) qui aiment le foot et veulent lier les deux et enfin, un gros bataillon d'amoureux de ce sport qui rêvent de trouver le nouveau Thierry Henry pour toucher le jackpot et rentrer dans leur cité en Porsche. Ceux-là représentent la grande majorité des candidats." Et des déçus, forcément.

Avec le synthétique, le sport pour tous gagne du terrain


Martigues / Publié le Lundi 14/04/2014 à 05H35

Après la pelouse du stade de Croix-Sainte, d'autres terrains de proximité vont être équipés

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  Samedi matin, les jeunes adhérents du Club Athlétique de Croix-Sainte n'ont pas tardé à fouler la nouvelle pelouse synthétique.
  Photo P.M.
  
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  Samedi matin, les jeunes adhérents du Club Athlétique de Croix-Sainte n'ont pas tardé à fouler la nouvelle pelouse synthétique. Photo P.M.
  
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Ils n'ont pas attendu très longtemps, samedi matin, les petits pensionnaires du Club Athlétique de Croix-Sainte, pour tester la nouvelle pelouse synthétique de leur stade. À peine inaugurée par Gaby Charroux, elle était devenue le terrain privilégié et vite adopté de leurs envies de football.
Il faut dire que le revêtement est posé depuis plusieurs semaines, que le système de drainage et d'arrosage a été refait, mais qu'il manquait l'alimentation électrique et sa validation par EDF.
À l'entrée, deux anciens du quartier apprécient ce revêtement inexistant à leur époque : "Si on avait eu ça de notre temps, on serait devenu l'OM !", ironise l'un d'eux. Un autre, montrant son genou, évoque de mémorables écorchures sur la terre battue aujourd'hui disparue sous une couche de gazon artificiel.
Une rénovation entièrement financée par la Ville de Martigues, pour un montant total de 900 000 €, que le député-maire a qualifié de "symbolique, dans un quartier qui a déjà vu récemment son entrée refaite, cette avenue inaugurée il y a peu et qui porte le nom de Clément Escoffier. Et nous avons d'autres projets autour de ce stade. Nous allons réaliser le parc de Croix-Sainte, à la manière de ce que nous avons déjà fait à Julien-Olive, avec des installations à la fois pour les compétitions et pour les habitants. Nous devrons tenir compte des spécificités de ce secteur, sous lequel passent les pipelines, pour réaliser ce projet".
Prochainement, c'est à La Couronne qu'un autre terrain synthétique sera inauguré : "Ça a été un peu plus compliqué à réaliser car il a été nécessaire de taper dans la roche pour stabiliser le terrain". Puis Gaby Charroux a profité de cette cérémonie pour confirmer l'une des promesses électorales de sa liste : "Nous lancerons durant ce mandat la construction d'un nouveau gymnase, qui fait défaut à Martigues".
À Croix-Sainte, les vestiaires aussi ont été repris. Même si le fait qu'ils se trouvent toujours de l'autre côté de la voie routière d'accès au stade pose des problèmes de sécurité des personnes à la Fédération française de football : "Nous ferons en sorte de régler cette question afin d'organiser au mieux les compétitions sportives à venir ici", a assuré Gaby Charroux.

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"Des moments où on apprend à vivre ensemble"
Reconduite 2e adjointe au maire de Martigues, en charge du sport, Eliane Isidore confirme tout l'intérêt qu'accorde la municipalité à ce secteur : "C'est important parce que, souvent, on se rend compte que la notion sportive, elle-même, est très importante dans la construction des jeunes, parce que ce sont aussi les moments où on apprend à vivre ensemble. On se rend compte aussi que le lien social qui est créé par les associations, au-delà du sport, est tout aussi important et contribue à la qualité de la vie sur le territoire." Et de préciser : "On a vu que dans des villes alentour, où le tissu associatif a pu être démantelé pour des raisons politiques, la vie sociale de la ville s'en est trouvée profondément aggravée. Assurer ce lien social à travers le sport, mais aussi la culture, ça participe au bien vivre ensemble sur la ville de Martigues."
Sur la synthétisation des pelouses, "nous avons commencé avec le petit terrain de proximité à Pezzatini, rappelle l'adjointe. Nous avons fait ensuite celui de Julien-Olive, celui pour le rugby à la Coudoulière. En juin 2013, on a inauguré le stade en synthétique d'Aurélio, aujourd'hui Croix-Sainte et, d'ici quelques semaines, qui sera opérationnel pour la prochaine saison sportive, celui de La Couronne, Saint-Julien, Saint-Pierre, qui se sont regroupés au sein du même club. On donne ainsi de bonnes installations à nos clubs sportifs, à commencer par le football, qui reste dominant en terme de licenciés et de popularité."
"En même temps, complète-t-elle, on n'oublie pas les jeunes qui ne sont pas forcément en club et à qui on va donner des terrains de proximité, eux aussi en synthétique, parce qu'eux aussi ont envie d'évoluer sur des structures de ce type-là. Après Pezzatini, on a fait le terrain de proximité dans le quartier de Canto-Perdrix, "Les Dauphins", où les jeunes vont jouer entre amis. Pendant qu'ils sont là, ils ne sont pas ailleurs, à errer, à s'ennuyer. On va faire, dans la mandature, deux autres terrains. Un à Boudème, sur le fameux terrain "Le Carré", où les jeunes se retrouvent, et aussi dans le quartier de Notre-Dame-des-Marins, en bas. On est dans l'équilibre. On se soucie des clubs et aussi des jeunes qui n'ont pas forcément, malheureusement, envie de rejoindre ces clubs".
Quant au futur gymnase, "Il ne sera pas très loin de Croix-Sainte, du boulodrome municipal. On a réfléchi longtemps pour savoir où il était le plus judicieux de le construire et finalement on va le faire dans ce secteur-là. Ce sera une salle de taille importante, multisports, parce qu'on n'a pas fait de gymnase depuis longtemps et, qu'à l'inverse de ce que j'ai pu entendre dire, nos installations sportives sont suremployées. C'est-à-dire que nous sommes obligés d'étendre les créneaux d'entraînement très tardivement le soir, jusqu'à 22h, 23h, parce que nous n'en avons pas assez dans la journée. En même temps, c'est bien, cela veut dire que nous avons un tissu associatif qui est dense et dynamique. La population augmente aussi et il nous faut ces nouveaux équipements. Donc, c'est une bonne nouvelle pour nos clubs sportifs."