ALLEZ L"OM EN AVANT ....

ILS DOIVENT PREPARER LA REVENTE EN MARS 2010
DONC ASSAINIR LES COMPTES ......ET FONT GAFFE DE VENDRE ET PAS ACHETER

DIMANCHE SANS CET ARBITRE D" OPERETTE
LA MALEDICTION DE CHABAN DELMAS ETAIT AUX OUBLIETTES...

LE FUTUR REMPLACANT DE ...DESCHAMPS

TITRE D" ORANGE

Marseille voit le titre s'envoler

CE N "EST PAS D AUJOURDHUI QU" IL EST PARTI

article de mercredi 03 fevrier

C'est mérité !
57 contributions Publié le dimanche 14 février 2010 à 09H05



Mamadou Niang, sur qui le penalty a été sifflé, s'est fait justice. L'OM, plus entreprenant, a été bien récompensé en Principauté.




Il fallait gagner. L'OM l'a fait, l'a bien fait même. L'OM l'a mérité. C'est sans doute au terme de leur meilleur match de L1 à l'extérieur cette saison que les Olympiens ont écarté un rival direct ; et même si c'est en seconde période, dans les ultimes instants, qu'ils ont marqué le but de la victoire, c'est surtout en première période qu'ils ont séduit et montré leur volonté de s'imposer. Sans y parvenir.

Soyons honnêtes : sans ce but inscrit contre son camp par Nkoulou, seul au marquage de Niang et Mbia, ce match aurait laissé des regrets, comme à Milan ou à Lyon. Il aurait surtout eu des conséquences néfastes au classement, après les victoires de Montpellier et de Lille. Mais la réussite a été olympienne, c'était sans doute écrit... En effet, au rayon coups du sort, l'OM a été verni. D'abord, sur le penalty sifflé en faveur de Niang et transformé magistralement par le capitaine olympien. La faute de Mongongu, qui a beaucoup joué des mains sur les épaules de Niang tout au long du match, n'aurait pas été sanctionné ainsi par tous les arbitres. M.Ennjimi a pris ses responsabilités.

Les occasions perdues

Ensuite, autre décision délicate: le tacle de Diawara sur Maazou. Il emporte le ballon, puis, dans son élan, le pied de l'attaquant nigérien. À Madrid, M.Hansson avait décidé : penalty et carton rouge ; M.Ennjimi a fait signe : jouez ! Peu après, sur un centre d'Alonso, délaissé par Taiwo, Mbia s'est jeté pour contrer Maazou. Sur ce coup-là, l'OM a été malheureux : but contre son camp du défenseur camerounais. Mais Mbia a fini par avoir sa revanche quand Nkoulou a dévié dans son but un centre de Valbuena. Qui lui-même voyait là l'occasion de ne pas trop se mordre les doigts après ses deux face-à-face perdus avec l'excellent Ruffier en début de match.

Car ce fut là le symbole de la première période : un jeu très fluide, beaucoup de mouvement, des triangles intelligemment élaborés par Bonnart, Lucho et Valbuena, une volonté de prendre des initiatives, des risques, mais pas de récompense aux deux belles opportunités de Valbuena, pas plus qu'au tir rasant de Ben Arfa et à la frappe détournée de Lucho.

L'OM voulait les trois points

Finalement, à ce jeu séduisant mais débouchant sur de la frustration à la mi-temps, l'OM a ajouté de l'intelligence et du caractère en seconde période. Car après la pause, le sens du mouvement a changé, c'est Monaco qui s'est mis à produire du jeu, l'OM à demeurer plus statique. Sans pour autant concéder plus qu'un tir de Coutadeur.

Mais voilà : Monaco s'est comporté petitement, en se contentant ostensiblement du point du nul. L'OM en voulait trois, désirait les arracher, à l'image de Diawara, traversant le terrain pour ponctuer un une-deux avec Niang d'une frappe trop croisée. Et l'équipe la plus entreprenante a donc été récompensée sur la fin. C'est mérité et ça doit donner à l'OM son véritable élan vers plus de continuité. "Il n'y a pas eu que le résultat, il y a eu la manière dont il a été construit", dit Deschamps. C'est exactement ça...

BIEN VU ILS AVAIENT RAISON

Paris est à la rue, à l'OM d'en profiter !"
lundi 22 février 2010 à 16H02
Philippe Jeannol le champion olympique avec l'équipe de France en 1984 a joué sous les couleurs de Nancy et du PSG.

débriefing de la rencontre qui vient de se dérouler. Aujourd'hui, Philippe Jeannol Il est donc bien placé pour évoquer la semaine des Olympiens après leur succès face aux Nancéiens et avant le déplacement à Paris.

- Quel regard portez-vous sur la victoire de l'OM contre Nancy ?
Philippe Jeannol : J'ai trouvé une équipe disciplinée, un peu en difficulté dans la construction en première mi-temps. En même temps il y avait beaucoup de vent et Nancy a été surprenant au début en jouant haut et en exercant un pressing constant. J'ai vu des joueurs disciplinés, notamment à la récupération du ballon et dans l'envie. Mais à partir du moment où il y a eu du mouvement avec Valbuena, Ben Arfa, et la participation des latéraux, la situation s'est débloquée. Il fallait gagner, la pression était là. L'OM a maîtrisé. Enchaîner les matches, ça veut dire être intraitable à domicile et solide à l'extérieur. C'est bien de revenir à 6 points car le titre est toujours en jeu pour Marseille. Et on a encore vu à l'influence de Mamadou Niang dans tous les domaines.

- Justement, comment analysez-vous sa prestation ? Et comment auriez-vous défendu sur lui à votre époque ?
P.J. : C'est difficile à dire. Mais c'est un super joueur, qui a énormément progressé. C'est là où on voit la différence entre un bon attaquant et un très bon : avec peu d'occasions, il les met au fond. Il est toujours disponible, en mouvement ; il donne de la vie et de l'envie à tout le groupe. Quand on peut compter sur un attaquant comme lui, ça rassure tout le monde. Si je l'avais en face de moi, il n'aurait pas fallu le lâcher, le surveiller sans cesse. Mais malheureusement pour les Nancéiens, on a eu la confirmation de leurs problèmes défensifs. Il a été oublié mais a su être adroit.

Sur le match d'hier, il n'y a pas photo sur sa position dans l'axe. Maintenant, je pense que ça le tranquilise d'être tout seul, ça lui laisse de la liberté. Alors qu'à deux devant, ils peuvent se marcher sur les pieds. Mais il ne faut pas oublier tout ce qu'a fait Brandao aussi. Ce n'est pas un luxe, mais c'est bien d'avoir deux attaquants aussi performants. Alors faut-il faire jouer à deux ? En mettre qu'un ? Niang a prouvé qu'il pouvait jouer seul, être efficace et assumer la pression. C'est compliqué mais c'est le problème de Deschamps. Il vaut mieux avoir plusieurs solutions qu'un seul attaquant...

- L'OM pense désormais à Copenhague pour le 16e de finale retour de la Ligue Europe. Le turn-over est-il important ?
P.J. : Faire tourner, ça ne veut pas dire mettre une équipe B. Quand on est l'OM, il y a quand même des joueurs de ballons. Quand on voit le banc de touche, il y a du monde... Au final, c'est surtout important d'avoir gagné au Danemark. Cela a aussi permis de bien préparer la réception de Nancy car ça fait du bien pour le mental de s'appuyer sur une victoire à l'extérieur en coupe d'Europe. Et puis, si les Olympiens en ont mis trois là-bas, je ne vois pas les problèmes qu'ils pourraient avoir au Vélodrome en étant sérieux et professionnels comme ils l'ont été hier.

- Après le FC Copenhague, c'est le fameux clasico avec PSG-OM. Qu'en pense l'ancien Parisien que vous êtes ?
P.J. : Eh oui ! Au niveau de la symbolique, ce n'est plus aussi virulent que sous l'ère Tapie. Mais, quoi que l'on en dise, il n'y a jamais eu de problèmes sur le terrain entre les joueurs. Aujourd'hui, ça reste un match spécial. Mais maintenant Paris est à la rue, à Marseille d'en profiter ! Alors, peut-être que les hommes de Kombouaré vont se servir de ça pour rebondir et faire plaisir aux supporters qui, visiblement, en ont gros sur le coeur... Mais bon, il ne faut pas occulter que le PSG a battu Toulouse dans la difficulté. Pour l'OM, ce n'est pas non plus un match évident. Ceci dit, les Olympiens ont les armes individuelles et collectives pour gagner dans la capitale.

CAPTURES D" ECRAN OM /COPENHAGUE


27 000 spectateurs pas mal pour un match de coupe d" europe



nouvel reselectionné en EDF HATEM BEN ARFA ...BRAVO






LES DANOIS EN FUSCHIA SONT A TERRE 1 A 3 ENCORE




BELLE PARADE DE MANDANDA QUI REVIENT BIEN




LE MAILLOT BLANC SYMBOLE



RELEGUE SUR LE PETIT ECRAN DU FOND ...JUSTE PRIX ET LAGAF OBLIGE



SALUONS L" ARTISTE BAKY KONE
AUTEUR D" UN DOUBLE A L"HEURE DE JEU ET
PERMET A DD DE GARDER DES TROUPES FRAICHES
POUR PARIS
DIAWARA SORTI ...NIANG, E CISSE NE RENTRENT PAS