ALLEZ L"OM EN AVANT ....

Deschamps : "Lucho et Loïc ont créé des affinités"
samedi 13 août 2011 à 09H29
Satisfait d'avoir vu l'attaquant des Bleus inscrire un but face au Chili et se créer plusieurs occasions, Didier Deschamps est revenu sur la complicité naissante entre l'Argentin et l'ancien Niçois.
"Leur association est intéressante. Ils ont des affinités techniques et c'est toujours bien entre un passeur et un finisseur, a confié le coach de l'OM, avant d'évoquer l'avenir de Lucho. Il n'y a rien de neuf. Son départ n'est pas acquis, il travaille avec le sourire; et je n'ai pas à le convaincre de rester."


virageorange
13/08/2011 à 09h44 | 1
Le probleme c que niang et lucho on mit 1ans pour se connaitre par coeur et niang est parti. la rebelote 1an pour enfin se connaitre par coeur avec remy et s'est lucho qui risque de partir c bien dommage. Si niang été resté un an de plus on été chanpion si lucho reste on sera champion

2e j.
L'OM confiant, mais ...
Didier Deschamps, très satisfait de la manière dont son groupe travaille, doit impérativement améliorer l'efficacité défensive de son équipe pour espérer des résultats. Ca commence face à Auxerre (17h00).

Nicolas Nkoulou pourrait être titularisé aux côtés de Stéphane Mbia.

En lâchant un point contre Sochaux à domicile samedi dernier, Marseille a vu revenir à vitesse grand V le spectre de son début de saison raté l'année dernière. A Auxerre, auteur d'une bonne prestation à Montpellier malgré la défaite, l'affaire ne s'annonce pas si simple.

Mais le staff olympien ne semble guère inquiet, et voit au-delà du résultat brut. Cela, car l'ambiance générale au sein de l'équipe respire la sérénité et la solidarité, bien loin des soubresauts du mois d'août 2010. «Je suis très satisfait de la manière dont le groupe travaille même si cela doit encore se matérialiser complètement dans le contenu», assure Didier Deschamps

. Cela faisait longtemps, en effet, que l'on n'avait pas vu l'OM jouer de cette manière, notamment lors de la première mi-temps du match d'ouverture de la saison

. Les Marseillais n'ont pas seulement maîtrisé leur sujet collectivement, ils ont développé de bonnes phases offensives qui auraient dû se traduire en buts avec un peu plus d'adresse ou d'opportunisme. Et la qualité des relations en attaque (Lucho-Rémy, Valbuena-Lucho) augure bien de la suite - à condition que Lucho reste, évidemment

Marseille pris de vitesse
Comme contre Sochaux,
l'OM s'est fait reprendre par Auxerre (2-2).


Comme contre Sochaux le week-end dernier, l'OM, énorme en première période, s'est fait reprendre par Auxerre (2-2). Et encaisse son huitième but en trois sorties officielles.

Avec Marseille, il est toujours difficile de savoir sur quel pied danser.

Longtemps, à Auxerre, ce fut sur le bon, le grand, un pied de guerre même au vu de la première période produite par les hommes de Didier Deschamps. Puis, ce fut à l'AJA de mener le bal, dicter son rythme, et à l'OM de compter les temps, ses temps morts, et à la fin, ses points perdus.

Deux, une fois de plus, une fois de trop. Après Sochaux (2-2) le week-end dernier, la tendance se confirme : en plein match, Marseille se perd dans des trous noirs. La faute, sans doute, à un rythme d'entrée trop difficile à tenir. La faute à un manque de concentration général, aussi, qui coûte extrêmement cher à un vice-champion en reconquête, neuvième ce soir du classement.

Ainsi donc, à Auxerre, l'OM a peu ou prou joué le même refrain. S'est adonné à toutes les tâches, des plus belles, étalées en première période, aux plus ingrates, en seconde. En quête d'une solidité défensive indispensable à la reconquête du titre,


Marseille se présente pied au plancher avec une défense remaniée où Nkoulou et Azpilicueta suppléent Diawara et Fanni. Quarante-cinq minutes durant, en opposition totale avec une arrière-garde bourguignonne complètement dépassée, tout tient la route derrière, et tout fonctionne devant : trois occasions, deux buts aux meilleurs moments (3e et 42e). De la technique, et du mouvement. Deux passes décisives de Mathieu Valbuena, avec deux têtes signées Rémy (son 3e but en 8 jours) et A. Ayew à la réception, et une seule parade de Mandanda face à l'intenable Sahar (8e). Derrière, rien à dire, parce qu'il n'y a rien à voir.

Et puis au retour des vestiaires, ce n'est plus la même histoire. Mais si, au fond, c'est bien la même histoire que celle de la semaine dernière. Revigoré par l'entrée d'un Roy Contout plein d'envie, Auxerre lance l'abordage, et Marseille se saborde. Auxerre renvoie la balle à son invité, un but d'entrée signé Traoré du gauche (47e, après un bon travail de Sahar encore), un but de fin signé Contout de la tête (81e). Et les lacunes défensives de l'OM sautent aux yeux, comme ces erreurs évitables de Morel sur les deux buts.

Comme ces difficultés face au pressing des attaquants auxerrois. Didier Deschamps n'a eu de cesse de remonter les bretelles de son arrière-garde, coupable de généreuses relances dans l'axe, mais il aura sans doute autant à dire sur son entrejeu, inexistant. Huit buts encaissés en trois sorties officielles, c'est décidément trop pour un candidat au titre. L'an dernier, Marseille affichait zéro point au soir de la deuxième journée. Il en dispose aujourd'hui de deux, pour quatre de perdus. C'est à peine mieux, mais ce n'est absolument pas suffisant

LILLE AYANT GAGNE 4 POINTS
LYON INVAINCU 5 POINTS

L"""OM DOIT IMPERATIVMENT GAGNER PAR DEUX BUTSS D ECARTS contre sainté POUR PASSER DEVANT EUX

ALLLEZZZZZZZZZZZZZZZZ
L OM
ET A PLUS TARD
LA FAMILLE ME RECLAME

LE MESSAGE EST ENCORE PLUS VRAI MARDI

Faut-il s'inquiéter des trois matches nuls consécutifs de l'OM ?
62%Oui. Trois points pris sur neuf possibles, c'est trop peu pour viser le titre
8%Non, l'équipe progresse, notamment en défense
30%C'est trop tôt pour tirer des conclusions

pasc7


25/08/2011 à 20h12

en étant plus réaliste ..

olympiak / om : nul
om / dortm : nul
om / arsenal : victoire
5 points..
om/olympiak : victoire
dortmunt / om : défaite
arsenal / om : nul
9 points en tout ---> uefa come back , on peut rêver

L1 - OM - Marseille , attention danger !

Pas inquiets les Marseillais, assurent-ils en coeur, mais le déplacement chez le champion de France en titre est lourd d'enjeux. (EQ)
Son début de saison place l'OM sous pression avant de visiter Lille (21h00). Le groupe de Deschamps a besoin d'une victoire pour reprendre confiance.

En enchaînant trois nuls d'affilée, l'OM s'est mis tout seul une grosse pression. Et le constat est presque plus terrible que la saison dernière parce qu'en l'absence de victoires après deux matchs à domicile, le doute s'est insinué. Officiellement, le discours reste policé. «On a un besoin urgent de gagner, admet Mandanda. On a perdu des points bêtement, mais on ne doute pas plus que ça. Et puis, contrairement aux premiers matches, à Lille, on ne part pas favori.» Mais les supporters marseillais commencent à faire la moue et s'inquiètent de voir cette équipe tarder à concrétiser les espoirs placés en elle.

«Moi non plus, comme eux, je ne suis pas content, s'agace Didier Deschamps. On n'a pas de résultats mais je ne veux pas me mettre dans une configuration de défaite.» Après seulement trois rencontres, il n'y a pas encore péril en la demeure. N'empêche, la peur de la spirale négative guette. Pour au moins deux raisons. Et la première concerne le calendrier. L'OM doit enchaîner un ensemble de rencontres particulièrement difficiles. Lille ce dimanche, Rennes après la trêve internationale, l'Olympiakos en Grèce pour ses débuts en Ligue des champions et Lyon le 18 septembre.


Il suffit pourtant d'une victoire pour inverser la tendance, «la meilleure des clés, assure Deschamps, pour crédibiliser ce qu'on a déjà fait et apporter la confiance». Sans elle, c'est la porte ouverte aux sautes d'humeur et aux états d'âme liés à la concurrence. Cheyrou, resté sur le banc dimanche dernier, a râlé, et Amalfitano s'inquiète de voir Lucho rester alors qu'il était venu au départ pour le remplacer. Deschamps a dû discuter avec lui puis avec André Ayew pour conserver l'unité du groupe. Il croit en lui et en son potentiel. «On a une capacité plus importante à produire du jeu, mais il faut trouver le juste équilibre entre animation offensive et solidité défensive», insiste le coach. Les promesses doivent maintenant se concrétiser. Pour un vrai départ à Lille ?

L'OM est vraiment à la traîne
Lucho, Fanni et Cheyrou accusent le coup.

.
Et dire que Didier Deschamps avait érigé la défense en priorité des priorités pour son recrutement estival. Mais les arrivées de Nicolas Nkoulou, Jérémy Morel et Alou Diarra n'ont pas stabilisé la défense marseillaise, toujours aussi perméable. Depuis le début de la saison, l'opération porte-ouverte a déjà profité à Sochaux (2-2), Auxerre (2-2) et Lille dimanche (2-3). Les absences de Stéphane Mbia, blessé, qui devait être le pilier de la défense, et de Nicolas Nkoulou, suspendu à titre conservatoire pour avoir marché sur Sinama-Pongolle, n'arrangent pas les affaires de Didier Deschamps dont l'équipe n'a pris que trois points en quatre journées, alors qu'il en visait le triple, au minimum. Si Vincent Labrune, le président, refuse de «sombrer dans le pessimisme et le défaitisme», il y a urgence à Marseille : la victoire sera impérative contre Rennes le 10 septembre. Et sans prendre de but, si possible...

MIEUX VAUT FAIRE ENVIE QUE PITIE
MIEUX VAUT FAIRE RIRE QUE PLEURER
ALLLLLLLLLLLLLLLLLEZ LLLLLLL "OOOOOOOOOOOOOOMMMMMMMMM


OM : une dernière journée à en perdre la tête
jeudi 01 septembre 2011 à 07H32


Gignac qui a passé la journée à Londres, reste à l'OM
Au terme d'une journée insensée, Gignac, qui a passé la journée à Londres, reste à l'OM. Amauri ne vient pas C'était gros comme la trompe d'un éléphant sur le visage d'un Pygmée.

L'OM a bataillé toute la journée pour enrichir son effectif, y apporter la qualité et l'expérience réclamées par Didier Deschamps depuis plusieurs jours. Ceux qui aiment le sport ont été servis.

Les rebondissements ont été nombreux, agrémentés d'épisodes croustillants qui n'ont pas forcément mis en joie la présidence du club. L'OM n'avance pas comme les autres ; cette vérité a trouvé tout son sens en ce dernier mercredi du mois d'août !

Reprenons dans l'ordre... L'absence d'André-Pierre Gignac hier matin au centre d'entraînement Robert Louis-Dreyfus a fixé le rythme de la journée. Un tempo mené tambour battant avec des négociations âpres : "C'est funky", souriait un dirigeant du club, dans le milieu de l'après-midi.

Aux alentours de 12h30, Benoit Cheyrou s'amuse en interrogeant les médias présents à La Commanderie : "André-Pierre n'est pas venu ce matin. Vous ne savez pas où il est ?"

Depuis un peu plus d'une heure, Gignac est repéré dans un hôtel de Wimbledon Hill, dans le Sud-Ouest de Londres. La veille, fixé sur les intentions de Deschamps à son égard, il demande et obtient l'accord pour se rendre en Angleterre afin d'y trouver un club

Amauri aurait coûté 15 M€13 contributions Publié le vendredi 02 septembre 2011 à 07H24


L'inflation galopante constatée lors des dernières discussions avec Amauri a définitivement convaincu l'OM de renoncer à la venue de l'Italo-Brésilien. Entre le montant de l'indemnité de transfert à verser à la Juventus (4 M€), le salaire (3,8M€ la première année, 2,5M€ la deuxième), les charges plus la commission à verser à l'agent, le passage de l'attaquant de la Juventus aurait coûté environ 15 M€ à l'OM.

"Nous avons déboursé seulement 4M€ en cash cet été pour les diverses arrivées en nous appliquant à soulager nos finances, exprime Vincent Labrune, le président du club. Ce n'est pas pour tout remettre en cause et nous plomber en l'espace d'une soirée sur un coup de pression de dernière heure. Plus les heures avançaient, plus c'était cher. On ne peut pas gérer le club de façon démagogique car les supporters espèrent un renfort. Économiquement nous avons été responsables."

il faut attendre 6 jours pour voir le 1 er but de APG GIGNAC cette saison

Samedi 10 septembre - Ligue 1 - 5e journée : OM - Rennes (21h, Orange)

J. Anigo : «Il faut laisser du temps à Morel»

Invité du Club Foot Marseille sur France Bleu Provence en direct du centre RLD, José Anigo a notamment été interrogé sur les soucis défensifs de l’OM et le cas de Jérémy Morel : «Il ne faut pas avoir de jugements hâtifs. On a certes perdu Taiwo mais les premières années, je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de Marseillais qui l’ont vu bons. Il faut laisser du temps à Jérémy et ne pas se focaliser sur lui. C’est un problème d’équipe car l’axe Diawara-Mbia est le même que celui des années précédentes et à droite il y a Fanni qui est international et Azpi qui est un grand espoir du foot espagnol. Alors faisons preuve de patience

OM-Rennes
Vendredi 09 Septembre 2011 à 13:14

Antonetti : «L’OM mérite mieux»

Avant de s’asseoir sur le banc, samedi soir, au stade Vélodrome, Frédéric Antonetti donne son sentiment sur cette équipe marseillaise et ne semble en rien s’inquiéter du début d’exercice de ces derniers : «J’ai vu leurs matches. Le contenu dans le jeu est bon. Ils méritent mieux». De là à être plus costauds que l’an dernier ? Réponse de l’intéressé : «Ils ont un effectif plus solide. Ils ont encore quelques réglages à faire mais cette équipe est, à mon avis, meilleure.»

Football L1 : Deschamps : "Il y a urgence"
10/09/2011, 06 h 00
Didier Deschamps : "L’important, c’est de rester confiant." (Photo )
L'entraineur de l'OM est conscient mais assume ses choix.

Gignac est-il opérationnel ?


Il travaille. Il a envie, il est déterminé. Mais il a besoin de temps pour revenir et du temps de jeu pour retrouver sa condition physique.

Ce transfert manqué n’aura-t-il pas des conséquences dans les relations ?

Il vous a répondu (par la négative, NDLR). L’important est qu’il soit déterminé, il l’est, et qu’il retrouve confiance en lui. Si je n’avais pas confiance en lui, je lui aurais dit en juin. On a lancé un processus qui a pris du temps. C’est difficile, car il avait un déficit physique, mais il est entré en jeu contre Saint-Étienne et Lille. Il a besoin de temps, mais on ne peut dire qu’un entraîneur en a beaucoup non plus... Il a bien pris cette affaire. Mais le plus important, c’est ce qu’il fait. Et ce qu’il fait me convient, je suis satisfait de son attitude. Trois nuls et une défaite.

Y a-t-il urgence après cette mauvaise série ?

Oui, évidemment. Mais l’important, c’est de demeurer confiant dans ce que l’on est capable de faire. Et on a fait de très bonnes choses. Ce qui nous pénalise, ce sont des erreurs individuelles qui se paient cash.

En l’absence de victoire, envisagez-vous de renoncer au projet de jeu, porté vers l’avant ?

Je n’ai pas envie de changer de philosophie et d’idée directrice. Il faut s’appuyer sur ce qu’on sait faire, en gagnant en rigueur et en efficacité défensive. J’ai décidé de m’inscrire dans la durée et de m’orienter vers ça. Je savais qu’il y avait un double risque à court terme et je l’assume.

LYON ET LILLE ONT GAGNE A L EXTEREIUR

L"OM doit pas se rater ce soir

Dissiper un malentendu...samedi 10 septembre 2011 à 09H24

La mutation de l'OM n'a trouvé aucune récompense en raison d'erreurs chroniques. Et si on s'y mettait enfin ?



Il flotte depuis le début du championnat comme une incompréhension tenace entre l'OM et tous ceux qui, de près ou de loin, sont attachés à la vie et aux valeurs de ce club. L'équipe a opéré une mutation dans son jeu, dans ses principes. Elle propose des contenus aux antipodes des somnifères injectés la saison dernière, mais cette évolution, pourtant sensible à moins d'être frappé du sceau de la malhonnêteté ou d'une presbytie maladive, n'a pas encore véritablement trouvé ses partisans.

La semaine dernière, Guy Stephan confiait combien ce projet tenait à coeur à Didier Deschamps : "Il a voulu mettre l'accent sur le jeu en une touche, avec la recherche des triangles, du mouvement, l'occupation des intervalles. C'est un projet et comme toute évolution cela procure des risques. On les vit pleinement en ce moment. Cela occasionne moins de solidité et des erreurs individuelles. Il ne faut pas renoncer. Quand on a un véritable projet, il faut mener son idée au bout."

Pour avoir suivi de près la mise en forme de cette ligne directrice pendant les six semaines précédant la reprise de la compétition, on a rapidement compris qu'une opération séduction était lancée par le biais d'un plan dont nul ne sait à l'avance vers quels résultats il tendra, quelles émotions il procurera.

L'exigence chronique, inévitable et sur laquelle nous n'accorderons aucune concession, car elle est ancrée dans nos gènes, notre culture, avec tous les excès qu'elle suggère, oblige un jour un technicien à pousser ses idées un peu plus loin que ce qu'il a pu oser depuis son installation. Didier Deschamps est dans cette logique, il a ouvert son parapluie. Il préconise un jeu porté un peu plus vers l'avant, une idée tellement plus en phase avec la devise du club...

Ligue des Champions : l'OM en quête d'un ciel bleu
mardi 13 septembre 2011 à 07H16

L'OM entre dans la compétition sans certitude. Si seulement l'Europe pouvait lui redonner quelques couleurs

Aux alentours du stade, rien ne présage de l'accueil sulfureux qui attend l'OM ce soir : "Nous n'avons pas peur, clame Steve Mandanda.

Sur les quais de Koumoundourou coast, une petite anse rivalisant avec la tranquillité et le charme de Malmousque, les cigales présentent, avec leur accent grec, les premières lueurs du jour. Le soleil se lève sur Le Pirée. Les terrasses des cafés offrent un charme romantique, tournées vers une beauté bleue où, à l'horizon, la mer embrasse le ciel.

La température flirte déjà avec les 35°C, malgré les entrées maritimes venues de la Baie de Faliro. On se laisse charmer par Panagia Miridiotisa, une église en pierres rouges pour, enfin, accéder à une passerelle surplombant l'immense avenue Papandreou. Sa traversée autorise de plonger sur un stade moderne. De l'extérieur, on perçoit les essais sonores d'une musique familière : l'heure est venue de retrouver la Ligue des champions.

À la terrasse du Red Café, la serveuse amène, avant même de prendre la commande, un verre d'eau. Rafraîchissant. "Nous ne sommes pas venus en visite, rassure Didier Deschamps, même si la Grèce est un pays accueillant. J'ai un groupe concerné, déterminé, animé par l'intention de réaliser un très bon résultat."

Aux alentours du stade, rien ne présage de l'accueil sulfureux qui attend l'OM ce soir : "Nous n'avons pas peur, clame Steve Mandanda, mais nous accordons un grand respect à l'Olympiakos et à ses supporters. On ne craint ni le contexte ni l'équipe." Par ici, il ne reste que le football pour garder la fierté perdue au quotidien. Les supporters sont exigeants et réclament un investissement sans faille à leurs joueurs

Sur les quais de Koumoundourou coast, une petite anse rivalisant avec la tranquillité et le charme de Malmousque, les cigales présentent, avec leur accent grec, les premières lueurs du jour. Le soleil se lève sur Le Pirée. Les terrasses des cafés offrent un charme romantique, tournées vers une beauté bleue où, à l'horizon, la mer embrasse le ciel



Aux alentours du stade, rien ne présage de l'accueil sulfureux qui attend l'OM ce soir

L’appel aux supporters de J. Anigo

Interrogé depuis Athènes dans Veille de match, José Anigo a tenu à lancer un appel au public marseillais : «Maintenant, on a besoin du soutien de nos supporters. Ils sont là quand ça va bien, on le sait et on en est très content mais quand ça ne va pas on aimerait aussi les entendre mais en nous aidant et en nous soutenant dans la difficulté. Ce serait sympa pour nous.»

il parle pour toi venus
au golf
ta derniere trouvaille à la poubelle

Marseille préfère l'Europe 14/09/2011 à 00:32
L'OM a signé sa première victoire de la saison sur la pelouse de l'Olympiakos (1-0) et prend les rênes de la poule F devant Arsenal et Dortmund.


Morel le passeur et Lucho le buteur dans les bras l'un de l'autre.
Elle est enfin là. Pas vraiment belle, non, mais terriblement importante pour tellement de raisons. Pas vraiment rassurante, non plus, mais tellement profitable sur le plan comptable, avec cette place de leader du groupe F tombée du ciel à la faveur du match nul d'Arsenal et Dortmund (1-1). Sa première victoire de la saison, l'OM est allé la chercher à l'envie, et surtout au bon moment, sur la pelouse défraîchie d'un pâle Olympiakos (0-1). Trois jours après une soirée de crise au Vélodrome contre Rennes (0-1), la première journée de Ligue des champions a ainsi pansé les plaies du groupe de Didier Deschamps, libéré d'un grand poids avant un déplacement crucial à Lyon dimanche. Et qui voudra voir en cette chaude soirée grecque le catalyseur tant espéré pour reprendre le droit chemin en Championnat. Celui de la C1 s'ouvre, déjà, sous de bons auspices. Il s'ouvre même mieux qu'il ne s'était ouvert depuis trois ans (pour rappel, défaites face au Spartak Moscou, l'AC Milan et Liverpool). Et il s'ouvre sans avoir concédé de but, la bonne surprise de la soirée pour une équipe qui en a encaissé huit en cinq matches de championnat. Remis en cause derrière, Didier Deschamps a donc innové, ce mardi, avec D. Traoré titularisé en arrière gauche, et J. Morel monté d'un cran. Un changement bénéfique pour l'ancien Lorientais qui, pour sa première soirée de Ligue des champions, n'a pas démérité. Très alerte en première période, il a mené la contre-attaque parfaite pour délivrer le ballon de but idéal à Lucho Gonzalez (51e). Le 14e but de l'Argentin en C1, une affaire d'expérience si capitale à ce niveau-là.

Les Olympiens se sont une fois de plus compliqué la tâche en fin de match. Mais cette victoire devrait à l'avenir, s'il savent la faire fructifier, leur simplifier un peu la vie.
Face à son adversaire le plus faible du groupe, malgré les percées de Mirallas et les chevauchées de Djebbour, Marseille n'a pas pour autant rassuré son monde. Loin de là. L'OM, auteur d'une bonne première période, a juste marqué au meilleur moment, un temps fort des Grecs, sur sa deuxième occasion de la soirée (après un poteau de Loïc Rémy à la 37e). Puis il a fait le dos rond, tant bien que mal, et plus souvent mal que bien, en deuxième période. On le sait, une soirée de Ligue des champions bascule souvent sur un détail : une relance ratée, un mauvais placement... Un tacle trop appuyé. Entré en jeu à la place de Cheyrou pour colmater derrière (84e), Rod Fanni a failli ruiner la soirée de son camp en fauchant très maladroitement Mirallas et en retournant au vestiaire décoré de rouge. Un mauvais remake de sa bourde à Lille (0-1) évité de justesse. Fébriles et peu convaincants, les Olympiens se sont une fois de plus compliqué la tâche en fin de match. Mais cette victoire devrait à l'avenir, s'il savent la faire fructifier, leur simplifier un peu la vie.